Atelier Régional sur l Exécution des Projets en Afrique de l Ouest et du Centre

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1 Atelier Régional sur l Exécution des Projets en Afrique de l Ouest et du Centre Groupe IV : Bonne Gouvernance Modérateur : Mme Cécile KOUAKOU PPMS/Côte d Ivoire Rapporteur : Daouda MAIGA PIDRK/Mali METHODOLOGIE Le travail du groupe IV dit «Bonne Gouvernance» consiste à mettre en évidence le lien entre la bonne gouvernance et la thématique de l atelier qui est la chaine des valeurs. Le groupe a adopté comme méthodologie de travail que la parole soit donnée aux animateurs et qu ensuite les membres du groupe esquissent des réponses relatives aux quatre (4) questions de la page 4, chapitre 12 dans un premier temps, et aux trois (3) questions de la page 6, chapitre 21 du document intitulé «Questions de fonds relatives aux chaines de valeurs ; aux opportunités, et à la croissance : rôle des projets financés par le FIDA»de David Kingsburry. DEROULEMENT DES TRAVAUX Malgré la concision des questions, de nombreux commentaires ont été enregistrés soit pour confirmer l opportunité de la question, soit pour évoquer l expérience ou les pratiques des Pays et Projets /programmes, et aussi pour donner des avis personnels sur les différentes questions et solutions/réponses évoquées. Q1 P4 : Les prix des intrants et des extrants sont ils compétitifs, ou l un ou plusieurs acteurs exercent ils un pouvoir significatif sur le marché? Il a été question en investissant cette problématique de l altération (à la longue) de la chaine de valeur par l action des acheteurs/acquéreurs (cas du Ghana) ou importateurs qui imposent généralement les prix aux producteurs. Les prix ne sont pas compétitifs du fait même des coûts de transactions trop élevés, dus aux différentes barrières (douanes, police, gendarmerie) de bakchich, etc. rechercher des parades (au diktat des acheteurs), de nouveaux créneaux comme la transformation par exemple. Mettre en place des règles et un contrôle qualité Subventionner (Etat) les intrants et extrants agricoles Rendre disponibles à temps certains intrants 1

2 Q2 P4 : Quelles sont les conditions permettant aux acheteurs et aux vendeurs d avoir accès au crédit, et est ce que les anomalies entrainent davantage de pouvoir de négociations pour certains acteurs du marché relativement aux autres? En règle générale, les acheteurs qui sont des commerçants ont plus facilement accès au crédit que les producteurs, les taux d intérêt sont trop élevés (voire exorbitants) comparativement à d autres continents, surtout lorsque ce sont des denrées périssables (cas de l igname au Ghana) qui sont concernées avec tous les problèmes d enclavement et de conservation adéquats. Il est également admis que la quasi totalité des anomalies profitent aux commerçants augmentant l iniquité. Des expériences comme au Bénin de fonds dits indexés aux institutions de micro finance pour booster une spéculation donnée ou de mutuelles appelées banques de proximité au Congo sont des alternatives. Mise en place de projets régionaux pour booster certaines filières avec des plans d action rigoureux Appuyer à une meilleure structuration/organisation des producteurs (cas du Sénégal et du Mali) pouvant défendre leurs intérêts partant de leur dynamique interne Aider à l établissement de plate forme de dialogue ou des cadres de concertation inter acteurs (comme le propose la Sierra Leone) Q3 P4 : Comment est ce que les informations sur le marché (prix, évolution des conditions de marché, exigences de normes et qualité, etc.) sont elles véhiculées et qui en a accès? Les débats ont révélé que la plupart des Etats disposent d un système de collecte et de diffusion des informations mais ces systèmes ne couvrent pas toujours l ensemble du territoire national. Aussi, les interventions des projets viennent en appoint pour relayer ce système dans leur zone d intervention. C est le cas du Système Permanent de Collecte au Congo Brazzaville, le Système d Information sur les Produits Agricoles (RDC), l Office National pour la Sécurité Alimentaire au Bénin, l Observatoire de Marchés Agricoles au Mali. Les projets ont une bonne expérience des méthodes de collecte et de diffusion des informations sur les 2

3 marchés. C est le cas du PRAPE avec l installation de radios communautaires avec des postes de radios solaires ainsi que les radios de proximité du PADER au bénin à titre d exemples. Les projets et programmes mettent en place ou renforcent dans leur zone d intervention un système performant d information sur les marchés. Utilisation de créneaux adaptés (téléphone, télé, radio, bulletins etc.) pour véhiculer les informations Q4 P4 : Quels rôles les gouvernements locaux et nationaux jouent ils dans l influence sur les conditions du marché (les impôts officiels et non officiels, la régulation, les subventions directes et indirectes, les autres politiques, etc.) Globalement, les intervenants voient l Etat jouer son rôle régalien en promulguant une législation dont il se charge d une réelle application. Les gouvernements devraient créer des conditions incitatives et préférentielles en développant les infrastructures, les pôles de conservation/transformation, rechercher les financements additionnels nécessaires au renforcement filières agricoles, exonérer les intrants et matériels agricoles (RDC) etc. L Etat doit s atteler à élaborer de bonnes politiques agricoles Encourager l intégration sous régionale pour une meilleure circulation des produits Les gouvernements doivent éviter à tous prix d être des acteurs dans les segments des filières et se limiter à un rôle de réglementation et de contrôle Pour ce qui concerne les trois questions de la page 6 chapitre 21 Q1 P6 : Dans votre (vos) projet(s), procédez vous explicitement à un suivi de la gouvernance de chaine de valeur et la manière dont elle évolue? Quels sont les problèmes les plus importants que vous avez rencontrés? Seriez vous intéressé (e) à recevoir de l assistance technique/formation sur ce sujet? Il a été admis que l entrepreneuriat rural mérite de bénéficier d un plus grand encadrement à travers le renforcement des capacités des producteurs pour qu ils puissent eux même négocier les meilleurs prix pour leurs productions. 3

4 Les difficultés que crée l action des projets sur un seul segment d une filière ont été évoquées, mettant en exergue le manque de maîtrise de facteurs qui se situent en amont et en aval de la filière. Recommandation : Les projets ressentent le besoin de recevoir une l assistance technique ou une formation sur ce sujet. Q2 P6 : Existe il des domaines politiques nécessitant un diadoque/concertation? Si non, quelles «autres bonnes solutions» y a t il pour réaliser les objectifs du projet relativement au développement des chaines de valeur? Les projets entreprennent à l instar du projet Oasis de Mauritanie une assistance dans la chaine de valeur aux producteurs, fut elle limitée souvent à un segment. Il est évident que les projets n ont pas de pouvoir sur les autres maillons qui ne sont pas de «leur ressort». Néanmoins, un cadre institutionnel (tenant compte des spécificités de chaque pays) peut être crée comme cela a été le cas des Rassemblement des Partenaires sur les iles du Cap Vert soutenus majoritairement par des organisations de la société civile. Le concept de chaine de valeur devrait être partagé par les différents bailleurs qui accompagnent le FIDA tel que l UE, la Banque Mondiale, l USAID afin que les rôles, tâches et moyens d interventions soient mieux repartis. Il est important de capitaliser l effet de synergie que crée la notion de chaine de valeur et de faire en sorte que l action des projets et programme aie l effet du phénomène de la marée montante qui a une action globale. Recommandation La chaine de valeur doit être bien partagée par toutes les parties prenantes dès l élaboration des stratégies nationales, la formulation des projets ou à défaut à la revue mi parcours aux fins de permettre aux acteurs de connaitre et de maitriser les facteurs en amont et en aval du segment sur lequel ils axeront leurs efforts. Q3 P6 : Envisagez vous de soutenir la création d un système d information sur le marché? Qu en est il de tous les aspects pertinents relatifs à la génération et à la diffusion de l information? Les Etats investissent plus que les projets dans ce genre de programme qui revêt en général une allure nationale. Des projets ont utilisé (cas du Ghana) des téléphones qu ils ont trouvé trop onéreux et ont abandonné l idée. 4

5 Dans le cas du Mali, beaucoup de projets appuient en moyen humains et matériels la collecte et la diffusion de l information sur les marchés en impliquant des enquêteurs, des téléphones satellites et des bulletins. Recommandation Il est envisageable que les projets intervenant dans les zones non ou peu couvertes par l Etat, assurent de façon efficace la collecte et la diffusion de l information sur les marchés en appui aux efforts des producteurs. 5

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