Atelier Régional sur l Exécution des Projets en Afrique de l Ouest et du Centre
|
|
- Aline Guérin
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Atelier Régional sur l Exécution des Projets en Afrique de l Ouest et du Centre Groupe IV : Bonne Gouvernance Modérateur : Mme Cécile KOUAKOU PPMS/Côte d Ivoire Rapporteur : Daouda MAIGA PIDRK/Mali METHODOLOGIE Le travail du groupe IV dit «Bonne Gouvernance» consiste à mettre en évidence le lien entre la bonne gouvernance et la thématique de l atelier qui est la chaine des valeurs. Le groupe a adopté comme méthodologie de travail que la parole soit donnée aux animateurs et qu ensuite les membres du groupe esquissent des réponses relatives aux quatre (4) questions de la page 4, chapitre 12 dans un premier temps, et aux trois (3) questions de la page 6, chapitre 21 du document intitulé «Questions de fonds relatives aux chaines de valeurs ; aux opportunités, et à la croissance : rôle des projets financés par le FIDA»de David Kingsburry. DEROULEMENT DES TRAVAUX Malgré la concision des questions, de nombreux commentaires ont été enregistrés soit pour confirmer l opportunité de la question, soit pour évoquer l expérience ou les pratiques des Pays et Projets /programmes, et aussi pour donner des avis personnels sur les différentes questions et solutions/réponses évoquées. Q1 P4 : Les prix des intrants et des extrants sont ils compétitifs, ou l un ou plusieurs acteurs exercent ils un pouvoir significatif sur le marché? Il a été question en investissant cette problématique de l altération (à la longue) de la chaine de valeur par l action des acheteurs/acquéreurs (cas du Ghana) ou importateurs qui imposent généralement les prix aux producteurs. Les prix ne sont pas compétitifs du fait même des coûts de transactions trop élevés, dus aux différentes barrières (douanes, police, gendarmerie) de bakchich, etc. rechercher des parades (au diktat des acheteurs), de nouveaux créneaux comme la transformation par exemple. Mettre en place des règles et un contrôle qualité Subventionner (Etat) les intrants et extrants agricoles Rendre disponibles à temps certains intrants 1
2 Q2 P4 : Quelles sont les conditions permettant aux acheteurs et aux vendeurs d avoir accès au crédit, et est ce que les anomalies entrainent davantage de pouvoir de négociations pour certains acteurs du marché relativement aux autres? En règle générale, les acheteurs qui sont des commerçants ont plus facilement accès au crédit que les producteurs, les taux d intérêt sont trop élevés (voire exorbitants) comparativement à d autres continents, surtout lorsque ce sont des denrées périssables (cas de l igname au Ghana) qui sont concernées avec tous les problèmes d enclavement et de conservation adéquats. Il est également admis que la quasi totalité des anomalies profitent aux commerçants augmentant l iniquité. Des expériences comme au Bénin de fonds dits indexés aux institutions de micro finance pour booster une spéculation donnée ou de mutuelles appelées banques de proximité au Congo sont des alternatives. Mise en place de projets régionaux pour booster certaines filières avec des plans d action rigoureux Appuyer à une meilleure structuration/organisation des producteurs (cas du Sénégal et du Mali) pouvant défendre leurs intérêts partant de leur dynamique interne Aider à l établissement de plate forme de dialogue ou des cadres de concertation inter acteurs (comme le propose la Sierra Leone) Q3 P4 : Comment est ce que les informations sur le marché (prix, évolution des conditions de marché, exigences de normes et qualité, etc.) sont elles véhiculées et qui en a accès? Les débats ont révélé que la plupart des Etats disposent d un système de collecte et de diffusion des informations mais ces systèmes ne couvrent pas toujours l ensemble du territoire national. Aussi, les interventions des projets viennent en appoint pour relayer ce système dans leur zone d intervention. C est le cas du Système Permanent de Collecte au Congo Brazzaville, le Système d Information sur les Produits Agricoles (RDC), l Office National pour la Sécurité Alimentaire au Bénin, l Observatoire de Marchés Agricoles au Mali. Les projets ont une bonne expérience des méthodes de collecte et de diffusion des informations sur les 2
3 marchés. C est le cas du PRAPE avec l installation de radios communautaires avec des postes de radios solaires ainsi que les radios de proximité du PADER au bénin à titre d exemples. Les projets et programmes mettent en place ou renforcent dans leur zone d intervention un système performant d information sur les marchés. Utilisation de créneaux adaptés (téléphone, télé, radio, bulletins etc.) pour véhiculer les informations Q4 P4 : Quels rôles les gouvernements locaux et nationaux jouent ils dans l influence sur les conditions du marché (les impôts officiels et non officiels, la régulation, les subventions directes et indirectes, les autres politiques, etc.) Globalement, les intervenants voient l Etat jouer son rôle régalien en promulguant une législation dont il se charge d une réelle application. Les gouvernements devraient créer des conditions incitatives et préférentielles en développant les infrastructures, les pôles de conservation/transformation, rechercher les financements additionnels nécessaires au renforcement filières agricoles, exonérer les intrants et matériels agricoles (RDC) etc. L Etat doit s atteler à élaborer de bonnes politiques agricoles Encourager l intégration sous régionale pour une meilleure circulation des produits Les gouvernements doivent éviter à tous prix d être des acteurs dans les segments des filières et se limiter à un rôle de réglementation et de contrôle Pour ce qui concerne les trois questions de la page 6 chapitre 21 Q1 P6 : Dans votre (vos) projet(s), procédez vous explicitement à un suivi de la gouvernance de chaine de valeur et la manière dont elle évolue? Quels sont les problèmes les plus importants que vous avez rencontrés? Seriez vous intéressé (e) à recevoir de l assistance technique/formation sur ce sujet? Il a été admis que l entrepreneuriat rural mérite de bénéficier d un plus grand encadrement à travers le renforcement des capacités des producteurs pour qu ils puissent eux même négocier les meilleurs prix pour leurs productions. 3
4 Les difficultés que crée l action des projets sur un seul segment d une filière ont été évoquées, mettant en exergue le manque de maîtrise de facteurs qui se situent en amont et en aval de la filière. Recommandation : Les projets ressentent le besoin de recevoir une l assistance technique ou une formation sur ce sujet. Q2 P6 : Existe il des domaines politiques nécessitant un diadoque/concertation? Si non, quelles «autres bonnes solutions» y a t il pour réaliser les objectifs du projet relativement au développement des chaines de valeur? Les projets entreprennent à l instar du projet Oasis de Mauritanie une assistance dans la chaine de valeur aux producteurs, fut elle limitée souvent à un segment. Il est évident que les projets n ont pas de pouvoir sur les autres maillons qui ne sont pas de «leur ressort». Néanmoins, un cadre institutionnel (tenant compte des spécificités de chaque pays) peut être crée comme cela a été le cas des Rassemblement des Partenaires sur les iles du Cap Vert soutenus majoritairement par des organisations de la société civile. Le concept de chaine de valeur devrait être partagé par les différents bailleurs qui accompagnent le FIDA tel que l UE, la Banque Mondiale, l USAID afin que les rôles, tâches et moyens d interventions soient mieux repartis. Il est important de capitaliser l effet de synergie que crée la notion de chaine de valeur et de faire en sorte que l action des projets et programme aie l effet du phénomène de la marée montante qui a une action globale. Recommandation La chaine de valeur doit être bien partagée par toutes les parties prenantes dès l élaboration des stratégies nationales, la formulation des projets ou à défaut à la revue mi parcours aux fins de permettre aux acteurs de connaitre et de maitriser les facteurs en amont et en aval du segment sur lequel ils axeront leurs efforts. Q3 P6 : Envisagez vous de soutenir la création d un système d information sur le marché? Qu en est il de tous les aspects pertinents relatifs à la génération et à la diffusion de l information? Les Etats investissent plus que les projets dans ce genre de programme qui revêt en général une allure nationale. Des projets ont utilisé (cas du Ghana) des téléphones qu ils ont trouvé trop onéreux et ont abandonné l idée. 4
5 Dans le cas du Mali, beaucoup de projets appuient en moyen humains et matériels la collecte et la diffusion de l information sur les marchés en impliquant des enquêteurs, des téléphones satellites et des bulletins. Recommandation Il est envisageable que les projets intervenant dans les zones non ou peu couvertes par l Etat, assurent de façon efficace la collecte et la diffusion de l information sur les marchés en appui aux efforts des producteurs. 5
Edy K. ANTHONY Secrétariat Exécutif, OCAL
PRESENTATION DU PROJET/PROGRAMME DE DEVELOPPEMENT PAR L'OCAL Edy K. ANTHONY Secrétariat Exécutif, OCAL Tunis, 22 24 Avril 2014 SOMMAIRE Introduction ti OCAL Expériences Description du projet Cadre de mise
Plus en détailConférence régionale du Forum d Action pour la gouvernance Locale en Afrique Francophone
Conférence régionale du Forum d Action pour la gouvernance Locale en Afrique Francophone Hôtel Teranga, Saly, Sénégal, du 18-19 Octobre 2011 Note de cadrage Contexte et justification L importance que revêt
Plus en détailDocteur Bendeddouche Badis Ministère de l Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique Directeur EP SNV
Docteur Bendeddouche Badis Ministère de l Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique Directeur EP SNV 1 CONTEXTE EN ALGERIE Recrudescence des TIA HACCP obligatoire depuis 2010 Mise à niveau
Plus en détailCadre logique du Programme National de Promotion des Mutuelles de Santé 2009-2010
1 Cadre logique du Programme National de Promotion des Mutuelles de Santé 2009-2010 Objectif global : Le Programme National de Promotion des Mutuelles de Santé contribue effectivement à la mise en place
Plus en détailla solution AAFEX aux problèmes de financement des entreprises exportatrices du secteur agricole et agroalimentaire
la solution AAFEX aux problèmes de financement des entreprises exportatrices du secteur agricole et agroalimentaire HISTORIQUE Le Centre pour le Développement des Exportations Africaines CEDEXA S.A. CEDEXA
Plus en détailConnaissances et compétences requises : coordonnées géographiques, réflexion critique, recherche de documentation, rédaction, support cartographique.
Activité : «Mais où est donc..?» Afrique Géographie : problématique de la faim. Age : 10-13 ans Outil pédagogique développé par l équipe jeunesse du PAM. Résumé Connaissances et compétences requises :
Plus en détailL Assurance agricole au Sénégal
COLLOQUE FARM - Pluriagri : Assurer la production agricole Comment faire des systèmes assurantiels des outils de développement? 1 Paris, le 18 décembre 2012 Thème L Assurance agricole au Sénégal Un système
Plus en détailREGLEMENT ET CRITERES DU CONCOURS DE PROJETS 4.2 PROGRAMME DE PETITES INITIATIVES (PPI)
REGLEMENT ET CRITERES DU CONCOURS DE PROJETS 4.2 PROGRAMME DE PETITES INITIATIVES (PPI) 1. PRESENTATION DU PROGRAMME Le Fonds Français pour l Environnement Mondial (FFEM) lance une quatrième phase du Programme
Plus en détailFormation des Partenaires en Fundraising/Récolte de fonds. Termes de référence
Formation des Partenaires en Fundraising/Récolte de fonds Termes de référence 1 1. Contexte et justification La formation en recherche de financement s inscrit dans le cadre du programme «Promouvoir l
Plus en détailRapport final IGF-AC, edition 2013, Kinshasa
Rapport final IGF-AC, edition 2013, Kinshasa L an 2013, le 28 et 29 août, s est tenue dans la salle du Campus Numérique Francophone de Kinshasa, le Forum sur la Gouvernance de l Internet en Afrique Centrale,
Plus en détailTERMES DE REFERENCE POUR LE RENFORCEMENT DU DEPARTEMENT CHARGE DES AFFAIRES JURIDIQUES
TERMES DE REFERENCE POUR LE RENFORCEMENT DU DEPARTEMENT CHARGE DES AFFAIRES JURIDIQUES Avril 2014 TDR pour le renforcement du Service Juridique de la BIDC Page - 1 - I. CONTEXTE ET JUSTIFICATION La BIDC,
Plus en détailL électricité pour plus de 70 000 villageois au Sénégal : Le projet Electrification Rurale SENEGAL (ERSEN)
L électricité pour plus de 70 000 villageois au Sénégal : Le projet Electrification Rurale SENEGAL (ERSEN) En 2008, plus de 80% des ménages ruraux sénégalais n ont pas accès à l électricité. Dans certaines
Plus en détailPROJET DOUGORE 2011 SUR LA DECENTRALISATION AU TOGO
PROJET DOUGORE 2011 SUR LA DECENTRALISATION AU TOGO ELABORATION D UN PLAN DE DEVELOPPEMENT COMMUNAL Par : LEGONOU François, Directeur SYDEL AFRIQUE, Consultant En guise d introduction La décentralisation
Plus en détailAPPEL A COMMUNICATIONS
APPEL A COMMUNICATIONS Colloque régional UEMOA-CRDI sur Intégration régionale et stratégies régionales de réduction de la pauvreté 8-10 décembre 2009, Ouagadougou, Burkina Faso Délai de soumission de résumé
Plus en détailNOVEMBRE 2013. Dossier de presse. Société Générale, 1 er réseau de banque universelle. en Afrique au service des Entreprises
NOVEMBRE 2013 Dossier de presse Société Générale, COMMUNIQUÉ DE PRESSE Casablanca, le 21 novembre 2013 Présent dans 16 pays africains, le groupe Société Générale présente un positionnement unique, qui
Plus en détailR y o aume aume du du Maroc Mar Mai 2009
Royaume du Maroc PLAN MAROC VERT Mai 2009 ENJEUX Enjeux économiques Contribue pour 19 % du PIB national 15% production 4% Agro industrie Rôle capital dans la stabilité macro économique Enjeux sociaux Emploie
Plus en détailIDEAL Connaissances. Au service de la performance publique
IDEAL Connaissances Au service de la performance publique Présentation des premières conclusions de l enquête sur la gestion technique des aires d accueil Présentation du Réseau Gens du Voyage La gestion
Plus en détailCouverture du risque maladie dans les pays en développement: qui doit payer? (Paris, 7 mai 2008)
Couverture du risque maladie dans les pays en développement: qui doit payer? (Paris, 7 mai 2008) Excellences, Chers collègues, Mesdames et Messieurs, Chers amis, Quelles méthodes, quels instruments pour
Plus en détailLa culture du résultat au sein des systèmes statistiques nationaux des Etats membres d AFRISTAT
La culture du résultat au sein des systèmes statistiques nationaux des Etats membres d AFRISTAT SOMMAIRE Introduction... 2 I. Aperçu sur le fondement de la gestion axée sur les résultats... 3 1.1. De nouveaux
Plus en détailLE RENFORCEMENT DES CAPACITÉS DES ACTEURS DES FILIÈRES AGRICOLES: L EXPERIENCE DU PROJET MISTOWA. Plan
LE RENFORCEMENT DES CAPACITÉS DES ACTEURS DES FILIÈRES AGRICOLES: L EXPERIENCE DU PROJET MISTOWA Plan Le Projet MISTOWA Activités et Outils Quelques résultats Leçons et recommandations MISTOWA En Bref
Plus en détailMicro-irrigation à Madagascar
P R AVSF - J. Mas A X IS LES EXPÉRIENCES I N N O VA N T E S D AV S F PAYS Madagascar TITRE DU PROJET SCAMPIS Développement des Systèmes de Micro-irrigation BÉNÉFICIAIRES DIRECTS Plus de 10 000 familles
Plus en détailExpert International en Gestion des ressources en eau Coresponsable - Maroc
Agence belge de développement, la CTB mobilise ses ressources et son expertise pour éliminer la pauvreté dans le monde. Contribuant aux efforts de la Communauté internationale, la CTB agit pour une société
Plus en détailQu est-ce que l adaptation au changement climatique?
Note de position de CARE sur le changement climatique Qu est-ce que l adaptation au changement climatique? Le changement climatique représente une menace sans précédent pour les populations des pays en
Plus en détailCOMPTES-RENDUS DES ATELIERS THÉMATIQUES AGENDA 21 COMMUNAUTÉ DE COMMUNES PAYS AUBENAS VALS JUIN 2010 - PHASE DE DIAGNOSTIC
COMPTES-RENDUS DES ATELIERS THÉMATIQUES JUIN 2010 - PHASE DE DIAGNOSTIC AGENDA 21 COMMUNAUTÉ DE COMMUNES PAYS AUBENAS VALS ATELIER N 1 «STRATÉGIE TERRITORIALE ET AMÉNAGEMENT» Animateur des ateliers thématiques
Plus en détailFAITS SAILLANTS : 1. CONDITIONS CLIMATIQUES ET ENVIRONNEMENTALES EN AFRIQUE
African Centre of Meteorological Application for Development Centre Africain pour les Applications de la Météorologie au Développement N 5, Mai 2015 FAITS SAILLANTS : Les zones favorables à une vigilance
Plus en détailFocus sur le Programme «Bourses» de la CTB
La seconde édition de la formation groupée sur le financement de la santé et de la protection sociale a démarré sur les chapeaux de roues ce mercredi 02 mai 2012 au Centre de Formation RESOPP à Thiès.
Plus en détailde plus de moitié, particulièrement dans les pays où la mortalité infantile est élevée 39.
postes de haut-fonctionnaires sont détenus par des femmes 38. Mais dans l ensemble, les avancées enregistrées par les pays africains dans leur progression vers la réalisation d une meilleure parité entre
Plus en détailMinistère des Mines, de l Industrie et des PME PROGRAMME NATIONAL «PLATE-FORME MULTIFONCTIONNELLE POUR LA LUTTE CONTRE LA PAUVRETE (PN-PTFM)
Ministère des Mines, de l Industrie et des PME PROGRAMME NATIONAL «PLATE-FORME MULTIFONCTIONNELLE POUR LA LUTTE CONTRE LA PAUVRETE (PN-PTFM) FICHE SYNOPTIQUE DE PRESENTATION DU PN-PTFM I. INFORMATIONS
Plus en détailL Initiative pour la Réduction de la Pauvreté et la Gestion de l Environnement (PREMI)
L Initiative pour la Réduction de la Pauvreté et la Gestion de l Environnement (PREMI) Un partenariat en appui aux politiques environnementales en Afrique de l Ouest PROGRAMME AFRIQUE CENTRALE ET OCCIDENTALE
Plus en détailTERANGA CAPITAL. Véhicule d investissement dédié aux TPE-PME du Sénégal. Présentation à l Atelier FIDA. 5 Décembre 2014.
TERANGA CAPITAL Véhicule d investissement dédié aux TPE-PME du Sénégal Présentation à l Atelier FIDA 5 Décembre 2014 Olivier Furdelle VISION, MISSION ET OBJECTIFS La vision de TERANGA CAPITAL est de soutenir
Plus en détailLa FAFEC «Gnèna-Yèter», la «Banque» des Femmes rurales du Nord de la Côte d Ivoire
La FAFEC «Gnèna-Yèter», la «Banque» des Femmes rurales du Nord de la Côte d Ivoire BIM n 136 - Mercredi 24 Octobre 2001 Bénédicte Laurent, FIDES Un BIM du mercredi qui nous vient de loin : nous avons demandé
Plus en détailRapport sur la Performance du Portefeuille
12 15 novembre 2012 Banjul, The Gambia 7ème Forum Régional des Projets financés par le FIDA Afrique de l Ouest et du Centre Rapport sur la Performance du Portefeuille Objectif à moyen terme du FIDA établi
Plus en détailSOMMAIRE PARTIE 1 : POURQUOI «DONNER DU CREDIT AUX FEMMES RURALES»?... 3 PARTIE 2 : EPARGNE/CREDIT DU SYSTEME FINANCIER INFORMEL...
Fédération Internationale des Producteurs Agricoles 1 «DONNER DU CREDIT AUX FEMMES RURALES» Ce document fut élaboré dans l objectif d apporter une information la plus complète possible sur le thème du
Plus en détailVERS UNE COMMUNAUTÉ EURO- MÉDITERRANÉENNE DE L ÉNERGIE : Passer de l'import-export à un nouveau modèle énergétique régional
VERS UNE COMMUNAUTÉ EURO- MÉDITERRANÉENNE DE L ÉNERGIE : Passer de l'import-export à un nouveau modèle énergétique régional Avril 2013 En 2011, pour la première fois, la Commission européenne parle d une
Plus en détailBANK AL-ÂMAL INSTITUTION DEDIEE AU FINANCEMENT DES INVESTISSEMENTS DES MRE
BANK AL-ÂMAL INSTITUTION DEDIEE AU FINANCEMENT DES INVESTISSEMENTS DES MRE Financement des projets de création d entreprises innovantes au Maroc par les expatriés marocains.-paris-23 mai 2006 Sommaire
Plus en détailAppel à projets. Portage et animation des «Forums Citoyens» Contrat de Ville de Narbonne
Appel à projets Portage et animation des «Forums Citoyens» Contrat de Ville de Narbonne Date limite : mercredi 25 février 2015 à 12h 1. Contexte La loi de programmation pour la ville et la cohésion urbaine
Plus en détailTarification. Mise à jour du 1 er juillet 2010
BRVM - DC / BR Bourse Régionale des Valeurs Mobilières Afrique de l Ouest Dépositaire Central Banque de Règlement Afrique de l Ouest Mise à jour du 1 er juillet 2010 Objet de la mise à jour La mise à jour
Plus en détailChoc de simplification
Choc de simplification Le choc de simplification souhaité par le Président de la République rejoint les besoins identifiés par le Syndicat des énergies renouvelables qui a défini six grands axes de modernisation
Plus en détailRéseau Forêts et Commerce d Afrique Centrale (CAFTN) pour la Foresterie Responsable
Réseau Forêts et Commerce d Afrique Centrale (CAFTN) pour la Foresterie Responsable En quoi consiste le CAFTN? Cadre de partenariat avec les entreprises forestières dans le but de promouvoir la foresterie
Plus en détailRÉSUMÉ. Particulièrement adaptée à des institutions opérant en front office. Logiciel utilisé essentiellement en Afrique de l Ouest.
NOM DU PRODUIT PERFECT v6.1 NOM DU FOURNISSEUR CAGECFI Évaluation 2009* Novembre 2009 Évaluations précédentes Sans objet RÉSUMÉ Impression générale Solution intégrant une couverture fonctionnelle complète
Plus en détailD A N S L E S PAY S F R A N C O P H O N E S
REGARD SUR L EPIDEMIE DU VIH D A N S L E S PAY S F R A N C O P H O N E S Photo: ONUSIDA Levier de la riposte au sida, l ONUSIDA s emploie à bâtir l action politique et à promouvoir les droits de tous les
Plus en détailCONGRES INTERNATIONAL SUR L ASSURANCE ET LA RÉASSURANCE DES RISQUES AGRICOLES. Partenariat Public Privé dans l Assurance Agricole
CONGRES INTERNATIONAL SUR L ASSURANCE ET LA RÉASSURANCE DES RISQUES AGRICOLES 1 Marrakech -29, 30 et 31janvier 2014 Session 2 Partenariat Public Privé dans l Assurance Agricole L expérience de la Compagnie
Plus en détailCentre d etudes. strategiques de l Afrique. E t a b l i r d e s p a r t e n a r i a t s p o u r l a v e n i r d e l A f r i q u e
Centre d etudes strategiques de l Afrique E t a b l i r d e s p a r t e n a r i a t s p o u r l a v e n i r d e l A f r i q u e Séminaire pour hauts responsables - Lisbonne, Portugal Le premier événement
Plus en détail2. Bailleurs de fonds internationaux majeurs, coordination et possibilité de division du travail, exercices d évaluation conjointe (harmonization)
DIREZIONE GENERALE PER LA COOPERAZIONE ALLO SVILUPPO Ufficio IV Cadre Pays Stream 2013-2015 BURKINA FASO 1. Contexte et finalités de la présence de la coopération italienne Le Burkina Faso est l'un des
Plus en détailLe Grand Débat sur l avenir de l agriculture et de la pêche françaises. Synthèse des travaux du groupe «Compétitivité et revenus»
Le Grand Débat sur l avenir de l agriculture et de la pêche françaises Synthèse des travaux du groupe «Compétitivité et revenus» La compétitivité des exploitations agricoles et des filières agricoles et
Plus en détailMEMBER OF GOPA CONSULTING GROUP
MEMBER OF GOPA CONSULTING GROUP 2 Un bureau d ingénieursconseils privé indépendant Leader allemand du conseil en développement GOPA est un bureau d ingénieursconseils privé indépendant. En tant que prestataire
Plus en détailGUILLAUME GILKES PRINCIPALES QUALIFICATIONS
GUILLAUME GILKES ESSEC MBA, Actuaire 10 ans d expérience dans le conseil, la formation et la gestion de projet à l international : Actuariat : protection sociale, assurance, finance Stratégie : étude de
Plus en détailINTÉGRATION DES SERVICES FINANCIERS DANS LES STRATÉGIES DE LUTTE CONTRE LA PAUVRETÉ Un aperçu Général --------
INTÉGRATION DES SERVICES FINANCIERS DANS LES STRATÉGIES DE LUTTE CONTRE LA PAUVRETÉ Un aperçu Général -------- Colloque UEMOA-CRDI, du 08-10 Décembre 2009, Ouagadougou Samuel T. KABORE; Dieudonné OUEDRAOGO,
Plus en détailPrésenté par Jean Claude Ngbwa, Secrétaire Général de la CIMA. DAKAR, les 3-4 et 5 novembre 2009
PERSPECTIVES DES MARCHES D ASSURANCES AFRICAINS Présenté par Jean Claude Ngbwa, Secrétaire Général de la CIMA DAKAR, les 3-4 et 5 novembre 2009 2 INTRODUCTION Le thème qui nous a été confié porte sur les
Plus en détailPrésentation des 6 projets financés sur le FED via le PESCC
Présentation des 6 projets financés sur le FED via le PESCC 6projets financés couvrant 7 régions pour un montant total 106 594 738 MRO dont 95 588 077MRO sur contribution FED. Un projet mis en œuvre par
Plus en détailIncitants fiscaux à l épargne et piste d amélioration
Incitants fiscaux à l épargne et piste d amélioration Arnaud Marchand et Olivier Jérusalmy Réseau Financité L attirance des Belges pour le compte d épargne est loin d être fortuite. Deux facteurs principaux
Plus en détailRÉUNION DES MINISTRES DE L'ALIMENTATION, DE L'AGRICULTURE ET DE LA PÊCHE DES PAYS MEMBRES DU CIHEAM 9ÈME DECLARATION FINALE
9ÈME RÉUNION DES MINISTRES DE L'ALIMENTATION, DE L'AGRICULTURE ET DE LA PÊCHE DES PAYS MEMBRES DU CIHEAM La Valette 27 septembre 2012 DECLARATION FINALE page 1 A l invitation de S.E. George Pullicino,
Plus en détailFONDS UNIQUE INTERMINISTERIEL DE SOUTIEN AUX PROJETS DE RECHERCHE ET DEVELOPPEMENT COLLABORATIFS DES POLES DE COMPETITIVITE
FONDS UNIQUE INTERMINISTERIEL DE SOUTIEN AUX PROJETS DE RECHERCHE ET DEVELOPPEMENT COLLABORATIFS DES POLES DE COMPETITIVITE 13 e APPEL A PROJETS Les moyens destinés au soutien financier de l Etat en faveur
Plus en détailPLACE DE L ASSURANCE PRIVEE DANS LA MISE EN ŒUVRE D UNE ASSURANCE MALADIE DITE UNIVERSELLE
PLACE DE L ASSURANCE PRIVEE DANS LA MISE EN ŒUVRE D UNE ASSURANCE MALADIE DITE UNIVERSELLE 37 ème Assemblée Générale de la FANAF YAOUDE (CAMEROUN) 23-28 Février 1 ASSURANCE MALADIE 2 - Un des principaux
Plus en détail8 e rencontre du comité Ad Hoc Genre de la COMIFAC
8 e rencontre du comité Ad Hoc Genre de la COMIFAC Compte rendu Par Julie GAGOE Date : Jeudi 05-04-12 Lieu : Bureau du SE COMIFAC Agenda 1. Evaluation de la feuille de route 2011 2. Défis et priorités
Plus en détailLes objectifs de l Autorité de Contrôle prudentiel
Les objectifs de l Autorité de Contrôle prudentiel Le 8 mars 2010, la Ministre de l Economie de l Industrie et de l Emploi Christine Lagarde a installé la nouvelle Autorité de Contrôle Prudentiel (ACP).
Plus en détailParticipation des habitants et contrats de ville Quels enjeux? Quelle mise en oeuvre?
Participation des habitants et contrats de ville Quels enjeux? Quelle mise en oeuvre? Note réalisée par l Observatoire Régional de l Intégration et de la Ville (ORIV) septembre 2014 Eléments de contexte
Plus en détailPLEIN PHARE SUR LA CLAUSE SOCIALE
PLEIN PHARE SUR LA CLAUSE SOCIALE Un certain regard sur les résultats 2011 Ce guide est cofinancé par l Union Européenne Ce guide est cofinancé par l Union Européenne PLEIN PHARE SUR LA CLAUSE SOCIALE
Plus en détailAcronymes. Introduction
Société civile et observation indépendante de la mise en application de la loi forestière et de la gouvernance (OI-FLEG) en République du Congo : progrès, leçons tirées et ouverture sur l avenir Juin 2009
Plus en détailREFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL
1 REFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION L assistant de service social exerce de façon qualifiée, dans le cadre d un mandat
Plus en détailBRIEFING NOTE 1 ETATS DES LIEUX DE LA MICRO-ASSURANCE EN AFRIQUE. 1. Dénombrer les bénéficiaires de la micro-assurance sur le continent africain
BRIEFING NOTE 1 Microinsurance Innovation Facility ETATS DES LIEUX DE LA MICRO-ASSURANCE EN AFRIQUE 1. Dénombrer les bénéficiaires de la micro-assurance sur le continent africain En Afrique, la micro-assurance
Plus en détailContribution à l introduction :
Atelier «Bridge Initiative international» L espace des politiques agricoles entre les logiques de la mondialisation et les objectifs de développement Dakar, les 9 et 10 Juin 2005 Contribution à l introduction
Plus en détailRENFORCEMENT DES CAPACITES DES INSPECTEURS DE TRAVAIL DANS LA PROTECTION DES TRAVAILLEURS MIGRANTS EN MAURITANIE, MALI ET SÉNÉGAL
RENFORCEMENT DES CAPACITES DES INSPECTEURS DE TRAVAIL DANS LA PROTECTION DES TRAVAILLEURS MIGRANTS EN MAURITANIE, MALI ET SÉNÉGAL Project type: Secondary project type: Geographical coverage: Executing
Plus en détailCOOPERATION DECENTRALISEE. CESR 5 octobre 2007
COOPERATION DECENTRALISEE CESR 5 octobre 2007 La coopération internationale et décentralisée S insère dans le cadre plus large de l action extérieure des collectivités Regroupe les actions de coopération
Plus en détailTERMES DE REFERENCE SELECTION D UNE SOCIETE DE MAINTENANCE ELECTRIQUE & PRESTATAIRE DE MOYENS TECHNIQUES
TERMES DE REFERENCE SELECTION D UNE SOCIETE DE MAINTENANCE ELECTRIQUE & PRESTATAIRE DE MOYENS TECHNIQUES Avril 2015 «GIM-UEMOA» GIE au capital de 9 528 790 000 F CFA RCCM : SN-DKR-2004-B-8649 NINEA : 24209832
Plus en détailSYNTHESE DE PRESENTATION DU PPILDA
SYNTHESE DE PRESENTATION DU PPILDA INTITULE DU PROJET : PROJET DE PROMOTION DE L INITIATIVE LOCALE POUR LE DEVELOPPEMENT D AGUIE 1 Intitulé du Projet : Projet de Promotion de l Initiative Locale pour le
Plus en détailDOSSIER DE PRESSE, UNE OFFRE EXCLUSIVE DÉDIÉE AUX JEUNES RÉALISÉE PAR SOCIÉTÉ GÉNÉRALE EN PARTENARIAT AVEC HIT RADIO
DOSSIER DE PRESSE, UNE OFFRE EXCLUSIVE DÉDIÉE AUX JEUNES RÉALISÉE PAR SOCIÉTÉ GÉNÉRALE EN PARTENARIAT AVEC HIT RADIO COMMUNIQUE DE PRESSE Casablanca, le 4 juin 2014 SO HIT, UNE OFFRE EXCLUSIVE DÉDIÉE AUX
Plus en détailÉLECTION PRÉSIDENTIELLE 25 AVRIL 2015. Pour l unité, pour le progrès, pour le Togo, je vote
ÉLECTION PRÉSIDENTIELLE 25 AVRIL 2015 Pour l unité, pour le progrès, pour le Togo, je vote Chers Citoyens, Chers Compatriotes, Ce 25 avril 2015, notre pays sera appelé à élire la personnalité la plus apte
Plus en détailREGIME D APPUI POUR L INNOVATION DUALE RAPID CAHIER DES CHARGES
REGIME D APPUI POUR L INNOVATION DUALE RAPID CAHIER DES CHARGES Afin d augmenter l appui à l innovation duale permettant aux PME et aux entreprises intermédiaires de moins de 2000 salariés de développer
Plus en détailAudistya et Optistya. Qualité, proximité et juste prix. DOSSIER DE PRESSE 10 janvier 2013. Sommaire
Audistya et Optistya Qualité, proximité et juste prix Depuis le 1 er janvier 2013, les adhérents de plusieurs mutuelles du groupe Istya ont la possibilité de bénéficier des avantages proposés par le nouveau
Plus en détailC est quoi le District Health Information Software 2?
Introduction Actions entreprises C est quoi le Health Information Software 2? Avantages Inconvénients Conclusion Le système d information sanitaire est l un des piliers du Système de Santé Il contribue
Plus en détailPrésenté par OUEDRAOGO Adolphe Chef de Brigade de la CIMA. DAKAR, les 3-4 et 5 novembre 2009
EXPERIENCE SENEGALAISE DE LA MICROASSURANCE: DEFIS ET OPPORTUNITES Présenté par OUEDRAOGO Adolphe Chef de Brigade de la CIMA DAKAR, les 3-4 et 5 novembre 2009 2 INTRODUCTION Le thème sera abordé en cinq
Plus en détailCompte-rendu de la rencontre politique tenue à la Maison du commerce de la Chambre de commerce du Saguenay, lundi le 1er décembre 2008.
Compterendu de la rencontre politique tenue à la Maison du commerce de la Chambre de commerce du Saguenay, lundi le 1er décembre 2008. Animateurs de la rencontre : Madame Nadine Daoud, présidente de la
Plus en détailCOOPERATION BELGIQUE - BURUNDI Programme 2012 de bourses d études et de stage hors-projet
COOPERATION BELGIQUE - BURUNDI Programme 2012 de bourses d études et de stage hors-projet Les bourses d études ou de stages sont financées par la coopération belge dans le cadre d un accord de coopération
Plus en détailInter-réseaux - Bulletin de veille n 166 10 septe mbre 2010
Inter-réseaux - Bulletin de veille n 166 10 septe mbre 2010 Veuillez trouver ci-dessous un nouveau bulletin de veille sur le développement rural. Ce mois-ci, des références autour du foncier, des politiques
Plus en détailS informer sur. Capital investissement:
S informer sur Capital investissement: les fonds communs de placement à risques destinés au grand public Qu est-ce que le capital investissement? Quels sont les segments d intervention du capital investissement?
Plus en détailSécurisation de l hébergement et de la maintenance du plateau collaboratif d échange (PCE) du plan Loire III
Sécurisation de l hébergement et de la maintenance du plateau collaboratif d échange (PCE) du plan Loire III Depuis 2008, l Etablissement assure la mise en place du plateau collaboratif d échange Intranet/Internet
Plus en détailPlan Local de Développement de l Économie Sociale et Solidaire 2011-2015
Plan Local de Développement de l Économie Sociale et Solidaire 2011-2015 MAI 2011 1 Sommaire 1. Eléments de contexte... 3 1.1 L économie sociale et solidaire à Lille, Lomme et Hellemmes en quelques chiffres..4
Plus en détailBulletin Officiel de la Concurrence de la Consommation et de la Répression des Fraudes
Bulletin Officiel de la Concurrence de la Consommation et de la Répression des Fraudes N 4 du 14 mars 2006 Décision n 05-D-31 du conseil de la concurrence du 22 juin 2005 relative à des pratiques mises
Plus en détailTout savoir sur votre suivi médical au travail
vous informer Tout savoir sur votre suivi médical au travail Salariés agricoles www.msa.fr Bénéficiez d un suivi médical adapté Tout au long de votre vie professionnelle, la MSA prend soin de votre santé
Plus en détailNote Simplifiée. UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE ---------------- La Commission ------------
UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE ---------------- La Commission ------------ PROJET D APPUI A L EXTENSION DE LA COUVERTURE DU RISQUE MALADIE DANS LES PAYS MEMBRES DE L UEMOA Note Simplifiée
Plus en détailCARTOGRAPHIE ET ANALYSE DES ETUDES D IMPACT DU COMMERCE EQUITABLE
CARTOGRAPHIE ET ANALYSE DES ETUDES D IMPACT DU COMMERCE EQUITABLE SYNTHESE Une étude à l initiative de la Plate-forme pour le Commerce Equitable Réalisée par Isabelle Vagneron et Solveig Roquigny CIRAD
Plus en détailRÉSULTATS DE LA 1ÈRE SÉRIE D ENQUÊTES AFROBAROMÈTRE AU TOGO 3e Dissemination 26 Juin 2013
RÉSULTATS DE LA 1ÈRE SÉRIE D ENQUÊTES AFROBAROMÈTRE AU TOGO 3e Dissemination 26 Juin 2013 [Include National Partner logo] www.afrobarometer.org www.crop-africa.org 1 [Include National Partner logo] Afrobaromètre:
Plus en détailL UDOPER: une OP construite sur la base des marchés à bétail autogérés
L UDOPER: une OP construite sur la base des marchés à bétail autogérés A- Présentation de l UDOPER et de ses relations avec les marchés à bétail a. Les marchés à bétail et la naissance de l UDOPER Sur
Plus en détailDU CONSEIL DE MEDIATION ET DE SECURITE DE LA CEDEAO
COMMUNIQUE DE PRESSE PRESS RELEASE "Ebola constitue une menace pour toutes les entreprises: il nous faut donc soutenir la lutte contre le virus Ebola" N 241/2014 Abuja, le 12 Decembre 2014 OUVERTURE A
Plus en détailLe système de protection sociale en santé en RDC
REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO MINISTERE DE L EMPLOI, DU TRAVAIL ET DE LA PREVOYANCE SOCIALE Le système de protection sociale en santé en RDC 13/09/2013 1 I. Contexte national Plan II. Mesures de protection
Plus en détailMot d ouverture de Mamadou Lamine N DONGO Lead Results Adviser Banque Africaine de Développement Coordonnateur de AfCoP
Mot d ouverture de Mamadou Lamine N DONGO Lead Results Adviser Banque Africaine de Développement Coordonnateur de AfCoP 17 Septembre 2013, 9h00 Tunis, Tunisie Monsieur le Directeur du Département Assurance
Plus en détailORGANISATION DES NATIONS UNIES POUR L ÉDUCATION, LA SCIENCE ET LA CULTURE
Distribution limitée IFAP-2008/COUNCIL.V/3 4 février 2008 Original anglais ORGANISATION DES NATIONS UNIES POUR L ÉDUCATION, LA SCIENCE ET LA CULTURE Conseil intergouvernemental du Programme Information
Plus en détaildiffusion externe les services d'orange pour l agriculture en Afrique
les services d'orange pour l agriculture en Afrique ce catalogue a pour objectif d éclairer sur les méthodes développées par Orange pour améliorer la productivité dans le monde rural 2 sommaire 1 2 3 l'apport
Plus en détailRéunion d experts Financement du développement en Afrique du Nord Rabat, Maroc, 19-21 octobre 2010
CEA-AN/AH/FD/10/3 Nations Unies Commission économique pour l Afrique Bureau pour l Afrique du Nord Réunion d experts Financement du développement en Afrique du Nord Rabat, Maroc, 19-21 octobre 2010 LE
Plus en détailTitre : La Mutuelle Communautaire de Santé de Yaoundé : Un mécanisme solidaire de financement collectif d accès aux soins de santé de qualité.
Titre : La Mutuelle Communautaire de Santé de Yaoundé : Un mécanisme solidaire de financement collectif d accès aux soins de santé de qualité. Sous titre: Projet d appui aux mutuelles de santé et incidence
Plus en détailSéminaire régional FBP-Bujumbura- Burundi-février 2011-RM.
Une mutuelle nationale de santé peut-elle devenir une stratégie globale de financement du système de santé, intégrant d autres stratégies comme le FBP??? Séminaire régional FBP-Bujumbura- Burundi-février
Plus en détailCas de la Plateforme du Niger
Plateformes Nationales de Dialogue entre Acteurs pour l Adaptation de l Agriculture au Changement Climatique Cas de la Plateforme du Niger M me HIMA Fatimatou, Plateforme Paysanne/Niger avril 2013 UNE
Plus en détail7 ème Edition des Assises de la Coopération Belge au Développement
7 ème Edition des Assises de la Coopération Belge au Développement Session 3 Thème : Mettre le contexte au centre de l action : opérationaliser une approche sensible à la fragilité Sous-thème : «Prise
Plus en détailPROJET DE BONNE GOUVERNANCE DANS LE SECTEUR MINIER COMME FACTEUR DE CROISSANCE (PROMINES) UNITE D EXECUTION DU PROJET
PROJET DE BONNE GOUVERNANCE DANS LE SECTEUR MINIER COMME FACTEUR DE CROISSANCE (PROMINES) UNITE D EXECUTION DU PROJET ID Projet : P106982 IDA H589 ZR TF010744 Pour le recrutement d un Consultant International
Plus en détailFORUM KREYOL FASHION DAYS 2015
FORUM KREYOL FASHION DAYS 2015 PROGRAMME MARDI 2 JUIN INAUGURATION OFFICIELLE Pavillon de la Ville de Pointe-à-Pitre Vernissage de l exposition internationale de photographies KFD 2015 MERCREDI 3 JUIN
Plus en détailRégime cadre exempté de notification N SA.40391 relatif aux aides à la recherche, au développement et à l innovation (RDI) pour la période 2014-2020
Régime cadre exempté de notification N SA.40391 relatif aux aides à la recherche, au développement et à l innovation (RDI) pour la période 2014-2020 Les autorités françaises ont informé la Commission européenne
Plus en détailLE TELEGRAMME DU CEPLIS
LE TELEGRAMME DU CEPLIS Conseil Européen des Professions Libérales European Council of the Liberal Professions Europäischer Rat der Freien Berufe Le Conseil Européen des Professions Libérales Coudenberg
Plus en détail