1 sur 5 14/07/ :56
|
|
- Madeleine René
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 1 sur 5 14/07/ :56 Vaccination : pourquoi l'aluminium fait polémique? Les interrogations concernant la vaccination se multiplient. Elles portent sur son principe général, des vaccins particuliers (BCG, hépatite B, papillomavirus...) ou certains de leurs constituants. Parmi ces derniers, l'aluminium est l'un des plus décriés. Utilisé comme adjuvant dans les vaccins depuis près de 90 ans aux Etats-Unis, l'aluminium n'a jamais apporté la preuve de son innocuité. Il apparaît même aujourd'hui bien moins inoffensif qu'il y a 10 ou 20 ans. Le point sur les données qui interrogent et les réponses apportées. L'aluminium n'est pas sans risque Hors vaccination, la toxicité de l'aluminium, en particulier pour le système nerveux, est prouvée depuis les années 70, suite à des intoxications aiguës ou des consommations chroniques importantes. Ses effets sur la santé humaine sont détaillés dans une expertise collective menée par l'invs, l'afssa, et l'afssaps publiée en En 2006, les doses hebdomadaires admissibles d'aluminium dans l'alimentation ont été revues à la baisse 2 et fin 2011, l'afssaps a publié des recommandations 3 concernant sa concentration dans les cosmétiques, notamment les déodorants, accusés de favoriser le développement de cancers du sein 4. Que faut-il penser, dès lors, de son utilisation dans les vaccins? Les adjuvants aluminiques peu étudiés Les vaccins s'administrent préventivement, à une part extrêmement large de la population, parfois dès la naissance et de façon obligatoire. Des dérivés d'aluminium sont utilisés comme adjuvants vaccinaux depuis 1926 aux États-Unis et 1990 en France. Le rôle des adjuvants est d'améliorer l'efficacité de la vaccination. Dans certains cas, ils sont même indispensables 5. Les doses d'aluminium apportées via les vaccins demeurent faibles 6. Toutefois, l'aluminium est alors directement introduit dans l'organisme, sans l'effet barrière des voies digestive et cutanée. Peu d'études se sont intéressées au devenir de l'aluminium vaccinal dans l'organisme, à son mode d'action comme adjuvant et à son élimination. La plupart ont moins de dix ans. Au début des années 2000, la communauté scientifique était par exemple persuadée que l'aluminium demeurait au niveau du site d'injection pour relarguer peu à peu l'antigène avant d'être éliminé dans les urines. Depuis, elle a découvert qu'il pouvait, chez l'animal, gagner le cerveau et s'y accumuler, particulièrement en cas d'injection intramusculaire 7. Cela n'a pas encore été confirmé chez l'homme (détection d'aluminum intra-cérébral après une vaccination, modifications constatées lors d'une IRM ). Pour l'académie nationale de médecine, la quantité d'aluminium vaccinal susceptible de se retrouver dans le cerveau serait de toute façon trop faible, comparée à celle apportée par l'alimentation, pour être responsable d'une quelconque toxicité. Si l'augmentation du nombre de vaccins, donc des quantités d'aluminium injectées, interroge chez l'adulte, elle serait encore plus préoccupante pour les nourrissons et jeunes enfants du fait de leur faible poids et de leurs systèmes d'élimination immatures (reins...) 8. Mais l'académie nationale de médecine relativise ces
2 2 sur 5 14/07/ :56 inquiétudes en s'appuyant sur deux études : la première, en 2002, a montré que le taux d'aluminium post vaccinal pouvait atteindre mais sans la dépasser, la dose toxique minimale, avant de régresser rapidement. La seconde, en 2011, a estimé que la charge en aluminium apportée par les vaccins est deux fois plus faible que celle admise pour l'alimentation des nourrissons 5. Les modes d'exposition sont cependant différents et les résultats basés sur des travaux menés chez l'animal. En réalité, l'utilisation de l'aluminium comme adjuvant est empirique et fondée sur l'absence de preuves de toxicité. Ses détracteurs soulignent que les effets néfastes pourraient se manifester des années, voire des dizaines d'années plus tard Des maladies qui sèment le trouble L'aluminium est suspecté de favoriser, voire provoquer, des allergies, l'autisme, des troubles neurodégénératifs et des maladies auto-immunes... Retour sur quelques-unes d'entre elles. - LA SCLÉROSE EN PLAQUES À plusieurs reprises, la vaccination contre l'hépatite B a été soupçonnée d'augmenter le nombre de cas de sclérose en plaques (SEP). Mais les autorités de santé insistent sur le fait que les résultats d'études épidémiologiques comparant des personnes vaccinées et non vaccinées, ainsi que les données de pharmacovigilance (cas rapportés a posteriori), n'ont pas établi de lien 5,9. Les opposants au vaccin soulignent que la plupart des études effectuées n'étaient pas indépendantes et qu'elles n'ont porté que sur les quelques années suivant l'administration du vaccin, un laps de temps trop court pour que la maladie se manifeste. Certains ne remettent toutefois pas en cause les adjuvants mais le vaccin lui-même. - LA MYOFASCIITE À MACROPHAGES Une autre maladie, la myofasciite à macrophages (MFM), divise les scientifiques. Elle est définie par la persistance d'aluminium vaccinal associé à une lésion musculaire sur le site d'injection, une fatigue chronique et des troubles cognitifs spécifiques, similaires à ceux qui ont été observés chez les malades intoxiqués par l'aluminium (travailleurs de l'industrie, sujets dialysés). Certaines susceptibilités génétiques favoriseraient l'apparition de cette MFM 10. Pour les autorités de santé, si la lésion musculaire localisée est associée de façon "hautement probable" au vaccin, il en est tout autrement des symptômes cliniques évoqués. Les troubles cognitifs et la fatigue chronique pourraient être présents sans lésion musculaire, donc non imputables à l'adjuvant aluminique. De même la lésion peut être présente sans les troubles cliniques. La question mérite donc d'être approfondie par de nouvelles études (détection chez l'homme d'aluminium cérébral chez les personnes vaccinées, suivi au long cours ). Mais le manque de moyens accordés aux chercheurs à l'origine des travaux sur la MFM ne leur permettent pas de les poursuivre, regrettent-ils. - LE SYNDROME ASIA La myofasciite à macrophages, le syndrome de la Guerre du Golfe, les réactions post-vaccinales et la siliconose, une maladie auto-immunitaire associée au port d'implants en silicone, présentent des symptômes similaires. Un chercheur les a regroupées au sein d'une même entité appelée "syndrome Asia" 11 qui elle aussi divise. Les liens entre les adjuvants et les trois premières pathologies n'étant pas démontrés pour les autorités de santé, il eut été étonnant qu'elles valident ce travail. L'Académie nationale de médecine se montre particulièrement sévère. Pour elle, l'article sur le "syndrome ASIA" rassemble des "données disparates et expérimentales ponctuelles le plus souvent non validées". Elle insiste par ailleurs sur l'impossibilité, en dehors de circonstances expérimentales bien précises, de
3 3 sur 5 14/07/ :56 déclencher une maladie auto-immune par l'administration conjointe d'un antigène et d'un adjuvant 5. Faire appel au principe de précaution? Les associations de patients réclament depuis des années la conduite d'études démontrant l'innocuité de l'aluminium dans les vaccins, son interdiction au moins temporaire, l'indication de sa présence sur les boîtes et la mise à disposition de versions sans aluminium pour les vaccins obligatoires... Il ne s'agit pas d'associer à tout prix l'aluminium à l'ensemble des troubles qu'il est accusé de provoquer, encore moins de diaboliser la vaccination, simplement d'appliquer le principe de précaution. En mars dernier, les députés du groupe d'études sur la vaccination de l'assemblée nationale ont rendu leurs recommandations. La troisième, portant sur les adjuvants aluminiques reprenait les demandes des associations. Cependant, les autorités de santé ont toujours répondu négativement, l'académie nationale de médecine rappelant que l'aluminium est utilisé depuis des décennies et que tous les vaccins sont soumis à des tests de toxicité sur l'animal et des essais cliniques chez l'homme. Il semble impossible de se passer, même provisoirement, des adjuvants aluminiques. Le phosphate de calcium, souvent cité pour les remplacer, serait moins performant. De nombreux autres produits sont à l'étude mais davantage pour aider à l'élaboration de nouveaux vaccins que pour remplacer l'aluminium 5. Alors que les liens entre l'aluminium et les maladies incriminées ne sont pas établis, interdire ou limiter l'usage de l'aluminium pourrait renforcer la défiance de la population vis à vis de la vaccination au risque de voir réapparaître des maladies devenues rares et une morbidité très supérieure à celle, "hypothétique, des maladies neurologiques ou auto-immunes imputées" 5, arguent les Académiciens (voir l'article que nous avions écrit sur le sujet). Bien qu'ils ne soient pas toujours mentionnés, les enjeux économiques comptent aussi, en particulier si la France était seule à prendre la décision de suspendre l'utilisation de l'aluminium : nouvelles études à mener, processus de fabrication à revoir... avec des délais évalués entre 5 et 10 ans! Plusieurs affaires ayant récemment éclaboussé les autorités de santé, il n'est cependant pas étonnant que certains posent la question, faits à l'appui, d'éventuels conflits d'intérêts. Audrey Plessis, juin 2012 Sources : Entretiens réalisés en mars 2012 avec : - Le Pr François-Jérôme Authier et le Pr Romain Gherardi, Centre de référence des maladies neuromusculaires, CHU Henri Mondor, Créteil. - Le Dr Marc Girard, auteur de "Médicaments dangereux, à qui la faute?" Ed. Dangles, mai 2009, blog Rolandsimion.org. - Virginie Belle, auteur de "Quand l'aluminium nous empoisonne", Ed. Max Milo, septembre 2010 et "Faut-il faire vacciner nos enfants?", Ed. Max Milo, août Le Service communication de l'afssaps (devenue Ansm). Autres sources : 1. Evaluation des risques sanitaires liés à l'exposition de la population française à l'aluminium. Eau, aliments, produits de santé, Invs, Afssa, Afssaps, novembre 2003, et Aluminium, quels risques pour la santé? Synthèse des études épidémiologiques. Volet épidémiologique de l'expertise collective InVS-Afssa- Afssaps, juin 2004, mis à jour en janvier Si l'aluminium de source alimentaire est naturellement présent dans certains végétaux, notamment les céréales, il provient aussi d'additifs, agents raffermissants et colorants alimentaires ajoutés aux préparations industrielles. En 2008, le comité mixte FAO/OMS d'experts des additifs alimentaires a réduit la dose hebdomadaire admissible (DHA) d'aluminium, la passant de 7 à 1 mg/kg de
4 4 sur 5 14/07/ :56 poids corporel ; cette recommandation a été reprise par l'agence européenne de sécurité des aliments dans un avis scientifique. Cependant, certaines instances se réfèrent parfois à un autre indice : le taux minimal de risque ou MRL (minimal risk level), fixé par l'atsdr (Agency for toxic substances and disease registry) à 1 mg/kg/jour, 7 fois supérieur. 3. L'aluminium est présent dans les déodorants mais aussi les écrans solaires, crèmes de soin, fonds de teint, rouges à lèvres, vernis à ongles... Évaluation du risque lié à l'utilisation de l'aluminium dans les produits cosmétiques, rapport d'expertise, Afssaps, octobre Underarm antiperspirants/deodorants and breast cancer, Darbre Philippa D, Breast Cancer Research, 2009, 11 (Suppl 3). 5. Les adjuvants vaccinaux, quelle actualité en 2012? Rapport de l'académie nationale de médecine, juin Les concentrations doivent être inférieures à 0,85 mg/dose pour la FDA et à 1,25 mg/dose pour l'oms. Comité d'experts de la standardisation biologique, quarantième rapport, n 800, 1990, Annexe 2, p108 (voir la page 16). Cependant, ces recommandations n'auraient pas toujours été respectées. Avec l'infanrix Hexa, par exemple, la journaliste Virginie Belle a constaté que les concentrations mentionnées sur les documents de l'agence Européenne du Médicament (EMA) qui délivre les autorisations de mise sur le marché (AMM) étaient différentes de celles mentionnées sur les notices de 2005 à 2008 (0,82 contre 2,4 mg/dose). Pour de nombreux vaccins, elles ne sont tout simplement pas indiquées sur les notices ou dans le Vidal. 7. Travaux menés par l'équipe du Pr Gherardi et dont les résultats sont repris par l'association Entraide aux malades de myofasciite à macrophages (E3M). 8. Le site anglais askdrsears.com, créé par le Dr Sears, pédiatre, reprend l'ensemble de sa réflexion concernant la présence d'aluminium dans les vaccins et leur administration à des nourrissons. Voir en particulier cette page. 9. Vaccination contre le virus de l'hépatite B : résumé des débats de la Commission nationale de pharmacovigilance du 30 septembre 2008, Afssaps. 10. Un premier rapport publié par l'invs reprend l'historique de la découverte de la Myofasciite à macrophages et sa caractérisation par le GERMMAD (Groupe de recherche sur les maladies musculaires acquises et dysimmunitaires). 11. Asia pour Autoimmune (et autoinflammatory) Syndrome Induced by Adjuvants, soit le Syndrome auto-immunitaire (et auto-inflammatoire) induit par les adjuvants. 'ASIA' - autoimmune/inflammatory syndrome induced by adjuvants. Shoenfeld Y, Agmon-Levin N.J Autoimmun Feb;36(1):4-8. Des liens pour en savoir plus - L'Institut national de Veille Sanitaire (InVS) où l'on retrouve diverses publications sur l'aluminium dont l'expertise collective Évaluation des risques sanitaires liés à l'exposition de la population française à l'aluminium. Eau, aliments, produits de santé, InVS-Afssa-Afssaps, novembre 2003, et le rapport Aluminium, quels risques pour la santé? Synthèse des études épidémiologiques. Volet épidémiologique de l'expertise collective InVS-Afssa-Afssaps, juin 2004, le rapport sur la myofasciite à macrophages. - L'Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (Ansm), ex-afssaps, pour son rapport sur les produits cosmétiques, son point de vue concernant la myofasciite à macrophages et la vaccination contre l'hépatite B. - L'Académie nationale de médecine pour retrouver ses positions concernant la vaccination et le rapport Les adjuvants vaccinaux, quelle actualité en 2012?, juin L'Institut national de prévention et d'éducation pour la santé (INPES), notamment pour sa page consacrée à la vaccination. - Amelie-sante.fr sur la vaccination. - L'Association Entraide aux malades de myofasciite à macrophages pour les informations sur la myofasciite à macrophages, les travaux scientifiques concernant cette pathologie et tout ce qui concerne l'utilisation d'adjuvants en particulier aluminiques. - AskDrSears où le Dr Sears, pédiatre, reprend l'ensemble de sa réflexion concernant la présence d'aluminium dans les vaccins et leur administration aux enfants (anglais). - RolandSimion.org, dans lequel le Dr Marc Girard, livre ses réflexions sur la
5 5 sur 5 14/07/ :56 vaccination et les médicaments en général. A lire * Quand l'aluminium nous empoisonne, de Virginie Belle, Ed. Max Milo, septembre 2010 * Faut-il faire vacciner nos enfants? Virginie Belle, Ed. Max Milo, août 2012 Le guide de la vaccination Déodorants à l'aluminium : jamais sur peau lésée L'Académie de Médecine contre la suspension des vaccins à l'aluminium
Utilisation des médicaments au niveau des soins primaires dans les pays en développement et en transition
09-0749 1 WHO/EMP/MAR/2009.3 Utilisation des médicaments au niveau des soins primaires dans les pays en développement et en transition Synthèse des résultats des études publiées entre 1990 et 2006 Organisation
Plus en détailCommuniqué de presse. Merck Serono. 18 septembre 2008
Communiqué de presse 18 septembre 2008 Merck Serono annonce le lancement de l'essai clinique ORACLE MS destiné à évaluer la cladribine en comprimés chez des patients à risque de développer une sclérose
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailAluminium et vaccins. Collection Avis et Rapports
Aluminium et vaccins Collection Avis et Rapports Aluminium et vaccins Depuis plus de dix ans, la France fait l objet de débats relatifs à la sécurité de l aluminium utilisé comme adjuvant dans la plupart
Plus en détailVaccinations - Rédaction Dr BOUTON
20-14 Vaccinations - Rédaction Dr BOUTON Chaque personnel navigant est responsable de la mise à jour des ses vaccins. 1 - VACCINATION OBLIGATOIRE La vaccination contre la fièvre jaune (vaccination anti-amarile)
Plus en détailChapitre 1 : Introduction aux bases de données
Chapitre 1 : Introduction aux bases de données Les Bases de Données occupent aujourd'hui une place de plus en plus importante dans les systèmes informatiques. Les Systèmes de Gestion de Bases de Données
Plus en détailPOLITIQUE DE BIOSÉCURITÉ
Date d entrée en vigueur: Mai 2006 Remplace/amende: VRS-52/s/o Origine: Vice-rectorat aux services Numéro de référence: VPS-52 DÉFINITION Une substance biologique dangereuse se définit comme un organisme
Plus en détailMontréal, 24 mars 2015. David Levine Président et chef de la direction DL Strategic Consulting. DL Consulting Strategies in Healthcare
Montréal, 24 mars 2015 David Levine Président et chef de la direction DL Strategic Consulting 1 RSSPQ, 2013 2 MÉDECINE INDIVIDUALISÉE Médecine personnalisée Médecine de précision Biomarqueurs Génomique
Plus en détailvaccin pneumococcique polyosidique conjugué (13-valent, adsorbé)
EMA/90006/2015 EMEA/H/C/001104 Résumé EPAR à l intention du public vaccin pneumococcique polyosidique conjugué (13-valent, adsorbé) Le présent document est un résumé du rapport européen public d évaluation
Plus en détailSURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES
SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES Dr Virginie NAEL Service de Santé au travail du personnel hospitalier CHU Nantes 44èmes journées FMC ANMTEPH / SOHF - Lausanne - Septembre
Plus en détailDECLARATION PUBLIQUE D'INTERETS (DPI)
DECLARATION PUBLIQUE D'INTERETS (DPI) Arrêté du 5 juillet 2012 portant fixation du document type de la déclaration publique d'intérêts mentionnée à l'article L. 1451-1 du code de la santé publique Je soussigné(e)
Plus en détailLES GAZ D ECHAPPEMENT DES MOTEURS DIESEL CANCEROGENES
COMMUNIQUE DE PRESSE N 213 12 Juin 2012 LES GAZ D ECHAPPEMENT DES MOTEURS DIESEL CANCEROGENES A l issue d une réunion d une semaine regroupant des spécialistes internationaux, le Centre international de
Plus en détailNOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR. Delphi 0,1 % crème Acétonide de triamcinolone
NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR Delphi 0,1 % crème Acétonide de triamcinolone Veuillez lire attentivement cette notice avant d utiliser ce médicament car elle contient des informations importantes
Plus en détailFIPROTEC, PIPETTES CONTRE PUCES ET TIQUES :
FIPROTEC, PIPETTES CONTRE PUCES ET TIQUES : FIPROTEC 50 MG SOLUTION SPOT-ON POUR CHAT Composition :Une pipette de 0,50 ml contient 50 mg de Fipronil. Indications d utilisation : Chez les chats : - Traitement
Plus en détailDECLARATION PUBLIQUE D'INTERETS (DPI)
DECLARATION PUBLIQUE D'INTERETS (DPI) Arrêté du 5 juillet 2012 portant fixation du document type de la déclaration publique d'intérêts mentionnée à l'article L. 1451-1 du code de la santé publique Je soussigné(e)
Plus en détail"L'évolution du marquage CE" Rencontre / débat organisée par le SNITEM 19 juin 2012
"L'évolution du marquage CE" Rencontre / débat organisée par le SNITEM 19 juin 2012 A l'occasion de son assemblée générale annuelle, le SNITEM (Syndicat National de l'industrie des Technologies Médicales)
Plus en détailANNEXE IIIB NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR
Dénomination du médicament ANNEXE IIIB NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR LYSOPAÏNE MAUX DE GORGE AMBROXOL CITRON 20 mg SANS SUCRE, pastille édulcorée au sorbitol et au sucralose. Chlorhydrate d ambroxol
Plus en détailHEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas
HEPATITES VIRALES 22/09/09 Mme Daumas Infectieux Introduction I. Hépatite aigu II. Hépatite chronique III. Les différents types d hépatites A. Hépatite A 1. Prévention de la transmission 2. Vaccination
Plus en détailVaccinations pour les professionnels : actualités
Vaccinations pour les professionnels : actualités Dominique Abiteboul Service de Santé au Travail Hôpital Bichat - Claude Bernard Paris GERES Les vaccins A (H1N1)v 4QUESTIONS +++++ Pas assez de recul???
Plus en détailAVIS. de l'agence nationale de sécurité sanitaire de l alimentation, de l environnement et du travail
Le Directeur général Maisons-Alfort, le 1 er avril 2014 AVIS de l'agence nationale de sécurité sanitaire de l alimentation, de l environnement et du travail relatif à la demande d autorisation de mise
Plus en détailHUMI-BLOCK - TOUPRET
FICHE DE DONNEES DE SECURITE Révision antérieure : (Selon l annexe II du Règlement REACH de l UE 1907/2006) Mise à jour : 19 janvier 2010 Version : 1 HUMI-BLOCK - TOUPRET 1-IDENTIFICATION DU PRODUIT ET
Plus en détail+ Questions et réponses
HÉPATITE B L hépatite B c est quoi? L hépatite B est un type de maladie du foie causée par le virus de l hépatite B, une des formes les plus courantes de l hépatite virale (les autres sont le virus de
Plus en détailProjet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer
DOCUMENT D INFORMATION POUR LES PROFESSIONNELS Projet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer Septembre 2009 DÉFINITION ET OBJECTIF Dès lors qu ils expriment un projet de
Plus en détailTITRE III PRÉVENTION DES RISQUES D'EXPOSITION AU BRUIT. CHAPITRE Ier Dispositions générales
Code du travail nouveau : TITRE III - PREVENTION DES RISQUES D'EXPOSITION AU BRUIT TITRE III PRÉVENTION DES RISQUES D'EXPOSITION AU BRUIT CHAPITRE Ier Dispositions générales SECTION 1 Définitions Art.
Plus en détailArticle 1 er. Code de la santé publique Texte précédent. Nouveau texte. 28/11/2012 Evelyne Pierron Consultants. Article R5121-25
Tableau comparatif Décret n 2012-1244 du 8 novembre 2012 relatif au renforcement des dispositions en matière de sécurité des médicaments à usage humain soumis à autorisation de mise sur le marché et à
Plus en détail- 2 - faire industriel dans la mise au point des produits biologiques. L Institut Roche de Recherche et Médecine Translationnelle (IRRMT, basé à
Information presse Roche, l Agence Nationale de Recherches sur le Sida et les hépatites virales (ANRS), le Baylor Research Institute (BRI) et Inserm Transfert mettent en place une coopération stratégique
Plus en détailContenu attendu des guides nationaux de bonnes pratiques d hygiène GBPH
Contenu attendu des guides nationaux de bonnes pratiques d hygiène GBPH Note d information à l usage des professionnels En complément de cette note, des informations relatives au contenu des GBPH sont
Plus en détailLES ETUDES CLINIQUES EN 20 QUESTIONS
LES ETUDES CLINIQUES EN 20 QUESTIONS La mise au point d un nouveau médicament est longue. Sur environ 10 000 médicaments potentiels subissant tous les tests nécessaires, un seul sera disponible au final
Plus en détailUne déclaration du comité consultatif (DCC) Comité consultatif national de
Une déclaration du comité consultatif (DCC) Comité consultatif national de l'immunisation (CCNI) Mise à jour des recommandations visant le calendrier d'immunisation relatif au vaccin contre le virus du
Plus en détailUn métier en évolution pour répondre aux nouvelles. Face à ces évolutions, un nouveau métier
Les métiers de la pharmacovigilance Des métiers en évolution dans une industrie de haute technologie et d'innovation Une mission d'évaluation et de gestion des risques liés à l'utilisation des médicaments
Plus en détailPrévenir... par la vaccination
Prévenir... par la vaccination 6 La vaccination...... Soit c est OBLIGATOIRE (2)... Les vaccinations obligatoires pour l ensemble de la population et dont les lois sont inscrites dans le Code de la Santé
Plus en détail313-40013-B MIS À JOUR EN MARS 2013
313-40013-B MIS À JOUR EN MARS 2013 SOMMAIRE 1 - La vaccination, comment ça marche? 3, 4 et 5 2 - Les vaccins détériorent-ils LA protection naturelle contre les maladies? 6 3 - Avec autant de vaccins,
Plus en détailAMAMI Anaïs 3 C LORDEL Maryne. Les dons de cellules & de tissus.
AMAMI Anaïs 3 C LORDEL Maryne Les dons de cellules & de tissus. Introduction : Une greffe (don) de cellules consiste à administrer à un patient dont un organe vital ne fonctionne plus correctement, une
Plus en détailConclusions du Conseil sur l'innovation dans l'intérêt des patients
Conseil de l'union Européenne PRESSE FR CONCLUSIONS DU CONSEIL Bruxelles, le 1 décembre 2014 Conclusions du Conseil sur l'innovation dans l'intérêt des patients Session du Conseil Emploi, politique sociale,
Plus en détail2.0 Interprétation des cotes d évaluation des risques relatifs aux produits
2.0 Interprétation des cotes d évaluation des risques relatifs aux produits L interprétation des cotes attribuées dans le cadre des évaluations des risques relatifs aux produits décrite plus loin repose
Plus en détailCentre Antipoison et de Toxicovigilance Strasbourg Tél: 03 88 37 37 37
Centre Antipoison et de Toxicovigilance Strasbourg Tél: 03 88 37 37 37 Les CAP français en 2009 Réponse téléphonique Toxicovigilance Flesch Françoise QU EST CE QU UN CENTRE ANTIPOISON Art D.711-9-1 1 (Décret
Plus en détailLa correction des erreurs d'enregistrement et de traitement comptables
La correction des erreurs d'enregistrement et de traitement comptables Après l'étude des différents types d'erreurs en comptabilité (Section 1) nous étudierons la cause des erreurs (Section 2) et les techniques
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 10 mai 2006
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 10 mai 2006 METOJECT 10 mg/ml, solution injectable en seringue pré-remplie 1 seringue pré-remplie en verre de 0,75 ml avec aiguille : 371 754-3 1 seringue pré- remplie
Plus en détailCommuniqué. Abbott présente à Santé Canada une demande d homologation d HUMIRA pour le traitement du psoriasis POUR PUBLICATION IMMÉDIATE
POUR PUBLICATION IMMÉDIATE Communiqué Abbott présente à Santé Canada une demande d homologation d HUMIRA pour le traitement du psoriasis Media: Sylvie Légaré (514) 832-7268 Abbott Gabrielle Collu 514)
Plus en détailGONADOTROPHINE CHORIONIQUE ENDO 5000 U.I./1 ml, lyophilisat et solution pour usage parentéral intramusculaire
ésumé des Caractéristiques du Produit 1 sur 5 21/09/2010 14:31 Mis à jour : 16/02/2010 1. DENOMINATION DU MEDICAMENT GONADOTROPHINE CHORIONIQUE ENDO 5000 U.I./1 ml, lyophilisat et solution pour usage parentéral
Plus en détailLA VACCINATION PROFESSIONNELLE
F I C H E P R E V E N T I O N N 1 1 «H Y G I E N E S E C U R I T E» LA VACCINATION PROFESSIONNELLE INTRODUCTION La vaccination en milieu professionnel a un intérêt individuel dans le sens où elle protège
Plus en détailComplément à la circulaire DH/EO 2 n 2000-295 du 30 mai 2000 relative à l'hospitalisation à domicile
http://www.sante.gouv.fr/adm/dagpb/bo/2001/01-01/a0010017.htm Bulletin Officiel n 2001-1 Direction de l'hospitalisation et de l'organisation des soins Page 1 sur 6 Complément à la circulaire DH/EO 2 n
Plus en détailVoyages et sclérose en plaques
Voyages et sclérose en plaques Merck Serono Maladies Neurodégénératives 2 Nous remercions le Docteur Dominique Audry, présidente du réseau Bourguignon de la SEP pour sa collaboration à la rédaction de
Plus en détailCahier des bonnes pratiques pour un nettoyage écologique des locaux du Conseil Général de la Gironde
Le Conseil Général ménage votre santé! Cahier des bonnes pratiques pour un nettoyage écologique des locaux du Conseil Général de la Gironde Sommaire 1. Pourquoi créer ce cahier pratique du nettoyage écologique?
Plus en détailMigraine et Abus de Médicaments
Migraine et Abus de Médicaments Approches diagnostiques et thérapeutiques des Céphalées Chroniques Quotidiennes Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046, Institut de Médecine Prédictive
Plus en détailNC 06 Norme comptable relative aux Immobilisations incorporelles
NC 06 Norme comptable relative aux Immobilisations incorporelles Objectif 01. Une entreprise peut acquérir des éléments incorporels ou peut elle-même les développer. Ces éléments peuvent constituer des
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION. 10 octobre 2001
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION 10 octobre 2001 VIRAFERONPEG 50 µg 80 µg 100 µg 120 µg 150 µg, poudre et solvant pour solution injectable B/1 B/4 Laboratoires SCHERING PLOUGH Peginterféron
Plus en détailFiche documentaire FAIRE LES PRODUITS D USAGE DOMESTIQUE SANS DANGER POUR L AIR
Fiche documentaire FAIRE LES PRODUITS D USAGE DOMESTIQUE SANS DANGER POUR L AIR Les produits d usage domestique comprennent les produits de nettoyage (p. ex., les nettoie-vitres et les produits de nettoyage
Plus en détailAudition publique sur la vaccination. Levée de l obligation vaccinale? Suivi de la synthèse et des recommandations de la Commission d Audition
Audition publique sur la vaccination des enfants par le BCG. Levée de l obligation vaccinale? Suivi de la synthèse et des recommandations de la Commission d Audition 13-14 novembre 2006 Société française
Plus en détailEVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE. Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines
EVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines Juillet 2010 Mise à jour Septembre 2010 1 Le rapport complet
Plus en détailSemaine de la sécurité des patients: novembre 2012
Semaine de la sécurité des patients: novembre 2012 Qu'est-ce-que la douleur? La douleur est une sensation désagréable et complexe (sensorielle et émotionnelle). Cette sensation provient de l'excitation
Plus en détailL étude du professeur Séralini sur le maïs OGM va être évaluée
L étude du professeur Séralini sur le maïs OGM va être évaluée Le professeur Gilles Eric Séralini a présenté jeudi 20 septembre, lors d une conférence de presse avec la députée européenne Corinne Lepage,
Plus en détailI - 1. Des présupposés parfois discutables
s Avis du Comité de la Prévention et de la Précaution le principe de précaution : analyse critique de la proposition de «lignes directrices» de la dg XXIV 11/1999 Texte adopté le 8 novembre 1999 Objet
Plus en détailMINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES DIRECTION GENERALE DE LA SANTE
MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES DIRECTION GENERALE DE LA SANTE AVIS DU COMITE TECHNIQUE DES VACCINATIONS / DU CONSEIL SUPERIEUR D HYGIENE PUBLIQUE DE FRANCE relatif à la vaccination par le vaccin
Plus en détailLe don de moelle osseuse :
DON DE MOELLE OSSEUSE Le don de moelle osseuse : se décider aujourd hui, s engager pour longtemps LA MOELLE OSSEUSE ET SA GREFFE La moelle osseuse C est le tissu mou dans le centre du corps des os qui
Plus en détailLA QUESTION DE LA PRISE DE POIDS CHEZ LE FUMEUR EN SEVRAGE TABAGIQUE
Jean-Paul BLANC Diététicien-Nutritionniste Neuilly sur Seine www.cabinet-de-nutrition-et-dietetique.eu LA QUESTION DE LA PRISE DE POIDS CHEZ LE FUMEUR EN SEVRAGE TABAGIQUE Au cours de la dernière décennie
Plus en détailPrise de position sur les biosimilaires. Résumé
Prise de position sur les biosimilaires Résumé Les médicaments biotechnologiques, appelés également biomédicaments, occupent une place importante dans le traitement de maladies comme le cancer, la polyarthrite
Plus en détailNOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR. Immukine 100 microgrammes/0,5 ml solution injectable (Interféron gamma-1b recombinant humain)
NOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR Immukine 100 microgrammes/0,5 ml solution injectable (Interféron gamma-1b recombinant humain) Veuillez lire attentivement l'intégralité de cette notice avant d'utiliser
Plus en détailN/Réf. : CODEP-PRS-2010-037299 Monsieur le Directeur Institut Gustave Roussy (IGR) 39, rue Camille Desmoulins 94800 VILLEJUIF
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE DIVISION DE PARIS N/Réf. : CODEP-PRS-2010-037299 Monsieur le Directeur Institut Gustave Roussy (IGR) 39, rue Camille Desmoulins 94800 VILLEJUIF Paris, le 06 juillet 2010 Objet : Inspection
Plus en détailParasites externes du chat et du chien
Parasites externes du chat et du chien Identification, prévention et traitement Les tiques Les tiques transmettent des maladies parfois mortelles. La prévention est la meilleure arme. 1 - Où les trouve-t-on?
Plus en détailLe Psoriasis Qui est touché?
LE PSORIASIS 1 Le Psoriasis Qui est touché? De 2 à 5 % de la population française soit2 à 3 millionsde personnes en France Deux "pics" de survenue : à l'adolescence et vers la soixantaine Parfois sur des
Plus en détailAssociation lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose
Association lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose Auteurs Cendrine Godet (*) Jean-Pierre Frat (**) Cédric Landron (*) Lydia Roy (***) Paul Ardilouze (****) Jean-Pierre Tasu (****) (*)
Plus en détailAdapter et apprivoiser sa chimiothérapie Une application smartphone au service des patients
Paul Becquart, Journaliste Santé Le petit Site Santé www.lepetitsitesante.fr A la source de l'information Santé L'actualité de la Santé et de la Recherche médicale Adapter et apprivoiser sa chimiothérapie
Plus en détailet l utilisation des traitements biologiques
et l utilisation des traitements biologiques Choisir le meilleur traitement pour retrouver la qualité de vie que vous êtes en droit d avoir Les agents biologiques (biothérapies) Étant les plus récents
Plus en détailMETHODOLOGIE GENERALE DE LA RECHERCHE EPIDEMIOLOGIQUE : LES ENQUETES EPIDEMIOLOGIQUES
Enseignement du Deuxième Cycle des Etudes Médicales Faculté de Médecine de Toulouse Purpan et Toulouse Rangueil Module I «Apprentissage de l exercice médical» Coordonnateurs Pr Alain Grand Pr Daniel Rougé
Plus en détailLa maladie de Huntington, une maladie du cerveau
Actualités à propos de la recherche sur la maladie de Huntington. Expliqué simplement. Écrit par des scientifiques. Pour la communauté mondiale HD. La greffe de moelle osseuse dans la maladie de Huntington
Plus en détailDirection générale des produits de santé et des aliments Comité consultatif d experts sur la vigilance reliée aux produits de santé Mandat
Health Canada Santé Canada Direction générale des produits de santé et des aliments Comité consultatif d experts sur la vigilance reliée aux produits de santé Mandat Préface Ce mandat fera l objet d une
Plus en détailLes tests génétiques à des fins médicales
Les tests génétiques à des fins médicales Les tests génétiques à des fins médicales Nous avons tous hérité d une combinaison unique de gènes de la part de nos parents. Cette constitution originale et l
Plus en détailM.S - Direction de la réglementation et du contentieux - BASE DE DONNEES. REFERENCE : B O N 5070 du 2 janvier 2003
REFERENCE : B O N 5070 du 2 janvier 2003 Décret n 2-01-1643 du 2 chaabane 1423 9/10/2002 pris pour l'application de la loi n 16-98 relative au don, au prélèvement et à la transplantation d'organes et de
Plus en détailSportifs et médicaments Questions et réponses
Sportifs et médicaments Questions et réponses Que puis-je faire pour éviter d'être contrôlé positif suite à la prise d'un médicament? Il y a deux façons de se procurer des médicaments : soit sur ordonnance
Plus en détailPharmacien Responsable. Rôle et Attributions. Seul le Code de la Santé Publique s applique
Pharmacien Responsable Rôle et Attributions Version approuvée ( médicaments à usage humain ) en novembre 2010 Seul le Code de la Santé Publique s applique Plus qu une personne qualifiée En France, le Pharmacien
Plus en détailBOOK DES OFFRES DE STAGE
BOOK DES OFFRES DE STAGE Novartis est un leader mondial dans l'offre de médicaments destinés à préserver la santé, soigner les malades et améliorer le bien-être. Novartis renforce son portefeuille thérapeutique
Plus en détailLe Plomb dans l eau AGENCE NATIONALE POUR L AMÉLIORATION DE L HABITAT
Le Plomb dans l eau De quoi s agit-il? De quoi parle-t-on? Où le trouve-t-on? Quelle est son origine? Responsabilités Quels sont les effets néfastes du plomb dans l eau sur la santé? Comment les détecter?
Plus en détailFondation PremUp. Mieux naître pour mieux vivre
Fondation PremUp Mieux naître pour mieux vivre Une fondation de coopération scientifique initiée par les pouvoirs publics en 2007 6 membres fondateurs : L Assistance Publique des Hôpitaux de Paris, l Inserm,
Plus en détailItem 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve
Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Différentes
Plus en détailAfssa Saisine n 2007-SA-0028
2 août 2007 AVIS LA DIRECTRICE LE DIRECTEUR GENERALE GÉNÉRAL de l Agence française de sécurité sanitaire des aliments relatif à l'évaluation des risques pour l'homme des constituants des produits de nettoyage
Plus en détailLa migraine. Foramen ovale perméable. Infarctus cérébral (surtout chez la femme)
La migraine 1/Introduction : Céphalée primaire (sans lésion sous-jacente). Deux variétés principales: Migraine sans aura (migraine commune). Migraine avec aura (migraine accompagnée). Diagnostic: interrogatoire
Plus en détailItem 127 : Transplantation d'organes
Item 127 : Transplantation d'organes Date de création du document 2008-2009 Table des matières * Introduction... 1 1 Allogreffe de moelle ou de cellules souches...1 2 Transplantation d'organes... 2 3 Diagnostic...3
Plus en détailVaccination contre la grippe saisonnière
le point sur risques infectieux > Vaccinations Vaccination contre la grippe saisonnière Questions / Réponses - Professionnels de santé Document élaboré le 14 octobre 2014 1 - Quand a lieu la campagne de
Plus en détailEnterprise Europe Network, CCI de Lyon Contact : Catherine Jamon-Servel Tél : 04 72 40 57 46 Mail : jamon@lyon.cci.fr www.lyon.cci.
FICHE PRATIQUE LES PRODUITS BIOCIDES Enterprise Europe Network, CCI de Lyon Contact : Catherine Jamon-Servel Tél : 04 72 40 57 46 Mail : jamon@lyon.cci.fr www.lyon.cci.fr/een La Chambre de commerce et
Plus en détailInfection par le VIH/sida et travail
Documents publiés dans la collection VIH-sida du ministère de la Santé et de la Protection sociale : COLLECTION VIH/SIDA Sida-MST (maladies sexuellement transmissibles) Transmission - Diagnostic/dépistage
Plus en détailLe test de dépistage qui a été pratiqué à la
élever CommenT UN enfant phénylcétonurique Le test de dépistage qui a été pratiqué à la maternité vient de révéler que votre bébé est atteint de phénylcétonurie. Aujourd'hui votre enfant va bien mais vous
Plus en détailDOCUMENT DE TRAVAIL DES SERVICES DE LA COMMISSION RÉSUMÉ DE L ANALYSE D IMPACT. accompagnant la
COMMISSION EUROPÉENNE Bruxelles, le 4.10.2012 SWD(2012) 291 final DOCUMENT DE TRAVAIL DES SERVICES DE LA COMMISSION RÉSUMÉ DE L ANALYSE D IMPACT accompagnant la proposition de règlement du Parlement européen
Plus en détaildéclarations d assurabilité en cas d accident (invalidité ou soins hospitaliers)
1 Nom Prénom Date de naissance (AAAA/MM/JJ) N o de proposition ou de contrat 1. renseignements médicaux Renseignements Oui Non médicaux 1. Prenez-vous des médicaments? Cocher OUI ou NON. 2. Au cours des
Plus en détail1. Identification de la substance ou préparation et de la Société. 2. Composition/ informations sur les composants
Date d impression : 23/08/02 Valable à partir du : 08.08.01 Page: 1/7 1. Identification de la substance ou préparation et de la Société Données relatives au produit : Nom commercial : KNAUF ZADUR Mortier
Plus en détailPOLITIQUE SUR LA SÉCURITÉ LASER
Date d entrée en vigueur: 30 aout 2011 Remplace/amende: VRS-51/s/o Origine: Vice-rectorat aux services Numéro de référence: VPS-51 Les utilisateurs de lasers devront suivre les directives, la politique
Plus en détailEssais cliniques de médicaments : ce qui va changer. Dr Philippe VELLA Chef de l Unité Essais Cliniques
Essais cliniques de médicaments : ce qui va changer Dr Philippe VELLA Chef de l Unité Essais Cliniques Besançon 25 novembre 2004 Essais cliniques de médicaments : ce qui va changer Début de l essai Procédure
Plus en détailConsensus Scientifique sur. les. Champs statiques
page 1/8 Consensus Scientifique sur Source : OMS (2006) les Champs statiques Résumé & Détails: GreenFacts Contexte - Les équipements d imagerie médicale par résonance magnétique (IRM), les trains et les
Plus en détailAssurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments. Avis 2 23 Octobre 2012
Assurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments Avis 2 23 Octobre 2012 Titre I : Nom du médicament, DCI, forme pharmaceutique, dosage, présentation HUMIRA (DCI : Adalimumab
Plus en détailQuestionnaire Médical
Nom et prénom(s) de l élève: Date de naissance: Questionnaire Médical Ce formulaire est à compléter, avant de commencer l année scolaire, pour les nouveaux élèves ainsi que pour les élèves poursuivant
Plus en détailSoins infirmiers et gestion des risques
Soins infirmiers et gestion des risques I. Principe de précaution Hippocrate disait «soulager le malade et ne pas lui nuire» Cet adage «primun non cere» est le principe de la base de la médecine II. La
Plus en détailANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER
ANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER Dr Michael Hummelsberger, Pr Jean-Gabriel Fuzibet, Service de Médecine Interne, Hôpital l Archet, CHU Nice 1. ANEMIE L étiologie de l anémie
Plus en détailLe niveau 3 - alerte canicule correspond à une vigilance météorologique orange pour le paramètre canicule.
ANNEXE FICHE 10 : NIVEAU 3 - ALERTE CANICULE Le niveau 3 - alerte canicule correspond à une vigilance météorologique orange pour le paramètre canicule. I. MESURES PRISES AU NIVEAU 3 - ALERTE CANICULE 1.
Plus en détailÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE
ÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE PRISE EN CHARGE SYSTÉMATISÉE DES PERSONNES ATTEINTES D HYPERTENSION ARTÉRIELLE SOCIÉTÉ QUÉBÉCOISE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE 23 ÉVALUATION DE
Plus en détailII - DIABETE DE TYPE 1 : ÉPIDÉMIOLOGIE - PHYSIOPATHOLOGIE - DIAGNOSTIC- DÉPISTAGE
II - DIABETE DE TYPE 1 : ÉPIDÉMIOLOGIE - PHYSIOPATHOLOGIE - DIAGNOSTIC- DÉPISTAGE I. ÉPIDÉMIOLOGIE En France, le diabète de type 1 touche 0,38 % de la population totale et environ 10 % des diabétiques.
Plus en détailProposition de la Commission sur les allégations nutritionnelles et de santé en vue de mieux informer les consommateurs et d'harmoniser le marché
IP/03/1022 Bruxelles, le 16 juillet 2003 Proposition de la Commission sur les allégations nutritionnelles et de santé en vue de mieux informer les consommateurs et d'harmoniser le marché Aujourd'hui la
Plus en détailProcédures d enregistrement des médicaments
Vie du Médicament Procédures d enregistrement des médicaments Avis scientifiques Essais cliniques ATU Inspections AMM Vigilances Contrôle Veille Sanitaire Procédures d enregistrement Soumission du dossier
Plus en détail