O bservatoire R égional de la S anté de M idi-pyrénées. La santé des élèves. en Midi Pyrénées. Le dispositif «INFISCOL» - Résultats 2012/2013

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "O bservatoire R égional de la S anté de M idi-pyrénées. La santé des élèves. en Midi Pyrénées. Le dispositif «INFISCOL» - Résultats 2012/2013"

Transcription

1 O bservatoire R égional de la S anté de M idi-pyrénées La santé des élèves en Midi Pyrénées Le dispositif «INFISCOL» - Résultats 2012/2013 Mars 2014

2

3 Table des matières Contexte et méthode... 5 Analyses... 6 La participation en La participation des infirmier(es) du service de santé scolaire... 7 Taux de participation par département... 7 Taux de participation selon l indice de défavorisation... 8 Résultats Infiscol région Midi-Pyrénées... 9 Données sociodémographiques et de scolarité... 9 La couverture vaccinale Hygiène de vie et sédentarité Données néonatales et handicaps Allergies Données staturo-pondérales Examen de la vision, de l audition et santé bucco-dentaire Liaisons et motifs de liaison au décours de l examen infirmier Analyses Infrarégionales Analyses départementales Analyses par bassins de santé Analyse des facteurs associés à la surcharge pondérale, la vaccination ROR et la santé bucco-dentaire Synthèse et perspectives Annexe Contenu du bilan infirmier... 27

4

5 Contexte et méthode Contexte et méthode Le programme «INFISCOL» a été mis en place avec le soutien de l ARS Midi-Pyrénées et du Rectorat de l académie de Toulouse. Il est conduit et coordonné par le Service Infirmier du Rectorat et l Observatoire Régional de la Santé Midi-Pyrénées. Son objectif est d améliorer la connaissance sur la santé des jeunes dans la région et de contribuer à la définition et au suivi de la politique régionale de santé en leur faveur, en particulier sur le versant de la prévention. La démarche repose sur l analyse et la valorisation des informations recueillies par les services de promotion de la santé en faveur des élèves au cours des bilans annuels réalisés sur la totalité de deux classes d âge : les élèves scolarisés en grande section de maternelle (près de en Midi-Pyrénées) et les élèves scolarisés en 6ème (28 000). Le dispositif Infiscol n intègre pas les élèves scolarisés dans des établissements privés et concerne uniquement les élèves de l académie de Toulouse scolarisés dans un établissement public. Cette limite ne saurait toutefois remettre en cause la validité et la robustesse des résultats dans la mesure où les établissements publics regroupent 90% des élèves de grande section de maternelle et 82% des élèves de sixième. En Midi-Pyrénées, le bilan de dépistage est confié aux infirmiers et infirmières scolaires. L objet de l examen au cours du bilan est avant tout d ordre préventif et orienté vers le dépistage précoce, notamment des troubles pouvant entraîner des difficultés d apprentissage. Les informations recueillies doivent permettre de documenter les thématiques suivantes : statut vaccinal hygiène de vie (alimentation, sommeil, activité physique) développement staturo-pondéral, troubles visuels ou auditifs santé bucco-dentaire 5 Le choix de la méthode d observation et du recueil des données repose sur deux principes : une analyse exhaustive des bilans de santé afin de disposer d indicateurs à une échelle locale, supports d une aide à la définition et au suivi des programmes de prévention ; une intégration du recueil des données dans la pratique et le déroulement de l examen infirmier. Pour cela, chaque professionnel a été équipé d un micro-ordinateur portable lui permettant de réaliser directement le recueil informatique, en vis à vis avec les élèves. Une application informatique reprenant le contenu du bilan infirmier a été installée sur chaque ordinateur, permettant une saisie locale des données. Le logiciel «Infiscol» conçu par l ORS avec la collaboration et l expertise d infirmiers a été élaboré à partir de leurs besoins et au regard de leur activité. L ensemble du projet a reçu un avis favorable du comité consultatif sur le traitement informatique en matière de recherche dans le domaine de la santé (CCTIRS), et de la commission nationale informatique et liberté (CNIL). La démarche a été lancée dans le courant de l année scolaire 2011/2012. Au cours de cette première phase qui permettait de tester la validité des données recueillies : 135 infirmières (sur un total de 250) avaient fait remonter des données pour environ élèves. Ce rapport présente ici les résultats pour l année scolaire 2012/2013 : 215 infirmières ont participé à la démarche. L analyse porte sur élèves de grande section et élèves de sixième.

6 Analyses Analyses Trois axes d exploitation sont proposés dans ce rapport. La première partie présentera une analyse à plat à l échelle régionale de l ensemble des indicateurs Infiscol. Les données dans un second temps seront traitées à des échelles territoriales plus fines : les départements d une part et les bassins de santé d autre part. L analyse territoriale ne reprendra pas l ensemble des données contenues dans Infiscol mais seulement 3 indicateurs utilisés ici comme «marqueurs de santé» : le taux de vaccination ROR, la surcharge pondérale et la santé bucco-dentaire (nombre de carries). Par ailleurs, la déclinaison de ces trois indicateurs ne sera pas disponible pour les 33 bassins de santé de la région Midi-Pyrénées. Elle ne sera proposée que lorsque l effectif d élèves sur un bassin est suffisant pour offrir une précision acceptable de l estimateur. 6 La dernière partie de ce dossier enfin sera consacrée à l analyse des variations de ces mêmes indicateurs de santé selon les caractéristiques des enfants. Nous envisagerons ainsi les variations selon le sexe, l âge, la composition de la famille et la zone d implantation de l établissement scolaire (rural, urbain ). Ne disposant pas de données individuelles sur la situation socio-économique des enfants, deux variables environnementales seront utilisées comme «proxy» de la mesure du niveau socioéconomique individuel. La première est le fait, pour un élève, d être scolarisé dans un établissement situé dans une zone d éducation prioritaire. Ces zones, bénéficiant d un renforcement de l action éducative, s appellent aujourd hui «Réseau de Réussite Scolaire (RSS)» et «Écoles, Collèges et Lycées pour l Ambition, l Innovation et la Réussite (ECLAIR)». La seconde variable est l indice écologique de défavorisation, variable agrégeant divers indicateurs socioéconomiques d une zone géographique définie. Cet indice, le «French EDI 1» a été calculé en France au niveau des IRIS : îlots regroupés pour l information statistique, qui sont les plus petites unités géographiques pour lesquelles des données du recensement sont disponibles (les IRIS sont conçus pour regrouper environ personnes). Le principe général de la méthode de construction de cet indice est d utiliser les variables disponibles en routine au niveau agrégé (recensement) et associées au statut individuel de défavorisation. Ainsi, le score de l indice écologique de défavorisation intègre les différents paramètres suivants : surpeuplement du logement accès au chauffage central (ou électrique) non-propriétaire chômage pas de voiture ménage de 6 personnes et plus niveau d éducation < primaire logement HLM ouvriers non-qualifiés Concrètement, l analyse a consisté à géo-localiser tous les établissements scolaires à partir de leur adresse permettant ainsi de les positionner sur leur IRIS respectif, sachant que chaque IRIS dispose de son propre indice de défavorisation. Chaque enfant s est ensuite vu attribuer l indice de défavorisation de l établissement scolaire qu il fréquente. 1 Pour en savoir plus : Pournet C, Delpierre C, Dejardin O, Grosclaude P, Launay L, Guittet L, Lang T, Launoy G. Construction of an adaptable European transnational ecological deprivation index: the French version. J Epidemiol Community Health, 2012, 66:

7 La participation en La participation en La participation des infirmier(es) du service de santé scolaire La démarche Infiscol a connu une importante montée en charge sur l année scolaire 2012/ infirmier(es) scolaires intervenant auprès des élèves de grande section de maternelle (GSM) et de sixième ont fait remonter des données, soit une implication de 84% d entre elles (tableau 1). Ce taux de participation des professionnelles est légèrement plus faible en Haute-Garonne (75%) ainsi que dans les Hautes-Pyrénées (72%). Tableau 1 La participation des infirmières Infirmier(es) Nombre total d infirmier(es) (1) ayant participé à Infiscol (transmission de données) Effectif Effectif % Ariège Aveyron Haute-Garonne Gers Lot Hautes-Pyrénées Tarn Tarn-et-Garonne Midi-Pyrénées (1) y-compris remplaçantes de l année Taux de participation par département 7 Le taux d inclusion global dans le dispositif Infiscol s établit, tous départements confondus, à 51% pour les élèves de GSM et à 39% pour les élèves en sixième (tableau 2). Ce taux d inclusion est important et relativement homogène dans la totalité des départements à l exception des Hautes-Pyrénées qui se situent sensiblement en retrait tout particulièrement pour les élèves de sixième pour lesquels le taux de sondage ne s élève qu à 6%. Ce faible taux d inclusion interdit d emblée toute possibilité d analyse pour les élèves de sixième dans ce département. Afin de tenir compte des taux de sondages hétérogènes entre les différents établissements scolaires, un coefficient de pondération a été appliqué à l ensemble des analyses qui suivent de façon à restituer son véritable poids à chaque observation. Tableau 2 Le taux de participation Région Grande section de maternelle Nombre total d élèves Nombre de fiches reçues Taux de sondage (%) Sixième Nombre total d élèves Nombre de fiches reçues Taux de sondage (%) Ensemble Nbre total d élèves (6 e et GSM) Nbre de fiches reçues Taux de sondage (%)

8 La participation en Taux de participation selon l indice de défavorisation Avant de présenter les résultats proprement dits, le tableau suivant reprend le taux d inclusion des élèves selon la distribution de l indice de défavorisation présenté en quintiles. On observe ainsi que les taux d inclusion varient de 40 à 50% selon le niveau de défavorisation des différents établissements scolaires. Cette participation relativement homogène laisse à penser que nous disposons d un échantillon représentatif et non biaisé de la population des enfants scolarisés dans des établissements publics de l académie de Toulouse, en grande section de maternelle et en sixième. Tableau 3 Taux de sondage régional selon la distribution de l indice de défavorisation Indice de défavorisation Effectif total d élèves Effectif Infiscol Taux de sondage (%) 1 er quintile ème quintile ème quintile ème quintile ème quintile Ensemble Le quintile représente la valeur de l indice de défavorisation séparant les IRIS en 5 groupes. Plus l indice est élevé, plus la défavorisation est importante. Le 1 er quintile par exemple regroupe les 20% d IRIS les moins défavorisés. Le 5 ème quintile regroupe lui les 20% d IRIS les plus défavorisés. 8

9 Résultats Infiscol région Midi-Pyrénées Résultats Infiscol région Midi-Pyrénées Données sociodémographiques et de scolarité Les premières séries d indicateurs disponibles dans Infiscol sont les données personnelles des élèves ainsi que celles relatives à la scolarité (tableaux 4 et 5). La quasi-totalité des élèves de GSM ont entre 5 et 6 ans ; la dispersion de l âge en sixième est légèrement plus importante. En GSM, 15% environ des élèves vivent soit dans une famille monoparentale (7%), soit dans une famille recomposée (8%), près de 5% par ailleurs sont en garde alternée. La proportion d élèves en sixième connaissant ces différentes situations familiales est sensiblement plus importante (famille monoparentale : 11%, famille recomposée : 15,8%, garde alternée : 7,7%). Concernant les rythmes scolaires, la part des élèves demi-pensionnaires en maternelle se situe autour de 19% contre 8% environ en sixième. La grande majorité des élèves, que ce soit en GSM ou en 6 e, connaissent une bonne adaptation à l école ; l absentéisme est marginal et concerne 1.3% à 1.9% des élèves. Tableau 4 Caractéristiques des élèves selon la section (% en colonne) Grande section maternelle Sixième % n Tx rép (1). (%) % n Tx rép. (%) Sexe - garçons filles Répartition par âge - <5 ans à 6 ans ans <11 ans à 12 ans ans Situation familiale - famille (père/mère) famille monoparentale famille recomposée vit en garde alternée (1) taux de réponses 9 Tableau 5 Données de scolarité (% en colonne) Grande section maternelle Sixième % n Tx rép (1). (%) % n Tx rép. (%) Régime - externe demi-pensionnaire interne Adaptation de l élève à l école - bonne moyenne à surveiller Absentéisme Suivi Rased Suivi autre (1) taux de réponses

10 Résultats Infiscol région Midi-Pyrénées La couverture vaccinale L un des indicateurs importants du dispositif Infiscol est la couverture vaccinale des élèves estimée à partir des informations présentes sur les carnets de santé. Plus de 87% des élèves se sont présenté au bilan de santé munis de leur carnet de santé, ceci aussi bien en GSM (87.1%) qu en sixième (87.4%), permettant ainsi de réaliser des estimations robustes des taux de vaccination figurant dans le tableau ci-dessous. Tableau 6 Couverture vaccinale (à jour de leurs vaccinations) des élèves de GSM et de sixième Grande section de maternelle Sixième % n % n DTP (tx rép: 81.7%) Coqueluche (tx rép: 79.7) ROR (tx rép: 81.3) Hépatite B (tx rép: 78.0%) BCG (tx rép: 77.0%) Haemo. influenza b (tx rép: 78.6%) Pneumocoque (tx rép: 89.2%) Méningocoque (tx rép: 77.4%)

11 Résultats Infiscol région Midi-Pyrénées Hygiène de vie et sédentarité Quelques items dans Infiscol abordent des thématiques relatives à l hygiène de vie (tableau 7). La quasi-totalité des élèves de GSM (97%) avaient pris un petit-déjeuner la veille de l examen contre 93% environ en 6 e. Les plus jeunes élèves dorment en moyenne près de 11 heures par nuit, moyenne qui s établit autour de 10 heures au collège, avec près d un élève de sixième sur deux qui dort moins de 10 heures par nuit. Pour 12 à 13% des élèves, des troubles du sommeil sont rapportés par les infirmières et des somnolences diurnes pour environ 10%. En GSM, les élèves se rendent à l école le plus souvent en voiture (78%) et/ou à pied (27%). Pour les élèves de 6 e, les moyens pour se rendre à l école sont plus diversifiés. Si l activité sportive extrascolaire est largement répandue notamment en 6 e, ce n est pas le cas des activités artistiques qui ne concernent que 4 à 11% des élèves selon la section. Tableau 7 Hygiène de vie et sédentarité Grande section maternelle Sixième % n Tx rép (1). (%) % n Tx rép. (%) Prise petit-déjeuner (le matin de l examen) - non oui Sommeil Durée moyenne de repos nocturne (la veille de l examen) 10.8 h h 95.7 Durée du repos nocturne <10h Troubles du sommeil Somnolence ou endormissement diurne Durée moyenne du trajet pour se rendre à l école min min 89.1 Moyen(s) de transport utilisé(s) - voiture bus vélo à pied Télévision, jeux vidéo, portable - téléviseur dans la chambre ordinateur dans la chambre possède une console de jeu portable possède un téléphone portable Activités extrascolaires - sportive artistique (1) taux de réponses

12 Résultats Infiscol région Midi-Pyrénées Données néonatales et handicaps La suite des informations recueillies au cours du bilan infirmier concerne les données de santé des élèves avec en premier lieu les données néonatales lorsqu elles sont précisées sur le carnet de santé (tableau 8) et la présence d éventuelles allergies (tableau 9). Tableau 8 Données néonatales et handicaps GSM Sixième % n Tx rép (1). (%) % n Tx rép. (%) Prématurité (2) Si oui - <32 SA SA SA nd Handicap (mentionné dans le carnet de santé) - moteur sensoriel mental, psychique, cognitif polyhandicap Inclusion scolaire PPS (Projet Personnalisé de Scolarisation) PAI (Projet d Accueil Individualisé) (1) taux de réponses (2) Indicateur en cours de validation nd : non déterminé Allergies Tableau 9 Allergies GSM Sixième % n Tx rép (1). (%) % n Tx rép. (%) Souffrent d une allergie Type d allergie : allergènes aériens (acariens, pollen, moisissures, poils d animaux ) alimentaire contact médicaments venins (1) taux de réponses

13 Résultats Infiscol région Midi-Pyrénées Données staturo pondérales Le bilan infirmier comporte pour chaque enfant une mesure de la taille et du poids permettant de calculer l indice de masse corporelle. En GSM, la fréquence du surpoids s établit au plan régional à 7.4% et celle de l obésité à un peu plus de 2%, soit au total près de 10% des élèves en grande section présentant une surcharge pondérale. Par ailleurs, près de 3% des élèves affichent un IMC inférieur à la normale (maigreur) (tableau 10). Si l on considère ces mêmes indicateurs pour les élèves de 6 e, on observe une hausse très sensible de la fréquence de la surcharge pondérale par rapport aux élèves de maternelle (16.7%), imputable pour l essentiel à une fréquence plus importante du surpoids. Tableau 10 Grande section maternelle (1) Données staturo-pondérales des élèves de GSM et de sixième (% en ligne) Maigreur ou Surcharge pondérale Surpoids Obésité extrême maigreur (surpoids + obésité) % n % n % n % n Sixième (2) (1) Taux de réponses IMC : 95.4% (2) Taux de réponses IMC : 96.4% Examen de la vision, de l audition et santé bucco dentaire 13 L examen infirmier est également l occasion de réaliser un bilan de la vision et de l audition ainsi que de la santé bucco-dentaire. Environ un élève sur quatre, en GSM comme en 6 ème, présente un trouble de la vision, trouble qui est fréquemment dépisté lors de l examen infirmier notamment en maternelle mais aussi au collège pour un nombre d élèves non-négligeable (tableau 11). Tableau 11 Bilan visuel GSM Sixième % n Tx rép (1). (%) % n Tx rép. (%) Port de verres correcteurs Vision de près : - normale trouble Bilan vision - pas de trouble trouble connu auparavant trouble dépisté lors de l examen (1) taux de réponses

14 Résultats Infiscol région Midi-Pyrénées Les troubles de l audition sont moins fréquents et concernent 8% des élèves de GSM et 4% en sixième, avec là aussi des troubles qui sont majoritairement dépistés à l occasion du bilan infirmier (tableau 12). Tableau 12 Bilan auditif GSM Sixième % n Tx rép (1). (%) % n Tx rép. (%) Port d une prothèse auditive Environnement sonore satisfaisant (pour réaliser l examen) Bilan audition - pas de trouble trouble connu auparavant trouble dépisté lors de l examen (1) taux de réponses La santé bucco-dentaire enfin apparait globalement bonne avec une faible minorité d élèves présentant une ou plusieurs dents cariées non-traitées (7.5% en GSM et en 6 e ). L hygiène bucco-dentaire est satisfaisante (au moins 2 brossages des dents par jour) pour une majorité d élèves mais reste perfectible pour 43% des élèves de maternelle et 24% des élèves en sixième qui effectuent moins de deux brossages par jour (tableau 13). 14 Tableau 13 Santé bucco-dentaire GSM Sixième % n Tx rép (1). (%) % n Tx rép. (%) Orthodontie Nombre de dents soignées - aucune à à et plus Nombre de dents cariées non traitées - aucune et plus Nombre de brossages de dents quotidien (1) taux de réponses

15 Résultats Infiscol région Midi-Pyrénées Liaisons et motifs de liaison au décours de l examen infirmier Dans 33 à 41% des cas les infirmier(es) ont pris contact avec la famille à l issue du bilan. Par ailleurs, 23% des GSM et 6% des élèves de sixième ont été adressés au médecin scolaire. Les motifs de liaison en GSM concernent le plus souvent des problèmes de vision ou d audition, de dentition ou de vaccination. En sixième il s agit le plus fréquemment de questions liées à a vaccination ou à la vision. (tableau 14). Tableau 14 Liaisons et motifs de liaison GSM Sixième % n % n Liaisons avec. - famille médecin scolaire enseignant médecin traitant chef d établissement Rased assistante sociale vie scolaire autre Motifs de liaison - vision dentition audition vaccination IMC comportement hygiène de vie statique autre

16 Analyses infrarégionales Analyses Infrarégionales Nous proposons dans cette seconde partie de traiter certains indicateurs du dispositif Infiscol d une part à l échelon départemental et d autre part au niveau des 33 bassins de santé de la région Midi-Pyrénées. Les indicateurs retenus sont les suivants : surcharge pondérale (surpoids ou obésité), couverture vaccinale ROR, santé bucco-dentaire : au moins une dent cariée non-traitée. Analyses départementales SURCHARGE PONDÉRALE La fréquence de la surcharge pondérale (surpoids ou obésité) s élève au plan régional à 9.6% en GSM et 16.7% en sixième. L analyse du tableau 15 vise à mettre en évidence d éventuelles disparités interdépartementales, la prévalence en Haute-Garonne tenant lieu de référence. On peut ainsi relever dans trois départements, l Ariège, le Lot et le Tarn-et-Garonne, une fréquence significativement plus importante de la surcharge pondérale par rapport au département de la Haute- Garonne, ceci en GSM comme en sixième. Deux autres départements se distinguent par une fréquence plus importante de la surcharge pondérale mais uniquement en classe de sixième : le Gers et le Tarn. 16 Tableau 15 Fréquence de la surcharge pondérale (surpoids ou obésité) selon la classe et le département Surcharge pondérale (surpoids ou obésité) GSM Sixième % OR (1) p (2) % OR (1) p (2) Haute-Garonne 8.7 réf 13.7 réf Ariège < Aveyron Gers Lot < < Hautes-Pyrénées (3) Tarn Tarn-et-Garonne < < (1) Odds Ratio (2) Les différences significatives sont signalées en gras (3) Effectif insuffisant en sixième pour réaliser un test statistique Lecture du tableau : la probabilité de présenter une surcharge pondérale en GSM est multipliée par 1.6 (p<0.001, significatif) dans le Lot par rapport à la Haute-Garonne et par 1.4 (p<0.001, significatif) dans le Tarn-et-Garonne par rapport à la Haute-Garonne COUVERTURE VACCINALE ROR Au plan régional, 84.7% des élèves de GSM sont correctement vaccinés contre la rougeole, les oreillons et la rubéole, couverture vaccinale qui atteint 87.6% en classe de sixième. Décliné au plan départemental, le taux de couverture vaccinale ROR s avère plus faible dans l Ariège et dans le Tarn pour les deux classes d âge ainsi que dans le Lot mais uniquement pour les élèves de sixième (tableau 16).

17 Analyses infrarégionales Tableau 16 Couverture vaccinale ROR (à jour de leurs vaccinations) des élèves de GSM et de sixième selon le département ROR (à jour de leurs vaccinations) GSM Sixième % OR (1) p (2) % OR (1) p (2) Haute-Garonne 86.0 réf 89.1 réf Ariège < <0.001 Aveyron Gers Lot Hautes-Pyrénées (3) Tarn < Tarn-et-Garonne (1) Odds Ratio (2) les différences significatives sont signalées en gras (3) Effectif insuffisant en sixième pour réaliser un test statistique Lecture du tableau : la probabilité d être à jour de la vaccination ROR en GSM est multipliée par 0.7 (p<0.001, significatif) dans le Tarn par rapport à la Haute-Garonne. SANTÉ BUCCO DENTAIRE L indicateur disponible pour apprécier l état de santé bucco-dentaire est le dépistage par les infirmières d au moins une carie dentaire non traitée, qui concerne 7,5% des élèves de GSM et 7.4% des jeunes collégiens au plan régional. La prévalence de la carie dentaire en GSM est globalement homogène entre les différents départements de la région à l exception du Lot et du Tarn-et-Garonne où elle est significativement plus élevée. Les disparités sont plus marquées en sixième avec 2 départements, la Haute-Garonne et l Ariège, qui affichent une fréquence de la carie dentaire significativement plus faible et à l opposé le Lot, le Gers et le Tarn-et-Garonne où les prévalences sont nettement plus importantes (tableau 17). 17 Tableau 17 Santé bucco-dentaire (au moins une dent cariée non-traitée) des élèves de GSM et de sixième selon le département GSM Au moins une carie non-traitée Sixième % OR (1) p (2) % OR (1) p (2) Haute-Garonne 6.2 réf 4.9 réf Ariège Aveyron <0.001 Gers <0.001 Lot <0.001 Hautes-Pyrénées (3) Tarn Tarn-et-Garonne < <0.001 (1) Odds Ratio (2) les différences significatives sont signalées en gras (3) Effectif insuffisant en sixième pour réaliser un test statistique Lecture du tableau : la probabilité de présenter au moins une carie en GSM est multipliée par 1.5 (p<0.001, significatif) dans le Lot par rapport à la Haute-Garonne.

18 Analyses infrarégionales Analyses par bassins de santé 18 Dans les analyses qui suivent, les mêmes indicateurs que précédemment sont déclinés à l échelle des 33 bassins de santé de Midi-Pyrénées. Les données ne sont traitées que pour les bassins de santé offrant un effectif d élèves suffisant et donc une précision de l estimation acceptable. Les niveaux de précision qui ont été retenus pour décider de présenter ou non les résultats des bassins sont les suivants : surcharge pondérale : +/-3% autour de la prévalence estimée au moins une carie dentaire : +/-3% autour de la prévalence estimée taux de couverture vaccinale ROR : +/-5% autour de la prévalence estimée Exemple : une prévalence de la surcharge pondérale estimée à 11% dans un bassin de santé avec un intervalle de confiance à 95% compris entre 6% et 16% ne sera pas présentée dans les résultats ci-dessous.

19 Analyses infrarégionales SURCHARGE PONDÉRALE La prévalence de la surcharge pondérale a pu être estimée avec une précision suffisante dans 19 bassins de santé pour les élèves de GSM et dans 16 bassins en sixième. Au plan régional, la prévalence de la surcharge pondérale s élève à 9.6% en GSM et 16.7% en sixième. Cette prévalence s écarte significativement de la moyenne régionale dans 4 bassins de santé pour les élèves scolarisés en maternelle. Elle se situe en dessous de la moyenne régionale dans les bassins de Cornebarrieu, L Isle-Jourdain et Saint-Gaudens, elle est au contraire plus élevée dans le bassin de Montauban (carte 1). Pour les élèves de sixième, 3 bassins se distinguent du point de vue de la surcharge pondérale : Lavelanet et Nogaro (prévalence plus élevée qu au plan régional) et Villefranche de Lauraguais (prévalence plus faible) (carte 2). Carte 1 Prévalence de la surcharge pondérale en GSM par bassin de santé 19 Carte 2 Prévalence de la surcharge pondérale en 6ème par bassin de santé

20 Analyses infrarégionales COUVERTURE VACCINALE ROR Le taux de couverture vaccinale ROR est disponible pour 23 bassins de santé en GSM et 21 bassins en sixième. Il s élève au plan régional à 84.7% en maternelle et 87.6% au collège. En GSM, le taux de couverture vaccinale ROR est plus faible qu au plan régional dans 2 bassins de santé : Albi et Castres. Quatre bassins en revanche affichent une couverture plus élevée : Cahors, Millau, Saint-Jean l Union et Toulouse (carte 3). En sixième, la couverture vaccinale ROR apparait plus homogène à l exception de deux bassins de santé où elle est plus élevée qu au plan régional : Cornebarrieu et Muret (carte 4). Carte 3 Taux de couverture vaccinale ROR en GSM par bassin de santé 20 Carte 4 Taux de couverture vaccinale ROR en 6ème par bassin de santé

21 Analyses infrarégionales SANTÉ BUCCO DENTAIRE Le dernier indicateur décliné par bassin de santé est la fréquence de la carie dentaire (au moins une dent cariée non-traitée) disponible pour 20 bassins en GSM et 19 bassins en 6 ème. On peut observer une assez grande hétérogénéité de la fréquence de la carie dentaire entre les différents bassins de santé en GSM comme en sixième (cartes 5 et 6). Notons que 3 bassins de santé affichent des prévalences significativement plus faibles pour les deux classes d âge : Cornebarrieu, Pamiers et Villefranche de Lauraguais. Carte 5 Santé bucco-dentaire (au moins une carie non-traitée) en GSM 21 Carte 6 Santé bucco-dentaire (au moins une carie non-traitée) en 6 ème

22 Analyse des facteurs associés à la surcharge pondérale, la vaccination ROR et la santé bucco-dentaire Analyse des facteurs associés à la surcharge pondérale, la vaccination ROR et la santé bucco-dentaire Nous proposons dans ce dernier chapitre d explorer les facteurs potentiellement discriminants sur les trois marqueurs de santé que sont la surcharge pondérale, la couverture vaccinale ROR et la santé buccodentaire (à travers la présence d au moins une dent cariée non-traitée). Nous disposons pour ce faire d un certain nombre de variables dont certaines sont individuelles et d autres collectives. Les variables individuelles utilisées dans les analyses sont les suivantes : sexe classe composition du foyer en 3 modalités : famille (père et mère) / famille monoparentale / famille recomposée Les variables collectives sont de plusieurs types : 22 Zone d implantation de l établissement scolaire en 4 modalités commune rurale de moins de 2000 habitants commune appartenant à une unité urbaine de 2000 à moins de hab commune appartenant à une unité urbaine de à moins de hab commune appartenant à une unité urbaine de plus de hab (soit l agglomération toulousaine) En l absence de données permettant d apprécier la situation socio-économique du foyer de chaque élève, deux variables permettant de l approcher de façon indirecte seront utilisées. Élèves scolarisés dans un établissement situé sur une zone d éducation prioritaire : ces zones s appellent aujourd hui «Réseau de Réussite Scolaire (RSS)» et «Écoles, Collèges et Lycées pour l Ambition, l Innovation et la Réussite (ECLAIR)». Indice écologique de défavorisation de la zone d implantation de l établissement scolaire : chaque élève se voit attribuer l indice de défavorisation de la zone d implantation de l établissement scolaire qu il fréquente. La méthode statistique utilisée dans les analyses suivantes est la régression logistique multiple qui permet d apprécier, toutes choses égales par ailleurs, le rôle propre d une variable indépendamment des autres variables. Dans toutes les analyses qui suivent, les élèves de grande section de maternelle et de sixième seront traités séparément.

23 Analyse des facteurs associés à la surcharge pondérale, la vaccination ROR et la santé bucco-dentaire FACTEURS ASSOCIÉS À LA SURCHARGE PONDÉRALE Au plan régional, la prévalence de la surcharge pondérale s établit respectivement environ à 10% en grande section de maternelle et 17% en sixième. Des variations sensibles selon le sexe peuvent être relevées avec chez les plus jeunes une fréquence plus importante chez les filles et à l inverse une prévalence plus importante chez les garçons au collège. Les variations selon le niveau d urbanisation sont peu marquées en GSM mais plus nettes en sixième avec une fréquence significativement plus élevée dans les petites communes de 2000 à habitants et au contraire plus faible dans l agglomération toulousaine. Les indicateurs témoignant d une certaine forme de fragilité sociale sont également discriminants et ceci tout particulièrement chez les plus jeunes. On observe ainsi que les enfants vivants au sein d une famille monoparentale sont particulièrement touchés par la surcharge pondérale de même que ceux scolarisés au sein d un établissement scolaire situé en zone d éducation prioritaire (uniquement enfants de GSM). On relève enfin parmi les enfants les plus jeunes, une élévation continue de la surcharge pondérale avec le niveau de défavorisation du lieu où il est scolarisé. Tableau 18 Facteurs associés à la surcharge pondérale, élèves de grande section de maternelle et de 6 ème Surcharge pondérale (surpoids ou obésité) Élèves de grande section Élèves de sixième de maternelle % OR (1) P (2) % OR (1) P (2) Ensemble des élèves Sexe - garçons 8.0 réf 19.0 réf - filles < <0.001 Situation familiale - famille (père et mère) 9.2 réf 15.9 réf - famille monoparentale < < famille recomposée Situation de l établissement scolaire - commune rurale (<2000 hab) 9.8 réf 16.2 réf - UU (3) 2000 à <10000 hab UU à < hab agglomération toulousaine Établissement ZEP (4) - non 9.2 réf 16.6 réf - oui < Indice de défavorisation (5) - 1 er quintile 7.9 réf 15.0 réf - 2 ème quintile ème quintile < ème quintile ème quintile (1) : Odds Ratio ajusté sur l ensemble des variables du tableau (2) : Les différences significatives au seuil de 5% sont signalées en gras (3) : Unité Urbaine (4) : Regroupe les établissements situés en zone RSS (Réseau de Réussite Scolaire) ou en zone ECLAIR (Écoles, Collèges et Lycées pour l Ambition, l Innovation et la Réussite) (5) : Distribution nationale de l indice de défavorisation (variable continue) en quintiles. Le premier quintile correspond aux zones les moins défavorisées et le cinquième aux territoires les plus défavorisés. Lecture du tableau : La probabilité de présenter une surcharge pondérale pour les enfants de grande section de maternelle scolarisés dans une zone d éducation prioritaire est multipliée par 1.6 (OR significatif p<0.001) par rapport aux élèves situés hors zone d éducation prioritaire.

24 Analyse des facteurs associés à la surcharge pondérale, la vaccination ROR et la santé bucco-dentaire FACTEURS ASSOCIÉS À LA VACCINATION ROR 85 à 88% des élèves, selon le niveau de scolarisation, sont à jour de leur vaccination ROR, avec comme on peut le constater un taux de couverture vaccinale qui a tendance à être meilleur dans les zones régionales les plus urbanisées (unités urbaines de habitants et plus). Comme pour la surcharge pondérale, une situation socio-économique plus défavorable (estimée avec l indice de défavorisation) est globalement associées à un plus faible taux de couverture vaccinale. On ne retrouve pas en revanche de différentiel entre les zones Zep et non-zep, ce qui peut peut-être s expliquer par les actions de rattrapage vaccinal souvent mises en œuvre dans ces territoires (PMI). On peut enfin relever une couverture vaccinale moins développée parmi les enfants vivant dans une famille monoparentale ou recomposée. Tableau 19 Facteurs associés à la vaccination ROR, élèves de grande section de maternelle et de 6 ème Vaccination ROR à jour Élèves de grande section Élèves de sixième de maternelle % OR (1) P (2) % OR (1) P (2) Ensemble des élèves Sexe - garçons 84.1 réf 88.6 réf - filles Situation familiale - famille (père et mère) 86.1 réf 88.8 réf - famille monoparentale < famille recomposée < <0.001 Situation de l établissement scolaire - commune rurale (<2000 hab) 83.0 réf 85.6 réf - UU (3) 2000 à <10000 hab UU à < hab < agglomération toulousaine < Établissement ZEP (4) - non 84.6 réf 87.9 réf - oui Indice de défavorisation (5) - 1 er quintile 87.5 réf 91.2 réf - 2 ème quintile ème quintile ème quintile ème quintile < <0.001 (1) : Odds Ratio ajusté sur l ensemble des variables du tableau (2) : Les différences significatives au seuil de 5% sont signalées en gras (3) : Unité Urbaine (4) : Regroupe les établissements situés en zone RSS (Réseau de Réussite Scolaire) ou en zone ECLAIR (Écoles, Collèges et Lycées pour l Ambition, l Innovation et la Réussite) (5) : Distribution nationale de l indice de défavorisation (variable continue) en quintiles. Le premier quintile correspond aux zones les moins défavorisées et le cinquième aux territoires les plus défavorisés. Lecture du tableau : La probabilité d être à jour de la vaccination ROR en grande section de maternelle dans l agglomération toulousaine est multipliée par 1.6 (OR significatif p<0.001) par rapport aux élèves de GSM scolarisés dans une commune rurale.

25 Analyse des facteurs associés à la surcharge pondérale, la vaccination ROR et la santé bucco-dentaire FACTEURS ASSOCIÉS À LA SANTÉ BUCCO DENTAIRE : AU MOINS UNE DENT CARIÉE NON TRAITÉE La santé bucco-dentaire est estimée par la présence d au moins une dent cariée non-traitée, situation qui concerne environ 7.5% des enfants examinés. Comme pour les indicateurs de santé envisagés précédemment, on observe que les enfants vivant en famille monoparentale présentent une fréquence plus importante de la carie dentaire. La santé bucco-dentaire comme on le sait est un marqueur toujours fortement associé au niveau socioéconomique. Cette relation se vérifie dans nos analyses avec comme on peut le noter un état de santé bucco-dentaire plus dégradé pour les jeunes scolarisés en zone d éducation prioritaire, et ce tout particulièrement en GSM. On observe par ailleurs une très forte relation entre la fréquence de la carie dentaire et l indice de défavorisation, fréquence qui varie de 4% dans les zones les plus favorisées à près de 15% dans celles qui sont le plus défavorisées. Tableau 20 Facteurs associés à la carie dentaire (au moins une dent cariée non-traitée), élèves de grande section de maternelle et de sixième Au moins une dent cariée non-traitée Élèves de grande section Élèves de sixième de maternelle % OR (1) P (2) % OR (1) P (2) Ensemble des élèves Sexe - garçons 7.4 réf 8.1 réf - filles Situation familiale - famille (père et mère) 7.1 réf 6.6 réf - famille monoparentale < famille recomposée Situation de l établissement scolaire - commune rurale (<2000 hab) 5.6 réf 9.0 réf - UU (3) 2000 à <10000 hab UU à < hab agglomération toulousaine Établissement ZEP (4) - non 6.7 réf 7.2 réf - oui < Indice de défavorisation (5) - 1 er quintile 3.8 réf 3.2 réf - 2 ème quintile ème quintile < ème quintile < < ème quintile < <0.001 (1) : Odds Ratio ajusté sur l ensemble des variables du tableau (2) : Les différences significatives au seuil de 5% sont signalées en gras (3) : Unité Urbaine (4) : Regroupe les établissements situés en zone RSS (Réseau de Réussite Scolaire) ou en zone ECLAIR (Écoles, Collèges et Lycées pour l Ambition, l Innovation et la Réussite) (5) : Distribution nationale de l indice de défavorisation (variable continue) en quintiles. Le premier quintile correspond aux zones les moins défavorisées et le cinquième aux territoires les plus défavorisés. Lecture du tableau : La probabilité de présenter au moins une carie dentaire pour les enfants de grande section de maternelle scolarisés dans une zone d éducation prioritaire est multipliée par 1.7 (OR significatif p<0.001) par rapport aux élèves situés en zone non prioritaire.

26 Synthèse et perspectives Synthèse et perspectives Les infirmier(es) du service de promotion de la santé en faveur des élèves de l académie de Toulouse se sont fortement mobilisées autour du dispositif Infiscol, permettant, pour l année scolaire 2012/2013 de recueillir des indicateurs de santé pour plus de élèves, soit 51% des élèves scolarisés en grande section de maternelle et 39% des élèves de sixième (ceci uniquement dans les établissements scolaires publics). Au sien des différents départements de la région, cette participation s est avérée globalement suffisante pour permettre de décliner certains indicateurs à l échelle départementale, à l exception notable des élèves de sixième dans les Hautes-Pyrénées. 26 L ambition affichée de la démarche était également de produire des indicateurs de santé à une échelle plus fine que le département, à savoir les 33 bassins de santé de la région Midi- Pyrénées, dans une perspective de prévention ciblée au plus près des territoires. Cet objectif pour 2012/2013 n est que partiellement atteint et des données n ont pu être proposées que dans 50 à 70% des bassins de santé selon la classe d âge et le type d indicateur. Nous avons pu enfin constater dans ce travail la prégnance toujours aussi importante des inégalités sociales de santé avec globalement des marqueurs de santé plus dégradés dans les territoires les plus défavorisés. L enjeu qui se pose à court et moyen terme est bien évidemment de maintenir la mobilisation des professionnel(les) sur le terrain pour assurer un taux d inclusion d élèves acceptable voire l augmenter. Il s agit en effet d être en mesure d apprécier, avec une précision suffisante, l évolution des principaux indicateurs de santé au sein des territoires mais également de proposer des analyses infrarégionales à l échelle la plus fine possible.

27 Annexe Annexe Contenu du bilan infirmier 27

28 Annexe 28

29 Annexe 29

30 Annexe 30

Cet article s attache tout d abord

Cet article s attache tout d abord Méthodes internationales pour comparer l éducation et l équité Comparaison entre pays des coûts de l éducation : des sources de financement aux dépenses Luc Brière Marguerite Rudolf Bureau du compte de

Plus en détail

Précarité sociale et recours aux soins dans les établissements de soins du Tarn-et-Garonne

Précarité sociale et recours aux soins dans les établissements de soins du Tarn-et-Garonne O B S E R V A T O I R E R E G I O N A L D E L A S A N T E D E M I D I - P Y R E N E E S Précarité sociale et recours aux soins dans les établissements de soins du Tarn-et-Garonne Novembre 2007 SYSTEME

Plus en détail

Santé bucco-dentaire des enfants : des inégalités dès le plus jeune âge

Santé bucco-dentaire des enfants : des inégalités dès le plus jeune âge ét udes et résultats N 847 juillet 213 Santé bucco-dentaire des enfants : des inégalités dès le plus jeune âge La santé bucco-dentaire des enfants s est nettement améliorée ces vingt dernières années.

Plus en détail

Le niveau de revenus des ménages est associé à la couverture vaccinale par le vaccin pneumocoque conjugué chez les enfants d'ile-de-france

Le niveau de revenus des ménages est associé à la couverture vaccinale par le vaccin pneumocoque conjugué chez les enfants d'ile-de-france Le niveau de revenus des ménages est associé à la couverture vaccinale par le vaccin pneumocoque conjugué chez les enfants d'ile-de-france Jean-Paul Guthmann, Pierre Chauvin, Yann Le Strat, Marion Soler,

Plus en détail

Bien-être et information sur la santé

Bien-être et information sur la santé ( Bien-être et santé sont indissociablement liés. Des enquêtes qualitatives menées auprès des jeunes rapportent le stress et la fatigue parmi les principaux problèmes de santé. L ennui est aussi souvent

Plus en détail

À retenir... 1. Ce qu en disent les acteurs communautaires

À retenir... 1. Ce qu en disent les acteurs communautaires 1 Volet 4 : Ainé-e-s Table des matières À retenir... 1 Ce qu en disent les acteurs communautaires... 1 1. Un portrait des aîné e s du quartier... 2 1.1 Répartition des personnes âgées de 65 ans et plus...

Plus en détail

Comment les pratiques en milieu scolaire agissent-elles au regard des inégalités sociales de santé? Regard sur trois continents

Comment les pratiques en milieu scolaire agissent-elles au regard des inégalités sociales de santé? Regard sur trois continents Comment les pratiques en milieu scolaire agissent-elles au regard des inégalités sociales de santé? Regard sur trois continents Rencontre francophone internationale sur les inégalités sociales de santé

Plus en détail

Services à la personne

Services à la personne Enquête régionale auprès des entreprises agréées 2010 Services à la personne Midi-Pyrénées En France : > 390 000 emplois créés depuis 2005 > Près de 2 millions de salariés dans les services à la personne

Plus en détail

Questionnaire à l attention des parents d enfant(s) en situation de handicap

Questionnaire à l attention des parents d enfant(s) en situation de handicap Questionnaire à l attention des parents d enfant(s) en situation de handicap Ce questionnaire s inscrit dans le cadre d une démarche de travail collectif des services de la ville en charge de l accueil

Plus en détail

La fumée de tabac secondaire (FTS) en Mauricie et au Centre-du- Québec, indicateurs du plan commun tirés de l ESCC de 2007-2008

La fumée de tabac secondaire (FTS) en Mauricie et au Centre-du- Québec, indicateurs du plan commun tirés de l ESCC de 2007-2008 La fumée de tabac secondaire (FTS) en Mauricie et au Centre-du- Québec, indicateurs du plan commun tirés de l ESCC de 2007-2008 Ce document se veut une analyse succincte des indicateurs se rapportant à

Plus en détail

EN COLLABORATION AVEC LE SERVICE INFIRMIER DE LA SANTE SCOLAIRE DE L INSPECTION ACADEMIQUE DU DOUBS

EN COLLABORATION AVEC LE SERVICE INFIRMIER DE LA SANTE SCOLAIRE DE L INSPECTION ACADEMIQUE DU DOUBS EN COLLABORATION AVEC LE SERVICE INFIRMIER DE LA SANTE SCOLAIRE DE L INSPECTION ACADEMIQUE DU DOUBS UN DISPOSITIF : 3 OBJECTIFS COMPLEMENTAIRES Apprendre... et habituer les enfants aux Apprendre... bonnes

Plus en détail

L obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie. DANIEL RIGAUD CHU de Dijon

L obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie. DANIEL RIGAUD CHU de Dijon L obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie DANIEL RIGAUD CHU de Dijon 46 Obésité : définition L obésité est définie comme un excès de masse grasse associée à un surcroît

Plus en détail

L évolution des parts modales des déplacements domicile-travail

L évolution des parts modales des déplacements domicile-travail Thème : Transport durable Orientation : Faire évoluer les pratiques de mobilité L évolution des parts modales des déplacements domicile-travail par aire urbaine et département hors aires urbaines La part

Plus en détail

PLAN D ACTION DE SANTÉ DENTAIRE PUBLIQUE 2005 2015. Bilan régional des activités 2012 2013

PLAN D ACTION DE SANTÉ DENTAIRE PUBLIQUE 2005 2015. Bilan régional des activités 2012 2013 PLAN D ACTION DE SANTÉ DENTAIRE PUBLIQUE 2005 2015 Bilan régional des activités 2012 2013 PLAN D ACTION DE SANTÉ DENTAIRE PUBLIQUE 2005 2015 Bilan régional des activités 2012 2013 est une production

Plus en détail

TEST DE DÉPISTAGE DE L IMMUNITÉ CONTRE LE

TEST DE DÉPISTAGE DE L IMMUNITÉ CONTRE LE TEST DE DÉPISTAGE DE L IMMUNITÉ CONTRE LE 14 TÉTANOS ET LA ROUGEOLE 14.1 INTRODUCTION Soumaïla MARIKO Comme on l a déjà précisé au chapitre 1, des tests de dépistage de l immunité contre le tétanos et

Plus en détail

Plus d un bénéficiaire sur quatre réside à Toulouse

Plus d un bénéficiaire sur quatre réside à Toulouse Caractéristiques et recours aux soins des populations bénéficiaires de la Couverture maladie universelle complémentaire (CMU_C) : plus jeunes, plutôt féminines et en moins bonne santé En Midi-Pyrénées,

Plus en détail

Faut-il développer la scolarisation à deux ans?

Faut-il développer la scolarisation à deux ans? Faut-il développer la scolarisation à deux ans? 01 L école maternelle française est fréquemment citée comme l un des points forts de notre système éducatif et la pression de certaines familles est aujourd'hui

Plus en détail

Les Français et l assurance santé

Les Français et l assurance santé Mai 2013 Contacts : 01 45 84 14 44 Jérôme Fourquet Magalie Gérard prénom.nom@ifop.com Les Français et l assurance santé pour Note méthodologique Etude réalisée pour : Groupama Assurances Echantillon :

Plus en détail

L'Obésité : une épidémie?

L'Obésité : une épidémie? Communiqué de presse 5 mars 2014 L'Obésité : une épidémie? Résultats de l'étude MGEN «Habitudes de vie et surpoids» 3 Français sur 4 se jugent en bonne santé, 1 sur 2 est en surpoids, 16% sont obèses 2/3

Plus en détail

Contrat de plan Régional de Développement des Formations Professionnelles 2011-2015. Diagnostic Régional Emploi Formation Midi-Pyrénées

Contrat de plan Régional de Développement des Formations Professionnelles 2011-2015. Diagnostic Régional Emploi Formation Midi-Pyrénées Contrat de plan Régional de Développement des Formations Professionnelles 2011-2015 Diagnostic Régional Emploi Formation Midi-Pyrénées Mai 2011 Contrat de plan Régional de Développement des Formations

Plus en détail

Les Français et les nuisances sonores. Ifop pour Ministère de l Ecologie, du Développement Durable et de l Energie

Les Français et les nuisances sonores. Ifop pour Ministère de l Ecologie, du Développement Durable et de l Energie Les Français et les nuisances sonores Ifop pour Ministère de l Ecologie, du Développement Durable et de l Energie RB/MCP N 112427 Contacts Ifop : Romain Bendavid / Marion Chasles-Parot Département Opinion

Plus en détail

FICHE SIGNALETIQUE. Cœur de Flandre. 1. Profil Territoire. 2 Profil Fiscal

FICHE SIGNALETIQUE. Cœur de Flandre. 1. Profil Territoire. 2 Profil Fiscal FICHE SIGNALETIQUE Pays Cœur de Flandre Consultable sur www.sigale.nordpasdecalais.fr Le pays a été reconnu le 9 mars 2004 et le premier contrat a été signé le 15 décembre 2004. Il comporte 45 communes

Plus en détail

L Observatoire de l Artisanat de Midi-Pyrénées

L Observatoire de l Artisanat de Midi-Pyrénées L artisanat en Midi- Atlas Edition 2015 L Observatoire de l Artisanat de Midi- www.artisanat-mp.fr Sources : Observatoire de l artisanat Midi-, répertoire des métiers au 31/12/2014 URSSAF Midi- «Mieux

Plus en détail

18A GFE. Tendances régionales. Nettoyage Assainissement. de l emploi, du marché du travail. et de la formation en Midi-Pyrénées.

18A GFE. Tendances régionales. Nettoyage Assainissement. de l emploi, du marché du travail. et de la formation en Midi-Pyrénées. Tendances régionales de l emploi, du marché du travail et de la formation en Midi-Pyrénées GFE 18A Dans les domaines Nettoyage Assainissement Contrat de plan Etat-Région 2000-2006 Novembre 2006 Dossier

Plus en détail

Les durées d emprunts s allongent pour les plus jeunes

Les durées d emprunts s allongent pour les plus jeunes Revenus Les durées d emprunts s allongent pour les plus jeunes Marie-Émilie Clerc, Pierre Lamarche* Entre 2005 et 2011, l endettement des ménages a fortement augmenté, essentiellement du fait de la hausse

Plus en détail

Bilan de la concertation sur le PEDT

Bilan de la concertation sur le PEDT les périscolaires Bilan de la concertation sur le PEDT J www.ville-cergy.fr Sommaire 1. Préambule 4 2. Le cadre de la démarche 5 2.1. Les objectifs 6 2.2. Les sujets du débat 6 2.3. Le déroulé de la démarche

Plus en détail

S ONDAGE SUR LA SCOLARIS ATION E N MILIE U ORDINAIRE DES ENFANTS E N S ITUATION DE HANDICAP EN ELEMENTAIRE ET AU COLLEGE

S ONDAGE SUR LA SCOLARIS ATION E N MILIE U ORDINAIRE DES ENFANTS E N S ITUATION DE HANDICAP EN ELEMENTAIRE ET AU COLLEGE S ONDAGE SUR LA SCOLARIS ATION E N MILIE U ORDINAIRE DES ENFANTS E N S ITUATION DE HANDICAP EN ELEMENTAIRE ET AU COLLEGE - Sondage de l'institut CSA - - Note des principaux enseignements - N 1001198 Février

Plus en détail

RESTAURANT SCOLAIRE MACOT ET LA PLAGNE LA PLAGNE Tél. 04.79.06.87.62 MACOT : Tél. 04.79.08.97.83

RESTAURANT SCOLAIRE MACOT ET LA PLAGNE LA PLAGNE Tél. 04.79.06.87.62 MACOT : Tél. 04.79.08.97.83 REGLEMENT INTERIEUR Les services de cantines scolaires, qui n ont pas de caractère obligatoire, ont pour but, de permettre la restauration des enfants scolarisés, dont les parents travaillent. Les enfants

Plus en détail

q u estions santé d économie de la résultats Repères

q u estions santé d économie de la résultats Repères Bulletin d information en économie de la santée q u estions d économie de la santé résultats Repères Fin 2003, l Irdes a mené une enquête sur la protection sociale complémentaire d entreprise (PSCE) auprès

Plus en détail

«Politique des ARS pour les seniors»

«Politique des ARS pour les seniors» «Politique des ARS pour les seniors» Claude EVIN, Directeur Général de l Agence Régionale de Santé d Ile-de-France XX/XX/XX L ARS, acteur majeur de la politique de santé et d accompagnement au service

Plus en détail

9.11 Les jeux de hasard et d argent

9.11 Les jeux de hasard et d argent 9.11 Les jeux de hasard et d argent Maud Pousset, Marie-Line Tovar 288 Les jeux de hasard et d argent (JHA) constituent une activité ancienne et répandue, mais longtemps interdite. Leur offre s est étoffée,

Plus en détail

Burkina Faso Profil pays EPT 2014

Burkina Faso Profil pays EPT 2014 Burkina Faso Profil pays EPT 14 Contexte général Situé au cœur de l Afrique occidentale, dans la boucle du Niger, le Burkina Faso est l un pays des pays les plus peuplés de la sous-région Ouest-africaine

Plus en détail

BILAN projet DIABSAT 2010-2011. Diabétologie par Satellite

BILAN projet DIABSAT 2010-2011. Diabétologie par Satellite BILAN projet DIABSAT 2010-2011 Diabétologie par Satellite 1 OBJECTIFS Développer et évaluer 3 services de télémédecine assistés par satellite Volet 1 : Education à la nutrition et promotion de l activité

Plus en détail

Étude sur les taux de revalorisation des contrats individuels d assurance vie au titre de 2013 n 26 mai 2014

Étude sur les taux de revalorisation des contrats individuels d assurance vie au titre de 2013 n 26 mai 2014 n 26 mai 2014 Étude sur les taux de revalorisation des contrats individuels d assurance vie au titre de 2013 Sommaire 1.INTRODUCTION 4 2.LE MARCHÉ DE L ASSURANCE VIE INDIVIDUELLE 6 2.1.La bancassurance

Plus en détail

Quels sont les indicateurs socio-sanitaires utiles pour la promotion de la santé en milieu scolaire? Ce que nous apprend la littérature

Quels sont les indicateurs socio-sanitaires utiles pour la promotion de la santé en milieu scolaire? Ce que nous apprend la littérature Secteur des Sciences de la Santé UCL - RESO Unité d Education pour la Santé Institut de Recherche Santé et Société Quels sont les indicateurs socio-sanitaires utiles pour la promotion de la santé en milieu

Plus en détail

Représentant légal 1. Représentant légal 2. Situation de la famille

Représentant légal 1. Représentant légal 2. Situation de la famille DOSSIER FAMILLE PERISCOLAIRE 2014-2015 Ce dossier est à rendre en mairie avec les pièces justificatives et ce, quelque soit votre situation avant le Tout dossier non complet ne sera pas traité. Date de

Plus en détail

ORIENTATIONS DES ACTIONS SOCIO-EDUCATIVES DU CEL 2011-2012

ORIENTATIONS DES ACTIONS SOCIO-EDUCATIVES DU CEL 2011-2012 Document créé le 22/02/2011 Direction de l Education RHONE ORIENTATIONS DES ACTIONS SOCIO-EDUCATIVES DU CEL 2011-2012 En proposant aux collectivités territoriales de négocier et de signer les Contrats

Plus en détail

Règlement intérieur de la restauration scolaire ville de TERGNIER

Règlement intérieur de la restauration scolaire ville de TERGNIER Règlement intérieur de la restauration scolaire ville de TERGNIER SOMMAIRE Chapitre 1 : Inscription 3 Article 1 : Organisation de la restauration scolaire... 3 Article 2 : Fréquentation. 3 Article 3 :

Plus en détail

quel plan pour qui? Répondre aux besoins éducatifs PARticuliers des élèves :

quel plan pour qui? Répondre aux besoins éducatifs PARticuliers des élèves : Répondre aux besoins éducatifs PARticuliers des élèves : quel plan pour qui? _ Le projet d accueil individualisé (PAI) _ Le projet personnalisé de scolarisation (PPS) _ Le plan d accompagnement personnalisé

Plus en détail

quel plan pour qui? Répondre aux besoins éducatifs particuliers des élèves :

quel plan pour qui? Répondre aux besoins éducatifs particuliers des élèves : Répondre aux besoins éducatifs particuliers des élèves : quel plan pour qui? _ Le projet d accueil individualisé (PAI) _ Le projet personnalisé de scolarisation (PPS) _ Le plan d accompagnement personnalisé

Plus en détail

Sécurité et insécurité alimentaire chez les Québécois : une analyse de la situation en lien avec leurs habitudes alimentaires

Sécurité et insécurité alimentaire chez les Québécois : une analyse de la situation en lien avec leurs habitudes alimentaires Sécurité et insécurité alimentaire chez les Québécois : une analyse de la situation en lien avec leurs habitudes alimentaires INSTITUT NATIONAL DE SANTÉ PUBLIQUE DU QUÉBEC Sécurité et insécurité alimentaire

Plus en détail

CONVENTION TRIENNALE D OBJECTIFS POUR LES QUARTIERS POPULAIRES 2013 / 2015. entre LA MINISTRE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTÉ,

CONVENTION TRIENNALE D OBJECTIFS POUR LES QUARTIERS POPULAIRES 2013 / 2015. entre LA MINISTRE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTÉ, CONVENTION TRIENNALE D OBJECTIFS POUR LES QUARTIERS POPULAIRES 2013 / 2015 entre LA MINISTRE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTÉ, LA MINISTRE DÉLÉGUÉE AUX PERSONNES AGÉES ET A L AUTONOMIE, LA MINISTRE

Plus en détail

Dossier d inscription

Dossier d inscription Partie réservée au service : N d arrivée : Ville de Digne-les-Bains Service éducation education@dignelesbains.fr Ecole : Classe : Année scolaire 2015/2016 Services d accueil pour les enfants des écoles

Plus en détail

Mobilisation contre le décrochage scolaire. Bilan de l action entreprise sur l année 2013 et perspectives pour l année 2014

Mobilisation contre le décrochage scolaire. Bilan de l action entreprise sur l année 2013 et perspectives pour l année 2014 Mobilisation contre le décrochage scolaire Bilan de l action entreprise sur l année 2013 et perspectives pour l année 2014 Mercredi 8 janvier 2014 SOMMAIRE Introduction : la Nation mobilisée contre le

Plus en détail

L allocataire dans un couple : l homme ou la femme?

L allocataire dans un couple : l homme ou la femme? L allocataire dans un couple : l homme ou la femme? par Alain Jacquot CNAF-Bureau des Prévisions Les CAF versent une trentaine de prestations (prestations familiales stricto sensu, aides au logement, et

Plus en détail

STAGE DE NATATION. Perfectionnement A GRAND-COURONNE. Comité Ile de France de Natation. (Bassin de 50m couvert) Du 6 au 10 juillet 2015

STAGE DE NATATION. Perfectionnement A GRAND-COURONNE. Comité Ile de France de Natation. (Bassin de 50m couvert) Du 6 au 10 juillet 2015 Comité Ile de France de Natation STAGE DE NATATION Perfectionnement A GRAND-COURONNE (Bassin de 50m couvert) Du 6 au 10 juillet 2015 Ouvert aux 11 / 13 ans - Licencié(e)s FFN 340 Transport compris - Départ

Plus en détail

DE L ÉVALUATION DE LA COMPRÉHENSION DE L ÉCRIT

DE L ÉVALUATION DE LA COMPRÉHENSION DE L ÉCRIT ISSN 1286-9392 MINISTÈRE DE L ÉDUCATION NATIONALE00.50 DÉCEMBRE Depuis avril 2000 tous les jeunes français et françaises d environ 17 ans sont évalués sur leur compétence en compréhension de l écrit dans

Plus en détail

Étude auprès de la génération X. Le paiement virtuel et la gestion des finances personnelles

Étude auprès de la génération X. Le paiement virtuel et la gestion des finances personnelles Étude auprès de la génération X Le paiement virtuel et la gestion des finances Rapport Présenté à Madame Martine Robergeau Agente de Développement et des Communications 11 octobre 2011 Réf. : 1855_201109/EL/cp

Plus en détail

Questionnaire Médical

Questionnaire Médical Nom et prénom(s) de l élève: Date de naissance: Questionnaire Médical Ce formulaire est à compléter, avant de commencer l année scolaire, pour les nouveaux élèves ainsi que pour les élèves poursuivant

Plus en détail

Nouveauté - Nouvelles modalités d inscription

Nouveauté - Nouvelles modalités d inscription Nouveauté - Nouvelles modalités d inscription A compter de la rentrée 2015, la commune a décidé de se doter d un nouveau système de réservation par Internet. Conformément au règlement, chaque famille qui

Plus en détail

En quoi consistera ce jeu?

En quoi consistera ce jeu? 1 Projet Comité d Education à la Santé et à la Citoyenneté inter degré Création jeu par les élèves de l école du Gliesberg, de l école Martin Schongauer et du collège Hans Arp de Strasbourg Création d

Plus en détail

NOTE D INFORMATION L AGENT TERRITORIAL SPÉCIALISÉ DES ÉCOLES

NOTE D INFORMATION L AGENT TERRITORIAL SPÉCIALISÉ DES ÉCOLES L AGENT TERRITORIAL SPÉCIALISÉ DES ÉCOLES M AT E RNE L L E S Note d information réalisée par le rectorat de l académie de Montpellier, le centre national de la fonction publique territoriale, le centre

Plus en détail

Projet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer

Projet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer DOCUMENT D INFORMATION POUR LES PROFESSIONNELS Projet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer Septembre 2009 DÉFINITION ET OBJECTIF Dès lors qu ils expriment un projet de

Plus en détail

Les diplômes. Session 2012

Les diplômes. Session 2012 note d information 13.05 AVRIL À la session 2012, 557 600 diplômes de l enseignement des niveaux IV et V ont été délivrés en France, dont 90 % par le ministère de l éducation nationale. 40 % de ces diplômes

Plus en détail

COMMINGES 2010. Etude portant sur l Artisanat en zones d activités. Contribution de CMA Haute-Garonne. Octobre 2010. Canton de BOULOGNE- SUR-GESSE

COMMINGES 2010. Etude portant sur l Artisanat en zones d activités. Contribution de CMA Haute-Garonne. Octobre 2010. Canton de BOULOGNE- SUR-GESSE BOULOGNE- SUR-GESSE Canton de AURIGNAC MONTREJEAU SAINT-MARTORY SAINT-GAUDENS SALIES-DU- SALAT BARBAZAN Canton d'aspet de SAINT-BEAT COMMINGES 2010 Etude portant sur l Artisanat en zones d activités LUCHON

Plus en détail

L endettement privé des ménages début 2010

L endettement privé des ménages début 2010 Dossier L endettement privé des ménages début 2010 Pierre Lamarche, Laurianne Salembier* Début 2010, 46 % des ménages sont endettés pour un motif privé, c est-à-dire sans lien avec l activité professionnelle,

Plus en détail

Les élèves nouveaux arrivants non francophones en 2010-2011

Les élèves nouveaux arrivants non francophones en 2010-2011 note d information 12.1 MARS 38 1 nouveaux arrivants non francophones de plus de 6 ans ont été scolarisés au cours de l année scolaire 21-211 : 18 5 dans les écoles élémentaires, 16 2 dans les collèges

Plus en détail

ÉDUCATION Côtes d Armor. Collèges publics. Charte de la restauration collective DIRECTION JEUNESSE PATRIMOINE IMMOBILIER

ÉDUCATION Côtes d Armor. Collèges publics. Charte de la restauration collective DIRECTION JEUNESSE PATRIMOINE IMMOBILIER ÉDUCATION Côtes d Armor Collèges publics DIRECTION ÉDUCATION JEUNESSE PATRIMOINE IMMOBILIER Charte de la restauration collective Préambule Dans le cadre de l article 82 de la loi du 13 août 2004, le Département

Plus en détail

Synthèse Contrat. d Objectifs. Diagnostic Les services de l automobile En Midi-Pyrénées. Réalisation Observatoire régional emploi, formation, métiers

Synthèse Contrat. d Objectifs. Diagnostic Les services de l automobile En Midi-Pyrénées. Réalisation Observatoire régional emploi, formation, métiers Synthèse Contrat d Objectifs Diagnostic Les services de l automobile En Midi-Pyrénées Réalisation Observatoire régional emploi, formation, métiers Rédaction Christiane LAGRIFFOUL () Nadine COUZY (DR ANFA

Plus en détail

APPEL A PROJET HEBERGEMENT ET ACCOMPAGNEMENT AGNEMENT EDUCATIF MINEURS ISOLES ETRANGERS ET JEUNES MAJEURS ISOLES ETRANGERS

APPEL A PROJET HEBERGEMENT ET ACCOMPAGNEMENT AGNEMENT EDUCATIF MINEURS ISOLES ETRANGERS ET JEUNES MAJEURS ISOLES ETRANGERS APPEL A PROJET HEBERGEMENT ET ACCOMPAGNEMENT AGNEMENT EDUCATIF MINEURS ISOLES ETRANGERS ET JEUNES MAJEURS ISOLES ETRANGERS Appel à projet hébergement et accompagnement éducatif MIE JMIE octobre 2014 1

Plus en détail

ARS et Conseils généraux de Bretagne Prestations d études et d analyses de l organisation de la prise en charge des personnes avec TED dans les ESSMS

ARS et Conseils généraux de Bretagne Prestations d études et d analyses de l organisation de la prise en charge des personnes avec TED dans les ESSMS ARS et Conseils généraux de Bretagne Prestations d études et d analyses de l organisation de la prise en charge des personnes avec TED dans les ESSMS Synthèse des questionnaires destinés aux établissements

Plus en détail

Monitoring des données relatives au poids effectué par les services médicaux scolaires des villes de Bâle, Berne et Zurich

Monitoring des données relatives au poids effectué par les services médicaux scolaires des villes de Bâle, Berne et Zurich Promotion Santé Suisse Editorial Feuille d information 1 Les données de poids de plus de 13 000 enfants et adolescents dans les villes suisses de, et ont été collectées pour l année scolaire 2012/2013

Plus en détail

FICHE D URGENCE * ECOLE JEAN MOULIN - LE BARCARES - Nom - Prénom de l enfant : Classe :.Date de naissance :..

FICHE D URGENCE * ECOLE JEAN MOULIN - LE BARCARES - Nom - Prénom de l enfant : Classe :.Date de naissance :.. FICHE D URGENCE * ECOLE JEAN MOULIN - LE BARCARES - Nom - Prénom de l enfant : Classe :.Date de naissance :.. Nom et adresse des parents ou du représentant légal :... N et adresse du centre de sécurité

Plus en détail

Stratégie Régionale. envers les Jeunes. l Artisanat

Stratégie Régionale. envers les Jeunes. l Artisanat Stratégie Régionale de l Artisanat envers les Jeunes Stratégie Régionale de l Artisanat envers les Jeunes La Stratégie Régionale de l Artisanat envers les Jeunes (S.R.A.J.) constitue une offre globale

Plus en détail

Estimations 2014 des consommations de produits psychoactifs à 17 ans

Estimations 2014 des consommations de produits psychoactifs à 17 ans Estimations des consommations de produits psychoactifs à 17 ans Stanislas Spilka, Olivier Le Nézet et François Beck Note 2015-02 du 21 avril 2015 L enquête ESCAPAD Cette note présente les premières exploitations

Plus en détail

Plus de 43 000 recrutements et deux concours externes

Plus de 43 000 recrutements et deux concours externes Plus de 43 000 recrutements et deux concours externes 2013 marque le début de la refondation de la formation initiale des enseignants > Pour remplacer les départs des enseignants en 2013, 22 100 postes

Plus en détail

La diffusion des technologies de l information et de la communication dans la société française

La diffusion des technologies de l information et de la communication dans la société française La diffusion des technologies de l information et de la communication dans la société française Étude réalisée par le Centre de Recherche pour l'étude et l'observation des Conditions de Vie (CREDOC) pour

Plus en détail

Protection Maternelle et Infantile Santé scolaire (33b) Professeur Dominique PLANTAZ Septembre 2004

Protection Maternelle et Infantile Santé scolaire (33b) Professeur Dominique PLANTAZ Septembre 2004 Protection Maternelle et Infantile Santé scolaire (33b) Professeur Dominique PLANTAZ Septembre 2004 Objectifs : indiquer les objectifs de prévention du Service départemental de Protection Maternelle et

Plus en détail

Z I G U I N C H O R SITUATION ECONOMIQUE ET SOCIALE REGIONALE 2013. Service Régional de la Statistique et de la Démographie de Ziguinchor

Z I G U I N C H O R SITUATION ECONOMIQUE ET SOCIALE REGIONALE 2013. Service Régional de la Statistique et de la Démographie de Ziguinchor Z I G U I N C H O R REPUBLIQUE DU SENEGAL Un Peuple Un But Une Foi ------------------ MINISTERE DE L ECONOMIE, DES FINANCES ET DU PLAN ------------------ AGENCE NATIONALE DE LA STATISTIQUE ET DE LA DEMOGRAPHIE

Plus en détail

La Mutualité en chiffres

La Mutualité en chiffres La Mutualité en chiffres Édition 2012 La Mutualité en chiffres Édition 2012 La Mutualité, acteur principal de la complémentaire santé page 5 La complémentaire santé dans l activité des mutuelles Les prestations

Plus en détail

Zones d éducation prioritaire : quels moyens pour quels résultats? Une évaluation sur la période 1982-1992

Zones d éducation prioritaire : quels moyens pour quels résultats? Une évaluation sur la période 1982-1992 ÉDUCATION Zones d éducation prioritaire : quels moyens pour quels résultats? Une évaluation sur la période 1982-1992 Roland Bénabou, Francis Kramarz et Corinne Prost* En 1982, face à la persistance de

Plus en détail

LES MODES D ADAPTATION ET DE COMPENSATION DU HANDICAP : Les personnes handicapées motrices à domicile (enquête HID 1999)

LES MODES D ADAPTATION ET DE COMPENSATION DU HANDICAP : Les personnes handicapées motrices à domicile (enquête HID 1999) Délégation ANCREAI Ile-de-France CEDIAS - 5 rue Las-Cases 75007 PARIS Tél : 01 45 51 66 10 Fax : 01 44 18 01 81 E-mail : creai.idf@9online.fr Contact : Carole PEINTRE LES MODES D ADAPTATION ET DE COMPENSATION

Plus en détail

Tableau 1 : Structure du tableau des données individuelles. INDIV B i1 1 i2 2 i3 2 i4 1 i5 2 i6 2 i7 1 i8 1

Tableau 1 : Structure du tableau des données individuelles. INDIV B i1 1 i2 2 i3 2 i4 1 i5 2 i6 2 i7 1 i8 1 UN GROUPE D INDIVIDUS Un groupe d individus décrit par une variable qualitative binaire DÉCRIT PAR UNE VARIABLE QUALITATIVE BINAIRE ANALYSER UN SOUS-GROUPE COMPARER UN SOUS-GROUPE À UNE RÉFÉRENCE Mots-clés

Plus en détail

VOLUME, REPARTITION SPATIALE ET STRUCTURE PAR SEXE ET AGE DES POPULATIONS AUTOCHTONES DU CONGO

VOLUME, REPARTITION SPATIALE ET STRUCTURE PAR SEXE ET AGE DES POPULATIONS AUTOCHTONES DU CONGO MINISTERE DU PLAN, DE L ECONOMIE, DE L AMENAGEMENT DU TERRITOIRE ET DE L INTEGRATION CENTRE NATIONAL DE LA STATISTIQUE ET DES ETUDES ECONOMIQUES REPUBLIQUE DU CONGO Unité*Travail*Progrès VOLUME, REPARTITION

Plus en détail

VILLE D'ORANGE Direction AFFAIRES SCOLAIRES / ANIMATION SPORT LOISIRS. REGLEMENT INTERIEUR ACCUEILS DE LOISIRS PERISCOLAIRES et EXTRASCOLAIRES

VILLE D'ORANGE Direction AFFAIRES SCOLAIRES / ANIMATION SPORT LOISIRS. REGLEMENT INTERIEUR ACCUEILS DE LOISIRS PERISCOLAIRES et EXTRASCOLAIRES VILLE D'ORANGE Direction AFFAIRES SCOLAIRES / ANIMATION SPORT LOISIRS REGLEMENT INTERIEUR ACCUEILS DE LOISIRS PERISCOLAIRES et EXTRASCOLAIRES L'accueil des enfants en Loisirs périscolaires et extrascolaires

Plus en détail

1. Les comptes de dépôt et d épargne

1. Les comptes de dépôt et d épargne 1. Les comptes de dépôt et d épargne 1.1 Les comptes de dépôt 1.1.1 Le taux de possession d un compte de dépôt Le premier constat est celui d un accès important aux comptes de dépôt, quelle que soit la

Plus en détail

Baromètre: les Français et la confiance numérique Vague 2

Baromètre: les Français et la confiance numérique Vague 2 Baromètre: les Français et la confiance numérique Vague 2 Juin 2014 Contact - BVA Opinion Erwan LESTROHAN, directeur d études erwan.lestrohan@bva.fr - 01 71 16 90 9 Victor CHAPUIS, chargé d études Victor.chapuis@bva.fr

Plus en détail

DOSSIER D INSCRIPTION EN CLASSE DE... Rentrée scolaire 2015. L élève

DOSSIER D INSCRIPTION EN CLASSE DE... Rentrée scolaire 2015. L élève E NSEMBLE SCOLAIRE PRIVÉ MENDOI S C OLLÈGE SAINT - P RIVAT LYCÉE NOTRE - DAME D E V E N I R E N S E M B L E COLLÈGE SAINT- PRIVAT 5 Rue des Écoles - 48000 MENDE Tél : 04 66 65 02 72 E-mail : college.stprivat@wanadoo.fr

Plus en détail

PREAMBULE INSCRIPTION AUX SERVICES RESPONSABILITÉ - ASSURANCE HYGIENE ET SANTE

PREAMBULE INSCRIPTION AUX SERVICES RESPONSABILITÉ - ASSURANCE HYGIENE ET SANTE LES REGLEMENTS INTERIEURS RESTAURANT SCOLAIRE ACCUEIL PERISCOLAIRE ACTIVITES PERI-EDUCATIVES Délibéré en Conseil Municipal du 05 Juin 2014 PREAMBULE Les services périscolaires sont des prestations volontairement

Plus en détail

Pacte européen pour la santé mentale et le bien-être

Pacte européen pour la santé mentale et le bien-être Pacte européen pour la santé mentale et le bien-être CONFERENCE DE HAUT-NIVEAU DE L UE ENSEMBLE POUR LA SANTÉ MENTALE ET LE BIEN-ÊTRE Bruxelles, 12-13 juin 2008 Slovensko predsedstvo EU 2008 Slovenian

Plus en détail

La prévention : caractéristique du positionnement de la Mutualité Française sur l ensemble de son offre

La prévention : caractéristique du positionnement de la Mutualité Française sur l ensemble de son offre La prévention : caractéristique du positionnement de la Mutualité Française sur l ensemble de son offre Avril 2011 La longue expérience de la Mutualité Française dans la mise en œuvre d actions de prévention,

Plus en détail

ENQUÊTE SALARIÉS. VIAVOICE Mieux comprendre l opinion pour agir 178 rue de Courcelles 75 017 Paris + 33 (0)1 40 54 13 90 www.institut-viavoice.

ENQUÊTE SALARIÉS. VIAVOICE Mieux comprendre l opinion pour agir 178 rue de Courcelles 75 017 Paris + 33 (0)1 40 54 13 90 www.institut-viavoice. Délégation interministérielle à la Famille ENQUÊTE SALARIÉS Baromètre de l Observatoire de la parentalité en entreprise, en partenariat avec la Délégation interministérielle à la famille et l Union nationale

Plus en détail

Tableau de bord des communautés de l Estrie DEUXIÈME ÉDITION INDICATEURS DÉMOGRAPHIQUES ET SOCIOÉCONOMIQUES

Tableau de bord des communautés de l Estrie DEUXIÈME ÉDITION INDICATEURS DÉMOGRAPHIQUES ET SOCIOÉCONOMIQUES Tableau de bord des communautés de l Estrie DEUXIÈME ÉDITION INDICATEURS DÉMOGRAPHIQUES ET SOCIOÉCONOMIQUES Communauté locale de la Vallée de la Missisquoi Nord MRC de Memphrémagog Ce que les chiffres

Plus en détail

DOSSIER D INSCRIPTION

DOSSIER D INSCRIPTION DOSSIER D INSCRIPTION AUX ACCUEILS PERISCOLAIRES DE LA COMMUNAUTE DE COMMUNES AGLY-FENOUILLEDES NAP ALSH DES MERCREDIS APRES-MIDI ALAE RESTAURATION SCOLAIRE Nom de l enfant :... Prénom :... Date de naissance

Plus en détail

ASSEMBLÉE DES COMMUNAUTÉS DE FRANCE

ASSEMBLÉE DES COMMUNAUTÉS DE FRANCE ASSEMBLÉE DES COMMUNAUTÉS DE FRANCE L évolution des effectifs intercommunaux NOTE TECHNIQUE Juillet 2012 1. Une augmentation des effectifs dans les collectivités locales La fonction publique territoriale

Plus en détail

La mobilité professionnelle revêt

La mobilité professionnelle revêt Mobilité professionnelle 17 Du changement de poste au changement d entreprise, en passant par la promotion : la mobilité des Franciliens Les salariés franciliens, notamment les cadres, ont une propension

Plus en détail

Le baromètre. Dauphine-Crédit Foncier. de l immobilier résidentiel. Tendance globale

Le baromètre. Dauphine-Crédit Foncier. de l immobilier résidentiel. Tendance globale Le baromètre Dauphine-Crédit Foncier de l immobilier résidentiel Tendance globale N. 3 Juin 2011 Kevin Beaubrun-Diant, co-responsable de la chaire «Ville et Immobilier», Université Paris-Dauphine. Cette

Plus en détail

Charte départementale Accueil et scolarisation des enfants de moins de trois ans

Charte départementale Accueil et scolarisation des enfants de moins de trois ans Charte départementale Accueil et scolarisation des enfants de moins de trois ans Page 1 Charte départementale Accueil et scolarisation des enfants de moins de trois ans Sommaire 1. Cadre institutionnel

Plus en détail

L EMPLOI INTERMITTENT DANS LE SPECTACLE AU COURS DE L ANNÉE 2013

L EMPLOI INTERMITTENT DANS LE SPECTACLE AU COURS DE L ANNÉE 2013 Février 2015 - N 15.004 L EMPLOI INTERMITTENT DANS LE SPECTACLE AU COURS DE L ANNÉE 2013 En résumé : En 2013, l emploi intermittent du spectacle concerne 254 000 salariés, 111 000 employeurs relevant du

Plus en détail

La qualité des services mobiles en France métropolitaine

La qualité des services mobiles en France métropolitaine Juin 2014 La qualité des services mobiles en France métropolitaine Synthèse de l enquête 2014 ISSN : 2258-3106 Synthèse des résultats de l enquête 2014 de l ARCEP sur la qualité des services mobiles Ce

Plus en détail

Les internautes et les comparateurs de prix

Les internautes et les comparateurs de prix FM N 19410 Contact L Atelier : Sandra Edouard Baraud Tél : 01 43 16 90 22 sandra.edouardbaraud@atelier.net, Contact Ifop : Frédéric Micheau Tél : 01 45 84 14 44 frederic.micheau@ifop.com pour Les internautes

Plus en détail

CATÉGORIE B TEST D ORIENTATION TECHNIQUES D'EXPRESSION ÉCRITE

CATÉGORIE B TEST D ORIENTATION TECHNIQUES D'EXPRESSION ÉCRITE CENTRE NATIONAL DE LA FONCTION PUBLIQUE TERRITORIALE CATÉGORIE B TEST D ORIENTATION TECHNIQUES D'EXPRESSION ÉCRITE Durée : 3h00 Un concours ou un examen de catégorie B exige un champ de connaissances élargi

Plus en détail

Quelles ressources pour vivre seul, en 2014, dans une commune du Doubs? Essai d évaluation

Quelles ressources pour vivre seul, en 2014, dans une commune du Doubs? Essai d évaluation 1 Septembre 2014 Quelles ressources pour vivre seul, en 2014, dans une commune du Doubs? Essai d évaluation Grand-Charmont est une commune de 5200 habitants qui compte 57 % de logements sociaux. Les revenus

Plus en détail

Prévenir... par la vaccination

Prévenir... par la vaccination Prévenir... par la vaccination 6 La vaccination...... Soit c est OBLIGATOIRE (2)... Les vaccinations obligatoires pour l ensemble de la population et dont les lois sont inscrites dans le Code de la Santé

Plus en détail

Les Français ais et l assurance l

Les Français ais et l assurance l Mai 2013 Contacts: 01 45 84 14 44 Jérôme Fourquet Magalie Gérard prénom.nom@ifop.com Les Français ais et l assurance l santé pour Note méthodologique Etude réalisée pour : Groupama Assurances Echantillon

Plus en détail

CONVENTION. «Etude épidémiologique sur la santé des mineurs et jeunes majeurs confiés à l Aide Sociale à l Enfance en Languedoc-Roussillon»

CONVENTION. «Etude épidémiologique sur la santé des mineurs et jeunes majeurs confiés à l Aide Sociale à l Enfance en Languedoc-Roussillon» Centre Régional d'etudes d'actions et d'informations Centre Régional d'etudes d'actions et d'informations Observatoire Régional de la Santé du Languedoc Roussillon 135 Allée Sacha Guitry - ZAC Tournezy

Plus en détail

Annexes. Sources et concepts. Le zonage en zones d emploi 2010

Annexes. Sources et concepts. Le zonage en zones d emploi 2010 Sources et concepts L étude est basée sur le croisement de deux zonage d étude : celui en zones d emploi, mis à jour en 2010, et celui en bassins de vie (2012). La région Midi-Pyrénées est couverte par

Plus en détail

Règlement intérieur de l école Ste Anne Année 2015/2016

Règlement intérieur de l école Ste Anne Année 2015/2016 Règlement intérieur de l école Ste Anne Année 2015/2016 Ces règles en vigueur à l école Ste Anne ont été établies dans l intérêt des élèves. Leur respect participera au bien-être et à la sécurité de chacun.

Plus en détail

Les Français et leur perception de l école maternelle et élémentaire avant la rentrée 2012

Les Français et leur perception de l école maternelle et élémentaire avant la rentrée 2012 NOTE DETAILLEE Les Français et leur perception de l école maternelle et élémentaire avant la rentrée 2012 Etude Harris Interactive pour le Syndicat National Unitaire des Instituteurs et Professeurs des

Plus en détail