Les hydrocarbures liquides : définitions et données
|
|
- Clotilde Bernard
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Les hydrocarbures liquides : définitions et données Par X. Chavanne Univ. D. Diderot & Institut de Physique du Globe de Paris mai 2015 X. Chavanne - ASPO-F 1
2 Enjeux Jusque dans les années 70, HC liquide pétrole brut Maintenant, HC liquide = pétrole brut + extra-lourd/bitumes + condensats + liquides d'usines de gaz naturel (LUGN) + (gains de raffinerie + autres liquides) Problème de bien définir ces contributions Problème de collecter leurs données de production Problème d'homogénéiser les données entre contributions 1 baril de LUGN n'est pas équivalent à 1 baril de brut mai 2015 X. Chavanne - ASPO-F 2
3 Le pétrole brut (avant) liquide Pétrole brut Séparateurs ( API, % S, PCS v...) Transport Raffinerie Champ d'huile -Densité : de 0,92 à 0,80 (de 25 à 45 degré API) -Contenu énergétique d'1 baril (PCS v ) 1 bep bep : baril d'équivalent pétrole. Unité d'énergie, pas de volume 1 bep = 6,12 GJ 1 baril = 42 gallons US = 159 l. mai 2015 X. Chavanne - ASPO-F 3
4 Brut, condensats, LGN... gaz naturel riche Usine de traitement du gaz gaz nat. sec LUGN LGN Gaz Fraction. (éthane C 2 ) GPL C 3 -C 4 C 5+ gaz liquide brut Séparateurs condensats Assemblage brut GPL... Champ d'huile, gaz ou gaz+condensat GPL : gaz de pétrole liquiéfié LGN : liquide de gaz naturel LUGN : liquide d'usine de traitement du gaz naturel mai 2015 X. Chavanne - ASPO-F 4
5 Crude oil, condensate, NGPL re-injected, vented, fared gases or fuel gas liquid Termes anglais d'après l'useia Lease dry nat. gas marketed nat. gas Natural gas plant NGPL Lease facilities gross withdrawals NGL of nat. gas Separators lease condensate Blending crude oil Gas Fraction Refinery (ethane C 2 ) LPG C 3 -C 4 C 5+ LPG... Oil, gas or gas+condensate field LPG : liquified petroleum gas NGL : natural gas liquids NGPL : natural gas plant liquids mai 2015 X. Chavanne - ASPO-F 5
6 Les données de condensats condensate oil Blending oil Une partie de la production des condensats n'est pas reportée. Source des données : Norvegian Petroleum Directorate (NGL = NGPL). Crédit Jean Lahèrrere. mai 2015 X. Chavanne - ASPO-F 6
7 Sources de données Parmi les organismes collecteurs de données par pays : US Energy Information Administration reporte : total bitume, bruts et condensats + LUGN + (gains de raffinerie...) en baril et en énergie, Agence Internationale de l'énergie reporte : total bitume et bruts + LGN* + (gains de raffinerie...) en baril, British Petroleum (Statist. Review World Energy) reporte : total bitume, bruts, condensats et LUGN en baril et en tonne, ENI (O&G world review) reporte : bitume + bruts par API + ultralégers en baril, * LGN ne comprend qu'une partie des condensats mai 2015 X. Chavanne - ASPO-F 7
8 Un peu de physique... Pourquoi utiliser les barils d'équivalent pétrole - Brut : contenu de 1 b 1 bep (OK). Condensats, 0,91 bep/b. - Gaz déjà exprimé en bep pour comparer avec brut. - L'énergie et la masse se conserve ; pas le volume! 1 b lourd 1 b condensat Blending 2 b Bilan des flux pour les raffineries US : les choix contestables de l'useia (en gras) : gaz de raffinerie : b ou bep? 1 b brut gpl : b liq. ou bep? gaz nat. et H 2 :... : b ou bep? 45 b, 0,04 bep ou 0? Gain en HC liquide - s'il y a - ne doit pas résulter d'un bilan arbitraire. mai 2015 X. Chavanne - ASPO-F 8
9 Un peu de physique... Pourquoi utiliser les barils d'équivalent pétrole - L'énergie - ou la masse - est ce qui intéresse le consommateur 1 b 1 bep éthanol éthanol 1 b gpl 1 bep gpl 1 b essence 1 bep essence Prix en $/GJ pcs entre gaz sec et éthane mai 2015 X. Chavanne - ASPO-F 9
10 La production des LUGN LUGN : liquides des usines de traitement du gaz naturel USA : Mb/j LUGN C 2 C 3 C 4+ Source des données : USEIA DoE L'USEIA ajoute des barils de liquide n'ayant pas les mêmes densités et les mêmes contenus d'énergie (et sous des pressions différentes) mai 2015 X. Chavanne - ASPO-F 10
11 La production des LUGN LUGN : liquides des usines de traitement du gaz naturel Mb/j USA : Mbep/j LUGN LUGN C 2 C 3 C 4+ C 2 C 3 C 4+ Source des données : USEIA DoE Exprimées en barils d'équivalent pétrole, les quantités sont plus faibles, surtout pour C 2 (éthane) et C 3 (propane). mai 2015 X. Chavanne - ASPO-F 11
12 La production des LUGN LUGN : liquides des usines de traitement du gaz naturel Le monde : LUGN Gaz sec La production des LUGN exprimée en baril est surestimée. (production croît d'env. 3%/an, proche de celle du gaz sec) Source des données : USEIA DoE N.B. : un travail similaire peut être fait avec les données de BP (brut+ldgn) et ENI (brut+ultraléger). mai 2015 X. Chavanne - ASPO-F 12
13 Production de pétrole depuis 2000 mai 2015 X. Chavanne - ASPO-F 13
14 Les différentes contributions aux pétroles naturels Pétroles naturels : hydrocarbures issus du sous-sol, liquides ou liquifiés par séparation et simple compression. A moyen terme ils sont peu substituables pour leurs principales utilisations : transport et pétrochimie. Mbep/j Brut&cond. dits conventionnels 67,8 72,3 71,2 70,5 LTO 0,0 0,0 0,6 2,75 XH (Alberta, Vnz) Production depuis ,8 1,6 2,3 2,8 LUGN 4,4 5,1 5,9 6,4 Total 73,0 79,0 80,0 82,5 Source des données jusqu'à 2013 : USEIA DoE Entrée raffinerie mai 2015 X. Chavanne - ASPO-F 14
15 Les différentes contributions aux pétroles naturels Entre 2000 et 2013 (d'après l'useia DoE) : Déclin depuis 2005 de la production de brut&cond. conventionnels : Pour l'instant mesuré mais va s'accélérer : -base de nouvelles réserves à développer de plus en plus faible, -déclin élevé pour beaucoup de gisements mis en développement récemment (marin), -maintien temporaire de production sur anciens champs (Forties, Samotlor...). Depuis 2010 production hors LTO sur un plateau mai 2015 X. Chavanne - ASPO-F 15
16 Résumé Depuis les années 1970, d'autres hydrocarbures que le brut contribuent au pétrole naturel, en particulier les liquides de gaz naturel (LGN), Les LGN se composent de condensats, extraits dans les séparateurs des champs, et des liquides d'usines de gaz naturel (LUGN), nécessitant des opérations plus poussées. Les condensats, souvent assemblés avec le brut, sont très mal reportés. Seul l'energy Inf. Admin. reportent les quantités de LUGN 1 baril de LUGN n'est pas équivalent à 1 baril de brut. Il faut reporter leur contenu énergétique en baril d'équivalent pétrole. En ,4 Mbep/j de LUGN ont été produits,en croissance de 3 %/an, contre 70 Mbep/j de brut et condensats, en déclin. mai 2015 X. Chavanne - ASPO-F 16
Transition énergétique Les enjeux pour les entreprises
Transition énergétique Les enjeux pour les entreprises Alain Grandjean Le 26 novembre 2014 Contact : alain.grandjean@carbone4.com Le menu du jour L énergie dans l économie : quelques rappels Les scénarios
Plus en détailRépublique Algérienne Démocratique et Populaire. Ministère de l énergie et des Mines. Résultat du Secteur de l Energie et des Mines pour l'année 2005
République Algérienne Démocratique et Populaire Ministère de l énergie et des Mines Direction des systèmes d information, des analyses économiques et de la documentation Résultat du Secteur de l Energie
Plus en détailL INDUSTRIE PÉTROLIÈRE FRANÇAISE EN 2014 ET PERSPECTIVES 2015 CONFÉRENCE DE PRESSE DU 10 MARS 2015
L INDUSTRIE PÉTROLIÈRE FRANÇAISE EN 2014 ET PERSPECTIVES 2015 CONFÉRENCE DE PRESSE DU 10 MARS 2015 1 L ÉVÉNEMENT 2014 : FORTE BAISSE DU PRIX DU BARIL Source : UFIP avec des données Reuters 2 1 Marchés
Plus en détailL ENERGIE CORRECTION
Technologie Lis attentivement le document ressource mis à ta disposition et recopie les questions posées sur une feuille de cours (réponds au crayon) : 1. Quelles sont les deux catégories d énergie que
Plus en détailMatériels de Formation du GCE Inventaires Nationaux de Gaz à Effet de Serre. Secteur de l'energie Combustion de Combustibles
Convention Cadre des Nations Unies sur les Changements Climatiques Matériels de Formation du GCE Inventaires Nationaux de Gaz à Effet de Serre Secteur de l'energie Combustion de Combustibles Version du
Plus en détailChangements proposés au Règlement de l Office national de l énergie sur les rapports relatifs aux exportations et importations 1
Changements proposés au Règlement de l Office national de l énergie sur les rapports relatifs aux exportations et importations 1 TITRE ABRÉGÉ 1. Règlement de l Office national de l énergie sur les rapports
Plus en détailLe marché mondial de l énergie a connu ces dix dernières années
Éditions La Découverte, collection Repères, Paris, 2013 VII / Énergie : la nouvelle donne américaine Michaël Bret* Le marché mondial de l énergie a connu ces dix dernières années des évolutions importantes.
Plus en détailLa fin (annoncée) des énergies fossiles
La fin (annoncée) des énergies fossiles Consommation annuelle et prévisions Pétrole, la production et la demande Avantages et utilisation du pétrole Réserves mondiales de pétrole et gaz naturel La fin
Plus en détailRAPPORT SOMMAIRE DE L ÉTUDE SUR LE MARCHÉ DU PROPANE. Prépare pour. l Association canadienne du gaz propane. Préparé par. Purvin & Gertz Inc.
RAPPORT SOMMAIRE DE L ÉTUDE SUR LE MARCHÉ DU PROPANE Prépare pour l Association canadienne du gaz propane Préparé par Buenos Aires ~ Calgary ~ Dubaï ~ Houston Londres ~ Los Angeles ~ Moscou ~ Singapour
Plus en détailÉpreuve collaborative
Épreuve collaborative Épreuve collaborative 1. Faire une présentation de quelqu idé fort relativ au mix énergétique (ou bouquet énergétique). (Exposé de 5 minut maximum) 2. Faut-il encore brûler le charbon?
Plus en détailL offre d énergie: une comparaison France, Allemagne et Japon. Par Pierre Lasserre, Sciences économiques Université du Québec à Montréal
L offre d énergie: une comparaison France, Allemagne et Japon Par Pierre Lasserre, Sciences économiques Université du Québec à Montréal Plan Quelques faits stylisés caractéristiques de la France, de l
Plus en détailPays pétroliers et gaziers du Maghreb et du Moyen-Orient
Pays pétroliers et gaziers du Maghreb et du Moyen-Orient Malgré l ampleur des réserves, la production pétrolière de la plupart des pays du Moyen-Orient et du Maghreb ne devrait pas augmenter significativement
Plus en détailPerformance creates trust
Performance creates trust Investir dans le pétrole et le gaz à travers une stratégie éprouvée Indices stratégiques de Vontobel Juillet 2014 Page 2 Les prix de l énergie augmentent Les prix de nombreuses
Plus en détailLES ENJEUX DE LA VOLATILITE DU PETROLE ET DU GAZ ENTRETIENS ENSEIGNANTS-ENTREPRISE 28 AOÛT 2013- INSTITUT DE L ENTREPRISE
LES ENJEUX DE LA VOLATILITE DU PETROLE ET DU GAZ ENTRETIENS ENSEIGNANTS-ENTREPRISE 28 AOÛT 213- INSTITUT DE L ENTREPRISE Helle Kristoffersen Directeur de la Stratégie TOTAL VOLATILITÉ DES MATIÈRES PREMIÈRES
Plus en détailIFP School. www.ifp-school.com. S'ouvrir de nouveaux horizons. École d'application dans les domaines de l'énergie et des motorisations
IFP School S'ouvrir de nouveaux horizons École d'application dans les domaines de l'énergie et des motorisations www.ifp-school.com Transition énergétique demande énergétique mondiale : mieux utiliser
Plus en détailRéalisation. Diffusion
Édition 2004 Édition 2004 Réalisation Cette publication a été préparée par la Direction des politiques et des technologies de l énergie, Secteur de l énergie et des changements climatiques, ministère
Plus en détailÉvolutions récentes de l énergie aux États-Unis et leurs conséquences géostratégiques
Évolutions récentes de l énergie aux États-Unis et leurs conséquences géostratégiques Honoré LE LEUCH 1 Consultant pétrolier international, HLC Energies Depuis plus d un siècle, les Etats-Unis ont été
Plus en détailPétrole, mobilité, CO 2 : Les politiques publiques et l automobilité face à la variation des prix du pétrole
Pétrole, mobilité, CO 2 : Les politiques publiques et l automobilité face à la variation des prix du pétrole Rapport Final : mai 2010 Réalisation : A. BONNAFOUS, E. BOUCQ, M. GLACHANT, L. HIVERT, V. KAUFMANN,
Plus en détailLa place du charbon dans le mix électrique
La place du charbon dans le mix électrique Présentation au colloque 7 février 2008 Gérard Mestrallet, PDG de SUEZ «Les nouveaux débouchés du charbon : quels risques pour le changement climatique?» Outline
Plus en détailOléagineux, Corps Gras, Lipides. Volume 9, Numéro 5, 296-8, Septembre - Octobre 2002, La filière
L'impact des biocarburants sur l'effet de serre Oléagineux, Corps Gras, Lipides. Volume 9, Numéro 5, 296-8, Septembre - Octobre 2002, La filière Auteur(s) : Etienne POITRAT, ADEME (Agence de l'environnement
Plus en détailContexte pétrolier 2010 et tendances
Contexte pétrolier 21 et tendances L incertitude du contexte économique, en particulier dans les pays occidentaux, est à l origine d une fluctuation marquée du prix du pétrole en 21 : minimum de 67 $/b
Plus en détailPrésentation générale des principales sources d énergies fossiles.
Présentation générale des principales sources d énergies fossiles. Date : 19/09/2012 NOM / Name SIGNATURE Etabli / Prepared Vérifié / Checked Approuvé /Approved G J-L & R-SENE R.SENE R.SENE Sommaire 1.
Plus en détailLes hydrocarbures non conventionnels : évolution ou révolution?
Depuis maintenant quelques années, les hydrocarbures non conventionnels prennent une place grandissante dans l'approvisionnement mondial en hydrocarbures. Est-ce une révolution ou une évolution normale?
Plus en détailLe gaz de schiste «pertubateur» du marché de l électricité? Jacques PERCEBOIS Directeur du CREDEN Professeur à l Université de Montpellier I
Le gaz de schiste «pertubateur» du marché de l électricité? Jacques PERCEBOIS Directeur du CREDEN Professeur à l Université de Montpellier I CLUB DE NICE 5/12/2012 Le gaz naturel dans l Union Européenne
Plus en détailSolutions de mesure pour le raffinage
Solutions de mesure pour le raffinage Débitmétrie et densimétrie de précision Les meilleures des mesures en ligne «Il est difficile de répondre à la demande de façon efficace, économique et responsable.»
Plus en détailLe rôle de la spéculation sur les marchés pétroliers : une analyse économétrique et comportementale
Séminaire AEE-CFE, Mardi 29 juin 2010 Le rôle de la spéculation sur les marchés pétroliers : une analyse économétrique et comportementale Prof. E. Hache, IFP-School, emmanuel.hache@ifp.fr Prof. F. Lantz,
Plus en détailComment réduire les émissions de CO 2? Les réponses de l'ifp
Septembre 2005 Comment réduire les émissions de CO 2? Les réponses de l'ifp L'IFP inscrit les travaux sur la réduction des émissions de CO 2 au cœur de ses programmes de recherche. La stratégie de l'ifp
Plus en détailROYAL DUTCH SHELL plc FEUILLE D INFORMATION 2012 POUR LES INVESTISSEURS
ROYAL DUTCH SHELL plc FEUILLE D INFORMATION 2012 POUR LES INVESTISSEURS ROYAL DUTCH SHELL plc Accent mis sur le client et le partenaire Développement durable et performance Durabilité et croissance Plus-value
Plus en détailBase de données PEGASE www.industrie.gouv.fr/energie
Liberté Égalité Fraternité RÉPUBLIQUE FRANÇAISE MINISTÈRE DE L'ÉCONOMIE DES FINANCES ET DE L'INDUSTRIE 600 550 500 450 400 350 300 En euros constants indice base 100 en 1973 PRIX DES ÉNERGIES Prix du pétrole
Plus en détailGaz de schiste : comment avancer
Gaz de schiste : comment avancer RAPPORT JUILLET 2014 L Institut Montaigne est un laboratoire d idées - think tank - créé fin 2000 par Claude Bébéar et dirigé par Laurent Bigorgne. Il est dépourvu de toute
Plus en détailL énergie en France et en Allemagne : comparaisons
L énergie en France et en Allemagne : comparaisons En matière de consommation d énergie, de structure du système électrique, de recours aux énergies renouvelables, d émission de gaz à effet de serre, les
Plus en détailL empreinte carbone des banques françaises. Résultats commentés
L empreinte carbone des banques françaises Résultats commentés Le cabinet de conseil Utopies et l association Les Amis de la Terre publient le 22 novembre 2010 l empreinte carbone des groupes bancaires
Plus en détaileni, mécène exceptionnel du musée du Louvre
eni, mécène exceptionnel du musée du Louvre Le soutien à la culture dans les pays où elle opère et le lien avec les traditions et les communautés locales sont un trait distinctif d eni : l importance du
Plus en détailA. DEFINITION DU PETROLE ET LES CONDITIONS D ACCUMULATION
ACTIVITES PETROLIERES EN COTE D IVOIRE A. DEFINITION DU PETROLE ET LES CONDITIONS D ACCUMULATION Le pétrole se définit comme un mélange naturel composé essentiellement d hydrocarbures(c H). Vous comprendrez
Plus en détailMémoire d Énergie Valero Inc. dans le cadre des consultations de la Commission sur les enjeux énergétiques du Québec
Mémoire d Énergie Valero Inc. dans le cadre des consultations de la Commission sur les enjeux énergétiques du Québec La place du raffinage et des produits pétroliers dans le bilan énergétique et économique
Plus en détailPRODUITS D EXPLOITATION
RESULTATS FINANCIERS Les principaux résultats financiers de l exercice 2012 ont enregistré une nette augmentation par rapport à l année 2011 due essentiellement à la hausse du prix de vente moyen du brut
Plus en détailPrésentation de la Société NAFTAL
SOCIETE NATIONALE DE COMMERCIALISATION ET DE DISTRIBUTION DE PRODUITS PETROLIERS Filiale de SONATRACH, spa au capital social de 15 650 000 000 DA Présentation de la Société NAFTAL Mai 2014 Historique &
Plus en détailHISTOIRE DE LA CONSOMMATION D ÉNERGIE
HISTOIRE DE LA CONSOMMATION D ÉNERGIE L être humain a besoin d énergie. Sur le modèle des conditions régnant dans l Antiquité, quand les travaux pénibles étaient souvent exécutés par des esclaves, l énergie
Plus en détailGUIDE PRATIQUE déplacements professionnels temporaires en France et à l étranger
GUIDE PRATIQUE déplacements professionnels temporaires en France et à l étranger SOMMAIRE GUIDE PRATIQUE déplacements professionnels temporaires en France et à l étranger o o o o o o o o o o o o
Plus en détailLe pétrole fournit 40% de l énergie mondiale. C est lui qui a régulé jusqu à présent le prix de l énergie.
² Le pétrole fournit 40% de l énergie mondiale. C est lui qui a régulé jusqu à présent le prix de l énergie. La production mondiale d énergie exprimée en équivalent tonnes de pétrole (TEP) est de plus
Plus en détailLes Énergies Capter et Stocker le Carbone «C.C.S»
Les Énergies Capter et Stocker le Carbone «C.C.S» La lutte contre le changement climatique Initiative concertée au niveau mondial Pour limiter à 2 à 3 C l élévation moyenne de la température, il faudrait
Plus en détail'INFORMATIONS STATISTIQUES
COMMUNAUTÉ EUROPÉENNE DU CHARBON ET DE L'ACIER HAUTE AUTORIT~ SOMMAIRE des articles publiés dans les 'INFORMATIONS STATISTIQUES jusqu'à la...date du mo1s décembre 1956 -. LIBRARY COP\' Luxembourg. Mai
Plus en détailL avenir incertain des hydrocarbures en Algérie
Actuelles de l Ifri L avenir incertain des hydrocarbures en Algérie Benjamin Augé Benjamin Augé est chercheur associé au Centre Energie et au programme Afrique subsaharienne à l ifri et rédacteur en chef
Plus en détailGUIDE DES FACTEURS D EMISSIONS
Bilan Carbone Entreprises et Collectivités GUIDE DES FACTEURS D EMISSIONS Version 6.1 Calcul des facteurs d émissions et sources bibliographiques utilisées Chapitre 2 Facteurs associés à la consommation
Plus en détailBilan des émissions de gaz à effet de serre de la société Fromageries BEL SA
Bilan des émissions de gaz à effet de serre de la société Fromageries BEL SA 1. Description de la société Fromageries Bel SA : Code NAF : 1051C Code SIREN : 542.088.067, les numéros SIRET associés sont
Plus en détailT.I.P.E. Optimisation d un. moteur
LEPLOMB Romain Année universitaire 2004-2005 LE ROI Gautier VERNIER Marine Groupe Sup B, C, D Professeur accompagnateur : M. Guerrier T.I.P.E Optimisation d un moteur 1 1. Présentation du fonctionnement
Plus en détailII ITURRI OIL & GAS International Forum 2014
II Contact: Alberto Menéndez (amenendez@iturri.com) Mercredi 29 - Jeudi 30 octobre ORGANISE COLABORENT Pouvons-nous profiter du savoir-faire et de la technologie pour nous aider à améliorer la protection
Plus en détailSONDAGE COMPARATIF SUR LA PERCEPTION DES QUÉBÉCOIS SUR LES HYDROCARBURES
www.som.ca MONTRÉAL 1180, rue Drummond Bureau 620 Montréal (Québec) H3G 2S1 T 514 878-9825 QUÉBEC 3340, rue de La Pérade 3 e étage Québec (Québec) G1X 2L7 T 418 687-8025 SONDAGE COMPARATIF SUR LA PERCEPTION
Plus en détailPropulsions alternatives
Propulsions alternatives Huit formes de propulsion alternative existent aujourd hui à côté des moteurs à essence et au diesel classiques. Nous les passons en revue ici avec à chaque fois une définition,
Plus en détailLe Régime Fiscal des Véhicules
République Algérienne Populaire et Démocratique Ministère des Finances Direction Générale des Douanes Le Régime Fiscal des Véhicules Séminaire sur l efficacité énergétique dans le transport «promotion
Plus en détailJeudi 31 octobre 2013. Division de la Communica on
Jeudi 31 octobre 2013 Division de la Communica on SOMMAIRE Découverte de gaz naturel vrai ou faux? Abdelkader Amara : «Seule la réalisa on de forages et de tests pourraient révéler l existence ou non d
Plus en détailLe contexte énergétique mondial et européen
Chapitre 2 Le contexte énergétique mondial et européen Synthèse Au niveau mondial, la demande énergétique est tendanciellement en forte croissance. Sous l effet de la croissance démographique et de la
Plus en détailWORLD ENERGY OUTLOOK RÉSUMÉ
WORLD ENERGY 2 0 11 OUTLOOK RÉSUMÉ WORLD ENERGY 2 0 11 OUTLOOK RÉSUMÉ French translation AGENCE INTERNATIONALE DE L ÉNERGIE L Agence internationale de l énergie (AIE) est un organe autonome institué en
Plus en détailLa nouvelle grande révolution. pure energy
La nouvelle grande révolution pure energy Scénario mondiale 1998 Protocole de Kyoto Obligation pour 184 Nations les pays Objectif Réduire les émissions de gaz participants: à effet de serre dans le monde.
Plus en détailAchats Industriels Efficacité et Sécurité
Achats Industriels Efficacité et Sécurité Mes domaines d intervention Achat de maintenance Achat investissement Achat de sous-traitance Mon expertise en achats industriels Elaboration de cahiers des charges
Plus en détailwww.limperiale.ca/etudiants
imaginez croissance débouchés carrière apprentissage L Impériale est l une des plus grandes entreprises du Canada et un chef de file de l industrie pétrolière canadienne depuis plus d un siècle. Nous sommes
Plus en détailChangements climatiques : les impacts de l'exploitation du gaz et du pétrole de schiste - Avril 2011 -
NOTE DE POSITION Changements climatiques : les impacts de l'exploitation du gaz et du pétrole de schiste - Avril 2011 - SOMMAIRE 1. Principes d exploration et d exploitation et rappel du contexte national
Plus en détailLA SOCIÉTÉ CANADIAN TIRE VIABILITÉ DE L ENTREPRISE EMPREINTE ÉCOLOGIQUE DE L ENTREPRISE ET DE LA CHAÎNE D APPROVISIONNEMENT 2007 (1)
Incorporées aux produits (2) LA SOCIÉTÉ CANADIAN TIRE VIABILITÉ DE L ENTREPRISE EMPREINTE ÉCOLOGIQUE DE L ENTREPRISE ET DE LA CHAÎNE D APPROVISIONNEMENT 2007 (1) TABLEAU 1 TOTAUX Émissions de gaz à effet
Plus en détailNews Release. Communiqué de Presse. Résultats du quatrième trimestre et de l année 2014 1. Paris, le 12 février 2015 4T14. 2014 Variation vs 2013
Paris, le 12 février 2015 Résultats du quatrième trimestre et de l année 1 News Release Communiqué de Presse 4T14 Variation 4T13 Variation Résultat net ajusté 2 - en milliards de dollars (G$) 2,8-17% 12,8-10%
Plus en détailDISTRIBUTION de GPL et PRODUITS PÉTROLIERS 2005
58 DISTRIBUTION de GPL et PRODUITS PÉTROLIERS 2005 DISTRIBUTION de GPL et PRODUITS PÉTROLIERS 2005 59 VITOGAZ vient de livrer le boulanger et moi je livre les croissants. Mais il est encore très tôt. Sais-tu
Plus en détail*"&# +',-./! -! " #$$%&'$## '( '$## ) *! " '%+,&,( '-. #/,(0 )0 ) 1 0 5%6'7'0 5%6'7-0 5%6'760 5%6'7+0 5%6'7%0 5%6'7(0
!"#$##%$&&$%&"#$'(#)$ *"&# +',-./! - '$#$0''$#$"&#$&$*1##'#"'$"&#$"'")$# $$,$"'$2! " #$$%&'$## '( '$## ) *! " '%+,&,( '-. #/,(0 )0 ) 1 ) 2 ) 3 '%+ 4 3 0 5%6'7'0 5%6'7-0 5%6'760 5%6'7+0 5%6'7%0 5%6'7(0
Plus en détailRÉDUISEZ VOS CONSOMMATIONS ALLÉGEZ VOS FACTURES ÉNERGÉTIQUES
RÉDUISEZ VOS CONSOMMATIONS ALLÉGEZ VOS FACTURES ÉNERGÉTIQUES «Lean Energy Analysis» : une étude de 3e-performance pour traquer vos gaspillages et bâtir une stratégie d action 1 LEAN ENERGY ANALYSIS: DISTINGUER
Plus en détailL ÉNERGIE EN MAYENNE. Citoyens Responsables associatifs Élus locaux Usagers. Acteurs. de la transition énergétique. en Mayenne
Citoyens Responsables associatifs Élus locaux Usagers Acteurs de la transition énergétique en Mayenne Les dépenses énergétiques en Mayenne sont de 1.5 million d euros par jour ou 550 millions d euros par
Plus en détailUne stratégie Bas Carbone
Colloque UFE - Mardi 17 juin 2014 Une stratégie Bas Carbone au service de la Transition énergétique Comment réussir la Transition énergétique à moindre coût? 1 12 Contexte A la veille de la présentation
Plus en détailTotal en chiffres et en images
Total en chiffres et en images L essentiel 2013 PROFIL Total en bref L énergie est indispensable au développement des pays et de leurs populations. Partout où elle est disponible, elle crée une dynamique
Plus en détailMarco Wagener. Prix de l énergie et impôts indirects. Dialogue social
Marco Wagener Prix de l énergie et impôts indirects Dialogue social N 1/ 2009 Marco Wagener est conseiller économique à la Chambre des salariés. Il est détenteur d une maîtrise en sciences économiques
Plus en détailSupporting deployment of low-carbon technologies in the ETC and SEMED regions
Supporting deployment of low-carbon technologies in the ETC and SEMED regions Mohamed Amine NAHALI Ministry of Industry, Energy and Mining - TUNISIA Istanbul, 15-16 juin 2015 Consommation M tep Croissance
Plus en détail30 avril 2014 DÉPOSÉ ET PRÉSENT TÉ PAR. Députéé
1 N 19 19 ASSEMBLÉE NATIONALE CONSTITUTION DU 4 OCTOBRE 1958 QUATORZIÈME LÉGISLATURE Enregistré à la Présidence de l'assemblée nationale le 30 avril 2014 RAPPORT D INF FORMATION DÉPOSÉ PAR LA COMMISSION
Plus en détail48,5 Bcf RAPPORT T1 2015 SUR L'ÉNERGIE DE L ONTARIO JAN MAR 2015 PÉTROLE ET GAZ NATUREL. Infrastructure de transport du gaz naturel
RAPPORT T1 SUR L'ÉNERGIE DE L ONTARIO JAN MAR PÉTROLE ET GAZ NATUREL Prix au détail moyens de l essence ordinaire et du diesel à l'échelle provinciale ($/L) Prix du gaz naturel en vigueur pour le commerce
Plus en détailINTEGRATION DU MARCHE NORD- AMERICAIN DE L ENERGIE Alain LAPOINTE. Cahier N 02.07.32. Juillet 2002
INTEGRATION DU MARCHE NORD- AMERICAIN DE L ENERGIE Alain LAPOINTE Cahier N 02.07.32 Juillet 2002 Centre de Recherche en Economie et Droit de l'energie CREDEN Université de Montpellier I Faculté des Sciences
Plus en détailCamfil Saint-Martin-Longueau, une démarche d efficacité énergétique pour la certification ISO 50 001
FICHE OPÉRATION INDUSTRIE Camfil Saint-Martin-Longueau, une démarche d efficacité énergétique pour la certification ISO 50 001 CAS PRATIQUE Activité : produits et service dans le domaine de la filtration
Plus en détailLa transition énergétique, certes, mais quelle transition? Jean-Marc Jancovici - Septembre 2012 - Mis à jour Novembre 2013
Jean-Marc Jancovici - Quelques réflexions sur la transition énergétique Page 1 La transition énergétique, certes, mais quelle transition? Jean-Marc Jancovici - Septembre 2012 - Mis à jour Novembre 2013
Plus en détailCoûts moyens* en leasing** de la voiture électrique, plug-in hybride et conventionnelle (diesel)
32 green mobility > Une mobilité durable sur mesure La mobilité durable fait partie intégrante de la stratégie d Electrabel, en interne comme en externe. Pour ses clients B2B, Electrabel développe une
Plus en détailICC 115-6. 26 août 2015 Original: anglais. L'impact du prix du pétrole et du taux de change du dollar américain sur les prix du café
ICC 115-6 26 août 2015 Original: anglais F Conseil international du Café 115 e session 28 septembre 2 octobre 2015 Milan (Italie) L'impact du prix du pétrole et du taux de change du dollar américain sur
Plus en détailLes enjeux de l'énergie Place du nucléaire. Olivier Appert, Président d'ifp Energies nouvelles Président du Conseil Français de l'energie
Les enjeux de l'énergie Place du nucléaire Olivier Appert, Président d'ifp Energies nouvelles Président du Conseil Français de l'energie L'énergie est revenue ces dernières années au premier plan des préoccupations
Plus en détailErin Flanagan avril 2015
Élaboration d une Stratégie canadienne de l énergie efficace Comment Énergie Est et les sables bitumineux affectent l atteinte des objectifs climatiques et énergétiques Erin Flanagan avril 2015 Élaboration
Plus en détailContrôle des processus. Contrôle des processus Energie, gaz et pétrole SICE. Technologie leader à votre service
SICE Technologie leader à votre service Ingénierie, conception et exécution de projets. Cabinet-conseil Ingénierie de base SICE réalise le support technique via ses services de consultant pour les phases
Plus en détailÉnergie Est Retombées économiques du projet de conversion du réseau principal de TransCanada
Énergie Est Retombées économiques du projet de conversion du réseau principal de TransCanada Septembre, 2013 Table des matières Avertissements... 1 Résumé... 3 Introduction... 6 Description du projet Énergie
Plus en détailProposition en vue de la préparation du budget fédéral 2015
Proposition en vue de la préparation du budget fédéral 2015 Recommandations pour appuyer la croissance et le développement de la production commerciale de biocarburants cellulosiques pour une économie
Plus en détailDiscovering Hidden Value
Discovering Hidden Value A la découverte de la valeur cachée Consultation pour les Opérations de Forage Proposées en Offshore Marocain 2013 Qui est Cairn Energy? Cairn est une société de pétrole et de
Plus en détailQuelles perspectives de développement pour le gaz naturel dans les transports?
Quelles perspectives de développement pour le gaz naturel dans les transports? Le regard de Gazprom Marketing and Trading France 29 octobre 2014 Sommaire 1. Les atouts du GNV pour les transitions énergétiques
Plus en détailDate 16/09/2013 Révision 00 Rem. Début
Page 1 sur 8 Date 16/09/2013 Révision 00 Rem. Début Flux d'émissions Projets de dragage BeNeLux (sans avantage) Projets de dragage hors BeNeLux (outside boundery) Bureaux Bergen-op-Zoom (outside boundery)
Plus en détailProduction mondiale d énergie
Chapitre 14: Autres sources d énergie Énergie nucléaire Énergie solaire Énergie géothermale Hydro-électricité Énergie éolienne Production mondiale d énergie 23% 39% 27% Coal Nuclear Hydro Geothermal Petroleum
Plus en détailETUDE DETAILLEE DU CALCUL DU PRIX DE L'EAU CHAUDE ET PROPOSITION DE CHANGEMENT
ETUDE DETAILLEE DU CALCUL DU PRIX DE L'EAU CHAUDE ET PROPOSITION DE Copropriété: Les Jardins de la mer - Antibes Année 2008 1/9 Table des matières 1. INTRODUCTION...3 1.1 Portée du document...3 1.2 Objectif
Plus en détailwww.droit-afrique.com concessionnaire, le permissionnaire ou l amodiataire déclare avoir produites au cours du mois précédent.
concessionnaire, le permissionnaire ou l amodiataire déclare avoir produites au cours du mois précédent. Pour permettre l établissement des états de liquidation, une déclaration signée, affirmée sincère
Plus en détailQue sont les sources d énergie renouvelable?
Que sont les sources d énergie renouvelable? Comme leur nom l indique, il s agit de sources qui se renouvellent et ne s épuiseront donc jamais à l échelle du temps humain! Les sources non renouvelables
Plus en détailBACCALAURÉAT GÉNÉRAL SESSION 2013 SCIENCES. SÉRIES ES et L. Durée de l'épreuve : 1 h 30 coefficient : 2
BACCALAURÉAT GÉNÉRAL SESSION 2013 SCIENCES SÉRIES ES et L Durée de l'épreuve : 1 h 30 coefficient : 2 Ce sujet comporte 8 pages numérotées de 1 à 8. L'usage de la calculatrice est autorisé. Le candidat
Plus en détailPremière partie. Modélisation des problèmes en programmes linéaires notés PL
Première partie Modélisation des problèmes en programmes linéaires notés PL ième année Licence LMD de mathématiques, USDBlida 0. Un grossiste doit livrer unités d un produit déterminé P à trois détaillants
Plus en détailIncitations financières véhicules 2014
Marque : Consommation de carburant C02 inférieures ou égales à 100 g/km de 101 à 120 g/km VOITURE Énergie : Essence Les déplacements Comprendre Incitations financières véhicules 2014 Pour des véhicules
Plus en détailContribution des industries chimiques
Contribution des industries chimiques au débat national sur la transition énergétique Les entreprises de l industrie chimique sont des acteurs clés de la transition énergétique à double titre. D une part,
Plus en détailL énergie sous toutes ses formes : définitions
L énergie sous toutes ses formes : définitions primaire, énergie secondaire, utile ou finale. Quelles sont les formes et les déclinaisons de l énergie? D après le dictionnaire de l Académie française,
Plus en détailParticipaient à la séance : Olivier CHALLAN BELVAL, Hélène GASSIN, Jean-Pierre SOTURA et Michel THIOLLIERE, commissaires.
Délibération Délibération de la Commission de régulation de l énergie du 13 juin 2013 portant proposition d approbation du lancement du déploiement généralisé du système de comptage évolué de GrDF Participaient
Plus en détailHYDROCARBURES NON CONVENTIONNELS
HYDROCARBURES NON CONVENTIONNELS Qu'appelle t'on hydrocarbures non conventionnels? Que ce soit une production d'hydrocarbures conventionnels ou non conventionnels, il s'agit des mêmes types d'hydrocarbures.
Plus en détailGE Measurement & Control. Intecal v10. Logiciel de gestion d'étalonnage
GE Measurement & Control Intecal v10 Logiciel de gestion d'étalonnage Solution d'étalonnage de GE L'étalonnage est un élément important de la maintenance des procédés d'instrumentation. S'assurer que l'instrumentation
Plus en détailPhénomènes dangereux et modélisation des effets
Phénomènes dangereux et modélisation des effets B. TRUCHOT Responsable de l unité Dispersion Incendie Expérimentations et Modélisations Phénomènes dangereux Description et modélisation des phénomènes BLEVE
Plus en détailParis, le 22 décembre 2008 N 39-08
Paris, le 22 décembre 2008 N 39-08 Obtention de la licence d exploitation pour le champ d Ocelote en Colombie Obtention d un nouveau permis d exploration en Colombie Dernières nouvelles sur le démarrage
Plus en détailComparaison des enjeux énergétiques de la France et de l Allemagne
Comparaison des enjeux énergétiques de la France et de l Allemagne Dans la perspective de la première conférence franco-allemande sur l énergie qui se tiendra le 2 juillet prochain à Paris 1, il paraît
Plus en détailQu'est-ce que la biométhanisation?
Qu'est-ce que la biométhanisation? La biométhanisation consiste en une série d'opérations de dégradations biologiques de matières organiques qui se produisent en l'absence d'oxygène. Les produits résultants
Plus en détailManufacturing Intelligence Séminaire Connected Entreprise ( 12 mars 2015)
Manufacturing Intelligence Séminaire Connected Entreprise ( 12 mars 2015) Dimitri CROMBEZ : Sales Team Leader Wallonie-Luxembourg Nicolas VANHAELEN: Account Manager Infra-Pharma Rev 5058-CO900E Agenda
Plus en détailL ÉNERGIE C EST QUOI?
L ÉNERGIE C EST QUOI? L énergie c est la vie! Pourquoi à chaque fois qu on fait quelque chose on dit qu on a besoin d énergie? Parce que l énergie est à l origine de tout! Rien ne peut se faire sans elle.
Plus en détail