Première partie : QCM

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Première partie : QCM"

Transcription

1 D41.2 DEVELOPPEMENT CORRIGE JUIN 2010 Première partie : QCM 1. La fonction "simplexml_load_file" permet de : a. parser un document XML dans une structure PHP b. ouvrir et charger un document XML c. charger en mémoire un fichier XML d. ouvrir un fichier xml 2. XPath : a. est un langage non XML pour localiser une portion d'un document XML b. est un langage XML pour localiser une portion d'un document XML c. est une variable contenant le chemin d'un document XML d. est une fonction pour localiser un document XML 3. En PHP-XML, le parseur fait appel à des handlers : a. pour chaque début de balise b. pour chaque fin de balise c. pour chaque début ou fin de balise d. pour chaque balise 4. Un flux RSS : a. est constitué d'un canal et d'un ou plusieurs items, correspondant à des articles b. est constitué juste d'un seul canal c. est constitué d'un seul item, correspondant à un seul article d. est constitué de plusieurs canaux et d'un ou plusieurs items, correspondant à des articles 5. En langage PHP, l'appel du constructeur de la classe mère à partir de la classe dérivée se fait : a. super:: construct() b. super:: construct() c. parent:: construct() d. parent:: construct() 6. Les attributs d'une classe abstraite : a. doivent être private ou protected b. doivent être «null» c. ne peuvent être modifiés que par les méthodes des classes dérivées d. peuvent être "static" ou "public" 7. Laquelle de ces fonctions extraie le channel et appelle RSS_Channel? a. RSS_Retrieve b. RSS_Channel c. RSS_RetrieveLink d. RSS_Tags

2 8. Le troisième paramètre de RSS_Display(url, nombre, true) permet en option d'afficher ou non : a. le nom du serveur du site b. le titre du site c. la description du site d. le titre et la description du site 9. Utiliser PHP pour afficher un flux RSS : a. est un avantage car celui-ci sera visible par les moteurs de recherche b. est un inconvénient car celui-ci sera visible par les moteurs de recherche c. est un avantage car celui-ci ne sera pas visible par les moteurs de recherche d. est un inconvénient car celui-ci ne sera pas visible par les moteurs de recherche 10. Le processeur XSLT est créé : a. à partir d'une instanciation de la classe XSLTProcessor; b. à partir de la commande XSLTProcessor create c. à partir de la commande XSLT_ create d. à partir de la fonction XSLT() 11. Quel est le résultat de <? $str1 = "Fédération européenne des Ecoles" ; print_r(explode(" ", $str1, 2)?>? a. Array ( [1] =>Fédération] [2] => européenne des Ecoles) b. Array ( [0] => Fédération [1] => européenne des Ecoles) c. Array ([1] =>Fédération] [2] => européenne [3] => des [4] => Ecoles) d. Array ([0] =>Fédération] [1] => européenne [2] => des [3] => Ecoles) 12. En langage PHP, laquelle des assertions suivantes est vraie? a. une classe abstraite est introduite par : abstracted class b. une classe qui a toutes ses méthodes abstraites doit être déclarée comme interface c. il est strictement interdit d'instancier une classe abstraite d. une classe abstraite doit être implémentée 13. L appel système fork() permet de : a. créer un processus par duplication du même fichier b. créer un processus à partir d'une structure générale de processus du noyau c. créer un processus par recopie d'un autre d. créer un processus nouveau 14. Comment sait-on que le parent d'un processus est mort? a. getppid() retourne 0 b. getppid() retourne -1 c. getppid() retourne 1 d. getpid() retourne Dans bind(int sock, struct sockaddr * adresse, socklen_t longueur), quelle proposition est vraie? a. longueur est la taille du pointeur b. sockaddr est le descripteur de la socket c. sock est un integer qui identifie la socket d. struct sockaddr est passée par pointeur et ne sert qu'aux sockets TCP 2/20

3 16. Que fait la fonction accept( )? a. elle accepte un client qui vient d'en faire la demande b. elle accepte un client qui vient de se connecter et crée une socket pour communiquer avec ce client c. elle récupère seulement les informations du client (adresse IP, ) d. elle accepte le message arrivant et le stocke dans la structure passée en argument 17. Pour réaliser une communication non temporaire bidirectionnelle inter processus, il est conseillé d utiliser : a. un tube nommé b. un seul tube anonyme c. deux tubes anonymes indépendants d. deux tubes nommés indépendants 18. La création des descripteurs peut être réalisée par : a. fork() b. fop c. write d. pipe() 19. A quoi sert l'appel bind()? a. il permet d'identifier/reconnaître extérieurement la socket créée précédemment dans le code b. il fait un appel de résolution DNS sur le réseau c. bind() n'intervient pas sur les sockets d. il ouvre la socket à un processus à condition qu'elle est été créée par l'appel socket() 20. L'ordre CREATE SESSION permet de : a. se connecter à une base b. créer une session c. créer une base d. interroger le dictionnaire des données 21. L'ordre ROLLBACK permet de : a. valider une transaction b. insérer des données c. supprimer des données d. annuler une transaction 22. L'option WITH GRANT OPTION permet de : a. transmettre des privilèges reçus b. modifier la taille de la base c. augmenter la taille de la base d. ajouter des privilèges à un utilisateur 23. Un ROLE permet de : a. regrouper des utilisateurs b. regrouper des privilèges c. faire du cinéma d. aucune des trois réponses précédentes 24. Sous un SGBD, si on désire développer avec de la programmation événementielle, on utilisera : a. une vue b. un trigger c. Visual Basic 3/20

4 d. un index 25. Une validation de transaction est effectuée par : a. un ordre accept b. un ordre rollback c. un ordre commit d. un ordre validate 26. Un index permet d'améliorer les temps de réponse : a. des requêtes simples b. des requêtes avec jointure c. des requêtes de sélection d. des requêtes 27. Quel contrôle de transaction interdit à deux utilisateurs de mettre à jour les données en même temps? a. COMMIT b. ROLLBACK c. SAVEPOINT d. LOCK 28. Comment s appelle la mémoire partagée par les processus Oracle? a. la PGA b. la SGA c. la BUFPOOL d. la MGA 29. Mettez dans l'ordre, suivant la règle contient ou gère : a. Instance - Tablespace - Database - Table - Rows b. Instance - Database - Tablespace - Table - Rows c. Instance - Database - Table - Tablespace - Rows d. Database - Instance - Tablespace - Table Rows 30. Une instance Oracle, c est : a. les processus et les zones mémoires utiles au fonctionnement d une base de données b. l ensemble des fichiers utiles au fonctionnement d une base de données Oracle c. la phase d'installation du logiciel Oracle d. une base de données qui ne veut plus démarrer 31. A propos d un tablespace, indiquez quelle proposition est vraie : a. un tablespace ne peut pas contenir plus d'une table b. un tablespace contient soit des tables, soit des index c. un tablespace peut en même temps contenir des tables et des index d. un tablespace a une taille fixe et ne peut pas être agrandi 32. En tant que simple utilisateur, quelles sont les tables du catalogue que je ne peux pas consulter? a. user_tables b. v$datafile c. all_tables d. cat 4/20

5 33. Dans la phase de conception d une base de données relationnelle, au niveau conceptuel, on ne doit pas : a. dégager les entités et leur identifiant b. dégager les relations et leur identifiant c. déterminer les cardinalité des relations d. attacher les propriétés aux relations et aux objets 34. La "normalisation" d un modèle de données permet de : a. vérifier que le modèle est normalisé ISO b. vérifier que le modèle respecte les normes de l entreprise c. minimiser la redondance de l information et assurer la cohérence de la base d. s assurer que le modèle sera assez normalisé pour pouvoir être validé par les utilisateurs 35. Pour n afficher que les villes dont le résultat du count(*) est supérieur à dans l instruction suivante en SQL SELECT ville, count(*) FROM table_ville GROUP BY ville, on doit ajouter : a. la clause where count(id_ville)>10000 b. la clause HAVING count(*)> après de GROUP BY c. la clause WHERE count(*)> après le GROUP BY d. la clause count(*)> après le WHERE 36. Lors de l'utilisation des servlets JSP : a. il peut y avoir plusieurs directives page dans une JSP b. il ne peut y avoir qu une seule directive page dans une JSP c. il ne peut pas y avoir de directive page dans une JSP d. la directive page n existe pas en JSP 37. Combien d instances de la classe A crée le code suivant? A x, u, v; x=new A(); A y=x; A z=new A(); a. une b. deux c. trois d. aucune 38. En Java, quelle assertion est vraie? a. une classe peut implémenter plusieurs interfaces, mais doit étendre une seule classe b. une classe peut implémenter plusieurs classes, mais doit étendre une seule interface c. une classe peut implémenter plusieurs classes et peut étendre plusieurs interfaces d. une classe doit implémenter une seule interface et étendre une seule classe 39. La liaison tardive est essentielle pour assurer : a. l encapsulation b. le polymorphisme c. l héritage d. la marginalisation 40. UML est : a. un langage Objet b. un langage orienté Objet c. un langage de modélisation orientée Objet d. une méthode pour la programmation orientée Objet 5/20

6 41. OCL est : a. un langage Objet b. un langage orienté Objet c. un langage de contrainte. d. une méthode pour la programmation orientée Objet 42. RUP est : a. un langage Objet b. un langage orienté Objet c. un langage de contrainte. d. une méthode pour la programmation orientée Objet 43. En utilisant UML, quelle sont les possibilités pour des paramètres d opération? a. in b. out c. in, out d. in, out, in/out 44. Un attribut statique est : a. un attribut qui n est pas hérité par les classes filles b. un attribut constant c. un attribut normal d. un attribut passé par référence 45. Une interface est : a. une classe abstraite b. une classe abstraite qui interagit avec l utilisateur c. une classe dont toutes les méthodes sont abstraites d. une classe imaginaire 46. Une agrégation est : a. un ensemble d attributs b. une composition faible c. une composition forte d. un ensemble de classes 47. Le symbole «~» représente (UML) a. un élément non visible b. un élément visible par tous c. un élément visible seulement par les sous-classes d. un élément visible seulement par les classes du même paquetage 48. MDA signifie : a. que l architecture est guidée par les modèles b. que l architecture est guidée par le code c. que l architecture est décomposée en blocs d. que l architecture est décomposée en paquetages 6/20

7 49. En UML, quelle cardinalité n existe pas? a b. 1 c. N..1 d. M..N 50. Une relation "extends" pour les «use case» signifie : a. peut être complété par b. doit être complété par c. n est pas complété par d. est complété par 7/20

8 Deuxième partie : Exercices Dossier 1 - UML 2 Modélisation d un suivi de commande et de fret de marchandises Question 1 Réalisez le diagramme de classe. 1 point par classe 3 points pour les multiplicités 8/20

9 Dossier 1 - UML 2 Modélisation d un logiciel Question 2 Proposez un diagramme de cas d utilisation correspondant aux besoins décrits ci-dessus. Question 3 Proposez un diagramme de séquence correspondant à l ajout d une fiche produit. 9/20

10 Dossier 2 - ORACLE et PL/SQL Question 1 Réalisez une fonction en langage pl/sql nommée Qtable(PC$Table, PC$ClauseWhere ) - dynamique et totalement générique qui permet d interroger n importe quelle table (paramètre PC$Table), - avec une clause where passée elle aussi en paramètre (PC$ClauseWhere), - qui renvoie un integer LN$Total donnant le nombre d occurrences correspondantes a cette clause. Donnez un exemple d utilisation. FUNCTION Qtable ( PC$Table IN VARCHAR2, PC$ClauseWhere IN VARCHAR2 ) RETURN PLS_INTEGER IS LC$Requete VARCHAR2(512) ; LN$Total PLS_INTEGER ; BEGIN LC$Requete := Select count(*) From PC$Table where PC$ClauseWhere ; EXECUTE IMMEDIATE LC$Requete INTO LN$Total ; return LN$Total ; END ; NombreDept := Qtable( Departement, deptno between 1 and 13 ) ; 10/20

11 Question 2 Soit la Procédure NDS ci-dessous, réécrivez-la en utilisant le package DBMS_SQL CREATE PROCEDURE insert_into_table ( table_name VARCHAR2, deptnumber NUMBER, deptname VARCHAR2, location VARCHAR2) IS stmt_str VARCHAR2(200); BEGIN stmt_str := 'INSERT INTO ' table_name ' values (:deptno, :dname, :loc)'; EXECUTE IMMEDIATE stmt_str USING deptnumber, deptname, location; END;) CREATE PROCEDURE insert_into_table ( table_name VARCHAR2, deptnumber NUMBER, deptname VARCHAR2, location VARCHAR2) IS cur_hdl INTEGER; stmt_str VARCHAR2(200); rows_processed BINARY_INTEGER; BEGIN stmt_str := 'INSERT INTO ' table_name ' VALUES (:deptno, :dname, :loc)'; -- open cursor cur_hdl := dbms_sql.open_cursor; -- parse cursor dbms_sql.parse(cur_hdl, stmt_str, dbms_sql.native); -- supply binds dbms_sql.bind_variable (cur_hdl, ':deptno', deptnumber); dbms_sql.bind_variable (cur_hdl, ':dname', deptname); dbms_sql.bind_variable (cur_hdl, ':loc', location); -- execute cursor rows_processed := dbms_sql.execute(cur_hdl); -- close cursor dbms_sql.close_cursor(cur_hdl); 11/20

12 END; Question 3 Donnez les avantages et inconvénients du NDS par rapport au package DBMS_SQL. NDS : - Plus grande rapidité d exécution. En moyenne, le SQL dynamique natif s exécute de 1.5 à 3 fois plus rapidement. - Support des types définis, le SQL dynamique natif supporte tous les types définis par l utilisateur, Objets, collections, etc - Support des types RECORD pour les ordres Select. - Le SQL dynamique natif permet d utiliser un objet de type RECORD dans une clause INTO. Package DBMS_SQL : - Supporté par le client, les fonctions du package DBMS_SQL sont supportées par les applications clientes à l inverse du SQL dynamique natif. - Supporte la procédure DESCRIBE_COLUMNS qui permet de connaitre les informations relatives aux colonnes d un curseur ouvert au travers de DBMS_SQL. - Support de la clause RETURNING pour les opérations UPDATE et DELETE. - D BMS_SQL supporte la clause RETURNING pour des opérations UPDATE ou DELETE effectuées sur plusieurs lignes. Le SQL dynamique natif ne supporte une clause RETURNING que sur les opérations ne retournant qu une seule ligne Question 4 Définissez «OFA», son objectif et ses avantages. Oracle Optimal Flexible Architecture, que l'on pourrait traduire par meilleure architecture évolutive, est un ensemble de convention de nommage et de répartition de fichiers sur les différents disques dur du serveur. On peut aussi définir OFA comme un ensemble de bonnes habitudes à prendre pour la création d'une base. Bien qu'ofa ne soit pas indispensable à la création d'une base, Oracle recommande son utilisation si vous prévoyez une augmentation du nombre d'utilisateurs ou encore si vous souhaitez mettre en place d'autres bases de données dans votre environnement. Son objectif est de prévenir tout un ensemble de problèmes qui pourraient survenir si vous utilisiez plusieurs versions d'oracle, plusieurs bases de données, ou des bases de données à fort taux d'utilisation. La norme OFA a été réalisée afin d'offrir des avantages non négligeables, notamment dans les cas suivants : - Facilité de maintenance des bases de données à travers une organisation de fichiers standardisée. - Fiabilité grâce à des données réparties sur plusieurs disques. - Performance accrue par des réductions de conflits d'entrée/sortie sur les disques. - Oracle Universal Installer sépare les fichiers exécutables des fichiers de base de données. Cette opération prend tout son sens lorsque vous souhaitez mettre à jour votre version d'oracle Ses avantages sont : - indépendance des sous-répertoires, - les opérations sur un fichier d'une certaine catégorie ne sont pas répercutées sur un fichier d'une autre catégorie, - convention de nommage pour les fichiers de données, on peut ainsi identifier les fichiers plus facilement, - séparation des différents types de tablespace pour obtenir les avantages d'i/o, mais aussi réduire la fragmentation. 12/20

13 Question 5 Vous disposez d un serveur de base de données avec 4 disques durs, représentez, sur un schéma, l architecture logicielle recommandée pour respecter les points définis ci-dessus (question 4). Question 6 Le schéma ci-dessous représente un architecture web 3 tiers utilisant ORACLE comme base de données, indiquez sur ce schéma les vulnérabilités d un tel système. 13/20

14 Dossier 3 - JAVA et IHM Question 1 L architecture des tâches est donnée en figure 1 où le détail des classes TacheElementaire et TacheComplexe n est pas donné. Une tâche est caractérisée par un nom et un coût. Une tâche est soit une tâche élémentaire, soit une tâche complexe qui est alors composée de sous-tâches. Il est ainsi possible d ajouter une sous-tâche à une tâche complexe, ajouter(tache) ou de supprimer une sous-tâche, supprimer(tache). Le coût d une tâche complexe est la somme des coûts des tâches qui la composent. Indiquez le ou les patrons de conception utilisés dans cette architecture. 7.5 points La tâche complexe est le composite, Tache est le composant et TacheElementaire est la feuille. Notons que les objets ajouter et supprimer ne sont ici que sur le composite et pas sur le composant. Le listing 1 donne le code de l interface Tache. Écrivez en Java la classe Tache Elementaire qui est une réalisation de l interface Tache : 7.5 points Tache { String getnom(); int getcout(); Réponse : public class TacheElementaire implements Tache { private String nom; private int cout; public TacheElementaire(String nom, int cout) { this.nom = nom; this.cout = cout; public String getnom() { return this.nom; public int getcout() { return this.cout; 14/20

15 Question 2 Nous nous intéressons maintenant à la classe TacheComplexe, en particulier à sa relation avec l interface Tache. Une tâche complexe est composée d un nombre quelconque de tâches. On décide d utiliser l interface java.util.collection pour stocker les sous-tâches. On l utilisera bien entendu, dans sa version générique. Comme on souhaite pouvoir parcourir toutes les sous-tâches d une tâche complexe, la Classe TacheComplexe réalise l interface java.lang.iterable. Indiquez quel est le principal intérêt de la généricité. 6 points Le contrôle de type réalisé par le compilateur. Indiquez quel est le coût de la tâche ta construite comme indiqué dans le listing suivant : 6 points public class TestTache1 { Le coût de la tâche ta est de 30. public static void main(string[] args) { TacheComplexe ta = new TacheComplexe("A"); ta.ajouter(new TacheElementaire("A1", 10)); ta.ajouter(new TacheElementaire("A2", 20)); System.out.println("Cout de ta = " + ta.getcout()); 15/20

16 Écrivez en Java la classe TacheComplexe. 6 points Interface graphique pour définir une tâche complexe Nous définissons maintenant une interface graphique en Swing minimale qui permet d ajouter de nouvelles soustâches à une tâche complexe. Le code partiel de cette classe est donné au listing 3. import java.util.collection; import java.util.arraylist; import java.util.iterator; public class TacheComplexe implements Tache, Iterable<Tache> { private Collection<Tache> soustaches; private String nom; public TacheComplexe(String nom) { this.nom = nom; this.soustaches = new ArrayList<Tache>(); public void ajouter(tache tache) { this.soustaches.add(tache); public void supprimer(tache tache) { this.soustaches.remove(tache); public String getnom() { return this.nom; public int getcout() { int result = 0; for (Tache t : soustaches) { result += t.getcout(); return result; public Iterator<Tache> iterator() { 16/20

17 return this.soustaches.iterator(); Dessinez la fenêtre (et les composants graphiques qu elle contient) telle qu elle est affichée quand cette classe est exécutée. 6 points Complétez cette classe pour que les boutons Ajouter et Quitter deviennent actifs. Le bouton Quitter ferme la fenêtre. Le bouton Ajouter ajoute une nouvelle sous-tâche à la tâche complexe passée en paramètre du constructeur de cette classe. Le nom et le coût de cette sous tâche sont, bien entendu, saisis par l utilisateur dans les zones de saisie prévues, valeurnom et valeurcout. Dans le cas où l utilisateur saisit une information qui n est pas un entier pour saisir le coût, on signalera l erreur en mettant la couleur de fond de la zone de saisie correspondante en rouge (setbackground(color.red)). On rappelle que la méthode Integer.parseInt(String) renvoie l entier correspondant à la chaîne de caractère passé en paramètre. Cette méthode lève l exception NumberFormatException si la chaîne ne correspond pas à un entier. 10 points Listing 3 La classe TacheComplexeSwing import javax.swing.*; import java.awt.*; import java.awt.event.*; public class TacheComplexeSwing { private TacheComplexe tache; final JFrame fenetre = new JFrame("Nouvelle tâche"); final private JTextField valeurnom = new JTextField(10); final private JTextField valeurcout = new JTextField(10); final private JButton boutonajouter = new JButton("Ajouter"); final private JButton boutonquitter = new JButton("Quitter"); public TacheComplexeSwing(TacheComplexe tache) { this.tache = tache; Container c = fenetre.getcontentpane(); c.setlayout(new BorderLayout()); 17/20

18 JPanel informations = new JPanel(new GridLayout(2,2)); informations.add(new JLabel("Nom : ", SwingConstants.RIGHT)); informations.add(valeurnom); informations.add(new JLabel("Coût : ", SwingConstants.RIGHT)); informations.add(valeurcout); c.add(informations, BorderLayout.CENTER); JPanel boutons = new JPanel(new FlowLayout()); boutons.add(boutonajouter); boutons.add(boutonquitter); c.add(boutons, BorderLayout.SOUTH); boutonquitter.addactionlistener(new ActionQuitter()); boutonajouter.addactionlistener(new ActionAjouter()); fenetre.pack(); fenetre.setvisible(true); private class ActionAjouter implements ActionListener { public void actionperformed(actionevent ev) { try { String nom = valeurnom.gettext(); int cout = Integer.parseInt(valeurCout.getText()); tache.ajouter(new TacheElementaire(nom, cout)); System.out.println("cout total = " + tache.getcout()); catch (NumberFormatException e) { valeurcout.setbackground(color.red); private class ActionQuitter implements ActionListener { public void actionperformed(actionevent ev) { System.out.println("Appui sur Quitter..."); fenetre.dispose(); public static void main(string[] args) { new TacheComplexeSwing(new TacheComplexe("Test TacheComplexeSwing")); 18/20

19 Sauvegarde d une tâche en XML Soit la DTD pour représenter une tâche : 1 <?xml version="1.0" encoding="utf-8"?> 2 3 <!ELEMENT taches (tache*)> 4 <!ELEMENT tache (attribut*, tache*)> 5 <!ELEMENT attribut EMPTY> 6 <!ATTLIST attribut 7 nom CDATA #REQUIRED 8 valeur CDATA #REQUIRED> Donnez le contenu du fichier XML qui correspond à la tâche ta. 6 points <?xml version="1.0" encoding="utf-8"?> <!DOCTYPE taches SYSTEM "taches.dtd"> <taches> <tache> <attribut nom="nom" valeur="a" /> <attribut nom="cout" valeur="30" /> <tache> <attribut nom="nom" valeur="a1" /> <attribut nom="cout" valeur="10" /> </tache> <tache> <attribut nom="nom" valeur="a2" /> <attribut nom="cout" valeur="20" /> </tache> </tache> </taches> 19/20

20 Grille de notation Exercices NOM Prénom N Dossier 1 - UML 2 30 points Question 1 /10 Question 2 /10 Question 3 /10 Dossier 2 - ORACLE et PL/SQL 55 points Question 1 /6 Question 2 /12 Question 3 /7 Question 4 /12 Question 5 /6 Question 6 /12 Dossier 3 - JAVA et IHM 55 points Question 1 /15 Question 2 /40 Orthographe et présenation /10 TOTAL /150 Appréciation générale : 20/20

Interfaces graphiques avec l API Swing

Interfaces graphiques avec l API Swing Interfaces graphiques avec l API Swing Les Swing Les classes graphiques Swing dérivent de la classe JComponent, qui hérite ellemême de la classe AWT (Abstract Window Toolkit). Tous les composants Swing

Plus en détail

COMMANDES SQL... 2 COMMANDES DE DEFINITION DE DONNEES... 2

COMMANDES SQL... 2 COMMANDES DE DEFINITION DE DONNEES... 2 SQL Sommaire : COMMANDES SQL... 2 COMMANDES DE DEFINITION DE DONNEES... 2 COMMANDES DE MANIPULATION DE DONNEES... 2 COMMANDES DE CONTROLE TRANSACTIONNEL... 2 COMMANDES DE REQUETE DE DONNEES... 2 COMMANDES

Plus en détail

Encapsulation. L'encapsulation consiste à rendre les membres d'un objet plus ou moins visibles pour les autres objets.

Encapsulation. L'encapsulation consiste à rendre les membres d'un objet plus ou moins visibles pour les autres objets. Encapsulation L'encapsulation consiste à rendre les membres d'un objet plus ou moins visibles pour les autres objets. La visibilité dépend des membres : certains membres peuvent être visibles et d'autres

Plus en détail

Les Triggers SQL. Didier DONSEZ. Université de Valenciennes Institut des Sciences et Techniques de Valenciennes donsez@univ-valenciennes.

Les Triggers SQL. Didier DONSEZ. Université de Valenciennes Institut des Sciences et Techniques de Valenciennes donsez@univ-valenciennes. Les Triggers SQL Didier DONSEZ Université de Valenciennes Institut des Sciences et Techniques de Valenciennes donsez@univ-valenciennes.fr 1 Sommaire Motivations Trigger Ordre Trigger Ligne Condition Trigger

Plus en détail

Langage propre à Oracle basé sur ADA. Offre une extension procédurale à SQL

Langage propre à Oracle basé sur ADA. Offre une extension procédurale à SQL Cours PL/SQL Langage propre à Oracle basé sur ADA Offre une extension procédurale à SQL PL/SQL permet d utiliser un sous-ensemble du langage SQL des variables, des boucles, des alternatives, des gestions

Plus en détail

Auto-évaluation Oracle: cours de base

Auto-évaluation Oracle: cours de base Auto-évaluation Oracle: cours de base Document: F0475Test.fm 14/01/2008 ABIS Training & Consulting P.O. Box 220 B-3000 Leuven Belgium TRAINING & CONSULTING INTRODUCTION AUTO-ÉVALUATION ORACLE: COURS DE

Plus en détail

ORACLE 10G DISTRIBUTION ET REPLICATION. Distribution de données avec Oracle. G. Mopolo-Moké prof. Associé UNSA 2009/ 2010

ORACLE 10G DISTRIBUTION ET REPLICATION. Distribution de données avec Oracle. G. Mopolo-Moké prof. Associé UNSA 2009/ 2010 ORACLE 10G DISTRIBUTION ET REPLICATION Distribution de données avec Oracle G. Mopolo-Moké prof. Associé UNSA 2009/ 2010 1 Plan 12. Distribution de données 12.1 Génération des architectures C/S et Oracle

Plus en détail

Cours Bases de données 2ème année IUT

Cours Bases de données 2ème année IUT Cours Bases de données 2ème année IUT Cours Bilan : Des vues à PL/SQL corrigé Anne Vilnat http://www.limsi.fr/individu/anne/cours Plan 1 Cas exemple 2 Les tables... 3 Vues et index 4 Privilèges 5 Fonctions

Plus en détail

CREATION WEB DYNAMIQUE

CREATION WEB DYNAMIQUE CREATION WEB DYNAMIQUE IV ) MySQL IV-1 ) Introduction MYSQL dérive directement de SQL (Structured Query Language) qui est un langage de requêtes vers les bases de données relationnelles. Le serveur de

Plus en détail

Programme «Analyste Programmeur» Diplôme d état : «Développeur Informatique» Homologué au niveau III (Bac+2) (JO N 176 du 1 août 2003) (34 semaines)

Programme «Analyste Programmeur» Diplôme d état : «Développeur Informatique» Homologué au niveau III (Bac+2) (JO N 176 du 1 août 2003) (34 semaines) Programme «Analyste Programmeur» Diplôme d état : «Développeur Informatique» Homologué au niveau III (Bac+2) (JO N 176 du 1 août 2003) (34 semaines) Module 1 : Programmer une application informatique Durée

Plus en détail

Langage et Concepts de Programmation Objet. 1 Attributs et Méthodes d instance ou de classe. Travaux Dirigés no2

Langage et Concepts de Programmation Objet. 1 Attributs et Méthodes d instance ou de classe. Travaux Dirigés no2 Langage et Concepts de Programmation Objet Travaux Dirigés no2 Pôle Informatique École Nationale Supérieure des Mines de St-Etienne Vous trouverez plus de détails sur les concepts abordés lors de ce TD

Plus en détail

Bases de données relationnelles

Bases de données relationnelles Bases de données relationnelles Système de Gestion de Bases de Données Une base de données est un ensemble de données mémorisé par un ordinateur, organisé selon un modèle et accessible à de nombreuses

Plus en détail

Java et les bases de données: JDBC: Java DataBase Connectivity SQLJ: Embedded SQL in Java. Michel Bonjour http://cuiwww.unige.

Java et les bases de données: JDBC: Java DataBase Connectivity SQLJ: Embedded SQL in Java. Michel Bonjour http://cuiwww.unige. : JDBC: Java DataBase Connectivity SQLJ: Embedded SQL in Java Michel Bonjour http://cuiwww.unige.ch/~bonjour Plan JDBC: API bas niveau pour l accès aux BD (SQL) - Introduction - JDBC et : Java, ODBC, SQL

Plus en détail

Bases de données Oracle Virtual Private Database (VPD) pour la gestion des utilisateurs d applications

Bases de données Oracle Virtual Private Database (VPD) pour la gestion des utilisateurs d applications Bases de données Oracle Virtual Private Database (VPD) pour la gestion des utilisateurs d applications P.-A. Sunier, HEG-Arc Neuchâtel avec le concours de J. Greub pierre-andre.sunier@he-arc.ch http://lgl.isnetne.ch/

Plus en détail

Quelques patterns pour la persistance des objets avec DAO DAO. Principe de base. Utilité des DTOs. Le modèle de conception DTO (Data Transfer Object)

Quelques patterns pour la persistance des objets avec DAO DAO. Principe de base. Utilité des DTOs. Le modèle de conception DTO (Data Transfer Object) Quelques patterns pour la persistance des objets avec DAO Ce cours présente des modèles de conception utilisés pour effectuer la persistance des objets Université de Nice Sophia-Antipolis Version 1.4 30/8/07

Plus en détail

Développement Logiciel

Développement Logiciel Développement Logiciel Éxamen session 1-2012-2013 (Vendedi 25 mai, 9h-11h) Seuls les documents liés directement au cours sont autorisés (comme dit sur le site) : sujets de TD, notes de cours, notes personnelles

Plus en détail

Java DataBaseConnectivity

Java DataBaseConnectivity Java DataBaseConnectivity JDBC JDBC est une API Java (ensemble de classes et d interfaces défini par SUN et les acteurs du domaine des SGBD) permettant d accéder aux bases de données à l aide du langage

Plus en détail

Cours 3. Développement d une application BD. DBA - Maîtrise ASR - Université Evry

Cours 3. Développement d une application BD. DBA - Maîtrise ASR - Université Evry Cours 3 Développement d une application BD 1 Plan du cours Gestion de la sécurité des données Optimisation des schémas de bases via la dénormalisation Utilisation de vues Placement du code applicatif dans

Plus en détail

TP Contraintes - Triggers

TP Contraintes - Triggers TP Contraintes - Triggers 1. Préambule Oracle est accessible sur le serveur Venus et vous êtes autorisés à accéder à une instance licence. Vous utiliserez l interface d accés SQL*Plus qui permet l exécution

Plus en détail

CATALOGUE FORMATIONS 2015. DOMAINE Bases de données

CATALOGUE FORMATIONS 2015. DOMAINE Bases de données DOMAINE Bases de données Version 1.0 - Octobre 2014 1, 2, 3 juin 2015 1, 2, 3 octobre 2015 CATALOGUE Analyse et conception d une base de données Elaboration de fiches de collecte de données Techniques

Plus en détail

OpenPaaS Le réseau social d'entreprise

OpenPaaS Le réseau social d'entreprise OpenPaaS Le réseau social d'entreprise Spécification des API datastore SP L2.3.1 Diffusion : Institut MinesTélécom, Télécom SudParis 1 / 12 1OpenPaaS DataBase API : ODBAPI...3 1.1Comparaison des concepts...3

Plus en détail

Bases de données et sites WEB Licence d informatique LI345

Bases de données et sites WEB Licence d informatique LI345 Bases de données et sites WEB Licence d informatique LI345 Anne Doucet Anne.Doucet@lip6.fr http://www-bd.lip6.fr/ens/li345-2013/index.php/lescours 1 Contenu Transactions en pratique Modèle relationnel-objet

Plus en détail

Application web de gestion de comptes en banques

Application web de gestion de comptes en banques Application web de gestion de comptes en banques Objectif Réaliser une application Web permettant à un client de gérer ses comptes en banque Diagramme de cas d'utilisation 1 Les cas d'utilisation Connexion

Plus en détail

Pour signifier qu'une classe fille hérite d'une classe mère, on utilise le mot clé extends class fille extends mère

Pour signifier qu'une classe fille hérite d'une classe mère, on utilise le mot clé extends class fille extends mère L'héritage et le polymorphisme en Java Pour signifier qu'une classe fille hérite d'une classe mère, on utilise le mot clé extends class fille extends mère En java, toutes les classes sont dérivée de la

Plus en détail

LANGAGUE JAVA. Public Développeurs souhaitant étendre leur panel de langages de programmation

LANGAGUE JAVA. Public Développeurs souhaitant étendre leur panel de langages de programmation ING 01 LANGAGUE JAVA Durée : 21 heures 1090 HT / jour Dates : à définir en 2012 Concevoir et développer des programmes en langage Java Comprendre le fonctionnement de la machine virtuelle S approprier

Plus en détail

//////////////////////////////////////////////////////////////////// Administration bases de données

//////////////////////////////////////////////////////////////////// Administration bases de données ////////////////////// Administration bases de données / INTRODUCTION Système d informations Un système d'information (SI) est un ensemble organisé de ressources (matériels, logiciels, personnel, données

Plus en détail

TP3. Mail. Attention aux fausses manoeuvres lors de ce TP vous pouvez endommager votre mail sur ouindose.

TP3. Mail. Attention aux fausses manoeuvres lors de ce TP vous pouvez endommager votre mail sur ouindose. Université Paris 7 M2 II Protocole Internet TP3 Mail Attention aux fausses manoeuvres lors de ce TP vous pouvez endommager votre mail sur ouindose. 1 Protocole SMTP 1. Le protocole SMTP est définit dans

Plus en détail

Module Administration BD Chapitre 1 : Surcouche procédurale dans les SGBDS

Module Administration BD Chapitre 1 : Surcouche procédurale dans les SGBDS Module Administration BD Chapitre 1 : Surcouche procédurale dans les SGBDS 1. Introduction Nous allons aborder la notion de surcouche procédurale au sein des SGBDS relationnels tels que Oracle (PLSQL)

Plus en détail

Programmer en JAVA. par Tama (tama@via.ecp.fr( tama@via.ecp.fr)

Programmer en JAVA. par Tama (tama@via.ecp.fr( tama@via.ecp.fr) Programmer en JAVA par Tama (tama@via.ecp.fr( tama@via.ecp.fr) Plan 1. Présentation de Java 2. Les bases du langage 3. Concepts avancés 4. Documentation 5. Index des mots-clés 6. Les erreurs fréquentes

Plus en détail

TP1 : Initiation à Java et Eclipse

TP1 : Initiation à Java et Eclipse TP1 : Initiation à Java et Eclipse 1 TP1 : Initiation à Java et Eclipse Systèmes d Exploitation Avancés I. Objectifs du TP Ce TP est une introduction au langage Java. Il vous permettra de comprendre les

Plus en détail

NFA 008. Introduction à NoSQL et MongoDB 25/05/2013

NFA 008. Introduction à NoSQL et MongoDB 25/05/2013 NFA 008 Introduction à NoSQL et MongoDB 25/05/2013 1 NoSQL, c'est à dire? Les bases de données NoSQL restent des bases de données mais on met l'accent sur L'aspect NON-relationnel L'architecture distribuée

Plus en détail

CHAPITRE 1 ARCHITECTURE

CHAPITRE 1 ARCHITECTURE 07/04/2014 Université des sciences et de la Technologie Houari Boumediene USTHB Alger Département d Informatique ADMINISTRATION ET TUNING DE BASES DE DONNÉES CHAPITRE 1 ARCHITECTURE RESPONSABLE DR K. BOUKHALFA

Plus en détail

SGBDR. Systèmes de Gestion de Bases de Données (Relationnelles)

SGBDR. Systèmes de Gestion de Bases de Données (Relationnelles) SGBDR Systèmes de Gestion de Bases de Données (Relationnelles) Plan Approches Les tâches du SGBD Les transactions Approche 1 Systèmes traditionnels basés sur des fichiers Application 1 Gestion clients

Plus en détail

Université de Bangui. Modélisons en UML

Université de Bangui. Modélisons en UML Université de Bangui CRM Modélisons en UML Ce cours a été possible grâce à l initiative d Apollinaire MOLAYE qui m a contacté pour vous faire bénéficier de mes connaissances en nouvelles technologies et

Plus en détail

A.E.C. GESTION DES APPLICATIONS TECHNOLOGIE DE L'INFORMATION LEA.BW

A.E.C. GESTION DES APPLICATIONS TECHNOLOGIE DE L'INFORMATION LEA.BW A.E.C. GESTION DES APPLICATIONS TECHNOLOGIE DE L'INFORMATION LEA.BW Groupe : 322 Exploitation des Banques de données 420-PK6-SL (1-2-1) Étape : 3 Professeur Nom: Marcel Aubin Courriel : maubin@cegep-st-laurent.qc.ca

Plus en détail

Gestion des utilisateurs et de leurs droits

Gestion des utilisateurs et de leurs droits Gestion des utilisateurs et de leurs droits Chap. 12, page 323 à 360 Lors de la création d'un utilisateur vous devez indiquer son nom, ses attributs, son profil, la méthode d'authentification (par le SE

Plus en détail

A QUOI SERVENT LES BASES DE DONNÉES?

A QUOI SERVENT LES BASES DE DONNÉES? BASE DE DONNÉES OBJET Virginie Sans virginie.sans@irisa.fr A QUOI SERVENT LES BASES DE DONNÉES? Stockage des informations : sur un support informatique pendant une longue période de taille importante accès

Plus en détail

Information utiles. cinzia.digiusto@gmail.com. webpage : Google+ : http://www.ibisc.univ-evry.fr/ digiusto/

Information utiles. cinzia.digiusto@gmail.com. webpage : Google+ : http://www.ibisc.univ-evry.fr/ digiusto/ Systèmes de gestion de bases de données Introduction Université d Evry Val d Essonne, IBISC utiles email : cinzia.digiusto@gmail.com webpage : http://www.ibisc.univ-evry.fr/ digiusto/ Google+ : https://plus.google.com/u/0/b/103572780965897723237/

Plus en détail

Les frameworks au coeur des applications web

Les frameworks au coeur des applications web Les frameworks au coeur des applications web Mémoire de bachelor réalisé par : Arielle Moro Directeur de mémoire : Peter Daehne, Professeur HES Genève, le vendredi 27 août 2010, Haute Ecole de Gestion

Plus en détail

Bases de données avancées

Bases de données avancées Bases de données avancées Jean-Yves Antoine LI - Université François Rabelais de Tours Jean-Yves.Antoine@univ-tours.fr UFR Sciences et Techniques IUP SIR Blois Master 1 Bases de Données avancées IUP Blois,

Plus en détail

Présentation. Au programme. Fonctionnement. A l issue de ce module vous devriez...

Présentation. Au programme. Fonctionnement. A l issue de ce module vous devriez... Au programme Conception Orientée Objet Jean-Christophe Routier Licence mention Informatique Université Lille 1 Présentation L UE COO est le prolongement immédiat de l UE POO du S4 informatique. cf. http://portail.fil.univ-lille1.fr/portail/ls4/poo

Plus en détail

Notion de base de données

Notion de base de données Notion de base de données Collection de données opérationnelles enregistrées sur un support adressable et utilisées par les systèmes et les applications Les données doivent être structurées indépendamment

Plus en détail

4. Utilisation d un SGBD : le langage SQL. 5. Normalisation

4. Utilisation d un SGBD : le langage SQL. 5. Normalisation Base de données S. Lèbre slebre@unistra.fr Université de Strasbourg, département d informatique. Présentation du module Contenu général Notion de bases de données Fondements / Conception Utilisation :

Plus en détail

Cette application développée en C# va récupérer un certain nombre d informations en ligne fournies par la ville de Paris :

Cette application développée en C# va récupérer un certain nombre d informations en ligne fournies par la ville de Paris : Développement d un client REST, l application Vélib 1. Présentation L application présentée permet de visualiser les disponibilités des vélos et des emplacements de parking à la disposition des parisiens

Plus en détail

Langage SQL (1) 4 septembre 2007. IUT Orléans. Introduction Le langage SQL : données Le langage SQL : requêtes

Langage SQL (1) 4 septembre 2007. IUT Orléans. Introduction Le langage SQL : données Le langage SQL : requêtes Langage SQL (1) Sébastien Limet Denys Duchier IUT Orléans 4 septembre 2007 Notions de base qu est-ce qu une base de données? SGBD différents type de bases de données quelques systèmes existants Définition

Plus en détail

Introduction à JDBC. Accès aux bases de données en Java

Introduction à JDBC. Accès aux bases de données en Java Introduction à JDBC Accès aux bases de données en Java Eric Cariou Université de Pau et des Pays de l'adour Département Informatique Eric.Cariou@univ-pau.fr 1 Introduction JDBC : Java Data Base Connectivity

Plus en détail

Plan de formation : Certification OCA Oracle 11g. Les administrateurs de base de données (DBA) Oracle gèrent les systèmes informatiques

Plan de formation : Certification OCA Oracle 11g. Les administrateurs de base de données (DBA) Oracle gèrent les systèmes informatiques Plan de formation : Certification OCA Oracle 11g Description Les administrateurs de base de données (DBA) Oracle gèrent les systèmes informatiques industriels les plus avancés. Cette formation permettra

Plus en détail

Génie Logiciel avec Ada. 4 février 2013

Génie Logiciel avec Ada. 4 février 2013 Génie Logiciel 4 février 2013 Plan I. Généralités II. Structures linéaires III. Exceptions IV. Structures arborescentes V. Dictionnaires I. Principes II. Notions propres à la POO I. Principes Chapitre

Plus en détail

La persistance des données dans les applications : DAO, JPA, Hibernate... COMPIL 2010 francois.jannin@inp-toulouse.fr 1

La persistance des données dans les applications : DAO, JPA, Hibernate... COMPIL 2010 francois.jannin@inp-toulouse.fr 1 La persistance des données dans les applications : DAO, JPA, Hibernate... COMPIL 2010 francois.jannin@inp-toulouse.fr 1 Plan 1. Généralités sur la persistance des données dans les applications 2. La connection

Plus en détail

Bases de données avancées Introduction

Bases de données avancées Introduction Bases de données avancées Introduction Dan VODISLAV Université de Cergy-Pontoise Master Informatique M1 Cours BDA Plan Objectifs et contenu du cours Rappels BD relationnelles Bibliographie Cours BDA (UCP/M1)

Plus en détail

Licence de MIDO - 3ème année Spécialités Informatique et Mathématiques Appliquées

Licence de MIDO - 3ème année Spécialités Informatique et Mathématiques Appliquées Licence de MIDO - 3ème année Spécialités Informatique et Mathématiques Appliquées ANNEE 2014 / 2015 Désignation de l enseignement : Bases de données Nom du document : TP SQL sous PostgreSQL Rédacteur :

Plus en détail

Cours intensif Java. 1er cours: de C à Java. Enrica DUCHI LIAFA, Paris 7. Septembre 2009. Enrica.Duchi@liafa.jussieu.fr

Cours intensif Java. 1er cours: de C à Java. Enrica DUCHI LIAFA, Paris 7. Septembre 2009. Enrica.Duchi@liafa.jussieu.fr . Cours intensif Java 1er cours: de C à Java Septembre 2009 Enrica DUCHI LIAFA, Paris 7 Enrica.Duchi@liafa.jussieu.fr LANGAGES DE PROGRAMMATION Pour exécuter un algorithme sur un ordinateur il faut le

Plus en détail

Notes de cours : bases de données distribuées et repliquées

Notes de cours : bases de données distribuées et repliquées Notes de cours : bases de données distribuées et repliquées Loïc Paulevé, Nassim Hadj-Rabia (2009), Pierre Levasseur (2008) Licence professionnelle SIL de Nantes, 2009, version 1 Ces notes ont été élaborées

Plus en détail

Quelques aspects du Relationnel-Objet du SGBD Oracle

Quelques aspects du Relationnel-Objet du SGBD Oracle Département informatique de l IUT (de l université) de Bordeaux Cours de Bases de Données : présentation partielle d un SGBD RO 12 août 2015 Olivier Guibert Quelques aspects du Relationnel-Objet du SGBD

Plus en détail

Bases de Données relationnelles et leurs systèmes de Gestion

Bases de Données relationnelles et leurs systèmes de Gestion III.1- Définition de schémas Bases de Données relationnelles et leurs systèmes de Gestion RAPPELS Contraintes d intégrité sous Oracle Notion de vue Typage des attributs Contrainte d intégrité Intra-relation

Plus en détail

Cours Bases de données 2ème année IUT

Cours Bases de données 2ème année IUT Cours Bases de données 2ème année IUT Cours 13 : Organisation d une base de données, ou comment soulever (un peu) le voile Anne Vilnat http://www.limsi.fr/individu/anne/cours Plan 1 Les clusters de table

Plus en détail

Une introduction à Java

Une introduction à Java Une introduction à Java IFT 287 (Semaine 1) UNIVERSITÉ DE SHERBROOKE 1 Java - Historique Développé par Sun Microsystems en 1994 Inventeur James Gosling (canadien!) Objectif langage sûr (fortement typé)

Plus en détail

Héritage presque multiple en Java (1/2)

Héritage presque multiple en Java (1/2) Héritage presque multiple en Java (1/2) Utiliser deux classes ou plus dans la définition d'une nouvelle classe peut se faire par composition. class Etudiant{ int numero; Diplome d; float passeexamen(examen

Plus en détail

Présentation du module Base de données spatio-temporelles

Présentation du module Base de données spatio-temporelles Présentation du module Base de données spatio-temporelles S. Lèbre slebre@unistra.fr Université de Strasbourg, département d informatique. Partie 1 : Notion de bases de données (12,5h ) Enjeux et principes

Plus en détail

Anne Tasso. Java. Le livre de. premier langage. 10 e édition. Avec 109 exercices corrigés. Groupe Eyrolles, 2000-2015, ISBN : 978-2-212-14154-2

Anne Tasso. Java. Le livre de. premier langage. 10 e édition. Avec 109 exercices corrigés. Groupe Eyrolles, 2000-2015, ISBN : 978-2-212-14154-2 Anne Tasso Java Le livre de premier langage 10 e édition Avec 109 exercices corrigés Groupe Eyrolles, 2000-2015, ISBN : 978-2-212-14154-2 Table des matières Avant-propos Organisation de l ouvrage..............................

Plus en détail

Compte-rendu de projet de Système de gestion de base de données

Compte-rendu de projet de Système de gestion de base de données Compte-rendu de projet de Système de gestion de base de données Création et utilisation d'un index de jointure LAMBERT VELLER Sylvain M1 STIC Université de Bourgogne 2010-2011 Reponsable : Mr Thierry Grison

Plus en détail

PHP. Bertrand Estellon. 26 avril 2012. Aix-Marseille Université. Bertrand Estellon (AMU) PHP 26 avril 2012 1 / 214

PHP. Bertrand Estellon. 26 avril 2012. Aix-Marseille Université. Bertrand Estellon (AMU) PHP 26 avril 2012 1 / 214 PHP Bertrand Estellon Aix-Marseille Université 26 avril 2012 Bertrand Estellon (AMU) PHP 26 avril 2012 1 / 214 SQLite et PDO Base de données SQLite et PDO SQLite écrit les données relatives à la base dans

Plus en détail

Le Langage De Description De Données(LDD)

Le Langage De Description De Données(LDD) Base de données Le Langage De Description De Données(LDD) Créer des tables Décrire les différents types de données utilisables pour les définitions de colonne Modifier la définition des tables Supprimer,

Plus en détail

Introduction à Java. Matthieu Herrb CNRS-LAAS. Mars 2014. http://homepages.laas.fr/matthieu/cours/java/java.pdf

Introduction à Java. Matthieu Herrb CNRS-LAAS. Mars 2014. http://homepages.laas.fr/matthieu/cours/java/java.pdf Introduction à Java Matthieu Herrb CNRS-LAAS http://homepages.laas.fr/matthieu/cours/java/java.pdf Mars 2014 Plan 1 Concepts 2 Éléments du langage 3 Classes et objets 4 Packages 2/28 Histoire et motivations

Plus en détail

1. Qu'est-ce que SQL?... 2. 2. La maintenance des bases de données... 2. 3. Les manipulations des bases de données... 5

1. Qu'est-ce que SQL?... 2. 2. La maintenance des bases de données... 2. 3. Les manipulations des bases de données... 5 1. Qu'est-ce que SQL?... 2 2. La maintenance des bases de données... 2 2.1 La commande CREATE TABLE... 3 2.2 La commande ALTER TABLE... 4 2.3 La commande CREATE INDEX... 4 3. Les manipulations des bases

Plus en détail

Java Licence Professionnelle 2009-2010. Cours 7 : Classes et méthodes abstraites

Java Licence Professionnelle 2009-2010. Cours 7 : Classes et méthodes abstraites Java Licence Professionnelle 2009-2010 Cours 7 : Classes et méthodes abstraites 1 Java Classes et méthodes abstraites - Le mécanisme des classes abstraites permet de définir des comportements (méthodes)

Plus en détail

Remote Method Invocation (RMI)

Remote Method Invocation (RMI) Remote Method Invocation (RMI) TP Réseau Université Paul Sabatier Master Informatique 1 ère Année Année 2006/2007 Plan Objectifs et Inconvénients de RMI Fonctionnement Définitions Architecture et principe

Plus en détail

Auto-évaluation Programmation en Java

Auto-évaluation Programmation en Java Auto-évaluation Programmation en Java Document: f0883test.fm 22/01/2013 ABIS Training & Consulting P.O. Box 220 B-3000 Leuven Belgium TRAINING & CONSULTING INTRODUCTION AUTO-ÉVALUATION PROGRAMMATION EN

Plus en détail

Bases de Données Avancées

Bases de Données Avancées 1/62 Bases de Données Avancées Introduction & Rappel Conception et Modélisation Thierry Hamon Bureau H202 - Institut Galilée Tél. : 33 1.48.38.35.53 Bureau 150 LIM&BIO EA 3969 Université Paris 13 - UFR

Plus en détail

Programmation Objet Java Correction

Programmation Objet Java Correction INSA - 4 AE 2007 2008 Durée : 1H00 Contrôle Programmation Objet Java Correction Consignes Tous les documents sont autorisés, mais ils seront peu utiles. Indiquez vos nom et prénom sur chaque feuille. Le

Plus en détail

RMI le langage Java XII-1 JMF

RMI le langage Java XII-1 JMF Remote Method Invocation (RMI) XII-1 Introduction RMI est un ensemble de classes permettant de manipuler des objets sur des machines distantes (objets distants) de manière similaire aux objets sur la machine

Plus en détail

4. Groupement d objets

4. Groupement d objets Conception objet en Java avec BlueJ une approche interactive 4. Groupement d objets Collections et itérateurs David J. Barnes, Michael Kölling version française: Patrice Moreaux Rédigé avec 1.0 Principaux

Plus en détail

I. MySQL : Serveur et SGBD

I. MySQL : Serveur et SGBD Le Système de Gestion de Base de Données MySQL I. MySQL : Serveur et SGBD Menu I. MySQL : Serveur et SGBG II. Création d'une base de données avec MySQL MySQL est un système de gestion et conception de

Plus en détail

Langage SQL : créer et interroger une base

Langage SQL : créer et interroger une base Langage SQL : créer et interroger une base Dans ce chapitre, nous revenons sur les principales requêtes de création de table et d accès aux données. Nous verrons aussi quelques fonctions d agrégation (MAX,

Plus en détail

PROJET 1 : BASE DE DONNÉES REPARTIES

PROJET 1 : BASE DE DONNÉES REPARTIES PROJET 1 : BASE DE DONNÉES REPARTIES GESTION D UNE BANQUE Elèves : David Bréchet Frédéric Jacot Charles Secrétan DONNÉES DU PROJET SSC - Bases de Données II Laboratoire de Bases de Données BD réparties

Plus en détail

Procédures Stockées WAVESOFT... 12 ws_sp_getidtable... 12. Exemple :... 12. ws_sp_getnextsouche... 12. Exemple :... 12

Procédures Stockées WAVESOFT... 12 ws_sp_getidtable... 12. Exemple :... 12. ws_sp_getnextsouche... 12. Exemple :... 12 Table des matières Les Triggers... 2 Syntaxe... 2 Explications... 2 Les évènements déclencheurs des triggers... 3 Les modes de comportements des triggers... 4 Les pseudo tables... 5 Exemple... 6 Les procédures

Plus en détail

A QUOI SERVENT LES BASES DE DONNÉES?

A QUOI SERVENT LES BASES DE DONNÉES? BASE DE DONNÉES OBJET Virginie Sans virginie.sans@irisa.fr A QUOI SERVENT LES BASES DE DONNÉES? Stockage des informations : sur un support informatique pendant une longue période de taille importante accès

Plus en détail

Exceptions. 1 Entrées/sorties. Objectif. Manipuler les exceptions ;

Exceptions. 1 Entrées/sorties. Objectif. Manipuler les exceptions ; CNAM NFP121 TP 10 19/11/2013 (Séance 5) Objectif Manipuler les exceptions ; 1 Entrées/sorties Exercice 1 : Lire un entier à partir du clavier Ajouter une méthode readint(string message) dans la classe

Plus en détail

Exemple accessible via une interface Web. Bases de données et systèmes de gestion de bases de données. Généralités. Définitions

Exemple accessible via une interface Web. Bases de données et systèmes de gestion de bases de données. Généralités. Définitions Exemple accessible via une interface Web Une base de données consultable en ligne : Bases de données et systèmes de gestion de bases de données The Trans-atlantic slave trade database: http://www.slavevoyages.org/tast/index.faces

Plus en détail

ISC21-1 --- Système d Information Architecture et Administration d un SGBD Compléments SQL

ISC21-1 --- Système d Information Architecture et Administration d un SGBD Compléments SQL ISC21-1 --- Système d Information Architecture et Administration d un SGBD Compléments SQL Jean-Marie Pécatte jean-marie.pecatte@iut-tlse3.fr 16 novembre 2006 ISIS - Jean-Marie PECATTE 1 Valeur de clé

Plus en détail

TP n 2 Concepts de la programmation Objets Master 1 mention IL, semestre 2 Le type Abstrait Pile

TP n 2 Concepts de la programmation Objets Master 1 mention IL, semestre 2 Le type Abstrait Pile TP n 2 Concepts de la programmation Objets Master 1 mention IL, semestre 2 Le type Abstrait Pile Dans ce TP, vous apprendrez à définir le type abstrait Pile, à le programmer en Java à l aide d une interface

Plus en détail

I4 : Bases de Données

I4 : Bases de Données I4 : Bases de Données Passage de UML au modèle relationnel Georges LOUIS Département Réseaux et Télécommunications Université de La Rochelle Module I4 2008-2009 1 G.Louis Sommaire 1 Des classes aux tables

Plus en détail

Devoir Data WareHouse

Devoir Data WareHouse Université Paris XIII Institut Galilée Master 2-EID BENSI Ahmed CHARIFOU Evelyne Devoir Data WareHouse Optimisation, Transformation et Mise à jour utilisées par un ETL Mr R. NEFOUSSI Année 2007-2008 FICHE

Plus en détail

Premiers Pas en Programmation Objet : les Classes et les Objets

Premiers Pas en Programmation Objet : les Classes et les Objets Chapitre 2 Premiers Pas en Programmation Objet : les Classes et les Objets Dans la première partie de ce cours, nous avons appris à manipuler des objets de type simple : entiers, doubles, caractères, booléens.

Plus en détail

Cours Base de données relationnelles. M. Boughanem, IUP STRI

Cours Base de données relationnelles. M. Boughanem, IUP STRI Cours Base de données relationnelles 1 Plan 1. Notions de base 2. Modèle relationnel 3. SQL 2 Notions de base (1) Définition intuitive : une base de données est un ensemble d informations, (fichiers),

Plus en détail

XML par la pratique Bases indispensables, concepts et cas pratiques (3ième édition)

XML par la pratique Bases indispensables, concepts et cas pratiques (3ième édition) Présentation du langage XML 1. De SGML à XML 17 2. Les bases de XML 18 2.1 Rappel sur HTML 18 2.2 Votre premier document XML 19 2.3 Les avantages de XML 21 3. La syntaxe XML 21 3.1 La première ligne du

Plus en détail

Du 10 Fév. au 14 Mars 2014

Du 10 Fév. au 14 Mars 2014 Interconnexion des Sites - Design et Implémentation des Réseaux informatiques - Sécurité et Audit des systèmes - IT CATALOGUE DE FORMATION SIS 2014 1 FORMATION ORACLE 10G 11G 10 FEV 2014 DOUALA CAMEROUN

Plus en détail

Initiation à JAVA et à la programmation objet. raphael.bolze@ens-lyon.fr

Initiation à JAVA et à la programmation objet. raphael.bolze@ens-lyon.fr Initiation à JAVA et à la programmation objet raphael.bolze@ens-lyon.fr O b j e c t i f s Découvrir un langage de programmation objet. Découvrir l'environnement java Découvrir les concepts de la programmation

Plus en détail

ECR_DESCRIPTION CHAR(80), ECR_MONTANT NUMBER(10,2) NOT NULL, ECR_SENS CHAR(1) NOT NULL) ;

ECR_DESCRIPTION CHAR(80), ECR_MONTANT NUMBER(10,2) NOT NULL, ECR_SENS CHAR(1) NOT NULL) ; RÈGLES A SUIVRE POUR OPTIMISER LES REQUÊTES SQL Le but de ce rapport est d énumérer quelques règles pratiques à appliquer dans l élaboration des requêtes. Il permettra de comprendre pourquoi certaines

Plus en détail

INITIATION AU LANGAGE JAVA

INITIATION AU LANGAGE JAVA INITIATION AU LANGAGE JAVA I. Présentation 1.1 Historique : Au début des années 90, Sun travaillait sur un projet visant à concevoir des logiciels simples et performants exécutés dans des PDA (Personnal

Plus en détail

Module BD et sites WEB

Module BD et sites WEB Module BD et sites WEB Cours 8 Bases de données et Web Anne Doucet Anne.Doucet@lip6.fr 1 Le Web Architecture Architectures Web Client/serveur 3-tiers Serveurs d applications Web et BD Couplage HTML-BD

Plus en détail

UML et les Bases de Données

UML et les Bases de Données CNAM UML et les Bases de Données UML et les Bases de Données. Diagramme de classes / diagramme d objets (UML)...2.. Premier niveau de modélisation des données d une application...2.2. Les éléments de modélisation...2.2..

Plus en détail

INTRODUCTION A JAVA. Fichier en langage machine Exécutable

INTRODUCTION A JAVA. Fichier en langage machine Exécutable INTRODUCTION A JAVA JAVA est un langage orienté-objet pur. Il ressemble beaucoup à C++ au niveau de la syntaxe. En revanche, ces deux langages sont très différents dans leur structure (organisation du

Plus en détail

Types d applications pour la persistance. Outils de développement. Base de données préexistante? 3 modèles. Variantes avec passerelles

Types d applications pour la persistance. Outils de développement. Base de données préexistante? 3 modèles. Variantes avec passerelles Types d applications pour la persistance Université de Nice Sophia-Antipolis Version 0.9 28/8/07 Richard Grin Toutes les applications n ont pas une complexité qui nécessite une architecture n- tiers Ce

Plus en détail

TP11 - Administration/Tuning

TP11 - Administration/Tuning TP11 - Administration/Tuning MIAGE #3-2006/2007 January 9, 2007 1 Architecture physique d une base Oracle 1.1 La structure physique Une base de données Oracle est composé de fichiers (au sens du système

Plus en détail

Cours 1: Java et les objets

Cours 1: Java et les objets Ressources Les interface homme-machine et le langage Java DUT première année Henri Garreta, Faculté des Sciences (Luminy) Cyril Pain-Barre & Sébastien Nedjar, IUT d Aix-Marseille (Aix) Cours 1: infodoc.iut.univ-aix.fr/~ihm/

Plus en détail

SQL Historique 1982 1986 1992

SQL Historique 1982 1986 1992 SQL Historique 1950-1960: gestion par simple fichier texte 1960: COBOL (début de notion de base de données) 1968: premier produit de sgbdr structuré (IBM -> IDMS) 1970-74: élaboration de l'outil d'analyse

Plus en détail

Cours Bases de données 2ème année IUT

Cours Bases de données 2ème année IUT Cours Bases de données 2ème année IUT Cours 12 : Concurrence d accès Anne Vilnat http://www.limsi.fr/individu/anne/cours Plan 1 Accès concurrents Définitions Verrous Collisions Niveaux de cohérence Blocage

Plus en détail

Le Langage SQL version Oracle

Le Langage SQL version Oracle Université de Manouba École Supérieure d Économie Numérique Département des Technologies des Systèmes d Information Le Langage SQL version Oracle Document version 1.1 Mohamed Anis BACH TOBJI anis.bach@isg.rnu.tn

Plus en détail