La médiation scientifique et culturelle de musée

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "La médiation scientifique et culturelle de musée"

Transcription

1 La médiation scientifique et culturelle de musée 1. Introduction Anne Fauche Dégagée de toute institution 1 1. Dans les expositions des musées de sciences et des centres de culture scientifique et technique, on propose aujourd hui des prestations visant à faciliter l accès des visiteurs aux contenus exposés, et à aiguiser le plaisir qu ils y trouvent. On peut citer comme exemples la présence d un animateur, d un guide conférencier, ou d un démonstrateur ; la mise à disposition d écran interactif, de feuille d aide à la visite ou, pour les classes, de dossiers pédagogiques ; l organisation d évènements spectaculaires liés aux thématiques traitées. Ces propositions sont conçues et mises en œuvre le plus souvent- par les professionnels de la médiation scientifique et culturelle de musée Le terme de «médiation» est ambigu, mais il a l avantage de privilégier l idée de «négociation» entre d un côté, les savoirs scientifiques et techniques, et de l autre un large public très divers : enfant, famille, touriste, curieux, spécialiste, Ce qui distingue la «médiation scientifique» de l enseignement scientifique est avant tout le contexte : alors que ce dernier se déroule dans un cadre scolaire, celle-là s exerce dans un cadre d éducation non formelle comme le musée de sciences ou le centre scientifique et technique. Ce cadre va nécessairement orienter ses missions et ses spécificités Quant à la «médiation culturelle», elle «négocie» dans les musées auprès du grand public les savoirs liés à leurs expositions, à savoir l art contemporain, les arts appliqués, l histoire de l art, l histoire des hommes et des idées, autant de domaines d où la science est peu présente. Cependant l épistémologie et l histoire des sciences entrent dans ce champ, tout comme d ailleurs dans celui de la médiation scientifique Le terme de «médiation scientifique et culturelle de musée» s applique aux musées de sciences contenant des collections historiques, tels que les musées d histoire des sciences et les muséums d histoire naturelle. Le rôle du médiateur culturel de musée s y exerce en complémentarité avec celui du scientifique, du conservateur spécialiste des collections ou du commissaire d exposition. Le médiateur culturel œuvrant dans un musée d histoire des sciences ou d histoire naturelle est également médiateur scientifique puisque les collections historiques sont porteuses de savoirs scientifiques (et en partie conservées à ce titre). 2. Histoire 2 1. La diffusion autour des premières collections privées L humaniste du 16 e siècle conservant des objets rares et le possesseur éclairé d un cabinet de curiosité du 18 e siècle ont un point commun : ce sont des hommes de savoir, qui montrent, enrichissent et commentent leur collection en échangeant avec leurs pairs, membres comme eux de l élite savante de leur époque Le souci d éduquer le peuple A partir du 19 e siècle, le grand souci de vulgarisation qui naît dès la fin du 18 e siècle s empare de la société ; il «invente» les musées, lieux universels de référence culturelle et patrimoniale et aussi de diffusion et d enseignement, en même temps qu il

2 institutionnalise l école pour tous. Le «cœur» des collections est le plus souvent constitué des cabinets de curiosité des siècles précédents. Des «conservateurs» sont désignés pour assurer leur conservation et leur étude dans les domaines des beaux-arts, de l histoire, de l histoire naturelle et des arts appliqués. C est dans cette dernière section qu on conserve les instruments scientifiques et techniques les plus prestigieux (horloges, globes astronomiques ou planétaires par exemple), les autres étant perdus ou oubliés dans les greniers des instituts universitaires. Les conservateurs sont aussi chargés de diffuser les savoirs liés aux collections dont ils ont la charge en organisant des expositions et en publiant des catalogues qui intéressent surtout les chercheurs dans le domaine, ou un public très averti Les premiers centres de démonstrations scientifiques et techniques. Des espaces ne présentant pas de collections mais des expositions sur des thèmes de science et de technique sont ouverts au public en Europe dès la fin du 19 e siècle, comme l Urania à Berlin en Ils s imposent avec la création du Palais de la Découverte à Paris en Pionniers dans le domaine de la vulgarisation à destination des publics néophytes, des démonstrateurs y présentent la science au grand public de manière spectaculaire, quoique rigoureuse, à l aide de matériel scientifique moderne inspirés de celui utilisé dans l enseignement. Si ces démonstrations se situent dans la ligne de la «science amusante» pratiquée dans les salons aristocratiques européens du 18 e siècle, le ton utilisé devant ce nouveau «grand» public est fidèle à la tradition scientiste et universitaire du 19 e siècle : la science y est présentée sans beaucoup de distance critique par rapport à sa construction historique ou à ses outils propres. Ouvert en 1969, l Exploratorium de San Francisco continue dans cette ligne tout en inaugurant l ère du «libre service» avec ses modules d exposition «hands-on» proposés aux visiteurs sans intervention humaine. Inaugurée en 1986, la Cité des sciences de Paris est d abord conçue selon ce principe avant d évoluer au fil du temps en fonction des enquêtes menées par son «observatoire des publics», et en intégrant peu à peu des guides et des animateurs au cœur de ses expositions Le constat d échec dans les musées d art Dans les années 1960 en Europe, après les pays anglo-saxons pionniers en la matière, et alors qu un effort de vulgarisation dans le domaine scientifique ait déjà été initié, on prend conscience du fait que les musées d art sont réservés à des publics élitaires, comme le résume la célèbre citation de Pierre Bourdieu et Alain Darbel : «s il est incontestable que notre société offre à tous la possibilité pure de profiter des œuvres exposées dans les musées, il reste que seuls quelques uns (en) ont la possibilité réelle. ( ) L œuvre d art considérée en tant que bien symbolique n existe comme telle que pour celui qui possède les moyens de se l approprier, c est-à-dire de la déchiffrer.» Pierre Bourdieu et Alain Darbel, L Amour de l art, Les musées d art européens et leurs publics, Éditions de Minuit, De nouvelles ambitions, un nouveau métier Dès les années les musées (beaux-arts, histoire, arts appliqués, sciences et techniques, histoire naturelle) revisitent leurs missions fondamentales. A côté des tâches dévolues aux conservateurs, de nouvelles fonctions émergent pour répondre à une demande politique et aux nouvelles exigences d un public toujours plus large. Et c est ce «grand public» qui devient l une des trois grandes préoccupations des musées, outre la conservation et de l étude des collections. Dans ce but, diverses activités annexes se diversifient et se professionnalisent, et en particulier celle de guideconférencier. La traditionnelle conférence du spécialiste, conservateur ou commissaire d exposition, évolue en une rencontre «d égal à égal» entre le public et les objets exposés, dans une situation de libre communication et de dialogue, grâce à de nouveaux outils d interprétation. Ces premiers médiateurs de musée ne se considèrent plus

3 3. Missions comme des «transmetteurs» de savoirs, mais interagissant de manière dynamique «entre» savoir et public (souvent notés «publics» pour affirmer leur diversité). C est dans l air du temps puisqu au même moment les théories constructivistes de l apprentissage triomphent dans les nouvelles facultés de Sciences de l éducation. En Suisse, plus particulièrement, le débat sur cette profession émergente porte alors sur la distinction entre enseignant et pédagogue de musée. Jusque là, on ne parlait que de la mission éducative des musées et ce n est que progressivement que se sont dégagées les notions d éducation formelle (à l école) et informelle (dans la cité et d autres lieux comme les musées). En 1989, les deux comités de l Assemblée des Musées suisses (AMS/VMS) et de l International Council of Museums (ICOM) Suisse travaillent à la définition des professions de musée. Le terme de «chargé de médiation culturelle» est finalement adopté par les Romands, le mot médiation ayant été choisi par défaut car on n en a pas trouvé d autre. Les Alémaniques, pourtant pionniers en la matière, s en tiendront encore quelques temps encore au terme plus scolaire de pédagogue (Museum Pädagoge) En Europe, au fil des années 1990-début des années 2000 Dans les musées d art, de sciences naturelles, et dans les premiers musées d histoire des sciences qui se sont entre-temps démarqués des musées d art appliqués, on voit progressivement apparaître des services «culturels» qui remplacent les services dits «pédagogiques» ou «éducatifs». On commence aussi à parler de «programmation culturelle» et de «formation en ingénierie culturelle». Accompagnant cette nouvelle terminologie, la logique économique entre en force au musée, basée sur l événementiel, l étude de marché, le rendement. L ancien pédagogue de musée devint alors souvent animateur et vise à attirer de nouveaux publics par des propositions originales, tandis que le versant purement éducatif est souvent repris par des enseignants détachés par l école. En France, on affine un répertoire de compétences pour définir un métier : celui de «médiateur culturel» pour les centres culturels et pour les musées de collections patrimoniales dont les musées d histoire des sciences, et celui de «médiateur scientifique» pour les Centres de culture scientifiques, techniques et industriels (CCSTI), et aussi pour les Muséums d histoire naturelle qui valorisent encore peu auprès du public la dimension historique de leurs collections. Une obligation légale d existence de ces postes est imposée dans les institutions. - Dans ce qui suit, on se limitera à brosser à grands traits la médiation scientifique et culturelle dans un musée d histoire des sciences. Cependant tout médiateur scientifique oeuvrant dans un centre de culture scientifique et technique devrait s y reconnaître puisqu on abordera, sans entrer dans le détail des situations, les grandes lignes communes au métier de médiateur culturel et/ou scientifique Les missions du musée Les missions de la médiation scientifique et culturelle de musée sont avant tout liées à l institution «musée» dont l actuelle définition, selon les statuts de l ICOM (International Council of Museums) art. 2 1, est la suivante : «Le musée est une institution permanente, sans but lucratif, au service de la société et de son développement, ouverte au public et qui fait des recherches concernant les témoins matériels et immatériels de l homme et de son environnement, acquiert ceux-là, les conserve, les communique et notamment les expose à des fins d étude, d éducation et de délectation». Cette définition date de 2004 mais a été affinée ultérieurement avec l ajout du terme «immatériel» qui permet d élargir le champ autour de l objet matériel conservé au musée ; elle est en réévaluation permanente. Sous sa forme actuelle, on peut noter que le terme de

4 «patrimoine» n y figure pas, alors qu est apparu celui de «témoins». Ce terme, associé à l expression «au service de la société et de son développement», cerne au plus près la mission nouvellement définie qui incombe au musée, celle de faire parler les témoins qu il conserve auprès du public, et à laquelle participe largement le médiateur culturel Des orientations diverses, des missions unifiées La variété des termes utilisés pour les métiers de la médiation scientifique et culturelle (démonstrateur, guide, etc.) correspond à la diversité de ses orientations. De plus, sa désignation est parfois uniquement descriptive quant à son niveau de responsabilité : chef de projet, attaché de projet, responsable de médiation, chargé de médiation, etc. On peut aussi noter que l institution muséale française propose les services de guide-conférencier ou d animateur, et celle des pays anglo-saxons ceux d interprétateur, voire de «questionneur» de musée. Quant au nom «Accueil des publics» choisi par certains services de médiation culturelle, il marque au mieux la volonté de placer le public (désigné par «les publics» pour mieux affirmer sa prise en compte dans toute sa diversité) comme un pôle essentiel du projet culturel ou éducatif de ces services. En effet, qu il soit concepteur d un projet ou exécutant de sa mise en oeuvre, présent auprès des visiteurs ou se consacrant à eux par l écrit ou le multimédia, le médiateur a une spécificité essentielle, celle d être spécialiste de tous les types de publics : sa mission première est d anticiper leurs envies, de les mettre en confiance, de leur faire sentir qu on s adresse réellement à eux, et de les amener d une manière qui leur soit agréable à s intéresser aux contenus des expositions Trois axes principaux pour s adresser au public L institution, via ses médiateurs, vise à privilégier le plaisir (cf. plus haut le terme de «délectation» présent dans la définition du musée) que prendra le public à découvrir les savoirs liés au lieu, à lui donner envie d y revenir et d en savoir plus en en sortant. Les professionnels de la médiation culturelle sont ainsi amenés aussi bien à concevoir une programmation régulière de visites, d animations ou de démonstrations, que des évènements plus complexes faisant intervenir un ou plusieurs partenaires extérieurs (scientifiques, artistes, comédiens). Tous les publics sont visés, mais plus particulièrement le public familial pendant les jours de haute fréquentation des musées (vacances scolaires, samedis et dimanches) Pour satisfaire les demandes du public exclusivement scolaire, l institution peut déléguer la partie éducative à un ou plusieurs enseignants détachés, en coordonnant et supervisant leur action (comme c est le cas au Musée des Arts et Métiers à Paris), ou la gérer en interne selon des propositions conçues par les médiateurs et adaptées à ce type de public. La gamme est large entre l accueil direct avec prise en charge sur plusieurs jours (stages du type «classes musées» comme à la Cité des sciences) ou une ½ heure à une heure (démonstration, visite), et la proposition de documents écrits (dossiers pédagogiques, fiches pédagogiques, questionnaires) en complément d une formation d enseignants (d une ½ à 1 journée). L institution muséale, via ses médiateurs parfois nommés ici animateurs pédagogiques, vise ici à assurer sa mission éducative et utilise des outils familiers au système scolaire. Cependant, il s agit surtout pour lui de tirer le meilleur parti du lieu : créer la surprise et l émotion lié au cadre non scolaire. Médiateurs et enseignants constatent que le plaisir immédiat pris par les élèves au musée facilite à long terme l ancrage des nouveaux savoirs qui pourront être plus aisément travaillés ensuite à l école L institution muséale vise enfin, via ses médiateurs, à être un lieu de débats (du genre «agora») et participer ainsi à l éducation citoyenne de son public. Il s agit là d un type d éducation visant plutôt les adultes, ceux qu on regroupe sous l appellation de «grand public». L objectif est d éveiller chez les visiteurs un certain

5 sens critique par rapport aux savoirs scientifiques et techniques, et de leur proposer des éléments (en invitant divers spécialistes par exemple) leur permettant de jauger et de juger les problèmes qui se posent dans nos sociétés du fait de l utilisation toujours plus importantes des sciences et des techniques. L apport de l histoire des sciences est immense dans ce domaine, le passé offrant des outils utiles pour décrypter le présent. 4. Spécificités et compétences Elles se déclinent selon plusieurs modalités La médiation directe Incontournable dans la plupart des missions définies plus haut, elle implique la présence physique du médiateur. On parle aussi de médiation orale, ou encore de médiation humaine ou de médiation «présence». Pour le médiateur, ce qui s y joue se situe à la fois sur le plan des savoirs, et sur le plan de leur relation au public. Quant à la relation qui se noue entre savoirs et public : il s agit d abord pour le médiateur d accueillir l autre tel qu il se donne, à la fois en tant qu individu et en tant que membre d un groupe qui a sa dynamique propre. Il lui faut donc être au moins aussi observateur (des regards, des comportements, des attitudes) qu acteur, et en même temps capable d une seconde à l autre de changer de ton ou de faire un lien inattendu en usant du questionnement et de l interaction verbale, ce qui est parfois pris pour de l improvisation spontanée alors c est le fruit d un travail antérieur qui a été actualisé sur le vif. Le préalable à toute prestation réussie de médiation «présence» est que le public se sente respecté, reconnu dans ses attentes et sa curiosité, assez mis en confiance et rassuré sur ses possibilités pour être prêt à aborder de plain pied des savoirs qui lui sont a priori étrangers, à envisager avec plaisir de les apprivoiser. Quant aux savoirs : le médiateur a dû engranger les contenus culturels et scientifiques liés aux objets qu il présente. Cependant ces contenus ne doivent plus avoir de valeur «en eux-mêmes» mais en tant que «savoirs à réinvestir» auprès du public. Ce point de vue du médiateur est fondamentalement différent de celui du scientifique ou du conservateur spécialistes des mêmes savoirs. En effet, l exhaustivité et la précision recherchées à juste titre par ceux-ci, et dont s est nourri le médiateur, seraient un handicap pour lui s il cherchait à les conserver telles quelles dans sa prestation. Son travail est de les laisser mûrir, de les envisager selon d autres perspectives, de les retravailler, de les peser, de les élaguer, de les restructurer en fonction du public qu il cible. Il est indispensable pour le médiateur de connaître les spécificités de ce public en fonction de son âge, du contexte de sa venue (classe, famille, etc.), de ce qu il attend de la description préalable faite par le musée, et bien sûr de ses conceptions de base, de ses caractéristiques et de ses intérêts supposés et qui seront affinés sur le vif. Par exemple, pour construire une visite commentée dans une exposition, le médiateur doit acquérir l ensemble des contenus qu il juge nécessaires (et s arrêter quand il s y perd lui-même!), prendre assez de distance pour en discerner les lignes de force dont il pressent qu elles seront pertinentes pour le public puis, sans rien lâcher sur l essentiel, trouver les mots, les métaphores ou les images qui les rendront accessibles au public. Ce n est qu à ce prix que ce dernier, sur le très court laps de temps qu il passe au musée, pourra entrer dans la problématique générale proposée dans l exposition. Si quelques visiteurs ont envie d en savoir plus, le médiateur pourra leur indiquer certaines des ressources scientifiques auxquelles il a pu lui-même avoir recours, et les orienter ainsi vers un espace de «savoir-plus» qui n a pas été présenté durant la visite proprement dite qui a été maintenue volontairement à des niveaux de formulation et d approche simples, généraux, sans jargon, abordables par tous. Ce travail de ré-élaboration fait partie de l art de la médiation : il est subjectif, géré différemment de cas en cas et ne peut être formalisé comme un livre de recettes car le

6 savoir-faire et le savoir être se mettent difficilement en boîte formatée. On retrouve cependant des constantes, comme par exemple le décalage entre le synopsis de travail soigneusement préparé par le médiateur et la présentation qu il fait réellement devant son public du jour. Si grand que soit ce décalage, il n en ressent aucun sentiment d échec : ce que le public a entendu, il l a vraiment entendu, avec plaisir, contrairement à ce qui peut se passer pour l enseignant qui se sent contraint de suivre son programme (et les savoirs qu il doit «faire passer»). Au musée, une indication de satisfaction du public est sa présence durable, car dans les lieux d éducation informelle, sa caractéristique est d être «non captif», contrairement au milieu scolaire où les élèves doivent rester physiquement en classe quelque soit leur intérêt pour le cours qui s y déroule. Le médiateur garde cependant une attitude critique par rapport à ses prestations et est réceptif à l évaluation de ses pairs ou de tout observateur extérieur pour viser toujours plus finement une «balance» optimale entre le plaisir du public et la qualité des savoirs mis en jeu : le musée n est pas non plus un champ de foire et sa mission d éducation et de sensibilisation culturelle reste essentielle La médiation indirecte On la nomme aussi médiation «support». Elle consiste à élaborer divers documents, soit écrits (fiches d aide à la visite, dossier pédagogique), soit destinés à un autre support (audio ou vidéo) et proposés aux visiteurs réels ou potentiels du musée. En effet, si le public averti se satisfait avec bonheur du catalogue savant et quasi exhaustif élaboré par le conservateur ou le commissaire de l exposition, et de divers films ou multimédia scientifiques, d autres visiteurs dont le jeune public, le public familial, et le public scolaire, attendent des propositions qui leur soient adaptées, et dont se chargera le médiateur. Comme dans le cas de la médiation directe, ce qui s y joue se situe à la fois sur le plan des savoirs et sur le plan de leur relation au public, mais dans une perspective très différente. La difficulté tient au fait que le médiateur s adresse à un public invisible qui devra utiliser les productions réalisées sous forme écrite, audio ou vidéo, sans autre accompagnement et de manière autonome. Le piège permanent qui guette le médiateur, à savoir celui de n envisager les savoirs que «pour eux-mêmes», ressurgit comme dans le cas de la médiation directe, sans que cette fois puisse intervenir le moindre signal d alarme tel que le regard perplexe d un visiteur, le départ d un autre pour cause de désintérêt, ou une trace, même ténue, de dissipation dans le groupe. On constate d ailleurs, expérience faite, que toute production de médiation indirecte a un meilleur impact auprès du public visé si le sujet a déjà été testé lors de prestations de médiation directe qui ont permis de connaître, même sur un plan qualitatif et informel, les réactions les plus fréquentes par rapport aux savoirs en jeu et d en repérer les meilleures accroches. Il est bien sûr souhaitable d évaluer la qualité d une production de médiation indirecte en la testant préalablement auprès d un échantillon significatif du public auquel elle s adresse La gestion de projet, la formation Tout en restant sur le terrain de la médiation directe et indirecte, le médiateur qui bénéficie d un certain niveau de responsabilité est amené à définir des projets et des évènements, en lien avec des expositions temporaires par exemple, puis à les monter et à les gérer. Il fait alors intervenir des partenaires extérieurs comme des associations, des spécialistes des sciences et des techniques, des artistes. Son réseau de compétences est essentiel pour élargir et améliorer l offre culturelle de l institution. Le médiateur conçoit et anime par ailleurs des formations d enseignants pour permettent à ces derniers une plus grande autonomie avec leurs classes dans les expositions. Il s adapte au mieux à ce public particulier qui n envisage parfois le musée que comme une annexe de l école, ce qu il est en effet, mais pas seulement : il

7 ouvre aussi à beaucoup plus de possibilités, comme le montrent les collaborations tissées régulièrement entre enseignants et médiateurs sur toute une année scolaire. Enfin, c est le médiateur responsable qui prépare et suit ses collaborateurs dans leurs interventions auprès du public, que ceux-ci suivent scrupuleusement la ligne qu il propose, ou innovent avec bonheur selon leurs propres charismes. Et c est aussi lui qui accompagne le plus diplomatiquement possible les intervenants extérieurs pour les orienter dans leur manière de s adresser à un public qu ils connaissent parfois mal, qui n est ni spécialiste, ni universitaire, et qui a toujours la liberté de partir s il ne se sent pas concerné : au médiateur incombe la responsabilité de tout faire pour éviter cette situation. 5- Contraintes et place dans la conception de l exposition 5 1. Les contraintes liées au métier. Le médiateur rencontre nécessairement des difficultés pour s approprier les contenus liés au lieu (c est-à-dire aux collections ou aux contenus des expositions) souvent non abordés dans son cursus scolaire secondaire et supérieur : vu le niveau universitaire qui lui est demandé pour assurer sa fonction, il devrait en principe mener cette tâche à bien. Dans un musée d histoire des sciences par exemple, il aura un gros travail à faire du côté de l histoire des sciences s il est scientifique, et du coté des sciences s il est historien, sans compter l apprentissage du contenu de la collection, toujours particulière et souvent locale. Parallèlement, bien sûr, il devra faire face aux exigences du public, d autant plus justifiées dans le cas où il œuvre en institution publique. Cependant, la vraie contrainte est inhérente à la mission fondamentale du médiateur, pris en tension entre ses deux pôles : savoirs et public. D un côté il doit pouvoir décliner sur le thème traité des connaissances généralistes sur lesquelles le scientifique spécialiste du sujet ne puisse rien trouver à redire, mais aussi accepter parfois de «ne pas savoir» sur des sujets très spécialisés. D un autre côté il doit les proposer de manière séduisante au public très varié auquel il s adresse, qui peut aller de l ingénieur retraité au visiteur totalement néophyte, en passant par le groupe familial à la synergie propre et représentant tous les âges. Il s agit alors de s adresser non pas à tous à la fois mais tantôt à l un, tantôt à l autre, avec la même souplesse, dans un discours fluide et cohérent, pour que chacun se sente concerné. L exercice, très contraignant si on le souhaite de bon niveau, fait partie du métier Les contraintes liées à la place du métier dans l institution. Bien qu on les néglige trop souvent, elles sont importantes et peut-être significatives d un métier en devenir, comme on le verra plus loin. La médiation scientifique et culturelle de musée est l un des derniers-nés des métiers de musée. Or les secteurs traditionnels (recherche et conservation, administration, décoration, restauration, sécurité, etc.) définis depuis des lustres, mettent du temps à «absorber» cette nouvelle activité dont ils ne comprennent pas toujours le fonctionnement, et souvent vue exclusivement comme la prise en charge des enfants au musée : on voit ici les dégâts du terme «pédagogique». Ainsi, bien des conservateurs et des scientifiques commissaires d exposition négligent d informer (et encore moins de consulter) les médiateurs dès la conception de leur exposition. Souhaitant néanmoins un succès public et non pas seulement de prestige, ils se soucient d animer leur exposition, d y accueillir des classes, d y organiser des évènements, bref d y attirer et d y accompagner le plus grand nombre de visiteurs. Tardivement contactés, les médiateurs sont alors contraints d organiser en un temps record des visites, animations, démonstrations, d élaborer des documents pédagogiques, d organiser des partenariats avec l école et la cité, autant de prestations supposées être d autant plus faciles à concevoir et à réaliser que le «message» est réduit, vu le public non érudit : ainsi le voient naïvement les services extérieurs à la médiation. Pour faire bref, nous dirons ici que l une des plus grandes contraintes que rencontrent souvent les médiateurs est que leurs missions, compétences, la manière dont ils travaillent, le temps

8 qui leur est nécessaire pour préparer des prestations de qualité, etc. au sein même de leur institution, sont très mal connues. 6 - Son avenir Étant données les contraintes institutionnelles souvent récurrentes comme on l a vu plus haut, on pourrait aussi imaginer que les spécificités de la médiation fécondent l institution elle-même, et s y fondent pour faire émerger un musée adapté à notre temps. C est déjà le cas dans de nombreux musées et centres scientifiques dirigés par de jeunes équipes, sur un mode qui rompt radicalement avec le fonctionnement traditionnel du musée. L exposition est déjà en elle-même «médiation», faite pour s adresser réellement à un grand public, parfois déclinée selon plusieurs approches, car elle a été conçue, pensée et réalisée en collaboration étroite avec divers professionnels non seulement des savoirs, mais aussi de l espace muséal, et des publics. Les médiateurs ont été intégrés dans ces équipes, et leur présence «en amont» de l exposition les dispense d une présence «en aval». Dans un avenir proche, on peut imaginer que ces modèles qui existent déjà dans un certain nombre de centres de sciences et de techniques, se généraliseront dans les musées. La médiation scientifique et culturelle se limiterait alors à proposer quelques prestations de médiation directe pour des publics particuliers (handicapés, classes d accueil, très jeune public des crèches), à prendre en charge la gestion de certains types d évènements ponctuels, et à coordonner les dossiers pédagogiques permettant l autonomie des classes. L émergence du métier n aurait alors été qu une manière de transformer de l intérieur le musée et ses missions : l hypothèse est plausible. Aux actuels et futurs médiateurs culturels et scientifiques de la vérifier ou d en assurer l évolution! Pour en savoir plus Indications bibliographiques ; colloques ; sites Web (avec remarques recentrant sur la médiation quand le titre n est pas explicite) Publication de référence ICOM/mediamus (Suisse) «Charte du médiateur culturel de musée» Publication de référence Association Médiation Culturelle (France) PDF/MCAVersUneCHARTEMEDIATION.pdf - Colloque «Vers une éthique de la médiation culturelle», Paris, organisation Médiation Culturelle association Article «La médiation culturelle, au service d un avenir culturel partagé», Cécilia de Varine, présidente de l association Médiation Culturelle, réf. publication? - Article «La médiation présencielle dans un musée de sciences», Florence Belaën, Marion Blet, La lettre de l OCIM, n Article «Expositions permanentes : grands récits ou fragments de discours?», Dominique Botbol, La lettre de l OCIM, n 112 (sur la base des enquêtes de l Observatoire des Publics de la Cité des sciences de Paris) Article «Mediamus, état des lieux de la médiation culturelle en Suisse», David Vuillaume, Nicole Zellweger, in museums.ch, n 1

9 - Article «Pour un musée au service de la société et de son développement», Isabelle Burkhalter, Anne Fauche, Jeanne Pont, Françoise Vallet, La Lettre de l OCIM, n Colloque «2èmes Rencontres Ethnologiques, la médiation humaine dans les musées de société et les territoires», organisation et lieu : MEG de Genève et Ecomusée Paysalp de Viuz-en-Sallaz - Rencontre et AG mediamus, Zürich, «L innovation dans le domaine de la médiation culturelle de musée», - Article «Le non-objet de la muséologie», Ninian Hubert van Blyenburgh, ref. publication, (L objet de la muséologie est le visiteur) - Article «Muséums d Histoire Naturelle : Lieux pour lire, lieux à lire?», Cora Cohen-Azria, ref. publication, (sur les questionnaires des enseignants ne portant que sur les cartels et non pas sur les objets) Article, actes de colloque «Au-delà d un travail d acculturation, réflexions sur la médiation scientifique humaine à la Cité des sciences», Florence Belaën, JIES XXV, organisation A. Giordan, J.-L. Martinand et D.Raichvarg - Rencontre organisée par le ministère français de la Recherche et l AMCSTI «Journées de réflexion sur les métiers de la médiation scientifique», Paris Article, actes de colloque «Les Moments-Musées de l Accueil des publics des Musées d art et d histoire de la Ville de Genève», Anne Fauche, Isabelle Burkhalter, Jeanne Pont, Sciences au musée, sciences nomades, organisation Musée d histoire des sciences, Ville de Genève - Article «La médiation-présence au Musée d histoire des sciences de Genève, enjeux, objectifs, pratiques, réflexions», Anne Fauche, La lettre de l OCIM n Ouvrage «Quand l enfant devient visiteur. Une nouvelle approche du partenariat école/musée», Cora Cohen, L Harmattan Ouvrage, actes de colloque «Des expositions scientifiques à l'action culturelle, des collections pour quoi faire?», coordination Yves Girault, synthèse par Michel Van Praët, organisation et édition Muséum d'histoire naturelle, Paris - Ouvrage, actes de colloque «La muséologie des sciences et ses publics, Regards croisés sur la Grande Galerie de l'évolution du Muséum National d'histoire Naturelle», sous la direction de Jacqueline Eidelman et Michel Van Praët, Presses Universitaires de France Ouvrage «L exposition à l œuvre : stratégies de communication et médiation symbolique», Jean Davallon, L Harmattan, Article «L'espace muséal scientifique et ses publics», Jacqueline Eidelmann, la Lettre de l'ocim, n 55 (numéro entièrement consacré aux visiteurs des musées de science) - Article «Les publics au centre», propos de Bernard Gérard recueillis par Jacqueline Eidelmann, la Lettre de l'ocim, n 55 - Ouvrage «Apprendre!», André Giordan, Belin Débats (pour la prise en compte des savoirs préalables de l élève ou du visiteur par l enseignant ou le médiateur) - Article «Repenser le musée à partir de comprendre et d apprendre», André Giordan, in La révolution de la muséologie des sciences : vers les musées du XXIe siècle?, Presses universitaires de Lyon

10 - Article, actes de colloque «Le médiateur culturel au musée : quelle spécificité, quelle formation?», Anne Fauche, JIES XX, organisation A. Giordan, J.-L. Martinand et D.Raichvarg Ouvrage, actes de colloque «Musées et médias, pour une culture scientifique et technique des citoyens, Rencontres culturelles de Genève 1996», sous la direction d André Giordan, organisation et édition Ville de Genève, Département des affaires culturelles. - Article, actes de colloque «La médiation culturelle au musée : sa spécificité quand son champ d action porte sur un réseau de collections artistiques, historiques et scientifiques», Anne Fauche, JIES XIX, organisation A. Giordan, J.-L. Martinand et D.Raichvarg Ouvrage «A l approche du musée, la médiation culturelle», Elisabeth Caillet, avec la collaboration d Evelyne Lahalle, Presses Universitaires de Lyon Article «L'ambiguïté de la médiation culturelle: entre savoir et présence», Elisabeth Caillet, Publics et Musées, n 6, in Professions en mutation, Presses Universitaires de Lyon Ouvrage «Évaluer pour innover, Musées, médias et écoles», André Giordan, Christian Souchon, Maryline Cantor, Z éditions - Article «La médiation culturelle, histoire d un véritable métier», Yvan Mathevet, in Les métiers des musées et la filière culturelle territoriale Article «L évolution des musées d histoire naturelle : de l accumulation des objets à la responsabilisation des publics», Michel Van Praët, in La Galerie de l Evolution, concepts et évaluation, Muséum National d Histoire Naturelle Article «Réflexions sur l action culturelle et pédagogique dans le musée», Michel Van Praët, Museological News, n 12 - Article «Une étude du décalage entre les connaissances du public et le savoir scientifique en biologie humaine : évaluations des conceptions, analyses des obstacles et réalisation d aides didactiques», Ninian Hubert van Blyenburgh, Université de Genève (application de cette thèse dans la conception d expositions) Ouvrage «L amour de l art : les musées et leur public», Pierre Bourdieu et Alain Darbel, Editions de Minuit Documents sur sites Web , Formations pour licences professionnelles, conceptions et mises en œuvres de projets culturels (par exemple) , Propos de Marie-Clarté O'Neill, recueillis par Michèle Protoyerides, consultante en médiation culturelle, , IRES, La lettre (sur le rapport des musées aux publics, les enjeux qui se posent aux conservateurs, l équilibrage apporté par les nouveaux services d accueil des publics, etc.), , Musées et expositions : métiers et formations en 2001 (introduction) Elisabeth Caillet et Michel Van Praët, Chroniques de l'afaa n 30,

SCIENCE-ACTUALITÉS. Isabel Santos Journaliste-reporter, rédactrice adjointe Science-Actualités Cité des Sciences et de l Industrie, Paris, France

SCIENCE-ACTUALITÉS. Isabel Santos Journaliste-reporter, rédactrice adjointe Science-Actualités Cité des Sciences et de l Industrie, Paris, France SCIENCE-ACTUALITÉS Isabel Santos Journaliste-reporter, rédactrice adjointe Science-Actualités Cité des Sciences et de l Industrie, Paris, France Rappel historique La salle Science-Actualités a été inaugurée

Plus en détail

UN PROJET SCIENTIFIQUE ET CULTUREL POUR LA SOCIÉTÉ DE LA CONNAISSANCE

UN PROJET SCIENTIFIQUE ET CULTUREL POUR LA SOCIÉTÉ DE LA CONNAISSANCE UN PROJET SCIENTIFIQUE ET CULTUREL POUR LA SOCIÉTÉ DE LA CONNAISSANCE Le regroupement du Palais de la découverte et de la Cité des sciences et de l industrie en un seul établissement apporte les atouts

Plus en détail

Une nouvelle muséologie pour le musée moderne

Une nouvelle muséologie pour le musée moderne Une nouvelle muséologie pour le musée moderne André Desvallées, dir., Vagues, une anthologie de la nouvelle muséologie André Desvallées, dans cet extrait de Vagues, une anthologie de la nouvelle muséologie

Plus en détail

Synthèse «Le Plus Grand Produit»

Synthèse «Le Plus Grand Produit» Introduction et Objectifs Synthèse «Le Plus Grand Produit» Le document suivant est extrait d un ensemble de ressources plus vastes construites par un groupe de recherche INRP-IREM-IUFM-LEPS. La problématique

Plus en détail

Agence du patrimoine immatériel de l État

Agence du patrimoine immatériel de l État Agence du patrimoine immatériel de l État Les richesses de l immatériel sont les clés de la croissance future Rapport de la commission de l économie de l immatériel 2006 Le mot du directeur général L APIE

Plus en détail

Ligne directrice du cours menant à une qualification additionnelle. Musique instrumentale (deuxième partie)

Ligne directrice du cours menant à une qualification additionnelle. Musique instrumentale (deuxième partie) Ligne directrice du cours menant à une qualification additionnelle Musique instrumentale (deuxième partie) Annexe D Règlement 184/97 Qualifications requises pour enseigner Mai 2005 This document is available

Plus en détail

MASTER RECHERCHE MEDIATIONS DES SCIENCES. Mention HISTOIRE, PHILOSOPHIE ET. Histoire et Philosophie des Sciences. Année 2007/2008

MASTER RECHERCHE MEDIATIONS DES SCIENCES. Mention HISTOIRE, PHILOSOPHIE ET. Histoire et Philosophie des Sciences. Année 2007/2008 Année 2007/2008 Domaine LETTRES ET SCIENCES HUMAINES MASTER RECHERCHE Mention HISTOIRE, PHILOSOPHIE ET MEDIATIONS DES SCIENCES Spécialité Histoire et Philosophie des Sciences Unités de Formation et de

Plus en détail

Plates-formes de téléformation et modèles pédagogiques

Plates-formes de téléformation et modèles pédagogiques POYET Françoise, (7095) Introduction Plates-formes de téléformation et modèles pédagogiques Depuis quelques années, on assiste à une stabilisation informatique des Technologies de l Information et de la

Plus en détail

GRAVER LA PAIX Projet de création artistique collective dans le cadre des Rencontres de Genève Histoire et Cité Construire la Paix (14-16.05.

GRAVER LA PAIX Projet de création artistique collective dans le cadre des Rencontres de Genève Histoire et Cité Construire la Paix (14-16.05. GRAVER LA PAIX Projet de création artistique collective dans le cadre des Rencontres de Genève Histoire et Cité Construire la Paix (14-16.05.2015) LE PROJET DÉTAILLÉ Présentation générale Graver la Paix

Plus en détail

CHARTE DES PROGRAMMES

CHARTE DES PROGRAMMES CHARTE DES PROGRAMMES Charte relative à l élaboration, à la mise en œuvre et au suivi des programmes d enseignement ainsi qu aux modalités d évaluation des élèves dans l enseignement scolaire CONSEIL SUPÉRIEUR

Plus en détail

UN DISPOSITIF DE FORMATION PARENTALE DANS UN MUSEE

UN DISPOSITIF DE FORMATION PARENTALE DANS UN MUSEE N 31 - AILINCAI Rodica [docteur en sciences de l éducation. Laboratoire Éducation & Apprentissages, Université Paris 5 1 ] UN DISPOSITIF DE FORMATION PARENTALE DANS UN MUSEE 1. Contexte et questions de

Plus en détail

MÉMOIRES DU XXe SIÈCLE EN RÉGION RHÔNE-ALPES APPEL À PROJETS 2015

MÉMOIRES DU XXe SIÈCLE EN RÉGION RHÔNE-ALPES APPEL À PROJETS 2015 MÉMOIRES DU XXe SIÈCLE EN RÉGION RHÔNE-ALPES APPEL À PROJETS 2015 ATTENTION : UNE SEULE SESSION EN 2015 La Région Rhône-Alpes et l État, DRAC Rhône-Alpes, ont souhaité mettre conjointement en place le

Plus en détail

Nous avons besoin de passeurs

Nous avons besoin de passeurs 1 Nous avons besoin de passeurs «Lier pratiques culturelles et artistiques, formation tout au long de la vie et citoyenneté» François Vercoutère Du point de vue où je parle, militant d éducation populaire

Plus en détail

«LA FRANCE EST CAPABLE DE GRANDS ÉVÉNEMENTS. LA FRANCE A BESOIN DE SE PROJETER»

«LA FRANCE EST CAPABLE DE GRANDS ÉVÉNEMENTS. LA FRANCE A BESOIN DE SE PROJETER» 28/04/15 1 «LA FRANCE EST CAPABLE DE GRANDS ÉVÉNEMENTS. LA FRANCE A BESOIN DE SE PROJETER» Le 6 novembre 2014, le Président de la République a officiellement annoncé la candidature de la France à l organisation

Plus en détail

WWW.UNIV-LYON3.FR RÉPERTOIRE

WWW.UNIV-LYON3.FR RÉPERTOIRE Répertoire des stages Scuio 2014 16/01/14 10:56 Page 1 WWW.UNIV-LYON3.FR RÉPERTOIRE DES STAGES 2013 2014 3 4 5 6 7 ÉDITO L UNIVERSITÉ JEAN MOULIN LYON 3 LE BUREAU D AIDE À L INSERTION PROFESSIONNELLE VOUS

Plus en détail

Philosophie. Parcours d études proposés à l Institut Catholique de Paris Métiers associés

Philosophie. Parcours d études proposés à l Institut Catholique de Paris Métiers associés Institut Catholique de Paris Service Communication Fiche Filière / parcours Philosophie Parcours d études proposés à l Institut Catholique de Paris Métiers associés Collection «Orientation à l ICP : Fiches

Plus en détail

LA DEFINITION DES COMPETENCES : QUEL ROLE POUR LES ASSOCIATIONS PROFESSIONNELLES?

LA DEFINITION DES COMPETENCES : QUEL ROLE POUR LES ASSOCIATIONS PROFESSIONNELLES? LA DEFINITION DES COMPETENCES : QUEL ROLE POUR LES ASSOCIATIONS PROFESSIONNELLES? INTRODUCTION Depuis quelques années, un certain nombre d évolutions à la fois sociétales et professionnelles nous poussent,

Plus en détail

UE5 Mise en situation professionnelle M1 et M2. Note de cadrage Master MEEF enseignement Mention second degré

UE5 Mise en situation professionnelle M1 et M2. Note de cadrage Master MEEF enseignement Mention second degré UE5 Mise en situation professionnelle M1 et M2 Note de cadrage Master MEEF enseignement Mention second degré ESPE Lille Nord de France Année 2014-2015 Cette note de cadrage a pour but d aider les collègues

Plus en détail

LE CADRE COMMUN DE REFERENCE LA CONVERGENCE DES DROITS 3 e forum franco-allemand

LE CADRE COMMUN DE REFERENCE LA CONVERGENCE DES DROITS 3 e forum franco-allemand LE CADRE COMMUN DE REFERENCE LA CONVERGENCE DES DROITS 3 e forum franco-allemand Guillaume Wicker Professeur à l Université Montesquieu - Bordeaux IV 1 Je commencerais par cette interrogation : est-il

Plus en détail

devenez mécène Soutenez la Fondation pour le rayonnement du Musée de Montmartre DE MONTMARTRE JARDINS RENOIR fondation pour le rayonnement du

devenez mécène Soutenez la Fondation pour le rayonnement du Musée de Montmartre DE MONTMARTRE JARDINS RENOIR fondation pour le rayonnement du devenez mécène Soutenez la Fondation pour le rayonnement du Musée de Montmartre MUSÉE fondation pour le rayonnement du DE MONTMARTRE JARDINS RENOIR Le Musée de Montmartre Le Musée de Montmartre en quelques

Plus en détail

Eléments de présentation du projet de socle commun de connaissances, de compétences et de culture par le Conseil supérieur des programmes

Eléments de présentation du projet de socle commun de connaissances, de compétences et de culture par le Conseil supérieur des programmes Eléments de présentation du projet de socle commun de connaissances, de compétences et de culture par le Conseil supérieur des programmes Le projet de socle de connaissances, de compétences et de culture,

Plus en détail

PROJET EDUCATIF 1/ INTRODUCTION AU PROJET EDUCATIF : BUT, PUBLIC VISE ET DUREE DU PROJET

PROJET EDUCATIF 1/ INTRODUCTION AU PROJET EDUCATIF : BUT, PUBLIC VISE ET DUREE DU PROJET PROJET EDUCATIF 1/ INTRODUCTION AU PROJET EDUCATIF : BUT, PUBLIC VISE ET DUREE DU PROJET 2/LES INTENTIONS EDUCATIVES 3/ LES VALEURS PRINCIPALES 4/ LES ACTEURS EDUCATIFS, LEUR CHAMPS D INTERVENTION ET LES

Plus en détail

agence-école LVB 2 en communication visuelle L Agence dans l école, l école dans l agence Un principe inédit : faire venir l entreprise dans l école.

agence-école LVB 2 en communication visuelle L Agence dans l école, l école dans l agence Un principe inédit : faire venir l entreprise dans l école. agence-école LVB 2 en communication visuelle L Agence dans l école, l école dans l agence Un principe inédit : faire venir l entreprise dans l école. établissement privé d enseignement supérieur technique

Plus en détail

60 salariés. 3 MINISTÈRE est une agence Web, experte en CRM, e-commerce, data et analytics. Elle compte à ce. jour 25 salariés.

60 salariés. 3 MINISTÈRE est une agence Web, experte en CRM, e-commerce, data et analytics. Elle compte à ce. jour 25 salariés. Laurent HABIB réunit les agences LIGARIS 1, PLAN CRÉATIF 2 et MINISTÈRE 3 pour créer la 1 ère agence globale indépendante du marché. Une agence de 180 personnes, à 60% digitale, intégrant tous les métiers

Plus en détail

Formation certifiante au métier de coach scolaire

Formation certifiante au métier de coach scolaire Formation certifiante au métier de coach scolaire 1 Préambule CoachingMaestro est un portail de formations dédié à toute personne intéressée dans l accompagnement des jeunes. Préambule Ses missions sont

Plus en détail

N 163 - ROUX-PEREZ Thérèse. 1. Problématique

N 163 - ROUX-PEREZ Thérèse. 1. Problématique N 163 - ROUX-PEREZ Thérèse CONSTRUCTION IDENTITAIRE DES ENSEIGNANTS EN FORMATION INTIALE : ENTRE REPRESENTATIONS PARTAGEES ET ELEMENTS DE DIFFERENCIATION DANS LE RAPPORT AU METIER 1. Problématique L étude

Plus en détail

ensemble conseil production de contenus création graphique services associés régie publicitaire

ensemble conseil production de contenus création graphique services associés régie publicitaire ensemble conseil production de contenus création graphique services associés régie publicitaire Vous nous faites confiance... le magazine de Plaine Commune ... à nous et à nos savoir-faire Notre expertise

Plus en détail

Référentiel d'activités professionnelles et référentiel de certification Diplôme d'état de professeur de musique

Référentiel d'activités professionnelles et référentiel de certification Diplôme d'état de professeur de musique Référentiel d'activités professionnelles et référentiel de certification Diplôme d'état de professeur de musique I Contexte du métier 1. Définition Les professeurs de musique diplômés d'état sont chargés

Plus en détail

Jack Guichard. Pour en savoir plus aller sur le projet du futur palais: http://www.palais-decouverte.fr/ rubrique "projet de rénovation"

Jack Guichard. Pour en savoir plus aller sur le projet du futur palais: http://www.palais-decouverte.fr/ rubrique projet de rénovation Jack Guichard Directeur du "Palais de la découverte" à Paris, France. Professeur des Universités. Ancien élève de l Ecole Normale Supérieure de St-Cloud, Agrégé de Sciences de la vie et de la terre. Après

Plus en détail

Un écrivain dans la classe : pour quoi faire?

Un écrivain dans la classe : pour quoi faire? Un écrivain dans la classe : pour quoi faire? Entretien avec Philippe Meirieu réalisé pour l ARALD - Quel est votre sentiment sur la présence des écrivains dans les classes? Il me semble que ce n est pas

Plus en détail

SCIENCES DE L ÉDUCATION

SCIENCES DE L ÉDUCATION UniDistance 1 Centre d Etudes Suisse Romande Formation universitaire SCIENCES DE L ÉDUCATION En collaboration avec L Université de Bourgogne à Dijon Centre de Formation Ouverte et A Distance CFOAD UniDistance

Plus en détail

Introduction : histoire et concept de l économie sociale Lucile Manoury

Introduction : histoire et concept de l économie sociale Lucile Manoury Introduction : histoire et concept de l économie sociale Lucile Manoury Lucile Manoury Chargée d études, Collège coopératif, Aix-en-Provence Bonjour à tous. Je vais vous faire une présentation un peu théorique

Plus en détail

Musées et paysages culturels

Musées et paysages culturels La Charte de Sienne Musées et paysages culturels Proposée par l ICOM Italie le 7 juillet 2014 à la Conférence internationale de Sienne 1. Le paysage italien Le paysage italien est le pays que nous habitons,

Plus en détail

DOCUMENT L HISTOIRE DE L ÉDUCATION EN FRANCE

DOCUMENT L HISTOIRE DE L ÉDUCATION EN FRANCE 209 DOCUMENT L HISTOIRE DE L ÉDUCATION EN FRANCE Pierre Caspard Service d Histoire de l Éducation, France. En février 2013, Antoine Prost a reçu des mains du ministre de l Éducation nationale français,

Plus en détail

Manuel de recherche en sciences sociales

Manuel de recherche en sciences sociales Résumé de QUIVY R; VAN CAMPENHOUDT L. 95, "Manuel de recherches en sciences sociales", Dunod Cours de TC5 du DEA GSI de l intergroupe des écoles Centrales 11/2002 Manuel de recherche en sciences sociales

Plus en détail

Maisons de Victor Hugo. Paris / Guernesey

Maisons de Victor Hugo. Paris / Guernesey Dans l intimité d un écrivain, place des Vosges Ouvrant sur l un des plus beaux sites parisiens, la Place des Vosges, le Maison de Victor Hugo a pour mission de maintenir vivante la mémoire de ce génie,

Plus en détail

À DISTANCE LE MBA MANAGER DE PROJET CULTUREL. www.groupeeac.com

À DISTANCE LE MBA MANAGER DE PROJET CULTUREL. www.groupeeac.com LE MBA MANAGER DE PROJET CULTUREL & PATRIMOINE AUDIOVISUEL CINÉMA SPECTACLE VIVANT MUSIQUE ART & PATRIMOINE AUDIOVISUEL CINÉMA TACLE VIVANT MUSIQUE ART & PATRIMOINE AUDIOVISUEL CINÉMA SPECTACLE VIVANT

Plus en détail

Préparer la formation

Préparer la formation Préparer Profédus propose des exemples variés de contenus d enseignement en éducation à la santé. Les fiches ne sont pas conçues en «prêt à penser» ; elles restent largement enracinées dans le contexte

Plus en détail

MUSÉOGRAPHIE. Référent Anaïs RAMEAUX Actualisation Mars 2012 anais.rameaux@u-bourgogne.fr SYNTHÈSE

MUSÉOGRAPHIE. Référent Anaïs RAMEAUX Actualisation Mars 2012 anais.rameaux@u-bourgogne.fr SYNTHÈSE MUSÉOGRAPHIE P Référent Anaïs RAMEAUX Actualisation Mars 2012 anais.rameaux@u-bourgogne.fr SYNTHÈSE Ensemble de techniques héritées de la muséologie destinées à la mise en valeur pérenne des collections

Plus en détail

Une discipline scolaire

Une discipline scolaire Les éléments constitutifs d une discipline scolaire Selon Michel Develay, De l apprentissage à l enseignement, Paris ESF éditeur, 1992, 2004 6, p. 32, «une discipline scolaire peut être définie par objets

Plus en détail

Centre national de la danse Mesures en faveur de la formation, de l insertion, des conditions de vie et de la diversité des jeunes créateurs

Centre national de la danse Mesures en faveur de la formation, de l insertion, des conditions de vie et de la diversité des jeunes créateurs Centre national de la danse Mesures en faveur de la formation, de l insertion, des conditions de vie MARDI Contact presse Ministère de la Culture et de la Communication Délégation à l information et à

Plus en détail

Ci-après, la liste des masters proposés par les universités françaises pour se former, en 2 ans après la licence, à l un des métiers de la culture.

Ci-après, la liste des masters proposés par les universités françaises pour se former, en 2 ans après la licence, à l un des métiers de la culture. Masters culture Ci-après, la liste des masters proposés par les universités françaises pour se former, en 2 ans après la licence, à l un des métiers de la culture. activités culturelles anthropologie métiers

Plus en détail

Bureau D Accueil des Artistes et Professionnels Etrangers (BAAPE)

Bureau D Accueil des Artistes et Professionnels Etrangers (BAAPE) Bureau D Accueil des Artistes et Professionnels Etrangers (BAAPE) Février 2008 SOMMAIRE Communiqué de presse de synthèse... 3 1. Le Bureau d accueil des Artistes et Professionnels Etrangers (BAAPE)........

Plus en détail

Stages de recherche dans les formations d'ingénieur. Víctor Gómez Frías. École des Ponts ParisTech, Champs-sur-Marne, France

Stages de recherche dans les formations d'ingénieur. Víctor Gómez Frías. École des Ponts ParisTech, Champs-sur-Marne, France Stages de recherche dans les formations d'ingénieur Víctor Gómez Frías École des Ponts ParisTech, Champs-sur-Marne, France victor.gomez-frias@enpc.fr Résumé Les méthodes de l ingénierie ont été généralement

Plus en détail

RÉSUMÉ DES NORMES ET MODALITÉS D ÉVALUATION AU SECONDAIRE

RÉSUMÉ DES NORMES ET MODALITÉS D ÉVALUATION AU SECONDAIRE , chemin de la côte Saint-Antoine Westmount, Québec, HY H7 Téléphone () 96-70 RÉSUMÉ DES NORMES ET MODALITÉS D ÉVALUATION AU SECONDAIRE À TRANSMETTRE AU PARENTS Année scolaire 0-0 Document adapté par Tammy

Plus en détail

APPEL A LA RECONNAISSANCE DU PATRIMOINE CULTUREL IMMATÉRIEL EN BRETAGNE

APPEL A LA RECONNAISSANCE DU PATRIMOINE CULTUREL IMMATÉRIEL EN BRETAGNE 1 APPEL A LA RECONNAISSANCE DU PATRIMOINE CULTUREL IMMATÉRIEL EN BRETAGNE Nous, signataires, acteurs culturels en Bretagne, individuels et associations, demandons aux élus et institutionnels de soutenir

Plus en détail

Christelle MAZIERE (30 ans)

Christelle MAZIERE (30 ans) Christelle MAZIERE (30 ans) Villa Orcéa, Lieu-dit Pertérato 20212 Favalello di Boziu 06.35.58.13.21 maziere@univ-corse.fr COMPÉTENCES PARTICULIÈRES Enseignement Gestion de corpus de données : recueil,

Plus en détail

Chaire Attractivité et Nouveau Marketing Territorial

Chaire Attractivité et Nouveau Marketing Territorial Chaire Attractivité et Nouveau Marketing Territorial Dossier de presse Contact Chaire : Joël Gayet Mobile : 00 33 6 09 51 15 70 Jgayet.chaire anmt@sciencespo aix.fr Contact Sciences Po Aix : Noëlline Souris

Plus en détail

Baccalauréat professionnel vente (prospection - négociation - suivi de clientèle) RÉFÉRENTIEL DE CERTIFICATION

Baccalauréat professionnel vente (prospection - négociation - suivi de clientèle) RÉFÉRENTIEL DE CERTIFICATION RÉFÉRENTIEL DE CERTIFICATION 16 I. COMPÉTENCES C1. PROSPECTER C11. Élaborer un projet de prospection C12. Organiser une opération de prospection C13. Réaliser une opération de prospection C14. Analyser

Plus en détail

ASSOCIATION DES TRAVAILLEURS SOCIAUX DU NOUVEAU-BRUNSWICK. Politique sur l éducation professionnelle continue

ASSOCIATION DES TRAVAILLEURS SOCIAUX DU NOUVEAU-BRUNSWICK. Politique sur l éducation professionnelle continue ASSOCIATION DES TRAVAILLEURS SOCIAUX DU NOUVEAU-BRUNSWICK Politique sur l éducation professionnelle continue Approuvée à la réunion annuelle juin 1997/modification approuvée par le Conseil le 1 mai 1999/des

Plus en détail

Nous sommes responsables de ce que l avenir nous apporte.

Nous sommes responsables de ce que l avenir nous apporte. Siemens Suisse SA Freilagerstrasse 40 8047 Zurich Suisse A1T334-A234-1-77 Sous réserve de modification Siemens Suisse SA, 2012 Nous sommes responsables de ce que l avenir nous apporte. Siemens Generation21

Plus en détail

www.u-bordeaux3.fr Master 2 professionnel Soin, éthique et santé Mention Philosophie

www.u-bordeaux3.fr Master 2 professionnel Soin, éthique et santé Mention Philosophie www.u-bordeaux3.fr Master 2 professionnel Soin, éthique et santé Mention Philosophie Une formation approfondie à la réflexion éthique appliquée aux secteurs du soin et de la santé En formation continue,

Plus en détail

L ENTREPRISE FACE A SA RESPONSABILITE FORMATIVE APRES LA REFORME DE LA FORMATION :

L ENTREPRISE FACE A SA RESPONSABILITE FORMATIVE APRES LA REFORME DE LA FORMATION : CHRONIQUE 88. L ENTREPRISE FACE A SA RESPONSABILITE FORMATIVE APRES LA REFORME DE LA FORMATION : Bonne foi contractuelle, Co-investissement, fin de la logique fiscale «d imputabilité», pilotage stratégique,

Plus en détail

Projet Pédagogique. - Favoriser la curiosité intellectuelle par le partage des connaissances, des cultures et des échanges.

Projet Pédagogique. - Favoriser la curiosité intellectuelle par le partage des connaissances, des cultures et des échanges. Projet Pédagogique La scolarité vise à aborder les apprentissages en prenant en compte les compétences de chacun afin de permettre l épanouissement de tous. La communauté éducative propose donc un enseignement

Plus en détail

Débat national sur les valeurs, missions et métiers de la Fonction publique. Synthèse des contributions des participants au débat public 25/02/2008

Débat national sur les valeurs, missions et métiers de la Fonction publique. Synthèse des contributions des participants au débat public 25/02/2008 Débat national sur les valeurs, missions et métiers de la Fonction publique Synthèse des contributions des participants au débat public 25/02/2008 Sommaire 1. Périmètre du débat et méthodologie des contributions

Plus en détail

L écoute ritualisée au cycle 3

L écoute ritualisée au cycle 3 L écoute ritualisée au cycle 3 Documents d application des programmes La sensibilité, l imagination, la création Éducation artistique école élémentaire Ministère de la Jeunesse, de l Éducation nationale

Plus en détail

RÉSULTAT DISCIPLINAIRE RÈGLE DE RÉUSSITE DISCIPLINAIRE Programme de formation de l école québécoise Secondaire - 1 er cycle

RÉSULTAT DISCIPLINAIRE RÈGLE DE RÉUSSITE DISCIPLINAIRE Programme de formation de l école québécoise Secondaire - 1 er cycle RÉSULTAT DISCIPLINAIRE RÈGLE DE RÉUSSITE DISCIPLINAIRE Programme de formation de l école québécoise Secondaire - er cycle Direction générale de la formation des jeunes Octobre 006 Introduction Dans le

Plus en détail

ACTEURS DE LA DÉFENSE ET FACTEURS DE SÉCURITÉ

ACTEURS DE LA DÉFENSE ET FACTEURS DE SÉCURITÉ INSTITUT DE MANAGEMENT PUBLIC ET GOUVERNANCE TERRITORIALE 21 RUE GASTON DE SAPORTA 13100 AIX EN PROVENCE DIPLOME UNIVERSITAIRE (DU) ACTEURS DE LA DÉFENSE ET FACTEURS DE SÉCURITÉ OBJECTIFS Faire comprendre

Plus en détail

Introduction à l enquête 2012 «Organisation fonctionnelle des équipes». ADBU

Introduction à l enquête 2012 «Organisation fonctionnelle des équipes». ADBU Introduction à l enquête 2012 «Organisation fonctionnelle des équipes». ADBU NB : les notes font référence au diaporama de synthèse de l enquête en ligne sur le site de l'adbu Comment les SCD tentent-ils

Plus en détail

MASTER PROFESSIONNEL REGIE DES OEUVRES ET MEDIATION DE L'ARCHITECTURE ET DU PATRIMOINE

MASTER PROFESSIONNEL REGIE DES OEUVRES ET MEDIATION DE L'ARCHITECTURE ET DU PATRIMOINE MASTER PROFESSIONNEL REGIE DES OEUVRES ET MEDIATION DE L'ARCHITECTURE ET DU PATRIMOINE Mention : Histoire de l'art et patrimoine Spécialité : Régie des oeuvres et médiation de l'architecture et du patrimoine

Plus en détail

MASTER PROFESSIONNEL

MASTER PROFESSIONNEL Année 2010/2011 Domaine LETTRES ET SCIENCES HUMAINES MASTER PROFESSIONNEL (cohabilitation des Universités BORDEAUX 1, BORDEAUX 2, BORDEAUX 3 et Sciences-Po Bordeaux) Mention HISTOIRE, PHILOSOPHIE ET MEDIATIONS

Plus en détail

Comment susciter la participation des étudiant e s et en tirer parti?

Comment susciter la participation des étudiant e s et en tirer parti? Fiche ABC Comment susciter la participation des étudiant e s et en tirer parti? Introduction Il n est pas rare que les enseignant e s souhaitent faire participer davantage les étudiant e s, soit durant

Plus en détail

Rhône-Alpes le Québec&

Rhône-Alpes le Québec& Délégation générale Paris Rhône-Alpes le Québec& ensemble naturellement En 2008, la Région Rhône-Alpes est partenaire de la célébration du 400 e anniversaire de Québec Édito Rhône-Alpes partage avec le

Plus en détail

repères pour agir et mettre en place un projet de consolidation des compétences de Base des Apprentis

repères pour agir et mettre en place un projet de consolidation des compétences de Base des Apprentis repères pour agir et mettre en place un projet de consolidation des compétences de Base des Apprentis Version 2 : 20 juillet 2012 L expérimentation conduite par l Agence nationale de lutte contre l illettrisme

Plus en détail

pas de santé sans ressources humaines

pas de santé sans ressources humaines Résumé Une vérité universelle : pas de santé sans ressources humaines + alliance mondiale pour les personnels de santé Résumé Objectif Le présent rapport est destiné à éclairer les débats du troisième

Plus en détail

10 REPÈRES «PLUS DE MAÎTRES QUE DE CLASSES» JUIN 2013 POUR LA MISE EN ŒUVRE DU DISPOSITIF

10 REPÈRES «PLUS DE MAÎTRES QUE DE CLASSES» JUIN 2013 POUR LA MISE EN ŒUVRE DU DISPOSITIF 10 REPÈRES POUR LA MISE EN ŒUVRE DU DISPOSITIF «PLUS DE MAÎTRES QUE DE CLASSES» JUIN 2013 MEN-DGESCO 2013 Sommaire 1. LES OBJECTIFS DU DISPOSITIF 2. LES ACQUISITIONS PRIORITAIREMENT VISÉES 3. LES LIEUX

Plus en détail

Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences

Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,

Plus en détail

PLAN D ÉTUDES DU PIANO

PLAN D ÉTUDES DU PIANO PLAN D ÉTUDES DU PIANO INTRODUCTION La formation permet aux élèves d acquérir progressivement une autonomie musicale et instrumentale liée au développement artistique de leur personnalité à travers la

Plus en détail

UNIVERSITÉ PARIS 1 PANTHÉON-SORBONNE CENTRE SAINT-CHARLES MASTER MULTIMÉDIA INTERACTIF 47, RUE DES BERGERS 75015 PARIS

UNIVERSITÉ PARIS 1 PANTHÉON-SORBONNE CENTRE SAINT-CHARLES MASTER MULTIMÉDIA INTERACTIF 47, RUE DES BERGERS 75015 PARIS UNIVERSITÉ PARIS 1 PANTHÉON-SORBONNE CENTRE SAINT-CHARLES MASTER MULTIMÉDIA INTERACTIF 47, RUE DES BERGERS 75015 PARIS 1 SOMMAIRE FORMATION 03 presentation 04 programme 05 enseignants 08 ÉTUDIANTS 10 les

Plus en détail

Coaching et Team Building

Coaching et Team Building recherché par les entreprises Ils représentent deux leviers ENTREPRISE Coaching et Team Building des outils de management au service de la personne, des entreprises et des organisations Serge LANTEAUME

Plus en détail

Les obstacles : Solutions envisageables :

Les obstacles : Solutions envisageables : 1. Quels sont les obstacles auxquels les citoyens européens doivent faire face dans l exercice de leurs droits? Que pourrait-on faire pour alléger ces obstacles? Les obstacles : Tout d abord, il y a un

Plus en détail

Loïc Blondiaux Le Nouvel Esprit de la démocratie Actualité de la démocratie participative Le Seuil, coll. «La République des Idées», 2008

Loïc Blondiaux Le Nouvel Esprit de la démocratie Actualité de la démocratie participative Le Seuil, coll. «La République des Idées», 2008 1 Loïc Blondiaux Le Nouvel Esprit de la démocratie Actualité de la démocratie participative Le Seuil, coll. «La République des Idées», 2008 L auteur Loïc Blondiaux est professeur des Universités à l Institut

Plus en détail

Université de Haute Alsace. Domaine. Sciences Humaines et Sociales. MASTER Mention Éducation, Formation, Communication UHA, ULP, Nancy 2

Université de Haute Alsace. Domaine. Sciences Humaines et Sociales. MASTER Mention Éducation, Formation, Communication UHA, ULP, Nancy 2 Centre Universitaire de Formation des Enseignants & des Formateurs Laboratoire Interuniversitaire de Sciences de l Education et de la Communication Université de Haute Alsace Domaine Sciences Humaines

Plus en détail

CANDIDATURE AUX FONCTIONS DE DIRECTEUR GENERAL DE L ENSAM

CANDIDATURE AUX FONCTIONS DE DIRECTEUR GENERAL DE L ENSAM CANDIDATURE AUX FONCTIONS DE DIRECTEUR GENERAL DE L ENSAM 1 ère partie Déclaration d intention JEAN-PAUL HAUTIER ADMINISTRATEUR PROVISOIRE ET DIRECTEUR DE LA RECHERCHE DE L ENSAM DIRECTEUR ES QUALITE DE

Plus en détail

ESTIM. Égalité d accès aux Sciences, aux Technologies, à l Innovation et au Multimédia

ESTIM. Égalité d accès aux Sciences, aux Technologies, à l Innovation et au Multimédia ESTIM Égalité d accès aux Sciences, aux Technologies, à l Innovation et au Multimédia GOUVERNANCE DE LA CSTI FORMATION NUMÉRIQUE /ARTS SCIENCES TECHNOLOGIES Face à une crise économique mondiale et aux

Plus en détail

2) Qu est-ce que la cohésion sociale et l inclusion?

2) Qu est-ce que la cohésion sociale et l inclusion? Chantier sur la cohésion sociale et l inclusion dans le cadre des Ateliers des savoirs partagés JUIN 2013 1) Mise en contexte Dans le cadre des Ateliers des savoirs partagés à Saint-Camille, 4 chantiers

Plus en détail

L accueil comme priorité. Fréquentation des principaux sites touristiques en millions de visiteurs

L accueil comme priorité. Fréquentation des principaux sites touristiques en millions de visiteurs 27 millions de visiteurs, dont 7 millions d étrangers et 0 millions de Français 44 millions de visiteurs au total pour Paris et sa région Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre Principales nationalités

Plus en détail

Les mardis, entre 10 h et 11 h 30, du 7 janvier au 25 mars 2014 I Tarif. 600

Les mardis, entre 10 h et 11 h 30, du 7 janvier au 25 mars 2014 I Tarif. 600 DROUOT FORMATION CYCLES COURTS HIVER 2013 Les Grands Ateliers d art À travers la visite d une sélection de 10 ateliers parisiens parmi les plus prestigieux tels que Brazet, Féau ou Gohard, venez découvrir

Plus en détail

Intervention de M. de Lamotte, président de la section sur l école et son interdépendance avec le marché

Intervention de M. de Lamotte, président de la section sur l école et son interdépendance avec le marché XXIII ème Assemblée régionale Europe Erevan, Arménie 3 au 7 mai 2010 Intervention de M. de Lamotte, président de la section sur l école et son interdépendance avec le marché Section Belgique/Communauté

Plus en détail

STATUTS de l association «Le Paris des Orgues» Modifiés à l AG ordinaire du 13 novembre 2013

STATUTS de l association «Le Paris des Orgues» Modifiés à l AG ordinaire du 13 novembre 2013 STATUTS de l association «Le Paris des Orgues» Modifiés à l AG ordinaire du 13 novembre 2013 Article 1 Forme Il est fondé entre les adhérents aux présents statuts une association régie par la loi du 1er

Plus en détail

Base de données documentaires [financement ACSE]

Base de données documentaires [financement ACSE] Réseau Ressources pour l Égalité des Chances et l Intégration (RECI) Rapport d activité 2011 Le programme de travail 2011 s est décliné autour de quatre types d actions : des outils, de la production de

Plus en détail

S organiser autrement

S organiser autrement S organiser autrement Dominique Tibéri enseignant en cycle 3 et formateur à l IUFM Nancy (54) propose ici une alternative à la préparation de classe telle qu elle est demandée par l Institution. Préparer

Plus en détail

MuseomixBE 2015 ET SI MON MUSÉE PRENAIT PART À L ÉDITION 2015 DE. Museomix?

MuseomixBE 2015 ET SI MON MUSÉE PRENAIT PART À L ÉDITION 2015 DE. Museomix? MuseomixBE 2015 ET SI MON MUSÉE PRENAIT PART À L ÉDITION 2015 DE Museomix? ET SI MON MUSÉE PRENAIT PART À L ÉDITION 2015 DE Museomix? Museomix est un évènement participatif, porté par une communauté de

Plus en détail

Organisation de dispositifs pour tous les apprenants : la question de l'évaluation inclusive

Organisation de dispositifs pour tous les apprenants : la question de l'évaluation inclusive Organisation de dispositifs pour tous les apprenants : la question de l'évaluation inclusive Transcription et traduction de la communication de Verity DONNELLY colloque Éducation inclusive, la question

Plus en détail

L analyse des pratiques : une démarche facilitatrice pour la construction et l évolution de l identité professionnelle... 4

L analyse des pratiques : une démarche facilitatrice pour la construction et l évolution de l identité professionnelle... 4 FICHES TECHNIQUES La carrière de l'enseignant : comment durer dans le métier? Comment optimiser les ressources des professeurs expérimentés? Usure, adaptation, épreuves et ressources.... 3 L analyse des

Plus en détail

Le traitement des questions économiques dans les médias. Le point de vue de Marie-Agnès Thellier, MBA Directrice Affaires Le Journal de Montréal

Le traitement des questions économiques dans les médias. Le point de vue de Marie-Agnès Thellier, MBA Directrice Affaires Le Journal de Montréal Le traitement des questions économiques dans les médias Le point de vue de Marie-Agnès Thellier, MBA Directrice Affaires Le Journal de Montréal Notes pour une participation à un panel au 30 e Congrès de

Plus en détail

Projet Bring your own device

Projet Bring your own device Projet Bring your own device Apportez votre appareil numérique" Mai 2015 Jean-Jacques GOINEAU Professeur - COTIC Introduction : Que signifie Bring your own device? Il s agit de permettre aux usagers, en

Plus en détail

Grand Angle Les coulisses de l émission Géopolitis

Grand Angle Les coulisses de l émission Géopolitis Grand Angle Les coulisses de l émission Géopolitis Thème Éducation aux médias, journalisme Public Étudiants en journalisme, diplomatie, histoire, sciences politiques ou en relations internationales, écoles

Plus en détail

Position de l ASTEE sur l innovation en matière de services d eau et de déchets

Position de l ASTEE sur l innovation en matière de services d eau et de déchets Position de l ASTEE sur l innovation en matière de services d eau et de déchets Les services publics locaux de l environnement : des services discrets mais moteurs de développement Depuis leur mise en

Plus en détail

C EST QUOI UNE ÉCOLE PUBLIQUE ALTERNATIVE QUÉBÉCOISE?

C EST QUOI UNE ÉCOLE PUBLIQUE ALTERNATIVE QUÉBÉCOISE? C EST QUOI UNE ÉCOLE PUBLIQUE ALTERNATIVE QUÉBÉCOISE? L école alternative, c est une école publique, intégrée aux commissions scolaires du Québec qui relève du choix des parents à offrir à leur enfant

Plus en détail

CENTRE FORMATION CONTINUE PANTHEON-SORBONNE

CENTRE FORMATION CONTINUE PANTHEON-SORBONNE 1 CENTRE FORMATION CONTINUE PANTHEON-SORBONNE MASTER 2 «A.C.M.P.» «AUDIT CONTRÔLE ET MANAGEMENT PUBLIC» DIRECTEUR : Dr Farouk HEMICI E MAIL : farouk.hemici@univ-paris1.fr Madame Ilona GOBJILA Gestionnaire

Plus en détail

Communiqué : Meetinangers.com, le nouveau site internet du BDCE 3. Le Bureau des Congrès et Evènements d Angers, pour qui, pourquoi?

Communiqué : Meetinangers.com, le nouveau site internet du BDCE 3. Le Bureau des Congrès et Evènements d Angers, pour qui, pourquoi? 1 2 Sommaire Communiqué : Meetinangers.com, le nouveau site internet du BDCE 3 Le Bureau des Congrès et Evènements d Angers, pour qui, pourquoi? 4 Boîte à outils 5 Bilan de la première année d activité

Plus en détail

Table des matières CID 50... 3 CID 51... 3 CID 52... 4 CID 53... 4 CID 54... 5

Table des matières CID 50... 3 CID 51... 3 CID 52... 4 CID 53... 4 CID 54... 5 Critères des commissions interdisciplinaires du du Comité national mandat 2012-2016 Table des matières CID 50... 3 CID 51... 3 CID 52... 4 CID 53... 4 CID 54... 5 2 CID 50 Gestion de la recherche La CID

Plus en détail

CONCEPT Notre Temps - Vivre bien, Vivre mieux Notre Temps - Vivre bien, Vivre mieux Notre Temps - Vivre bien, Vivre mieux

CONCEPT Notre Temps - Vivre bien, Vivre mieux Notre Temps - Vivre bien, Vivre mieux Notre Temps - Vivre bien, Vivre mieux new 3 12 2014 CONCEPT Notre Temps - Vivre bien, Vivre mieux est la déclinaison suisse du célèbre magazine français lancé en 1968. Alors précurseur sur la cible des 50 ans et plus, il est aujourd hui le

Plus en détail

LECTURE CRITIQUE. Accompagner les enseignants et formateurs dans la conception d une formation en ligne

LECTURE CRITIQUE. Accompagner les enseignants et formateurs dans la conception d une formation en ligne LECTURE CRITIQUE Accompagner les enseignants et formateurs dans la conception d une formation en ligne Christian Ernst E-learning. Conception et mise en œuvre d un enseignement en ligne Guide pratique

Plus en détail

POSTURE PROFESSIONNELLE ENSEIGNANTE EN QUESTION?

POSTURE PROFESSIONNELLE ENSEIGNANTE EN QUESTION? N 372 LAMEUL Geneviève 1 POSTURE PROFESSIONNELLE ENSEIGNANTE EN QUESTION? Le développement croissant de l usage des technologies perturbe l école dans son organisation interne, dans son rapport à la société,

Plus en détail

PROGRAMME DE MENTORAT

PROGRAMME DE MENTORAT CONSEIL SCOLAIRE ACADIEN PROVINCIAL PROGRAMME DE MENTORAT ÉNONCÉ PRATIQUE Le Conseil scolaire acadien provincial désire promouvoir un programme de mentorat qui servira de soutien et d entraide auprès des

Plus en détail

Évaluation en vue de l accréditation. Programme Master Européen en Médiation de l Institut Universitaire Kurt Bösch

Évaluation en vue de l accréditation. Programme Master Européen en Médiation de l Institut Universitaire Kurt Bösch Évaluation en vue de l accréditation Programme Master Européen en Médiation de l Institut Universitaire Kurt Bösch Rapport final du Comité de visite de l OAQ 30 août 2005 I - Description du processus d

Plus en détail

sommaire L organisation et la gestion des archives d entreprise...7

sommaire L organisation et la gestion des archives d entreprise...7 sommaire La formation continue à l EBAD... 3 Niveau i... 4 La chaine de traitement archivistique... 4 Initiation aux techniques documentaires... 5 Organisation et gestion des bibliothèques... 6 Niveau

Plus en détail

Rapport d'évaluation Formation conduisant à un diplôme conférant le grade de master

Rapport d'évaluation Formation conduisant à un diplôme conférant le grade de master Formations et diplômes Rapport d'évaluation Formation conduisant à un diplôme conférant le grade de master Diplôme national supérieur d expression plastique (DNSEP) option design École supérieure d art

Plus en détail