ESTIM. Égalité d accès aux Sciences, aux Technologies, à l Innovation et au Multimédia
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- Mireille Petit
- il y a 8 ans
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1 ESTIM Égalité d accès aux Sciences, aux Technologies, à l Innovation et au Multimédia GOUVERNANCE DE LA CSTI FORMATION NUMÉRIQUE /ARTS SCIENCES TECHNOLOGIES
2 Face à une crise économique mondiale et aux difficultés rencontrées dans l enseignement des sciences et des techniques pour susciter le goût de la découverte et de nouvelles vocations, le gouvernement français a réaffirmé l importance d investir dans la société de la connaissance et les nouvelles technologies. À cet effet, l État a attribué dans le cadre de son programme pour l égalité des chances, une première enveloppe de 50 millions d euros pour le développement de la culture scientifique, technique et industrielle (CSTI). Universcience et 32 partenaires du monde de la culture, de l éducation, de la recherche, de l industrie et des médias se sont mobilisés pour proposer de nouveaux modes de transmission des connaissances interdisciplinaires et expérimentales. Ensemble, ils ont bâti une initiative ambitieuse : Estim, pour l égalité d accès aux sciences, aux technologies, à l innovation et au multimédia. Cette initiative, retenue par le jury en septembre 2011, repose sur plusieurs constats concernant la CSTI : l impact positif avéré de l action des acteurs de la CSTI en matière de diffusion des sciences et des techniques auprès du grand public qui pâtit de l absence d un réseau de la CSTI suffisamment organisé et dynamique pour peser dans le débat public ; une production de contenus scientifiques et techniques riche et diversifiée mais insuffisamment diffusée auprès des publics ; la nécessité de remédier au cloisonnement croissant entre les disciplines scientifiques et techniques et les autres domaines de la connaissance et de la culture ; l évolution profonde des pratiques culturelles et des nouveaux usages numériques, notamment parmi les jeunes ; l existence de savoir-faire dans la médiation scientifique reconnus mais peu professionnalisés et insuffisamment liés aux autres expériences de médiation. D autre part, l initiative Estim a l ambition de répondre à plusieurs attentes dans le domaine de la médiation scientifique et technique en mettant en place : des outils et des services permettant la mise en réseau accrue des acteurs de la culture scientifique et technique et adaptés aux nouveaux usages offerts par les nouvelles technologies ; des outils d évaluation de l impact des actions des acteurs de la CSTI notamment auprès des publics ; des outils permettant de coproduire et mutualiser des ressources et des outils de médiation scientifique, particulièrement dans un contexte de restriction budgétaire ; des outils permettant de stimuler les modes de médiation fondés sur l interdisciplinarité, la créativité et la coconstruction avec les publics ; des outils incitant à la création de contenus innovants de CSTI utilisant de nouveaux modes d écritures notamment numériques ou artistiques ; des formations de médiateurs scientifiques. L initiative Estim développe ainsi des modes d apprentissage et de médiation scientifique d excellence pour favoriser l égalité d accès aux sciences et aux technologies et pour augmenter le nombre de vocations pour les métiers scientifiques et techniques. Estim s adresse à un public considérablement élargi au regard des visiteurs traditionnels des centres de science : l initiative vise l ensemble des foyers français et les acteurs de l éducation, mais cible en particulier les jeunes de 15 à 25 ans, les publics en difficultés économiques et sociales et les élèves des internats d excellence. Dans la ligne de la mission de pôle national de référence de la CSTI confiée à Universcience par ses ministères de tutelle, Estim doit permettre aux acteurs de la CSTI de structurer leurs offres, d améliorer la production et d étendre la diffusion de nouveaux outils de médiation scientifique sur l ensemble du territoire. Estim vise également à dynamiser l impact culturel, économique et social de ces acteurs au niveau local afin qu ils jouent pleinement leur rôle de catalyseurs de l innovation et de l égalité des chances dans leurs territoires. Cette initiative s inscrit résolument dans un objectif de changement d échelle et d impact accru tant au niveau national qu au niveau local. Estim s organise autour de trois grands programmes : PROGRAMME GOUVERNANCE DE LA CSTI : accompagner la mise en place d une nouvelle organisation des acteurs pour impulser au niveau national et territorial une politique commune de CSTI, augmenter sa visibilité, son impact et optimiser la gestion des ressources ; PROGRAMME FORMATION : créer une École de la médiation pour professionnaliser la transmission des savoirs scientifiques et techniques ; PROGRAMME NUMÉRIQUE/ARTS SCIENCES TECHNOLOGIES : offrir aux acteurs de la culture scientifique des services en lien avec les aspirations créatives qu offre le numérique, en agissant sur chacun des éléments de la chaîne de médiation numérique depuis la production de contenus jusqu à leur diffusion, en passant par leur stockage et leur gestion. 2 ESTIM (Égalité d accès aux sciences, aux technologies, à l innovation et au multimédia)
3 Chacun de ces programmes fédère les acteurs de référence dans les secteurs concernés. Le suivi et l évaluation des actions envisagées doivent à terme conduire à étendre les partenariats et à transférer les outils et les savoir-faire capitalisés à l ensemble des acteurs de la CSTI. Par son ambition, l initiative Estim se donne les moyens d avoir un impact mesurable pour développer la culture scientifique et technique des Français et de jouer un rôle décisif dans les politiques publiques en faveur de l égalité des chances. Le projet Estim représente un budget global de 18,6M financé à hauteur de 9M par les investissements d avenir. Unité : M Budget global Apports des investissements d avenir Taux de financement Gouvernance 4,1 2,0 48% Formation 1,4 0,6 44% Numérique/AST 13,2 6,4 49% Estim 18,6 9,0 48% 3 ESTIM (Égalité d accès aux sciences, aux technologies, à l innovation et au multimédia)
4 Projet GOUVERNANCE DE LA CSTI 1 Accompagner la mise en place d une nouvelle organisation des acteurs pour impulser au niveau national et territorial une politique commune de CSTI, augmenter sa visibilité, son impact et optimiser la gestion des ressources. LE CONTEXTE ET LES ENJEUX Répartis sur le territoire français, les acteurs de la CSTI développent depuis plus de trente ans leur plus-value éducative : non contraints par les cadres des programmes d enseignement obligatoire, ils ont le champ libre pour aborder les savoirs scientifiques et techniques sous l angle de la curiosité et du plaisir de la découverte. Ainsi les acteurs de la CSTI jouent-ils un rôle essentiel dans la démocratisation de l accès aux savoirs. Cependant, l écosystème de la CSTI est extrêmement fragmenté, comptant près de 480 acteurs d une taille moyenne inférieure à 10 ETP avec un budget moyen de fonctionnement inférieur à 250K. A ces petits acteurs s ajoutent les organismes de recherche publics (CNRS, CEA, Inria, Inserm, etc), les universités, les associations scientifiques, les muséums et les planétariums. Lors de sa création le 1 er janvier 2010, le Président de la République a confié à Universcience le rôle de pôle national de référence de la culture scientifique et technique, avec pour mission de : fédérer les acteurs au sein d une nouvelle gouvernance au niveau national, garante de la concertation et de la prise en considération des intérêts de chacun, outil de dialogue permanent sur le terrain, proposer des programmes communs visant à définir des projets pédagogiques et de médiation innovants, développer de nouveaux territoires éditoriaux, renouveler et élargir les publics, s inscrire dans la stratégie nationale de recherche et d innovation (SNRI) et dans les stratégies territoriales (Strater) élaborées par le MESR. LES OBJECTIFS Le programme Estim-Gouvernance a pour objectifs d accélérer le déploiement du pôle national de référence de la CSTI en proposant des outils permettant de mobiliser et d optimiser les ressources et de favoriser l élaboration d un nouveau modèle collaboratif à l échelle nationale. LES ACTIONS À DÉVELOPPER Le déploiement du pôle national de référence passe par la mise en place : d un conseil national de la CSTI, présidé par la présidente d Universcience, ayant pour mission d impulser une politique nationale de la CSTI avec une vision européenne et de porter son ambition sociétale pour un partage des savoirs. Il est garant d une cohérence interterritoriale, de pôles territoriaux de référence ayant pour mission l animation d un réseau structuré d acteurs de la culture scientifique situés sur un territoire défini, en articulation avec la stratégie nationale définie par le conseil national de la CSTI, de communautés thématiques qui regroupent des acteurs de la CSTI sur une thématique donnée, d un comité opérationnel rassemblant Universcience, des organismes de la CSTI et des représentants des pôles territoriaux de référence, chargé de faire l interface entre le conseil national de la CSTI et les acteurs. Dans ce cadre, le projet Estim-Gouvernance aura trois champs d action : Le pilotage de la gouvernance de la CSTI assuré par Universcience, en collaboration avec l AMCSTI. Cette action prévoit : la mise en place des instances de gouvernance : Conseil national de la CSTI, comité opérationnel, pôles territoriaux de référence et communautés thématiques, la mise en place de processus opérationnels inhérents au projet (cartographies, cahier des charges et désignation des contributeurs aux plateformes numériques, des organisateurs de forums, etc), la relance d un processus de labellisation des acteurs, l identification d objectifs, de critères, d indicateurs et d un protocole d évaluation de l impact de la CSTI. 4 ESTIM (Égalité d accès aux sciences, aux technologies, à l innovation et au multimédia)
5 L organisation de forums : ateliers de travail organisés par les acteurs du territoire, en collaboration avec l Amscti (forums territoriaux) et par Universcience (forums nationaux). Ces forums réunissent une centaine de participants au niveau territorial et plusieurs centaines au niveau national. Ils ont pour objectif de favoriser le partage des compétences et des savoir-faire, d accompagner la mise en place des organes de gouvernance (pôles territoriaux, conseil national, communautés thématiques, comité opérationnel), d en préciser le fonctionnement et la régulation, dans un souci de dialogue avec les acteurs. La mise en place de plateformes numériques territoriales : outils de travail collaboratif pour les pôles territoriaux de référence, interconnectées avec le portail numérique national de la CSTI (cf. Estim-Numérique). Ces plateformes numériques sont animées et alimentées par les pôles. Elles doivent permettre : d accroître la capacité de rayonnement et de services aux publics de chaque acteur, de faciliter les échanges et le partage d expertise et de compétences entre les acteurs, de stimuler les coproductions de produits et de services et leur circulation, d organiser une veille territoriale en lien avec l Observatoire de la CSTI mis en place par l Ocim. Le projet fera l objet d une communication structurée auprès des différentes parties prenantes, ainsi que d une évaluation indépendante. L ARTICULATION AVEC LES AUTRES PROJETS ESTIM Le projet s articulera avec les outils développés au sein d Estim : Estim-Numérique/Art-Science-Technologie : un portail de la CSTI, des outils d infrastructures (Digital Asset Management, service d indexation et moteur de recherche, service de cloud computing), des bourses de coproduction de contenus, des plateformes numériques collaboratives qui permettront aux professionnels de la CSTI d avoir accès à des services qui leurs sont dédiés. Estim-École de la Médiation : dispositifs de formations aux métiers de la médiation. LES PARTENAIRES DU PROJET 5 ESTIM (Égalité d accès aux sciences, aux technologies, à l innovation et au multimédia)
6 Projet FORMATION 2 Créer une École de la médiation pour professionnaliser la transmission des savoirs scientifiques et techniques. LE CONTEXTE ET LES ENJEUX Dans une société de la connaissance, dans laquelle l investissement dans la recherche et le développement pour l innovation constituent les moteurs de la croissance, les acteurs de la culture scientifique et technique jouent un rôle décisif dans l engouement et l émulation pour les savoirs scientifiques et technologiques. Au sein des structures diffusant la culture scientifique et technique, les médiateurs et animateurs scientifiques interviennent pour expliquer, décrypter des savoirs dont la complexité apparente peut intimider le grand public. Au-delà de la simple «vulgarisation» scientifique, ils accompagnent le public dans une démarche d appropriation des savoirs. En raison du rôle clé de médiation qu ils jouent auprès des publics, la question de leur formation et de leur professionnalisation est essentielle. Les formations disponibles pour ces médiateurs sont peu nombreuses, dispensées essentiellement dans le cadre universitaire pour la formation initiale et très peu nombreuses pour les professionnels, en formation continue. La prise de conscience des pouvoirs publics en faveur d un renouvellement de l enseignement des sciences constitue une opportunité pour structurer et développer la formation des principaux acteurs de l éducation informelle en science et de la diffusion de la culture scientifique. LES OBJECTIFS Le projet Estim-Ecole de la médiation a pour objectif de professionnaliser la transmission des savoirs scientifiques et techniques. Pour ce faire, le projet consiste à mettre en place des modules de formation et à équiper des espaces de formation professionnelle destinés prioritairement aux médiateurs, animateurs scientifiques déjà en poste dans les centres de culture scientifique et technique (CCSTI), les musées, les associations, les clubs de loisirs scientifiques et bibliothèques, et par extension aux chercheurs et autres médiateurs scientifiques. LES ACTIONS À DÉVELOPPER Ce projet s organisera autour de trois grands pôles : Pôle Conception : qui aura à charge de construire les contenus des futures formations et les lieux nécessaires à leur exploitation : conception de modules de formations : ces briques élémentaires agencées ensembles constitueront des parcours de formation. Ces modules et parcours de formation seront conçus en associant notamment les compétences métiers des acteurs de terrain de la médiation scientifique ainsi que celles des professionnels de la formation pour adultes et des experts de la didactique des sciences. Dans leur construction, ces modules s appuieront sur la connaissance des spécificités de l apprentissage chez l adulte, et des contraintes de la formation continue courte. Dans leur forme, ils privilégieront les méthodes actives et participatives, avec un juste équilibre entre apports pratiques, opérationnels et éclairages théoriques, réalisation des supports pédagogiques associés à ces modules : kit de formation comprenant des supports physiques ou en ligne utilisés lors de la session, équipement de 2 salles de formation : une à la Cité des sciences et de l industrie, et une à l Espace des sciences Pierre-Gilles de Gennes (ESPCI ParisTech). Pôle Formation dont les principales actions viseront à organiser la phase opérationnelle du projet : montage des formations en mode test : les modules et parcours seront testés auprès des publics visés par le projet (médiateurs et animateurs scientifiques, etc.). Ces tests permettront de finaliser les futures formations en s adaptant au plus près aux besoins de ces populations ; formation de futurs formateurs : des formations certifiantes à la formation d adultes seront suivies par les différents partenaires permettant d acquérir les compétences nécessaires en matière pédagogique. 6 ESTIM (Égalité d accès aux sciences, aux technologies, à l innovation et au multimédia)
7 Pôle Observatoire dont la fonction sera de décrire les pratiques métiers de la médiation scientifique, et d en suivre les évolutions, les innovations dans le monde, et de mener des études ainsi qu une veille sur les publications et les pratiques propres à ce domaine. Ces études viendront alimenter le pôle conception. Les travaux porteront notamment sur : une étude de définition des attentes et besoins en formation des médiateurs et animateurs en fonction des spécificités de leurs champs d intervention puis élaboration d un référentiel métier, un recensement des études et publications existantes dans le champ de la médiation scientifique, l organisation d une veille sur les bonnes pratiques en matière de formation à la médiation et les pratiques de médiation innovantes. R&D portant à la fois sur les pratiques de formation innovantes en matière de formation métier, et sur les pratiques de la médiation. En outre, à travers l évaluation, et la dissémination, le projet Estim-Ecole de la médiation s attache à mieux partager et développer les recherches sur les pratiques, les enjeux, les cadres et les impacts des actions de formation à travers la publication des études réalisées, et la diffusion des formations à travers les organismes de formation partenaires. Le projet fera également l objet d une évaluation indépendante. L ARTICULATION AVEC LES AUTRES PROJETS ESTIM Le projet s articulera avec le projet Estim-Numérique/AST qui inclut notamment un portail dédié aux professionnels de la CSTI permettant d avoir accès notamment à ces modules de formation en ligne. LES PARTENAIRES DU PROJET 7 ESTIM (Égalité d accès aux sciences, aux technologies, à l innovation et au multimédia)
8 3 Offrir Projet NUMÉRIQUE / ARTS SCIENCES TECHNOLOGIES aux acteurs de la culture scientifique des services en lien avec les aspirations créatives qu offre le numérique, en agissant sur chacun des éléments de la chaîne de médiation numérique, depuis la production de contenus jusqu à leur diffusion, en passant par leurs stockage et leur gestion LE CONTEXTE ET LES ENJEUX La diffusion de la culture scientifique et technique par les médias de masse s amenuise progressivement au profit d une programmation plus consensuelle. Ainsi, bien que les Français passent en moyenne 24h par semaine devant la télévision, on ne trouve que 4 émissions scientifiques de 30 minutes en moyenne parmi les chaînes de TV grands publics (C est pas sorcier, E=M6, Prouve-le, ADN). Par ailleurs, seulement pages sur Internet sont proposées par des acteurs référents de la CSTI, sur les millions de pages référencées par Google autours de contenus similaires. L apparition des nouvelles plateformes de diffusion (internet, mobilité, etc.) dans le paysage médiatique est une formidable occasion de pouvoir rendre accessible les contenus scientifiques en stimulant la création partagée, la diffusion conjointe, la transmission des connaissances. C est également le moyen de transformer une approche éditoriale aux abords traditionnels en un média en mouvement pour le consommer «où je veux, quand je veux, comme je veux» et répondant aux attentes des publics, et particulièrement à la génération des ans, peu présente dans les centres de science, et pour laquelle, cette tendance au développement de pratiques amateurs par le numérique est particulièrement forte. Ces nouvelles formes de diffusion sont le signe d une appétence à la créativité et à l engagement dans la démarche d appropriation des connaissances. Aussi, nombreux sont les acteurs qui souhaitent avoir accès plus largement à ces contenus, qu il s agisse du grand public, mais également des acteurs de l éducation formelle (enseignants, éditeurs scolaires, ENT) et des professionnels de la CSTI eux-mêmes désireux de pouvoir ré-exploiter ces contenus dans leur pratiques de médiation. Or, si les acteurs de la CSTI produisent des contenus numériques innovants dans leur proposition pédagogique, cette production reste le fait d un petit nombre d acteurs. En outre, aussi innovants soient-ils, ces contenus trouvent difficilement leur chemin vers le grand public. En effet, l écosystème de la CSTI est actuellement extrêmement fragmenté, comptant près de 480 acteurs d une taille moyenne inférieure à 10 ETP. Aussi, la production de contenus numériques innovants constitue un coût élevé au regard du budget annuel moyen de fonctionnement des acteurs de la CSTI. A titre d exemple, la production d un documentaire audiovisuel de 52 minutes représente 80 % du budget annuel moyen de fonctionnement d un centre de science. La contrainte budgétaire entraîne trois conséquences : La forte dispersion de la production, résultant de l extrême fragmentation des acteurs de la CSTI et leur manque de moyens. Cette dispersion a pour conséquence un manque de visibilité sur l ensemble de l offre numérique produite par les acteurs de la CSTI. Les droits sont négociés de façon restrictive, pour le temps d une exposition ou d un événement, dans certains cas, diffusable au mieux sur Internet. Les rediffusions ultérieures sur divers supports ne sont pas envisagées. L opérabilité des contenus est envisagée de façon limitée, les contenus étant prévus pour une diffusion sur une table multitouch, ou un écran vidéo dans une exposition. Le coût marginal pour une ré-exploitation multi support n est pas souvent pris en compte. LES OBJECTIFS Le projet Estim-Numérique/AST se fixe pour objectif de permettre à l ensemble des acteurs de la CSTI de changer d échelle dans la production et la diffusion de contenus et d offrir aux acteurs de la culture scientifique des espaces d innovation en lien avec les aspirations créatives qu offre le numérique. Pour développer la diffusion des contenus numériques tout en levant la contrainte budgétaire, l objectif d Estim-Numérique/AST est d amortir les coûts liés à la production, à la gestion et à la diffusion des contenus numériques en réalisant des économies d échelles et ce en accroissant considérablement leur diffusion. 8 ESTIM (Égalité d accès aux sciences, aux technologies, à l innovation et au multimédia)
9 Ainsi, le projet repose sur trois actions : accroître la diffusion en utilisant un canal de diffusion de masse : portails Internet, augmenter et mutualiser les productions de contenus et les achats de droits pour alimenter les canaux de diffusion et amortir les coûts de production, tout en garantissant une diversité créative, une qualité scientifique et pédagogique, dans les contenus produits, se doter des infrastructures nécessaires au stockage, à la gestion, et à la diffusion mutualisée des contenus. Aussi, le projet Estim Numérique/AST intervient sur chacun des éléments de la chaîne de médiation numérique depuis la production de contenus jusqu à leur diffusion, en passant par leurs stockage, et leur gestion. LES ACTIONS À DÉVELOPPER Le projet Estim Numérique/AST s organisera autour de trois grands pôles : Augmenter et mutualiser les productions de contenus et les achats de droits : la diffusion de masse requiert une abondance de contenus. Cependant, les contenus existants disponibles sont rares et couteux : les contenus de CSTI existants et de qualité ne sont pas en nombre suffisant pour alimenter le projet numérique car peu sont réalisés par des professionnels (production labélisée versus user generated content), peu sont exploitables dans leur forme actuelle pour de la diffusion de masse (écriture spécifique, interactivité, format court), peu sont disponibles de droits ; le coût marginal post production pour adapter la forme des contenus (séquençage des formats longs) ou libérer les contenus non disponibles de droits (identification des ayants droits, négociation unitaire) est très élevé. En revanche, donner une impulsion à la production de contenus de la CSTI innovants permettrait : d assurer à l avenir la production et la mise à disposition à moindre coût, de contenus innovants, libérés de droits pour une diffusion multi supports, via la syndication des acteurs autour des contenus de CSTI (coproduction et rachat groupé des droits négociés en fonction des usages), de renforcer la valeur pédagogique de ces contenus pour en permettre une utilisation dans le domaine scolaire, de développer une offre multimédia nationale aujourd hui faiblement couverte par les médias traditionnels français, principalement réalisée par des producteurs anglo-saxons et asiatiques. Ainsi, le projet Estim-Numérique/AST propose de lancer des bourses incluant de la coproduction de contenus et du rachat de droits sur des contenus existants. Se doter des infrastructures nécessair es au stockage, à la gestion, et à la diffusion mutualisée des contenus afin de : mutualiser les frais de stockage des contenus numériques (Cloud Computing), d améliorer la visibilité et l accès aux contenus numériques (référentiel commun et moteur de recherche), d optimiser la gestion et la distribution des contenus et des droits afférents (Digital Asset Management). La mise en place d un système mutualisé de production et de gestion de contenus nécessite une infrastructure qu aucun acteur de la CSTI ne peut aujourd hui financer : condition de sécurité et d interopérabilité : les infrastructures actuelles ne permettent pas de mutualiser contenus, productions et gestion de droits des acteurs (problèmes de sécurité, d interopérabilité, etc), coût fixe élevé : la mutualisation nécessite d investir dans des outils et infrastructures informatiques coûteux (moteur de recherche, stockage massif de données, DAM). Aussi, un seuil minimum de flux de contenus, en deçà duquel l investissement en infrastructure ne pourra être amorti, est nécessaire. Accroître la diffusion en utilisant des canaux de diffusion de masse : une fois recensés, indexés et enregistrés sur le DAM, la diffusion des contenus numériques de culture scientifique et technique passera par deux portails de diffusion : une plateforme nationale de ressources à destination du grand public, fédérant les contenus des acteurs de la CSTI, permettant de les répertorier, d agréger ces offres autour d un référentiel commun, et ainsi de permettre le développement de services spécifiques de recherche et d usages, adaptés aux différentes catégories de public. Ces différents contenus seront accessibles via le portail de la CSTI et renverront vers les offres des sites institutionnels des partenaires, une plateforme professionnelle offrant des services permettant de structurer les échanges entre les acteurs de la CSTI (ex : annuaire des formations et modules de formation en ligne, calendrier des expositions et des itinérances, etc), 9 ESTIM (Égalité d accès aux sciences, aux technologies, à l innovation et au multimédia)
10 Ces différents outils permettront de démultiplier les voies de diffusion des contenus et services de culture scientifique : les contenus produits par chacun des acteurs pouvant être diffusés à la fois sur leur propre site et sur le portail national de la CSTI augmentant mécaniquement le niveau d audience. En outre, le projet s accompagne d une démarche de communication et de dissémination afin de pouvoir mieux partager et mutualiser les outils de gestion et de production de contenus numériques afin de favoriser l utilisation de ces pratiques de méditations culturelles. Ainsi, les différentes étapes de la construction des portails et des outils d infrastructure feront l objet d une communication auprès des acteurs de la CSTI : sondage d évaluation des besoins et test des différentes versions auprès d un panel d acteurs de la CSTI, communication via différents supports (lettre de la CSTI, lettre de l AMCSTI, etc) sur l avancement du projet, présentation des différents outils (aux acteurs en région, au cours d un forum national, aux instances de gouvernance, etc). Les différentes actions du projet Estim-Numérique feront également l objet d une évaluation indépendante. L articulation avec les autres projets Estim Le projet Estim-Numérique/AST s articulera avec l ensemble des outils développés dans le cadre des projets Estim et les promouvra auprès des acteurs. Il s agit de : Estim-Gouvernance : des plateformes numériques collaboratives rattachées au portail national de la CSTI, permettront aux acteurs des pôles territoriaux de référence, d utiliser et d enrichir les différents outils d Estim-Numérique/AST. Estim-Formation : visibilité donnée aux modules de formation aux métiers de la médiation. LES PARTENAIRES DU PROJET 10 ESTIM (Égalité d accès aux sciences, aux technologies, à l innovation et au multimédia)
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