ASSOCIATION GÉNÉRALE DES CONSERVATEURS DES COLLECTIONS PUBLIQUES DE FRANCE Association reconnue d utilité publique le 16 avril 1932
|
|
- Isaac Charpentier
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 ASSOCIATION GÉNÉRALE DES CONSERVATEURS DES COLLECTIONS PUBLIQUES DE FRANCE Association reconnue d utilité publique le 16 avril 1932 SECTION FÉDÉRÉE PROVENCE-ALPES-CÔTE D AZUR Membre du Réseau européen des Living Labs Objet : Statut des collections archéologiques. Compte rendu de la journée d étude interrégionale à NÎMES le 22 novembre Voici un rapport concis de la Journée d'études interrégionale qui a eu lieu jeudi 22 novembre à Nîmes au Carré d'art sur le thème du " Statut des objets issus des dépôts de fouilles archéologiques». Il est suivi d un compte-rendu rédigé par Laurence Pinet, archéologue départemental pour les Hautes-Alpes, qui fait la synthèse du point sur la législation et les caractéristiques juridiques des objets issus des dépôts de fouilles, réalisé par Lionel IZAC IMBERT, ainsi que des discussions, des rappels des lois et des recours en vigueur énoncés par les agents relais des services de l Etat lors de cette journée. Cette journée d études a compté plus de 57 personnes : 48 inscrits + 6 intervenants + 3 organisateurs. 34 personnes avaient fait le déplacement depuis la région PACA, 14 personnes sont venues du Languedoc- Roussillon. La majorité étant impliqué dans la gestion de collections archéologiques, que ce soit au sein d'un musée d'archéologie ou au sein d'un musée "mixte". Aleth Jourdan, présidente de la section fédérée de l'association en Languedoc-Roussillon a introduit la journée en présentant le programme de la journée. En introduction Lucienne Del Furia, en tant que vice-présidente de l'association PACA a rappelé les activités de l'association (les actions de formation: Journées d'études, groupes de travail et les projets en cours (Application mobile, dépliant route des musées) et a annoncé les prochains événements ( journée d'actualité du 3 décembre, programme des journées d'études 2013). Le premier intervenant, Lionel Izac- Imbert (SRA Languedoc-Roussillon) a fait un point sur la législation, et les caractéristiques juridiques des objets issus des dépôts dépôts de fouilles, puis il a procédé à un inventaire géographique des dépôts de fouilles par départements, en Languedoc-Roussillon; Un exemple de numérisation des collections au musée de Nîmes est venu illustrer une partie du propos de Dominique Darde rapporté par Aleth Jourdan, sur les collections archéologiques de Nîmes; 4 études de cas ont permis de faire un état des lieux plus précis par musée (avec les exemples de Nîmes, Lattes, Narbonne et Marseille). A noter également la présence de Xavier Fehrnbach (conseiller musées de la DRAC Languedoc- Roussillon) et de Catherine Louboutin, de la Direction générale des Patrimoines (Service des musées de France) qui sont intervenus à plusieurs reprises pour rappeler les lois et recours en vigueur. Cette journée a permis à chacun des participants de porter un regard plus précis sur le statut et le traitement des collections archéologiques et leurs problématiques. L.Oberson 06/12/2012-1
2 Compte-rendu rédigé par Laurence Pinet, archéologue départementale pour l Agccpf-Paca. Ce compte rendu fait la synthèse du point sur la législation et les caractéristiques juridiques des objets issus des dépôts de fouilles, réalisé par Lionel IZAC IMBERT, ainsi que des discussions, des rappels des lois et des recours en vigueur énoncés par les agents relais des services de l Etat. Agents relais de l Etat présents Lionel IZAC IMBERT, adjoint du Conservateur régional de l Archéologie de Languedoc-Roussillon ; Xavier FEHRNBACH, Conseiller musées de Languedoc-Roussillon ; Catherine LOUBOUTIN, adjointe au chef du bureau des réseaux territoriaux pour le sud-est de la France, Corse, Languedoc-Roussillon et Provence-Alpes-Côte d Azur, Sous-direction de la politique des musées, Service des musées de France. Les collections archéologiques : définition Le Code du Patrimoine définit le patrimoine archéologique, L Celui-ci inclut les artefacts et les écofacts. De façon générale, la plus grande partie des collections conservées dans les dépôts de fouilles sont la céramique (environ 75%) et les objets en pierres taillées (1/3). Le petit mobilier pose des questions de conservation préventive et de sécurité. Les restes anthropologiques et fauniques ont un statut particulier relatif aux collections biologiques et posent des questions particulières de conservation préventive. La notion de lot s applique notamment aux collections environnementales et posent des problèmes de conservation sur le long terme. Avant la mise en inventaire, le statut des collections de fouilles doit être réglé. Lors du récolement, seules les collections inscrites à l inventaire sont à prendre en compte puisqu il s agit d un récolement des collections musées de France. Les collections non inscrites ne sont pas à considérer pour le récolement mais leur statut doit être réglé, à un moment ou à un autre, et c est au SRA sinon de le faire seul du moins de s en occuper au premier chef. (Catherine LOUBOUTIN). Les collections archéologiques : définir un statut Au jour de la fouille : - qui est le propriétaire du terrain? - quelle est la nature de l opération (programmée, préventive)? Les autres cas : dons et découvertes fortuites Pour les fouilles antérieures à la loi de 2001, sur l archéologie préventive et celle de 2002, dite Loi Musées : les collections sont traitées avec la loi de 1941 portant réglementation des fouilles archéologiques. Pour les collections antérieures à 1941, c est l article 552 du Code civil qui s applique : «La propriété du sol emporte sur la propriété du dessus et du dessous». Ainsi, des solutions de procédures de dépôts peuvent être possibles pour les collections entrées dans les musées. Pour les particuliers, le cas est plus complexe est rarement traité. L.Oberson 06/12/2012-2
3 Des solutions sont actuellement mises en oeuvre au coup par coup avec des conventions types régionales de dépôts d objets vers les musées, sans qu il existe un modèle national. Elles n ont donc pas de valeur au plan national. Lionel IZAC-IMBERT peut être contacté à ce sujet pour transmettre des modèles. Ex : Annie PHILIPPON, lorsqu elle était conservatrice du musée de RODEZ, a négocié, avec les aménageurs, leur renonciation aux collections pour les fouilles anciennes. Attention! Une obligation de conservation préventive et de stabilisation pour les opérateurs d archéologie préventive est stipulée dans le décret de II n y a pas de dispositif réglementaire pour les propriétaires de collections, ce qui entraine des négociations au coup par coup. Catherine LOUBOUTIN : Les collections issues des fouilles ne doivent pas être considérées systématiquement ni même jamais comme des collections d étude, qui concernent des collections mal documentées. Le danger de mettre en collections d étude des pièces non pas qui demandent simplement à être plus amplement documentées (c est leur place) mais des pièces dont on sait qu elles ne pourront jamais être documentées est tout simplement de se voiler la face et de mettre au purgatoire en attendant qu elles disparaissent toutes seules des pièces sans intérêt car sans pedigree. Ces collections sont soit à rendre au SRA soit à utiliser par le musée comme documentation ou comme matériel muséographique ou pédagogique. Le musée n a pas vocation à trier dans des collections documentées ce qui doit être gardé et ce qui peut être éliminé. C est aux responsables scientifiques de fouilles ou, à défaut, au SRA de décider du tri des collections, mais avant leur entrée au musée. En théorie, le musée peut en revanche retourner à l Etat (SRA) les collections dont il n a que faire! Attention cependant à la note-circulaire du 19 juillet 2012 relative à la problématique des matériels d étude qui apparaît contradictoire avec ces propos (voir pièce jointe). Pour les collections issues des fouilles, le règlement du statut des collections doit se faire avec le Service Régional de l Archéologie qui a autorité en la matière. L arrêté d autorisation d opération archéologique mentionne le propriétaire des collections par rapport à la nature de l opération (programmée, préventive). Pour les collections anciennes, la présence dans le musée n est pas synonyme de collection du musée : des négociations avec les propriétaires sont engagées, consolidées par des conventions-types (voir les modèles du SRA). L Etat prévoit des aides possibles sur les rayonnages et l inventaire des mobiliers. Les dons issus de collections anciennes Objets isolés, découvertes fortuites pour lesquels le statut juridique n est pas réglé sauf s il existe un acte notarié (ex. don Odette et Jean Taffanel pour le site de Mailhac (11)). Découvertes fortuites Pendant 5 ans qui suivent la découverte : objets confiés à l Etat pour étude. Au-delà : Statut : Inventeur / Propriétaire du terrain (L et Code civil, art. 716, relatif à la propriété des trésors. Trésor : «le trésor est toute chose cachée ou enfouie sur laquelle personne ne peut justifier sa propriété, et qui est découverte par le pur effet du hasard» (Code civil, art. 716). Attention! Les trésors monétaires et les objets en métal précieux n entrent pas dans cette définition! L.Oberson 06/12/2012-3
4 Archéologie préventive (L 521-1) Les mobiliers sont confiés à l opérateur pour étude (L et 13). Il a obligation de stabilisation et de consolidation, réalisées par lui ou par un prestataire. La loi prévoit un rendu à l Etat de la documentation, du rapport d opération archéologique et du mobilier avec un inventaire (L ). Statut : Etat / Propriétaire du terrain (L ). Dans un délai de 6 mois, l Etat informe le propriétaire de son droit de propriété et lui adresse un inventaire (R ). Celui-ci a un an pour se manifester. Si oui : l Etat peut exercer un droit de revendication (L ). Si non : transfert de propriété à l Etat à titre gratuit. A la demande de la commune où a lieu la fouille ou à défaut une autre collectivité territoriale dans un délai de 6 mois, transfert possible de l Etat à titre gratuit. Fouilles programmées (L531-1 à 3) Les objets appartiennent à 100% au propriétaire du terrain. Fouilles réalisées par l Etat (L 531-9) Procédure d urgence. Occupation temporaire des terrains contre indemnité si les terrains ne sont pas rendus dans le même état (L ). Les mobiliers sont confiés à l opérateur pour étude pendant 5 ans maximum. Statut : Etat / Propriétaire du terrain (L ). L Etat peut revendiquer la propriété. La question du partage des collections Le partage des collections peut être réalisé : - entre plusieurs propriétaires - entre plusieurs lieux de conservation Il a des conséquences : - il casse l intégrité des collections - il pose la question de la valeur financière - en termes de connaissance - par rapport aux restes humains/dépôts funéraires Remarque : le Livre blanc de l archéologie préventive demandé par la Ministre de la Culture et de la Communication, Aurélie FILIPPETTI, au Vice-président du Conseil National de la Recherche Archéologique, Dominique GARCIA, pourra permettre un nettoyage de l appareil législatif, notamment sur la question du partage. Dans le cas des mobiliers issus des fouilles de LATTES (Hérault), site classé au titre des monuments historiques, le conservateur juge qu il n y a pas de pertinence à passer du logiciel de gestion des données de fouilles Syslat à un inventaire de gestion de collections de musées de France : il ne veut pas extraire des collections archéologiques de fouille des beaux objets, marquant la séparation des collections. Pas de subvention DRAC Musées, pas de commission d acquisition. Les dépôts de fouilles gérés par les collectivités Des conventions entre l Etat et les collectivités territoriales cadrent les modes de gestions sur : - les bâtiments, les fluides, - sur les entrées et sorties des mobiliers de fouilles. L.Oberson 06/12/2012-4
5 La constitution des collections archéologiques au moment de l opération Lionel IZAC IMBERT : «l avenir du tri sélectif en archéologie» Tri sélectif () : les artefacts et écofacts prélevés à la fouille ne correspondent pas systématiquement à l inventaire transmis avec la documentation de l opération archéologique. C est au chercheur à effectuer le tri sélectif des mobiliers collectés au moment de la fouille et de l étude (déchetterie, destruction, renfouissement). Et à défaut, le Service Régional de l Archéologie. A l issue de la fouille, note sur l intérêt de la collection archéologique pour le musée. Les inventaires de mobiliers de fouilles sont constitués sur des logiciels hétérogènes : Excel, Filemaker Pro, Syslat Laurence PINET, Archéologue départementale, Hautes-Alpes L.Oberson 06/12/2012-5
Inrap / Les étapes de l archéologie préventive
Les étapes de l archéologie préventive LE DIAGNOSTIC Lorsque l on aménage un terrain à des fins publiques ou privées (pour construire une route ou un immeuble par exemple), le sol est remanié. Bien avant
Plus en détailL archéologie préventive
L archéologie préventive Le code du patrimoine (livre V) : définit le patrimoine archéologique et l archéologie préventive, répartit les compétences entre les différents acteurs, décrit la mise en œuvre
Plus en détail3 e rendez-vous de l Eco-exemplarité. 1 er rendez-vous de l archivage exemplaire? 10 juin 2015 Saint-Saulge
3 e rendez-vous de l Eco-exemplarité 1 er rendez-vous de l archivage exemplaire? 10 juin 2015 Saint-Saulge Conserver les archives : pourquoi faire? La conservation des archives répond à un triple intérêt
Plus en détailDécret 2002-628 du 25 Avril 2002 modifié pris pour l application de la loi 2002-5 du 4 Janvier 2002 relative aux musées de France
Décret 2002-628 du 25 Avril 2002 modifié pris pour l application de la loi 2002-5 du 4 Janvier 2002 relative aux musées de France TITRE I er : HAUT CONSEIL DES MUSEES DE FRANCE Art. 1 er. - Le Haut Conseil
Plus en détailLES PROCEDURES DE LA POLITIQUE D ARCHIVAGE
LES PROCEDURES DE LA POLITIQUE D ARCHIVAGE La mise en place d une politique d archivage offre des solutions pour assurer une gestion pérenne des archives. Ce guide de procédure doit : - servir de base
Plus en détailTRIBUNAL D INSTANCE D AMIENS. Les dispositions à prendre lors de la prise de fonction du tuteur
TRIBUNAL D INSTANCE D AMIENS Les dispositions à prendre lors de la prise de fonction du tuteur Ces dispositions ne concernent pas les renouvellements à l identique des mesures de tutelle. Par contre, si
Plus en détailAfi n de permettre aux aménageurs d intégrer l archéologie
Afi n de permettre aux aménageurs d intégrer l archéologie préventive en amont de leurs projets, l article L.522-4 du Code du patrimoine prévoit une alternative à la prescription de diagnostic qui consiste
Plus en détailLcommunales. es archives
Lcommunales es archives rchives es archives communales Les archives sont l ensemble des documents quels que soient leur date, leur forme et leur support matériel, produits ou reçus par toute personne physique
Plus en détailL ARCHÉOLOGIE EN QUESTIONS
L ARCHÉOLOGIE EN QUESTIONS Sommaire AVANT-PROPOS L ARCHEOLOGIE ET SES METHODES 1. Qu est-ce que l archéologie? 2. Comment procèdent les archéologues? 3. Comment connaître la richesse du sous-sol en vestiges
Plus en détailLes mentions et abréviations employées se lisent donc de la façon suivante :
CIRCULAIRE AD 94-2 DU 18 JANVIER 1994 Tri et conservation des archives des établissements publics de santé : documents produits après 1968 par les services administratifs chargés de la gestion des hospitalisations
Plus en détailDécrets, arrêtés, circulaires
1 er juin 2011 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 8 sur 152 Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE L ÉCOLOGIE, DU DÉVELOPPEMENT DURABLE, DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT
Plus en détailInrap / Procédures réglementaires
Procédures réglementaires DIAGNOSTIC Étape 1 Prescription Sont présumés faire l objet de prescriptions archéologiques préalablement à leur réalisation tous les projets d aménagements affectant ou susceptibles
Plus en détailCONTRAT DE PRESENCE POSTALE TERRITORIALE 2014-2016
Département Administration Paris, le 3 mars 2014 et Gestion Communales VP/AH/Note 11 Affaire suivie par Véronique PICARD CONTRAT DE PRESENCE POSTALE TERRITORIALE 2014-2016 La continuité - maintien du montant
Plus en détailSur la stratégie immobilière de la chambre de commerce et d industrie de Marseille Provence (CCIMP).
2014-25 Séance du 17 septembre 2014 AVIS Sur la stratégie immobilière de la chambre de commerce et d industrie de Marseille Provence (CCIMP). Vu le décret n 2011-1388 du 28 octobre 2011 modifiant le décret
Plus en détailCONDITIONS GENERALES D ENREGISTREMENT ET DE GESTION D UN NOM DE DOMAINE NFRANCE CONSEIL
CONDITIONS GENERALES D ENREGISTREMENT ET DE GESTION D UN NOM DE DOMAINE NFRANCE CONSEIL ARTICLE 1 - DEFINITIONS Nom de domaine : Nom unique désignant un ou plusieurs sites ou services sur Internet Adresse
Plus en détailASSOCIATION HISTORIQUE DU TEMPLE DE PARIS. www.templedeparis.fr
ASSOCIATION HISTORIQUE DU TEMPLE DE PARIS 40 rue des Blancs Manteaux - 75004 Paris www.templedeparis.fr STATUTS DE L ASSOCIATION Article 1 Titre Il est constitué entre les adhérents aux présents statuts
Plus en détailEtat des lieux de l accès aux plateformes de génétique moléculaire
12 juin 2014 Etat des lieux de l accès aux plateformes de génétique moléculaire CONTEXTE ET OBJECTIFS DE l ETUDE : L action 6.2 du plan cancer 3 «conforter l accès aux tests moléculaires» stipule en particulier
Plus en détailLES METIERS DES ARCHIVES
, Juillet 2011 LES METIERS DES ARCHIVES Un document réalisé par le SIOU Campus Croix-Rouge SIOU-BAIP - Rue Rilly-la-Montagne 51100 REIMS 03.26.91.87.55 mail : siou.campuscroixrouge@univ-reims.fr Sommaire
Plus en détailLes dispositions à prendre lors de la prise de fonction du tuteur
TRIBUNAL D INSTANCE D AMIENS Les dispositions à prendre lors de la prise de fonction du tuteur Ces dispositions ne concernent pas les renouvellements à l identique des mesures de tutelle. Par contre, si
Plus en détailNotice UTILISATION DE SOURCES RADIOACTIVES (domaine non médical)
IND/RN/001/NT03 Notice UTILISATION DE SOURCES RADIOACTIVES (domaine non médical) Renouvellement, modification ou annulation de l autorisation I DEMANDE DE RENOUVELLEMENT D UNE AUTORISATION...3 I.1 Rappels...3
Plus en détailTITRE I. Dispositions générales. Institut français du cheval et de l équitation. Terrefort BP 207-49411 Saumur cedex
Cahier des charges pour l affermage d un gîte équestre au sein du Haras national d Uzès Date limite de remise des candidatures le 11 janvier 2013 1 TITRE I Dispositions générales Article 1 er : Personne
Plus en détailSécurisation de l hébergement et de la maintenance du plateau collaboratif d échange (PCE) du plan Loire III
Sécurisation de l hébergement et de la maintenance du plateau collaboratif d échange (PCE) du plan Loire III Depuis 2008, l Etablissement assure la mise en place du plateau collaboratif d échange Intranet/Internet
Plus en détailSynthèse Assurance, responsabilité civile
Synthèse Assurance, responsabilité civile SJE/mai 2013 REMARQUES PRELIMINAIRES : 1) Dans le cadre de sa mission d aide sociale à l enfance le Conseil général se voit confier des enfants. Le Département
Plus en détail«Tempête Klaus du 24 janvier 2009 : conditions d indemnisation et de réparation des dommages» des précisions sur les conditions d indemnisation
Le Ministère de l Economie de l Industrie et de l Emploi, la Fédération Française des Sociétés d Assurances et le Groupement des Entreprises Mutuelles d Assurances, diffusent un dépliant intitulé : «Tempête
Plus en détailDécision du Défenseur des droits MDE-MSP-2014-187
Décision du Défenseur des droits MDE-MSP-2014-187 RESUME ANONYMISE DE LA DECISION Décision de recommandations - article 25 de la loi organique Domaine(s) de compétence de l Institution : Défense des droits
Plus en détailGUIDE PRATIQUE SUCCESSION
GUIDE PRATIQUE SUCCESSION Vous venez d'hériter. Il s'agit d'une situation difficile et douloureuse pour laquelle diverses démarches doivent être faites. Les questions que vous vous posez sont nombreuses
Plus en détailLa coopération internationale au service de la sûreté des collections - Journée d étude du 14 mai 2004 - BnF/ réseau LIBER
Les bases de données, outil de lutte contre le trafic des biens culturels. Présentation de la base TREIMA de l Office Central de lutte contre le trafic des Biens Culturels par Bernard Darties, commandant
Plus en détailDe nouveaux indicateurs pour suivre la construction de logements
COMMISSARIAT GénéRAl au développement durable n spécial Février 2015 De nouveaux indicateurs pour suivre la construction de logements OBSERVATION ET STATISTIQueS logement - CONSTRuCTION Le SOeS diffuse
Plus en détailMise en place des contrats (document joint)
CONTRATS DE PRETS PERSONNES MORALES CONDITIONS SPECIFIQUES ET MODIFICATIONS 2013 Conditions de mise en œuvre I - ETABLISSEMENT DES CONTRATS DE PRETS A TAUX VARIABLE Mise en place des contrats (document
Plus en détailRapport d évaluation de la licence professionnelle
Section des Formations et des diplômes Rapport d évaluation de la licence professionnelle Gestion du temps de travail et des rémunérations de l Université Montpellier 2 Sciences et techniques UM2 Vague
Plus en détailConditions de prêt pour l exposition d objets archéologiques
>> Agathe MULOT Gaëlle HAROUARD Régisseurs des collections 03 90 58 55 76 agathe.mulot@pair-archeologie.fr gaelle.harouard@pair-archeologie.fr Conditions de prêt pour l exposition d objets archéologiques
Plus en détailLes dispositions à prendre en cours de fonction
TRIBUNAL D INSTANCE D AMIENS Les dispositions à prendre lors de la prise de fonction de Curateur dans le cadre d une curatelle dite renforcée (article 472 du code civil) Ces dispositions ne concernent
Plus en détailRèglement financier et de Gestion de la F.F.S.B.
Règlement financier et de Gestion de la F.F.S.B. du 26/02/2005 modifié les 15/03/2008, 21/04/2012 et 22/02/2014 I.REGLEMENT FINANCIER PREAMBULE La Fédération Française du Sport Boules, bénéficiant d une
Plus en détailLe régime juridique qui est contractuellement attaché aux
La rédaction des clauses relatives aux biens dans les DSP La question des biens au sein des de délégation de service public nourrit de nombreux contentieux devant le juge administratif. L une des problématiques
Plus en détailÉTABLISSEMENT CITÉ DE LA CÉRAMIQUE SÈVRES & LIMOGES DÉPARTEMENT DU PATRIMOINE ET DES COLLECTIONS 2, place de la Manufacture 92310 Sèvres
ÉTABLISSEMENT CITÉ DE LA CÉRAMIQUE SÈVRES & LIMOGES DÉPARTEMENT DU PATRIMOINE ET DES COLLECTIONS 2, place de la Manufacture 92310 Sèvres MARCHE PUBLIC DE SERVICES Prestations de conservation-restauration
Plus en détailOBJET : FORMULES DE FINANCEMENT EN PREVISION D OBSEQUES.
MINISTERE DE L INTERIEUR ET DE L AMENAGEMENT DU TERRITOIRE MINISTERE DE L ECONOMIE, DES FINANCES ET DE L INDUSTRIE Paris, le 20/12/06 Le Ministre d Etat, ministre de l'intérieur et de l aménagement du
Plus en détailSOMMAIRE PREFECTURE DES PYRENEES-ORIENTALES DIRECTION DEPARTEMENTALE DES FINANCES PUBLIQUES. Cabinet
SOMMAIRE PREFECTURE DES PYRENEES-ORIENTALES Cabinet. Arrêté PREF/CABINET/BC/2015244-0001 du 1 er septembre 2015 modifiant l'arrêté n PREF/CABINET/BC/2015238-0001 du 26 août 2015 portant désignation des
Plus en détailHôtel de Caumont. Centre d Art - Aix-en-Provence DOSSIER DE MÉCENAT
Hôtel de Caumont Centre d Art - Aix-en-Provence DOSSIER DE MÉCENAT Ouverture printemps 2015 Un nouveau centre d art au cœur du patrimoine aixois Aix-en-Provence, capitale culturelle de la Provence au rayonnement
Plus en détailCours VI : VIE POLITIQUE LOCALE, RELATIONS ENTRE SOCIETE CIVILE ET POUVOIR POLITIQUE
Cours VI : VIE POLITIQUE LOCALE, RELATIONS ENTRE SOCIETE CIVILE ET POUVOIR POLITIQUE INTRODUCTION : Les collectivités territoriales Depuis la révision constitutionnelle du 28 mars 2003, sont définies comme
Plus en détailANNEXE 1 RÈGLEMENTS GÉNÉRAUX 1 ASSOCIATION DES ARCHÉOLOGUES PROFESSIONNELS DU QUÉBEC (AAQ) CODE D ÉTHIQUE ET DES NORMES PROFESSIONNELLES
ANNEXE 1 RÈGLEMENTS GÉNÉRAUX 1 ASSOCIATION DES ARCHÉOLOGUES PROFESSIONNELS DU QUÉBEC (AAQ) CODE D ÉTHIQUE ET DES NORMES PROFESSIONNELLES Ce code fait partie intégrante du règlement de l'association des
Plus en détailMutuelle Retraite Européenne N SIREN 477 908 305 STATUTS RÈGLEMENTS. M E RMutuelle Retraite Européenne
Mutuelle Retraite Européenne N SIREN 477 908 305 2015 STATUTS RÈGLEMENTS M E RMutuelle Retraite Européenne Statuts MRE applicables à compter du 01/01/2015 Titre I ER - Formation, Objet et composition
Plus en détailMAIRIE DE BRENNILIS LE BOURG 29690 BRENNILIS EXTRAIT DU REGISTRE DES DÉLIBÉRATIONS DU CONSEIL MUNICIPAL DE BRENNILIS.
MAIRIE DE BRENNILIS LE BOURG 29690 BRENNILIS EXTRAIT DU REGISTRE DES DÉLIBÉRATIONS DU CONSEIL MUNICIPAL DE BRENNILIS. L'an deux mille douze, le 7 janvier à 10h30. Le Conseil Municipal de BRENNILIS, dûment
Plus en détailBULLETIN OFFICIEL DES ARMÉES. Édition Chronologique n 13 du 14 mars 2014. PARTIE PERMANENTE Administration Centrale. Texte 3
BULLETIN OFFICIEL DES ARMÉES Édition Chronologique n 13 du 14 mars 2014 PARTIE PERMANENTE Administration Centrale Texte 3 PROTOCOLE D'ACCORD portant sur la mise en œuvre d une information générale sur
Plus en détailMESDAMES ET MESSIEURS LES DIRECTEURS ET CHEFS DE SERVICE
MESDAMES ET MESSIEURS LES DIRECTEURS ET CHEFS DE SERVICE PPRS/SEC//BR/DS/PP/DSA/N 12-04 Danielle SOULAT 01 43 93 84 77 POUR DIFFUSION AUX AGENTS POSTE A POURVOIR : CHEF DE PROJET ARCHIVAGE ET SYSTEME D
Plus en détailBilan d activité des Groupes d Entraide Mutuelle (GEM) Année 2011. Caisse Nationale de Solidarité pour l Autonomie
Bilan d activité des Groupes d Entraide Mutuelle (GEM) Année 2011 Caisse Nationale de Solidarité pour l Autonomie Préambule : Les Groupes d Entraide Mutuelle (GEM), régis par les articles L. 114-1-1 et
Plus en détailautonome loi 1901 A. CREATION DE L ASSOCIATION Une Coopérative scolaire peut se constituer en Association autonome.
INFORMATIONS LEGALES ET REGLEMENTAIRES EN MATIERE DE FONCTIONNEMENT D'UNE COOPERATIVE SCOLAIRE SELON LA FORME JURIDIQUE (Circ. n 2008-095 du 23/07/2008) Association : ce que dit la loi 1901 La Constitution
Plus en détailVersion consolidée AUTORITÉ DE CONTRÔLE PRUDENTIEL ----- Règlement intérieur du Collège. Chapitre 1 er Composition des formations
Version consolidée AUTORITÉ DE CONTRÔLE PRUDENTIEL ----- Règlement intérieur du Collège Article 1 er Chapitre 1 er Composition des formations Les membres composant le Collège restreint, les sous-collèges
Plus en détailGestion du programme d assurances de Lozère Développement. Dossier de consultation
Gestion du programme d assurances de Lozère Développement Dossier de consultation Cahier des clauses techniques particulières LD/SO/ND Lozère Développement Consultation Assurances CCTP 19/10/2010 1 /10
Plus en détailLes diagnostics territoriaux à 360 du sans abrisme au mal logement : démarche, objectifs et synthèse régionale
Les diagnostics territoriaux à 360 du sans abrisme au mal logement : démarche, objectifs et synthèse régionale Journée d étude «Les personnes sans chez soi» 29 mai 2015 2 Sommaire I. La démarche de diagnostic
Plus en détailPartenaires Titre du périodique Edition/années parution Cote NUM Années numérisées Thèmes
APPEL À INITIATIVES 2011-2012 «NUMERISATION CONCERTEE EN ARTS» Périodiques en arts numérisés par les partenaires de la BnF ( et pôles associés) accessibles dans Gallica prochainement Pour une aide à la
Plus en détailLes nouvelles obligations en matière de transparence financière des Comités d Entreprise Loi du 5 mars 2014 :
Les nouvelles obligations en matière de transparence financière des Comités d Entreprise Loi du 5 mars 2014 : Situation antérieure et obligations prochaines www.semaphores.fr Situation antérieure à la
Plus en détailGuide pratique de l archéologie préventive à l usage de l aménageur en Alsace
Guide pratique de l archéologie préventive à l usage de l aménageur en Alsace L archéologie préventive pas à pas... Le document d urbanisme Les diagnostics Les fouilles Les financements La médiation culturelle
Plus en détailGrenelle de l environnement BONUS ECOLOGIQUE
Grenelle de l environnement BONUS ECOLOGIQUE N 51243#03 Décret n 2010-1618 du 23 décembre 2010 modifiant le décret n 2007-1873 du 26 décembre 2007 instituant une aide à l acquisition des véhicules propres
Plus en détailN 1619 ASSEMBLÉE NATIONALE PROJET DE LOI
Document mis en distribution le 21 avril 2009 N 1619 ASSEMBLÉE NATIONALE CONSTITUTION DU 4 OCTOBRE 1958 TREIZIÈME LÉGISLATURE Enregistré à la Présidence de l Assemblée nationale le 15 avril 2009. PROJET
Plus en détailAUDIT FRANCE ASSOCIATION DEPARTEMENTALE DES FRANCAS DE L HERAULT. Association loi 1901 Siège social : 27 rue Lafeuillade 34070 MONTPELLIER
AUDIT FRANCE ASSOCIATION DEPARTEMENTALE DES FRANCAS DE L HERAULT Association loi 1901 Siège social : 27 rue Lafeuillade 34070 MONTPELLIER EXERCICE CLOS LE 31 DECEMBRE 2010 RAPPORT DU COMMISSAIRE AUX COMPTES
Plus en détailAccueil des PC. Le Parent correspondant. Le parent correspondant au collège. Vérifier vos coordonnées Emarger Prendre un café, un thé
Accueil des PC Vérifier vos coordonnées Emarger Prendre un café, un thé Le parent correspondant au collège Représenter, Accueillir, Animer, Informer Le Parent correspondant Il est nommé pour l année scolaire,
Plus en détailMusées et paysages culturels
La Charte de Sienne Musées et paysages culturels Proposée par l ICOM Italie le 7 juillet 2014 à la Conférence internationale de Sienne 1. Le paysage italien Le paysage italien est le pays que nous habitons,
Plus en détailde la consultation «innover et simplifier avec les agents publics»
Bilan de la consultation «innover et simplifier avec les agents publics» Premier ministre SECRÉTARIAT GÉNÉRAL POUR LA MODERNISATION DE L ACTION PUBLIQUE La participation des agents à la modernisation de
Plus en détailOPERATIONS NON BUDGETAIRES
OPERATIONS NON BUDGETAIRES 1 Dotation ou apport 2 Affectation services non dotés de la personnalité morale 3 Affectation services dotés de la personnalité morale 4 Désaffectation ou retour d un bien affecté
Plus en détailBudget participatif des lycées. Règlement d intervention
3 CR 72-12 Budget participatif des lycées Règlement d intervention Préambule : La mise en œuvre du budget participatif des lycées manifeste la volonté de la région de poursuivre la démarche de dialogue
Plus en détailDELIBERATION N 12-1478 29 OCTOBRE 2012
DELIBERATION N 12-1478 29 OCTOBRE 2012 FONCIER Interventions foncières stratégiques Dispositif régional en sortie de portage de l'etablissement Public Foncier Provence-Alpes-Côte d'azur (EPF PACA) Affectation
Plus en détailACTUALITÉS ASSURANCES & RISQUES FINANCIERS
Le pôle Assurances du cabinet Lefèvre Pelletier & associés vous souhaite une très bonne année 2009 ainsi qu une agréable lecture de cette troisième Newsletter. Assurances Assurance en général Assurance
Plus en détailLOIS. LOI n o 2014-617 du 13 juin 2014 relative aux comptes bancaires inactifs et aux contrats d'assurance vie en déshérence (1) NOR : FCPX1402615L
LOIS LOI n o 2014-617 du 13 juin 2014 relative aux comptes bancaires inactifs et aux contrats d'assurance vie en déshérence (1) NOR : FCPX1402615L L Assemblée nationale et le Sénat ont adopté, Le Président
Plus en détailInfrastructure / réseau / sécurité /support utilisateur
Présentation du PSIR Pôle regroupant normalement 7 personnes (5 personnes actuellement) Les quatre axes de spécialisation du service sont: Pôle infrastructure et réseau ; Banques de données et données
Plus en détailREGLEMENT INTERIEUR ARTICLE 1 : ADMISSION DES MEMBRES ARTICLE 2 : DEMISSION-RADIATION
COCuMONT Mémoire et Patrimoine REGLEMENT INTERIEUR ARTICLE 1 : ADMISSION DES MEMBRES 1.1. Membres actifs : Les membres actifs sont admis lors du paiement de la cotisation annuelle. Ils bénéficient de tous
Plus en détailLe maintien du niveau de vie après le divorce : la prestation compensatoire. Secrétariat général du Conseil d orientation des retraites
CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 27 juin 2007 à 9 h 30 «Niveau de vie, veuvage et divorce» Document N 02 Document de travail, n engage pas le Conseil Le maintien du niveau de vie
Plus en détailLA BASE DE DONNÉES PATRIMOINE IMMOBILIER, MOBILIER ET
LA BASE DE DONNÉES PATRIMOINE IMMOBILIER, MOBILIER ET IMMATÉRIEL DU QUÉBEC ET LE RÉPERTOIRE DU PATRIMOINE CULTUREL DU QUÉBEC. ÉTAT DES LIEUX ET PERSPECTIVES POUR L INVENTAIRE DU PATRIMOINE IMMATÉRIEL.
Plus en détailDELIBERATION DU CONSEIL REGIONAL
Erreur! Argument de commutateur inconnu. DELIBERATION N DELIBERATION DU CONSEIL REGIONAL DELIBERATION DU CONSEIL REGIONAL LE CONSEIL REGIONAL LANGUEDOC-ROUSSILLON, VU le Code général des collectivités
Plus en détailPASS CULTURE SPORT REGLEMENT D INTERVENTION
PASS CULTURE SPORT REGLEMENT D INTERVENTION OBJET A travers ce dispositif, la Région souhaite : Démocratiser l accès à la culture Faire du dispositif un véritable outil d ouverture culturelle Valoriser
Plus en détailDécrets, arrêtés, circulaires
Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SPORTS Ordonnance n o 2010-18 du 7 janvier 2010 portant création d une agence nationale chargée de la sécurité sanitaire de l
Plus en détailMINISTÈRE DE LA FONCTION PUBLIQUE. Réforme des retraites. La validation des services des non titulaires
MINISTÈRE DE LA FONCTION PUBLIQUE Réforme des retraites La validation des services des non titulaires LA VALIDATION DES SERVICES DE NON TITULAIRES DGAFP 21 avril 2005 1 SOMMAIRE LES TEXTES 3 LES PERSONNELS
Plus en détailLes bases de données en ligne
Les bases de données en ligne Information-documentation, 1 ère Bac pro et BTSA La liste des bases de données présentées ici n est pas exhaustive. A vous de développer votre connaissance des sites Internet
Plus en détailDOSSIER DE PRESSE 2015
DOSSIER DE PRESSE 2015 La création de Séminaire en Narbonnais Le 20 mars 2009, l association Séminaire en Narbonnais a été créée lors de son Assemblée générale constitutive. Séminaire en Narbonnais est
Plus en détailMaintenance des installations d éclairage public. Rapport annuel consolidé 2013. sur 163 communes. Syndicat Départemental d Energie
Maintenance des installations d éclairage public Rapport annuel consolidé 2013 sur 163 communes Syndicat Départemental d Energie Sommaire Sommaire... 1 I Préambule... 2 L entretien préventif annuel...
Plus en détailASSEMBLÉE NATIONALE PROJET DE LOI
TEXTE ADOPTÉ n 40 «Petite loi» ASSEMBLÉE NATIONALE CONSTITUTION DU 4 OCTOBRE 1958 QUATORZIÈME LÉGISLATURE SESSION ORDINAIRE DE 2012-2013 21 novembre 2012 PROJET DE LOI relatif à la mise en œuvre du principe
Plus en détailBULLETIN. Officiel. Emploi Travail. Formation. professionnelle. Dialogue social. Ministère du travail, de l emploi,
Ministère du travail, de l emploi, de la formation professionnelle et du dialogue social BULLETIN Officiel N o 12-30 décembre 2012 Emploi Travail DIRECTION DE L INFORMATION LÉGALE ET ADMINISTRATIVE 26,
Plus en détailCONVENTION DE MISE A DISPOSITION DE LOCAUX DE REPARTITION DE CHARGES ET DE COMPETENCES
CONVENTION DE MISE A DISPOSITION DE LOCAUX DE REPARTITION DE CHARGES ET DE COMPETENCES Vu le Code Général de la Propriété des Personnes Publiques (CG3P), Vu l article L.2122-22 5 du Code Général des Collectivités
Plus en détailSynthèse de la CNCH du 19 juin 2008
ACTIONS EN MATIÈRE D'INTÉGRATION DES PERSONNES HANDICAPÉES DU MINISTÈRE DE LA CULTURE ET DE LA COMMUNICATION Synthèse de la CNCH du 19 juin 2008 LE CONTEXTE La Commission nationale Culture-Handicap La
Plus en détailDOCUMENT D'AIDE A L'ETABLISSEMENT D'UN DOSSIER DE DEMANDE DE SUBVENTION
DOCUMENT D'AIDE A L'ETABLISSEMENT D'UN DOSSIER DE DEMANDE DE SUBVENTION La Région a inscrit dans ses priorités le soutien aux associations de Provence-Alpes-Côte d'azur. Les différents volets d'interventions
Plus en détailMINISTÈRE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTÉ ADMINISTRATION. Commission nationale de l informatique et des libertés
ADMINISTRATION Autorités administratives indépendantes et établissements sous tutelle CNIL Commission nationale de l informatique et des libertés _ Délibération n o 2013-255 du 19 septembre 2013 portant
Plus en détailLES MODIFICATIONS DE L INSTRUCTION M 14 ET M 4
Décembre 2003 Département Finances Développement Économique LES MODIFICATIONS DE L INSTRUCTION M 14 ET M 4 APPLICABLES A COMPTER DU 1 ER JANVIER 2004 Le Comité de Finances Locales, lors de sa séance du
Plus en détail«Une bonne thèse répond à une question très précise!» : comment l enseigner?
«Une bonne thèse répond à une question très précise!» : comment l enseigner? Congrès du CNGE Angers Novembre 2008 Sébastien Cadier*, Isabelle Aubin**, Pierre Barraine* *Département de médecine générale
Plus en détailPrésentation des guides d audit et du processus d audit d un réseau académique de formation continue
Décembre 2011 Inspection générale de l'administration de l'éducation nationale et de la Recherche Inspection générale de l'éducation nationale Présentation des guides d audit et du processus d audit d
Plus en détailPersonnes et familles. transmettre. la donation. www.notaires.paris-idf.fr
Personnes et familles transmettre www.notaires.paris-idf.fr Transmettre «Donner c est donner». La donation est un acte important car le donateur transmet immédiatement et définitivement la propriété des
Plus en détailJORF n 0283 du 5 décembre 2008. Texte n 19
Le 5 décembre 2008 JORF n 0283 du 5 décembre 2008 Texte n 19 ARRETE Arrêté du 4 décembre 2008 fixant le cadre des transferts de livrets A en application du 4 du I de l article 146 de la loi n 2008-776
Plus en détailINSTRUCTION. N 10-003-M9 du 29 janvier 2010 NOR : BCF Z 10 00013 J MODERNISATION DES PROCÉDURES DE DÉPENSES ANALYSE
INSTRUCTION N 10-003-M9 du 29 janvier 2010 NOR : BCF Z 10 00013 J MODERNISATION DES PROCÉDURES DE DÉPENSES ANALYSE Paiement avant service fait et/ou sans ordonnancement préalable Date d application : 29/01/2010
Plus en détailÉdition : La Direction des communications du ministère de la Santé et des Services sociaux
Planification, performance et qualité Guide d élaboration des cadres de gestion des banques de données et de matériel biologique constituées à des fins de recherche Unité de l Éthique Octobre 2012 Rédaction
Plus en détailMutualisation des compétences
Premières Rencontres richesses humaines associatives 2 & 3 décembre 2014 ATELIER PROSPECTIF Mutualisation des compétences DEFINITIONS Mutualisation La mutualisation se définit comme la synergie entre deux
Plus en détailRèglement de Consultation (RC)
DIRECTION DES FINANCES ET DE LA COMMANDE PUBLIQUE SERVICE COMMUN DE LA COMMANDE PUBLIQUE -------------------------------------- MARCHE PUBLIC DE MAITRISE D'OEUVRE Règlement de Consultation (RC) -------------------------------------
Plus en détailVOUS ÊTES TUTEUR D UNE PERSONNE MAJEURE
VOUS ÊTES TUTEUR D UNE PERSONNE MAJEURE LES PREMIÈRES DÉMARCHES Devenir tuteur familial Une gestion prudente et avisée Vous venez d être nommé tuteur d un majeur à protéger La tutelle est un régime de
Plus en détailGUIDE DE L'ARCHIVAGE OCTOBRE 2012
GUIDE DE L'ARCHIVAGE OCTOBRE 2012 SOMMAIRE - Introduction Page 1 - Coordonnées du service d Archives de l INSERM Page 2 - Glossaire Page 3 - Les archives dans les bureaux Page 4 - Les archives administratives
Plus en détailAdjoint technique Territorial Principal de 2ème classe des établissements d enseignement
Filière Technique Edition Août 2012 Adjoint technique Territorial Principal de 2ème classe des établissements d enseignement Catégorie C Services concours Centres de Gestion Languedoc- Roussillon www.cdg-lr.fr
Plus en détailEmis le : 5/08/2011 Mis à jour : 10/2014
Emetteur : CRMA Limousin Page 1 sur 6 1. Quelle réglementation s applique à mon entreprise? Emis le : 5/08/2011 Toute entreprise artisanale ou industrielle est soumise au règlement sanitaire départemental.
Plus en détailDOSSIER DE DEMANDE D AIDE INDIVIDUELLE A LA CREATION
PRÉFET DE LA RÉUNION Direction des affaires culturelles océan Indien Service du développement culturel Affaire suivie par Service Arts-plastiques Poste 02 62 21 90 69 Références AIC 2015 DOSSIER DE DEMANDE
Plus en détailÉDUCATION Côtes d Armor. Collèges publics. Charte de la restauration collective DIRECTION JEUNESSE PATRIMOINE IMMOBILIER
ÉDUCATION Côtes d Armor Collèges publics DIRECTION ÉDUCATION JEUNESSE PATRIMOINE IMMOBILIER Charte de la restauration collective Préambule Dans le cadre de l article 82 de la loi du 13 août 2004, le Département
Plus en détailINNOVATION ET HABITAT PARTICIPATIF :
INNOVATION ET HABITAT PARTICIPATIF : Complément au chapitre VII «Valorisation du Patrimoine Régional et Projets Innovants» du cadre d intervention régional sur l habitat et le logement, adopté par délibération
Plus en détailMédiation des relations inter-entreprises industrielles et de la sous-traitance
Médiation des relations inter-entreprises industrielles et de la sous-traitance Septembre 2010 1 SOMMAIRE 1. Présentation de la Médiation des relations inter-entreprises industrielles et de la soustraitance
Plus en détailMesdames et messieurs les préfets de région (pour exécution),
Ministère de l écologie, du développement durable, des transports et du logement Ministère du budget, des comptes publics et de la réforme de l Etat Ministère de l intérieur, de l outre-mer, des collectivités
Plus en détailLA FIN DE DÉTACHEMENT SUR EMPLOI FONCTIONNEL QUAND LES TALENTS GRANDISSENT, LES COLLECTIVITÉS PROGRESSENT
LA FIN DE DÉTACHEMENT SUR EMPLOI FONCTIONNEL QUAND LES TALENTS GRANDISSENT, LES COLLECTIVITÉS PROGRESSENT LA FIN DE DÉTACHEMENT SUR EMPLOI FONCTIONNEL SOMMAIRE LES EMPLOIS CONCERNÉS... 4 LA PROCÉDURE...
Plus en détailSRAL Saint Raphaël. Maison des associations 213, rue de la Soleillette 83700 Saint Raphaël. : 06 26 56 41 85 - : dromain.jean-pierre@neuf.
SRAL Saint Raphaël Maison des associations 213, rue de la Soleillette 83700 Saint Raphaël : 06 26 56 41 85 - : dromain.jean-pierre@neuf.fr Document réalisé par Jean Pierre DROMAIN Pour servir de support
Plus en détail