L EAU DANS LES ETABLISSEMENTS DE SANTE

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "L EAU DANS LES ETABLISSEMENTS DE SANTE"

Transcription

1 CONFERENCE - DEBAT REUNION DU 30 MARS 2006 L EAU DANS LES ETABLISSEMENTS DE SANTE En partenariat avec : M. J NAITYCHIA / M. B LE FALHER A.P.H.P. M. P PARIS ANTAGUA-U.A.E. / M. J BARON C.R.E.C.E.P. Mme H PAQUET Sté PERMO / M. G GAUTIER Sté PIEL M. G SIMONET Sté MAGNUM/ Mme G PERRET Sté SALMSON M. C BONNET Sté AQUAROTTER / M. L NICOLAI Sté SOGOBA PARTIE 1 : LES EAUX TECHNIQUES / LES EAUX DITES HOTELIERES Besoins quantitatifs en eau, Qualitatif des besoins en eau, Composant des eaux naturelles, Nature des traitements des eaux, Surveillance de la qualité des eaux, Les eaux dites hôtelières, Les eaux techniques, Les eaux à usage de soins et d hygiène des patients. Rédacteur du dossier : Philippe DUPOUY

2 REUNION DU 30 MARS 2006 L EAU DANS LES ETABLISSEMENTS DE SANTE En partenariat avec : M. J NAITYCHIA / M. B LE FALHER A.P.H.P. M. P PARIS ANTAGUA-U.A.E. / M. J BARON C.R.E.C.E.P. Mme H PAQUET Sté PERMO / M. G GAUTIER Sté PIEL M. G SIMONET Sté MAGNUM/ Mme G PERRET Sté SALMSON M. C BONNET Sté AQUAROTTER / M. L NICOLAI Sté SOGOBA PARTIE 1 : LES EAUX TECHNIQUES / LES EAUX DITES HOTELIERES PRINCIPES GENERAUX Ø L Eau est un élément essentiel au fonctionnement des Etablissements de Santé. Toutefois, elle peut constituer une source d infections graves en cas de contamination, particulièrement pour les patients les plus fragiles. Ø La connaissance des installations de distribution des eaux et des causes de la dégradation de la qualité de l eau est un préalable indispensable à la mise en œuvre d une démarche de la maîtrise des risques d origine hydrique. Rédacteur du dossier : Philippe DUPOUY L EAU DANS LES ETABLISSEMENTS DE SANTE /03/2006 Page 2 sur 18

3 PARTIE 1 : LES EAUX TECHNIQUES / LES EAUX DITES HOTELIERES SOMMAIRE BESOINS QUALITATIFS DES EAUX... 4 TECHNOLOGIE DES EAUX BESOINS QUANTITATIFS DES EAUX, SECTEURS D UTILISATION, TECHNOLOGIES DES TRAITEMENTS TYPOLOGIE DES DIFFERENTES CATEGORIES DES EAUX LES EAUX TECHNIQUES LES EAUX DITES HOTELLIERES CONCLUSION L EAU DANS LES ETABLISSEMENTS DE SANTE /03/2006 Page 3 sur 18

4 PARTIE 1 : LES EAUX TECHNIQUES / LES EAUX DITES HOTELIERES BESOINS QUALITATIFS DES EAUX 1) QUALITE DES EAUX L EAU EST UN ELEMENT INDISPENSABLE AU FONCTIONNEMENT D UN ETABLISSEMENT DE SANTE Ø L Eau est un élément essentiel au fonctionnement des Etablissements de Santé. Toutefois, elle peut constituer une source d infections graves en cas de contamination, particulièrement pour les patients les plus fragiles. Les principaux risques sanitaires liés à l utilisation de l eau dans les Etablissements de Santé doivent être identifiés et évalués afin de déterminer les moyens à mettre en œuvre pour maîtriser les risques. Ø La maîtrise de la qualité de l eau dans les Etablissements de Santé repose sur une démarche globale de la gestion du risque, intégrant notamment les recommandations techniques et sanitaires, mais également les contraintes logistiques, techniques et économiques et les spécificités propres à chaque Etablissement. La connaissance des installations de distributions des eaux et des causes de la dégradation de la qualité de l eau est un préalable indispensable à la mise en œuvre d une démarche de la maîtrise des risques d origine hydrique. 2) SURVEILLANCE DE LA QUALITE DES EAUX Le but de la démarche est d obtenir et de maintenir les objectifs de la qualité de l eau tout au long de la distribution. Pour être efficace et durable, la gestion de l eau dans un Etablissement de Santé doit s inspirer de la démarche générale de l assurance qualité. Sont concernés : Ø Les procédés de traitements, Ø Les réseaux, Ø Les points d usage. Les causes de dégradation de la Qualité de l Eau sont liées à la conception et à l entretien des installations, d une part le réseau interne de distribution et, d autre part, les points de puisage. La maîtrise de la qualité passe donc nécessairement par un plan d entretien et de surveillance des réseaux, mais aussi des points de puisage. Toute dérive de la Qualité de l Eau doit faire l objet d une alerte et conduire à la recherche de la cause par des investigations supplémentaires. Si l anomalie est confirmée, une action corrective doit être entreprise et après celle-ci, une nouvelle analyse permettra d évaluer l efficacité de la correction. L EAU DANS LES ETABLISSEMENTS DE SANTE /03/2006 Page 4 sur 18

5 Le rôle des germes hydriques dans la survenue d infections nosocomiales est assez mal connu sauf pour quelques cas bien documentés. En effet, même dans les cas où les germes à l origine d une infection nosocomiale sont détectés dans l eau, il est souvent difficile d expliquer le schéma de la transmission. Malgré ces incertitudes, le rôle de l eau dans la transmission possible d une infection nosocomiale doit être pris en compte afin de protéger les patients, en particulier les plus fragiles. Les interventions à conduire sur les installations de distribution de l eau doivent tendre à maîtriser une qualité de l eau, tout en conservant une forme d équilibre écologique entre diverses espèces micro-biennes, par la mise en œuvre d actions ayant démontré leur efficacité. Il convient d adopter une attitude réfléchie pour la conception d un réseau et de son entretien, mais également lors d un éventuel problème survenant au cours de son exploitation. Céder à la tentation d essayer le produit ou le procédé censé résoudre tout problème peut s avérer être un remède ayant parfois des conséquences pire que le mal initial. Une réflexion sur la balance coût/bénéfice de certains investissements paraît également souhaitable. 3) AMELIORATION DE LA QUALITE DES EAUX La maîtrise des risques sanitaires d origine hydrique repose sur la mise en place d un programme d amélioration de la qualité de l eau en deux étapes essentielles telles que l évaluation et la gestion des risques : Ø L évaluation des risques qui doit permettre de quantifier le risque correspondant à une exposition donnée. Cette évaluation comporte les étapes suivantes : - l identification du danger, - la caractérisation du danger, - l évaluation et la caractérisation du risque. Toutefois, dans les Etablissements de Santé, une estimation de ce risque est souvent suffisante. Les principaux dangers et risques liés à l utilisation de l Eau dans les Etablissements de Santé sont décrits ci-dessous. Ø La gestion du risque a pour but de déterminer et de remettre en œuvre les moyens techniques et organisationnels permettant de maîtriser les risques. Cette gestion comprend particulièrement les éléments suivants : - la connaissance des installations de distribution de l eau et des principaux modes de défaillance, - la définition des critères de la qualité de l Eau et de ses usages, - la mise en place des mesures préventives, tels qu une bonne conception, une parfaite réalisation, une maintenance et un entretien adaptés des installations des Eaux, - la mise en œuvre d actions correctives pour éviter la réapparition des dysfonctionnements, - la mise en œuvre d actions curatives pour apporter une solution immédiate à un problème spécifique, tel qu une concentration excessive de micro-organique ; ces actions peuvent ne pas traiter la cause du dysfonctionnement, - l évaluation régulière des mesures prises par la surveillance des indicateurs de la qualité de l Eau ; l interprétation des résultats des indicateurs de suivi, tels que de structure, de processus et résultats, se fait en référence à un niveau d exigence et à un seuil d inacceptabilité préalablement définis dans le cadre de la surveillance analytique de la qualité de l Eau, définissant les paramètres microbiologiques et physico-chimiques, L EAU DANS LES ETABLISSEMENTS DE SANTE /03/2006 Page 5 sur 18

6 - la formation du personnel et les échanges d informations entre les différents intervenants, notamment entre les distributeurs et les Etablissement de Santé, - l établissement et le maintien d un dossier technique appelé «carnet sanitaire» rassemblant toutes les informations sur toutes les installations de distribution de l Eau dans l Etablissement ; ce «carnet sanitaire» doit être constamment tenu à jour. 4) PRICIPAUX RISQUES SANITAIRES LIES A L UTILISATION DE L EAU Les principaux risques sanitaires liés à l utilisation de l Eau dans les Etablissement de Santé sont essentiellement de nature infectieuse et plus rarement de nature toxique. La présence de bactéries, de virus et de champignons constitue un risque à court terme. La présence de substances toxiques est associée souvent à un risque à moyen et à long terme, hormis dans le cas des pollutions accidentelles. Les risques liés aux brûlures par l eau chaude sanitaire sont des accidents relativement fréquents et dont les conséquences peuvent être graves. 4-1) - RISQUES INFECTIEUX ET PARASITAIRES Les micro-organimes responsables d infections, tels que bactéries, virus, parasites, fungi et microalgues, peuvent être : - saprophytes, - opportunistes, - pathogènes. Le degré de gravité des manifestations pathologiques liées à l eau est très variable. Il va des gastro-entérites, plus ou moins grave et de parasitoses, à des atteintes cutanées ou pulmonaires parfois fatales. La gravité des infections varie selon : Ø La nature des micro-organismes : - certains ont une faible dose minimale infectieuse, telle que les virus et les parasites, - d autres bio-contaminants sont présents en quantité beaucoup plus importantes pour initier l infection et la morbidité, telles que les bactéries, les champignons et les algues, Les bactéries, contrairement aux virus et aux parasites, sont beaucoup plus sensibles à la désinfection par des produits chlorés, lorsqu elle est possible et correctement appliquée. Ce traitement diminue considérablement le risque d épidémie due à des agents bactériens. Ø Les voies d exposition : Les principales voies d exposition sont constituées par : - l ingestion, par exemple de l eau et les denrées alimentaires, - le contact cutano-muqueux, tels que les aéromonas, les pseudomonas et les mycobnacterium ; le contact avec la muqueuse oculaire, telle que des lentilles cornéennes contaminées au cours du lavage, - l inhalation d aérosol contaminés, tels que la legionella, la flavobacterium, les endotoxines bactériennes, - l accès parentéral, par dialyse, tel que les pseudomonas et les aeromonas, L EAU DANS LES ETABLISSEMENTS DE SANTE /03/2006 Page 6 sur 18

7 - l utilisation de dispositifs médicaux invasifs, tels que le rinçage, Ø L état immunitaire des patients exposés : Un terrain immunitaire déficient permet plus facilement à un micro-organisme d exprimer sa virulence et aux pathogènes opportunistes de déclencher une infection. Les principales infections nosocomiales d origine hydrique Ø Les infections à tropisme digestif : La plupart des micro-organismes susceptibles d être présents dans l eau et à l origine d infections digestives ne sont pas spécifiques au milieu hospitalier et les pathologies digestives qu ils sont susceptibles de provoquer sont avant tout communautaires et très rarement nosocomiales. Certaines batéries, telles que les serratia marcescens, les pseudomonas aeruginosa, la morganella morganeli, les aeromonas ou la clostridium difficile, sont plus spécifiques au milieu hospitalier. Ces micro-organismes s attaquent à des sujets immunodéprimés et sont souvent résistants aux antibiotiques. Ø Les infections respiratoires : Les infections respiratoires liées à l inhalation d aérosols contaminés sont dues le plus souvent à des bactéries gram négatif, telles que les pseudomonas aeruginosa, la legionella pneumophila, la burholderia cepacia, l acinetobacter et à certaines mycrobactéries. Ces bactéries sont plus particulièrement susceptibles d affecter des patients immunodéprimés ou des patients dont les parois des cellules épithéliales bronchites ont été altérées, Elles peuvent également atteindre des patients ventilés mécaniquement ou ayant eu un lavage bronchoalvéolaire, voire gastrique avec reflux ou une aspiration endotrachéale ; Les cas de légionellose provoquée par l inhalation d aérosols contaminés par des legionella pneumophila touchent des personnes fragilisées, telles que personnes âgées ou immunodéprimées, chez lesquelles elles induisent une forte létalité. Ø Les infections cutano-muqueuses Ces infections, liées à un contact direct avec de l eau contaminée, peuvent conduire à des septicémies, Les germes en cause sont typiquement hydriques, tels que l enterobacter cloacae, la lebsiella, serratia, les pseudomonas aeruginosa, la flavobacterium, l acinetobacter, la mycobacterium. Ø Les infections ostéoarticulaires : L inoculation de mycobacterium xenopi au contact de l os, par le biais de matériel endoscopique rincé avec de l eau en contenant, peut provoquer des infections invalidantes. 4-2) - RISQUES INFECTIEUX ET PARASITAIRES Le risque toxique se caractérise par la présence dans l eau de substances chimiques en quantité trop importante. Hormis les cas de pollutions accidentelles, les concentrations en substances toxiques sont généralement trop faibles pour provoquer des intoxications aiguës. Toutefois, ce risque diffère selon les modes d exposition. Ø Le risque par ingestion : Pour l eau de distribution publique et l eau de source, la réglementation impose des limites de potabilité qui protègent le consommateur de façon très efficace. En effet, les concentrations maximales dans l eau prennent en compte un niveau de risque pour une exposition durant la vie entière. Elles sont soit nulles pour les molécules présentant une relation dose-effet, soit de l ordre de 10P-4, tel l arsenic, à 10P-6, tel les pesticides, pour les molécules à effet cancérigène ou mutagène. L EAU DANS LES ETABLISSEMENTS DE SANTE /03/2006 Page 7 sur 18

8 Ces valeurs ont été déterminées pour une consommation par ingestion de 2 litres par jour. Certains paramètres peuvent être source d inquiétude pour les patients. Ainsi, les nitrates sont souvent citées du fait du retentissement médiatique de leur présence croissante dans les eaux superficielles ou profondes. Une eau conforme à la norme de potabilité, 50 mg/litre, ne présente aucun risque pour la santé. Ce sont avant tout les nitrites, méthémoglobinémie, qui présentent un danger pour les enfants. Le contexte actuel tend à renforcer la concentration en chlore, de 0,10 à 0,30 mg/litre, dans les réseaux de distribution urbains et hospitaliers. A ces teneurs recommandées, le risque pour la santé est négligeable et la possibilité de formation de sous-produits toxiques est très limitée. Comme l action de ces molécules se fait par exposition à long terme, l impact sur la santé pour un séjour dans un Etablissement de Santé est négligeable. D autres produits de traitement de l eau peuvent être utilisés dans les réseaux d eau intérieurs de distribution. Toutefois, la législation en vigueur impose que les produits soient autorisés par le Ministère en charge de la Santé. Leur agrément n est délivré qu après un examen du dossier toxicologique du produit, du matériel ou du procédé, et après la réalisation d essais permettant de vérifier le respect des critères de non-relarguage et de non-formation de sous-produits indésirables. Les eaux minérales naturelles sont soumises à un règlement spécifique. Ces eaux peuvent contenir, selon leur origine géologique, divers sels minéraux dont la concen-tration peut, pour certains patients en raison de leur pathologie, être néfaste pour leur santé. A titre d exemple : - les eaux très riches en sulfates ne doivent pas être utilisées pour la préparation des biberons, - les eaux riches en chlorure de sodium ne doivent pas être bues par des patients hypertendus, - les eaux riches en calcium ne sont indiquées que dans certaines formes de lithiase, - etc.. Ainsi, il convient de veiller aux indications pour la fourniture de certaines eaux naturelles aux patients dans les Etablissements de Santé. Ø Les risques liés aux autres voies d exposition : Lors des soins, la voix d exposition peut être différente de celle précédemment citée et l importance du volume d eau utilisée contribue à moduler l intensité du risque, tel que, par exemple, pour l hémodialyse où le sang est en contact avec un volume d eau de l ordre de 300 litres par séance. Ainsi, pour certains usages, comme l hémodialyse, la présence de substances telles que l aluminium, le cuivre ou le zinc, même en faible concentration, constitue un risque notable pour le patient. La pharmacopée a pris en compte le danger lié à la présence : - de sels minéraux, - d aluminium, - de chlore et des chloramines, - des pesticides, - et autres molécules organiques. 4-3) - RISQUES LIES AUX BRULURES L EAU DANS LES ETABLISSEMENTS DE SANTE /03/2006 Page 8 sur 18

9 Selon l Organisation Mondiale de la Santé, le danger de brûlure est, dans 50 % des cas, lié à des liquides chauds. Parmi les liquides, l eau chaude représente une cause importante des brûlures, de 20 à 30 %. Ce taux de 50 % est très important, par rapport au danger - des flammes, 30 %, - du contact avec des objets chauds, 10 %, - de l électricité, 4 %. La gravité de la brûlure est fonction de la température et du temps de contact avec la peau. L étendue de la brûlure est significativement plus élevée lorsque l accident s est produit dans la salle de bains. Les temps d exposition, pour obtenir une destruction de la peau sur toute son épaisseur, sont approximativement de : - 1 seconde à 70 C, - 7 secondes à 60 C, - 8 secondes à 50 C. Pour l enfant de zéro à quatre ans, le risque de brûlure est trois fois plus important que pour le reste de la population. 70 à 80 % des cas sont dus à des liquides chauds. Les enfants de moins de quatre ans représentent 15 % des malades hospitalisés, alors qu ils ne constituent que 5 % de la population. L EAU DANS LES ETABLISSEMENTS DE SANTE /03/2006 Page 9 sur 18

10 TECHNOLOGIE DES EAUX 1) NATURE DES EAUX EXISTANTES Ø LES EAUX NATURELLES Les Eaux Naturelles, qu elles soient souterraines, de surface ou de mer, sont à la base de la production de toutes les eaux nécessaires à la vie et aux activités humaines. Elles doivent être traitées pour satisfaire les qualités exigées dans chaque type d utilisation. Ø L EAU PURE L Eau pure n existe pas dans la nature, elle renferme toujours de multiples composés. Ø L EAU SOLVANT L Eau est un solvant universel. L Eau est aussi un agent transporteur de matières minérales et organiques. 2) - PRINCIPAUX CONSTITUANTS DES EAUX NATURELLES Ø MATIERES SOLUBLES Les Matières Solubles sont essentiellement des sels minéraux plus ou moins dissociés avec apparition : - d ions chargés négativement (anions), - d ions chargés positivement (cations). Les Gaz dissous sont principalement : l oxygène, l azote et l anhydride carbonique. Ø MATIERES INSOLUBLES : Les Matières en suspension sont d origine : - Minérale tels : les sables, les limons, les argiles, les oxydes métalliques, - Organique tels : les huiles, les graisses, les produits de la décomposition des matières végétales ou animales. Les Matières Colloïdales sont la plupart du temps, comme les MES, d origine minérale tels : la silice, l argile, les sels d aluminium, les silicates, etc. Les matières en suspension et les substances colloïdales sont responsables en particulier de la turbidité et de la coloration. Les Matières Colloïdales appartiennent soit au règne bactérien, soit au règne végétal, tel : le moisissures, le levures, les algues, etc., ou encore aux virus considérés comme la limite entre la vie et la matière inerte. La plupart de tous les éléments listés ci-avant sont à éliminer en quasi-totalité pour obtenir une eau purifiée (EPU) ou une eau pour préparation injectable (EPPI). L EAU DANS LES ETABLISSEMENTS DE SANTE /03/2006 Page 10 sur 18

11 BESOINS QUANTITATIFS DES EAUX SECTEURS D UTILISATION TECHNOLOGIES DES TRAITEMENTS 1) QUANTITATIF DES EAUX LA CONSOMMATION D EAU JOURNALIERE PAR LIT PEUT ATTEINDRE 1/2 M3 2) PRINCIPAUX SECTEURS D UTILISATION DES EAUX Les Principaux secteurs d utilisation des Eaux dans le milieu Hospitalier sont : Ø Les Eaux Techniques, Ø Les Eaux dites Hôtelières et Sanitaires, Ø Les Eaux de Fabrication et Médicales. 3) TECHNOLOGIES DES TRAITEMENTS DES EAUX A METTRE EN ŒUVRE PRETRAITEMENTS Le Prétraitement est déterminant pour l efficacité du traitement en aval. Les principales technologies de Prétraitements utilisées sont entre autres : Ø La floculation, Ø La filtration sur charbon actif, Ø La chloration / dé-chloration, Ø L ozonation, Ø L acidification chimique, Ø La photo oxydation ultra-violet, Ø L adoucissement, Ø La filtration sur sable. Ces technologies sont applicables soit individuellement, soit en combinaisons. TRAITEMENTS Les principales technologies de Traitements utilisées sont entre autres : Ø Les réductions de la salinité (déminéralisation), Ø L échange d ions, Ø L osmose inverse, Ø L électrodéionisation TRAITEMENTS COMPLEMENTAIRES Les Traitements Complémentaires utilisés sont entre autres : Ø La filtration 0,2 µm. et 0,1 µm., Ø La photo6oxydation ultra-violet, L EAU DANS LES ETABLISSEMENTS DE SANTE /03/2006 Page 11 sur 18

12 Ø L ozonisation. TRAITEMENTS SPECIFIQUES Les Traitements Spécifiques utilisés sont entre autres : Ø L ultra-filtration sur membrane organique, Ø La distillation. TRAITEMENTS PREVENTIFS OU DE RESTAURATION Les Traitements Préventifs ou de Restauration utilisés sont entre autres : Ø La Désinfection par voie chimique, Ø La Stérilisation (>121 C - 30mn.) à l eau sur-chauffée ou à la vapeur pure. L EAU DANS LES ETABLISSEMENTS DE SANTE /03/2006 Page 12 sur 18

13 TYPOLOGIE DES DIFFERENTES CATEGORIES DES EAUX En fonction des qualités requises et des usages, et de l absence ou de la mise en œuvre de traitement complémentaire des eaux, quatre catégories d eau peuvent être distinguées au sein des Etablissements de Santé : Ø Q.1 : Eaux ne subissant aucun traitement dans les Etablissements de Santé, Ø Q.2 : Eaux traitées au sein des Etablissements de Santé, répondant à des critères définis en fonction des usages alimentaires, sanitaires et de soins, Ø Q.3 : Eaux stériles, Ø Q.4 : Eaux techniques. Chaque catégorie d eau exige une qualité et des modalités de surveillance. LES LIMITES DE QUALITE Déclinées en trois niveaux, les limites de qualité sont établies sur la base de réglementations, de recommandations, ou sont à définir par l utilisateur après discutions internes prenant en compte les spécificités de l Etablissement. Ø Niveau cible : niveau vers lequel l Etablissement doit tendre dans les conditions normales de fonctionnement. Ø Niveau d alerte : établi par l utilisateur, niveau qui détecte précocement une dérive potentielle des conditions de fonctionnement et qui doit entraîner la vérification des résultats et la mise en œuvre de premières mesures correctives. Le niveau d alerte peut correspondre à une valeur quantifiée ou à un ensemble de valeurs comprises entre le niveau cible et le niveau d action. Ø Niveau d action : niveau qui doit immédiatement déclencher, lorsqu il est dépassé, la mise en œuvre de mesures correctives permettant de revenir rapidement sous le niveau d alerte et de tendre vers le niveau cible. Ces différents niveaux doivent permettre à la fois : Ø La protection des patients les plus fragiles, Ø La gestion raisonnée et raisonnable du risque infectieux lié à l eau dans les Etablissements de Santé. PARAMETRES PHYSICO-CHIMIQUE ET MICROBIOLOGIQUE A RESPECTER L EAU DANS LES ETABLISSEMENTS DE SANTE /03/2006 Page 13 sur 18

14 LES EAUX TECHNIQUES 1) TERMINOLOGIE DES EAUX TECHNIQUES Les eaux techniques comprennent : Ø Les eaux de chauffage, Ø Les eaux de climatisation, Ø Les eaux alimentant la production de vapeur, Ø Les eaux servant à humidifier un environnement, Ø Les eaux de laverie, Ø Les eaux de cuisine centrale. 2) - TRAITEMENT DES EAUX TECHNIQUES LES EAUX DE CHAUFFAGE : Pour les eaux de chauffage, afin de limiter l entartrage, la corrosion et le développement de microorganismes, les prétraitements appliqués pourront être : Ø La filtration, Ø L adoucissement à un TH = 0 f pour les circuits fermés, Ø L injection d un produit passivant, réducteur d oxygène, alcalinisant et dispersant. LES EAUX DE CLIMATISATION : Pour les eaux de climatisation, afin de limiter l entartrage, la corrosion et le développement de micro-organismes, les prétraitements appliqués pourront être : Ø La filtration, Ø L adoucissement à un TH = 7 f pour les tours réfrigérantes, Ø L injection d un produit passivant, réducteur d oxygène, alcalinisant et dispersant, Ø L injection d un bactéricide/fongicide dans le cadre de tours de refroidissement. LES EAUX ALIMENTANT LA PRODUCTION DE VAPEUR : Pour les eaux de chaudières à vapeur, et afin d éviter l entartrage et la corrosion, les prétraitements appliqués pourront être : Ø La filtration, Ø L adoucissement à un TH = 0 f ou éventuellement décarbonatation/adoucissement, Ø La déminéralisation par osmose inversé, non statique, Ø L injection de produits dispersants, passivants et réducteurs d oxygène et neutralisants du gaz carbonique. LES EAUX ALIMENTANT DES HUMIDIFICATEURS : Pour les eaux alimentant des humidificateurs, et afin d éviter l entartrage et la précipitation des sels minéraux sur les points de chauffe et ainsi espacer les purges de déconcentration, les prétraitements appliqués pourront être : Ø La filtration,, Ø L adoucissement à un TH = 0 f, Ø La déminéralisation par osmose inversée, non statique, Ø La Désinfection par passage sur rayonnement ultra-violet, non systématique. L EAU DANS LES ETABLISSEMENTS DE SANTE /03/2006 Page 14 sur 18

15 LES EAUX POTABLES DITES HOTELIERES 1) ADDUCTION DES EAUX DESTINEES A LA CONSOMMATION HUMAINE L Eau à usage alimentaire ou eau potable, que la réglementation Française et Européenne appelle «eau destinée à la consommation humaine», est en général l eau délivrée par le réseau d adduction publique. 2) - L EAU A USAGE ALIMENTAIRE L Eau Froide à Usage Alimentaire est utilisée pour : Ø La boisson des patients, Ø La confection des biberons, Ø La boisson des personnels et des visiteurs, Ø La cuisine pour la confection des repas 3) - CONNAISSANCE DES RISQUES L ingestion d eau ou d aliments hors de l usage alimentaire comporte des risques : Ø D infections digestives. Si l Eau Potable ne fait pas courir de risques à la majorité de la population, il n en est pas de même pour : Ø Les nouveaux-nés ne possédant pas de système immunitaire mature, Ø Les personnes fragilisées et parfois immunodéprimées qui fréquentent les Etablissements de Santé. Les critères microbiologiques de potabilité sont alors insuffisants et il faut considérer les risques encourus par type de patients, pour chaque usage. L Eau en contact avec les patients peut induire : Ø Des infections respiratoires, telles la Légionellose, Ø Des infections cutano-muqueuses, tels les Septicémies. 4) L EAU DESTINEE A L UTILISATION DES PATIENTS DIFFERENTES QUALITES D EAU : Trois qualités d eau différentes sont utilisées : Ø L eau distribuée par le réseau intérieur de l établissement, Ø L eau bactériologiquement maîtrisée et traitée au point d usage ou par un procédé général ; Cette Eau est de meilleure qualité que l eau du réseau intérieur, Ø L eau pour irrigation dont la qualité est définie dans la Pharmacopée Européenne, 4 ème édition. TRAITEMENTS PRECONISES DES EAUX : L EAU DANS LES ETABLISSEMENTS DE SANTE /03/2006 Page 15 sur 18

16 L EAU FROIDE L eau Froide peut être : Ø Filtrée par des filtres, - à sable, à tamis, à cartouche, Ø Adoucie, pour des besoins : - de la cuisine (TH = 7 f), - de la buanderie (TH = 5 f), - en prétraitement pour l alimentation d osmoseurs (TH = 0 f) Ø Désinfectée par des rayonnements ultra violets. L EAU DE BOISSON L eau de boisson peut être : Ø Filtrée par des filtres : - à tamis, à cartouche, à charbon actif, Ø Rafraîchie pour le confort des consommateurs. L EAU CHAUDE SANITAIRE L eau Chaude Sanitaire peut être : Ø Adoucie pour éviter au maximum l entartrage des réseaux (TH = 7 f), Ø Conditionnée avec un produit filmogène, pour éviter la corrosion rapide des canalisations en acier galvanisé, D.T.U. 601, Ø Chlorée pour lutter contre la légionelle, Ø Filtrée au point d utilisation, à 0,2µm. sur la robinetterie. 5) L EAU DESTINEE A L HYGIENE ET AUX SOINS DES PATIENTS LES EAUX STANDARDS UTLISATION DES EAUX STANDARDS : Eau utilisée pour les soins de base des patients sans risques particuliers, pour : Ø La toilette, Ø La douche, Ø Les bains. QUALITES DIFFERENTES DES EAUX : L Eau Froide pour les soins standards : Ø L Eau Froide provenant le plus souvent du réseau d adduction publique, Cette Eau ne subit aucun traitement au sein de l établissement avant d être délivrée aux points d usage. L Eau Chaude Sanitaire pour les soins standards L eau Chaude Sanitaire est produite par accumulation, semi-accumulation ou production instantanée, à partir de l eau froide de l établissement. Cette eau subit le plus souvent un ou plusieurs traitements avant d être délivrée aux points de puisage. (adoucissement, traitement anti-tartre, traitement anti-corrosion, surchloration, etc.). L Eau Mitigée pour les soins standards Ø L Eau Mitigée réalisée au point d usage ou sur une partie du réseau par un mélange d eau froide et d eau chaude. L EAU DANS LES ETABLISSEMENTS DE SANTE /03/2006 Page 16 sur 18

17 LES EAUX SPECIFIQUES UTLISATION DES EAUX STANDARDS : Eau utilisée pour les soins de base des patients à risques particuliers, pour : Ø Les soins sur la peau lésée, Ø Les soins des muqueuses nasales, auriculaires, bronchites, etc., Ø Les soins des patients ayant une fragilité particulière face à un risque infectieux. Cas des immunodéprimés, des brûlés, etc. QUALITES DES EAUX : Pour les soins spécifiques : Ø L Eau Froide, Chaude et Mitigée bactériologiquement maîtrisée est produite à partir de l eau du réseau intérieur de l établissement, Cette Eau est de meilleure qualité par l action d un traitement appliqué au point d usage ou sur une partie du réseau, de type chloration, ultra-violet, microfiltration, etc. Ø Les Eaux utilisées pour l irrigation et pour l humidification en oxygénothérapie sont produites et conditionnées en flacon par l industrie pharmaceutique : - Pour les préparations injectables stérilisées (E.P.P.I.), conditionnées en ampoules ou en flacons de verre, - Pour l irrigation conditionnée en flacons unidoses. Ces Eaux doivent être stériles au sens des exigences de la Pharmacopée Européenne, 4 ème édition de L EAU DANS LES ETABLISSEMENTS DE SANTE /03/2006 Page 17 sur 18

18 CONCLUSION Ø L Eau est un élément essentiel au fonctionnement des Etablissements de Santé. Toutefois, elle peut constituer une source d infections graves en cas de contamination, particulièrement pour les patients les plus fragiles. Ø La maîtrise de la qualité de l eau dans les Etablissements de Santé représente donc une difficulté majeure, un souci permanent et une importante responsabilité, du fait de la grande diversité des lieux et des types d usages. Ø Avant de recevoir le ou les systèmes de traitement d eau, il faut donc connaître précisément la qualité des eaux ciblées. Ø Cette approche qualitative concerne tous les acteurs de l hôpital : la direction, les services techniques et bio-médicaux, le personnel soignant, les médecins, les pharmaciens. Ø La connaissance des installations de distributions des eaux et des causes de la dégradation de la qualité de l eau est un préalable indispensable à la mise en œuvre d une démarche de la maîtrise des risques d origine hydrique. L EAU DANS LES ETABLISSEMENTS DE SANTE /03/2006 Page 18 sur 18

Il est bien établi que le réseau d eau hospitalier peut

Il est bien établi que le réseau d eau hospitalier peut Les micro-organismes de l eau impliqués dans les infections nosocomiales Depuis 2001 chez Pall, en charge de l information scientifique et réglementaire dans les domaines d applications couverts par la

Plus en détail

FICHE DE DONNEES DE SECURITE

FICHE DE DONNEES DE SECURITE PAGE 1/7 DATE DE MISE A JOUR : 16/11/2011 1/ - IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE Identification du produit : Gaines, films, housses, et/ou sacs transparents et colorés en polyéthylène. Famille

Plus en détail

Eau chaude sanitaire FICHE TECHNIQUE

Eau chaude sanitaire FICHE TECHNIQUE FICHE TECHNIQUE Eau chaude sanitaire 2 5 6 6 CONNAÎTRE > Les besoins d eau chaude sanitaire > Les modes de production > La qualité de l eau > Les réseaux de distribution > La température de l eau REGARDER

Plus en détail

Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier?

Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier? Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier? Les solutions techniques Principes et critères de choix Par Sébastien LIBOZ - Hydrogéologue Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier?

Plus en détail

Les Infections Associées aux Soins

Les Infections Associées aux Soins Les Infections Associées aux Soins Dr Catherine Sartor EOH Conception Assistance Publique Hôpitaux de Marseille Ecole IFSI, Marseille, 12 septembre 2014 Définitions 2007 Infection Nosocomiale (IN) 1999

Plus en détail

Le Plomb dans l eau AGENCE NATIONALE POUR L AMÉLIORATION DE L HABITAT

Le Plomb dans l eau AGENCE NATIONALE POUR L AMÉLIORATION DE L HABITAT Le Plomb dans l eau De quoi s agit-il? De quoi parle-t-on? Où le trouve-t-on? Quelle est son origine? Responsabilités Quels sont les effets néfastes du plomb dans l eau sur la santé? Comment les détecter?

Plus en détail

Les piscines à usage collectif Règles sanitaires. à usage collectif

Les piscines à usage collectif Règles sanitaires. à usage collectif Déclaration d ouverture La déclaration d ouverture d une piscine (accompagnée d un dossier justificatif) est à adresser en 3 exemplaires à la mairie d implantation de l établissement et un exemplaire en

Plus en détail

2.0 Interprétation des cotes d évaluation des risques relatifs aux produits

2.0 Interprétation des cotes d évaluation des risques relatifs aux produits 2.0 Interprétation des cotes d évaluation des risques relatifs aux produits L interprétation des cotes attribuées dans le cadre des évaluations des risques relatifs aux produits décrite plus loin repose

Plus en détail

Traitement de l eau par flux dynamique

Traitement de l eau par flux dynamique GmbH Traitement de l eau par flux dynamique afin de réduire les impuretés microbiologiques afin d empêcher l apparition de nouveaux germes dans les eaux de consommation et de process et Nouveau avec certificat

Plus en détail

Acides et bases. Acides et bases Page 1 sur 6

Acides et bases. Acides et bases Page 1 sur 6 Acides et bases Acides et bases Page 1 sur 6 Introduction Sont réputés acides et bases au sens des règles de sécurité en vigueur en Suisse, les solides ou liquides qui ont une réaction acide ou alcaline

Plus en détail

5. Matériaux en contact avec l eau

5. Matériaux en contact avec l eau Monitoring de la qualité Microbiologique de l eau potable dans les réseaux de distributions Intérêt de l utilisation d un kit de mesure rapide de la flore totale UTLISATIONS 1. Surveillance de Réseau mixte

Plus en détail

L eau à l intérieur des bâtiments: aspects règlementaires

L eau à l intérieur des bâtiments: aspects règlementaires L eau à l intérieur des bâtiments: aspects règlementaires 01 La règlementation concernant la qualité des eaux destinées à la consommation humaine s applique sans restriction aux installations d eau à l

Plus en détail

Puissant et écologique à la fois

Puissant et écologique à la fois Puissant et écologique à la fois La technologie innovante de désinfection et d oxydation à l ozone économique et écologique www.prominent.com L ozone Un puissant désinfectant La plus-value à la clé : une

Plus en détail

Caractéristiques des eaux utilisées en industrie agroalimentaire

Caractéristiques des eaux utilisées en industrie agroalimentaire Caractéristiques des eaux utilisées en industrie agroalimentaire DANGERS Cette fiche ne prétend pas être exhaustive. Elle vise à enrichir (et non limiter) la réflexion des professionnels sur le sujet des

Plus en détail

Fiche de données de sécurité Selon l Ochim (ordonn. produits chim.) du18.05.2005, paragr.3

Fiche de données de sécurité Selon l Ochim (ordonn. produits chim.) du18.05.2005, paragr.3 Nr. Article- Produit : 48785 Page: Page 1 En cas d urgence appeler le Centre Suisse d information toxicologique, Freiestr. 16, 8032 Zürich; Tél. des Urgences: ( jour et nuit) 145 ou +41 (0)44 251 51 51.

Plus en détail

MÉTHODE DE DÉSEMBOUAGE DE CIRCUITS DE CHAUFFAGE

MÉTHODE DE DÉSEMBOUAGE DE CIRCUITS DE CHAUFFAGE MÉTHODE DE DÉSEMBOUAGE DE CIRCUITS DE CHAUFFAGE (Radiateurs et planchers chauffants) Brevet de désembouage N 0116861 EURO FILTR'EAUX 18/22 RUE D ARRAS - F 92000 NANTERRE TÉL. : (33) 01 30 94 37 60 FAX

Plus en détail

Décrets, arrêtés, circulaires

Décrets, arrêtés, circulaires Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SOLIDARITÉS Arrêté du 11 janvier 2007 relatif aux limites et références de qualité des eaux brutes et des eaux destinées à la

Plus en détail

Décrire l'ensemble des mesures de maîtrise et des mesures de surveillance dans des procédures ou modes opératoires portés à la connaissance de tous.

Décrire l'ensemble des mesures de maîtrise et des mesures de surveillance dans des procédures ou modes opératoires portés à la connaissance de tous. DEMARCHE HACCP EN CUISINE CENTRALE Alimentation GROSJEAN L, Vénissieux Juin 2010 Objectif La démarche HACCP (de l'américain Hazard Analysis Critical Control Point) est une méthode préventive visant à maîtriser

Plus en détail

DÉMARCHE HACCP RESTAURATION. Guide pour l analyse des dangers. Restauration commerciale Restauration collective à caractère social

DÉMARCHE HACCP RESTAURATION. Guide pour l analyse des dangers. Restauration commerciale Restauration collective à caractère social DÉMARCHE HACCP EN RESTAURATION Guide pour l analyse des dangers Restauration commerciale Restauration collective à caractère social Ce livre a obtenu un prix dans la catégorie ouvrages professionnels -

Plus en détail

FICHE DE DONNÉES DE SÉCURITÉ conformément au Règlement (CE) nº1907/2006 REACH Nom : KR-G KR-G

FICHE DE DONNÉES DE SÉCURITÉ conformément au Règlement (CE) nº1907/2006 REACH Nom : KR-G KR-G KR-G Page 1 de 5 1. IDENTIFICATION DE LA SUBSTANCE/PRÉPARATION ET DE LA SOCIÉTÉ/ENTREPRISE 1.1 Identificateur de produit : Nom du produit : KR-G 1.2 Utilisations identifiées pertinentes de la substance

Plus en détail

GUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG

GUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG GUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG Version 1.0 1 Avant-propos Ce guide de bonnes pratiques a été préparé pour fournir des informations concernant la collecte

Plus en détail

Fiche documentaire FAIRE LES PRODUITS D USAGE DOMESTIQUE SANS DANGER POUR L AIR

Fiche documentaire FAIRE LES PRODUITS D USAGE DOMESTIQUE SANS DANGER POUR L AIR Fiche documentaire FAIRE LES PRODUITS D USAGE DOMESTIQUE SANS DANGER POUR L AIR Les produits d usage domestique comprennent les produits de nettoyage (p. ex., les nettoie-vitres et les produits de nettoyage

Plus en détail

Qu est ce qu un gaz comprimé?

Qu est ce qu un gaz comprimé? Qu est ce qu un gaz comprimé? Il existe plusieurs produits à base de gaz ou de mélanges de gaz sous pression conservés dans des bouteilles 1. La plupart de ces gaz sont classés dans la catégorie des «gaz

Plus en détail

Ce qu il faut savoir en matière d habitat et de santé, de plomberie et d installations de chauffage ou d eau chaude sanitaire

Ce qu il faut savoir en matière d habitat et de santé, de plomberie et d installations de chauffage ou d eau chaude sanitaire Ce qu il faut savoir en matière d habitat et de santé, de plomberie et d installations de chauffage ou d eau chaude sanitaire Quels sont les risques en matière de santé pour ces rénovations? Avant travaux

Plus en détail

GESTION DU RISQUE INFECTIEUX D ORIGINE ALIMENTAIRE DANS LES UNITES DE SOINS

GESTION DU RISQUE INFECTIEUX D ORIGINE ALIMENTAIRE DANS LES UNITES DE SOINS GESTION DU RISQUE INFECTIEUX D ORIGINE ALIMENTAIRE DANS LES UNITES DE SOINS C. DECADE -Dr L. MARTY -D. DEMONTROND Dr C.MANUEL - Dr R.CABRIT - Dr G.MANN Centre Médical de Forcilles 77150 FEROLLES-ATTILLY

Plus en détail

Fiche de données de sécurité Selon l Ochim (ordonn. produits chim.) du18.05.2005, paragr.3

Fiche de données de sécurité Selon l Ochim (ordonn. produits chim.) du18.05.2005, paragr.3 Nom commercial : GESAL PROTECT SPRAY ANTI-FOURMIS ET Date: 13.0.2010 Nr. Article- Produit : 49142 Page: Page 1 sur En cas d urgence appeler le Centre Suisse d information toxicologique, Freiestr. 16, 8032

Plus en détail

SYSTEM O. Un système unique pour des réseaux distincts Eau froide sanitaire Eau chaude sanitaire

SYSTEM O. Un système unique pour des réseaux distincts Eau froide sanitaire Eau chaude sanitaire SYSTEM O Un système unique pour des réseaux distincts Eau froide sanitaire Eau chaude sanitaire CONCEPTION, CHOIX DES MATÉRIAUX ET MAINTENANCE : La sécurité des réseaux passe par une bonne conception,

Plus en détail

FICHE DE DONNÉES DE SECURITÉ Demand CS

FICHE DE DONNÉES DE SECURITÉ Demand CS 01. IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIÉTÉ Nom commercial Code produit Usage envisagé LAMB97201 A UTILISER COMME INSECTICIDE UNIQUEMENT Le produit doit être utilisé conformément à l'étiquette Apparence

Plus en détail

Fiche de données de sécurité

Fiche de données de sécurité Produit 2T QUAD R BIODEGRADABLE Page 1/5 Etiquette du produit ETIQUETAGE (d usage ou CE) Phrases de risque Conseils de prudence ETIQUETAGE TRANSPORT Non concerné Néant Néant Non concerné 1. IDENTIFICATION

Plus en détail

!"#$%&#'()&*+",#%)-"#.),%)/&*01%')2%1'&0.%3)

!#$%&#'()&*+,#%)-#.),%)/&*01%')2%1'&0.%3) "#$%&#'()&*+",#%)-"#.),%)/&*01%')2%1'&0.%3) 4."2#0'+)5/","607#%+)) -.(+%1'%) 89:8)9;5) >%)?(10% ) 2%), @A60B1%)6,"*&,%) )))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))

Plus en détail

Soins infirmiers et gestion des risques

Soins infirmiers et gestion des risques Soins infirmiers et gestion des risques I. Principe de précaution Hippocrate disait «soulager le malade et ne pas lui nuire» Cet adage «primun non cere» est le principe de la base de la médecine II. La

Plus en détail

QU EST-CE QUE LA CHLORATION?

QU EST-CE QUE LA CHLORATION? QU EST-CE QUE LA CHLORATION? Qu est-ce que la chloration? Des micro-organismes peuvent être trouvés dans des rivières, lacs et eau souterraine. Même si ce ne sont pas tous les micro-organismes qui peuvent

Plus en détail

Le guide des bonnes pratiques d hygiène et la qualité alimentaire en restauration

Le guide des bonnes pratiques d hygiène et la qualité alimentaire en restauration FORMATION : THEORIQUE C.H.R. / INTRA-ENTREPRISE MODULE Le guide des bonnes pratiques d hygiène et la qualité alimentaire en restauration TYPE DE FORMATION : Hygiène et sécurité, qualité normalisation,

Plus en détail

Fiche de données de sécurité

Fiche de données de sécurité Produit TRANSOIL 140 Page 1/6 Etiquette du produit ETIQUETAGE (d usage ou CE) Phrases de risque Conseils de prudence ETIQUETAGE TRANSPORT Non concerné Non concerné 1. IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA

Plus en détail

CONSTRUCTION DES COMPETENCES DU SOCLE COMMUN CONTRIBUTION DES SCIENCES PHYSIQUES

CONSTRUCTION DES COMPETENCES DU SOCLE COMMUN CONTRIBUTION DES SCIENCES PHYSIQUES CONSTRUCTION DES COMPETENCES DU SOCLE COMMUN CONTRIBUTION DES SCIENCES PHYSIQUES Compétence du socle : Compétence 6 : Les compétences sociales et civiques. Contribution attendue : Utiliser un produit chimique

Plus en détail

Niveau d assurance de stérilité (NAS) Hôpital Neuchâtelois Sylvie Schneider Novembre 2007

Niveau d assurance de stérilité (NAS) Hôpital Neuchâtelois Sylvie Schneider Novembre 2007 Niveau d assurance de stérilité (NAS) Hôpital Neuchâtelois Sylvie Schneider Novembre 2007 Plan Objectif de la stérilisation Rappel théorique Niveau d Assurance Stérilité Conséquence Destruction des micro-organismes

Plus en détail

TECHNIQUE DU FROID ET DU CONDITIONNEMENT DE L AIR. confort = équilibre entre l'homme et l'ambiance

TECHNIQUE DU FROID ET DU CONDITIONNEMENT DE L AIR. confort = équilibre entre l'homme et l'ambiance TECHNIQUE DU FROID ET DU CONDITIONNEMENT DE L AIR Tâche T4.2 : Mise en service des installations Compétence C1.2 : Classer, interpréter, analyser Thème : S5 : Technologie des installations frigorifiques

Plus en détail

Hygiène alimentaire en restauration collective

Hygiène alimentaire en restauration collective 1 2 3 4 5 6 7 Catalogue 2011 Audit, conseil et formation Hygiène alimentaire en restauration collective Laboratoire Départemental de la Côte-d'Or Sommaire 1 2 3 4 5 6 7 Sensibilisation à l hygiène alimentaire

Plus en détail

FICHE DE SECURITE FUMESAAT 500 SC

FICHE DE SECURITE FUMESAAT 500 SC 1/5 FICHE DE SECURITE FUMESAAT 500 SC Identification de la préparation 1. Identification de la préparation de l entreprise Nom commercial: FUMESAAT 500 SC Identification Produit : éthofumésate 500 SC Substance

Plus en détail

Le but de la radioprotection est d empêcher ou de réduire les LES PRINCIPES DE LA RADIOPROTECTION

Le but de la radioprotection est d empêcher ou de réduire les LES PRINCIPES DE LA RADIOPROTECTION LES PRINCIPES DE LA RADIOPROTECTION TOUT PUBLIC 1. Source de rayonnements ionisants 2. Les différents rayonnements ionisants et leur capacité à traverser le corps humain 3. Ecran de protection absorbant

Plus en détail

Chapitre VI : Gestion des risques épidémiques

Chapitre VI : Gestion des risques épidémiques Chapitre VI : Fiche n VI.1 : Gale Fiche n VI.2 : Tubeculose pulmonaire (accessible dans la prochaine version) Fiche n VI.3 : Gastro-entérite Fiche n VI.4 : Infection respiratoire aigüe basse Sommaire Sommaire

Plus en détail

POURQUOI L HYGIENE HYGIENE = PROPRETE HYGIENE = PREVENTION DES INFECTIONS COMMUNAUTAIRES ET DES INFECTIONS ASSOCIEES AUX SOINS

POURQUOI L HYGIENE HYGIENE = PROPRETE HYGIENE = PREVENTION DES INFECTIONS COMMUNAUTAIRES ET DES INFECTIONS ASSOCIEES AUX SOINS Prise en charge d un «résident septique» en Etablissements Médico Sociaux PRÉVENTION DES RISQUES INFECTIEUX EN ETABLISSEMENTS MÉDICO SOCIAUX INFECTIONS NOSOCOMIALES ET COMMUNAUTAIRES ASSOCIÉES AUX SOINS

Plus en détail

HUMI-BLOCK - TOUPRET

HUMI-BLOCK - TOUPRET FICHE DE DONNEES DE SECURITE Révision antérieure : (Selon l annexe II du Règlement REACH de l UE 1907/2006) Mise à jour : 19 janvier 2010 Version : 1 HUMI-BLOCK - TOUPRET 1-IDENTIFICATION DU PRODUIT ET

Plus en détail

Sensibilisation des opérateurs à l hygiène des aliments

Sensibilisation des opérateurs à l hygiène des aliments Sensibilisation des opérateurs à l hygiène des aliments Le respect des bonnes pratiques d hygiène de fabrication, par chaque opérateur, constitue le préalable à toute démarche de maîtrise de la sécurité

Plus en détail

CARNET SANITAIRE DE VOTRE INSTALLATION D'EAU

CARNET SANITAIRE DE VOTRE INSTALLATION D'EAU CARNET SANITAIRE DE VOTRE INSTALLATION D'EAU (Indiquer le nom de l installation) Directions Régionale et Départementales des Affaires Sanitaires et Sociales du Nord-Pas-de-Calais Ministère de l emploi,

Plus en détail

Cahier des bonnes pratiques pour un nettoyage écologique des locaux du Conseil Général de la Gironde

Cahier des bonnes pratiques pour un nettoyage écologique des locaux du Conseil Général de la Gironde Le Conseil Général ménage votre santé! Cahier des bonnes pratiques pour un nettoyage écologique des locaux du Conseil Général de la Gironde Sommaire 1. Pourquoi créer ce cahier pratique du nettoyage écologique?

Plus en détail

Hygiène alimentaire en restauration collective

Hygiène alimentaire en restauration collective Catalogue de formations 2012 Audit, conseil et formation Hygiène alimentaire en restauration collective Laboratoire Départemental de la Côte-d'Or 1 2 3 4 5 6 7 8 Sommaire Sensibilisation à l hygiène alimentaire

Plus en détail

SECTION 1- Identification de la substance/du mélange et de la société / entreprise

SECTION 1- Identification de la substance/du mélange et de la société / entreprise Famille : AMENDEMENT MINERAL BASIQUE ENGRAIS AVEC ADDITIF AGRONOMIQUE NF U 44-204 Amendement calcaire, dolomie et gypse NFU 44-203 avec préparation microbienne : RHIZOCELL (AMM n 1110014) AGRI-BIOTECH

Plus en détail

SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES

SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES Dr Virginie NAEL Service de Santé au travail du personnel hospitalier CHU Nantes 44èmes journées FMC ANMTEPH / SOHF - Lausanne - Septembre

Plus en détail

Eau (N CAS) 7732-18-5 67.5 Non classifié Urea (N CAS) 57-13-6 32.5 Non classifié. Version : 1.0

Eau (N CAS) 7732-18-5 67.5 Non classifié Urea (N CAS) 57-13-6 32.5 Non classifié. Version : 1.0 Date de révision : 15 mai 2015 Date de parution : 15 mai 2015 Remplace la version datée du : 06/09/2013 RUBRIQUE 1 : IDENTIFICATION 1.1. Identificateur du produit Forme du produit : Mélange Nom du produit

Plus en détail

Gestion des épidémies en FAM et MAS. 2 ère réunion annuelle FAM/MAS 20 mars 2015

Gestion des épidémies en FAM et MAS. 2 ère réunion annuelle FAM/MAS 20 mars 2015 Gestion des épidémies en FAM et MAS 2 ère réunion annuelle FAM/MAS 20 mars 2015 Rappels En EMS, le risque infectieux est présent, avec cumul des différents aspects de ce risque: Infections communautaires:

Plus en détail

FICHE DE DONNEE SECURITE

FICHE DE DONNEE SECURITE Degy Anti-fourmis 28/03/12 page1/6 FICHE DE DONNEE SECURITE 1. IDENTIFICATION DE LA SUBSTANCE/PREPARATION ET DU FOURNISSEUR Désignation commerciale: DEGY ANTI-FOURMIS Utilisation de la préparation : Produit

Plus en détail

LE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE

LE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE LE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE 1 LA POLITIQUE QUALITE-GESTION DES RISQUES Depuis 2003, la Direction s engage à poursuivre, la démarche qualité et à développer une gestion

Plus en détail

1. Identification de la substance ou préparation et de la Société. 2. Composition/ informations sur les composants

1. Identification de la substance ou préparation et de la Société. 2. Composition/ informations sur les composants Date d impression : 23/08/02 Valable à partir du : 08.08.01 Page: 1/7 1. Identification de la substance ou préparation et de la Société Données relatives au produit : Nom commercial : KNAUF ZADUR Mortier

Plus en détail

RAID PIEGES ANTI-FOURMIS x 2 1/5 Date de création/révision: 25/10/1998 FICHE DE DONNEES DE SECURITE NON CLASSE

RAID PIEGES ANTI-FOURMIS x 2 1/5 Date de création/révision: 25/10/1998 FICHE DE DONNEES DE SECURITE NON CLASSE RAID PIEGES ANTI-FOURMIS x 2 1/5 RAISON SOCIALE JOHNSONDIVERSEY FICHE DE DONNEES DE SECURITE RISQUES SPECIFIQUES NON CLASSE 1 IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE - NOM DU PRODUIT RAID PIEGES ANTI-FOURMIS

Plus en détail

LE FILTRE A PARTICULES : SES PROBLEMATIQUES ET NOS SOLUTIONS

LE FILTRE A PARTICULES : SES PROBLEMATIQUES ET NOS SOLUTIONS LE FILTRE A PARTICULES : SES PROBLEMATIQUES ET NOS SOLUTIONS 1. NOTIONS DE BASE 2. CAUSES POSSIBLES DE DYSFONCTIONNEMENT 3. POURQUOI NETTOYER PLUTÔT QUE CHANGER? 4. METHODOLOGIE D APPLICATION FAP-NET (réf.

Plus en détail

C. Magdo, Altis Semiconductor (Corbeil-Essonne) > NOTE D APPLICATION N 2

C. Magdo, Altis Semiconductor (Corbeil-Essonne) > NOTE D APPLICATION N 2 C. Magdo, Altis Semiconductor (Corbeil-Essonne) - JANVIER 2008 INTRODUCTION La fabrication de semi-conducteurs nécessite un environnement de production extrêmement stable en température et hygrométrie.

Plus en détail

Evaluation des risques professionnels dans les établissements de santé (dr.l.sctrick)

Evaluation des risques professionnels dans les établissements de santé (dr.l.sctrick) Evaluation des risques professionnels dans les établissements de santé (dr.l.sctrick) Le danger : propriété ou capacité intrinsèque d un équipement, d une substance, d une méthode de travail, de causer

Plus en détail

SECTION 3: Composition/informations sur les composants 3.2. Mélanges % CAS # (EC) No 1272/2008 1999/45/EC Deuterium oxide 99.

SECTION 3: Composition/informations sur les composants 3.2. Mélanges % CAS # (EC) No 1272/2008 1999/45/EC Deuterium oxide 99. FICHE TECHNIQUE SANTE-SECURITE Selon la règlementation (CE) n 1907/2006 Date de la modification: 07/10/14 www.restek.com SECTION 1: Identification de la substance/du mélange et de la société/l entreprise

Plus en détail

PH Moins 1. IDENTIFICATION DE LA SUBSTANCE/DU MÉLANGE ET DE LA SOCIÉTÉ/ENTREPRISE. Postbus 12 5373 ZG Herpen Pays-Bas +31 (0) 486 416 959

PH Moins 1. IDENTIFICATION DE LA SUBSTANCE/DU MÉLANGE ET DE LA SOCIÉTÉ/ENTREPRISE. Postbus 12 5373 ZG Herpen Pays-Bas +31 (0) 486 416 959 1. IDENTIFICATION DE LA SUBSTANCE/DU MÉLANGE ET DE LA SOCIÉTÉ/ENTREPRISE Nom de product Acide phosphorique 59% Article no. Substance/préperation substance L utilisation de la substance ajustement du ph

Plus en détail

KASOLV 16 Silicate de potassium

KASOLV 16 Silicate de potassium FICHE SIGNALÉTIQUE KASOLV 16 Silicate de potassium Date de préparation: 4/9/2012 Page: 1 de 6 1. IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA COMPAGNIE Nom commun: KASOLV 16 Silicate de potassium Description du

Plus en détail

Signalement et gestion des infections respiratoires aiguës (IRA) et des gastroentérites aiguës (GEA) 19 juin 2014

Signalement et gestion des infections respiratoires aiguës (IRA) et des gastroentérites aiguës (GEA) 19 juin 2014 Signalement et gestion des infections respiratoires aiguës (IRA) et des gastroentérites aiguës (GEA) 19 juin 2014 Nadège Caillere, Cire Océan Indien Dr Joao Simoes, Cellule de veille, d alerte et de gestion

Plus en détail

AVIS. de l'agence nationale de sécurité sanitaire de l alimentation, de l environnement et du travail

AVIS. de l'agence nationale de sécurité sanitaire de l alimentation, de l environnement et du travail Le Directeur général Maisons-Alfort, le 1 er avril 2014 AVIS de l'agence nationale de sécurité sanitaire de l alimentation, de l environnement et du travail relatif à la demande d autorisation de mise

Plus en détail

FORMATION REFERENTS HYGIENE 14 HEURES (Décret 2011-731 du 24/06/2011 et Arrêté du 5/10/2011)

FORMATION REFERENTS HYGIENE 14 HEURES (Décret 2011-731 du 24/06/2011 et Arrêté du 5/10/2011) FORMATION REFERENTS HYGIENE 14 HEURES (Décret 2011-731 du 24/06/2011 et Arrêté du 5/10/2011) Interlocuteur Eurofins Biosciences : Lionel GROSJEAN Eurofins Biosciences Responsable Formation Conseil RHD

Plus en détail

BRICOLAGE. Les précautions à prendre

BRICOLAGE. Les précautions à prendre BRICOLAGE Les précautions à prendre Chaque année, près de 300 000 personnes arrivent aux Urgences à la suite d un accident de bricolage et/ou de jardinage. Respecter quelques règles simples de prévention

Plus en détail

PARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME. Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement

PARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME. Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement PARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement I- Les microbes dans notre environnement Qu est-ce qu un microbe? Où se trouvent-ils?

Plus en détail

Ensemble nous aurons l air meilleur!

Ensemble nous aurons l air meilleur! Les bons gestes au quotidien pour préserver la qualité de notre air Ensemble nous aurons l air meilleur! Saviez-vous que nous avons besoin d un litre et demi d eau et de 14 000 litres d air par jour pour

Plus en détail

HACCP et sécurité sanitaire des aliments

HACCP et sécurité sanitaire des aliments HACCP et sécurité sanitaire des aliments 1. A votre avis, comment cet accident aurait-il pu être évité? En identifiant les risques alimentaires potentiels liés à l activité de conserverie artisanale et

Plus en détail

Le bac à graisses PRETRAITEMENT. Schéma de principe. Volume du bac à graisses. Pose

Le bac à graisses PRETRAITEMENT. Schéma de principe. Volume du bac à graisses. Pose Le bac à graisses Schéma de principe Lorsqu on a une longueur de canalisation importante entre la sortie des eaux de cuisine et la fosse septique toutes eaux, il est fortement conseillé d intercaler un

Plus en détail

Fiche de données de Sécurité

Fiche de données de Sécurité Page: 1/6 ETIQUETTE DU PRODUIT ETIQUETAGE (d'usage ou CE): Concerné Contient : Phrases de risque : Conseils de prudence : Xn Nocif Solvant naphta aromatique lourd solvant naphta aromatique leger (benzène

Plus en détail

DISTRIBUTION DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR VOIE ORALE PAR L INFIRMIERE : RISQUE DE NON PRISE DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR LE PATIENT

DISTRIBUTION DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR VOIE ORALE PAR L INFIRMIERE : RISQUE DE NON PRISE DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR LE PATIENT INSTITUT DE FORMATION DES CADRES DE SANTE ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS ACTIVITE PROFESSIONNELLE N 8 : LE CADRE GERE LES RISQUES CONCERNANT LES PRESTATIONS, LES CONDITIONS DE TRAVAIL DES PERSONNELS,

Plus en détail

formations professionnelles fin 2014 / début 2015 hygiène alimentaire en restauration collective audit, conseil et formation professionnelle

formations professionnelles fin 2014 / début 2015 hygiène alimentaire en restauration collective audit, conseil et formation professionnelle audit, conseil et formation professionnelle Stage 1 Bonnes pratiques d hygiène en restauration collective 19 et 26 novembre Stage 2 Règles d hygiène lors du service 3 décembre Stage 3 Le nettoyage et la

Plus en détail

Recommandations des experts de la Société de réanimation de langue française, janvier 2002 Prévention de la transmission croisée en réanimation

Recommandations des experts de la Société de réanimation de langue française, janvier 2002 Prévention de la transmission croisée en réanimation Réanimation 2002 ; 11 : 250-6 2002 Éditions scientifiques et médicales Elsevier SAS. Tous droits réservés S1624069302002414/FLA RECOMMANDATIONS Recommandations des experts de la Société de réanimation

Plus en détail

Résumé des modifications intervenues : simplification et clarification des actions descriptives

Résumé des modifications intervenues : simplification et clarification des actions descriptives Référence : PT/RES/006-B Page :Page 1 sur 5 Objet : Maîtriser les dangers microbiologiques, biologiques, chimiques et physiques lors des opérations d épluchage, lavage et désinfection des légumes terreux,

Plus en détail

Hygiène alimentaire. Introduction

Hygiène alimentaire. Introduction Direction des études Mission Santé-sécurité au travail dans les fonctions publiques (MSSTFP) Hygiène alimentaire Introduction Le temps de travail ne permet pas souvent aux salariés de déjeuner chez eux

Plus en détail

SECTION 1: Identification de la substance/du mélange et de la société/l entreprise

SECTION 1: Identification de la substance/du mélange et de la société/l entreprise SECTION 1: Identification de la substance/du mélange et de la société/l entreprise Identificateur de produit Nom commercial Utilisations identifiées pertinentes de la substance ou du mélange et utilisations

Plus en détail

EVALUER LA MAITRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD

EVALUER LA MAITRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD EVALUER LA MAITRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD Dr. Nathalie MAUBOURGUET Lundi 24 novembre 2008 Ministère de la Santé, Salle Laroque Séminaire National sur l Organisation de la Prévention des Infections

Plus en détail

o Non o Non o Oui o Non

o Non o Non o Oui o Non Enquête générale (à remplir une fois) [ ] = plusieurs réponses possibles o = une seule réponse possible Date de votre réponse à ce questionnaire Nombre de lits dans l'unité Connaissez-vous l incidence

Plus en détail

La résistance d'agents infectieux aux médicaments antimicrobiens

La résistance d'agents infectieux aux médicaments antimicrobiens DECLARATION COMMUNE DES ACADEMIES DU G SCIENCE 2013 La résistance d'agents infectieux aux médicaments antimicrobiens Une menace globale pour l'humanité Depuis l introduction dans les années 40 du premier

Plus en détail

Hygiène de l eau potable avec Geberit Toujours en mouvement.

Hygiène de l eau potable avec Geberit Toujours en mouvement. Hygiène de l eau potable avec Geberit Toujours en mouvement. Pour un système d'eau potable fiable SIMPLEMENT BIEN APPROVISIONNÉ Un risque méconnu. Les légionnelles. Lorsqu'il s'agit des dangers de la douche,

Plus en détail

VOTRE EAU CHAUDE ELECTRIQUE

VOTRE EAU CHAUDE ELECTRIQUE G U I D E VOTRE EAU CHAUDE ELECTRIQUE SICAE Une réduction d'impôts peut être obtenue (sous certaines conditions) lors du remplacement de votre chauffe-eau électrique. Renseignez-vous auprès du Centre des

Plus en détail

SECURITE SANITAIRE ET RESTAURATION COLLECTIVE A CARACTERE SOCIAL

SECURITE SANITAIRE ET RESTAURATION COLLECTIVE A CARACTERE SOCIAL SECURITE SANITAIRE ET RESTAURATION COLLECTIVE A CARACTERE SOCIAL Références réglementaires : Règlement N 178/2002 établissant les principes généraux et les prescriptions générales de la législation alimentaire

Plus en détail

GUIDE TECHNIQUE. Maîtrise du risque de développement des légionelles dans les réseaux d eau chaude sanitaire. Maîtrise du risque de développement

GUIDE TECHNIQUE. Maîtrise du risque de développement des légionelles dans les réseaux d eau chaude sanitaire. Maîtrise du risque de développement Maîtrise du risque de développement des légionelles dans les réseaux d eau chaude sanitaire Ce document vise à apporter au chef d établissement ou au responsable gestionnaire, une meilleure lisibilité

Plus en détail

Contexte réglementaire en hygiène alimentaire

Contexte réglementaire en hygiène alimentaire Contexte réglementaire en hygiène alimentaire 1 Réforme de la législation communautaire pour la restauration collective Approche traditionnelle = obligation de moyens Réglementation Arrêté Ministériel

Plus en détail

Peroxyacide pour l'hygiène dans les industries agroalimentaires

Peroxyacide pour l'hygiène dans les industries agroalimentaires P3-oxonia active Description Peroxyacide pour l'hygiène dans les industries agroalimentaires Qualités Le P3-oxonia active est efficace à froid. Il n'est ni rémanent ni polluant. Il ne contient pas d'acide

Plus en détail

LES SOINS D HYGIENE l hygiène bucco dentaire. Formation en Hygiène des EMS de la Somme EOH CH ABBEVILLE JUIN 2015

LES SOINS D HYGIENE l hygiène bucco dentaire. Formation en Hygiène des EMS de la Somme EOH CH ABBEVILLE JUIN 2015 LES SOINS D HYGIENE l hygiène bucco dentaire Formation en Hygiène des EMS de la Somme EOH CH ABBEVILLE JUIN 2015 1 SOINS DE BOUCHE ENTRETIEN DES PROTHESES DENTAIRES L état bucco-dentaire est souvent préoccupant

Plus en détail

La principale cause du développement

La principale cause du développement LES AUTRES thèmes LA MAÎTRISE DU RISQUE LEGIONELLES Gestion de la problématique Legionella dans les réseaux d eau chaude sanitaire : conception, maintenance et surveillance biologique Jacques Naitychia,

Plus en détail

Utilisation de produits sains et sûrs Mise en oeuvre de procédures strictes et rigoureuses

Utilisation de produits sains et sûrs Mise en oeuvre de procédures strictes et rigoureuses INTRODUCTION H.A.C.C.P. ou A.R.M.P.C. L Analyse des risques et maîtrise des points critique La nouvelle réglementation en matière d hygiène (ar. 09 mai 1995 et ar. 29 septembre 1997) oblige les responsables

Plus en détail

Se protéger contre la contamination par les micro-organismes. Gazole, gazole non routier et fioul domestique Cuves de stockage et réservoirs

Se protéger contre la contamination par les micro-organismes. Gazole, gazole non routier et fioul domestique Cuves de stockage et réservoirs 0193 exe TOTAL A5 contamination_mise en page 1 20/09/11 15:41 Page1 Se protéger contre la contamination par les micro-organismes Gazole, gazole non routier et fioul domestique Cuves de stockage et réservoirs

Plus en détail

Le confort de l eau chaude sanitaire. Gamme complète certifiée ACS pour le traitement de l eau chaude sanitaire

Le confort de l eau chaude sanitaire. Gamme complète certifiée ACS pour le traitement de l eau chaude sanitaire Le confort de l eau chaude sanitaire Gamme complète certifiée ACS pour le traitement de l eau chaude sanitaire Attestation de Conformité Sanitaire Afi n de réduire les quantités de matières toxiques pouvant

Plus en détail

STOP à la Transmission des microorganismes!

STOP à la Transmission des microorganismes! STOP à la Transmission des microorganismes! M.E Gengler Vendredi 25 Avril 2014 Vous avez ditstandard? Voici les «Précautions Standard» ou PS Les Précautions Standard : la Loi Respectez les «précautions

Plus en détail

La réglementation quelques incontournables

La réglementation quelques incontournables Unité d Hygiène et d Épidémiologie 2012 La réglementation quelques incontournables Code du Travail - Article L 231-2 du titre 3 Hygiène, sécurité et conditions de travail Paragraphe 2 : «Les établissements

Plus en détail

Gestion du risque lié aux légionelles

Gestion du risque lié aux légionelles CONSEIL SUPERIEUR D HYGIENE PUBLIQUE DE FRANCE Section des eaux Section des milieux de vie Section des maladies transmissibles Gestion du risque lié aux légionelles Novembre 2001 Gestion du risque lié

Plus en détail

FICHE DE DONNEES DE SECURITE. 1 Identification de la Substance / du Mélange et de la Société / l Entreprise

FICHE DE DONNEES DE SECURITE. 1 Identification de la Substance / du Mélange et de la Société / l Entreprise FICHE DE DONNEES DE SECURITE MAURAN SAS Modèle conforme au Règlement Européen n 453/2010 NOM PRODUIT : Indice et Date de mise à jour : Page : 1/7 1 Identification de la Substance / du Mélange et de la

Plus en détail

Vulcano Pièges Fourmis

Vulcano Pièges Fourmis FDS Conforme au règlement 1907/2006/CE et 1272/2008/CE 16-12-10- Page 1/5 FICHES DE DONNEES DE SECURITE 1. IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE Produit : Utilisation : Fournisseur : Vulcano Pièges

Plus en détail

Est-elle bonne à boire?

Est-elle bonne à boire? Environnement et Travail Gestion de l environnement et des aires naturelles L eau de votre puits Est-elle bonne à boire? 1 Cette série de brochures décrit ce que les propriétaires de puits privés peuvent

Plus en détail

Information détaillée pour Legionella

Information détaillée pour Legionella Information détaillée pour Legionella Legionellosis est une infection de poumon une forme rare de pneumonie causé par une bactérie nommée Legionella pneumophila. Il y a deux formes de legionellosis : la

Plus en détail

La baignade en piscine est un plaisir

La baignade en piscine est un plaisir La baignade en piscine est un plaisir et doit le rester. C est également un facteur d attrait touristique dans notre région. Cependant une piscine mal gérée et mal entretenue peut être la source d inconfort

Plus en détail

GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE

GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les

Plus en détail

Conception et maintenance des réseaux d eau à l intérieur des bâtiments

Conception et maintenance des réseaux d eau à l intérieur des bâtiments Conception et maintenance des réseaux d eau à l intérieur des bâtiments Olivier CORREC Mél : olivier.correc@cstb.fr Contexte des réseaux d eau sanitaire Exigences générales : o Sécuriser la consommation

Plus en détail