Eléments. de caractérisation de la population caprine. Cou Clair du Berry

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Eléments. de caractérisation de la population caprine. Cou Clair du Berry"

Transcription

1 Eléments de caractérisation de la population caprine Cou Clair du Berry Amandine Priac, Responsable de projet Pôle BioDom Centre

2 INTRODUCTION La chèvre a longtemps été considérée comme l animal du pauvre. Aussi, bien que de nombreuses populations caprines locales existaient au XXème siècle au travers la France, la reconnaissance des races caprines n a eu lieu que très tardivement. La modernisation de l agriculture ayant alors été enclenchée, de nombreuses populations ont disparues, remplacées ou absorbées par les races caprines associées à l époque au phénomène de modernisation et d uniformisation agricole. Peu de traces subsistent aujourd hui de cette richesse domestique. Sont parvenues jusqu à nous près d une dizaine de races caprines locales dont 6 sont reconnues officiellement en tant que race. La Cou Clair du Berry fait partie de ces dernières. Pour aller vers la reconnaissance officielle de la chèvre Cou Clair du Berry par le Ministère de l agriculture, il est indispensable de développer un plan de gestion relatif notamment à la maitrise de la consanguinité mais aussi de caractériser la population en présence. A la suite de l Assemblée Générale 2012, l ARCCB a pris la décision de réaliser, avec l appui de l URGB (Union pour les ressources génétiques du Berry) la caractérisation de certains éléments phénotypiques et morphologiques des chèvres de la population Cou Clair du Berry. Cette caractérisation permettra de définir des éléments de standards précis sur lesquels le réseau d éleveurs et l ARCCB pourront s appuyer pour développer le projet en faveur de cette population caprine.

3 I. Le pointage a. Préparation L organisation des pointeurs Le groupe «pointage» est constituée de : - Etienne Grosset, adhérent de l ARCCB et éleveur amateur - Jean-Charles Vallet et Gerard Baril, anciens physiologistes de la reproduction à l INRA - Amandine Priac, Responsable de projet du Pôle BioDom Centre Les pointeurs devront se «caler» avant le 1 er enregistrement. Pour ce faire, un entrainement préalable devra être effectué : chacun des pointeurs effectuera les enregistrements indépendamment sur plusieurs chèvres. Les résultats seront comparés, l objectif étant que les enregistrements de chacun des pointeurs pour une même chèvre soient les plus proches possibles. Afin de caractériser la population à partir d individus représentatifs du développement à l âge adulte, le pointage sera effectué sur des animaux ayant au moins été mis une fois à la reproduction. Bien que le développement ne soit pas encore terminé à cet âge, il représente en moyenne 70% du développement final. Les outils du pointage Une grille d évaluation (ANNEXE 1) a été mise au point afin de d enregistrer les caractères morphologiques et phénotypiques voulus. Afin d aider les pointeurs dans l observation de chacun des caractères, un guide d aide au pointage a été réalisé en complément de la grille (ANEXXE 2). Des photographies complèteront l enregistrement des caractères par la grille de pointage. Au minimum deux photographies seront prises pour chaque animal : - une photo de face, - une photo de profil. b. Déroulement (ANNEXE 3) Les élevages visités Lors de la réalisation du pointage des animaux de la population Cou Clair du Berry, 12 élevages ont été visités sur les 16 en lien avec l ARCCB, soit 112 chèvres pointées sur 121 (92,5%). Plusieurs explications à la non visite des 5 élevages. Un des propriétaires a arrêté son activité et les animaux ont changés de main mais l information n a pas eu lieu. 3 élevages se situent sur les départements de l Indre-et-Loire, du Loiret et des Côtes d or. Enfin, un élevage dans le 3- mais avec des chevrettes (pointage moins riche). Il faut souligner le très bon accueil qui a été réservé à ce travail par tous les éleveurs, professionnels comme amateurs. Les pointeurs présents Deux des pointages réalisés l ont été par l équipe de pointeurs au complet. Ce fut le cas lors du premier pointage effectué chez M. et Mme Doyelle. Ce pointage avait pour but de faire s entrainer ensemble tous les pointeurs et de caller au mieux les observations. L équipe a été rassemblée au complet lors du dernier pointage, pointage effectué chez M. et Mme Chichéry. Il était très important d être nombreux à ce moment car c est l élevage qui comprend de loin l effectif le plus important en termes de chèvres cou clair du Berry.

4 Ensuite, la grande majorité des pointages ont été effectués par le binôme Etienne Grosset- Amandine Priac. Seules deux visites ont été effectuées uniquement par Amandine pour cause d empêchement professionnel ou personnel des autres pointeurs.

5 II. Les résultats a. Caractères fonctionnels Les mamelles et trayons Le pointage de la mamelle et des trayons n a pu être réalisé à chaque fois. De nombreux élevages amateurs ne traient pas les animaux et certaines chèvres n ont jamais été mises à la reproduction. La mamelle de ces chèvres n est donc pas comparable à celle de chèvres en production. De plus, la majorité du pointage a été effectué en période de tarissement. Un pointage correct nécessiterait un entrainement préalable plus approfondit. Les quelques données récoltées ne seront donc pas analysées. Les tares et défauts majeurs Aucune tare fonctionnelle ne ressort du pointage effectué (double trayon, hernie ombilicale, mâchoire). De même, aucun défaut majeur n est à signaler de façon récurrente sur les animaux pointés (inclinaison du bassin et des paturons, ligne de dos). Le gabarit (ANNEXE 4) Le gabarit des animaux a été enregistré au moyen des quatre critères suivants : hauteur au garrot, longueur du corps, tour de poitrine, tour de paturon. Chez les femelles, les moyennes pour la hauteur au garrot et la longueur du corps sont assez homogènes. Les écart-types sont compris entre 4,5 et 6cm. La hauteur au garrot varie de 63 à 85cm. Pour le tour de poitrine, certaines valeurs faibles tirent la moyenne vers le bas. Le tour de paturon, d une moyenne de 9,7cm, varie très peu. hauteur au garrot longueur du corps tour de poitrine tour de paturon 73cm 79,6cm 90,5cm 9,7cm Moyennes des mensurations chez les femelles Seuls six mâles ont été pointés. Sur ces six, un est né de l année. Les mensurations ne sont donc pas utilisées dans l étude car non représentatives de son développement à terme. Un autre a été écarté de l étude chiffrée car il a subi un retard de croissance conséquent. L analyse porte donc uniquement sur 4 mâles. Comme pour les femelles, on peut observer que les mensurations pour la hauteur au garrot et la longueur du corps varient peu. La hauteur au garrot varie de 82 à 90cm. On observe aussi une très forte homogénéité du tour de paturon qui varie le 10,5 à 11,5cm. hauteur au garrot longueur du corps tour de poitrine tour de paturon 85,7cm 86,7cm 100cm 11,25cm Moyennes des mensurations chez les mâles Les mensurations indiquées dans les standards caprins existant mentionnent uniquement la hauteur au garrot. L Alpine, la Saanen et la Rove possèdent les hauteurs au garrot les plus fortes avec une taille moyenne de 70 à 80cm pour la chèvre et de 90cm à 1m au garrot pour les mâles. Pour la Pyrénéenne, les femelles mesurent en moyenne 65 à 80cm et le bouc 90cm. Chez la Poitevine, la moyenne de la hauteur au garrot des femelles est de 65 à 75com et de 85 à 95cm pour les mâles. Pour la chèvre de Lorraine, une étude a mis en évidence une hauteur au garrot moyenne de 74cm. La hauteur au garrot fixée dans le standard est de 65 cm minimum à l âge de 2 ans. Cette taille permet d éviter les animaux tendant vers un type «nain» ou «semi-nain». La hauteur au garrot, mentionnée à titre indicatif par l ARCCB avant la réalisation du pointage, était de 60-75cm pour les femelles et de 70-80cm pour les mâles. Les mensurations observées lors de cette étude sont supérieures.

6 Proposition : D après les résultats du pointage, les mensurations recherchées en termes de hauteur au garrot pourraient être 65-75cm pour les femelles et 80-90cm pour les mâles. b. Caractères spécifiques Les éléments pointés pour caractériser les caractères spécifiques des chèvres de la population Cou Clair du Berry étaient notamment la présence ou non des «barettes» (ligne noir sur la joue), des «chaussettes» et de la ligne dorsale noire. Des photographies (tête et corps de profil) sont venues en appui. La délimitation avant/arrière et la «ligne» sur la joue Une des grande caractéristique de la Cou Clair est la délimitation entre l avant du corps d une couleur «clair» et l arrière du corps d une couleur «foncé». Cette délimitation s accompagne dans le meilleure des cas de deux taches caractéristiques dans la partie arrière du corps. Une des taches se situe sur le flanc, une autre sur le postérieur. Ces taches sont symétriques de part et d autre de l animal. La délimitation avant «clair/arrière «foncé» est plus ou moins bien marquée selon les animaux. 6% des animaux possèdent uniquement une large bande noire à l arrière du corps. 14% des animaux possèdent une délimitation «diffuse». Dans ces deux cas, les marques sur le flanc et le postérieur sont absentes ou apparaissent très légèrement. Dans 70% des cas, la délimitation peut être qualifiée de «nette». Un gradient dans la netteté de la délimitation est observé. Dans ce cas, les taches sont assez bien à très bien délimitées. On s aperçoit que la limite entre l arrière foncé et l avant clair se situe à environ la moitié du corps. Enfin, dans 10% des cas, la partie très foncée de l arrière du corps est très marquée et avance très nettement vers l avant du corps. Dans ce cas, les taches peuvent être peu visibles, la couleur foncé dominant fortement et c est souvent la tache sur le flanc qui est, dans ces cas, la moins visible.

7 Délimitation avant «clair»/arrière «foncé» Un autre signe important dans le phénotype est la «virgule» foncée sur la joue. C est une ligne qui part de l œil et se dirige vers la commissure des lèvres. Cette ligne est plus ou moins bien délimitée selon les animaux. Chez 12% d entre eux, on observe l absence de cette ligne ou uniquement quelques «traces». Dans ce cas, la ligne n apparait pas continue mais sous forme de «pointillés». Dans 74% des cas, la ligne est bien délimitée et apparait de façon continue. Cette ligne peut être plus ou moins prononcée : elle apparait sous forme d une ligne plus ou moins large. Enfin, dans 14% des cas, cette ligne est diffuse : la ligne de la joue rejoint le noir du chanfrein.

8 Délimitation de la ligne de la joue Enfin, il est intéressant de noter que la délimitation avant «clair»/arrière «foncé» et la délimitation de la ligne de la joue sont assez bien corrélés. Un animal qui aura une délimitation avant/arrière bien marqué aura une ligne sur la joue bien délimité et inversement. Proposition : Il est important que ces signes très distinctifs soient bien marqués chez les animaux de la population Cou Clair du Berry. Il est impératif de privilégier des animaux dont la délimitation avant/arrière et la délimitation de la trace sur la joue sont bien nettes. Le type correspondant au cas où la couleur foncée est «envahissante» (partie foncée arrière avançant fortement vers l avant du corps et ligne de la joue qui rejoint le chanfrein) ne semble pas être à éviter du moment où une partie claire à l avant reste présente. Il faut chercher à éviter le type correspondant à une délimitation pas assez nette de ces caractères et qui peut être signe d une dilution avec du sang Alpin. La ligne sur la joue pourrait être couramment identifiée par le terme «virgule». Ce terme permettrait de ne pas utiliser le nom de «barrette» correspondant aux lignes caractéristiques des chèvres Poitevines.

9 Le cornage, la barbiche et les pampilles Le pointage a relevé seulement 2 animaux mottes. La barbiche et les pampilles sont régulièrement présentes. Proposition : Au sein des caractères préfigurant le standard, il peut être mentionné le choix de tolérer ou non des animaux mottes. De plus, il peut être mentionné que barbiches et pampilles apparaissent dans la population Cou Clair du Berry. Couleur du corps A l avant, la couleur observée chez les animaux pointés possède de nombreuses nuances entre le beige très clair et le chamoisé foncé. Cette diversité des couleurs a été regroupée sous quatre nuances différentes. Couleurs de la partie «avant» Le «beige clair» correspond à une couleur très clair, qui tire vers le blanc. Près d un quart des individus possèdent expriment cette couleur. Le «beige» correspond ici à une nuance jaunâtre, pouvant se rapprocher du «café au lait». 26% des animaux expriment cette couleur. Le chamoisé clair correspond ici à un marron souvent «saumoné» et

10 représente 40% des animaux. Enfin, 20% des animaux possèdent une couleur chamoisée assez foncée. Chez la majorité des animaux, l arrière est de couleur noir. Nous avons rencontré des animaux avec un arrière de couleur chamoisé, pouvant même être un chamoisé très clair. Ce type n a pas été comptabilisé dans l analyse des couleurs (ANNEXE 5). Proposition : La couleur «marron» à l arrière du corps ne semble pas caractéristique du type Cou Clair. Il faut éviter ce caractère dans les animaux Cou Clair du Berry. Longueur du poil La population Cou Clair du Berry est représentée par des animaux au poil long et court. Sur le total des animaux pointés, 81% possèdent du poil ras. Dans les 19% avec du poil long, 15,5% ont du poil long localisé sur la ligne dorsale et la jupe et seulement 3,5% possèdent un poil mi-long à long dans son ensemble. Un élevage, qui représente près de 50% de l effectif total, oriente fortement ce caractère vers le poil ras. Longueur du poil Pour les éleveurs, il ne semble pas que l orientation de ce caractère vers du poil long ou court soit actuellement primordial dans la définition du standard. Il y a 5 ans, une orientation en faveur du poil long a été prise. Le poil long est vu par certains comme un atout car il permet de distinguer la Cou Clair du Berry du type Cou Clair présent dans la population des

11 chèvres de Savoie. De plus, c est un rappel de la «chèvre commune» avant le développement d un bassin d élevage d une population Cou Clair dans le Berry, chèvre «commune» qui était fortement liée à la chèvre de type massif-central et Poitevin à poil long. Proposition : L ARCCB peut, tant que ça ne remet pas en cause la reconnaissance de la population en tant que race, rester sur l acceptation des animaux à poil long et à poil court. Les autres signes Les animaux possèdent un port d oreilles horizontal à dressé. La grande majorité des animaux possède du noir sur les pattes, les chaussettes se trouvant être entières ou non. De même, la ligne dorsale noire est très fréquente. On observe parfois un changement de couleur de la ligne dorsale : celle-ci devient claire dans la partie arrière du corps, partie qui est de couleur foncée. Le ventre est souvent noir mais peut être clair (de la couleur de l avant du corps). On observe aussi très régulièrement un «écusson» noir derrière la tête et l intérieur des oreilles noir. Proposition : Ces éléments sont caractéristiques de la robe de la race Alpine. Ils peuvent traduire l infusion de sang étranger Alpin mais aussi rappeler le lien historique avec la population caprine des Alpes. La forte représentation de ces caractères dans la population rendrait difficile leur disgrâce dans le standard. Enfin, quelques animaux possèdent des barrettes blanches type British (ANNEXE 6). Proposition : L apparition de barrettes blanches est très rare et ne semble pas caractéristique du type Cou Clair du Berry. Il faudrait chercher à éviter ce caractère.

12 CONCLUSION Le pointage des animaux réalisé en 2012 a permis de mettre en avant certaines caractéristiques de la population Cou clair du Berry. Bien que des éléments de standard aient déjà été avancés par l ARCCB, aucun standard officiel n a jamais été défini pour cette population. Pourtant, il est intéressant de constater que les éleveurs se rejoignent sur la grande majorité des critères qui définissent une «belle Cou Clair du Berry». Quelques critères, notamment la longueur du poil, posent encore question. De plus, le positionnement de l ARCCB face à certains caractères typiques de la race Alpine doit être précisé. L ARCCB est maintenant en mesure de préciser certains éléments de caractérisation morphologique et phénotypique de cette population. Ces caractéristiques devront être mises en avant auprès des éleveurs afin qu ils orientent petit à petit leur sélection en évitant les animaux présentant des caractères à éviter.

13 ANNEXE 1

14

15

16 ANNEXE 2

17

18 ANNEXE 3 Nom Activité dpt femelles Chevrettes 2012 mâles Pointeurse Baas & Haalebos pro transformation AP, EG Blanc pro transformation AP, EG Chichery pro transformation AP, EG, J-CV, GB Doyelle pro transformation AP, EG, J-CV, GB Duris pro transformation AP Augey-Pearon ferme pédagogique itinérante et sédentaire AP : Aandine Priac EG : Etienne Grosset J-CV : Jean-Charles Vallet GB : Gérard Baril AP Sésame Autisme Cher ferme pédagogique AP, EG Bernardet amateur AP, EG Brucy amateur AP, EG Grosset amateur AP, EG Perrot amateur AP, EG Sertilanges amateur AP, EG Bulot amateur Brulebaut amateur Vermée amateur Lambert amateur

19 ANNEXE quartile1 min mediane max quartile hauteur au garrot longueur du corps tour de poitrine tour de paturon

20 quartile1 min mediane max quartile hauteur au garrot longueur du corps tour de poitrine tour de paturon ANNEXE 5

21 ANNEXE 6

Génétique et génomique Pierre Martin

Génétique et génomique Pierre Martin Génétique et génomique Pierre Martin Principe de la sélections Repérage des animaux intéressants X Accouplements Programmés Sélection des meilleurs mâles pour la diffusion Index diffusés Indexation simultanée

Plus en détail

IOC 2010 Support à destination des éleveurs caprins CR n 00 10 78 010

IOC 2010 Support à destination des éleveurs caprins CR n 00 10 78 010 Identification électronique des caprins ELEVEUR IOC 2010 Support à destination des éleveurs caprins CR n 00 10 78 010 La règlementation Le règlement européen 21/2004: les deux étapes Les textes français

Plus en détail

Bovins viande. Effectifs troupeaux et animaux par région en 2013. Total élevages. Nbre de veaux pesés en VA0. Nbre de veaux pesés en VA4

Bovins viande. Effectifs troupeaux et animaux par région en 2013. Total élevages. Nbre de veaux pesés en VA0. Nbre de veaux pesés en VA4 Bovins viande Effectifs troupeaux et animaux par région en 2013 Chif Régions Nbre de Nbre de Nbre de troupeaux troupeaux troupeaux adhérents adhérents suivis en en VA4 en VA0 engraissement Nbre de troupeaux

Plus en détail

CONSERVATION DU PATRIMOINE VIVANT DU MARAIS POITEVIN ENJEUX ET PERSPECTIVES. CREGENE: 2 rue de l église 79510 COULON 05 49 35 15 40 cregene@gmail.

CONSERVATION DU PATRIMOINE VIVANT DU MARAIS POITEVIN ENJEUX ET PERSPECTIVES. CREGENE: 2 rue de l église 79510 COULON 05 49 35 15 40 cregene@gmail. CONSERVATION DU PATRIMOINE VIVANT DU MARAIS POITEVIN ENJEUX ET PERSPECTIVES CREGENE: 2 rue de l église 79510 COULON 05 49 35 15 40 cregene@gmail.com Espèces locales et territoire, un destin commun? Pâturage

Plus en détail

Sarcelle d été. Anas querquedula

Sarcelle d été. Anas querquedula Sarcelle d été Anas querquedula Neil Fifer Sarcelles d été Hong Kong. R.P de Chine Principaux caractères spécifiques La sarcelle d été est un canard de petite taille, un peu plus massif que la sarcelle

Plus en détail

BRUNO SAINT HUBERT FRANCAIS

BRUNO SAINT HUBERT FRANCAIS Standard S.C.C (2003) ORIGINE : France. BRUNO SAINT HUBERT FRANCAIS DATE DE PUBLICATION DU STANDARD D ORIGINE EN VIGUEUR :.. UTILISATION : Chien de petite Vénerie capable de chasser dans tous les terrains

Plus en détail

RECUEIL SOMMET DE L ÉLEVAGE 2009 IDENTIFICATION ÉLECTRONIQUE DES BOVINS, OVINS ET CAPRINS

RECUEIL SOMMET DE L ÉLEVAGE 2009 IDENTIFICATION ÉLECTRONIQUE DES BOVINS, OVINS ET CAPRINS RECUEIL IDENTIFICATION ÉLECTRONIQUE DES BOVINS, OVINS ET CAPRINS SOMMET DE L ÉLEVAGE 2009 Institut de l Élevage, 149 rue de Bercy, 75595 PARIS Cedex 12 Boucle électronique officielle : questions-réponses

Plus en détail

Placettes vers de terre. Protocole Fiche «Description spécifique» Fiche «Observations» www.observatoire-agricole-biodiversite.fr

Placettes vers de terre. Protocole Fiche «Description spécifique» Fiche «Observations» www.observatoire-agricole-biodiversite.fr Protocole Fiche «Description spécifique» Fiche «Observations» 13 PROTOCOLE 1/2 Les vers de terre sont de bons indicateurs de la qualité du sol. Ils sont également des acteurs indispensables de sa fertilité

Plus en détail

Samedi 23 Mai 2015 Marché des animaux de la ferme & ferme pédagogique

Samedi 23 Mai 2015 Marché des animaux de la ferme & ferme pédagogique Samedi 23 Mai 2015 Marché des animaux de la ferme & ferme pédagogique REGLEMENT GENERAL Le Clos du Verger organise cette année les Champêtreries a Jasseron le 23 Mai 2015. Au programme : Marché des animaux

Plus en détail

AUTOUR DE LA MISE BAS

AUTOUR DE LA MISE BAS AUTOUR DE LA MISE BAS Un vêlage ou un agnelage est une des périodes les plus importantes dans la conduite d un élevage. De sa réussite dépendra l entrée d argent quelques mois plus tard. Il est donc impératif

Plus en détail

CAPRINS LAITIERS + BOVINS VIANDE ENSILAGE DE MAÏS

CAPRINS LAITIERS + BOVINS VIANDE ENSILAGE DE MAÏS CLBV AQMP02 CAPRINS LAITIERS + BOVINS VIANDE ENSILAGE DE MAÏS 2 UMO sur 39 ha avec 200 chèvres produisant 160 000 litres de lait et engraissement de 40 génisses Ce système se rencontre principalement dans

Plus en détail

ÉVALUATION DU TYPE DE DOMMAGE CAUSÉ PAR LA PUNAISE PENTATOMIDE VERTE, ACROSTERNUM HILARE (SAY) SELON LE DÉVELOPPEMENT DES FRUITS

ÉVALUATION DU TYPE DE DOMMAGE CAUSÉ PAR LA PUNAISE PENTATOMIDE VERTE, ACROSTERNUM HILARE (SAY) SELON LE DÉVELOPPEMENT DES FRUITS ÉVALUATION DU TYPE DE DOMMAGE CAUSÉ PAR LA PUNAISE PENTATOMIDE VERTE, ACROSTERNUM HILARE (SAY) SELON LE DÉVELOPPEMENT DES FRUITS CAROLINE PROVOST, MANON LAROCHE, MAUD LEMAY LES OBJECTIFS Objectif principal:

Plus en détail

Compréhension de lecture

Compréhension de lecture o Coche pour indiquer si les phrases sont es ou o Paul et Virginie sont assis sur des fauteuils très confortables. o Virginie a une robe à pois. o Paul boit un café fumant dans une tasse rouge. o Virginie

Plus en détail

Nos mondes imaginaires. mes caractéristiques physiques

Nos mondes imaginaires. mes caractéristiques physiques Nos mondes imaginaires Mon personnage : mes caractéristiques physiques Objectifs : Tu vas apprendre à parler des caractéristiques physiques pour décrire le physique de ton personnage du monde imaginaire

Plus en détail

L ANALYSE DU «PARC SOCIAL DE FAIT» PARISIEN EN 2003 : UNE ANALYSE TERRITORIALISÉE DES PROFILS D OCCUPATION DES PARCS ET DES QUARTIERS

L ANALYSE DU «PARC SOCIAL DE FAIT» PARISIEN EN 2003 : UNE ANALYSE TERRITORIALISÉE DES PROFILS D OCCUPATION DES PARCS ET DES QUARTIERS ATELIER PARISIEN D URBANISME - 17, BD MORLAND 75004 PARIS TÉL : 01 42 71 28 14 FAX : 01 42 76 24 05 http://www.apur.org Observatoire de l'habitat de Paris L ANALYSE DU «PARC SOCIAL DE FAIT» PARISIEN EN

Plus en détail

Si compte déjà créé : allez en page 3 étape 4 Si nouveaux demandeurs ou Changements de statut juridique : allez en page 2 (en haut)

Si compte déjà créé : allez en page 3 étape 4 Si nouveaux demandeurs ou Changements de statut juridique : allez en page 2 (en haut) Fiche exploitants : Création d un Compte Page d accueil Connexion Connectez vous à l adresse suivante : telepac.agriculture.gouv.fr Vous arriverez à la page d accueil «telepac» Création du compte Si compte

Plus en détail

Aide à l Utilisation du site «Mon Monitoring»

Aide à l Utilisation du site «Mon Monitoring» Aide à l Utilisation du site «Mon Monitoring» Mise à jour Aout 2013 Identifiant :... Mot de passe :.. Lorsque vous mettez les colliers aux animaux prenez garde à la petite flèche gravée (colorée en noir

Plus en détail

Statistique : Résumé de cours et méthodes

Statistique : Résumé de cours et méthodes Statistique : Résumé de cours et méthodes 1 Vocabulaire : Population : c est l ensemble étudié. Individu : c est un élément de la population. Effectif total : c est le nombre total d individus. Caractère

Plus en détail

Infestation par Dipylidium caninum,

Infestation par Dipylidium caninum, Fiche technique n 24 Infestation par Dipylidium caninum, le téniasis félin à Dipylidium Parmi tous les vers qui peuvent infester le chat, Dipylidium caninum est un parasite fréquemment rencontré dans le

Plus en détail

Utiliser le logiciel Photofiltre Sommaire

Utiliser le logiciel Photofiltre Sommaire Utiliser le logiciel Photofiltre Sommaire 1. Quelques mots sur l image 2. Obtenir des images numériques 3. Le tableau de bord de logiciel PhotoFiltre 4. Acquérir une image 5. Enregistrer une image 6. Redimensionner

Plus en détail

DOSSIER DE CANDIDATURE FORMATION BPREA / Session 2014-2015

DOSSIER DE CANDIDATURE FORMATION BPREA / Session 2014-2015 DOSSIER DE CANDIDATURE FORMATION BPREA / Session 2014-2015 NOM : PRENOM :.. TELEPHONE FIXE :.. PORTABLE : PHOTO EMAIL : ADRESSE :.. CP : VILLE :. DATE DE NAISSANCE LIEU :.. Dpt :.. Personne à contacter

Plus en détail

PLAN D AFFAIRES SOMMAIRE

PLAN D AFFAIRES SOMMAIRE ÉTUDE DE FAISABILITÉ PORTANT SUR L ÉTABLISSEMENT D UNE PÉPINIÈRE DE CHEVRETTES AU QUÉBEC PLAN D AFFAIRES SOMMAIRE remis à Société des éleveurs de chèvres laitières de race du Québec Ministère de l Agriculture

Plus en détail

SOCIETE NATIONALE DES MEILLEURS OUVRIERS DE FRANCE Organisatrice du concours national «Un des Meilleurs Apprentis de France»

SOCIETE NATIONALE DES MEILLEURS OUVRIERS DE FRANCE Organisatrice du concours national «Un des Meilleurs Apprentis de France» SOCIETE NATIONALE DES MEILLEURS OUVRIERS DE FRANCE Organisatrice du concours national «Un des Meilleurs Apprentis de France» 16 rue Saint-Nicolas 75012 PARIS Tél. : 01 43 42 33 02 Mail : secretariat@mof.fr

Plus en détail

Notice de pose NOTICE DE POSE 1-2. 1. Fond: 2. IMPORTANT:

Notice de pose NOTICE DE POSE 1-2. 1. Fond: 2. IMPORTANT: Panneaux de terrasse TimberStar Notice de pose NOTICE DE POSE 1-2 Veuillez lire l intégralité de la notice de pose avant de commencer le montage! Les panneaux de terrasse TimberStar peuvent être sciés,

Plus en détail

Organisation des bâtiments dans les grands troupeaux 5 exemples d organisation spatiale en Europe

Organisation des bâtiments dans les grands troupeaux 5 exemples d organisation spatiale en Europe Organisation des bâtiments dans les grands troupeaux 5 exemples d organisation spatiale en Europe Avril 2009 FICHES TECHNIQUES Auteur : Jacques CHARLERY Pôle Herbivores Chambres d agriculture de Bretagne

Plus en détail

Qu est-ce que la maladie de Huntington?

Qu est-ce que la maladie de Huntington? Qu est-ce que la maladie de Huntington? Description sommaire Qu est-ce que la maladie de Huntington? La maladie de Huntington (MH) est une maladie neurodégénérative longtemps connue sous le nom de Chorée

Plus en détail

Nom : Groupe : Date : 1. Quels sont les deux types de dessins les plus utilisés en technologie?

Nom : Groupe : Date : 1. Quels sont les deux types de dessins les plus utilisés en technologie? Nom : Groupe : Date : Verdict Chapitre 11 1 La communication graphique Pages 336 et 337 1. Quels sont les deux types de dessins les plus utilisés en technologie? Les dessins de fabrication. Les schémas.

Plus en détail

L EXTERNALISATION. Quels sont les enjeux stratégiques de l externalisation pour l entreprise actuellement?

L EXTERNALISATION. Quels sont les enjeux stratégiques de l externalisation pour l entreprise actuellement? L EXTERNALISATION Au sein des entreprises, l'heure est à la rationalisation des coûts. Pour parvenir à cet objectif, les stratégies sont nombreuses. Parmi elles, l externalisation est aujourd'hui considérée

Plus en détail

I. Se connecter sur : http://www.chiens-de-france.com

I. Se connecter sur : http://www.chiens-de-france.com MODE D EMPLOI 1 SOMMAIRE I. Se connecter sur : http://www.chiens-de-france.com...3 II. Créez votre site internet sur chiens-de-france.com...4 A. Validation des sites...5 Options des sites...5 Dressage...5

Plus en détail

Identification des principaux lépidoptères ravageurs du maïs sucré

Identification des principaux lépidoptères ravageurs du maïs sucré Identification des principaux lépidoptères ravageurs du maïs sucré Rencontre du groupe RAP Maïs sucré, 3 avril 2013 Jean-Philippe Légaré, M. Sc., biologiste-entomologiste, Laboratoire de diagnostic en

Plus en détail

Règlement sur la gestion du herd-book

Règlement sur la gestion du herd-book FÉDÉRATION SUISSE D'ÉLEVAGE OVIN Règlement sur la gestion du herd-book dans les syndicats et les associations d élevage ovin Mis en vigueur au 1 er août 2005 Adopté par le comité de la Fédération suisse

Plus en détail

1 cadre. 3 c 5 c. 7c 9 c. Actu Api n 19

1 cadre. 3 c 5 c. 7c 9 c. Actu Api n 19 Lors de chaque visite, notre attention se porte sur l âme de la ruche, le couvain. Avec l expérience, on peut y trouver une série d informations qui nous aident dans la conduite des ruches. Pour un nouvel

Plus en détail

Collecte et gestion de l information zootechnique

Collecte et gestion de l information zootechnique Collecte et gestion de l information zootechnique Erik Rehben (Responsable Systèmes d Information & Traçabilité Animale - Institut de l Elevage) Points abordés Seulement les ruminants, ni les porcins ni

Plus en détail

Protégeons nos êtres chers

Protégeons nos êtres chers Sièges d auto pour enfant : Protégeons nos êtres chers Choix d un siège d auto Installation adéquate Siège bien adapté à l enfant La sécurité de votre enfant est une priorité. L utilisation adéquate d

Plus en détail

Lucie. - Taille : 1 m 36 - Poids : 24, 5 kg - Cheveux : bruns - Yeux : verts - Caractère : têtue, mais gentille.

Lucie. - Taille : 1 m 36 - Poids : 24, 5 kg - Cheveux : bruns - Yeux : verts - Caractère : têtue, mais gentille. Description d Alban - taille : 1m 56 - poids : 36 kg - peau : bronzée - cheveux : noirs, bouclés - yeux : noirs - oreilles : grandes - visage : ovale - pieds : grands (39-40) - tache de naissance : blanche

Plus en détail

Les 5 à 7 du SYRPA. Photographie et évolution de la population agricole professionnelle française

Les 5 à 7 du SYRPA. Photographie et évolution de la population agricole professionnelle française Les 5 à 7 du SYRPA Photographie et évolution de la population Quels enseignements en tirer pour vos actions de communication? Christophe SEMONT 1. Hyltel en quelques mots 2. Les concepts du recensement

Plus en détail

Capacité Métal-Isolant-Semiconducteur (MIS)

Capacité Métal-Isolant-Semiconducteur (MIS) apacité Métal-solant-Semiconducteur (MS) 1-onstitution Une structure Métal-solant-Semiconducteur (MS) est constituée d'un empilement de trois couches : un substrat semiconducteur sur lequel on a déposé

Plus en détail

Point d actualité. Conseil Economique, Social & Environnemental Régional. Séance plénière 2 février 2015

Point d actualité. Conseil Economique, Social & Environnemental Régional. Séance plénière 2 février 2015 Conseil Economique, Social & Environnemental Régional Point d actualité Séance plénière 2 février 2015 Rapporteur général : Jean-Jacques FRANCOIS, au nom du Comité de Conjoncture CONTEXTE GÉNÉRAL A la

Plus en détail

- 1320 - Cordonniers, sigans

- 1320 - Cordonniers, sigans click for previous page - 1320 - Cordonniers, sigans Corps ovale, très comprimé latéralement et couvert de petites écailles. Bouche petite, avec une seule rangée serrée de petites dents incisiformes. Nageoire

Plus en détail

TACHES N 1. Escalier : Taper des pieds en faisant le crocodile, souffler, immerger le visage... S asseoir au fond de l eau, tête hors de l eau

TACHES N 1. Escalier : Taper des pieds en faisant le crocodile, souffler, immerger le visage... S asseoir au fond de l eau, tête hors de l eau Taper des pieds en faisant le crocodile, souffler, immerger le visage... S asseoir au fond de l eau, tête hors de l eau TACHES N 1 Descendre les marches Marcher le long de la ligne S appuyer sur les deux

Plus en détail

& Que choisir. favoriser le bien-être

& Que choisir. favoriser le bien-être Label Rouge & Agriculture Biologique Que choisir pour favoriser le bien-être des animaux? Un guide des tiné au consommateur Protection mondiale des animaux de ferme Ce petit guide a pour objectif d aider

Plus en détail

Enquête globale transport

Enquête globale transport Enquête globale transport N 15 Janvier 2013 La mobilité en Île-de-France Modes La voiture L EGT 2010 marque une rupture de tendance importante par rapport aux enquêtes précédentes, en ce qui concerne les

Plus en détail

Elaboration du plan France Numérique 2020

Elaboration du plan France Numérique 2020 Paris, le 30 septembre 2011 Elaboration du plan France Numérique 2020 Réponse de l ARPP à la consultation publique Organisme de régulation professionnelle de la publicité en France, l Autorité de Régulation

Plus en détail

L importance du suivi du dioxyde de carbone (CO 2. ) dans la production de dindes

L importance du suivi du dioxyde de carbone (CO 2. ) dans la production de dindes FICHE D INFORMATION L importance du suivi du dioxyde de carbone (CO 2 ) dans la production de dindes info.hybrid@hendrix-genetics.com www.hybridturkeys.com Dans la production de dindes, la performance

Plus en détail

Niveau CEl CE2. Le grand dauphin ou dauphin souffleur Tursiops truncatus

Niveau CEl CE2. Le grand dauphin ou dauphin souffleur Tursiops truncatus Niveau CEl CE2 Le grand dauphin ou dauphin souffleur Tursiops truncatus INTRODUCTION: non un poisson. Le dauphin souffleur ou grand dauphin est un mammifère marin, et Comme tous les mammifères il suivantes

Plus en détail

FICHE DE POSE FILMS AUTOMOBILES FPP.7.3.2.Auto A 07.07 SOMMAIRE

FICHE DE POSE FILMS AUTOMOBILES FPP.7.3.2.Auto A 07.07 SOMMAIRE FICHE DE POSE FILMS AUTOMOBILES FPP.7.3.2.Auto A 07.07 METHODE DE POSE ET DE DEPOSE Film de Protection Solaire FILM AUTOMOBILE MATERIEL NECESSAIRE Un PULVITRE (pulvérisateur (11 litres) Une raclette MARJO

Plus en détail

Annexe commune aux séries ES, L et S : boîtes et quantiles

Annexe commune aux séries ES, L et S : boîtes et quantiles Annexe commune aux séries ES, L et S : boîtes et quantiles Quantiles En statistique, pour toute série numérique de données à valeurs dans un intervalle I, on définit la fonction quantile Q, de [,1] dans

Plus en détail

Dr FOUGERAIS Guillaume, formateur Génération Implant, Nantes.

Dr FOUGERAIS Guillaume, formateur Génération Implant, Nantes. La photographie intra buccale : méthode de réalisation. Dr FOUGERAIS Guillaume, formateur Génération Implant, Nantes. La photographie numérique est un formidable outil de communication pour nos patients

Plus en détail

Sièges d auto pour enfants

Sièges d auto pour enfants ! Sièges d auto pour enfants Du siège de nouveau-né à la ceinture de sécurité, tout ce que vous devez savoir pour que votre enfant soit en sécurité! C est la loi En auto, les enfants qui mesurent moins

Plus en détail

PEUT- ON SE PASSER DE LA NOTION DE FINALITÉ?

PEUT- ON SE PASSER DE LA NOTION DE FINALITÉ? PEUT- ON SE PASSER DE LA NOTION DE FINALITÉ? à propos de : D Aristote à Darwin et retour. Essai sur quelques constantes de la biophilosophie. par Étienne GILSON Vrin (Essais d art et de philosophie), 1971.

Plus en détail

Athénée Royal d Evere

Athénée Royal d Evere Athénée Royal d Evere Prévention des hernies discales en milieu scolaire et dans la vie de tous les jours Présenté par Didier Vanlancker LEVAGE DE CHARGES POSITION INITIALE Levage de charges Jambes légèrement

Plus en détail

un chapeau claque en soie noire de Maison G. Benoist à Nantes présenté dans sa boîte d origine A 2 un sac à main en croco marron 40/50

un chapeau claque en soie noire de Maison G. Benoist à Nantes présenté dans sa boîte d origine A 2 un sac à main en croco marron 40/50 VENTE DROUOT SALLE 21 MAI 2010 A 1 un chapeau claque en soie noire de Maison G. Benoist à Nantes présenté dans sa boîte d origine 40/60 A 2 un sac à main en croco marron 40/50 A 3 un sac à main en croco

Plus en détail

UNE TECHNIQUE ÉPROUVÉE : LE ZONE SYSTEM

UNE TECHNIQUE ÉPROUVÉE : LE ZONE SYSTEM 3 Sur le terrain Info Les appareils photo équipés de deux logements pour cartes mémoire (SDHC et CompactFlash, par exemple) permettent de stocker les photos en Raw sur une carte mémoire et les photos en

Plus en détail

PRATIQUES ET USAGES DU NUMÉRIQUE DANS LES PME ET TPE

PRATIQUES ET USAGES DU NUMÉRIQUE DANS LES PME ET TPE PRATIQUES ET USAGES DU NUMÉRIQUE DANS LES PME ET TPE ETUDE RHÔNE Septembre 2015 CCI LYON - DIRECTION DÉVELOPPEMENT INDUSTRIEL ET TERRITORIAL Page 1 I CCI DDIT Page 2 I CCI DDIT ommaire Avant-propos page

Plus en détail

Mieux informé sur la maladie de reflux

Mieux informé sur la maladie de reflux Information destinée aux patients Mieux informé sur la maladie de reflux Les médicaments à l arc-en-ciel Mise à jour de l'information: septembre 2013 «Maladie de reflux» Maladie de reflux La maladie de

Plus en détail

POURQUOI VISIOLYS? SOMMAIRE VOUS PROPOSE : Un monde qui bouge COMPRENDRE. Analyses et adaptations SE REPÉRER SE PROJETER ET CHOISIR

POURQUOI VISIOLYS? SOMMAIRE VOUS PROPOSE : Un monde qui bouge COMPRENDRE. Analyses et adaptations SE REPÉRER SE PROJETER ET CHOISIR POURQUOI VISIOLYS? EXPERTISE STRATÉGIE ÉCONOMIE Visiolys est né de la volonté commune des deux entreprises de conseil en élevage Clasel et Eilyps de se projeter dans un monde en pleine mutation, de permettre

Plus en détail

Evaluation de la typicité des vins liés au terroir : proposition de méthodes pour les professionnels de la filière

Evaluation de la typicité des vins liés au terroir : proposition de méthodes pour les professionnels de la filière Evaluation de la typicité des vins liés au terroir : proposition de méthodes pour les professionnels de la filière Ronan SYMONEAUX, Isabelle MAITRE, Frédérique JOURJON UMT VINITERA- Laboratoire GRAPPE

Plus en détail

TOUT SAVOIR SUR LES POUX DE TÊTE

TOUT SAVOIR SUR LES POUX DE TÊTE TOUT SAVOIR SUR LES POUX DE TÊTE Les poux existent depuis toujours et ne sont pas près de disparaître. Heureusement, ils ne sont pas dangereux, mais ils sont dérangeants. Le saviez-vous? Les poux de tête

Plus en détail

Les diplômes. Session 2012

Les diplômes. Session 2012 note d information 13.05 AVRIL À la session 2012, 557 600 diplômes de l enseignement des niveaux IV et V ont été délivrés en France, dont 90 % par le ministère de l éducation nationale. 40 % de ces diplômes

Plus en détail

Serrer les fesses du bébé contre votre corps avec le côté de votre avant-bras (celui du petit doigt)

Serrer les fesses du bébé contre votre corps avec le côté de votre avant-bras (celui du petit doigt) Effectuer la mise au sein Serrer les fesses du bébé contre votre corps avec le côté de votre avant-bras (celui du petit doigt) - Ceci vous permettra de l'amener au sein en pointant le mamelon vers son

Plus en détail

Indications pour une progression au CM1 et au CM2

Indications pour une progression au CM1 et au CM2 Indications pour une progression au CM1 et au CM2 Objectif 1 Construire et utiliser de nouveaux nombres, plus précis que les entiers naturels pour mesurer les grandeurs continues. Introduction : Découvrir

Plus en détail

Les Fiches Conseils. Qu est-ce qui fait la qualité (et donc le prix) d un piano?

Les Fiches Conseils. Qu est-ce qui fait la qualité (et donc le prix) d un piano? Les Fiches Conseils Qu est-ce qui fait la qualité (et donc le prix) d un piano? Quelle différence entre un piano d étude à moins de 3000 (neuf) et un piano de concert à 125 000? Le piano est un instrument

Plus en détail

I. EXERCICES POUR LA CERVICALGIE CHRONIQUE. Exercice 1 : Posture

I. EXERCICES POUR LA CERVICALGIE CHRONIQUE. Exercice 1 : Posture 148 l e x a m e n m u s c u l o s q u e l e t t i q u e I. EXERCICES POUR LA CERVICALGIE CHRONIQUE Faites les exercices suivants au moins 2 fois par jour, tous les jours. Faites l effort de maintenir une

Plus en détail

ÉCOLE : cycle 3 (CM2) Sciences de la vie et de la Terre S INFORMER : organiser l information Classer, trier, assembler, grouper, distinguer

ÉCOLE : cycle 3 (CM2) Sciences de la vie et de la Terre S INFORMER : organiser l information Classer, trier, assembler, grouper, distinguer NIVEAU DISCIPLINE CAPACITÉ COMPÉTENCE MOTS CLÉS ÉCOLE : cycle 3 (CM2) Sciences de la vie et de la Terre S INFORMER : organiser l information Classer, trier, assembler, grouper, distinguer 1. TITRE : TRIER

Plus en détail

Il y a trois types principaux d analyse des résultats : l analyse descriptive, l analyse explicative et l analyse compréhensive.

Il y a trois types principaux d analyse des résultats : l analyse descriptive, l analyse explicative et l analyse compréhensive. L ANALYSE ET L INTERPRÉTATION DES RÉSULTATS Une fois les résultats d une investigation recueillis, on doit les mettre en perspective en les reliant au problème étudié et à l hypothèse formulée au départ:

Plus en détail

DOSSIER TECHNIQUE CHEMISE «LAURIE» SOMMAIRE

DOSSIER TECHNIQUE CHEMISE «LAURIE» SOMMAIRE DOSSIER TECHNIQUE CHEMISE «LAURIE» SOMMAIRE Cahier des charges, Fiche technique, Nomenclature, Gamme opératoire, Fiche de contrôle. CHEMISE «LAURIE» EXTRAIT DU CAHIER DES CARGES : FONCTION D USAGE Top

Plus en détail

Bulletin d'information de la Confrérie St Hubert du Grand-Val

Bulletin d'information de la Confrérie St Hubert du Grand-Val Notr'Canard Bulletin d'information de la Confrérie St Hubert du Grand-Val Chers amis de la Confrérie St Hubert du Grand-Val, L'automne, est-ce la saison des chasseurs? La réponse est: non! Le chasseur

Plus en détail

*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*

*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-* Note détaillée Baromètre européen du rapport aux paiements Des pratiques uniformisées en Europe? Sondage Harris Interactive pour Crédit Agricole Cards & Payments Enquête réalisée en ligne du 19 au 29 septembre

Plus en détail

A chaque couleur dans l'air correspond une longueur d'onde.

A chaque couleur dans l'air correspond une longueur d'onde. CC4 LA SPECTROPHOTOMÉTRIE I) POURQUOI UNE SUBSTANCE EST -ELLE COLORÉE? 1 ) La lumière blanche 2 ) Solutions colorées II)LE SPECTROPHOTOMÈTRE 1 ) Le spectrophotomètre 2 ) Facteurs dont dépend l'absorbance

Plus en détail

Normes graphiques / Sigma Assistel / Site Internet version 1.0 / 12.11.03

Normes graphiques / Sigma Assistel / Site Internet version 1.0 / 12.11.03 version 1.0 / 12.11.03 CHOIX DE LANGUE / MESURES & GABARIT NORMES GRAPHIQUES & TYPOGRAPHIQUES 131 pixels La largeur totale du gabarit est de, 2 A ENTÊTE ET MENUS / MESURES & GABARIT NORMES GRAPHIQUES &

Plus en détail

ÉDITORIAL. Chiffres Clés. 29% des emplois. 11% des établissements employeurs de la région

ÉDITORIAL. Chiffres Clés. 29% des emplois. 11% des établissements employeurs de la région ÉDITORIAL Les mutations environnementales, économiques et sociales n ont de cesse et depuis quelques années nous ressentons que cette vitesse d évolution tend à devenir exponentielle Que sera demain? Cette

Plus en détail

LA PERTE DE CONSCIENCE

LA PERTE DE CONSCIENCE CES QUELQUES NOTIONS PEUVENT SAUVER DES VIES. PENSEZ Y SV D URGENCES Pompiers et service médical urgent : 100 Police : 101 L'HEMORRAGIE Comment reconnaître une hémorragie? Le sang s'écoule abondamment

Plus en détail

AU DELA DU TEST 3 vers les nages codifiées, le sauvetage, la natation synchronisée

AU DELA DU TEST 3 vers les nages codifiées, le sauvetage, la natation synchronisée AU DELA DU TEST 3 vers les nages codifiées, le sauvetage, la natation synchronisée Pour aborder ce travail, les élèves doivent avoir acquis au minimum le test N 3 départemental Possibilité de travailler

Plus en détail

Optimiser. la hauteur. d une table de travail REPÈRES POUR OPTIMISER LA HAUTEUR DE LA TABLE PREMIER REPÈRE LE TYPE DE TÂCHE

Optimiser. la hauteur. d une table de travail REPÈRES POUR OPTIMISER LA HAUTEUR DE LA TABLE PREMIER REPÈRE LE TYPE DE TÂCHE E R G O N O M I E Association paritaire pour la santé et la sécurité du travail du secteur de la fabrication de produits en métal, de la fabrication de produits électriques et des industries de l habillement

Plus en détail

Séquence 4. Comment expliquer la localisation des séismes et des volcans à la surface du globe?

Séquence 4. Comment expliquer la localisation des séismes et des volcans à la surface du globe? Sommaire Séquence 4 Tu as constaté que les séismes et les éruptions volcaniques se déroulaient toujours aux mêmes endroits. Tu vas maintenant chercher à expliquer ce phénomène. Problématique : Comment

Plus en détail

SAVAIS-TU QUE DANS MA COUR D ÉCOLE...

SAVAIS-TU QUE DANS MA COUR D ÉCOLE... SAVAIS-TU QUE DANS MA COUR D ÉCOLE... Éditions Mariko Francoeur Miguel Hortega IL Y A DES ANIMAUX? 1 Mon école est à Montréal, rue Berri. C est une belle école primaire toute faite de briques. En temps

Plus en détail

GUIDE CONSO-CITOYEN : LES ESPÈCES PROFONDES

GUIDE CONSO-CITOYEN : LES ESPÈCES PROFONDES GUIDE CONSO-CITOYEN : LES ESPÈCES PROFONDES CRIME EN EAUX PROFONDES LE MOBILE DU CRIME ET LE COMPLICE Parce qu on pêche trop, trop loin, trop profond, nos océans sont en train de mourir, tout spécialement

Plus en détail

CONGRES INTERNATIONAL SUR L ASSURANCE ET LA RÉASSURANCE DES RISQUES AGRICOLES. Partenariat Public Privé dans l Assurance Agricole

CONGRES INTERNATIONAL SUR L ASSURANCE ET LA RÉASSURANCE DES RISQUES AGRICOLES. Partenariat Public Privé dans l Assurance Agricole CONGRES INTERNATIONAL SUR L ASSURANCE ET LA RÉASSURANCE DES RISQUES AGRICOLES 1 Marrakech -29, 30 et 31janvier 2014 Session 2 Partenariat Public Privé dans l Assurance Agricole L expérience de la Compagnie

Plus en détail

Benchmark sur le processus de consolidation. Analyse portant sur les sociétés du CAC 40 Décembre 2012

Benchmark sur le processus de consolidation. Analyse portant sur les sociétés du CAC 40 Décembre 2012 Benchmark sur le processus de consolidation Analyse portant sur les sociétés du CAC 40 Décembre 2012 Introduction La communication financière est un enjeu majeur pour l ensemble des sociétés. La volonté

Plus en détail

Etude réalisée en partenariat avec le réseau de CMA et la CRMA de Bretagne, le syndicat Mixte MEGALIS et la Région Bretagne

Etude réalisée en partenariat avec le réseau de CMA et la CRMA de Bretagne, le syndicat Mixte MEGALIS et la Région Bretagne Etude réalisée en partenariat avec le réseau de CMA et la CRMA de Bretagne, le syndicat Mixte MEGALIS et la Région Bretagne Cet article présente les principaux résultats de l enquête OPSIS de Marsouin

Plus en détail

Enquête internationale 2013 sur le Travail Flexible

Enquête internationale 2013 sur le Travail Flexible Enquête internationale 2013 sur le Travail Flexible En octobre 2013, BakkerElkhuizen a mené une enquête en ligne parmi les professionnels RH en Allemagne, en Angleterre, en Belgique et aux Pays-Bas portant

Plus en détail

Les diplômes. Session 2008

Les diplômes. Session 2008 note d informationdécembre 09.28 À la session 2008, 444 0 diplômes de l enseignement professionnel des niveaux IV et V ont été délivrés en France par le ministère de l Éducation nationale. Ce nombre atteint

Plus en détail

Le patrimoine des ménages retraités : résultats actualisés. Secrétariat général du Conseil d orientation des retraites

Le patrimoine des ménages retraités : résultats actualisés. Secrétariat général du Conseil d orientation des retraites CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 08 juillet 2015 à 9 h 30 «Le patrimoine des retraités et l épargne retraite» Document N 2 bis Document de travail, n engage pas le Conseil Le patrimoine

Plus en détail

LES MOSAIQUES DU CREDIT AGRICOLE

LES MOSAIQUES DU CREDIT AGRICOLE LES MOSAIQUES DU CREDIT AGRICOLE Au I er siècle après Jésus-Christ, la ville romaine d Arles (photo ci-dessous) est entourée de remparts. Elle comporte de grandes rues principales appelées Cardo et Decumanus.

Plus en détail

CONFIANCE DANS L INDUSTRIE AGRO-

CONFIANCE DANS L INDUSTRIE AGRO- CONFIANCE DANS L INDUSTRIE AGRO- ALIMENTAIRE AU QUÉBEC RÉSULTATS D UNE CONSULTATION DES ACTEURS DU SECTEUR AGROALIMENTAIRE AU SUJET DE LEUR CONFIANCE ENVERS LEURS PERSPECTIVES FUTURES Préparé pour l Union

Plus en détail

Comment se servir de cet ouvrage? Chaque chapitre présente une étape de la méthodologie

Comment se servir de cet ouvrage? Chaque chapitre présente une étape de la méthodologie Partie I : Séries statistiques descriptives univariées (SSDU) A Introduction Comment se servir de cet ouvrage? Chaque chapitre présente une étape de la méthodologie et tous sont organisés selon le même

Plus en détail

Statistiques 0,14 0,11

Statistiques 0,14 0,11 Statistiques Rappels de vocabulaire : "Je suis pêcheur et je désire avoir des informations sur la taille des truites d'une rivière. Je décide de mesurer les truites obtenues au cours des trois dernières

Plus en détail

COMMENT LIRE UN DEVIS DE CREATION DE SITE WEB?

COMMENT LIRE UN DEVIS DE CREATION DE SITE WEB? COMMENT LIRE UN DEVIS DE CREATION DE SITE WEB? Lorraine En matière de création ou de refonte d un site Internet, il apparaît souvent difficile de faire un choix parmi les propositions qui font suite à

Plus en détail

La cohabitation des races ovines Ouled Jellal (OJ) et Beni Guil (BG) et développement de l'élevage ovin dans le système pastoral du Maroc Oriental

La cohabitation des races ovines Ouled Jellal (OJ) et Beni Guil (BG) et développement de l'élevage ovin dans le système pastoral du Maroc Oriental Mediterranean biodiversity as a tool for the sustainable development of the small ruminant sector: From traditional knowledge to innovation Institut Agronomique et Vétérinaire Hassan II Rabat, 16 décembre

Plus en détail

Usage des photos pour Internet et pour la presse

Usage des photos pour Internet et pour la presse Usage des photos pour Internet et pour la presse Que ce soit sur Internet ou dans la presse, l'usage de photographies a la même fonction qui est d illustrer le propos. Pour bien jouer son rôle d information

Plus en détail

Synthèse Contrat. d Objectifs. Diagnostic Les services de l automobile En Midi-Pyrénées. Réalisation Observatoire régional emploi, formation, métiers

Synthèse Contrat. d Objectifs. Diagnostic Les services de l automobile En Midi-Pyrénées. Réalisation Observatoire régional emploi, formation, métiers Synthèse Contrat d Objectifs Diagnostic Les services de l automobile En Midi-Pyrénées Réalisation Observatoire régional emploi, formation, métiers Rédaction Christiane LAGRIFFOUL () Nadine COUZY (DR ANFA

Plus en détail

Inrap / Les étapes de l archéologie préventive

Inrap / Les étapes de l archéologie préventive Les étapes de l archéologie préventive LE DIAGNOSTIC Lorsque l on aménage un terrain à des fins publiques ou privées (pour construire une route ou un immeuble par exemple), le sol est remanié. Bien avant

Plus en détail

educationsolidarite.org

educationsolidarite.org Education International Internationale de l'education Internacional de la Educaciòn Bildungsinternationale Conception : L.Talbot & Efficience Crédits photographiques : sxc.hu - flashfilm Juin 2008 educationsolidarite.org

Plus en détail

Post-alphabétisation des jeunes agriculteurs / éleveurs (JA/JE) déscolarisés

Post-alphabétisation des jeunes agriculteurs / éleveurs (JA/JE) déscolarisés Atelier pour l Afrique Subsaharienne FORMATION DE MASSE EN MILIEU RURAL, ÉLÉMENT DE RÉFLEXION POUR LA DÉFINITION D UNE POLITIQUE NATIONALE Ouagadougou, Burkina Faso 30 mai au 3 juin 2005 Post-alphabétisation

Plus en détail

1S9 Balances des blancs

1S9 Balances des blancs FICHE 1 Fiche à destination des enseignants 1S9 Balances des blancs Type d'activité Étude documentaire Notions et contenus Compétences attendues Couleurs des corps chauffés. Loi de Wien. Synthèse additive.

Plus en détail

TPG 12 - Spectrophotométrie

TPG 12 - Spectrophotométrie TPG 12 - Spectrophotométrie Travail par binôme Objectif : découvrir les conditions de validité et les utilisations possibles de la loi de Beer-Lambert I- Tracé de la rosace des couleurs Choisir un des

Plus en détail

Cours de numérisation sur Epson Perfection

Cours de numérisation sur Epson Perfection Cours de numérisation sur Epson Perfection 1- Vérifiez la propreté de la vitre, placez l original sur celle-ci. À savoir, on peut numériser des transparents avec ce scanner ; il a un capteur CCD dans le

Plus en détail

Chapitre 7 Les solutions colorées

Chapitre 7 Les solutions colorées Chapitre 7 Les solutions colorées Manuel pages 114 à 127 Choix pédagogiques. Ce chapitre a pour objectif d illustrer les points suivants du programme : - dosage de solutions colorées par étalonnage ; -

Plus en détail

Règlement de publicité pour le Sport Espoir et Amateur (SEA)

Règlement de publicité pour le Sport Espoir et Amateur (SEA) Swiss Ice Hockey Federation (SIHF) Règlement de publicité pour le Sport Espoir et Amateur (SEA) Table des matières Art. 1 Champ d'application. 3 Art. 2 Autorisation de publicité sur les équipements et

Plus en détail