Baromètre 2012 Croissance x Rentabilité des groupes d assurance sur le marché français
|
|
- Salomé Bénard
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Baromètre 2012 Croissance x Rentabilité des groupes d assurance sur le marché français (6 ème édition) Analyse stratégique du marché et Mise en perspective V1.10 au 24 août 2012 Facts & Figures 69 avenue André Morizet Boulogne Billancourt (France) Tél. : + 33 (0) Web : contact@factsfigures.eu
2 Le présent baromètre apporte un ensemble d éclairages sur la performance relative des principaux groupes d assurance et réseaux de distribution sur le marché français, mesurée à la fois en termes de développement de l activité et de niveau de rentabilité. Facts & Figures est un cabinet de conseil en stratégie et en management dont les revenus proviennent de la réalisation de missions de conseil auprès d opérateurs de l assurance et de la protection sociale. Ses publications s inscrivent dans le cadre d une forte intégration et d un ancrage sectoriels. Spécialisé sur l assurance et la protection sociale, Facts & Figures ne conçoit pas son rôle sans une contribution active aux réflexions du secteur. De ce fait, Facts & Figures publie régulièrement des travaux susceptibles d alimenter le débat sur des réflexions en cours ou à venir. L Europe de l Assurance prenant progressivement une certaine réalité, Facts & Figures inscrit ses travaux à l échelon européen. Les différences d habitudes de consommation entre les pays sont susceptibles de révéler des situations fortement différenciées sans que l une ou l autre d entre elles ne soit pour autant «la» référence du secteur en Europe. Facts & Figures est ouvert à des échanges avec les opérateurs du secteur sur les présents travaux, voire pour approfondir ensemble certains axes. Facts & Figures garantit la traçabilité des données publiées dans le présent rapport ainsi que le caractère de leur source directement ou indirectement publique. Les ratios et données reposant sur des estimations ont été établis en croisant le maximum de sources d information possible ; leurs valeurs sont évidemment contestables, mais Facts & Figures garantit l intégrité de son approche. V1.10 au 24 août Page 2
3 Les présents travaux sont la propriété de Facts & Figures. Toute utilisation qui en est faite doit porter la mention «Facts & Figures». Ils ont été réalisés dans un souci de loyauté et d objectivité vis-à-vis de chacun des groupes cités. La marque «Baromètre Croissance x Rentabilité» est déposée et appartient à Facts & Figures. Le présent rapport s appuie : sur des travaux de recherche et de développement conduits de sa propre initiative par Facts & Figures, sur la recherche et l analyse d informations réalisées de manière permanente par Facts & Figures. Par déontologie professionnelle et par souci tant d indépendance que d objectivité, les présents travaux ont été intégralement autofinancés par Facts & Figures. Au regard de la quantité d informations intégrées pour élaborer le présent baromètre, des erreurs sont toujours possibles. Facts & Figures prie les groupes éventuellement concernés de bien vouloir l en excuser et procédera, le cas échéant, à l élaboration d une version révisée du présent rapport. Les graphiques, réflexions et données indiquées par Facts & Figures peuvent être utilisés à la condition d indiquer systématiquement la mention de la source «Facts & Figures». Tout détournement d information ou utilisation déloyale donnera lieu à des poursuites. Pour toute question ou demande d approfondissement, contacter Cyrille Chartier-Kastler ( cyrille.chartier-kastler@factsfigures.eu - Tél. : ). V1.10 au 24 août Page 3
4 Précisions méthodologiques Sauf à quelques exceptions près, le présent baromètre intègre uniquement les activités d assurance relevant du Code des Assurances. Cela signifie, à titre d illustration, que des groupes comme AG2R La Mondiale ou Malakoff Médéric ne figurent dans le présent baromètre qu au travers de leurs filiales d assurance, notamment Arial et La Mondiale pour AG2R la Mondiale ou Quatrem et Auxia pour Malakoff Médéric. Quelques retraitements concernant le résultat net de certaines sociétés ont exceptionnellement été réalisés, notamment lorsqu il s agissait de cessions de parts internes à un même groupe conduisant à dégager ponctuellement une plus-value de plusieurs centaines de millions d euros. Ces retraitements ont été réalisés en appliquant un taux d IS de 33 %. Compte-tenu de l impossibilité de retraiter les acceptations que certains groupes peuvent enregistrer dans leurs comptes, tous les classements réalisés par segment de marché (dommages, santé / prévoyance, épargne) s appuient exclusivement sur les assurances directes. Les acceptations sont donc exclues de ces classements, ce qui a principalement une incidence pour les opérateurs travaillant sur des grands risques ou via le courtage. Les groupes d assurance sont reconstitués en compilant leur poids dans le capital de chacune des sociétés d assurance dont ils sont actionnaires. Cela signifie, à titre d illustration, que la société BPCE Assurances est prise en compte à hauteur de 60 % de son activité dans le Groupe BPCE, à 25 % dans le Groupe Macif et à 15 % dans le Groupe Maif. Les mutuelles d assurance sont intégrées à 100 % dans leur groupe de rattachement. Facts & Figures a reconstitué l ensemble du marché français et des groupes d assurance selon ces définitions. Tous les opérateurs sont donc comparés de manière homogène sur ce périmètre. Le ROE comptable d une année n est calculé en divisant le résultat net enregistré au cours de l année n par les fonds propres (hors TSDI) au bilan au de l année n-1. V1.10 au 24 août Page 4
5 Diffusion du présent baromètre Dans un souci de protection de ses données et savoir-faire, Facts & Figures ne communique de manière publique que des extraits du présent benchmark. Facts & Figures propose aux sites de presse qui le souhaitent de diffuser les extraits du présent benchmark. L utilisation et la diffusion de ces extraits sont soumis aux mêmes obligations que pour la version complète : de citation de leur source, à savoir Facts & Figures, de respect de leur intégrité, et de respect de leur cohérence d ensemble. Les opérateurs du secteur de l assurance et de la protection sociale souhaitant accéder à la version complète sont priés de contacter Facts & Figures. V1.10 au 24 août Page 5
6 Le marché français de l assurance ayant subi de nombreuses transformations entre 2005 et 2010 (crise financière, Solvency II ), Facts & Figures a fait le choix de centrer la présente édition de son baromètre annuel sur l analyse des évolutions du marché sur la période. Angle d entrée retenu par Facts & Figures pour la présente édition 2012 du Baromètre Quels niveaux de rentabilité le marché français de l IARD a-t-il permis de dégager au cours d une période où il était en haut de cycle sur les risques d entreprises? A quel niveau se situe désormais la rentabilité du marché français de l assurance Vie? Qui y dégage les meilleurs niveaux de performance? Pourquoi? Quels sont les écarts de rentabilité entre les groupes d assurance capitalistes cotés en Bourse et les groupes mutualistes? Quelles sont les premières conséquences de l arrivée prochaine de Solvency II sur l évolution du mixte d activités des groupes d assurance? Quels sont les segments de marché les plus rentables et/ou porteurs de croissance? Quels sont désormais les marchés prioritaires de développement des bancassureurs? V1.10 au 24 août Page 6
7 1. Evaluation Facts & Figures de l évolution du poids des principaux segments de marché d assurance et du poids relatif des principaux modes de distribution Périmètre Code des Assurances - IARD et Vie - Affaires directes uniquement Source : Bases de données Facts & Figures
8 Durant la période , le secteur de l assurance a connu un rythme de croissance annuel moyen supérieur de 1,3 point à celui du PIB. Le développement des assurances dommages a logiquement suivi celui du PIB, tandis que la santé et la prévoyance ont surperformé. Evaluation Facts & Figures de l évolution du montant et du mixte d activités entre 2005 et 2010 (Vision affaires directes uniquement) 2005 Croissance du PIB : + 2,3 % par an moyenne Md Total Marché : + 3,6 % par an en moyenne 211 Md Santé Prévoyance 11,3% Dommages : + 2,4 % par an en moyenne Santé Prévoyance : + 7,0 % par an en moyenne Épargne : + 3,5 % par an en moyenne Santé Prévoyance 13,3% 20,0 Md 28,0 Md Dommages 23,0% 40,4 Md Épargne 65,7% 115,7 Md Dommages 21,6% 45,5 Md Épargne 65,3% 137,4 Md Dommages Santé Prévoyance Epargne Nota Bene : Il est rappelé qu en 2010 la CMU était comptabilisée dans le chiffre d affaires en Santé, alors qu elle a basculé en taxe en V1.10 au 24 août Page 8
9 Les bancassureurs mettent désormais la pression en termes de développement sur les assurances dommages et la santé / prévoyance. Les MSI ont perdu des parts de marché en dommages en raison de hausses tarifaires modérées, mais elles prennent du poids en épargne. Evaluation Facts & Figures de l évolution de la distribution d assurance par segment de marché (Photographies 2005 et Vision affaires directes uniquement) Global Dommages ,2% 11,3% AG 9,9% PA BA 40,6% 9,0% 10,5% AG 13,1% PA BA 39,1% 23,4% 3,8% 2,0% 8,0% PA BA CT MU 34,7% 5,2% 2,2% 10,1% PA BA CT 22,2% MU 33,6% 13,4% MU CT 14,0% MU CT AG AG 14,6% 14,3% 28,1% 26,8% Santé Prévoyance Épargne ,6% 11,2% 10,2% 9,8% 7,6% 26,3% 6,1% 7,5% 31,1% SL SL SL BA BA 5,7% MU 14,0% 16,9% AG AG 9,7% CT CT CT MU MU PA BA 54,6% 6,2% SL 7,1% MU CT 10,1% PA BA 50,3% 14,3% 25,5% 15,7% 22,0% 12,4% 16,5% Agents (AG) Courtiers (CT) Partenariats (PA) Bancassureurs (BQ) MSI (MU) Salariés (SL) Autres modes de distribution V1.10 au 24 août Page 10
10 2. Evaluation Facts & Figures du ROE comptable du marché, des principaux modes de distribution et des principaux groupes d assurance du marché Périmètre Code des Assurances - IARD et Vie - Affaires directes et Acceptations Source : Bases de données Facts & Figures
11 Le marché a perdu 4 points de ROE entre 2005 et 2010, passant de 11 % à 7 %. La distribution par agents dégage le meilleur niveau de ROE sur la période, à savoir 13,6 %. Le courtage affiche 13,2 % de ROE moyen grâce aux risques de Professionnels et d Entreprises. Évaluation Facts & Figures de l évolution du ROE comptable par Mode de distribution en Global (IARD + Vie) Global Vie + IARD ROE moyen ROE 2005 ROE 2010 Variation Marché 9,8 % 11,1 % 7,0 % - 4,1 pt Agents 13,6 % 13,7 % 8,3 % - 5,4 pt Bancassureurs 10,8 % 12,2 % 8,1 % - 4,1 pt Courtiers 13,2 % 14,1 % 10,7 % - 3,4 pt MSI 5,9 % 7,6 % 3,5 % - 4,1 pt Partenariats 9,5 % 12,8 % 5,9 % - 6,9 pt Moyenne % 20% 20% 18% 18% 18% 16% 14% 13,6% 13,2% 16% 14% 14,1% 13,7% 12,8% 12,2% 16% 14% 12% 10% 8% 6% 10,8% 9,5% 5,9% 9,8% 12% 10% 8% 6% 7,6% 11,1% 12% 10% 8% 6% 10,7% 8,3% 8,1% 5,9% 7,0% 4% 4% 4% 3,5% 2% 2% 2% 0% 0% 0% Nota Bene : Il n est pas incohérent que la moyenne du ROE pour un réseau de distribution soit, le cas échéant, supérieure aux valeurs indiquées pour 2005 et Cela se produit lorsque les années 2006 à 2009 ont été bien meilleures que 2005 et V1.10 au 24 août Page 17
12 Les MSI ont dégagé un ROE moyen inférieur de 9 à 11 points aux autres opérateurs en IARD au cours de la période Fin 2010, tant la bancassurance que les réseaux traditionnels d agents et de courtiers dégageaient un ROE supérieur à 10 %, bien qu en diminution. Évaluation Facts & Figures de l évolution du ROE comptable par Mode de distribution en IARD IARD uniquement ROE moyen ROE 2005 ROE 2010 Variation Marché 10,8 % 12,6 % 6,9 % - 5,7 pt Agents 15,9 % 16,2 % 9,0 % - 7,2 pt Bancassureurs 16,7 % 16,8 % 10,8 % - 6,0 pt Courtiers 14,5 % 16,1 % 11,9 % - 4,2 pt MSI 5,7 % 8,1 % 2,7 % - 5,4 pt Partenariats 15,4 % 17,3 % 7,3 % - 10,0 pt Moyenne % 20% 20% 18% 16% 16,7% 15,9% 15,4% 14,5% 18% 16% 17,3% 16,8% 16,2% 16,1% 18% 16% 14% 12% 10% 8% 6% 5,7% 10,8% 14% 12% 10% 8% 6% 8,1% 12,6% 14% 12% 10% 8% 6% 11,9% 10,8% 9,0% 7,3% 6,9% 4% 4% 4% 2,7% 2% 2% 2% 0% 0% 0% V1.10 au 24 août Page 18
13 La Vie a dégagé 2 points de ROE de moins que l IARD au cours de la période Malgré la crise financière, le marché dégageait toujours un ROE moyen de 7 % en La Santé / Prévoyance y contribue davantage que l Epargne Vie. Évaluation Facts & Figures de l évolution du ROE comptable par Mode de distribution en Vie Vie uniquement ROE moyen ROE 2005 ROE 2010 Variation Marché 9,0 % 10,1 % 7,0 % - 3,1 pt Agents 9,1 % 9,3 % 6,7 % - 2,6 pt Bancassureurs 10,0 % 11,7 % 7,7 % - 4,0 pt Courtiers 11,6 % 11,6 % 9,2 % - 2,4 pt MSI 6,6 % 6,0 % 5,9 % - 0,1 pt Partenariats 8,7 % 12,0 % 5,8 % - 6,2 pt Moyenne % 20% 20% 18% 18% 18% 16% 16% 16% 14% 14% 14% 12% 10% 8% 6% 11,6% 10,0% 9,1% 8,7% 6,6% 9,0% 12% 10% 8% 6% 12,0% 11,7% 11,6% 9,3% 6,0% 10,1% 12% 10% 8% 6% 9,2% 7,7% 6,7% 5,9% 5,8% 7,0% 4% 4% 4% 2% 2% 2% 0% 0% 0% V1.10 au 24 août Page 19
14 3. Evaluation Facts & Figures de l évolution du mixte d activité en Epargne Vie et de son développement selon une approche Produit Net d Assurance (PNA) Périmètre : Code des Assurances Activité d Epargne Vie individuelle et collective - Affaires directes uniquement Source : Base de données Facts & Figures
15 Malgré la crise, le produit net d assurance généré par l épargne vie a connu une croissance annuelle moyenne de + 2,8 % sur la période Avec la baisse constante des frais prélevés sur les versements, la part du PNA générée par la collecte ne pèse plus que 14 % du total. Estimation Facts & Figures du poids et de la composition du PNA en Epargne Vie du Marché entre 2005 et 2010 Marché Bancassureurs 2,7 PNA ,1 Md 3,7 3,6 9,8 Croissance annuelle moyenne de + 2,8 % du PNA sur la période 4,6 12,5 PNA ,7 Md PNA ,4 Md 2,2 1,7 5,4 Croissance annuelle moyenne de + 2,0 % du PNA sur la période 1,6 2,1 6,7 PNA ,3 Md 22 % 57 % 21 % 14 % 24 % 23 % 63 % 58 % 18 % 15 % 20 % 65 % MSI Groupes traditionnels PNA ,5 Md Croissance annuelle moyenne de + 3,6 % du PNA sur la période 0,2 0,1 0,0 0,0 0,3 0,5 PNA ,6 Md PNA ,2 Md 1,3 1,9 4,0 Croissance annuelle moyenne de + 3,8 % du PNA sur la période 31 % 19 % 11 % 19 % 63 % 5 % 55 % 28 % 6 % 76 % 26 % 61 % 1,0 2,5 5,3 PNA ,7 Md PNA sur la Collecte PNA sur les Encours en UC PNA sur les Encours en euros V1.10 au 24 août Page 32
16 4. Evaluation Facts & Figures de l évolution du Produit Net d Assurance (PNA) global (Dommages, Santé / Prévoyance, Epargne Vie) Périmètre Code des Assurances - IARD et Vie - Affaires directes et Acceptations Source : Bases de données Facts & Figures
17 La Santé / Prévoyance est la composante du PNA ayant connu la plus forte dynamique de croissance sur la période 2005 à 2010, tant pour le marché que pour chaque type d opérateurs. Toutes les composantes du PNA se sont développées plus rapidement que le PIB. Mesure Facts & Figures de l évolution des différentes composantes du PNA, selon le mode de distribution (Taux de croissance annuel moyen de 2005 à 2010) Classement des facteurs de croissance Marché Classement des facteurs de croissance Bancassureurs 3 Dommages 2,4% 2 Dommages 7,5% 1 Santé Prévoyance 7,1% 1 Santé Prévoyance 10,7% 2 Epargne 2,8% 3 Epargne 2,0% Global 4,6% Global 8,9% Taux de croissance annuel moyen du Produit Intérieur Brut (PIB) français 2,3% Taux de croissance annuel moyen du Produit Intérieur Brut (PIB) français 2,3% Classement des facteurs de croissance MSI Classement des facteurs de croissance Groupes traditionnels 3 Dommages 1,7% 3 Dommages 2,0% 1 Santé Prévoyance 9,0% 1 Santé Prévoyance 4,7% 2 Epargne 3,6% 2 Epargne 3,8% Global 3,6% Global 3,2% Taux de croissance annuel moyen du Produit Intérieur Brut (PIB) français 2,3% Taux de croissance annuel moyen du Produit Intérieur Brut (PIB) français 2,3% Dommages Santé Prévoyance Epargne Global V1.10 au 24 août Page 38
18 5. Evaluation Facts & Figures de l évolution de la performance Croissance x Rentabilité des principaux groupes du marché entre 2005 et 2010 Périmètre Code des Assurances - IARD et Vie - Affaires directes et Acceptations Source : Bases de données Facts & Figures
19 Les deux modes de distribution qui surperforment le marché en termes de croissance de PNA sont la Bancassurance et les Partenariats de distribution. La distribution par agents généraux et celle par réseaux salariés sont en panne de croissance. ROE comptable (moyenne ) Taux de croissance annuel moyen du PNA x ROE Comptable (Moyenne par réseau de distribution) 20% 18% 16% Vision F&F : Mode de distribution ayant un rythme de croissance plus modéré au cours des prochaines années et mettant davantage l accent sur la rentabilité des capitaux investis 14% 12% Agents Courtiers Bancassureurs 10% Salariés Marché CGPI Partenariats 8% 6% MSI 4% Vision F&F : Mode de distribution ayant encore un bon potentiel de développement au cours des prochaines années 2% Taux de croissance annuel moyen du PNA de 2005 à % 0% 1% 2% 3% 4% 5% 6% 7% 8% 9% 10% V1.10 au 24 août Page 46
20 Le Crédit Agricole est le champion du marché en termes de croissance et Axa France en termes de rentabilité. Le Crédit Mutuel, la Macsf et la Macif font un peu mieux que le marché en termes de croissance ; de même pour Generali, Allianz et Aviva en termes de rentabilité. ROE comptable (moyenne ) Taux de croissance annuel moyen du PNA x ROE Comptable (Moyenne pour les principaux groupes d assurance du marché) 20% 18% Champion en termes de ROE comptable 16% 14% 12% Surperformance du marché en termes de ROE comptable 10% 8% 6% Marché Dynamique de croissance un peu supérieure à celle du marché Champion en termes de croissance 4% 2% Taux de croissance annuel moyen du PNA de 2005 à % 0% 1% 2% 3% 4% 5% 6% 7% 8% 9% 10% V1.10 au 24 août Page 47
21 L IARD a clairement été un facteur de génération de marge technique au cours de ces dernières années, notamment sur les marchés des Professionnels et des Entreprises. Tant Axa France qu Allianz France en ont tiré profit. Résultat net / Total de Bilan en 2010 Pourcentage d IARD dans le Chiffre d affaires x Résultat net / Total de Bilan (Photographie 2010 pour les principaux groupes d assurance du marché) 0,90% 0,80% 0,70% 0,60% Champions en termes de RN dégagé par rapport au total bilan 0,50% Leaders du marché français en IARD de Professionnels et d Entreprise 0,40% Ensemble 0,30% 0,20% Groupes logiquement très présents sur l Epargne Vie 0,10% Pourcentage d IARD dans le Chiffre d affaires 0,00% 0% 5% 10% 15% 20% 25% 30% 35% 40% 45% 50% 55% 60% 65% 70% V1.10 au 24 août Page 48
22 Annexe. Présentation de Facts & Figures
23 Facts & Figures est un cabinet de conseil en stratégie et en management indépendant, spécialisé sur le secteur de l assurance et de la protection sociale à l échelon européen. Créé en mars 2007, Facts & Figures est un cabinet de conseil en stratégie et en management spécialisé sur le secteur de l assurance et de la protection sociale en Europe. Le champ d investigation et d intervention de Facts & Figures couvre les groupes traditionnels d assurance, les bancassureurs, les mutuelles d assurance, les groupes paritaires de protection sociale, les mutuelles santé, le courtage et l expertise d assurance. Facts & Figures intervient également pour le compte de banques d affaires et de fonds d investissement sur des dossiers de fusions-acquisitions et de LBO. Facts & Figures est fréquemment acheté par des opérateurs du secteur en recherche d un conseil externe qui connaisse vraiment leurs problématiques, puisse apporter des points de repère externes et soit en capacité d apporter rapidement une haute valeurajoutée. Facts & Figures accompagne également des projets de mise en œuvre, avec une forte contribution en termes de pilotage, de maîtrise des risques et de transversalité. Le business-model de Facts & Figures repose sur un investissement permanent et significatif en recherche et en développement (20 % du CA), permettant au cabinet de disposer de bases de données et de connaissances particulièrement fines et transversales à tous les opérateurs de l assurance (Assureurs, IP, Mutuelles santé, Courtiers, Experts). Dans le cadre de cet investissement en R&D, Facts & Figures organise et conduit régulièrement des benchmarks auxquels participent de nombreux opérateurs du secteur. V1.10 au 24 août Page 52
24 Charte éthique de Facts & Figures Les données nominatives transmises par Facts & figures à un client en cours de mission ont toutes une source directement ou indirectement publique ; Facts & Figures se porte garant du caractère public de la source des informations et des données transmises. Les informations transmises par un client à Facts & Figures en cours de mission sont stockées de manière sécurisée et totalement cantonnée avec d autres missions ou travaux (en cours ou à venir), de façon à interdire toute transmission (immédiate ou différées) à un tiers. Facts & Figures refuse de s engager sur des missions : considérées comme peu génératrices de valeur-ajoutée pour son client (par exemple : le lancement sur un nouveau marché pour lequel les chances de succès sont estimées comme faibles par Facts & Figures), concurrentes à des missions déjà en cours (ce point étant pour Facts & Figures un élément implicite de ses conditions générales d intervention), évaluées par Facts & Figures comme étant discutables en termes d éthique ou de développement durable. Facts & Figures ne procède à aucune démarche de vente de travaux supplémentaires à ses clients lors de la réalisation d une mission. Si le client souhaite prolonger l intervention de Facts & Figures ou lui confier d autres travaux, c est à lui de formuler sa demande. Le développement de Facts & Figures se réalise exclusivement sur des missions achetées par les opérateurs de l assurance, c est-à-dire sans aucune démarche commerciale de la part du cabinet, en raison de la réputation de savoir-faire métier, de l importance des travaux de recherche et développement, du niveau de qualité des travaux réalisés, de l implication des consultants et de la créativité du cabinet. V1.10 au 24 août Page 53
25 Charte de développement durable de Facts & Figures Facts & Figures utilise du papier 100 % recyclé pour l ensemble de ses éditions et impressions (rapports de mission, cartons d invitation, cartes de visite ). Facts & Figures fait appel à des imprimeurs verts (c est-à-dire respectant la charte Imprim Vert) pour tout besoin d impression externe. Lorsque Facts & Figures sous-traite des travaux logistiques (mailings, mises sous plis ) cela est fait auprès de Centres d Aide par le Travail (C.A.T) afin de contribuer à l insertion sociale et professionnelle de personnes handicapés. Facts & Figures règle ses fournisseurs dans un délai maximum de quinze jours suivant la réception de leur facture. Les consultants de Facts & Figures privilégient, dans leurs déplacements, les moyens de transports publics et peu générateurs de CO2, c est-àdire le métro (ou le tramway) dans les zones urbaines (voire le Velib à Paris et en proche banlieue) et le train entre agglomérations. Facts & Figures met au recyclage l intégralité de sa production de déchets en termes de papier (après destruction en cas de problème de confidentialité) et d emballages divers (cartons, plastiques, bouteilles d eau ). Facts & Figures limite sa consommation de fluides (électricité, eau, chauffage ) en installant dans ses locaux, les équipements nécessaires pour limiter leur consommation au strict nécessaire. Facts & Figures privilégie la transmission électronique de documents et remet systématiquement des versions électroniques de ses travaux à ses clients. Facts & Figures propose à ses clients de venir reprendre des exemplaires superflus (ou devenus inutiles) de rapports pour les faire détruire et recycler. En ce qui concerne sa consommation en propre, Facts & Figures achète des aliments biologiques et équitables, dont les emballages soient recyclables. V1.10 au 24 août Page 54
26 Sommaire détaillé
27 Sommaire détaillé (pages 1 à 29) Page de couverture 1 2. Évaluation du ROE comptable du marché, des principaux modes de distribution et des principaux groupes d assurance 16 Positionnement de Facts & Figures et du présent Baromètre 2 Droits de propriété 3 Précisions méthodologiques 4 Diffusion du présent baromètre 5 Angle d entrée retenu pour la présente édition 2012 du Baromètre 6 Evolution du ROE comptable par mode de distribution en Global (IARD + Vie) 17 Evolution du ROE comptable par mode de distribution en IARD 18 Evolution du ROE comptable par mode de distribution en Vie 19 Evolution du ROE comptable des Bancassureurs en Global (IARD + Vie) 20 Evolution du ROE comptable des Bancassureurs en IARD 21 Evolution du ROE comptable des Bancassureurs en Vie Evolution du poids des principaux segments de marché d assurance et du poids relatif des principaux modes de distribution Evolution du montant et du mixte d activités entre 2005 et Poids et de la dynamique de croissance de chaque réseau 9 Evolution de la distribution d assurance par segment de marché 10 Evolution du mixte d activités des réseaux entre 2005 et Evolution du mixte d activités des Bancassureurs entre 2005 et Evolution du ROE comptable des MSI en Global (IARD + Vie) 23 Evolution du ROE comptable des MSI en IARD 24 Evolution du ROE comptable des MSI en Vie 25 Evolution du ROE comptable des Groupes traditionnels en Global (IARD + Vie) 26 Evolution du ROE comptable des Groupes traditionnels en IARD 27 Evolution du ROE comptable des Groupes traditionnels Vie 28 Conclusions sur les niveaux moyens de ROE comptable relevés sur le marché 29 Evolution du mixte d activités des Groupes traditionnels entre 2005 et Evolution du mixte d activités des MSI entre 2005 et Conclusions sur l évolution du poids des marchés et des mixtes d activité 15 V1.10 au 24 août Page 56
28 Sommaire détaillé (pages 30 à 57) 3. Evolution du mixte d activité en Épargne Vie et de son développement selon une approche Produit Net d Assurance (PNA) Evolution de la performance Croissance x Rentabilité des principaux groupes du marché entre 2005 et Méthodologie Facts & Figures de calcul du PNA (Produit Net d Assurance) 31 Poids et de la composition du PNA en Épargne Vie du Marché entre 2005 et Evaluation de l activité et du résultat net des 10 premiers groupes en Evaluation du PNA des 10 premiers groupes en Poids et de la composition du PNA en Épargne Vie des Bancassureurs 33 Poids et de la composition du PNA en Épargne Vie des MSI 34 Poids et de la composition du PNA en Épargne Vie des Groupes traditionnels 35 Conclusions sur l évolution de la composition et du niveau du PNA en Épargne Vie 36 Taux de croissance annuel moyen du PNA x ROE comptable (moyenne par réseau de distribution) Taux de croissance annuel moyen du PNA x ROE comptable (moyenne pour les principaux groupes d assurance du marché) Pourcentage d IARD dans le Chiffre d affaires x Résultat net / Total de Bilan (Photographie 2010 pour les principaux groupes d assurance du marché) Pourcentage de risques dans le PNA x Résultat net / PNA (Photographie 2010 pour les principaux groupes d assurance du marché) Conclusions sur l évaluation de la performance Croissance x Rentabilité Evolution du Produit Net d Assurance (PNA) global (Dommages, Santé / Prévoyance, Épargne Vie) 37 Annexe. Présentation de Facts & Figures 51 Evolution des différentes composantes du PNA, selon le mode de distribution 38 Evolution des différentes composantes du PNA des Bancassureurs 39 Evolution des différentes composantes du PNA des MSI 40 Positionnement de Facts & Figures 52 Charte éthique de Facts & Figures 53 Charte de développement durable de Facts & Figures 54 Evolution des différentes composantes du PNA des Groupes traditionnels 41 Conclusions sur l évolution du PNA global 42 Sommaire détaillé 55 Sommaire détaillé (pages 1 à 29) 56 Sommaire détaillé (pages 30 à 57) 57 V1.10 au 24 août Page 57
Baromètre 2013 des Assurances Dommages
Baromètre 2013 des Assurances Dommages (3 ème édition) 2 Analyse stratégique du marché et Mise en perspective V1.01 au 31 juillet 2013 Facts & Figures 69 avenue André Morizet 92100 Boulogne Billancourt
Plus en détailLe Groupe Crédit Mutuel en 2007 (1) La dynamique du développement et le 3 e résultat des banques françaises
27 mars 2008 Le Groupe Crédit Mutuel en 2007 (1) La dynamique du développement et le 3 e résultat des banques françaises Résultat net part du groupe : 2 730 M Produit net bancaire : 10 568 M Coefficient
Plus en détailGROUPAMA Résultats annuels 2012. Présentation presse & analystes 21 février 2013
GROUPAMA Résultats annuels 2012 Présentation presse & analystes 21 février 2013 Introduction 2 «Je serai attentif à faire vivre un mutualisme moderne : qui s appuie sur un modèle d engagement et de responsabilité
Plus en détailLES ASSURANCES DE PERSONNES. Données clés 2011
LES ASSURANCES DE PERSONNES Données clés 211 2 Sommaire Sauf indications contraires, toutes les données ont pour origine les enquêtes statistiques de la direction des études et des statistiques FFSA-GEMA
Plus en détailLes mutations de l offre Epargne Retraite
Les mutations de l offre Epargne Retraite Forum International de Paris sur la Gestion de l Epargne Retraite Monique TEZENAS du MONTCEL 10 Avril 2012 BANQUE - FINANCE - ASSURANCE PROTECTION SOCIALE 10,
Plus en détailINTRODUCTION (Eric BERTHOUX Directeur Délégué Administratif et Financier MAIF)
JOURNEES D ETUDES IARD 20 et 21 mars 2014 «Les nouveaux défis de la tarification» INTRODUCTION (Eric BERTHOUX Directeur Délégué Administratif et Financier MAIF) Quelques réflexions sur le contexte, le
Plus en détailENJEUX ET PERSPECTIVES DU MODÈLE DE BANCASSURANCE NON-VIE À L AUNE DES ANNÉES 2020
Jean-Louis DELPÉRIÉ Directeur ENJEUX ET PERSPECTIVES DU MODÈLE DE BANCASSURANCE NON-VIE À L AUNE DES ANNÉES 2020 Antoine FOURNIER Directeur LES DEUX DERNIÈRES DÉCENNIES ONT VU L ÉMERGENCE EN FRANCE DES
Plus en détailACHETER OU VENDRE UNE ACTIVITE DE COURTAGE : LA MÉTHODE POUR RÉUSSIR
ACHETER OU VENDRE UNE ACTIVITE DE COURTAGE : LA MÉTHODE POUR RÉUSSIR 72, rue du Faubourg Saint - Honoré 75008 PARIS Tél : 01.46.10.43.80 Fax : 01.47.61.14.85 www.astreeavocats.com Xxx Enjeux Cahier des
Plus en détailObservatoire des courtiers d assurance. Point 0 - Avril 2011
Observatoire des courtiers d assurance Point 0 - Avril 2011 APRIL Courtage Un réseau de 11 sociétés grossistes spécialistes. Une large gamme de plus de 140 produits sur tous les segments de marché et toutes
Plus en détailLA MESURE DES PERFORMANCES DES COMPAGNIES D ASSURANCES
LA MESURE DES PERFORMANCES DES COMPAGNIES D ASSURANCES Séminaire - Atelier La mesure des performances des compagnies d assurances 1 ère communication Généralités sur les processus d évaluation des activités
Plus en détailQuelques points de repère Facts & Figures sur l Innovation dans l Assurance et la Protection Sociale. Rencontres
Quelques points de repère Facts & Figures sur l Innovation dans l Assurance et la Protection Sociale 15 èmes Rencontres Saint-Malo les 13 et 14 novembre 2014 - V1.10 au 16 novembre 2014 - Facts & Figures
Plus en détailAgir Pour Notre Avenir
Agir Pour Notre Avenir Politique de Développement Durable de Generali FAIRE 12 juin 2008 Generali, 2ème assureur généraliste en France 2ème assureur généraliste en France 6 millions de clients 560 000
Plus en détailwww.allianz.fr Avec vous de A à Z
Allianz France, nous connaître de A à Z www.allianz.fr Avec vous de A à Z «100 % Clients, 100 % Simple, 100 % Connectés.» Rien ne sert d être grand si l on n est pas à l écoute du consommateur. Aujourd
Plus en détailL empreinte carbone des banques françaises. Résultats commentés
L empreinte carbone des banques françaises Résultats commentés Le cabinet de conseil Utopies et l association Les Amis de la Terre publient le 22 novembre 2010 l empreinte carbone des groupes bancaires
Plus en détailLa RSE au service de la stratégie de l entreprise et de la création de valeur
La RSE au service de la stratégie de l entreprise et de la création de valeur La RSE est aujourd hui un enjeu de première importance pour les entreprises : il reflète la prise de conscience grandissante
Plus en détailL image des Assureurs auprès des Français
Contacts : Alain RENAUDIN / Frédéric ALBERT 2006-6 édition L image des Assureurs auprès des Français Introduction 1 Les objectifs et la méthodologie Cette 6ème édition du baromètre vise à apporter aux
Plus en détailL environnement juridique et fiscal
L assurance française en 2009 Rapport annuel 2009 65 L environnement juridique et fiscal Nombre de sujets de toute première importance, touchant à l organisation et à l environnement réglementaire du secteur
Plus en détailRetraite 83 euro. Retraite 83 euro. La retraite supplémentaire des salariés en toute sécurité
Retraite 83 euro La retraite supplémentaire des salariés en toute sécurité Retraite 83 euro Les contrats de retraite article 83 sont désormais ouverts aux versements individuels et facultatifs des salariés.
Plus en détailPrésentation des résultats 2006. 15 mars 2007
Présentation des résultats 2006 15 mars 2007 Préambule Le intègre dans son périmètre la création de Natixis intervenue le 17 novembre. Les données financières présentées sont issues des comptes pro forma
Plus en détailUE 4 Comptabilité et audit 2 Identification du candidat (prénom, nom) : 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10
Diplôme Supérieur de Comptabilité et de Gestion DSCG D é c r e t N 2 0 0 6-1 7 0 6 d u 2 2 d é c e m b r e 2 0 0 6 - A r r ê t é d u 8 m a r s 2 0 1 0 Validation des Acquis de l Expérience VAE R é f é
Plus en détailActionnaires. Lettre d information. 32,6 Md. 1 Md 78,90. Rencontre avec Gilles Benoist, Directeur général. Chiffres clés au 31/12/2009
Numéro 42 Avril 2010 Lettre d information Actionnaires Rencontre avec Gilles Benoist, Directeur général Grâce à l ensemble de nos partenaires, nous avons développé l activité sur toutes les zones où nous
Plus en détailRapport d audit interne
Exercice social clos au 31/12/2004 Rapport d audit interne du Président du Conseil d administration de la Compagnie Financière de Deauville en application de l article 117 de la loi n 2003-706 du 1 er
Plus en détailCREDIT AGRICOLE S.A. Georges Pauget Autumn Conference Cheuvreux
CREDIT AGRICOLE S.A. Georges Pauget Directeur général Autumn Conference Cheuvreux 24 Septembre 2008 1 2 Avertissement Cette présentation peut comporter des informations prospectives du Groupe, fournies
Plus en détail(en millions d euros) 2013-2014 2014-2015 Ventes 247,1 222,9 Marge brute (55,7) (30,8) En pourcentage du chiffre d affaires -22,5 % -13,8 %
RESULTATS ANNUELS 2014-2015 Chiffre d affaires 2014-2015 consolidé : 222,9 millions d euros Perte opérationnelle courante 2014-2015 : 125,9 millions d euros Poursuite du recentrage stratégique sur le cœur
Plus en détailEngagement 2014 : une ambition forte et sereine, une croissance organique rentable
Paris, le 17 mars 2011 Engagement 2014 : une ambition forte et sereine, une croissance organique rentable * Crédit Agricole S.A : premier groupe bancaire français à publier un plan stratégique en environnement
Plus en détailPlacements en vue de la dépendance
ATELIER n 5 Placements en vue de la dépendance Dominique CALVAR, CNP Assurances Le marché Eléments FFSA Convention Annuelle CGPC 2 ème marché privé au monde La France est au 1 er rang des pays de l OCDE
Plus en détailPrésentation du cabinet
Présentation du cabinet Depuis 2005, Selenis intervient aux côtés d acteurs de référence de l assurance. Ce qui nous caractérise fait aussi notre différence : Conseil métier, nous sommes spécialistes de
Plus en détailAssurance automobile : défis et perspectives des compagnies d assurances
Assurance automobile : défis et perspectives des compagnies d assurances Une analyse de fond des forces en présence et des impacts en matière de développement pour les compagnies d assurances Un écosystème
Plus en détailL activité financière des sociétes d assurances
L activité financière des sociétes d assurances Les marchés boursiers ont repris au cours de l année 2003. Par conséquent, les plus-values latentes sur actifs des sociétés d assurances augmentent. Les
Plus en détailSciences de Gestion Spécialité : GESTION ET FINANCE
Sciences de Gestion Spécialité : GESTION ET FINANCE Classe de terminale de la série Sciences et Technologie du Management et de la Gestion I. PRESENTATION GENERALE 1. Les objectifs du programme Le système
Plus en détailAG2R LA MONDIALE - RÉUNICA - VIASANTÉ 1 AG2R LA MONDIALE - RÉUNICA - VIASANTÉ
1 AG2R LA MONDIALE - - VIASANTÉ AG2R LA MONDIALE - - VIASANTÉ SOMMAIRE LE RAPPROCHEMENT 5 L union fait la force 6 Les grandes étapes 7 UN NOUVEL ENSEMBLE COMPLET 9 Un Groupe équilibré en retraite complémentaire
Plus en détailEnsemble plus forts Rapport d activité 2012
Ensemble plus forts Rapport d activité 2012 Rapport D activite 2012 Ensemble plus forts Ensemble plus forts Rapport D activite 2012 Sommaire 02_ 04_ 08_ 09_ 12_ 16_ Éditos Mêlée de mots Quatrem en bref
Plus en détailCAISSE REGIONALE DU CREDIT AGRICOLE MUTUEL D AQUITAINE
CAISSE REGIONALE DU CREDIT AGRICOLE MUTUEL D AQUITAINE Eléments d appréciation du prix de rachat des CCI émis par la CRCAM d Aquitaine dans le cadre de l approbation par l'assemblée générale des sociétaires,
Plus en détailCHARTE RESPONSABILITE SOCIALE DE L ENTREPRISE MAJ : 2013
1 CHARTE RESPONSABILITE SOCIALE DE L ENTREPRISE MAJ : 2013 2 Groupama Asset Management s engage par le biais de cette présente Charte à appliquer et promouvoir une politique de Responsabilité Sociale de
Plus en détailI. Les entreprises concernées et l opération
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Décision n 13-DCC-84 du 4 juillet 2013 relative à l affiliation de la mutuelle interprofessionnelle SMI à la société de groupe d assurance mutuelle Covéa L Autorité de la concurrence,
Plus en détailLes chartes de France Investissement
Les chartes de France Investissement Introduction : le dispositif France Investissement Les PME les plus dynamiques ou à fort potentiel de croissance apportent une contribution essentielle au développement
Plus en détailAVENIR EXPERTS SECURITÉ LA SOLUTION ÉPARGNE RETRAITE DES EXPERTS-COMPTABLES
AVENIR EXPERTS SECURITÉ LA SOLUTION ÉPARGNE RETRAITE DES EXPERTS-COMPTABLES Malakoff Médéric et l APRP (Association pour la Promotion de la Retraite et de la Prévoyance fondée par les experts-comptables),
Plus en détailARIAL Monétaire ISR. Notice d Information
ARIAL Monétaire ISR Fonds Commun de Placement d Entreprise (FCPE) - Code valeur : 990000061409 Compartiment oui non Nourricier oui non Notice d Information Un Fonds Commun de Placement d Entreprise (FCPE)
Plus en détailConvention de portage salarial Référence : XXXXX 2014
Convention de portage salarial Référence : XXXXX 2014 La convention est conclue entre les soussignés : Advizium 37, rue de Neuilly 92110 Clichy RCS Nanterre 499 404 390 Représentée par Monsieur Bertrand
Plus en détailL essentiel sur. Le crédit immobilier
L essentiel sur Le crédit immobilier Emprunter pour devenir propriétaire Le crédit immobilier est, pour la plupart des ménages, le passage obligé pour financer l achat d un bien immobilier. C est un poste
Plus en détailLe produit diversifié comme nouvelle solution d Epargne
Le produit diversifié comme nouvelle solution d Epargne Congrès Institut des Actuaires 2013 Jean-Pierre DIAZ, BNP Paribas Cardif Emmanuelle LAFERRERE, BNP Paribas Cardif Gildas ROBERT, Optimind Winter
Plus en détailNOTICE D'INFORMATION DU FCPE SOLIDAIRE "UFF ÉPARGNE SOLIDAIRE" (N code AMF : 08343) Compartiment : non Nourricier : oui
NOTICE D'INFORMATION DU FCPE SOLIDAIRE "UFF ÉPARGNE SOLIDAIRE" (N code AMF : 08343) Compartiment : non Nourricier : oui Un fonds commun de placement d'entreprise (FCPE) est un organisme de placement collectif
Plus en détailRendre accessibles les aides auditives à un plus grand nombre : Harmonie Mutuelles et Malakoff Médéric s engagent
Communiqué de presse Paris, le 24 mai 12 Malakoff Médéric et Harmonie Mutuelles lancent Kalivia Audio, leur deuxième réseau de soins commun, pour faciliter l accès de leurs bénéficiaires aux aides auditives
Plus en détailCIRCULAIRE N 01/02 (annule et remplace la circulaire n 01/00)
Rabat, le 11 mars 2002 CIRCULAIRE N 01/02 (annule et remplace la circulaire n 01/00) RELATIVE A LA RELATION ENTRE LES SOCIETES DE BOURSE ET LEUR CLIENTELE DANS LE CADRE DE L ACTIVITE D INTERMEDIATION Aux
Plus en détailParis, le 31 juillet 2014
Paris, le 31 juillet 2014 Groupe BPCE : 1 er semestre 2014 solide avec un résultat net part du groupe de 1,7 milliard d euros 1 en hausse de 10,4 % par rapport au 1 er semestre 2013 Bonne performance commerciale
Plus en détailgalassia L assurance-vie en toute sérénité Contrat de groupe d assurance sur la vie n LMP327110921V1 libellé en euros et/ou en unités de compte
galassia L assurance-vie en toute sérénité Contrat de groupe d assurance sur la vie n LMP327110921V1 libellé en euros et/ou en unités de compte galassia L assurance-vie en toute sérénité Un contrat souple
Plus en détailBulletin Officiel de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes
Bulletin Officiel de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes N 2 bis du 2 avril 2009 C2008-77 / Lettre du ministre de l économie, de l industrie et de l emploi du 28 octobre
Plus en détailEtude relative aux rapports des présidents sur les procédures de contrôle interne et de gestion des risques pour l exercice 2011
Etude relative aux rapports des présidents sur les procédures de contrôle interne et de gestion des risques pour l exercice 2011 SOMMAIRE Synthèse et Conclusion... 1 Introduction... 4 1. La description
Plus en détailI. Les entreprises concernées et l opération
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Décision n 14-DCC-20 du 17 février 2014 relative à l affiliation de la Mutuelle Nationale des Personnels Air France à la Société de Groupe d Assurance Mutuelle Macif L Autorité de
Plus en détail4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2009
LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2009 4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES 4-1 Les comptes des collectivités territoriales et de leurs groupements à fiscalité propre 54 4-2 Les comptes des communes
Plus en détailI. Les entreprises concernées et l opération
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Décision n 15-DCC-16 du 25 février 2015 relative à la création d une Société de Groupe d Assurance Mutuelle («SGAM») par le Groupe La Mutuelle Générale et le Groupe Malakoff Médéric
Plus en détaildes mutuelles FRAIS DE GESTION PARLONS-EN EN TOUTE TRANSPARENCE
FRAIS DE GESTION des mutuelles PARLONS-EN EN TOUTE TRANSPARENCE Les Pour fonctionner, toute entreprise doit consacrer des ressources à sa gestion. Les «frais de gestion» des mutuelles représentent 3 milliards
Plus en détailLes caractéristiques du secteur bancaire français
Les caractéristiques du secteur bancaire français Fiche 1 Objectifs Découvrir le poids du secteur bancaire en France et ses intervenants Prérequis Aucun Mots-clefs Produit intérieur brut (PIB), organismes
Plus en détailDiminution de l endettement net consolidé de 8 % sur le semestre
Comptes consolidés semestriels 30 juin 2009 COMMUNIQUE DE PRESSE 28 SEPTEMBRE 2009 Progression du chiffre d affaires (pro forma) en croissance de 5,6 % à 151 M Solide rentabilité : EBITDA de 25 M soit
Plus en détailANALYSE FINANCIERE RETROSPECTIVE (2005-2009) SICTOBA. Mai 2010
ANALYSE FINANCIERE RETROSPECTIVE () SICTOBA Mai 2010 Pascal HEYMES Stratorial Finances Agence de Montpellier 2, rue des Arbousiers 34070 MONTPELLIER Tél. : 04 99 61 47 05 - Fax : 04 99 61 47 09 www.stratorial-finances.fr
Plus en détailBaromètre Image des Assureurs
Contacts : Alain RENAUDIN / Frédéric ALBERT Shanghai Paris Toronto Buenos Aires 2005-5 édition www.ifop.com Baromètre Image des Assureurs Introduction 1 Les objectifs et la méthodologie Cette 5ème édition
Plus en détailDOSSIER DE PRESSE AVRIL 2015
DOSSIER DE PRESSE AVRIL 2015 1- LA BANQUE EN LIGNE FORTUNEO Créée en 2000, Fortuneo est une banque en ligne qui propose une gamme complète de produits et services de bancassurance à destination des particuliers
Plus en détailRapport du Président du Conseil d'administration
SOCIETE ANONYME DES BAINS DE MER ET DU CERCLE DES ETRANGERS A MONACO (S.B.M.) Société anonyme monégasque au capital de 18 160 490 euros Siège social : Monte-Carlo - Place du Casino, Principauté de Monaco
Plus en détailChiffre d affaires 2014 pro forma : 3 370,1 M Résultat Net Part du Groupe pro forma : 92,8 M
Communiqué de presse Chiffre d affaires pro forma : 3 370,1 M Résultat Net Part du Groupe pro forma : 92,8 M Paris, le 19 mars 2015 Le Conseil d administration du Groupe Sopra Steria, réuni le 17 mars
Plus en détailFRAIS DE GESTION des mutuelles
FRAIS DE GESTION des mutuelles Juillet 2014 PARLONS-EN EN TOUTE TRANSPARENCE Pour fonctionner, toute entreprise doit consacrer des ressources à sa gestion. Les «frais de gestion» des mutuelles représentent
Plus en détailBonne tenue de l activité au premier semestre 2009
Paris, le 27 août 2009 Bonne tenue de l activité au premier semestre 2009 Croissance organique hors essence et effet calendaire de +1,3% Quasi-stabilité de la marge d EBITDA en organique Résistance des
Plus en détail4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2010
LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2010 4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES 4-1 Les comptes des collectivités territoriales et de leurs groupements à fiscalité propre 54 4-2 Les comptes des communes
Plus en détailCONCOURS GÉNÉRAL SÉNÉGALAIS 1/6 Durée : 6 heures Série : G SESSION 2004 CLASSES DE TERMINALE
CONCOURS GÉNÉRAL SÉNÉGALAIS 1/6 Durée : 6 heures Série : G SESSION 2004 T E C H N I Q U E C O M P T A B L E DOSSIER I : COMPTABILITE ANALYTIQUE La société K fabrique deux produits P 1 et P 2 et un sous
Plus en détailFCPE AG2R LA MONDIALE ES CARMIGNAC INVESTISSEMENT. Notice d Information
FCPE AG2R LA MONDIALE ES CARMIGNAC INVESTISSEMENT Fonds Commun de Placement d Entreprise (FCPE) - Code valeur : 990000097549 Compartiment oui non Nourricier oui non Notice d Information Un Fonds Commun
Plus en détailLE COURTAGE D ASSURANCE
Programme 1ère conférence : l éthique du courtier 2ème conférence : la profession du courtier Courtage et environnement concurrentiel Le cadre de l activité L activité La responsabilité des courtiers d
Plus en détailPARTENAIRES DES 30 MIN POUR CONVAINCRE
UN VRAI REGIME DE CADRES APPLIQUE AUX NON SALARIES! 1- SECURISATION ET FIDELISATION DE VOS CLIENTS RODUIT Un partenariat qui protège vos clients Vous conservez si vous le souhaitez votre courtier. Pas
Plus en détailLes chiffres de la santé LES DÉPENSES D ASSURANCE SANTÉ
Les chiffres de la santé LES DÉPENSES D ASSURANCE SANTÉ Édition 2015 ENVIRONNEMENT DE LA PROTECTION SOCIALE Le déficit du régime général En milliards d 2012 2013 Prévisions 2014 0,6 0,2-0,2-2,5-3,2-2,9-5,9-6,8-6
Plus en détailCOMMUNIQUÉ DE PRESSE. Permettre l accès aux soins des personnes à revenus modestes
COMMUNIQUÉ DE PRESSE Permettre l accès aux soins des personnes à revenus modestes Malakoff Médéric lance Ma Complémentaire Santé ACS, la première complémentaire santé individuelle conçue pour les bénéficiaires
Plus en détailL activité financière des sociétes d assurances
L activité financière des sociétes d assurances L année 2002 est de nouveau marquée par une forte baisse des marchés financiers. Celle-ci entraîne une diminution des plus-values latentes et des produits
Plus en détailBulletin Officiel de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes
Bulletin Officiel de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes N 2 bis du 2 avril 2009 C2008-113 / Lettre du ministre de l économie, de l industrie et de l emploi du 28 octobre
Plus en détailL assurance française : le bilan de l année 2012
L assurance française : le bilan de l année 2012 1 L assurance française : le bilan de l année 2012 1 2 L environnement économique et financier : accalmie et incertitude Le bilan d activité : résistance
Plus en détailL approche Casino en matière de développement durable?
L approche Casino en matière de développement durable? 1 Les principaux enjeux pour Casino Optimiser la conception et la gestion des magasins (énergie, paysage, ) Environnement Maîtriser les impacts du
Plus en détailPlan stratégique 2012-2016 Vision du marché
2013 Plan stratégique 2012-2016 Vision du marché Table des matières 1 Actualisation de la vision du marché w p. 3 2 Impact de l ANI du 11 janvier 2013 pour le marché de la complémentaire p. 14 santé 2
Plus en détailTERRE D AVENIR 2 MARS 2013
TERRE D AVENIR 2 MARS 2013 LA SÉCURITÉ EN TOUTE LIBERTÉ Terre d avenir 2, un contrat d assurance vie souple qui s adapte à vos besoins Une nouvelle génération de contrat d assurance vie qui vous aide À
Plus en détaill Enass Ecole nationale d assurances
l Enass Ecole nationale d assurances A deep water horizon : la fin des captives de bancassurance? Laurence BARRY www.enass.fr SOMMAIRE Executive summary 1. Des captives bancaires qui ne se sont jamais
Plus en détailCommunication sur le progrès 2012 (CoP) SterWen Consulting
Communication sur le progrès 2012 (CoP) SterWen Consulting Introduction Notre engagement RSE SterWen Consulting adhère au Pacte Mondial des Nations Unies depuis 2009. A ce titre, SterWen Consulting soutient
Plus en détailÉtude sur les taux de revalorisation des contrats individuels d assurance vie au titre de 2013 n 26 mai 2014
n 26 mai 2014 Étude sur les taux de revalorisation des contrats individuels d assurance vie au titre de 2013 Sommaire 1.INTRODUCTION 4 2.LE MARCHÉ DE L ASSURANCE VIE INDIVIDUELLE 6 2.1.La bancassurance
Plus en détailL assurance d un partenaire expert
L assurance d un partenaire expert EDITO Les missions et raisons d'être de notre entreprise : l assurance du risque prévoyance individuel ou collectif et tous les risques liés aux personnes. La démarche
Plus en détailEn 2013, 605 organismes pratiquent
j u i n Le marché de l assurance complémentaire santé : des excédents dégagés en 2013 En 2013, 33 milliards d euros de cotisations ont été collectés sur le marché de l assurance complémentaire santé en
Plus en détailLe groupe Crédit Mutuel en 2010 Un réseau proche de ses sociétaires-clients, au service des entreprises créatrices d emplois dans les régions (1)
16 mars 2011 Le groupe Crédit Mutuel en 2010 Un réseau proche de ses sociétaires-clients, au service des entreprises créatrices d emplois dans les régions (1) Résultat net total 3 026 M (+61 %) Résultat
Plus en détailGuide pratique de l épargnant
Guide pratique de l épargnant Article 83 euro rendre votre contrat / Effectuer des versements individuels facultatifs / La vie de votre contrat en 8 questions / C otre complément de revenu / Consulter
Plus en détailEntreprises de travaux, sécurisez vos chantiers à proximité des réseaux
Entreprises de travaux, sécurisez vos chantiers à proximité des réseaux obligation depuis le 1 er juillet 2012 Un nouveau téléservice pour construire sans détruire www.reseaux-et-canalisations.gouv.fr
Plus en détailRègles de consolidation des entreprises relevant du Comité de la réglementation bancaire et financière
CONSEIL NATIONAL DE LA COMPTABILITÉ AVIS N 99-06 du 23 septembre 1999 Règles de consolidation des entreprises relevant du Comité de la réglementation bancaire et financière L assemblée plénière du Conseil
Plus en détailNorme comptable internationale 7 Tableau des flux de trésorerie
Norme comptable internationale 7 Tableau des flux de trésorerie Objectif Les informations concernant les flux de trésorerie d une entité sont utiles aux utilisateurs des états financiers car elles leur
Plus en détailEdissimmo. Valorisez votre patrimoine en investissant indirectement dans de l immobilier d entreprise avec la SCPI Edissimmo
Edissimmo SCPI Immobilier d Entreprise classique diversifiée à capital variable Valorisez votre patrimoine en investissant indirectement dans de l immobilier d entreprise avec la SCPI Edissimmo Comporte
Plus en détailCompte rendu Cogefi Rendement Conférence téléphonique du 13/03/15 avec Lucile Combe (gérant)
Compte rendu Cogefi Rendement Conférence téléphonique du 13/03/15 avec Lucile Combe (gérant) Présentation Cogefi Gestion est la société de gestion, filiale à 100% de la maison mère Cogefi. Elle fait partie
Plus en détailASSUREZ VOTRE EMPRUNT ET GAGNEZ EN CONFORT GARANTIE EMPRUNTEUR
ASSUREZ VOTRE EMPRUNT ET GAGNEZ EN CONFORT GARANTIE EMPRUNTEUR BIEN ASSURER SON EMPRUNT IMMOBILIER POURQUOI C EST IMPORTANT? L'assurance emprunteur n'est pas obligatoire légalement, mais elle est incontournable.
Plus en détailEtre societaire, pour vivre la banque autrement.
PREAMBULE Se fondant tout particulièrement sur la notion de valeurs, les coopératives ont montré qu elles constituaient un modèle commercial, robuste et viable, susceptible de prospérer même pendant les
Plus en détailUNIR NOS FORCES MULTIPLIE VOS SUCCÈS
UNIR NOS FORCES MULTIPLIE VOS SUCCÈS brochure 2014 SOM MAI RE 3 4-5 QUATREM 6-7 BILAN 2013 8-11 SANTÉ ET PRÉVOYANCE 12-13 RETRAITE 14-15 INNOVATION 16-17 PARTENARIAT QUATREM 4 UN MODÈLE FONDÉ SUR L INTERMÉDIATION
Plus en détailAccord relatif à l activité de portage salarial
Accord relatif à l activité de portage salarial Préambule Le présent accord a pour finalité d organiser l activité de portage salarial. Les personnes portées sont titulaires d un contrat de travail conclu
Plus en détailBaromètre des courtiers de proximité APRIL/OpinionWay
Baromètre des courtiers de proximité APRIL/OpinionWay Edition 2012 Toute publication, même partielle de cette étude, est soumise à autorisation de la part d APRIL Courtage Contactez Nathalie RAVET nravet@april.fr
Plus en détailCarrefour : Résultats annuels 2012 Hausse du chiffre d affaires et du résultat net part du Groupe Renforcement de la structure financière
Carrefour : Résultats annuels 2012 Hausse du chiffre d affaires et du résultat net part du Groupe Renforcement de la structure financière Chiffres clés 2012 Croissance des ventes du Groupe : +0,9% à 76,8
Plus en détailCarte d'identité Juillet 2012 BANQUE DE FINANCEMENT & D INVESTISSEMENT / ÉPARGNE / SERVICES FINANCIERS SPÉCIALISÉS
Carte d'identité Juillet 2012 BANQUE DE FINANCEMENT & D INVESTISSEMENT / ÉPARGNE / SERVICES FINANCIERS SPÉCIALISÉS 2 PROFIL NATIXIS, AU CŒUR DU GROUPE BPCE Natixis est la banque de financement, de gestion
Plus en détailCommuniqué de presse 5 mars 2015
RESULTATS ANNUELS 2014 : DYNAMIQUE DE CROISSANCE CONFIRMEE Accélération de la croissance organique des ventes Nouvelle progression du résultat opérationnel courant de +10,6% Hausse du résultat net des
Plus en détailConnaître. facultatif. le régime. de complémentaire. santé Pour les anciens salariés
1 Connaître le régime facultatif de complémentaire santé Pour les anciens salariés Préambule Le 12 août 2008, l Union des Caisses Nationales de Sécurité sociale et des organisations syndicales ont signé
Plus en détailTREETOP ASSET MANAGEMENT S.A. - INFORMATIONS RÉGLEMENTAIRES LA SOCIÉTÉ TREETOP ASSET MANAGEMENT S.A. FORME JURIDIQUE
TREETOP ASSET MANAGEMENT S.A. - INFORMATIONS LA SOCIÉTÉ TREETOP ASSET MANAGEMENT S.A. RÉGLEMENTAIRES FORME JURIDIQUE TreeTop Asset Management S.A. (ci-après «TREETOP» ou la «Société») est une société anonyme
Plus en détailCode à l intention des partenaires commerciaux
Code à l intention des partenaires commerciaux Groupe Axpo Code à l intention des partenaires commerciaux 02 03 Table des matières Introduction... 05 I. Éthique commerciale et intégrité... 07 II. Respect
Plus en détail