O13. le marché 2013 : bilan & perspectives
|
|
- Julien Maurice Olivier
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 O13 étude IMMOBILIeR d entreprises le marché 2013 : bilan & perspectives FéVRIeR 2014
2 O13 Le MaRché 2013 : BILaN & PeRSPectIVeS LeS BuReaux demandes & commercialisations 07 L OFFRe & Le StOcK 08 LeS VaLeuRS 09 transactions 10 PeRSPectIVeS 11 LeS LOcaux d activités La demande 13 LeS commercialisations & L OFFRe 14 LeS VaLeuRS 15 transactions 16 PeRSPectIVeS 17 Le RetaIL BILaN 2013 & LeS VaLeuRS LOcatIVeS 19 emplacements 20 PeRSPectIVeS 22 L INVeStISSeMeNt chiffres 23 ReNdeMeNtS & typologies 24 transactions 25 PeRSPectIVeS 26 2
3 GRENOBLE DEVIENT LA SECONDE MÉTROPOLE DE RHÔNE-ALPES Nous avons le plaisir de vous présenter l édition 2014 de l étude de l immobilier d entreprises réalisée par la FNAIM 38. dépendante d'une activité économique marquée par la complexité et l'incertitude, le marché de l'immobilier professionnel à Grenoble souffre d'un manque de visibilité, Si certains secteurs marquent le pas, d'autres en revanche présentent des tendances positives. Grenoble Alpes Métropole affiche désormais clairement son ambition tant sur le plan économique que sur le plan urbanistique. Ainsi, la nouvelle métropole offre tous les atouts pour affirmer son potentiel d'innovation et d'imagination avec un schéma d'urbanisme nouveau réaliste et cohérent, une intégration de la technologie au cœur de la ville grâce aux projets de quartiers connectés enfin, au cœur de la réflexion, une définition nouvelle et sans tabous du schéma de déplacement urbain et interurbain. Autant de perspectives qui offrent à nos métiers de nouvelles opportunités et des potentiels de croissance. Avec cet outil notre ambition reste : - D apporter notre contribution à la compréhension de nos marchés avec un outil objectif et fiable, - de vous délivrer les grands indicateurs factuels ; volumes de transactions, stocks, répartitions géographiques, - de dégager les grandes tendances en mettant ces éléments en perspective de manière synthétique. Bien évidemment, il s agit de vous proposer un support d échange. Nous aurons le plaisir de le commenter ensemble et accueillerons bien volontiers toutes vos observations questions ou suggestions. L'intégralité de l'étude ainsi que l'interview de l'invité de cette édition 2014 Jean Souchal Président de POMA seront disponibles dès demain sur le site de la FNAIM Vincent DELAUNOIS Président de la FNAIM ISÈRE Robert DI FOGGIA Président de la FNAIM ENTREPRISES 38 FNaIM entreprises étude 2013
4 REMERCIEMENTS 4
5 REMERCIEMENTS MeMBReS & PaRteNaIReS MEMBRES groupe AGDA i m m o b i l i er PARTENAIRES SOuRCE D INfORMATION FNaIM entreprises étude
6 LES BuREAuX 6
7 LES BuREAuX La demande & LeS commercialisations a été une année en trompe l œil avec m 2 de bureaux commercialisés (42000 m 2 en 2012) soit une hausse de 22 %. en effet, nous avons réalisé 3 transactions exceptionnelles de plus de m 2 - La moyenne est d environ m 2 commercialisés sur les 10 dernières années. - un premier semestre 2013 difficile avec m 2 actés et un deuxième semestre plus dynamique. - Les administrations ont été quelque peu absentes du marché hormis deux transactions de m m 2 représente toujours la transaction moyenne (hors grandes transactions) - 10 transactions de plus de m 2 (habituellement 6 à 7) dont 2 de plus de m 2 sur Grenoble. - une demande atone sur l ensemble de l agglomération sur les créneaux de surfaces de 300 à 600 m 2. - demande dynamique pour les demandes inférieures à 100 m 2. Moyenne m Précommercialisation très difficile des nouveaux programmes tertiaires. - Grenoble intramuros a représenté 51 % des surfaces transactées et reste le 1 er marché de l agglomération - Meylan et Montbonnot en légère baisse (24 % de la demande placée). Meylan concentre la majorité des commercialisations. La rénovation d Inovallée est engagée et commence à porter ses fruits % des transactions de bureaux se concentrent sur Grenoble et Meylan. - de nombreux arbitrages d immeubles anciens à Meylan qui bénéficient de rénovation. - Les critères principaux de recherche des entreprises sont: la localisation, les transports en commun et accès routiers, les loyers, l image, les stationnements, les prestations et des immeubles performants au niveau énergétique et accessibilité. - La location a représenté 62 % des transactions contre 38 % seulement à la vente. Les ventes auraient pu être plus nombreuses s il y avait eu plus de biens à la vente. - du fait de la crise, les entreprises ont privilégié les immeubles qualitatifs, bien placés et récents au détriment des bâtiments neufs plus onéreux et aux stationnements contraints. TOTAL DONT NEuf DONT CLÉS EN MAINS 22 % DE HAUSSE DE LA DEMANDE faits MARQuANTS MaRché LaRGeMeNt dominé PaR LeS GROSSeS StRuctuReS GReNOBLe INtRaMuROS ReSte Le 1 er MaRché de L agglo avec 51 % GReNOBLe et MeYLaN RePRéSeNteNt 72 % des transactions LeS critères SONt: L accessibilité/l IMaGe/ LeS PReStatIONS et LeS NOuVeLLeS NORMeS DEMANDE PLACÉE m 2 L OffRE DE BuREAuX m 2 TRANSACTIONS > m 2 TROIS LE PLuS RECHERCHÉ EuROPOLE LA DEMANDE PLACÉE exprimée en m 2 FNaIM entreprises étude
8 LES BuREAuX L OFFRe & Le StOcK - Le stock en légère hausse, passe de m 2 à m 2 en 2013 (+ 6.7 %) - Stock toujours principalement proposé à la location (65 %) - constat d un manque de produits de qualité disponibles notamment à la vente. toujours inadéquation entre l offre souvent de mauvaise qualité et la demande recherchant des biens récents ou neufs. - aucune livraison en 2013 d immeuble neuf, précommercialisation toujours difficile. - très peu d offres sur le quartier europole et centre ville, secteurs recherchés pour les transports en communs en particulier (tramway, gare SNcF) - L offre de grandes surfaces est quasi inexistante hormis un immeuble à Bouchayer-Viallet. 6,7 % DE HAUSSE DU STOCK 65 % DU STOCK EST DESTINÉ À LA LOCATION faits MARQuANTS LéGèRe hausse du StOcK StOcK ancien et INadaPté À La demande aucun IMMeuBLe NeuF LIVRé en 2013 carence des GRaNdeS SuRFaceS > 1000 m L OffRE DE BuREAuX exprimée en m 2 (Source aepi) TOTAL DONT NEuf DONT CLÉS EN MAINS STOCK m 2 STOCK m 2 8
9 LES BuREAuX VaLeuRS LOcatIVeS & PRIx de VeNte LOyERS - Valeurs stables, les entreprises restent de plus en plus opportunistes et cherchent à bénéficier de mesures d accompagnement (franchises, travaux, etc.) - Les loyers du neuf sont à 160 dans le centre de Grenoble (caserne de Bonne et hors parking) et 155 ht/m 2 /an en périphérie - Les loyers de seconde main en périphérie se situent autour de 100 ht/m 2 /an - Les valeurs de vente des immeubles neufs, compte tenu des nouvelles règlementations et contraintes, progressent entre à ht/m 2 - Les prix de vente pour les bureaux de seconde main autour de 900 à ht/m 2 suivant l état. LeS VaLeuRS LOcatIVeS ReSteNt StaBLeS POuR LeS IMMeuBLeS NeuFS et Le SecONde MaIN. exprimés en euros ht/m 2 /an CENTRE-VILLE - NeuF 155 à 160 PÉRIPHÉRIE - NeuF 140 à 165 CENTRE-VILLE - ancien 135 à 145 PÉRIPHÉRIE - ancien 90 à PRIX DE VENTE loyers STABLES StaBILIté POuR LeS IMMeuBLeS NeuFS et Le SecONde MaIN. exprimés en euros /m 2 - ancien: hors droits - Neuf: hors taxe CENTRE-VILLE - NeuF 2300 à 2760 PÉRIPHÉRIE - NeuF 2100 à2350 prix de Vente HAUSSE POUR LE NEUF À HT/M 2 CENTRE-VILLE - ancien 1800 à2000 PÉRIPHÉRIE 900 à FNaIM entreprises étude
10 LES BuREAuX LOYeRS PRIMeS en PROVINce VALEuRS LOCATIVES LeS VaLeuRS LOcatIVeS ReSteNt StaBLeS POuR LeS IMMeuBLeS NeuFS et Le SecONde MaIN. LyON AIX MARSEILLE GRENOBLE TOuLOuSE NICE-SOPHIA DIJON GRENOBLE NANTES LILLE ANNECy NANCy BORDEAuX LILLE MONTPELLIER TOuLOuSE NICE STRASBOuRG CHAMBÉRy ROuEN CHAMBÉRy DIJON RENNES ANNECy RENNES VALENCE VALENCE MPTL STRASBOuRG LyON NANTES ROuEN CLT-fD NANCy AIX MARSEILLE BORDEAuX LOyERS PRIMES en ht/m 2 /an CLERMONT-fD PRINCIPALES TRANSACTIONS LOyER en ht/m 2 /an PRIX DE VENTE en ht/m 2 ag2r La MONdIaLe* m 2 GReNOBLe 145 SchNeIdeR electric m 2 eybens 95 POLe emploi** m 2 MeYLaN 157 univeria*** m 2 GReNOBLe 130 VILLe de MeYLaN m 2 MeYLaN 642 BetRec m 2 GReNOBLe 127 applied MateRIaLS** m 2 BeRNIN 145 cedrat technologies m 2 MeYLaN 110 acto m 2 GReNOBLe * clé en main locatif ** immeuble neuf *** travaux inclus 10
11 LES BuREAuX PeRSPectIVeS = La demande toujours des demandes à l acquisition par les utilisateurs notamment secteur Grésivaudan. Le niveau faible des taux d intérêt favorisera de plus en plus les ventes. attention aux difficultés de financement qui peuvent limiter les transactions. toujours des renégociations de baux et des accompagnements. L offre toujours un manque d offre neuve. ceci est dû au fait qu il n y ait aucune construction en Seuls deux immeubles dans le Grésivaudan ont été pré commercialisés et seront livrés fin Les offres en centre-ville ou europole seront toujours trop rares et en particulier pour les demandes de + de 1000 m 2. Poursuivre l effort collectif entre les communes et les promoteurs pour rénover les bureaux obsolètes ou les raser (exemple d un immeuble à Meylan) et reconstruire afin d appauvrir le stock existant souvent hors marché. LeS VaLeUrS Loyers stables globalement. Légère augmentation des prix à la vente sur Meylan/Montbonnot et europole dans le seconde main, due à la rareté des offres. FNaIM entreprises étude
12 LES LOCAuX D ACTIVITÉS 12
13 LES LOCAuX D ACTIVITÉS La demande faits MARQuANTS INStaBILIté LéGISLatIVe et FIScaLe difficulté À OBteNIR des FINaNceMeNtS demande PaRtIcuLIèReMeNt FaIBLe SuR LeS PetIteS et MOYeNNeS SuRFaceS FORte demande POuR des SuRFaceS > 1000 m 2, MaIS Peu de BIeNS disponibles La demande enregistrée est en Bien que la demande des utili- SeCTeUrS demandés Les «niveaux faibles de trans- forte baisse par rapport à sateurs ait été plus faible, Les communes ayant enregistré actions» de certaines com- cette tendance provient essen- il n en demeure pas moins que le plus grand nombre de m 2 munes ne résultent pas de la tiellement : la recherche des utilisateurs commercialisés : Moirans : faiblesse de la demande, - d une absence de visibilité au pour des biens à l acquisition m 2 placés (6 024 m 2 bien au contraire, mais plutôt niveau de l économie, sur tous reste très élevée. en 2013) échirolles : m 2 d une offre de locaux quasi les secteurs d activités (ce qui Fait nouveau : les demandes de (4 437 m 2 en 2012, niveau inexistante: Seyssins (1050 m 2 ), complique notamment la réa- petites et moyennes superficies, élevé également, compte tenu Seyssinet (580 m 2 ), eybens lisation d opérations dites entre 100 et 800 m 2 ont été d une localisation stratégique) (1 236 m 2 ) entre autres. «clés en main» nécessitant particulièrement faibles durant Grenoble : m 2 (5 436 m 2 de se projeter à 1 voire 2 ans, toute l année, alors que les années en 2012) Fontaine : m 2 délai nécessaire pour la livraison précédentes ces demandes (2660 m 2 en 2012) de nouveaux locaux). représentaient le gros du marché. St-Martin d hères : m 2 - de la difficulté d obtenir a contrario, au cours du second (3 128 m 2 en 2012). des financements semestre les demandes de - du manque de stabilité grandes surfaces, supérieures au niveau législatif. à 1000 m 2 ont été importantes avec malheureusement peu de biens pour y répondre % DE BAISSE DE LA DEMANDE TOTAL DONT NEuf DONT CLÉS EN MAINS LA DEMANDE PLACÉE exprimée en m 2 Soit en moyenne m 2 sur 10 ans FNaIM entreprises étude
14 LES LOCAuX D ACTIVITÉS LeS commercialisations & L OFFRe SUrfaCeS CommerCiaLiSÉeS - en 2013, le nombre de m 2 placés s élève à m 2, les professionnels ayant participé à cette étude ont commercialisé m 2 (ce chiffre ne tient pas compte des opérations de construction «clés en mains» dont la surface totale est de 5960 m 2 pour 5 transactions). À comparer avec: Les m 2 en 2012, Les m 2 en 2011 Les m 2 en 2010 Les m 2 sur 10 ans cette baisse des surfaces s explique par: - le manque de produits à la vente - la demande locative de petites et moyennes surfaces qui baisse très fortement. - le contexte économique qui complique la réalisation d opérations «clés en main», et le lancement de programmes neufs. répartition de La CommerCiaLiSaTion - Locations: 72 % (dont 7 % en neuf et 93 % en ancien) - Ventes: 28 % (dont 32 % en neuf et 68 % en ancien) À comparer avec 2012 : - Locations: 42 % (dont 5,9 % en neuf et 94,10 % en ancien) - Ventes: 58 % (dont 12, I4 % en neuf et 87,6 % en ancien) Un stock plus important de locaux à la vente (locaux de seconde main, à un prix cohérent), aurait permis des résultats meilleurs. en vente, la surface moyenne est de 684 m 2 en 2013 (contre 1172 m 2 en 2012). en location, la surface moyenne est de 716 m 2 en 2013 (contre 461 m 2 en 2012). 78 transactions ont été recensées (vente et location confondues). répartition géographique de La demande placée BaISSe: Seyssinet, Seyssins, claix, eybens hausse: Moirans, Voreppe, Noyarey, échirolles L entrée Nord de l agglomération est dorénavant un secteur essentiel, qui bénéficie désormais de zones d activités lisibles (acti Nord, acti Sud, Vence éco Parc ), de réserves foncières (terrains privés, et quelques parcelles maitrisées par la collectivité). Le constat effectué en 2012, perdure en 2013, à savoir: une zone géographique plus étendue où se sont recensées les transactions. les zones dites «Prime», n ont plus capacité à répondre à la demande, les entreprises n ayant d autre choix que de s excentrer. L offre - Stock total: m 2 soit une baisse de 11,8 % par rapport à dont seulement 5131 m 2 de locaux d activités neufs soit 4,2 % du stock. - diminution de 50 % par rapport à 2012 du stock de locaux neufs. - Il n y a plus que 3 grandes surfaces disponibles de plus de 5000 m 2. - toujours une prédominance pour la location qui représente 59 % de l offre. 11,8 % DE BAISSE DU STOCK faits MARQuANTS MaNQue de PROduItS À La VeNte commercialisation: VeNteS MaJORItaIReS: 58/42 % BaISSe du StOcK total de 11,8 % FORte OFFRe en LOcatION a contrario du MaRché (59 %) LOCAuX DISPONIBLES exprimés en m 2 (source aepi)
15 LES LOCAuX D ACTIVITÉS LeS VaLeuRS LOyERS exprimés en euros ht/m 2 /an NEuf 73 à 82 ANCIEN < 300 m 2 50 à 60 loyers STABLES ANCIEN 300 m 2 à 600 m 2 42 à 50 ANCIEN > 600 m 2 25 à PRIX DE VENTE exprimés en euros/m 2 ancien: hors droits - Neuf: hors taxe, bâtiment brut de béton fluides en attentes NEuf 750 à 950 ANCIEN < 300 m à1000 prix de Vente HAUSSE POUR LE NEUF 750 À 950 HT/M 2 ANCIEN 300 m 2 à 600 m à 750 ANCIEN > 600 m à FNaIM entreprises étude
16 LES LOCAuX D ACTIVITÉS QueLQueS transactions IMPORtaNteS EXEMPLES DE TRANSACTIONS POuR L année PROGRAMME SuRfACE VILLE LOyER en ht/m 2 /an OBSERVATIONS VILLe de MOIRaNS 6365 m 2 MOIRaNS 95 ectra 3000 m 2 NOYaReY 42 WIttMaNN 2902 m 2 MOIRaNS 67 VILLe de GReNOBLe m 2 GReNOBLe 33 Bâtiment vétuste à reconditionner totalement Bâtiment en bon état, bien visible (non chauffé) Bâtiment qualitatif récent 2008, bail 6/9 Bâtiment ancien avec grande surface en s/sol tpo m 2 échirolles 36 SaB m 2 St étienne de St GeOIRS 21 RexeL FRaNce 825 m 2 GIèReS 62 climatic 710 m 2 SeYSSINS 821 Bâtiment ancien ensemble de 4 bâtiments anciens à destination de production Bâtiment d activité transformé en surface de vente aux professionnels type de bâtiment extrêmement rare à la vente très bonne localisation PRIX DE VENTE en ht/m 2 16
17 LES LOCAuX D ACTIVITÉS PeRSPectIVeS = La demande La préférence pour l acquisition demeure forte malgré les difficultés d obtention de financements. La majorité des candidats ont vu leur banquier avant leur recherche et connaissent leur capacité d investissement. une prédominance pour Grenoble et les communes limitrophes est confirmée ; la problématique des déplacements est omniprésente dans le choix d une future implantation. L augmentation de la demande pour les grandes surfaces, en seconde partie de l année 2013, permet d espérer un redémarrage d activités pour les PMe et les artisans et une hausse de la demande pour les petites et moyennes surfaces. Les taxes foncières ayant fortement augmenté ces dernières années, cette charge qui pèse sur le locataire est un critère important au moment du choix de l implantation. une exigence accrue en matière de prestations et de qualité pour les biens existants et négociation financière en forte augmentation pour les locations (franchise, loyer progressif, etc.) L offre Le stock de biens disponibles de m 2 est relativement faible, surtout pour le secteur des locaux d activités ou l adéquation type d activités/configuration du bâtiment est très forte. difficulté à louer des bâtiments trop vétustes, sans prestations particulières et n étant plus aux normes, cela même avec des conditions tarifaires attractives. La seule issue sera la vente. Manque criant de surfaces disponibles supérieures à 1000 m 2. LeS VaLeUrS un juste équilibre doit être trouvé pour les bâtiments neufs, car les contraintes environnementales augmentent leur coût de construction et les prospects désirent maitriser voire limiter au maximum leurs dépenses, d où une stagnation probable des valeurs. Poursuite de la baisse des valeurs locatives pour les petites et moyennes surfaces et accompagnement des bailleurs pour faciliter l implantation des futurs preneurs (franchise de loyer, réalisation de travaux, etc.). À l acquisition la demande étant forte les valeurs se maintiennent. FNaIM entreprises étude
18 LE RETAIL 18
19 LE RETAIL Le BILaN 2013 & LeS VaLeuRS LOcatIVeS des ChiffreS TrompeUrS pourquoi les chiffres peuvent-ils être trompeurs? - un grande disparité tant au niveau des offres que de la demande, - une conjoncture qui accentue les problèmes structurels des entreprises (problèmes de trésorerie, de positionnement, des marges qui rétrécissent, etc ). - une consommation qui évolue avec internet. - un comportement de plus en plus opportuniste. - un marché très concurrentiel entre les commerçants, avec une chute des marges, des résultats qui réduisent considérablement le taux d effort des preneurs et impactent les valeurs locatives. - Le secteur du commerce est en pleine mutation avec une accélération en La VaLeUr LoCaTiVe de BoUTiqUeS il n y a plus de prix! C est le règne de «l offre» et de la «demande» Seuls les emplacements N 1 PReMIuM résistent Les règles de calcul pour la Valeur locative restent malgré tout les mêmes, elles dépendent : - de la situation dans le quartier, dans la rue - de la surface et configuration du local : façade, vitrines, étages et sous/sol - de la commercialité du secteur avec la présence ou non d enseigne locomotive et/ou complémentaires - des activités autorisées ou pas par le règlement de copropriété, les règlements en zone commerciale - de la nature des activités déjà implantées (secteurs orientés équipement de la maison, de la personne, alimentaire, automobile, etc.) Un secteur en MUtAtion. Un MArCHé disparate. règle de CAlCUl pour les VAleUrs locatives inchangée CHAnGeMent des CoMporteMents sur la ConsoMMAtion faits MARQuANTS disparité entre OFFRe et demande L IMPact du e-commerce: LOYeR annuel +10 % MONtaNt droit au BaIL SuRFace PONdéRée accélérations des tendances OBSeRVéeS en 2012 SuR 2013 SeuLS LeS emplacements N 1 PReMIuM RéSISteNt LA VALEuR LOCATIVE DE MARCHÉ exprimée en ht/m 2 /an FNaIM entreprises étude
20 LES RETAIL emplacements & exemples de LOYeRS VAleUrs AJUSTEMENT DES VALEURS LOCATIVES SELON LES DEMANDES EMPLACEMENT N 1 EMPLACEMENT N 1 BIS CENTRE-VILLE PLace VIctOR hugo (côté zara) Rue de BONNe Rue FéLIx POuLat CENTRE-VILLE GRaNd-Rue, Rue SaINt-JacQueS Rue clot BeY, Rue docteur Mazet Rue LaFaYette, Rue de La POSte PLace VaucaNSON ZONE COMMERCIALE comboire entrée NORd (échirolles) cap des «h» avenue L ILe BRuNe de (S t égrève). av. GaBRIeL PéRI (S t MaRtIN d hères) Bd PauL LaNGeVIN À FONtaINe ZONE COMMERCIALE comboire entrée Sud (échirolles) cap des «h» avenue L ILe BRuNe (SaINt-éGRèVe). LOyERS EMPLACEMENT & ACTIVITÉ SuRfACE PONDÉRÉE en/m 2 SuRfACE angle/face LINÉAIRE VITRINE en m DROIT Au BAIL en K LOyER ANNuEL HT en VALEuR LOCATIVE en ht/m 2 /an Rue de BONNe PRêt-À-PORteR Rue MILLet SaLON de thé, GaLeRIe Rue très cloitres ReStauRatION Rue LaFaYette PRêt À PORteR Rue BaRNaVe PetIte ReStauRatION Rue auguste Gaché BaR, ReStauRatION cours JeaN JauRèS alimentation Rue LOuIS NéeL ReStauRatION (MONtBONNOt) 52 m 2 Face 4m 350 K m 2 Face - 30 K m 2 Face - 20 K m 2 Face 7m 240 K m 2 Face 6m 40 K m 2 angle K m 2 Face 5m m 2 Face K
21 LE RETAIL PeRSPectIVeS = La demande Reprise des demandes Repositionnement au centre-ville des enseignes présentes en périphérie (bricolage, équipement de la maison ). L offre Les repositionnement de certaines enseignes augmente l offre Marché plus de demandes que d offres. LeS VaLeUrS des valeurs locatives plus rationnelles. Réajustement obligatoire sur certains produits surévalués. FNaIM entreprises étude
22 L INVESTISSEMENT 22
23 L INVESTISSEMENT BILaN L investissement a tenu ses promesses en atteignant en 2013 le chiffre historique de 95 M soit 184 % de plus que c est de loin la meilleure performance de ces 10 dernières années. ce chiffre confirme la confiance des investisseurs sur les valeurs immobilières malgré un contexte économique des plus compliqués. À prendre en compte les cessions de 2 portefeuilles de 5 sites industriels représentant un total de 43 % du montant investi. - en baisse par rapport à l an passé, les Bureaux représentent toujours une large majorité des acquisitions (environ 65 %) - Nette amélioration des taux de rendement du fait de la rareté des produits neufs «prime» sur le marché et des nouvelles règlementations thermiques. - La grande majorité des transactions se situe entre 1 et 6 M - Le profil des investisseurs reste majoritairement des fonds privés 95M FORTE AUGMENTATION DES INVESTISSEMENTS 95 faits MARQuANTS 52 explosion des INVeStISSeMeNtS avec 95 M INVeStIS ,6 33,5 MaLGRé une BaISSe PaR RaPPORt À 2012, LeS BuReaux RePRéSeNteNt 65 % des acquisitions 18 Nette amélioration du ReNdeMeNt PRIMe QuI atteint 6,5 % PROFIL: MaJORItaIReMeNt des FONdS PRIVéS LES CHIffRES exprimés en millions d euros 23 FNaIM entreprises étude
24 L INVESTISSEMENT taux de ReNdeMeNt & typologies 6,5 % DE RENDEMENT SUR LE NEUF PRIME TAuX DE RENDEMENT ACTIVITÉS «PRIME» Le marché au niveau des valeurs «Prime» e confirme avec la cession de 2 immeubles neufs sur Meylan et Grenoble chacun loué en 9 ans fermes. Les acteurs nationaux recherchent exclusivement des immeubles récents (Rt 2000 et 2005). exprimés en % par année 10 % BuREAuX RÉCENTS BuREAuX «PRIME» 8,8 % L activité, quant à elle, reste très soutenue grâce à la réactivité des investisseurs et de leur partenaire bancaire. 8,25 % 9,0 % 7,9 % 8% 6,5 % 6,7 % % 29 % 41 % 20 % 32 % 80 % 66 % 2% PAR MONTANTS INVESTIS % ReLatIF au NOMBRe de transaction PAR CLIENTS % ReLatIF au NOMBRe de transaction PAR PRODuITS % ReLatIF aux 95 M INVeStIS 0 M 1M 5M INStItutIONNeLS PRIVéS commerces 1,7 M activités 31 M BuReaux 66 M 24
25 L INVESTISSEMENT PRINcIPaLeS transactions PRINCIPALES TRANSACTIONS BuREAuX POuR L année PROGRAMME VILLE SuRfACE TAuX ÉTAT LOCATION ACQuÉREuR PRIX DE VENTE EN POLYtec (tramontane) GReNOBLe 2929 m 2 8,5 % LOué À 90 % ScPI NOVa MONtBONNOt 4829 m 2 9% LOué INStItutIONNeL POLYtec (alizés) GReNOBLe 3074 m 2 8,5 % LOué ScPI dom PLuS eybens 951 m 2 11 % LOué PRIVé apave eybens 984 m 2 10,5 % LOué À 90 % PRIVé St MaRtIN LOué POLe emploi d hères 2478 m 2 7% Baux FeRMeS INStItutIONNeL Rue RaYMONd BaNK LOué GReNOBLe 4500 m 2 8% PaRtIeLLeMeNt PRIVé MeYLaN MeYLaN 5740 m 2 6,5 % LOué ScPI FNaIM entreprises étude
26 L INVESTISSEMENT PeRSPectIVeS activité L activité en 2014 devrait être assez proche de celle de 2013, avec toutefois une légère baisse des montants engagés car cette année même si de beaux sujets sont en cours, aucun n atteindra le volume des actifs vendus en rentabilité Le rendement «prime» devrait encore s accentuer pour franchir la barre des 6.5 %. Même constat pour les immeubles de seconde main bien entretenus et bien loués, leur rendement devrait passer en dessous des 8 %. Les locaux anciens, étant la cible privilégiée des privés, verront leurs taux se stabiliser autour de 9,5 %. offre & demande La prudence est toujours de mise chez les investisseurs. La pression fiscale permanente pèse lourd sur les petites structures privées. toutefois avec 80 % des acquisitions, ils dominent toujours notre marché. Si leurs cibles restent généralement les actifs de à , certains se positionnent sur des portefeuilles atteignant jusqu à L accès au financement bancaire reste limité ou plutôt sélectif, selon le profil de l acquéreur, la qualité, l emplacement de l actif et son rendement. 26
27 FNaIM entreprises étude
28
G R E N O B L E CONSEILS ETUDES LOCATIONS VENTES INVESTISSEMENTS BUREAUX COMMERCES LOCAUX D ACTIVITES USINES TERRAINS ENTREPOTS
G R E N O B L E CONSEILS ETUDES LOCATIONS VENTES INVESTISSEMENTS BUREAUX COMMERCES LOCAUX D ACTIVITES USINES TERRAINS ENTREPOTS 1 er SEMESTRE 2013 NOTRE ÉQUIPE Guillaume WOUTAZ Guillaume WOUTAZ, Responsable
Plus en détailMarchés immobiliers : conjoncture et perspectives
Marchés immobiliers : conjoncture et perspectives CB Richard Ellis 16 septembre 2008 Contexte économique Environnement international o L économie mondiale tourne au ralenti (incertitudes financières, inflation,
Plus en détailPanorama bureaux Lyon. On Point 1 er trimestre 2014
Panorama bureaux Lyon On Point 1 er trimestre 2014 L immobilier tertiaire a souffert du manque de grandes demandes L agglomération a bénéficié d une éclaircie économique confirmée par l INSEE. L environnement
Plus en détailL année immobilière 2014
www. creditfoncier. com L année immobilière 2014 vue par le Crédit Foncier MARS 2015 synthèse Lors de sa traditionnelle conférence annuelle Les Marchés Immobiliers le 5 février 2015, le Crédit Foncier
Plus en détailÉtude trimestrielle de Crédit Foncier Immobilier
Étude trimestrielle de Crédit Foncier Immobilier UN MARCHÉ LOCATIF QUI TOURNE AU RALENTI 2 e trimestre 2013 Direction des Études Point de conjoncture bureaux marché locatif L INÉVITABLE REPLI D ACTIVITÉ
Plus en détailIMMOBILIER D ENTREPRISE
La transformation de bureaux en logements : un premier bilan PAR BRIGITTE JOUSSELLIN 1 Entre 1994 et 1998, plus de 500 000 m 2 de surfaces d activités ont été transformées en logements, permettant de résorber
Plus en détailLe marché des bureaux dans l agglomération rennaise
Bureaux Le marché des bureaux dans l agglomération rennaise Cet observatoire dresse un bilan rapide de l année écoulée et permet de mettre en évidence les tendances de l année 2015. L offre neuve est désormais
Plus en détail1 ère EDITION 2015 CLERMONT-FERRAND ENTREPRISES ESPACES ACTIVITÉS BUREAUX COMMERCES. 1 er Réseau PARTENAIRE
1 ère EDITION 2015 ESPACES ENTREPRISES ACTIVITÉS BUREAUX COMMERCES 1 er Réseau PARTENAIRE Chiffres clefs EDITO Nous vous présentons notre nouvelle édition de notre ESPACE ENTREPRISE dans laquelle vous
Plus en détailLE MARCHÉ DE L IMMOBILIER D ENTREPRISE
CONSEIL EN IMMOBILIER D ENTREPRISE LE MARCHÉ DE L IMMOBILIER D ENTREPRISE Introduction Les surfaces disponibles Les prix La tendance Les axes de développement INTRO CONSEIL EN IMMOBILIER D ENTREPRISE Surface
Plus en détailCONSEIL EXPERTISE COMMERCIALISATION
CONSEIL EXPERTISE COMMERCIALISATION «Multiplier les points de vue pour voir la situation sous le meilleur angle». Au contact de ses clients Crédit Foncier Immobilier s est forgé la conviction que ses
Plus en détailImmobilier de bureaux
Immobilier de bureaux Observatoire Nantais de l Immobilier Tertiaire L année en chiffres Nantes Métropole AURAN Édito 5 ans déjà! En 2009, le CINA décidait d organiser la collecte des transactions du marché
Plus en détailLe marché des bureaux dans le pays de Lorient en 2013
n 65 juin 2014 Le marché des bureaux dans le pays de Lorient en 2013 Observatoire n 4 Contact : Gilles Poupard 02 97 12 06 31 Sommaire Rappel de la démarche 5 Principaux résultats 2013 7 1. Le marché des
Plus en détailLOCAUX COMMERCIAUX - LOCATION - CESSION - VENTE - FONDS DE COMMERCE
P a r t e n a i r e d e v o t r e d é v e l o p p e m e n t «immo-locaux est une société de conseil spécialisée dans l'immobilier commercial : locaux commerciaux, location, cession, vente, fonds de commerce
Plus en détailCarré Vélizy, Vélizy-Villacoublay (78)
Carré Vélizy, Vélizy-Villacoublay (78) Dossier de presse 1 er décembre 2009 Jacques BLANCHARD, MRM Président Directeur Général Olivier LEMAISTRE, CB Richard Ellis Investors Responsable du portefeuille
Plus en détailConférence de Presse Les Chiffres Clés de l immobilier d entreprise et du logement. 28 janvier 2010
Conférence de Presse Les Chiffres Clés de l immobilier d entreprise et du logement 28 janvier 2010 1 Conférence de Presse Les Chiffres Clés de l immobilier d entreprise et du logement UNE ANNEE CONTRASTEE
Plus en détailÉtude trimestrielle de Crédit Foncier Immobilier
Étude trimestrielle de Crédit Foncier Immobilier UN MARCHÉ LOCATIF QUI TOURNE AU RALENTI 1 er trimestre 213 Direction des Études Point de conjoncture bureaux marché locatif UN MARCHÉ LOCATIF QUI TOURNE
Plus en détailMARCHÉ IMMOBILIER DE BUREAUX
MARCHÉ IMMOBILIER DE BUREAUX PERSPECTIVES CONJONCTURE ÉCONOMIQUE LE MARCHÉ DES BUREAUX EN ILE-DE-FRANCE 1 er Semestre 212 PERSPECTIVES Un contexte de marché favorable aux utilisateurs La crise financière
Plus en détailDU GRAND LYON MISE A JOUR 31/12/2012. Avril 2013
OBSERVATOIRE DE L'IMMOBILIER D'ENTREPRISE SUR LE POLE ECONOMIQUE OUEST DU GRAND LYON MISE A JOUR 31/12/2012 Avril 2013 TECHLID L Espace EDEL-Ouest - 185, allée des Cyprès 69760 Limonest : 04 72 17 03 33
Plus en détailperformance environnementale Synthèse Décembre 2013 Analyse de la demande de bureaux «verts» EN ile-de-france
Étude réalisée en partenariat avec Immobilier tertiaire et performance environnementale Analyse de la demande de bureaux «verts» EN ile-de-france Synthèse Décembre 2013 Ce document synthétise les principaux
Plus en détailATELIER PARISIEN D URBANISME. Le parc de bureaux parisien et son potentiel de transformation
ATELIER PARISIEN D URBANISME Le parc de bureaux parisien et son potentiel de transformation AVRIL 2015 Directrice de la publication : Dominique Alba Étude réalisée par : François Mohrt Sous la direction
Plus en détail2 ème semestre 2014. www.arthur-loyd-lr.com. + de 300 locaux disponibles. Cette plaquette sur votre mobile!
2 ème semestre 2014 + de 300 locaux disponibles www.arthur-loyd-lr.com Cette plaquette sur votre mobile! 1 e r R É S E A U PA R T E N A I R E Vos Contacts Bertrand FILLIETTE Directeur Arthur Loyd EDITO
Plus en détailLe marché locatif de bureaux en région lyonnaise
Le marché locatif de bureaux en région lyonnaise 1 er trimestre 2015 Etude réalisée sur la base des chiffres CECIM, intégrant les transactions directes Sommaire Contexte économique L essentiel du marché
Plus en détailAmundi Immobilier. Le marché de l immobilier en France 4 e trimestre 2013. Tendances. Le contexte macroéconomique
Trimestriel 27 Janvier 214 nº2 Le marché de l immobilier en France 4 e trimestre 213 Tendances > Progressif redémarrage de l activité attendue au 4 e trimestre 213, mais l évolution du PIB devrait rester
Plus en détailLe marché immobilier de bureaux en Ile-de-France 4 ème trimestre 2014. Accelerating success.
Le marché immobilier de bureaux en Ile-de-France 4 ème trimestre 214 Accelerating success. PERSPECTIVES Une année 215 dans la continuité > Après le creux de 213, l activité sur le marché des bureaux francilien
Plus en détailLFP Opportunité Immo RISQUES ASSOCIES
LFP Opportunité Immo RISQUES ASSOCIES Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de votre patrimoine. La durée de placement
Plus en détailLE MARCHÉ DES BUREAUX DE L'AGGLOMÉRATION DE TOURS
200 OBSERVATOIRE DE L'IMMOBILIER D'ENTREPRISE LE MARCHÉ DES BUREAUX DE L'AGGLOMÉRATION DE TOURS en compte propre au sein de l'agglomération de Tours Sommaire & Chiffres clés Editorial 200 : Une année de
Plus en détailÉtude trimestrielle de Crédit Foncier Immobilier
Étude trimestrielle de Crédit Foncier Immobilier 2013 : UN BON DEUXIÈME SEMESTRE EN PERSPECTIVE 2 e trimestre 2014 Direction des Études Point de conjoncture bureaux Marché locatif Île-de-France UN MARCHÉ
Plus en détailLES VALEURS LOCATIVES COMMERCIALES SAINSARD EXPERTS
LES VALEURS LOCATIVES COMMERCIALES 14 NOVEMBRE 2012 1 ère PARTIE LES LOYERS DES COMMERCES 1 UN CONTEXTE ECONOMIQUE INCERTAIN Situation économique difficile depuis de 2eme semestre 2008. Stagnation de la
Plus en détailImplantation économique, foncier et immobilier d entreprise
Septembre 2014 Implantation économique, foncier et immobilier d entreprise Quelles sont les attentes des entreprises en Loire-Atlantique? Afin de mieux cerner globalement la demande des entreprises de
Plus en détailLes parcs de logements et leur occupation. dans l Aire Urbaine de Lille et sa zone d influence. Situation 2005 et évolution 1999-2005
Les parcs de logements et leur occupation dans l Aire Urbaine de Lille et sa zone d influence Situation 2005 et évolution 1999-2005 Décembre 2008 Le territoire d étude 2 Agence de développement et d urbanisme
Plus en détailSCPI Fructipierre EN BREF
SCPI Fructipierre Investissez indirectement dans l immobilier d entreprise et diversifiez votre patrimoine EN BREF FRUCTIPIERRE est une SCPI de taille importante détenant des actifs immobiliers représentant
Plus en détail648 m² Disponibilité : Immédiate
Un lieu unique en Europe, où les métiers du cinéma, de l'audiovisuel et du numérique jouent les synergies. CONDITIONS FINANCIERES Loyer annuel Charges annuelles Honoraires SURFACES PROPOSEES Détail surfaces
Plus en détailL analyse des marchés immobiliers par Crédit Foncier Immobilier sur les 9 premiers mois de 2013
Paris, le 15 octobre 2013 COMMUNIQUE DE PRESSE L analyse des marchés immobiliers par Crédit Foncier Immobilier sur les 9 premiers mois de 2013 Un marché immobilier résidentiel caractérisé par une baisse
Plus en détailLes diplômes. Session 2008
note d informationdécembre 09.28 À la session 2008, 444 0 diplômes de l enseignement professionnel des niveaux IV et V ont été délivrés en France par le ministère de l Éducation nationale. Ce nombre atteint
Plus en détailOffice Avenue. Montrouge Hauts de Seine (92) Espaces Business Montrouge. A partir de 97.251 HT. Mobilier et équipement inclus Rentabilité 4,60% HT
Office Avenue Montouge (92) office-avenue.fr Office Avenue office-avenue.fr Espaces Business Montrouge A partir de 97.251 HT Mobilier et équipement inclus Rentabilité 4,60% HT Montrouge Hauts de Seine
Plus en détail2 ème Edition 2014. Entreprises ESPACES. 1er RÉSEAU PARTENAIRE, 61 IMPLANTATIONS EN FRANCE
2 ème Edition 2014 1er RÉSEAU PARTENAIRE, 61 IMPLANTATIONS EN FRANCE Bâtiment neuf haute performance environnemental, conception innovante, YWOOD BUSINESS se développera sur 1.220 m² environ en R+2, divisible
Plus en détail8 Certifications Minergie
8 Chapitre 8 Être Minergie, est-ce aussi être «autrement»? Pour de nombreux acteurs du marché immobilier, un label de durabilité devrait s accompagner d une appréciation de la valeur de leur immeuble,
Plus en détailUN MARCHÉ EN BONNE TENUE
A ix- en-p r o vence et M a r seille MarketView Régions Bilan 20 / Perspectives 23 BUREAUX Demande placée Offre immédiate Loyer «prime» LOCAUX D ACTIVITÉS Demande placée Offre immédiate Loyer «prime» UN
Plus en détailMarchés immobiliers en régions. Marseille 9 avril 2015
Marchés immobiliers en régions Marseille 9 avril 2015 Le tour de France de l immobilier par le Crédit Foncier Plan de la présentation Le baromètre Crédit Foncier/CSA sur le moral des professionnels de
Plus en détailValorisation des patrimoines. Conseil et accompagnement stratégique
Valorisation des patrimoines Conseil et accompagnement stratégique Dans un contexte d évolutions continues des règlementations et de recherche d optimisation, loin des grands programmes de constructions
Plus en détailEuropimmo LFP. SCPI d entreprise, immobilier européen AVERTISSEMENT
LFP Europimmo SCPI d entreprise, immobilier européen AVERTISSEMENT Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de votre patrimoine.
Plus en détailL immobilier en centre ville
SCPI «Scellier BBC Intermédiaire*» L immobilier en centre ville Mise à jour - 31 janvier 2012 *Le dispositif fiscal «Scellier BBC Intermédiaire» offre au souscripteur une réduction d impôt en contrepartie
Plus en détailL immobilier en centre ville
La note d information de la SCPI URBAN PATRIMOINE 2 a reçu le visa de l AMF n 11-37 en date du 18/10/2011 ; elle peut être obtenue gratuitement auprès de la Société de Gestion par demande adressée à :
Plus en détailVénissy, Un nouveau quartier se dessine
Dossier de Presse Vénissy, Un nouveau quartier se dessine GRAND LYON Marie-Laure OUDJERIT Tel. 04 78 63 40 40 Mél. MOUDJERIT@grandlyon.org SERL - Peggy LECUELLE Tel. 04 72 61 50 39 GSM 06 03 98 55 71 Mél.
Plus en détailETUDE COMPARATIVE INVESTISSEMENT IMMOBILIER LOGEMENTS / COMMERCES / BUREAUX
Page 1 ETUDE COMPARATIVE INVESTISSEMENT IMMOBILIER LOGEMENTS / COMMERCES / BUREAUX 1 Introduction La présente étude a pour objet de mettre en concurrence lʼinvestissement dans un ou plusieurs appartements,
Plus en détail1 ER BAROMÈTRE DES PRIX DE L IMMOBILIER DE PARKING
1 ER BAROMÈTRE DES PRIX DE L IMMOBILIER DE PARKING Inédit en France, MonsieurParking.com, société spécialisée dans l achat, la vente et la location de places de parking, crée le 1 er baromètre de l immobilier
Plus en détailFiche synthétique. Caractéristiques du bien: Estimation de la rentabilité* : 18 rue du Puits Descazeaux 33000 Bordeaux. Rentabilité Année 1 Année 2
Fiche synthétique T1 18 rue du Puits Descazeaux 33000 Bordeaux Caractéristiques du bien: Type de bien Neuf / Ancien T1 Ancien Date de construction 1900 Loué Date de fin de bail Non XXXXX Surface 27 m²
Plus en détailObservatoire. de l immobilier d entreprise de Maine-et-Loire EDITION 2011
Observatoire de l immobilier d entreprise de Maine-et-Loire EDITION 2011 LES FAITS MARQUANTS EDITORIAL UN MARCHÉ TERTIAIRE CONCENTRÉ L agglomération angevine dépasse le seuil des 30 000 m 2 de transactions
Plus en détailConférence de Presse Immobilier d Entreprise. AGGLOMÉRATION LYONNAISE 21 janvier 2011
Conférence de Presse Immobilier d Entreprise AGGLOMÉRATION LYONNAISE 21 janvier 2011 2011, cap sur la reprise? AGGLOMÉRATION LYONNAISE 21 janvier 2011 LOCAUX D ACTIVITÉ MARCHÉDES LOCAUX D ACTIVITÉ 2010
Plus en détailPremeLY Habitat 3 BBC
PremeLY Habitat 3 BBC (Bâtiment Basse Consommation) SCPI DE TYPE «SCELLIER BBC» souscription ouverte jusqu au 20 décembre 2011 La clôture de la période de souscription pourra intervenir par anticipation
Plus en détailFiche Signalétique Générale Décembre 2010 contact : franchise.multifood@gmail.com
1 PRESENTATION DE NOTRE PROJET DE DEVELOPPEMENT 2 NOTRE STRATEGIE DE DEVELOPPEMENT : Lancement de la Franchise MultiFood 2-1 CARACTERISTIQUES Nous développons à la fois des implantations de restaurants
Plus en détailL IMMOBILIER PROFESSIONNEL EN MÉTROPOLE LILLOISE. Immo DesPros PÉRENCHIES
L IMMOBILIER PROFESSIONNEL EN MÉTROPOLE LILLOISE La revue Immo DesPros SÉLECTION 1 er semestre 2013 EXCLUSIVITÉ BONDUES RAVENNES-LES-FRANCS LOCATION de 500 à 1.685 m 2 632 Positionné à l entrée du nouveau
Plus en détailLE MARCHÉ DE L INVESTISSEMENT EN FRANCE
CB RICHARD ELLIS Market View Conjoncture immobilière ILE-DE-FRANCE / FRANCE 3 ème trimestre 2010 TENDANCES Investissements France entière Engagements Taux «prime» bureaux Bureaux Ile-de-France Demande
Plus en détailSommaire. I. PERL, qui sommes nous? II. Avantages du produit PERL. III. Souplesse et stratégies de sortie. IV. Clientèle et positionnement
www.perl.fr Sommaire I. PERL, qui sommes nous? II. Avantages du produit PERL III. Souplesse et stratégies de sortie IV. Clientèle et positionnement V. Perl pratique PERL PERL Créateur du schéma en 2000
Plus en détailPATRIMMO COMMERCE. Société Civile de Placement Immobilier
PATRIMMO COMMERCE Société Civile de Placement Immobilier INVESTISSEZ INDIRECTEMENT EN PARTS DE SCPI DANS L IMMOBILIER COMMERCIAL Patrimmo Commerce a pour objectif de constituer un patrimoine immobilier
Plus en détailLe Jatte 6. 7/13 Boulevard Paul-Emile Victor 92200 Neuilly-sur-Seine
Le Jatte 6 Les atouts du site en quelques mots Plusieurs disponibilités à la location, de 340 m² à 535 m² par plateau Des plateaux de 450 m² moyens environ Locaux sécurisés par badge ou digicode Hall d
Plus en détailSCPI GEMMEO COMMERCE. L immobilier de commerce français en portefeuille
SCPI GEMMEO COMMERCE L immobilier de commerce français en portefeuille AVERTISSEMENT Facteurs de risques Avant d investir dans une société civile de placement immobilier (ci-après «SCPI»), vous devez tenir
Plus en détailPARC DES EXPOSITIONS de la Porte de Versailles
PARC DES EXPOSITIONS de la Porte de Versailles I- LE PARC DES EXPOSITIONS AUJOURD HUI Bien positionné sur les classements internationaux, Paris est une destination phare du tourisme d affaires au niveau
Plus en détail(Bâtiment Basse Consommation)
PREMELY Habitat 3 BBC (Bâtiment Basse Consommation) SCPI DE TYPE «SCELLIER BBC» Prorogation de la commercialisation jusqu au 20 décembre 2012. La période de souscription de PREMELY Habitat 3 BBC, prévue
Plus en détailLes SCPI. François Longin 1 www.longin.fr
Programme ESSEC Gestion de patrimoine Séminaire i «L investissement t immobilier» Les SCPI François Longin 1 www.longin.fr Généralités sur les SCPI SCPI Borloo Plan Processus d investissement (sélection
Plus en détailBilan 2012. Marché Immobilier d entreprise. www.agglo-evry.fr
Marché Immobilier d entreprise Bilan 212 Crédits photos : Lionel Antoni, Christian Lauté, Gitka Olivier, APCL, GEMOFIS, DR ECE. Imprimerie : Le réveil de la Marne. Février 213. www.agglo-evry.fr édito
Plus en détailÉtude trimestrielle de Crédit Foncier Immobilier
Étude trimestrielle de Crédit Foncier Immobilier UN MARCHÉ LOCATIF QUI TOURNE AU RALENTI 3 e trimestre 2013 Direction des Études Point de conjoncture bureaux marché locatif FORTE DÉCÉLÉRATION SUR LES GRANDES
Plus en détailEdissimmo SCPI CLASSIQUE DIVERSIFIÉE
Edissimmo SCPI CLASSIQUE DIVERSIFIÉE Valorisez votre patrimoine avec de l immobilier d entreprise de qualité en investissant dans la SCPI Edissimmo - Durée recommandée : 8 ans Augmentation de capital ouverte
Plus en détailUne stratégie payante
Chiffre d affaires 9M 2013 Silex, Lyon Le Patio, Lyon - Villeurbanne Une stratégie payante 7 novembre 2013 Une stratégie partenariale - Des revenus locatifs pérennes Loyers part du groupe solides : + 5,4%
Plus en détailADIL 05 Agence Départementale d Information sur le logement -
ADIL 05 Agence Départementale d Information sur le logement - Observatoire des Loyers du Parc Privé des Communes de Briançon, Embrun et Gap Cette étude, à destination des professionnels de l immobilier,
Plus en détailSICAV Agréée CSSF Code ISIN LU0685178344
Un produit de placement différenciant et solide SICAV Agréée CSSF Code ISIN LU0685178344 RÉSERVÉ EXCLUSIVEMENT AUX INVESTISSEURS QUALIFIÉS* - NON DESTINÉ À LA COMMERCIALISATION *au sens de la directive
Plus en détailUn bon début d année. 6 mai 2014. Des succès locatifs grâce à un patrimoine de qualité. Solides performances opérationnelles
Chiffre d affaires 3M 2014 Le Patio, Le Patio, Lyon Lyon - - Villeurbanne CB 21, La Défense Un bon début d année 6 mai 2014 Des succès locatifs grâce à un patrimoine de qualité 7 000 m² loués à La Défense
Plus en détailEdissimmo. Valorisez votre patrimoine en investissant indirectement dans de l immobilier d entreprise avec la SCPI Edissimmo
Edissimmo SCPI Immobilier d Entreprise classique diversifiée à capital variable Valorisez votre patrimoine en investissant indirectement dans de l immobilier d entreprise avec la SCPI Edissimmo Comporte
Plus en détailLe marché immobilier en France
Le marché immobilier en France Immobilier d entreprise, logement, immobilier de loisirs Jean-Claude GINISTY Notaire à Paris Juin 2013 1 L immobilier d entreprise dans le GRAND PARIS 2 L immobilier d entreprise
Plus en détailBANQUE POPULAIRE GESTION PRIVÉE SCPI SCELLIER BBC FRUCTIRESIDENCE BBC. BANQUE & ASSURANCE www.banquepopulaire.fr
BANQUE POPULAIRE GESTION PRIVÉE SCPI SCELLIER BBC FRUCTIRESIDENCE BBC BANQUE & ASSURANCE www.banquepopulaire.fr Avertissement - Facteurs de risques Lorsque vous investissez dans une SCPI de type «Scellier
Plus en détailIMMOBILIER D ENTREPRISE CROISSANT OUEST POINT SECOND SEMESTRE 2013
IMMOBILIER D ENTREPRISE CROISSANT OUEST POINT SECOND SEMESTRE 2013 68 avenue des Guilleraies 92000 NANTERRE Téléphone : 01 55 17 00 00 Fax : 09 81 70 68 48 Mail : contact@street-office.fr DECEMBRE 2013
Plus en détailENQUÊTE SUR LE COÛT DE LA VIE ETUDIANTE
DOSSIER DE PRESSE 18 AOÛT 2014 ENQUÊTE SUR LE COÛT DE LA VIE ETUDIANTE CONTACT PRESSE LISA RIBEAUD 06 15 86 43 41 lribeaud@unef.fr presse@unef.fr 2 Rentrée 2014 SOMMAIRE Les principaux chiffres 5 Edito
Plus en détailLa Banque Postale Présentation de l activité Secteur Public Local. Bruges, le 3 juillet 2013
CEBATRAMA La Banque Postale Présentation de l activité Secteur Public Local Bruges, le 3 juillet 2013 HÉRITIÈRE DES SERVICES FINANCIERS DE LA POSTE 100% Filiale à 100% du groupe La Poste La Banque Postale
Plus en détailPremier banquier de l immobilier
Premier banquier de l immobilier 2 e groupe bancaire en France 2e banque des particuliers 2e banque principale 2e pour les crédits immobiliers 2e pour l'épargne 1ère banque des PME 2e banque des professionnels
Plus en détailCinq ans après le début de la crise financière, l économie
52 5 L immobilier d entreprise allemand et les investisseurs Par Marcus Cieleback, directeur de recherche, PATRIZIA Immobilien AG. 5.1/ SITUATION GÉNÉRALE Cinq ans après le début de la crise financière,
Plus en détailSCPI FONCIA PIERRE RENDEMENT
CONSEIL EN GESTION DE PATRIMOINE INDEPENDANT Bordeaux, le 21 Mars 2013 SCPI FONCIA PIERRE RENDEMENT 9 è m e AUGMENTATION DE CAPITAL Nous avons une nouvelle fois l opportunité de vous proposer de participer
Plus en détailL immobilier au service de l épargne
Corporate au service de l épargne La performance durable au service de l épargne 14 15 Dans un marché de l immobilier d entreprise particulièrement concurrentiel, la construction d un patrimoine de qualité
Plus en détailLE SIGNAC. 1 AVENUE DU GENERAL DE GAULLE 92230 GENNEVILLIERS 6 584 m² de bureaux divisibles à partir de 290 m². Contact :
LE SIGNAC 1 AVENUE DU GENERAL DE GAULLE 92230 GENNEVILLIERS 6 584 m² de bureaux divisibles à partir de 290 m² Contact : Christophe Dejeune E: cdejeune@savills.fr DL: +33 (0) 1 44 51 17 57 M : +33 (0) 6
Plus en détailEXPERTISE. Motel One Brussels, Bruxelles, Belgique Architecte : SM Archi 2000 Victor Demeester
106 Motel One Brussels, Bruxelles, Belgique Architecte : SM Archi 2000 Victor Demeester 107 Le Groupe BESIX Développement Immobilier Développement Immobilier 108 BESIX RED développement en vitesse de croisière
Plus en détailAGENCE IMMOBILIÈRE SOMMAIRE
AGENCE IMMOBILIÈRE SOMMAIRE LE MARCHÉ DE L'AGENCE IMMOBILIÈRE... 2 LA RÉGLEMENTATION DE L'AGENCE IMMOBILIÈRE... 5 L'ACTIVITÉ DE L'AGENCE IMMOBILIÈRE... 8 LES POINTS DE VIGILANCE DE L'AGENCE IMMOBILIÈRE...
Plus en détailLE MARCHE LOCATIF DES BUREAUX FRANCILIENS IL FAUT SAVOIR GARDER RAISON
LE MARCHE LOCATIF DES BUREAUX FRANCILIENS IL FAUT SAVOIR GARDER RAISON Un vent d optimisme nouveau commence à souffler sur le marché francilien de la location de bureaux. Le volume des transactions s est
Plus en détailCBo Territoria annonce son transfert sur le marché réglementé de NYSE Euronext Paris
Communiqué de presse Sainte-Marie, le 16 décembre 2011, 11h30 Aménageur - Promoteur - Foncière CBo Territoria annonce son transfert sur le marché réglementé de NYSE Euronext Paris «Les résultats et la
Plus en détailLes SCPI Société Civile de Placement Immobilier. Jean François THOUVENIN - ingénieur patrimonial
Les SCPI Société Civile de Placement Immobilier Jean François THOUVENIN - ingénieur patrimonial Le programme Introduction Généralités Historique Fonctionnement / Objectif Gestion / Fiscalité Les différents
Plus en détailFiscalité du Grand Paris
Fiscalité du Grand Paris Afin de financer le projet du métro automatique du Grand Paris Express et le plan de mobilisation pour les transports d IdF, l Etat a décidé de prélever de nouvelles recettes fiscales
Plus en détail4, rue Jean Allemane 95100 Argenteuil
4, rue Jean Allemane 95100 Argenteuil DOSSIER DE COMMERCIALISATION Vivre et investir ensemble Coloc & Vie RCS Nanterre 807 853 841 52, rue de Bezons 92400 Courbevoie À propos de Coloc & Vie Officiellement
Plus en détailImmobilier public. L immobilier au service du secteur public Valorisez votre patrimoine
Immobilier public L immobilier au service du secteur public Valorisez votre patrimoine Transformation et optimisation de l immobilier public Un poste à gérer comme une opportunité et une ressource Un
Plus en détailProgramme ESSEC Gestion de patrimoine
Programme ESSEC Gestion de patrimoine Séminaire «L investissement immobilier» Fiscalité de l immobilier François Longin 1 www.longin.fr Fiscalité de l immobilier Plusieurs niveaux de fiscalité (investissement
Plus en détailLes mesures pour relancer la construction de logements
Les mesures pour relancer la construction de logements Janvier 2015 Le logement est devenu, pour la plupart des Français, cher et difficilement accessible. Le secteur de la construction traverse une grave
Plus en détailCommerces de proximité Quelles politiques architecturales, urbaines et économiques des collectivités locales et opérateurs pour optimiser le commerce
Commerces de proximité Quelles politiques architecturales, urbaines et économiques des collectivités locales et opérateurs pour optimiser le commerce de proximité Carole Delaporte et Christine Tarquis
Plus en détailEtat des lieux de l immobilier d entreprises en Guadeloupe
Etat des lieux de l immobilier d entreprises en Guadeloupe La conjoncture immobilière en Guadeloupe est au vert depuis les 6 dernières années. Ce boom immobilier concerne aussi l immobilier d entreprises
Plus en détailmise à jour: septembre 2015 COMMENTAIRES
mise à jour: septembre 215 rrouvez le dail de toutes ces annonces sur notre prix/ GRENAY ZI GRENAY TERRAIN INDUSTRIEL ancienne gare d'heyrieux A3848 5 ST PIERRE DE CHANDIEU TERRAIN INDUSTRIEL A BATIR ENTREE
Plus en détailvos contacts CREDIT FONCIER IMMOBILIER
vos contacts CREDIT FONCIER IMMOBILIER Direction générale Comité de direction, général délégué Crédit Foncier Immobilier Stéphane Imowicz, général, général délégué Stéphane Imowicz général Tél. : 01 57
Plus en détailSéminaire Bâtiment Durable :
1 Séminaire Bâtiment Durable : Reconversion durable d immeubles de bureaux Bruxelles Environnement Focus 2 : Aspects techniques et architecturaux Anders BÖHLKE Program Manager de l Executive Master Immobilier
Plus en détailRivoli Avenir Patrimoine
Amundi Immobilier Bulletin d information N 2014-04 Valable du : 1 er janvier 2015 au 31 mars 2015 Période analysée : 1 er octobre 2014 au 31 décembre 2014 Distribution des revenus Dividende annuel 2014
Plus en détailAssemblée Générale Mixte 7 juin 2012. Immeuble NOVA La Garenne-Colombes (92)
Assemblée Générale Mixte 7 juin 2012 Immeuble NOVA La Garenne-Colombes (92) LIMITATION DE RESPONSABILITE Déclaration prospective (Safe Harbour) Cette présentation comprend des considérations prospectives
Plus en détail50 lots LMNP en EHPAD au Creusot (71) Gestion DOMIDEP (9ème gestionnaire d ehpad)
50 lots LMNP en EHPAD au Creusot (71) Gestion DOMIDEP (9ème gestionnaire d ehpad) Le Revenu Pierre Introduction Bureaux : 17 rue Beffroy - 92200 Neuilly-sur-Seine T. +33 (0)1 46 41 90 10 - F. +33 (0)1
Plus en détailCOMMUNIQUE DE PRESSE. Déclaration Intermédiaire Evolution de l activité au 1 er semestre 2014
COMMUNIQUE DE PRESSE Information réglementée 30 juillet 2014 : 7h45 Déclaration Intermédiaire Evolution de l activité au 1 er semestre 2014 Les principaux faits marquants de la période ont été : La location
Plus en détailPanorama bureaux Investissement Lyon
Panorama bureaux Investissement Lyon On Point I3 ème trimestre 2014 Source : Asylum Sogelym Dixence I 1 I 2 Le fait marquant Coup double sur la tour Incity La rumeur de cette acquisition courait depuis
Plus en détailNOGENT-LE-ROTROU (28 - Eure-et-Loir) Redynamisation du centre commercial «Les Gauchetières» Note descriptive du projet
NOGENT-LE-ROTROU (28 - Eure-et-Loir) Redynamisation du centre commercial «Les Gauchetières» Note descriptive du projet Restructuration du pôle commercial «Les Gauchetières» à Nogent-le-Rotrou_27 janvier
Plus en détail