LYCEE DIDEROT AVRIL Etabli en réponse aux exigences du Décret n du 5 novembre 2001

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "LYCEE DIDEROT AVRIL 2013. Etabli en réponse aux exigences du Décret n 2001-1016 du 5 novembre 2001"

Transcription

1 Etabli en réponse aux exigences du Décret n du 5 novembre 2001 LYCEE DIDEROT Date d'émission initiale : 10/04/2013 Date de la dernière mise à jour : AVRIL 2013

2 RAISON SOCIALE Lycée Professionnel DIDEROT Avenue Jean Jaurès Romilly sur Seine N SIRET CODE APE ACTIVITE Enseignement EFFECTIF DE L ETABLISSEMENT 450 élèves et 100 adultes ORGANISATION DU TRAVAIL (horaires d ouverture de l établissement et internat) Du dimanche 20h au Vendredi 19h NOM DU PRESIDENT CHS NOM DES MEMBRES DU CTP/CHS Mme THIEBAULT Voir page suivante NOM DU MEDECIN DU TRAVAIL NOM DE l INFIRMIERE Mme GARCIA Lycée DIDEROT Exemplaire original Bureau Veritas Date : 10/04/2013 Réf. Bureau Veritas : CB465/SK/ /1/1/1 Page 2

3 Chef d Etablissement Présidente Adjoint au Chef d Etablissement Gestionnaire Conseiller Principal d Education Chef de Travaux Médecin de l Education Nationale MEMBRES DE DROIT Mme Yasmine THIEBAULT M. Philippe SUCH M. Pierre DICHAMP Mme Nathalie MEUNIER M. Laurent ROYER Docteur GENET Infirmière de l Education Nationale Mme Valérie GARCIA MEMBRES ELUS OU DESIGNES Collège des Représentants des Personnels d Enseignement et d Education Titulaire : M. Frédéric BIANIC Titulaire : M. Franck HOUDRY Suppléant : M. Christophe CORGERON Suppléant : M. Cyril ROUSSEAU Collège des Représentants des personnels ATOSS Titulaire : M. Sébastien BONNE Suppléant : Mme Maryline ROY Collège des Représentants des Parents d Elèves Titulaire : M. Jean-Paul MASSEY Titulaire : Me Nathalie MOROY Suppléant : M. Christophe T JOLLYN Suppléant : Me Séverine LIROT Représentant des élèves Titulaire : DOS SANTOS Antoine Titulaire : LACHOT Matthias Représentant de la Région Suppléant : LOPEZ Corentin Suppléant : DANIEL Nicolas M. Pierre MATHIEU

4 Présentation du document Le présent document constitue le document unique établi en réponse aux prescriptions définies dans le Décret n 2001/1016 du 5 novembre 2001 portant création d'un document relatif à l'évaluation des risques pour la santé et la sécurité des travailleurs, prévue par l'article L du code du travail et modifiant le code du travail. Il comporte les parties suivantes : 1 - DECOUPAGE DU SITE en unités fonctionnelles ; 2 - EVALUATION DES RISQUES : Liste des dangers présents, modalités d'exposition du personnel, recueil des mesures de maîtrise du risque mises en œuvre, évaluation des risques résiduels. 3 - ACTIONS PROPOSEES pour améliorer la maîtrise des risques METHODE UTILISEE POUR REALISER CE DOCUMENT UNIQUE : La démarche a été présentée à un groupe de travail, chargé de mettre à jour le document et de le faire vivre au cours des années. L évaluation des risques a été réalisée sur le terrain les 21, 26 mars et 02 Avril 2013 par M. Sami KHANSA (Bureau VERITAS), en compagnie des membres du groupe de travail. Des agents de chaque unité ont participé à cette évaluation. Ce document a été restitué au groupe de travail pour validation le 10/04/2013. L évaluation des risques s est faite en 3 étapes à partir du document de terrain du Bureau VERITAS reproduit pages suivantes.

5 DOCUMENTS DE TERRAIN UTILISES POUR L EVALUATION : CLASSES DE DANGER DANGERS MECANIQUES 01 - Récipient sous pression Vapeur, gaz, air, hydraulique 02 - Elément sous contrainte Rupture, effondrement 03 - Pièce en mouvement Rotation, cisaillement, transfert 04 - Autre danger mécanique Chute d objet, projection d éléments DANGERS CHIMIQUES 05 - Produit toxique, corrosif Effet immédiat ou à long terme 06 - Réaction chimique Produits instables, incompatibles 07 - Inflammation, explosion Liquide, gaz, poussière 08 - Pollution de l atmosphère Fuite de gaz nocif, inflammable DANGERS ELECTRIQUES 09 - Contact direct ou indirect Electrisation, électrocution 10 - Electricité statique Décharge, arc, départ de feu 11 - Condensateur Décharge sur matériel hors tension 12 - Hautes Fréquences Rayonnement, échauffements, brûlures INCENDIE 13 - Produit inflammable Combustible+Comburant+Energie 14 - Propagation de l incendie Configuration des locaux RAYONNEMENTS 15 - Ionisants Source radioactive, déchets 16 - Non ionisants Laser, UV, IR, Micro-onde, arc électrique DANGERS BIOLOGIQUES 17 - Bactéries, virus, parasites Matière, animaux, environnement, canalisation ou ventilation (légionellose) NUISANCES 18 - Bruit, vibrations Effet immédiat ou à long terme 19 - Odeur, poussières Gène, nocivité à long terme (amiante, ) 20 - Eclairement Obscurité, éblouissement, reflets 21 - Ambiance thermique Chaleur ou froid ambiant INTERVENTIONS ET ACCES 22 - Brûlure thermique Objet très chaud, très froid 23 - Source d asphyxie Local confiné, teneur en oxygène 24 - Travail en hauteur Moyen d accès, solidité des supports 25 - Accident de plain pied Désordre, obstacle, état du sol, pente 26 - Choc, coupure, piqûre Obstacle, matériau ou outil coupants 27 - Collision, heurt Piétons, engins, levage de charges, largeur des passages et des allées ERGONOMIE ORGANISATION 28 - Manutention manuelle Poids, fréquence, aide à la manutention 29 - Gestes répétitifs, posture Effet à long terme sur les articulations 30 - Travail posté Travail de nuit, durée du travail, horaires 31 - Travail isolé Personne seule à un poste dangereux ENVIRONNEMENT DU TRAVAIL 32 - Coactivité Personne d autres activités, chantiers 33 - Environnement naturel Intempéries, inondations, sol instable 34 - Voisinage Autres industries, intrusions sur le site 35 - Travail hors de l entreprise Risque routier, déplacement, mission RISQUES PSYCHOSOCIAUX 36 - Rythme et charge de travail charge forte, urgences, absences 37 - Organisation du travail problèmes compliquant le travail 38 - Contenu du travail motivation, objectifs, situat. Economique 39 - Relationnel au travail avec collègues, hiérarchie, clients 40 - Agression Physique ou verbale 41 - Braquage, hold-up Lycée DIDEROT Exemplaire original Bureau Veritas Date : 10/04/2013 Réf. Bureau Veritas : CB465/SK/ /1/1/1 Page 5

6 DOCUMENTS DE TERRAIN UTILISES POUR L EVALUATION (suite) : HIERARCHISATION DES RISQUES PROBABILITE DE L EVENEMENT DANGEREUX : 1 Très rare (ou événement jamais observé) 2 Rare (ex : exposition au risque tous les mois) 3 Fréquent (ex : plusieurs fois par semaine) 4 Très fréquent (ex : plusieurs fois par jour) Exemple pour une manutention manuelle : le port de charge est-il très occasionnel (1) ou permanent (4). GRAVITE POTENTIELLE DES DOMMAGES : 1 Gène (ou effet négligeable sur la santé) 2 Blessure légère (sans séquelle) 3 Blessure grave (arrêt long, handicap) 4 Décès probable Exemple : un port de charge lourde peut provoquer une hernie, avec un arrêt de travail long (3). PONDERATION : ELEMENTS REDUISANT LE NIVEAU DE RISQUE La pondération est fonction des dispositions existantes (dispositif technique, organisation ou management) : TECHNIQUE : Equipement conforme, dispositif de protection, carter, barrière, système de ventilation, outillage adapté, EPI, ORGANISATION : Etiquetage, procédure écrite, personnel formé, habilitation, visite périodique, audits internes réguliers, MANAGEMENT : management attentif de la part de la hiérarchie, respect effectif des instructions, comportement prudent, D une manière générale, la pondération retenue pour la rédaction initiale de ce document unique à été : de - 4 pour des mesures techniques fiables (ex : détection de gaz ou extinction automatique) de - 2 pour des mesures reposant sur le comportement humain (ex : mode opératoire) de - 1 pour une maîtrise des risques assurée par un suivi régulier (ex : vérification mensuelle du matériel) ETAPE 2 Evaluation de l événement en terme de probabilité d occurrence et de gravité potentielle (avant pondération). ETAPE 3 Hiérarchisation du risque résiduel, en prenant en compte les dispositions actuellement en place pour maîtriser le risque. Documents Bureau Veritas 07/02 RISQUE RESIDUEL = (Probabilité X Gravité) - Pondération REMARQUE : mise à jour annuelle du document Les mêmes critères de pondération seront à utiliser les années suivantes pour tenir compte de l effet des actions menées en cours d année pour maîtriser les risques (les propositions d actions de Bureau Veritas en partie 3 sont accompagnées d une pondération indicative). RISQUE RESIDUEL Avril 2014 = RISQUE RESIDUEL Avril 2013 Pondération des actions menées l année en cours Lycée DIDEROT Exemplaire original Bureau Veritas Date : 10/04/2013 Réf. Bureau Veritas : CB465/SK/ /1/1/1 Page 6

7 NIVEAU DE RISQUE RESIDUEL ET PRIORITES DU PLAN D ACTIONS SECURITE : Le niveau de risque mentionné en dernière colonne du document est une évaluation du RISQUE RESIDUEL, qui prend en compte la maîtrise des risques actuellement mise en œuvre (les moyens matériels, organisationnels, humains existants). Ce risque résiduel est noté de 1 à 16. Cette hiérarchie doit être interprétée de la manière suivante concernant la priorité des actions : NIVEAU DE RISQUE 1 à 6 : RISQUE FAIBLE 7 à 11 : RISQUE MOYEN 12 à 16 : RISQUE FORT SIGNIFICATION EN TERME DE PLAN D ACTIONS pour l année en cours : AUCUNE ACTION complémentaire ne s impose : l événement dangereux a été pris en compte et étudié lors de l évaluation des risques, mais la conclusion en a été un risque minime ou correctement maîtrisé par les mesures actuelles : Le personnel nouveau au poste doit cependant être informé de l éventualité de cet événement à l occasion de la formation sécurité au poste de travail. Ce niveau de risque implique UNE ACTION, au moins en terme de communication et formalisation d une consigne, de sensibilisation du personnel et de suivi dans le temps de l évolution du risque. Ce niveau de risque implique UNE ACTION PALLIATIVE rapide et une SOLUTION DURABLE pour ramener le risque à un niveau acceptable. Répartition des risques résiduels identifiés pour l établissement Risques faibles : Risques moyens : Risques forts : Lycée DIDEROT Exemplaire original Bureau Veritas Date : 10/04/2013 Réf. Bureau Veritas : CB465/SK/ /1/1/1 Page 7

8 1 - Découpage du site en unités fonctionnelles NB : ces unités fonctionnelles correspondent aux unités de travail spécifiées dans l'article 1 du Décret n du 5 novembre Unité de travail n Libellé de l unité N page 1. Risques communs à l ensemble du personnel du site Extérieurs, accès et circulation dans l établissement Risques génériques Professeurs EPS, Gymnase Laboratoire physique chimie 17 Ateliers 6. Atelier menuiserie- ébénisterie Atelier maintenance industrielle Atelier ferronnerie-métallerie Section commerce Plateau technique tertiaire 40 Agents techniques 11. Service technique Atelier OP Magasin ateliers Entretien, ménage des locaux 48 Lycée DIDEROT Exemplaire original Bureau Veritas Date : 10/04/2013 Réf. Bureau Veritas : CB465/SK/ /1/1/1 Page 8

9 Autres services 14. Service vie scolaire Loge- Accueil Cuisine et plonge CDI Services Administratifs Informatique Infirmerie Assistante sociale Internat Lingerie 71 Lycée DIDEROT Exemplaire original Bureau Veritas Date : 10/04/2013 Réf. Bureau Veritas : CB465/SK/ /1/1/1 Page 9

10 2 Evaluation des risques 2.1 Risques communs à l ensemble du personnel du site N classe de danger 07 Source de danger : descriptif de l événement dangereux Installations gaz de ville et fioul. Risque d explosion en cas de fuite et d accumulation. Probabilité de 1 à 4 Gravité de 1 à Inventaire des dispositions existantes en matière de maîtrise des risques ainsi que : en rouge les facteurs qui majorent le risque, en bleu les projets en cours. Présence de plusieurs chaufferies : - chaufferie pour les bâtiments administratifs, - chaufferie pour les ateliers, - une chaufferie pour la zone cuisine, - chaufferie pour l atelier JAURES, - chaudière pour les logements. Panoplie gaz également pour les équipements de cuisson en cuisine. Les installations sont vérifiées annuellement par un organisme de contrôle. Contrat d entretien avec COFELY. (Absence d étude concernant le risque explosion : décret du 24/12/2002. Article R4227 du code du travail). Niveau de pondération obtenue par les mesures existantes Niveau de risque résiduel de 1 à Risque d électrisation Départ de feu, Incendie Les installations sont vérifiées annuellement par un bureau de contrôle. (la dernière vérification date du 17/11/2011). La plupart des bâtiments et installations (sauf ateliers) sont récents. Rq : Les dispositions relatives à chaque bâtiment seront précisées dans les unités de travail Présence d extincteurs, trappes de désenfumage et déclencheurs manuels vérifiés annuellement et de zones sous alarme incendie. Des portes coupe feu permettent le compartimentage des locaux Des plans d évacuation et consignes incendie sont répartis sur le site. Plusieurs points de rassemblement sont identifiés et signalisés en extérieur. Des exercices d évacuation sont faits trimestriellement (personnel+ élèves). Contrôle tous les 3 ans de la commission de sécurité. (Absence de formation incendie suivie par le personnel). Des formations incendie pour le personnel sont prévues en juin Les élèves peuvent fumer uniquement à l extérieur de l établissement (accès principal). Le personnel administratif fume derrière ce bâtiment, à l extérieur de l établissement. Rq : Les dispositions relatives à chaque bâtiment seront précisées dans les unités de travail. / / Lycée DIDEROT Exemplaire original Bureau Veritas Date : 10/04/2013 Réf. Bureau Veritas : CB465/SK/ /1/1/1 Page 10

11 17 Installations de production d eau chaude. Risque de contamination en cas de légionnelles La plupart des bâtiments et installations (sauf ateliers) sont récents. (Certains points d eau ne sont pas utilisés et peu, voire pas coulés : ex douches, servant de stockage). (Absence de surveillance légionnelle et mesures de températures mensuelles suivant l arrêté ministériel du 01/02/2010) / 6 18 Nuisances auditives liées aux sonneries interclasses. 4 1 / 4 19 Présence de matériaux amiantés Blessures diverses, malaises Risques Majeurs. 1 4 Les Dossiers Techniques Amiante ont été réalisés pour tous les bâtiments. Assurez-vous de bien communiquer la cartographie à vos intervenants techniques et aux entreprises extérieures en cas de travaux. Un défibrillateur automatique est présent, situé dans le bâtiment administratif. Des sensibilisations à l utilisation ont été réalisées pour les professionnels en Une infirmière est présente à temps complet sur le site. 4 moniteurs SST et un moniteur PSC1 dans l établissement avec 15 à 20 adultes formés. Les élèves du lycée professionnel sont formés SST dans leur cursus. Les élèves de 3 ème sont formés PSC1. (Absence de regroupement et d identification des Sauveteurs Secouristes du Travail). Rq : Les dispositions relatives à chaque bâtiment seront précisées dans les unités de travail. Un Plan Particulier de Mise en Sûreté a été établit au sein de l établissement. (Mais jamais mis en pratique). / 4 / Interventions d entreprises extérieures : risques liés à la coactivité. Tenue d un registre d intervention. (Absence de réalisation de plans de prévention, décret du 20 /02/1992, dans le cadre des interventions d entreprises extérieures ; notamment lors des travaux dangereux, arrêté du 19 mars 1993 et des opérations > 400h/an). (Absence de réalisation de protocoles sécurité pour les opérations de chargement / déchargement : Arrêté 26/04/1996) / 6 Lycée DIDEROT Exemplaire original Bureau Veritas Date : 10/04/2013 Réf. Bureau Veritas : CB465/SK/ /1/1/1 Page 11

12 2.2 Extérieurs, accès et circulation dans l établissement N classe de danger Source de danger : descriptif de l événement dangereux Visibilité, éclairage des parties extérieures. Chute, collision. Probabilité de 1 à 4 Gravité de 1 à Inventaire des dispositions existantes en matière de maîtrise des risques ainsi que : en rouge les facteurs qui majorent le risque, en bleu les projets en cours. Les parties extérieures sont éclairées : détection de présence. (Des disfonctionnements des détections d éclairage sont signalés en extérieur). Rq : Les dispositions relatives à chaque bâtiment seront précisées dans les unités de travail. Niveau de pondération obtenue par les mesures existantes Niveau de risque résiduel de 1 à Collision, renversement lors de l accès à l établissement Hors du périmètre de l établissement. La cour extérieure à l établissement (et dépendante de la ville) constitue un lieu d engorgement à certains horaires (matin 8-9h et soir 17-18h). Passage potentiel de 1000 élèves entre 17 et 18h (uniquement collège + lycée) Passage simultané des : - lycéens (accès principal), - collégiens (accès piéton par l impasse longeant la loge), - cars de ramassage scolaire (pour 3 établissements), - véhicules déposant les élèves, - stationnement pour le GRETA, - stationnement pour les urgences de l hôpital (autre côté du boulevard). (Cet environnement ne présente pas de marquage au sol : sens unique de circulation, accès piétons). / 9 40 Intrusion sur le site : risque d agression, vol de matériel. Tout le site est clôturé avec plusieurs accès possibles : - entrée principale (devant la loge), - entrée arrière bâtiment administratif pour les logements, véhicules agents / de service (parking réservé) et livraisons bâtiment administratif, - accès commun parking GRETA, parking enseignants et livraisons, - accès livraisons atelier/restauration Les accès sont fermés par des portes automatiques à fonctionnement par télécommande et badge. Le site est doté d un réseau d éclairage extérieur par détection de présence. (Certains portails piétons ne seraient pas systématiquement fermés, des problèmes de programmation des portails automatiques sont également remontés, provoquant des ouvertures intempestives et parfois le weekend) Lycée DIDEROT Exemplaire original Bureau Veritas Date : 10/04/2013 Réf. Bureau Veritas : CB465/SK/ /1/1/1 Page 12

13 2.3 Risques génériques professeurs N classe de danger Source de danger : descriptif de l événement dangereux Chute d éléments stockés sur les dessus d armoires, étagères. Chocs, coups Probabilité de 1 à 4 Gravité de 1 à Inventaire des dispositions existantes en matière de maîtrise des risques ainsi que : en rouge les facteurs qui majorent le risque, en bleu les projets en cours. Des stockages disparates existent sur les dessus d armoires, ex : caisses de matériel, archives, fournitures, (Une desserte métallique est placée au dessus d armoire en salle PSE) Ces stockages sont en général peu sollicités. Niveau de pondération obtenue par les mesures existantes Niveau de risque résiduel de 1 à 16 / 4 09 Electrisation lors du branchement des matériels pédagogiques : rétroprojecteurs, vidéo, 1 3 Les installations électriques sont vérifiées annuellement. (Plusieurs multiprises ont été observées : C212, C210, / 3 18 Gênes inter salles liées aux mauvaises isolations phoniques. 3 1 Salle F101 : quand les BTS ont cours dans la salle limitrophe 3 20 Fatigue visuelle, mal de tête lié au travail sur écran. 3 2 Utilisation d écrans plats. (Salles PSE : une salle de travail n est pas équipée de volets, éblouissement, Gênes liées à l ambiance thermique. Froid, chaud 3 1 (Nuisances liées au froid : Salle de secourisme, salle C212 liée aux ventilations basses, salles PSE sous charpente, salles F103, F104 et F105. Salles surchauffées : CDI, bâtiment D, bureaux chefs travaux. Ouvertures intempestives des fenêtres du couloir bâtiment F : courants d air) Chute de plain-pied Glissade, obstacles au sol, dénivellations 2 2 (PSE, salle F105 : présence d ordinateurs au sol Salles F101, F106, salles C 2 ème étage, : Fils dans les passages, branchement de vidéo et rétroprojecteurs) Accidents lors de déplacements extérieurs : visites de stage, sorties pédagogiques, examens Utilisation des véhicules personnels. Utilisation ponctuelle des véhicules de l établissement ou location car extérieur avec chauffeur. Taux d encadrement d 1 professionnel pour 12 élèves. Demande d un ordre de mission au préalable. Les véhicules sont dotés de carnets de maintenance. Entretien des véhicules en interne par un agent technique et dans un garage agréé Lycée DIDEROT Exemplaire original Bureau Veritas Date : 10/04/2013 Réf. Bureau Veritas : CB465/SK/ /1/1/1 Page 13

14 28 Mal de dos lors de la manipulation, déplacement, mise en place de matériel Le détail des risques et des machines est fait par unité de travail. Utilisation de matériel de manutention si besoin : chariot. / 29 Posture debout prolongée, écriture au tableau, piétinement. Troubles Musculo Squeletiques. 4 1 (Certains tableaux noirs sont positionnés hauts et entraînent des contraintes posturales) Risques Psychosociaux Charge de travail / échéances Périodes de concentration des échéances : tâches administratives, visites d entreprises, ) Multiplicités des logiciels informatiques à utiliser (de plus en plus de travail informatiques et de logiciels), formations pas forcément en adéquation. Rq : absence d évaluation spécifique sur les risques psychosociaux 37 Risques Psychosociaux Organisation Bâtiment G, salles PSE : craintes des enseignants par rapport au risque de chute des élèves assis sur les rambardes de la passerelle. Rq : absence d évaluation spécifique sur les risques psychosociaux 39 Risques Psychosociaux Communication parfois difficile avec les élèves, réunions avec les parents. Rq : absence d évaluation spécifique sur les risques psychosociaux 40 Risques Psychosociaux Agressions verbales, refus de l autorité, faire respecter les interdictions (téléphones portables). 3 2 Sollicitations de la vie scolaire, direction en cas de conflits avec les élèves. Présence de nombreuses zones sans possibilité de visibilité : coins et recoins liés à la configuration des bâtiments (ex : accès aux ascenseurs). Le bâtiment G est isolé, les conflits y sont plus redoutés. Des stages sont proposés en interne sur les comportements à adopter face aux situations de violence : suivi par une quinzaine d enseignants. Difficultés de plus en plus importantes à faire face au refus d autorité des élèves. Constat variable suivant les disciplines enseignées Rq : absence d évaluation spécifique sur les risques psychosociaux Lycée DIDEROT Exemplaire original Bureau Veritas Date : 10/04/2013 Réf. Bureau Veritas : CB465/SK/ /1/1/1 Page 14

15 2.4 EPS, COSEC N classe de danger Source de danger : descriptif de l événement dangereux Chute des équipements sportifs Ecrasement des pieds, chocs. Probabilité de 1 à 4 Gravité de 1 à Inventaire des dispositions existantes en matière de maîtrise des risques ainsi que : en rouge les facteurs qui majorent le risque, en bleu les projets en cours. Le matériel est vérifié par un organisme extérieur dans le cadre des vérifications périodiques des équipements sportifs. Niveau de pondération obtenue par les mesures existantes Niveau de risque résiduel de 1 à Chute de matériel placé en hauteur. Dans le local des professeurs. 2 2 Stockage du matériel dans des bacs sur étagères 3 niveaux. Les éléments les plus lourds sont au sol (ex : les poids) Electrisation lors de l utilisation du gonfleur, rallonges et multiprises, Les installations électriques sont vérifiées annuellement par un organisme extérieur. Matériel en bon état Départ de feu, risque d incendie. 1 4 Le gymnase est équipé d extincteurs et de RIA vérifiés annuellement. Plusieurs sorties de secours Conditions d hygiène. 4 1 (Les vestiaires du rdc sont dans un état de dégradation/important) / 4 18 Nuisances auditives. 3 2 Les salles sont bruyantes (surtout celle du rdc). Occupation des locaux par au maximum 4 classes en simultané. / 6 24 Chute de hauteur lors des activités d escalade. Les enseignants testent les voies d escalade. Port des équipements homologués : harnais + longe + moyens d accrochage. Mise en place de tapis au sol. Accès à plusieurs Risques inhérents au métier : entorses, chute de plain-pied, coups divers. 4 2 Personnel sportif et expérimenté. (Un des locaux de stockage est très encombré. Beaucoup de matériel n est plus utilisé et serait à évacuer) Coupures, blessures aux mains lors de la manipulation du matériel : filet de volley, crémaillère des poteaux de volley, tables de ping pong, ouverture du volet métallique d accès au rangement. 3 2 (Certaines tables de ping pong sont vieillissantes, lourdes (bois) et malgré les renforts apportés, menacent de «s ouvrir» et de tomber). Réflexe d aller directement à l infirmerie en cas de soucis. Un enseignant de sport est moniteur SST. Une trousse à pharmacie est présente sur place Lycée DIDEROT Exemplaire original Bureau Veritas Date : 10/04/2013 Réf. Bureau Veritas : CB465/SK/ /1/1/1 Page 15

16 28 Mal de dos lors de la manipulation du matériel : tapis, tables de ping pong, matériel de volley,. 3 2 Les équipements sont placés à demeure. Les équipements sont équipés de roulettes pour la plupart. Utilisation de chariot si besoin. Le matériel du gymnase (poteaux de volley et badminton) est léger (aluminium). Rq : l essentiel des manipulations de matériel est effectué par les élèves Agressions, intrusions lors des activités sportives au gymnase communal. 2 2 Ouvertures des portes par badge électronique programmé. Accès à plusieurs lignes de téléphone fixe dans le bureau et salles de sport, avec indication des numéros d urgence, mairie et lycée. (Difficultés de surveillance simultanée sur les deux niveaux de vestiaires). Rq : absence d évaluation spécifique sur les risques psychosociaux -1 3 Lycée DIDEROT Exemplaire original Bureau Veritas Date : 10/04/2013 Réf. Bureau Veritas : CB465/SK/ /1/1/1 Page 16

17 2.5 Laboratoire et enseignants de Physique Chimie N classe de danger 04 Source de danger : descriptif de l événement dangereux Chute du matériel entreposé en hauteur : Oscilloscopes, balances, Risque de choc. Probabilité de 1 à 4 Gravité de 1 à 4 Inventaire des dispositions existantes en matière de maîtrise des risques ainsi que : en rouge les facteurs qui majorent le risque, en bleu les projets en cours. Salle physique : Stockage de matériel sur étagères métalliques, fixées au mur. 4 niveaux de stockage. Les éléments les plus lourds sont les oscilloscopes, ils sont positionnés en partie basse. Salle chimie : Stockage en armoire de 6 niveaux de hauteur. (Stockage sur les dessus d armoires). Niveau de pondération obtenue par les mesures existantes Niveau de risque résiduel de 1 à Chute du matériel entreposé en hauteur : Verrerie Risque de choc et coupures en cas de casse. 2 2 La verrerie est stockée en armoire fermée Stockage de produits dangereux Risque de fuite et de réaction chimique Risque de brûlure cutanée, oculaire, intoxication en cas de contact. Stockage des produits liquides dans deux armoires fermées, munies d une aspiration, débouché en extérieur. Séparation des produits corrosifs des autres et séparation des acides et des bases. Les produits, au sein de l armoire sont situés dans différents bacs, faisant office de rétention. Une liste des produits date de 3 ans (pas de mise à jour plus récente). Une liste affichée précise également les produits interdits en laboratoire. Rq : les produits les plus anciens et les plus agressifs ont été évacués Lycée DIDEROT Exemplaire original Bureau Veritas Date : 10/04/2013 Réf. Bureau Veritas : CB465/SK/ /1/1/1 Page 17

18 05 Utilisation de produits dangereux : - produits corrosifs: acides chlorhydrique, sulfurique, soude, - produits irritants : ammoniaque, - produits nocifs : chlorure de zinc, Risque de brûlure cutanée, oculaire, intoxication. Les produits susceptibles d émettre des émanations dangereuses, sont manipulés sous hotte avec protection plexiglas et évacuation en extérieur avec mise en marche manuelle. Quelques fiches de données de sécurité sont disponibles (produits les plus courants), utilisation d internet (site INRS, quick fds pour les autres). Utilisation de pictogrammes autocollants pour étiqueter les conditionnements lors des transvasements et préparations de solutions. Présence d une caisse de vermiculite en cas de casse de verrerie et épandage de produits. Les élèves manipulent uniquement des solutions diluées. Port de blouses, gants et lunettes de protection par les élèves et professeurs. Présence d un rince-œil dans la salle de stockage Fuite de gaz : risque d inflammation Risque d explosion en cas d accumulation. 1 4 Les salles de sciences sont équipées de d entrées d air en partie basse (attention à ne pas les obstruer) et extracteurs en partie haute des fenêtres. Mise en marche par l enseignant des extracteurs via commande manuelle avant les manipulations. Vanne de coupure générale sous clé. L enseignant a la possibilité de façon centralisée de condamner les arrivées gaz des paillasses. Les flexibles des becs bunsen sont vérifiés et remplacés par l agent technique chauffagiste. (Absence d étude concernant le risque explosion : décret du 24/12/2002. Article R4227 du code du travail) Electrisation lors de l utilisation du matériel, lors des manipulations. Les installations électriques sont vérifiées annuellement. Protection par disjoncteurs 30 ma. Présence d organe de coupure de l alimentation électrique. Absence d intervention sur les installations, en armoire électrique Chute de hauteur lors des accès au stockage de matériel. 1 3 Utilisation de marche pieds dans les salles de stockage. / 3 25 Chute de plain-pied lors des déplacements, escaliers. 2 2 Les salles sont toutes de plain-pied. Rq : Présence de deux marches dans la salle C201. / 4 26 Blessures, coupures lors de l utilisation de l outillage à main, en cas de casse de verrerie 2 2 Un balai et une pelle sont utilisés en cas de casse. 4 Lycée DIDEROT Exemplaire original Bureau Veritas Date : 10/04/2013 Réf. Bureau Veritas : CB465/SK/ /1/1/1 Page 18

19 28 Mal de dos lors de la manipulation du matériel. Le matériel est placé dans des caisses, transportées sur chariot à roulette. Deux chariots sont utilisés (ils sont lourds à manipuler, équipements surchargés. Le bon état des roues est à vérifier) Risques Psychosociaux. Enseignants Organisation du travail : responsabilités Limitation au maximum des manipulations de produits à risque par les élèves, ainsi que l utilisation des becs bunsen en paillasse. Rq : absence d évaluation spécifique sur les risques psychosociaux Lycée DIDEROT Exemplaire original Bureau Veritas Date : 10/04/2013 Réf. Bureau Veritas : CB465/SK/ /1/1/1 Page 19

20 2.6 Atelier menuiserie/ ébénisterie N classe de danger Source de danger : descriptif de l événement dangereux Utilisation d outillage électroportatif : Perceuse, défonceuse, scie sauteuse, organes en mouvement et projection de particules. Probabilité de 1 à 4 Gravité de 1 à 4 Inventaire des dispositions existantes en matière de maîtrise des risques ainsi que : en rouge les facteurs qui majorent le risque, en bleu les projets en cours. Entretien en interne de l outillage. Outillage en bon état. Port des équipements de protection individuels : gants, lunettes, chaussures de sécurité, vêtement de travail. Niveau de pondération obtenue par les mesures existantes Niveau de risque résiduel de 1 à Utilisation des soufflettes, rupture de flexibles d air comprimé : projection de particules, poussières, copeaux de bois. Mise en suspension de poussières de bois. Risque d inflammation et d explosion. Contrôle visuel de l état des flexibles, et remplacement éventuel en interne Le réseau d aspiration est séparé en 3 zones. (Absence d asservissement du fonctionnement des machines au fonctionnement de l extraction de poussières). Au maximum 10 à 12 machines fonctionnent en même temps. Des mesures de débit ont été réalisées en même temps par une entreprise extérieure. Nettoyage quotidien des ateliers : aspirateur industriel, balai et soufflette plus occasionnellement (proscrire l utilisation de balai et soufflette). Entretien du silo par un prestataire extérieur : vidange et nettoyage. Du nettoyage est également réalisé en interne (à proximité), ainsi que des changements de manchette. Tamis vibrant pour décolmater les filtres. Rq : pas d intervention, ni d accès sur la vis sans fin. (Absence d étude concernant le risque explosion : décret du 24/12/2002. Article R4227 du code du travail) Risque d électrisation lors de l utilisation des différents équipements. Les installations électriques sont vérifiées annuellement. Protection par différentiels (un par tableau). Des boutons de coupure électriques sont répartis dans les différents secteurs Lycée DIDEROT Exemplaire original Bureau Veritas Date : 10/04/2013 Réf. Bureau Veritas : CB465/SK/ /1/1/1 Page 20

POLITIQUE EN MATIERE DE SANTE SECURITE AU TRAVAIL (SST)

POLITIQUE EN MATIERE DE SANTE SECURITE AU TRAVAIL (SST) POLITIQUE EN MATIERE DE SANTE SECURITE AU TRAVAIL (SST) Etapes Actions Pilote de l action Description et type de documents 1 Définition d une politique Santé Sécurité au Travail Top Management + externe

Plus en détail

Service Prévention des Risques Professionnels. 26, rue d Aubigny - 69436 Lyon cedex 03 téléphone : 04 72 91 96 96 - télécopie : 04 72 91 97 09

Service Prévention des Risques Professionnels. 26, rue d Aubigny - 69436 Lyon cedex 03 téléphone : 04 72 91 96 96 - télécopie : 04 72 91 97 09 CAISSE RÉGIONALE D ASSURANCE MALADIE RHÔNE -ALPES Service Prévention des Risques Professionnels 26, rue d Aubigny - 69436 Lyon cedex 03 téléphone : 04 72 91 96 96 - télécopie : 04 72 91 97 09 FT 1022 OCTOBRE

Plus en détail

PARTIE 5 NOTICE HYGIENE ET SECURITE

PARTIE 5 NOTICE HYGIENE ET SECURITE de en Martinik NOTICE HYGIENE ET SECURITE BUREAU VERITAS ASEM Dossier n 6078462 Révision 2 Octobre 2014 Page 1 de en Martinik SOMMAIRE 1. INTRODUCTION... 3 1.1 OBJET DE LA NOTICE... 3 1.2 CADRE REGLEMENTAIRE...

Plus en détail

GRILLE D AUTODIAGNOSTIC. en santé et en sécurité du travail. Chariots élévateurs

GRILLE D AUTODIAGNOSTIC. en santé et en sécurité du travail. Chariots élévateurs Identification de l équipement: Date: Chariots élévateurs 3 Éléments du chariot 1 Mât d élévation 2 Vérin 3 Fourches 4 Tablier du porte-fourches 5 Roues motrices 6 Roues de direction 7 Châssis 8 Frein

Plus en détail

Dossier de demande d autorisation temporaire d exploiter une centrale d enrobage à chaud SRTP le Petit Nazé ARGENTRE (53) Indice : 1.

Dossier de demande d autorisation temporaire d exploiter une centrale d enrobage à chaud SRTP le Petit Nazé ARGENTRE (53) Indice : 1. Dossier de demande d autorisation temporaire d exploiter une centrale d enrobage à chaud SRTP le Petit Nazé ARGENTRE (53) Indice : 1 Juin 2015 NOTICE D HYGIENE ET DE SECURITE P. 2 sur 8 SOMMAIRE 1 Hygiène...

Plus en détail

Document unique d évaluation des risques professionnels

Document unique d évaluation des risques professionnels Document unique d évaluation des risques professionnels La loi n 91-1414 du 31 décembre 1991 (article L.230-2 du Code du travail), demande au chef d établissement de prendre toutes les mesures nécessaires

Plus en détail

AVERTISSEMENT. Attention : vous ne pouvez pas imprimer ou enregistrer votre Document Unique à partir de votre navigateur internet.

AVERTISSEMENT. Attention : vous ne pouvez pas imprimer ou enregistrer votre Document Unique à partir de votre navigateur internet. DOCUMENT UNIQUE ÉCOLE / COLLÈGE / LYCÉE AVERTISSEMENT Attention : vous ne pouvez pas imprimer ou enregistrer votre Document Unique à partir de votre navigateur internet. Le Document Unique est un fichier

Plus en détail

NOTICE DE RENSEIGNEMENTS CONCERNANT LES ETABLISSEMENTS RELEVANT DU CODE DU TRAVAIL

NOTICE DE RENSEIGNEMENTS CONCERNANT LES ETABLISSEMENTS RELEVANT DU CODE DU TRAVAIL 1 NOTICE DE RENSEIGNEMENTS CONCERNANT LES ETABLISSEMENTS RELEVANT DU CODE DU TRAVAIL NOM DE L ETABLISSEMENT : Atelier 1 menuiserie, Ateliers 2, 3 et 4 non connu à ce jour NATURE DE L EXPLOITATION : Ateliers

Plus en détail

Vous êtes artisan PLOMBIER CHAUFFAGISTE

Vous êtes artisan PLOMBIER CHAUFFAGISTE Vous êtes artisan PLOMBIER CHAUFFAGISTE Le mot des Présidents Le décret du 5 novembre 2001 impose une nouvelle obligation aux entreprises : formaliser les risques de l entreprise sur un document unique.

Plus en détail

Principaux éléments de l emploi en particulier la filière professionnelle, le cadre d emplois correspondant au poste, la durée de travail, etc

Principaux éléments de l emploi en particulier la filière professionnelle, le cadre d emplois correspondant au poste, la durée de travail, etc MODELE DE FICHE DE POSTE INTITULE DU POSTE : AGENT POLYVALENT DES SERVICES TECHNIQUES OBJECTIF PRINCIPAL DU POSTE : Principaux éléments de l emploi en particulier la filière professionnelle, le cadre d

Plus en détail

FICHE TECHNIQUE : SANTE ET SECURTE AU TRAVAIL

FICHE TECHNIQUE : SANTE ET SECURTE AU TRAVAIL SANTE ET SECURITE AU TRAVAIL Mesurer et prévenir les risques professionnels Liés aux conditions générales de travail, les risques professionnels font peser sur les salariés la menace d une altération de

Plus en détail

évaluation des risques professionnels

évaluation des risques professionnels évaluation des professionnels Inventaire des Etablissement : Faculté de Médecine Unité de travail : Laboratoire de Biochimie Médicale Année : 2013 Locaux Bureaux Salle de Microscopie Culture cellulaire

Plus en détail

Agent d entretien des locaux

Agent d entretien des locaux Agent d entretien des locaux L entretien des locaux (bureaux, écoles, salles polyvalentes, structures sanitaires, gymnases ) nécessite l emploi de techniques, de produits et de matériels spécifiques qui

Plus en détail

Carrefour ARRAS. Expertise réalisée par : Vincent Cordonnier

Carrefour ARRAS. Expertise réalisée par : Vincent Cordonnier Carrefour ARRAS Expertise réalisée par : Vincent Cordonnier Page / 4 Site : Carrefour ARRAS Expertise Identité complète Responsable : M. Bidon Paul rue des Sachets 600 ARRAS Date d'audit : 06/05/00 Consultant

Plus en détail

LIVRET DE CONSIGNES DE SÉCURITÉ. Agents réalisant la collecte des déchets

LIVRET DE CONSIGNES DE SÉCURITÉ. Agents réalisant la collecte des déchets LIVRET DE CONSIGNES DE SÉCURITÉ Agents réalisant la collecte des déchets Sommaire 1- Enjeux et objectifs de ce livret... 3 2- Au départ (Avant la collecte)... 4 2.1 Les équipements de protection individuelle

Plus en détail

Auteurs Index alphabétique n o 2002/1 15 04 2002 n o 2001/1 30 01 2001

Auteurs Index alphabétique n o 2002/1 15 04 2002 n o 2001/1 30 01 2001 Table des matières 1. Généralités Introduction Table des matières Auteurs Index alphabétique n o 2002/1 15 04 2002 n o 2001/1 30 01 2001 2. Politique de sécurité Accueil et formation des nouveaux engagés

Plus en détail

«CLIENT» CHANTIER DESIGNATION LOT : PPSPS CEMLOC SERVICES Version 2 Page 1 sur 10

«CLIENT» CHANTIER DESIGNATION LOT : PPSPS CEMLOC SERVICES Version 2 Page 1 sur 10 CEMLOC Services 4 Avenue des Roses Zac des petits Carreaux 94380 - Bonneuil sur Marne Téléphone : 09 67 46 51 09 - Fax : 01 43 99 51 09 www.cemloc-services.fr «CLIENT» CHANTIER DESIGNATION LOT : PPSPS

Plus en détail

Le Code du Travail, les E.R.P., Autres Décrets & Arrêtés S.D.I.

Le Code du Travail, les E.R.P., Autres Décrets & Arrêtés S.D.I. Le Code du Travail, les E.R.P., Autres Décrets & Arrêtés Le Code du Travail R 232-1-13: La signalisation relative à la sécurité et à la santé au travail doit être conforme à des modalités déterminés par

Plus en détail

MEMENTO SECURITE INCENDIE

MEMENTO SECURITE INCENDIE ETABLISSEMENT MEMENTO SECURITE INCENDIE La commission de sécurité vous a prescrit la réalisation d un mémento sécurité Ce document est un modèle pour tout type d établissements en dehors des U et J Il

Plus en détail

Prothésistes dentaires. Aide au cahier des charges d un nouveau laboratoire

Prothésistes dentaires. Aide au cahier des charges d un nouveau laboratoire Prothésistes dentaires Aide au cahier des charges d un nouveau laboratoire Carsat Centre Ouest Assurance des risques professionnels 37, avenue du Président René Coty 87048 LIMOGES CEDEX LOCAUX DE TRAVAIL

Plus en détail

«Première journée franco-marocaine de médecine du travail» Organisée :

«Première journée franco-marocaine de médecine du travail» Organisée : «Première journée franco-marocaine de médecine du travail» Organisée : En partenariat, entre l Association Nationale de Médecine du Travail et d Ergonomie du Personnel des Hôpitaux et la Société Marocaine

Plus en détail

Prévention des risques professionnels Date : Classe : Séquence 5 : Les risques professionnels dans l activité de travail.

Prévention des risques professionnels Date : Classe : Séquence 5 : Les risques professionnels dans l activité de travail. Nom : Prénom : Prévention des risques professionnels Date : Classe : Séquence 5 : Les risques professionnels dans l activité de travail. Objectif : Analyser une situation de travail à partir des dangers

Plus en détail

Quels travaux confier à un professionnel?

Quels travaux confier à un professionnel? CONSEILS AUX PARTICULIERS Travaux dangereux dans votre logement Quels travaux confier à un professionnel? Vous voulez réaliser des travaux chez vous, attention, certains présentent des risques importants!

Plus en détail

Travaux d adaptation du logement pour les personnes âgées

Travaux d adaptation du logement pour les personnes âgées Fiche pratique Personnes âgées Travaux d adaptation du logement pour les personnes âgées Accéder à son logement - utiliser les escaliers - prendre l ascenseur - accéder aux équipements Profiter de son

Plus en détail

Etablissement Recevant du Public (ERP) de 5 ème catégorie avec locaux à sommeil

Etablissement Recevant du Public (ERP) de 5 ème catégorie avec locaux à sommeil Notice de sécurité Etablissement Recevant du Public (ERP) de 5 ème catégorie avec locaux à sommeil Cette notice a été établie à l'attention des exploitants d Etablissements Recevant du Public (ERP), afin

Plus en détail

Fonction Publique Territoriale

Fonction Publique Territoriale Fonction Publique Territoriale CONCOURS D ADJOINT TECHNIQUE TERRITORIAL PRINCIPAL DE 2EME CLASSE DES ETABLISSEMENTS D ENSEIGNEMENT SPECIALITE : MAGASINAGE DES ATELIERS MERCREDI 17 SEPTEMBRE 2008 EPREUVE

Plus en détail

Programme des épreuves des concours externes de recrutement des personnels techniques et administratifs de recherche et de formation

Programme des épreuves des concours externes de recrutement des personnels techniques et administratifs de recherche et de formation G1 Recrutements des assistants de recherche et de formation...2 G1.1 Assistant gestion de données patrimoniales...2 G1.2 Assistant technique en génie climatique...2 G1.3 Assistant technique en électricité...2

Plus en détail

EVALUATION DES RISQUES PROFESSIONNELS DANS LES HÔTELS - RESTAURANTS

EVALUATION DES RISQUES PROFESSIONNELS DANS LES HÔTELS - RESTAURANTS EVALUATION DES RISQUES PROFESSIONNELS DANS LES HÔTELS - RESTAURANTS INTRODUCTION En vertu d un décret du 5 novembre 2001, l employeur doit transcrire et mettre à jour, dans un document unique, les résultats

Plus en détail

Centre de Production Thermique EDF BOUCHAIN Page 1

Centre de Production Thermique EDF BOUCHAIN Page 1 CONSERVEZ CE DOCUMENT Fait à Bouchain, le : / / Centre de Production Thermique EDF BOUCHAIN Page 1 SOMMAIRE CE QUE VOUS DEVEZ SAVOIR PLAN DU SITE PAGE 3 CONSIGNES GÉNÉRALES PAGE 4 ÉQUIPEMENTS DE PROTECTION

Plus en détail

1. REGLEMENTATION : 2. INTRODUCTION :

1. REGLEMENTATION : 2. INTRODUCTION : 1. REGLEMENTATION : Décret n 65-48 du 8 janvier 1965 modifié portant règlement d'administration publique pour l'exécution des dispositions de la partie IV du Code du travail en ce qui concerne les mesures

Plus en détail

Manutention et Levage

Manutention et Levage Manutention et Levage Manutentions Manuelles : la norme NF X35-109 La masse unitaire maximale acceptable est fixée à 15kg pour le soulever/ tirer Pour les hommes et les femmes. Et ce, dans des conditions

Plus en détail

ENQUÊTE SUR LA PRÉVENTION DES RISQUES PROFESSIONNELS

ENQUÊTE SUR LA PRÉVENTION DES RISQUES PROFESSIONNELS ENQUÊTE SUR LA PRÉVENTION DES RISQUES PROFESSIONNELS Cette étude a été réalisée auprès de six entreprises de transport urbain de voyageurs, sur le territoire de la CINOR, sur la base des déclarations des

Plus en détail

Règles Générales de Sécurité et Santé

Règles Générales de Sécurité et Santé R.G.S.S. destinées aux entreprises extérieures devant intervenir sur les bâtiments et installations de la Banque Internationale à Luxembourg S.A. Les Règles Générales de Sécurité et Sûreté (R.G.S.S.) ont

Plus en détail

Présentation de l entreprise l postes de travail. Illustration du guide SOBANE Risques d incendie d. Présentation des postes de travail: Bureau

Présentation de l entreprise l postes de travail. Illustration du guide SOBANE Risques d incendie d. Présentation des postes de travail: Bureau Illustration du guide SOBANE Risques d incendie d ou d explosiond Caroline Pirotte Ergonome Présentation de l entreprise l et des postes de travail Hôtel situé à Bruxelles Ville +/- 90 travailleurs +/-

Plus en détail

MÉMO SANTÉ CONTRAINTES PHYSIQUES : LES REFLEXES À ADOPTER PLOMBIERS CHAUFFAGISTES

MÉMO SANTÉ CONTRAINTES PHYSIQUES : LES REFLEXES À ADOPTER PLOMBIERS CHAUFFAGISTES MÉMO SANTÉ PLOMBIERS CHAUFFAGISTES CONTRAINTES PHYSIQUES : LES REFLEXES À ADOPTER Il est essentiel de préserver sa santé et celle de ses salariés pour réaliser un travail efficace et de qualité. De nombreuses

Plus en détail

L humain au cœur de l entreprise. De l identification à la gestion des Risques Professionnels

L humain au cœur de l entreprise. De l identification à la gestion des Risques Professionnels L humain au cœur de l entreprise De l identification à la gestion des Risques Professionnels Petit déjeuner Conférence du 17 Mars 2009 Sommaire 1. IDER : Identification des Dangers et Évaluation des Risques

Plus en détail

Fiche de données de sécurité

Fiche de données de sécurité Produit 2T QUAD R BIODEGRADABLE Page 1/5 Etiquette du produit ETIQUETAGE (d usage ou CE) Phrases de risque Conseils de prudence ETIQUETAGE TRANSPORT Non concerné Néant Néant Non concerné 1. IDENTIFICATION

Plus en détail

Acides et bases. Acides et bases Page 1 sur 6

Acides et bases. Acides et bases Page 1 sur 6 Acides et bases Acides et bases Page 1 sur 6 Introduction Sont réputés acides et bases au sens des règles de sécurité en vigueur en Suisse, les solides ou liquides qui ont une réaction acide ou alcaline

Plus en détail

Normes CE Equipements de Protection Individuelle

Normes CE Equipements de Protection Individuelle E. P. I D O C U M E N T D I N F O R M A T I O N Normes CE Equipements de Protection Individuelle Normes CE EQUIPEMENTS DE PROTECTION INDIVIDUELLE Définitions : E.P.I : Tout dispositif ou moyen destiné

Plus en détail

CONVENTION DE MISE A DISPOSITION SALLES COMMUNALES EMILE ROUSSEAU

CONVENTION DE MISE A DISPOSITION SALLES COMMUNALES EMILE ROUSSEAU CONVENTION DE MISE A DISPOSITION SALLES COMMUNALES EMILE ROUSSEAU ENTRE : Monsieur le Maire, agissant es-qualité en vertu des délibérations du 25 septembre 2014 et du 24 octobre 2013, Désigné ci-après

Plus en détail

CENTRE NUMERIQUE DU JURA REGLEMENTS, CONDITIONS ET ACCES AUX SERVICES

CENTRE NUMERIQUE DU JURA REGLEMENTS, CONDITIONS ET ACCES AUX SERVICES CENTRE NUMERIQUE DU JURA REGLEMENTS, CONDITIONS ET ACCES AUX SERVICES L ensemble des règles définies ci-après constitue le Règlement Intérieur du Centre nécessaire à sa bonne marche et à la satisfaction

Plus en détail

Mél : Nom de l ACMO : Mél ACMO :

Mél : Nom de l ACMO : Mél ACMO : Etat des lieux en hygiène et sécurité dans un établissement scolaire Rectorat Inspection en Hygiène et sécurité Dossier suivi par M. Gilbert ROUSSEAU Téléphone 05 57 57 39 82 Fax 05 57 57 87 40 Mél: Gilbert.rousseau@acbordeaux.fr

Plus en détail

LE TRAVAIL EN HAUTEUR

LE TRAVAIL EN HAUTEUR F I C H E P R E V E N T I O N N 0 2 «H Y G I E N E S E C U R I T E» LE TRAVAIL EN HAUTEUR STATISTIQUES Avec près d une centaine d agent victime de chutes de hauteur durant les 5 dernières années dans les

Plus en détail

BRICOLAGE. Les précautions à prendre

BRICOLAGE. Les précautions à prendre BRICOLAGE Les précautions à prendre Chaque année, près de 300 000 personnes arrivent aux Urgences à la suite d un accident de bricolage et/ou de jardinage. Respecter quelques règles simples de prévention

Plus en détail

DU COMITÉ TECHNIQUE NATIONAL DES INDUSTRIES DES TRANSPORTS, DE L EAU, DU GAZ, DE L ÉLECTRICITÉ, DU LIVRE ET DE LA COMMUNICATION

DU COMITÉ TECHNIQUE NATIONAL DES INDUSTRIES DES TRANSPORTS, DE L EAU, DU GAZ, DE L ÉLECTRICITÉ, DU LIVRE ET DE LA COMMUNICATION RECO DU COMITÉ TECHNIQUE NATIONAL DES INDUSTRIES DES TRANSPORTS, DE L EAU, DU GAZ, DE L ÉLECTRICITÉ, DU LIVRE ET DE LA COMMUNICATION Démenagement d objets lourds et encombrants : un outil = le monte-meubles

Plus en détail

GUIDE PRATIQUE ELABORATION DU DOCUMENT UNIQUE D ÉVALUATION DES RISQUES PROFESSIONNELS F G FICHE A

GUIDE PRATIQUE ELABORATION DU DOCUMENT UNIQUE D ÉVALUATION DES RISQUES PROFESSIONNELS F G FICHE A GUIDE PRATIQUE ELABORATION DU DOCUMENT UNIQUE D ÉVALUATION DES RISQUES PROFESSIONNELS FICHE A FICHE B FICHE C FICHE D FICHE E FICHE F FICHE G GUIDE PRATIQUE FICHE H 1 Le Document Unique d évaluation des

Plus en détail

LES RÈGLES D OR DE TOTAL

LES RÈGLES D OR DE TOTAL rendez-vous sur www.total.com Direction de la Sécurité Industrielle TOTAL S.A. Siège social : 2, place Jean Millier La Défense 6 92078 Paris-La Défense Cedex France Tel. +33 (0)1 47 44 45 46 Capital social

Plus en détail

VEILLE RÉGLEMENTAIRE Sécurité des personnes Fiche VRE.30

VEILLE RÉGLEMENTAIRE Sécurité des personnes Fiche VRE.30 VEILLE RÉGLEMENTAIRE Sécurité des personnes Fiche VRE.30 Incendie Code du Travail R4216-1 à R4216-7 ; R4216-11 à R4216-34 Code du Travail R4225-8 Code du Travail R4227-34 à R4227-36 Code du Travail R4227-1

Plus en détail

Sécurité des machines CE neuves è Grille de détection d anomalies

Sécurité des machines CE neuves è Grille de détection d anomalies Sécurité des machines CE neuves Grille de détection d anomalies ED 4450 Document uniquement téléchargeable sur www.inrs.fr Afin de ne pas exposer les opérateurs à des risques d accident ou de maladie professionnelle,

Plus en détail

FORMATIONS EN MATIERE DE SANTE ET SECURITE AU TRAVAIL

FORMATIONS EN MATIERE DE SANTE ET SECURITE AU TRAVAIL FORMATIONS EN MATIERE DE SANTE ET SECURITE AU TRAVAIL Prévention et Sécurité au Travail Fiche Santé et Travail n 111 Date : 01/09/2014 "Un homme averti en vaut deux" Ce proverbe souligne que l on est plus

Plus en détail

L EVALUATION DES RISQUES PROFESSIONNELS

L EVALUATION DES RISQUES PROFESSIONNELS Réseau des Acteurs de Prévention 2014 L EVALUATION DES RISQUES PROFESSIONNELS «Le Document Unique» Annexe 3 Fiche de risques Service Prévention des Risques Professionnels 183, Chemin du Mas Coquillard

Plus en détail

MÉMO SANTÉ CONTRAINTES PHYSIQUES : LES REFLEXES À ADOPTER MAÇONS CARRELEURS

MÉMO SANTÉ CONTRAINTES PHYSIQUES : LES REFLEXES À ADOPTER MAÇONS CARRELEURS MÉMO SANTÉ MAÇONS CARRELEURS CONTRAINTES PHYSIQUES : LES REFLEXES À ADOPTER Il est essentiel de préserver sa santé et celle de ses salariés pour réaliser un travail efficace et de qualité. De nombreuses

Plus en détail

Commission Hygiène et Sécurité du 23/01/2014. Commission Hygiène et Sécurité. Date : 23/01/2014

Commission Hygiène et Sécurité du 23/01/2014. Commission Hygiène et Sécurité. Date : 23/01/2014 Collège François Rabelais 107 route de coulonges 79 000 NIORT Commission Hygiène et Sécurité Date : 23/01/2014 Présents : Mme Feuillet, M. Cousin, M. Gestin, Mme Danioux, Mme Ménard, Mme Rochaud Tarnaud,

Plus en détail

GUIDE D'INSTALLATION. Lave-Vaisselle

GUIDE D'INSTALLATION. Lave-Vaisselle GUIDE D'INSTALLATION Lave-Vaisselle SOMMAIRE 1/ CONSIGNES DE SECURITE Avertissements importants 03 2/ INSTALLATION DE VOTRE LAVE-VAISSELLE Appareil non encastré 04 Appareil encastré 04 Appareil encastré

Plus en détail

SYNTHESE SUR L ETUDE DES METIERS DU PRESSING - Janvier 2008 -

SYNTHESE SUR L ETUDE DES METIERS DU PRESSING - Janvier 2008 - SYNTHESE SUR L ETUDE DES METIERS DU PRESSING - Janvier 2008 - OBJECTIF DE L ETUDE L objectif de cette étude est de répertorier tous les risques professionnels dans un pressing (base de l évaluation des

Plus en détail

Fiche résumée : MENUISIER BOIS FABRICATION

Fiche résumée : MENUISIER BOIS FABRICATION Fiche résumée : MENUISIER BOIS FABRICATION Conducteur/conductrice de machine de fabrication des industries de l'ameublement et du bois et matériaux associés Façonneur/façonneuse bois et matériaux associés

Plus en détail

RELAIS STATIQUE. Tension commutée

RELAIS STATIQUE. Tension commutée RELAIS STATIQUE Nouveau Relais Statique Monophasé de forme compacte et économique Coût réduit pour une construction modulaire Modèles disponibles de 15 à 45 A Modèles de faible encombrement, avec une épaisseur

Plus en détail

évaluation des risques professionnels

évaluation des risques professionnels évaluation des risques professionnels Inventaire des risques Etablissement : Faculté de médecine Unité de travail : UMR 1092 INSERM laboratoire de microbiologie Année : 2013 Locaux Dangers ou facteurs

Plus en détail

Le pétitionnaire veillera à remplir une notice par établissement utilisé et isolé l'un de l'autre.

Le pétitionnaire veillera à remplir une notice par établissement utilisé et isolé l'un de l'autre. NOTICE DESCRIPTIVE DE SECURITE pour les ERP du 1er groupe ou établissement du 2ème groupe (5ème catégorie) avec locaux à sommeil. Arrêté du 25/06/1980 Rappel: art R123-2 du CCH: constituent des établissements

Plus en détail

7 bis impasse Denis Dulac - 94700 Maisons-Alfort FRANCE Tél. : 01 43 68 06 13 / Fax : 01 43 68 66 09 @ : promattex@promattex.com www.promattex.

7 bis impasse Denis Dulac - 94700 Maisons-Alfort FRANCE Tél. : 01 43 68 06 13 / Fax : 01 43 68 66 09 @ : promattex@promattex.com www.promattex. 7 bis impasse Denis Dulac - 94700 Maisons-Alfort FRANCE Tél. : 01 43 68 06 13 / Fax : 01 43 68 66 09 @ : promattex@promattex.com www.promattex.com NOTICE DB-30 Ce manuel de montage contient les éléments

Plus en détail

Référentiel Handicap. Référentiel Handicap. 2 e seuil de bonification. Logement collectif neuf. Logement individuel neuf

Référentiel Handicap. Référentiel Handicap. 2 e seuil de bonification. Logement collectif neuf. Logement individuel neuf 2 e seuil de bonification page 1/5 identification du/des logement(s) concerné(s) Nom du bailleur Nom de l opération Logement individuel neuf Adresse de l opération Référence du/des logement(s) concerné(s)

Plus en détail

Version du 17 octobre 2011. Le bruit

Version du 17 octobre 2011. Le bruit Version du 17 octobre 2011 Le bruit Bruit et BTP Etat des lieux Surdité professionnelle : handicap irréversible SUMMER 2003 : 25% des salariés victimes du bruit Maladies professionnelles (tableau N 42)

Plus en détail

POUR LE MONTAGE ET L'EXPLOITATION DE TENTES ET STRUCTURES PNEUMATIQUES PROVISOIRES

POUR LE MONTAGE ET L'EXPLOITATION DE TENTES ET STRUCTURES PNEUMATIQUES PROVISOIRES RESUME DES EXIGENCES EN MATIERE DE PREVENTION DES INCENDIES POUR LE MONTAGE ET L'EXPLOITATION DE TENTES ET STRUCTURES PNEUMATIQUES PROVISOIRES 1. Base Les prescriptions de protection incendie AEAI sont

Plus en détail

DU COMITÉ TECHNIQUE NATIONAL DU BÂTIMENT ET DES TRAVAUX PUBLICS

DU COMITÉ TECHNIQUE NATIONAL DU BÂTIMENT ET DES TRAVAUX PUBLICS RECO DU COMITÉ TECHNIQUE NATIONAL DU BÂTIMENT ET DES TRAVAUX PUBLICS Pose, maintenance et dépose des panneaux solaires thermiques et photovoltaïques en sécurité Guillaume J.Plisson - pour l'inrs Des préconisations

Plus en détail

protection incendie Ouvrant de façade : Orcades

protection incendie Ouvrant de façade : Orcades protection incendie Ouvrant de façade : Orcades FTE 502 130 D Mai 2011 Orcades ouvrant de façade d amenée d air Avantages Esthétique soignée (grille Cyclades en façade intérieure en option). Bonne isolation

Plus en détail

1. Identification de la substance ou préparation et de la Société. 2. Composition/ informations sur les composants

1. Identification de la substance ou préparation et de la Société. 2. Composition/ informations sur les composants Date d impression : 23/08/02 Valable à partir du : 08.08.01 Page: 1/7 1. Identification de la substance ou préparation et de la Société Données relatives au produit : Nom commercial : KNAUF ZADUR Mortier

Plus en détail

Préambule.... 2 Chapitre 1 : Rappel des quelques obligations législatives et réglementaires... 2

Préambule.... 2 Chapitre 1 : Rappel des quelques obligations législatives et réglementaires... 2 Charte professionnelle visant à organiser et assurer l hygiène et la sécurité des salariés en situation de coactivité pendant les opérations de montage et de démontage des manifestations commerciales Préambule....

Plus en détail

Ce guide a été réalisé par la CRAM des Pays de la Loire. Il comprend : Nota : l'anatomopathologie et les rayonnements ionisants ne sont

Ce guide a été réalisé par la CRAM des Pays de la Loire. Il comprend : Nota : l'anatomopathologie et les rayonnements ionisants ne sont Ce guide a été réalisé par la CRAM des Pays de la Loire et les Services de Santé au Travail de la Loire Atlantique et du Maine et Loire. Il comprend : S M I C HÂTEAUBRIANT les principes de l évaluation

Plus en détail

Entretien et maintenance des installations techniques Hôtel tertiaire Numerica ZAC des Portes du Jura

Entretien et maintenance des installations techniques Hôtel tertiaire Numerica ZAC des Portes du Jura Entretien et maintenance des installations techniques Hôtel tertiaire Numerica ZAC des Portes du Jura Prestations Alarme intrusionalarme incendie et contrôle d accès Sommaire 1 OBJET ET ETENDUE... 02 1.1.

Plus en détail

Mécanique véhicules lourds

Mécanique véhicules lourds Mécanique véhicules lourds sont des emplacements situés sous le niveau du sol qui servent à l en tretien ou à la réparation des véhicules. Il existe notamment : des fosses pour réparer ou inspecter les

Plus en détail

GUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG

GUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG GUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG Version 1.0 1 Avant-propos Ce guide de bonnes pratiques a été préparé pour fournir des informations concernant la collecte

Plus en détail

AGENT POLYVALENT DES SERVICES TECHNIQUES

AGENT POLYVALENT DES SERVICES TECHNIQUES AGENT POLYVALENT DES SERVICES TECHNIQUES Missions du poste : Maintenir en état de fonctionnement et de propreté les surfaces et abords de la collectivité. Entretenir les espaces verts de la collectivité.

Plus en détail

Plateformes de travail élévatrices et portatives

Plateformes de travail élévatrices et portatives B354.1-04 Plateformes de travail élévatrices et portatives Plate-forme élévatrice de type 1 à déplacement manuel Plate-forme élévatrice de type 2 remorquable Édition française publiée en août 2004 par

Plus en détail

Annexe I b. Référentiel de certification

Annexe I b. Référentiel de certification Annexe I b Référentiel de certification Page 15 sur 45 CORRESPONDANCE ENTRE ACTIVITÉS ET COMPÉTENCES ACTIVITÉS ET TÂCHES A1. S ORGANISER, S INTEGRER à une EQUIPE A1-T1 Préparer son intervention et/ou la

Plus en détail

LES ASCENSEURS DIV 1. GmFOR. GmFOR Mise à jour le 25 Mai 2013 (version 4) Page 1 sur 5

LES ASCENSEURS DIV 1. GmFOR. GmFOR Mise à jour le 25 Mai 2013 (version 4) Page 1 sur 5 LES ASCENSEURS DIV 1 GmFOR GmFOR Mise à jour le 25 Mai 2013 (version 4) Page 1 sur 5 BUT : LES ASCENSEURS A l issue de la séquence vous pourrez définir les types d ascenseurs ainsi que la conduite à tenir

Plus en détail

NOTICE TECHNIQUE DE SECURITE

NOTICE TECHNIQUE DE SECURITE MODELE N 2 Document disponible sur http://www.auvergne.pref.gouv.fr/protection_civile/etablissements _recevant_public/sec_incendie_erp/procedure.php NOTICE TECHNIQUE DE SECURITE Etablissement Recevant

Plus en détail

UNE MEILLEURE EFFICACITE DU TRAVAIL CONTRE LES FUMEES DE SOUDAGE FAVORISER DES POSTURES MOINS CONTRAIGNANTES POUR UNE LIMITATION DES EFFETS DU STRESS

UNE MEILLEURE EFFICACITE DU TRAVAIL CONTRE LES FUMEES DE SOUDAGE FAVORISER DES POSTURES MOINS CONTRAIGNANTES POUR UNE LIMITATION DES EFFETS DU STRESS PROPOSITIONS D AMENAGEMENTS POSTE SOUDAGE CONTRE LE BRUIT (voir étude spécifique) POUR UNE MEILLEURE EFFICACITE DU TRAVAIL CONTRE LES FUMEES DE SOUDAGE FAVORISER DES POSTURES MOINS CONTRAIGNANTES POUR

Plus en détail

TORDEZ LE COU À 6 IDÉES REÇUES

TORDEZ LE COU À 6 IDÉES REÇUES REÇUES TORDEZ LE COU À 6 IDÉES pour bien vieillir chez vous Bien vieillir chez soi, c est possible! Adapter son logement à ses nouveaux besoins ne nécessite pas forcément beaucoup de moyens et d investissements.

Plus en détail

Liste d inspection des lieux (CFMA)

Liste d inspection des lieux (CFMA) Liste d inspection des lieux (CFMA) Basée sur le Règlement sur la santé et la sécurité du travail (adopté en mai 2010) Atelier ou lieu: Inspecté par : Date de l inspection : Page 1 sur 5 Liste des lieux

Plus en détail

Formations à la sécurité Obligations de l employeur

Formations à la sécurité Obligations de l employeur Formations à la sécurité Obligations de l employeur 1 2Sommaire Introduction 3 Obligation liée à la formation à la sécurité incendie 4 Mise en oeuvre des extincteurs 5 Equipier de 1 ère intervention 6

Plus en détail

GUIDE D'INSTALLATION Lave-Vaisselle

GUIDE D'INSTALLATION Lave-Vaisselle GUIDE D'INSTALLATION Lave-Vaisselle SOMMAIRE 1 / CONSIGNES DE SECURITE Avertissements importants 03 Dimensions d encastrement 04 Inventaire des pièces livrées 04 Raccordement à l eau 05 Evacuation des

Plus en détail

- Grille d'autodiagnostic Restaurant

- Grille d'autodiagnostic Restaurant - Grille d'autodiagnostic Restaurant L objectif de ce document est de permettre aux exploitants de se forger un aperçu du niveau d accessibilité de leur établissement face aux obligations de mise en conformité

Plus en détail

SAUVEGARDE DES PERSONNES ET LUTTE CONTRE L INCENDIE DANS LES BATIMENTS D HABITATION DE LA 3ème FAMILLE INC/HAB COL 3/1986-2

SAUVEGARDE DES PERSONNES ET LUTTE CONTRE L INCENDIE DANS LES BATIMENTS D HABITATION DE LA 3ème FAMILLE INC/HAB COL 3/1986-2 1. CLASSEMENT ET GENERALITES : 1.1. Classement Sont classées dans la 3ème famille les habitations collectives dont le plancher bas du logement le plus haut est situé à 28 mètres au plus au-dessus du sol

Plus en détail

reco Prévention des risques liés aux batteries de traction et de servitude au plomb / acide

reco Prévention des risques liés aux batteries de traction et de servitude au plomb / acide reco du comité technique national des industries de LA MÉTALLURGIE Prévention des risques liés aux batteries de traction et de servitude au plomb / acide Pour vous aider à : connaître les principaux risques

Plus en détail

EVALUATION DU RISQUE CHIMIQUE

EVALUATION DU RISQUE CHIMIQUE EVALUATION DU RISQUE CHIMIQUE Cette évaluation doit être systématique, quelle que soit l activité de l entreprise, même s il n y a pas d exposition a priori du fait des activités de travail. L'objectif

Plus en détail

- Véritable projet de service -

- Véritable projet de service - Sylvain TROUVAIN Chargé de sécurité Groupe Hospitalier Public du Sud de l Oise Maintenance des équipements de sécurité - Véritable projet de service - Sylvain.trouvain@ch-creil.fr contact@asso-acses.fr

Plus en détail

LE DOCUMENT UNIQUE d'évaluation des risques professionnels

LE DOCUMENT UNIQUE d'évaluation des risques professionnels LE DOCUMENT UNIQUE d'évaluation des risques professionnels FICHE # A Le Code du Travail définit l obligation, pour tout employeur, sans seuil minimal d effectif salarié, de rassembler dans un document

Plus en détail

Les Essentiels COLLECTION. Les règles de sécurité. pour le dépannage. des véhicules électriques. & hybrides. Commission

Les Essentiels COLLECTION. Les règles de sécurité. pour le dépannage. des véhicules électriques. & hybrides. Commission COLLECTION Les Essentiels Commission Mai 2013 Président : Eric Faucheux Véhicules électriques & hybrides Les règles de sécurité pour le dépannage des véhicules électriques & hybrides 1 Sommaire I. Les

Plus en détail

MÉMO SANTÉ CONTRAINTES PHYSIQUES : LES REFLEXES À ADOPTER ÉLECTRICIENS

MÉMO SANTÉ CONTRAINTES PHYSIQUES : LES REFLEXES À ADOPTER ÉLECTRICIENS MÉMO SANTÉ ÉLECTRICIENS CONTRAINTES PHYSIQUES : LES REFLEXES À ADOPTER Il est essentiel de préserver sa santé et celle de ses salariés pour réaliser un travail efficace et de qualité. De nombreuses solutions

Plus en détail

LES DOUCHES ET LES BASSINS OCULAIRES D URGENCE

LES DOUCHES ET LES BASSINS OCULAIRES D URGENCE LES DOUCHES ET LES BASSINS OCULAIRES D URGENCE LES DOUCHES ET LES BASSINS OCULAIRES D URGENCE Tous les jours, des milliers de Néo-Brunswickois travaillent près de produits chimiques dangereux. Même si

Plus en détail

Formation initiale d agent des services de sécurité incendie et d assistance à personnes (SSIAP1)

Formation initiale d agent des services de sécurité incendie et d assistance à personnes (SSIAP1) Logo de l organisme de Formation Intitulé Formation initiale d agent des services de sécurité incendie et d assistance à personnes (SSIAP1) Public Tout public Pré-requis - aptitude physique à suivre la

Plus en détail

FR Interphone vidéo couleur 7. réf. 512162. www.thomsonsecurity.eu

FR Interphone vidéo couleur 7. réf. 512162. www.thomsonsecurity.eu FR Interphone vidéo couleur réf. 512162 v1 www.thomsonsecurity.eu Interphone vidéo couleur SOMMAIRE A - consignes de sécurité 03 1 - précautions d utilisation 03 2 - entretien et nettoyage 03 3 - recyclage

Plus en détail

FICHE DE DONNÉES DE SÉCURITÉ conformément au Règlement (CE) nº1907/2006 REACH Nom : KR-G KR-G

FICHE DE DONNÉES DE SÉCURITÉ conformément au Règlement (CE) nº1907/2006 REACH Nom : KR-G KR-G KR-G Page 1 de 5 1. IDENTIFICATION DE LA SUBSTANCE/PRÉPARATION ET DE LA SOCIÉTÉ/ENTREPRISE 1.1 Identificateur de produit : Nom du produit : KR-G 1.2 Utilisations identifiées pertinentes de la substance

Plus en détail

CIRCUITS DE PUISSANCE PNEUMATIQUES

CIRCUITS DE PUISSANCE PNEUMATIQUES V ACTIONNEURS PNEUMATIQUES : 51 Généralités : Ils peuvent soulever, pousser, tirer, serrer, tourner, bloquer, percuter, abloquer, etc. Leur classification tient compte de la nature du fluide (pneumatique

Plus en détail

Sécurité incendie dans les garages

Sécurité incendie dans les garages Sécurité incendie dans les garages Assuré et rassuré. Risques d incendie dans les garages Lorsque le feu prend dans des garages, il provoque souvent des dégâts importants, et dans les cas les plus graves,

Plus en détail

FICHE DE DONNEES DE SECURITE

FICHE DE DONNEES DE SECURITE PAGE 1/7 DATE DE MISE A JOUR : 16/11/2011 1/ - IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE Identification du produit : Gaines, films, housses, et/ou sacs transparents et colorés en polyéthylène. Famille

Plus en détail

Mise en œuvre des filets de sécurité en grandes nappes

Mise en œuvre des filets de sécurité en grandes nappes RECOMMANDATION R 446 Recommandation adoptée par le comité technique national du bâtiment et des travaux publics lors de sa réunion du 14 mai 2009. Cette recommandation annule et remplace la recommandation

Plus en détail

Performance des organisations Santé au travail

Performance des organisations Santé au travail LA PRÉVENTION DES TMS ET DES ACCIDENTS DE TRAVAIL LIÉS A LA MANUTENTION DE CHARGES Centre de Gestion du Tarn et Garonne Le 4 octobre 2012 Performance des organisations Santé au travail SOMMAIRE Performance

Plus en détail

P.G.C.S.P.S. (Plan Général de Coordination en matière de Sécurité et de Protection de la Santé)

P.G.C.S.P.S. (Plan Général de Coordination en matière de Sécurité et de Protection de la Santé) La législation en matière de Prévention des accidents du travail impose une coordination en matière de sécurité et de protection de la santé pour tout chantier mettant en présence au moins deux entreprises

Plus en détail

L accessibilité des équipements sportifs et de loisirs

L accessibilité des équipements sportifs et de loisirs FORMATION DRJSCS BASSE-NORMANDIE 26 OCTOBRE 2012 L accessibilité des équipements sportifs et de loisirs Objectif: acquérir des connaissances sur l accessibilité des équipements sportifs. Les principales

Plus en détail