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1 N f é v r i e r S a v o i r p o u r c o m p r e n d r e La VIGIE retail Le décalage français isabelle et Jean-Luc spitale Co-présidents Adhrena Alors que l on entend parler d un nouveau projet visant à baisser les charges sociales, les entreprises françaises sont étouffées par les contraintes administratives. L entrepreneur d aujourd hui, n attend pas «l aumône» de quelques pourcentages de réduction de charges, mais souhaite avant tout pouvoir adapter ses organisations en fonction de la réalité économique de sa société. A cette liberté d action, on confronte le besoin de protéger les salariés, d horribles patrons, prêts à tout pour exploiter l être humain. A cette version de Zola de la relation au travail, on rêverait un instant que l on comprenne que la performance est toujours un gage de reconnaissance et d épanouissement, et que la bonne santé d une entreprise est le seul gage de l emploi et d évolution du pouvoir d achat Isabelle et Jean-Luc Spitale AU SOMMAIRE EN images 15 janvier. La saison des amours 2 27 janvier. Les radis d Arcimbo 2 3 février. L enseigne la plus multi-canale? Monoprix! 2 EN chiffres 3 signaux éco-conso consommation :, la résistance des marchés alimentaires 4 PriX DEs marques : La déflation se généralise 5 assortiment : Les PME victimes du drive 5 retail france résultats : Groupe Carrefour, la croissance s accélère en fin d année 6 hypers : Carrefour confirme en France 7 système U : Le chiffre sauvé par l effet de parc 7 résultats : Le groupe Casino en route vers les 50 milliards d euros de CA 8 PErformaNcEs : Géant ne va pas encore bien, mais déjà tellement mieux 9 La VIGIE retail La VigiE retail est une veille mensuelle proposée par adhrena et produite par Editions Dauvers, l éditeur-expert grande conso.

2 2 EN IMAGES 15 janvier La saison des amours Janvier-février, c est traditionnellement la saison des amours (dans les relations industrie-commerce). Vous savez, cette période où l on se cherche sans toujours se trouver. Cette période où, faute de se trouver, la rancœur peut parfois gagner. Bref, ces deux mois de l année qui sont autant de préliminaires indispensables à tout rapprochement. Et qui, actuellement, ne se passent pas au mieux entre Danone et Auchan! 27 janvier Les radis d arcimbo Passage chez arcimbo, l enseigne spécialisée sur le frais d auchan. Et toujours ce double sentiment. D abord, l envie de voir ce concept réussir car il symbolise une autre forme de lien entre les consommateurs et leur alimentation. Mais, hélas, la seconde impression l emporte à chaque visite. Ca végète Nul besoin d être «informé» pour le comprendre. Suffit d observer les rayons : 14h, un jeudi, 3 bottes de radis roses. Juste parce que le magasin ne peut plus se permettre comme à ses débuts une «casse» trop importante qui viendrait encore alourdir le compte d ex. Cela dit, même informé, on est davantage surpris encore : 2,3 millions d euros sur les 10 mois d ouverture en, ça fait pas lourd à la semaine... 3 février L enseigne la plus «multi-canale»? monoprix! Le multi-canal obsède tous les stratèges. Normal : c est à la fois l air du temps et non négligeable le reflet du comportement du consommateur. Conséquence, les enseignes mettent en place le plus de «canaux» possibles, qu ils soient marchands ou uniquement relationnels. Monoprix fait encore plus fort L enseigne tisse sa toile multi-canale chez les autres. La Redoute vend Monoprix, Amazon vend Monoprix, BrandAlley vend Monoprix, MonShow- Room vend Monoprix. Et d autres encore Illustration que Monoprix est sans doute la plus «marque» des enseignes.

3 3 EN CHIFFRES Le pouvoir d achat du consommateur français Dépenses de consommation des français (en Mds annuels) évolution de la pression promotionnelle par trimestre () avec par habitant, la france se positionne en 9 e position des pays européens les plus riches, devant la finlande ( ) et derrière l allemagne ( ). Les premiers pays sont le Liechtenstein ( ), la Suisse ( ) et la Norvège ( ). La France est donc loin de ces pays! Mais le pouvoir d achat des Français est néanmoins 1,5 fois plus élevé que la moyenne européenne sur la base d un ensemble de 42 pays ( ). 503,9 503,9 501,3 501, En, les français ont dépensé 501,6 milliards selon l insee, soit une quasistabilité vs. En clair, il n y a pas de crise de la consommation. Juste une flatitude qui s installe durablement. A plus long terme, si et sont en repli vs 2010 et, la croissance demeure au-dessus de la fin des années 2000 où les dépenses des ménages évoluaient entre 497 et 498 milliards. 9 % 5 % + 2,5 % + 8 % millésime contrasté pour la pression promotionnelle. En, selon l étude PromoFlash, la pression promo des enseignes hypers/supers a baissé de 0,6 %. En, le recul avait atteint 4,1 %. Autant dire que a confirmé l exercice précédent, mais sans néanmoins le conforter. En fait, l année a été clairement partagée. Le recul (historique) initié en s est prolongé sur le premier semestre. En revanche, la seconde partie a été marqué par le réveil promo des enseignes, et notamment de Carrefour. Ce qui laisse à penser que 2014 signera le retour à la croissance pour la pression promo. LE E-commErcE EN france DE 2005 à >>Chiffre d affaires e-commerce >>Nombre de cyber-acheteurs >>Nombre de sites marchands actifs 8,4 Mds 15,6 Mds x 6 25,0 Mds 51,1 Mds 37,7 Mds + 13,5 % ,0 millions 19,8 millions x 2,2 24,4 millions 30,1 millions 33,8 millions + 5 % x 9, % Source : FEVAD, Insee, GFK, A3 Distrib

4 4 SIGNAUX ÉCO-CONSO consommation : LA RÉSISTANCE DES MARCHÉS ALIMENTAIRES Les sociétés d études s accordent sur une relative stabilité des volumes et sur une légère progression des chiffres d affaires en alimentaire. Non pas en raison de l inflation mais par «l effet de mix», c est-à-dire une premiumisation des achats des consommateurs. > En chiffre d affaires, le bilan de l année est positif. Kantar a mesuré une croissance des achats des ménages de 1,6 % tandis que Nielsen a calculé une hausse de 1,3 %. Si les périmètres des deux sociétés d études ne sont pas exactement les mêmes, la tendance est claire : les consommateurs français ont légèrement accru leurs dépenses alimentaires. > Pour autant, les consommateurs sont clairement dans la maîtrise. Le nombre d articles dans les paniers a baissé sur l année. Et les français ont légèrement accru le nombre de visites, comme pour fractionner leurs achats. > Côté rayons, Kantar a mesuré d importantes disparités. Entretien et hygiène-beauté sont négatifs tant en volumes qu en valeur. A l inverse, les produits frais traditionnels bénéficient du retour en grâce du «fait maison» avec une évolution des dépenses de 3,5 %. L épicerie, elle, profite de la premiumisation. Enfin, la forte croissance du chiffre d affaires des liquides est la conséquence directe de la modification de la fiscalité sur les alcools. > Mais l enseignement principal du bilan annuel Kantar réside sans doute dans l approche par tranche d âge. Car il apparaît clairement une «dichotomie générationnelle». Les plus jeunes foyers ont nettement restreint leurs dépenses en volumes. A l inverse les séniors ont accru leurs achats. LE BiLaN DE La conso alimentaire > Evolution du CA tous circuits Hypers/Supers/HD/Proxi (PGC-Frais LS-Trad) > Nombre de visites > Nombre d articles 103 > 103,3 + 1,6 % > > Evolution des ventes tous circuits (en %) Hypers/Supers/HD/Proxi (PGC-Frais LS-Trad) - 2,2-0,2-1,2-1,1 0,0 nc - 0,6 +3,5 Volume +2,8 Valeur +1,9 + 0,4 + 0,5 Entretien hygiène-b. frais Ls frais Trad Liquides épicerie Source : Kantar PriX DEs marques LA DÉFLATION SE GÉNÉRALISE La déflation a atteint des niveaux records l an dernier sur les rayons alimentaires. Ce qui pose évidemment des questions sur la solidité des modèles économiques tant des marques que des enseignes. > La guerre des prix entre enseignes a produit son effet! s est soldée par une déflation sur l alimentaire. En hypers, selon Nielsen, les prix ont baissé de 2,2 % sur la base de l assortiment exhaustif (mn, mdd et premier prix). Un

5 5 niveau historiquement très élevé. En cause principalement : le reflux sur les marques nationales. > Toujours en hypers, les prix des marques nationales ont baissé de 3,4 % (ce qui suffit, aux yeux des acheteurs en centrales, à justifier des négos déflationnistes). Logiquement, les enseignes ont en effet d abord mené la bataille des prix sur les marques nationales tandis que les MDD étaient stables (- 0,1 %) et les premiers prix en hausse de 2 %. > Une approche catégorielle permet de mesurer plus précisément l ampleur du phénomène. En ultra-frais, la déflation des plus grandes signatures a ainsi atteint 7,3 %! Au total, la déflation atteint ou dépasse 2 % dans 15 catégories de l alimentaire. Là encore, c est inédit. L inflation Par circuit > Evolution des prix PGC-FLS (exhaustif) + 0,7% - 1,3% - 2,2% hypers supers h-disc. Source : Nielsen LEs 15 catégories où La DéfLaTioN DEs marques a été La PLUs forte > Niveau de déflation des marques vs (en %) - 7,3-5,2-4,6-4,4-4,4-4,4-4,2-4,1-3,4-3,3-2,7-2,5-2,2-2,1-2,0 Ultra-frais Eaux Charcuterie LS Biscuits sucrés Traiteur LS Entrées surgelées Céréales Papier hygiénique Baby Food Pet-Food Cafés (torréfiés) Fromages LS Chicorée et cafés (solubles) Aides pâtisserie Desserts Confiserie chocolat Source : Nielsen assortiment LES PME VICTIMES DU DRIVE En moyenne, l offre d un drive est quatre fois plus courte qu en hypermarché. Conséquence : les enseignes doivent arbitrer pour construire leur assortiment. Et ce sont clairement les PME qui font les frais de la montée en puissance du phénomène. > Le poids des PmE dans le ca drive s élève à 7,8 %... alors qu il atteint 17,4 % en hm/sm. Preuve que les enseignes de drive, contraintes par un assortiment bien plus court que dans les magasins physiques, arbitrent davantage en faveur des grandes marques. > Un parti pris logique auquel il faut ajouter la surpondération des MDD. Leur part de marché est, en effet, bien plus forte en drive qu en HM/SM : 41,1 % du CA, soit 11,7 points de plus que dans les magasins physiques. structure DU ca EN DriVE ET EN hm/sm > L offre en drive > L offre en HM/SM MDD 41,1 % 7,8 % Produits de PME 51,1 % Produits de grands groupes MDD 29,4 % Produits de PME 17,4 % Produits de grands groupes 53,2 % Source : IRI

6 6 > Clairement, donc, ce sont les PME et, dans une moindre mesure, les marques challengers, qui sont les perdantes de l essor du drive tandis que les grands groupes tirent leur épingle du jeu. RETAIL FRANCE résultats GROUPE CARREFOUR : LA CROISSANCE S ACCÉLÈRE EN FIN D ANNÉE Signaux positifs pour le groupe Carrefour. En organique et au niveau global, la croissance est de retour. Néanmoins, des déceptions demeurent, mais pas en France! > Le groupe carrefour a achevé l année sur un chiffre d affaires de 84,3 mds, en retrait de 1,2 %. Eu égard aux modifications de périmètre et aux effets de changes, l indicateur le plus pertinent est la croissance organique (magasins comparables + ouvertures). Là, carrefour est positif, tant en france (+ 1 %) qu à l international (+ 3,4 %). L activité EN france au > A magasins comparables, hors essence + 4,4% > Surtout, la croissance s est accélérée en fin d année. En organique, la croissance du a ainsi été plus élevée que la hausse sur l ensemble de l exercice. + 1,4% + 2,9% hypers supers ProXi > De fait, dans son ensemble, Carrefour va mieux. Ce qui n exclut pas des poches de sous-performances. C est notamment le cas en Europe hors France : les ventes reculent de 3 %. De même, les résultats en Asie ont déçu les investisseurs. Le CA a certes progressé (+ 2,2 %) mais uniquement grâce aux ouvertures. En comparable en effet, Carrefour y recule de 1,9 %. > Conséquence : ces résultats ont été fraîchement accueillis en bourse. Alors que les signes de retournement sont tangibles (mais fragiles), l action qui dépassait 28 début janvier s échange désormais à peine au-dessus de 25. LE groupe carrefour au ET sur L ENsEmBLE DE L EXErcicE (en millions d euros) chiffre d affaires TTc Evolution totale 1,5 % Evolution organique hors essence + 3,4 % ca France (en M ) + 0,3 % ca international (en M ) ,1 % croissance organique France : croissance organique international : + 2,0 % + 4,3 % (en millions d euros) chiffre d affaires TTc Evolution totale 1,2 % Evolution organique + 2,3 % ca France (en M ) ,2 % ca international (en M ) ,5 % croissance organique France : croissance organique international : + 1,0 % + 3,4 % Source : Carrefour / Vigie Grande Conso

7 7 résultats CARREFOUR CONFIRME EN FRANCE La situation de Carrefour s améliore petit à petit en France. Sur le, tous les formats ont été positifs à magasins comparables hors essence. > L attractivité des enseignes Carrefour progresse! sur le, à magasins comparables et hors essence (l indicateur qui démontre réellement la capacité d attraction d un point de vente), toutes les enseignes du groupe ont été positives en france. Comme toujours, et grâce à la convergence d enseigne, la proximité progresse le plus rapidement : + 4,4 %. Logique! Au fronton d une supérette, la simple présence d un logo Carrefour rend immédiatement la surface plus attractive. > La performance la plus scrutée était évidemment celle des hypers. Pour le second trimestre consécutif, Carrefour affiche une progression de ses ventes : + 1,4 %. C est certes inférieur au trimestre précédent mais suffisant pour conforter une tendance de retour à meilleure fortune. De 2009 à l été, le CA des hypers était en effet systématiquement en recul. > Seul bémol néanmoins : les croissances au et ont été, pour partie, «sponsorisées» par un effort promotionnel plus important de l enseigne avec, respectivement, des hausses de pression de 10 et 6 %. EVoLUTioN DEs VENTEs TrimEsTriELLEs hypers DE carrefour DEPUis 2009 > Evolution en % vs même période de l année précédente (CA à magasins comparables hors essence) +3,0 +1,4-2,5-1,4-2,5-2,9-1,4-1,6-2,5-2,5-1,7-3,1-3,3-2,0-2,9-1,1-5,1-4,6-4,7-5, résultats SYSTÈME U : LE CHIFFRE SAUVÉ PAR L EFFET DE PARC Système U affiche toujours une croissance à faire saliver les groupes intégrés : + 3,5 %. Pour autant, elle est essentiellement due à l effet de parc. Ce qui, de facto, la relativise. > L an dernier, le groupement système U a réalisé un chiffre d affaires total de 23,7 milliards d euros, en hausse de 2 %. hors carburants, la croissance atteint 3,5 %, soit un niveau à peine inférieur à l ambition initiale évoquée l an dernier à pareille époque (+ 4 %). A noter que l évolution des ventes atteint 4,2 % en alimentaire ce qui, en pondérant par son quota, signifie que le non-al est à environ zéro. > Deux lectures pour ces résultats. D abord, ce niveau de croissance plus faible que par le passé suffit néanmoins à gagner des parts de marché : Système U est à cet égard en ligne avec son objectif stratégique de long terme, + 0,3 pt/an. Seconde lecture : le chiffre d affaires est en fait sauvé par l effet de parc. Les U ont en effet gagné m 2, soit 3,8 %

8 8 de nouveaux mètres carrés. c est-à-dire peu ou prou le niveau de croissance des ventes hors carburants. > Dans le détail des enseignes et à contre-courant des autres groupes les supermarchés ont moins progressé que les hypers : respectivement + 2,5 % pour Super U et + 4 % pour Hyper U. système U EN > CA total, avec carburants, en Mds > CA hors carburants, en Mds >Part de marché PGC + Frais LS (en %) 23,7 23,2 21,1 19,25 + 8,8 % + 10 % + 2 % ,5 17,8 16,1 15,1 + 5,6 % + 11 % + 3,5 % ,0 9,4 8,6 8,0 7, ,3 Source : Système U / Editions Dauvers résultats LE GROUPE CASINO EN ROUTE VERS LES 50 MILLIARDS D EUROS DE CA L exercice de Casino s est soldé par une croissance de 15,9 % des ventes totales, lesquelles s élèvent désormais à 48,6 milliards d euros. Si l international fait l essentiel de la progression, la France donne des signes d amélioration. > Le groupe casino a publié un chiffre d affaires consolidé ht de 48,6 milliards d euros pour, en hausse de 15,9 %. La croissance organique (magasins comparables + ouvertures) est flatteuse, à + 4,5 %. > Bien entendu, c est l activité de Casino à l international et plus particulièrement au Brésil qui continue de truster la progression des ventes. En croissance de + 23,9 % (+ 11,2 % en organique), l international représente aujourd hui plus de 29 milliards d euros, soit tout près de 60 % du CA total. > Cependant, en parallèle, le distributeur a redressé la barre sur son marché domestique. Les ventes françaises du groupe (19,5 Mds ) sont en hausse de 5,7 %. Explications : le redressement significatif de Géant (cf. note suivante) et l intégration de Monoprix dans le périmètre. En organique, par contre, l activité demeure encore en repli à - 3,9 %. LE groupe casino EN (en millions d euros) chiffre d affaires ht Evolution totale + 15,9 % Evolution organique + 4,5 % ca France (en M ) ,7 % ca international (en M ) ,9 % croissance organique France : croissance organique international : - 3,9 % + 11,2 % Source : Casino

9 9 > Surtout, la situation a eu encore tendance à s améliorer sur la fin de l année avec un dernier trimestre satisfaisant pour le groupe. Sans les effets de changes (très négatifs sur la période à - 9,2 %) et l effet calendaire, lui aussi négatif, la croissance organique hors essence a progressé par rapport au, tant en France (- 1,4 % après - 3,6 %) qu à l étranger (+ 14 % après + 12,5 %). > au, le chiffre d affaires international est en repli compte tenu des effets de changes mais la croissance organique est très positive. En revanche, il faut noter l écart qui se creuse entre l Amérique latine d un côté (+ 14,3 % en organique hors essence) et l Asie de l autre (+ 3,6 %). C est l expansion qui sauve l Asie en effet puisque les ventes à magasins comparables accusent un recul de 4,4 %, conséquence du ralentissement de la consommation et des tensions politiques en Thaïlande. > Dans l Hexagone, Casino redresse peu à peu la barre et l amélioration s est poursuivie au quatrième trimestre. Rien n est cependant encore véritablement gagné. A magasins comparables hors essence, en effet, toutes les enseignes affichent une baisse de leurs ventes trimestrielles : - 2,8 % pour Géant, - 3,3 % pour les Supermarchés Casino, - 3,4 % pour Franprix, - 0,8 % pour Monoprix et ,5 % pour Leader Price. PErformaNcEs GÉANT NE VA PAS ENCORE BIEN, MAIS DÉJÀ TELLEMENT MIEUX La mise en perspective de l évolution des ventes trimestrielles de Géant est éloquente : l enseigne a opéré un certain redressement depuis un an. > Après une véritable descente aux enfers, Géant est en train de faire une remontée impressionnante. certes l enseigne d hypers du groupe casino n a pas encore tout à fait sorti la tête de l eau mais la situation est nettement moins alarmante qu il y a encore un an. > De - 11,7 % au, la croissance organique des ventes de Géant est passée à - 1,7 % au. Presque un miracle tant l enseigne partait de loin. > Et la performance est d autant plus impressionnante qu elle s est faite grâce à des efforts conséquents sur les prix, tirant mécaniquement le CA à la baisse. Mais le trafic et les volumes sont bel et bien en progression depuis le. Au quatrième trimestre, le trafic a augmenté de 1,9 % et les volumes alimentaires sont en hausse de 8,1 %. Preuve que Géant regagne en attractivité. évolution DEs VENTEs TrimEsTriELLEs DE géant > Evolution organique en % vs même période de l année précédente - 1,2-4,5-1,7-2,2-2,0-5,9-7,0-7,9-11,7-11,5

10 NOUVEAU! D u c ô t é d e c h e z b l o g... LE BLog h t t p : / / j e a n l u c s p i t a l e. w o r d p r e s s. c o m Toutes les semaines, le regard d Isabelle et Jean-Luc Spitale sur le commerce et la conso PoUrQUoi ce BLog? Les temps changent, l environnement est mouvant comme jamais et les contraintes économiques pesantes sur les fournisseurs, les retailers comme les consommateurs. Les enjeux pour les décideurs que vous êtes? Imaginer les organisations gagnantes, trouver des idées nouvelles, bref ouvrir ses horizons! C est précisément notre volonté au travers de ce blog Toutes les semaines, en s appuyant sur des faits d actualité, nous partagerons un avis, un décodage ou des idées nouvelles. Pas question d asséner» des vérités. Juste de nourrir la réflexion de chacun!

11 S a v o i r p o u r c o m p r e n d r e La VIGIE retail

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