RÉSUMÉ. Mots-clés: méthodes de diagnostic, réaction de polymérisation en chaîne (PCR) optimisation, viroses des animaux de compagnie.
|
|
- Blanche Breton
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 RÉSUMÉ Mots-clés: méthodes de diagnostic, réaction de polymérisation en chaîne (PCR) optimisation, viroses des animaux de compagnie. 1. L'importance de la thèse Actuellement, la pathologie infectieuse/contagieuse des animaux de compagnie n'est plus une inconnue, la recherche médicale actuelle a démontré que la science et la technologie moderne peuvent intervenir avec succès dans l'amélioration du diagnostic, dans la prévention et au combat de ces maladies. Bien que les progrès scientifiques ont alimenté les espoirs d exclure d'agents pathogènes parmis les maladies infectieuses courantes chez les animaux, de nombreux échecs ont montré les limites des méthodes de diagnostic, en particulier dans les premiers stades de l'infection, avec un impact négatif sur l'efficacité des programmes de prévention et / ou leur éradication. La nécessité d'une amélioration des techniques de diagnostic et de la révision des méthodes de l'immunoprophylaxie restent des objectifs pérennes. Le premier objectif de cette étude était de procéder, sur la base de données bibliographiques, à un examen des principales méthodes de laboratoire utilisées pour le diagnostic de la pathologie infectieuse des animaux de compagnie (chat ou chien), visant simultanément à recueillir des informations sur les techniques couramment utilisées dans le diagnostic, ainsi que à l approfondissement des techniques de performance qui permettent un diagnostic sûr et à la fois précoce de l'infection. Des observations recueillies à partir de la littérature, ainsi que ceux dérivés d'un diagnostic obtenu par des méthodes de biologie moléculaire dans certaines maladies infectieuses des chiens et des chats, ont suggéré l'idée d'évaluer dans quelle mesure les méthodes classiques de diagnostic sont conformes aux exigences actuelles. En outre, notre objectif fut d aquerir le savoir, l'optimisation et, si possible, la mise en œuvre des techniques et des méthodes de diagnostic de pointe, base sur la PCR (Polymerase Chain Reaction), qui tente d optimiser l'identification des animaux infectés. Parmi les nombreux viroses des animaux de compagnie, pour cette étude ont été sélectionnés quatre d'entre eux, à savoir l'infection par le virus de l'herpès félin de type 1 (FHV-1), l'infection par le calicivirus félin (FCV), et en ce qui concerne les viroses des chiens, l'infection par le parvovirus canin (CPV-2) et la maladie de Carré (CDV). Pour
2 chacun de ces maladies virales ont été validés les protocoles d'extraction et l'amplification spécifique (pour ADN / ARN des différentes matrices biologiques), pour conduire finalement à des protocoles pratiques et stables qui peuvent être efficacement utilisés dans la surveillance et le diagnostic sensible et spécifique de ceux-ci maladies. Aussi, pour illustrer l'applicabilité pratique de protocoles optimisés, a été sélècté le protocole RT-PCR pour le diagnostic de la maladie de Carré, permettant ainsi de tester un certain nombre d'échantillons biologiques prélevés d'animaux suspecte, asymptomatique ou clinique, pour vérifier la sensibilité et la spécificité de ce test et la possibilité de sa mise en œuvre dans le diagnostic de routine. Comme mentionné précédemment, ces maladies sont fréquemment rencontrées chez les animaux de compagnie, les deux derniers particulièrement agressives, avec une forte morbidité et la mortalité, où un diagnostic précis établi dans un temps relativement court peut sauver de nombreuses vies et prévenir l'apparition d une épidémie. 2. Structure de la thèse La thèse est divisée en deux sections principales. La première partie résume les données recueillies de la littérature sur les caractéristiques spécifiques des infections virales et des méthodes classiques de diagnostic et est divisé en cinq chapitres. La deuxième partie est consacrée à la recherche personnelle et systématisée en 8 chapitres, comprenant les matériaux d'étude, les méthodes de recherche utilisées, les résultats et les conclusions de chaque chapitre et un chapitre général contenant les conclusions et recommandations finales. Partie I - Étude bibliographique CHAPITRE I - est dédié à l infection avec l'herpès-virus félin de type 1 et présente des informations générales sur l'étiologie, la pathogenèse, l'épidémiologie de cette maladie, ainsi que les méthodes de diagnostic (les techniques traditionnelles et les techniques modernes) pour identifier le génome viral. CHAPITRE II présente la calicivirose féline, les données sur l'étiologie, épidémiologie et pathogénie de l infection, des informations sur des questions importantes telles que les animaux porteurs (carrier) et leur rôle dans le contexte épidémiologique de l'infection, la présentation des méthodes de diagnostic sérologique et moléculaire, discutant les avantages et inconvénients des techniques mentionnées. CHAPITRE III dédié a l infection du au parvo-virus canin de type 2, aux concepts généraux sur l'étiologie de l'infection, aux données sur les particularités de l'origine et de l'évolution du parvo-virus (sachant que le virus a été identifié pour la première au chat, puis il
3 a passé au chien, et au cours des dernières années, de nombreux études épidémiologiques indiquent son retour à l'hôte d'origine, le chat). On y resume les données épidémiologiques sur la répartition des différents variantes antigéniques du parvovirus canin, les méthodes utilisées pour diagnostiquer l'infection (méthodes traditionnelles et techniques modernes). CHAPITRE IV - présente les conditions générales concernant la maladie de Carré, l'étiologie et l'épidémiologie, ainsi que les caractéristiques des techniques de diagnostic tels que profil hématologiques et biochimiques, examens radiologiques, investigations au niveau du liquide cérébro-spinal, déterminations immuno-cytologiques, techniques d'immunohistochimie, méthodes sérologiques, isolement virale et aussi la présentation des techniques modernes de diagnostic, respectivement la détection du génome viral. Chapitre V - est un chapitre général consacré à la technique PCR (réaction en chaîne de la polymérase), concernant la présentation des étapes de la réaction, des composants de la réaction, des types de réaction et des méthodes d'analyse et d'interprétation des résultats (électrophorèse sur gel d'agarose et analyse des courbes d amplification), terminologie, etc. Partie II - Recherches personnelles Cette partie débute par la présentation de l'objet et du protocole de la recherche, suivie par huit autres chapitres. Chapitre VI c est un chapitre général qui présente les matériels et méthodes utilisés tout au long de la recherche, examinant, le type d'équipement utilisé, des kits et des réactifs utilisés, les matériaux biologiques nécessaires, les protocoles de préparation des échantillons biologiques, les protocoles d extraction des acides nucléiques, les protocoles et les types d'amorces et des sondes d'hydrolyse nécessaires pour le stade d'amplification, les paramètres de performance évalués pour chaque étape d'optimisation d'un protocole donné. L'optimisation de chaque protocole de PCR, autant dans l'étape d'extraction que dans celle d'amplification, est reprise en détail au chapitres VIII, IX, X, XI, pour chaque maladie virale dans partie. CHAPITRE VII - est un chapitre dédié spécifiquement à la préparation des échantillons destinés a tester par des méthodes de diagnostic moléculaire, en général, et aussi à la présentation des astuces importantes liées aux inhibiteurs de la réaction PCR (identification et caractérisation de ces éléments) et aux méthodes de préparation des échantillons spéciaux (biochimiques, immunologiques, physiques, physiologiques), etc. Chapitre VIII - est dédié à l'optimisation des techniques de biologie moléculaire (la méthode PCR pour le diagnostic de l infection avec l'herpès-virus félin de type 1) et
4 structurée comme suit : un bref aperçu sur les particularités du génome viral, suivi de deux sections principales d'optimisation générale de la méthode : - validation pour l extraction d'adn à partir d'échantillons de tissus mous (organes): présentation des matériels et des méthodes utilisées, du protocole de traitement primaire de l'échantillon des organes, du kit d'extraction à tester, des paramètres de performance évalués et du protocole utilisé pour l'évaluation, la fiche de travail et le profil thermique de la réaction normalisé, et finalement la présentation des résultats et la discussion; - amplification du génome de l'herpèsvirus félin de type 1: matériels et méthodes utilisées, le choix des amorces spécifiques à la région du gène amplifiée, la conception expérimentale, une brève description des deux kits d'amplification utilisés, la fiche de travail et le profil thermique FHV -1 pour chacun des deux kits, résultats, discussion, - conclusions partielles de ce chapitre: validation réussie du protocole d'extraction d'adn à partir d'échantillons d'organes (tissus mous) afin d'optimiser l'amplification spécifique de ADN FHV-1, obtenant ainsi un protocole PCR stable et pratique, qui recommande cette technique pour le diagnostic spécifique et sensible de l'herpèsvirus félin. Chapitre IX - dédié à l'optimisation des techniques de biologie moléculaire (la méthode en temps réel RT-PCR) dans le diagnostic du calicivirus félin et structuré comme suit: un bref aperçu sur les particularités du génome viral, suivi de deux sections principales sur l'optimisation générale de la méthode: - la validation de la méthodologie pour l'extraction de l'arn a partir d'échantillons de tampons oro-pharyngés: présentation des matériels et des méthodes utilisées, du protocole de traitement primaire des échantillons biologiques, du kit d'extraction à tester, des paramètres de performance évalués et du protocole utilisé pour l'évaluation, la fiche de travail et le profil thermique de la réaction normalisé, et finalement la présentation des résultats et la discussion; - l amplification du génome de calicivirus félin: matériels et méthodes utilisées, le choix des amorces spécifiques à la région du gène amplifiée et de la sonde de hydrolyse, la conception expérimentale, la brève description des deux kits d'amplification utilisés, la fiche de travail et le profil thermique pour chacun des deux kits, résultats, discussion
5 - conclusions partielles de ce chapitre: validation réussie du protocole pour extraire l'arn à partir d'échantillons de tampons oro-pharyngés, optimisation de l amplification spécifique de l ARN FCV pour obtenir un protocole en temps réel RT-PCR stable et pratique, ce qui recommande la technique PCR pour le diagnostic spécifique et sensible de la calicivirose féline. Chapitre X - présente l'optimisation des techniques de biologie moléculaire, la méthode PCR en temps réel dans le diagnostic de l'infection par le parvovirus canin 2, structuré comme suit: courte présentation sur les particularités du génome viral, suivi de deux sections principales d'optimisation générale de la méthode: - la validation de la méthodologie pour l'extraction de l'arn par prelevements d'échantillons de matières fecales: présentation des matériels et des méthodes utilisées, du protocole de traitement primaire des échantillons prélevés, du kit d'extraction à tester, des paramètres de performance évalués et du protocole utilisé pour l'évaluation, la fiche de travail et le profil thermique de la réaction normalisé, et finalement la présentation des résultats et la discussion - l'amplification du génome du parvovirus canin de type 1: matériels et méthodes utilisées, le choix des amorces spécifiques à la région du gène amplifiée, la conception expérimentale, la brève description des deux kits d'amplification utilisés, la fiche de travail et le profil thermique CPV-2 pour chacun des deux kits, résultats, discussion; - conclusions partielles de ce chapitre: validation réussie du protocole pour extraire l'arn à partir d'échantillons de matières fecales, optimisation de l amplification spécifique de l ADN CPV-2 pour obtenir un protocole en temps réel RT-PCR stable et pratique, ce qui recommande la technique PCR pour le diagnostic spécifique et sensible de la parvovirose. Chapitre XI - l'optimisation des techniques de biologie moléculaire (la méthode RT- PCR dans le diagnostic de la maladie de Carré), structurée comme suit: une brève introduction sur les particularités du génome viral, suivi de deux sections principales sur l'optimisation générale de la méthode: - la validation de la méthodologie pour l'extraction de l'arn à partir d'échantillons de sang: présentation des matériels et des méthodes utilisées, du protocole de traitement primaire des échantillons prélevés, du kit d'extraction à tester, des paramètres de performance évalués et du protocole utilisé pour l'évaluation, la fiche
6 de travail et le profil thermique de la réaction normalisé, et finalement la présentation des résultats et la discussion - l'amplification du génome viral: matériels et méthodes utilisées, le choix des amorces spécifiques à la région du gène amplifiée, la conception expérimentale, la brève description des deux kits d'amplification utilisés, la fiche de travail et le profil thermique CDV pour chacun des deux kits, résultats, discussion; - conclusions partie de cette section: validation réussie du protocole de l'extraction de l'arn à partir d'échantillons de sang, optimisation de l amplification spécifique de CVD pour obtenir un protocole en temps réel RT-PCR stable et pratique, ce qui recommande la technique PCR pour le diagnostic spécifique et sensible de la maladie de Carré. Chapitre XII - un chapitre qui illustre l'application pratique du protocole optimisé pour le diagnostic de la maladie de Carré par RT-PCR. Ainsi, nous avons testé un grand nombre d'échantillons (différentes matrices biologiques: sang, frottis conjonctivaux, urine, organes) à partir de 50 animaux cliniquement sains ou avec suspicion clinique de la maladie de Carré. L'objectif est donc de mettre en place la sensibilité de la détection par PCR du génome viral de tous les types de matrices biologiques, des animaux asymptomatiques ou de ceux présentant des signes cliniques au moment de l'essai. La détection du virus dans le corps d'abord dans le sang en phase virale (3-6 jours après l'infection) et plus tard (6-9 jours après l'infection) dans divers épithéliums où il est excrété par les sécrétions / excrétions (en échantillons de frottis conjonctivaux, par exemple) est d'une importance particulière pour guider l'approche thérapeutique ultérieure. Elle est également utile dans l'identification des animaux asymptomatiques qui restent sensibles au virus dans une population susceptible. Ils sont également detailés les résultats et les discussions, et les conclusions partielles de ce chapitre, de sorte qu on peut affirmer d avoir reussi l'optimisation et la validation d'un protocole d'extraction d'arn applicable aux quatre types de matrices biologiques (sang, frottis conjonctivaux, urine, organes). Le protocole optimisé pour l'amplification de virus c est avère capable d'identifier un grand nombre d'animaux infectés avec suspicion clinique ou asymptomatiques, ce qui confirme la performance et l'utilité de la technique RT-PCR pour le diagnostic spécifique et sensible de la maladie de Carré et l'utilisation de cette technique comme un outil très pratique pour guider l'approche thérapeutique dans certains stades de l'infection.
7 Chapitre XIII - est un chapitre de conclusions générales visant l'ensemble de l'étude, ou sont soulignés et mis en évidence les aspects les plus importants du sujet étudié. Ont peut conclure: 1) Le diagnostic par des techniques de biologie moléculaire (PCR) est un diagnostic sensible et spécifique très utile en médecine vétérinaire, mais exigeant des installations specifiques (équipements dédiés à la méthode, des kits et des réactifs, un espace spécialement conçu) et personnel spécialisé dans l'exécution de ces opérations; 2) Concernant l'optimisation des techniques d'amplification virale, il existe à l'heure actuelle des informations détaillées dans la littérature sur le type de protocole utilisé (PCR, PCR en temps réel), amorces et de sondes pour des fragments de gènes spécifiques (technologies comme SYBR Green, FRET, MGB ), des combinaisons de kits et réactifs (de type prêt-àutiliser). Celles-ci peuv être ajustés plus tard selon les equipements spécifiques de chaque laboratoire, ou peuvent être recrèés et adaptés individuellement, ce qui a été realisé dans cette étude; 3) L'un des critères pour optimiser un protocole a été l'usage pour lequel il sera dédié : diagnostic rapide (pour des tests individuels ou de dépistage dans une population) nécessitant exploitation en temps réel ou des études épidémiologiques (par exemple, l'identification des souches de CDV circulant dans une zone donnée), ces études étant succédées par le séquençage du génome viral; 4) L'étude a souligné l'importance de facteurs tels que le stade pré-pcr, des techniques d'élimination des inhibiteurs et des procédés pour le traitement des échantillons prélevés, en fonction de la matrice organique, aspects qui peuvent modifier la sensibilité et la spécificité moléculaire de ces maladies; 5) Les échantillons biologiques pour les tests de biologie moléculaire (PCR), recueillies par des méthodes non invasives pour un animale vivant sont les suivants: a) des frottis conjonctivaux, oropharyngée, immergés dans un tampon PBS et envoyés en quelques heures à laboratoire et / ou des organes spécialisés prises post-mortem (dans le cas de la mortalité néonatale) soupçonnant de la rhinotrachéite féline avec étiologie virale (herpès, calicivirus); b) échantillons de matières fecales, indiqués en particulier dans la phase aiguë de la maladie (dans ce cas, les organes internes peuvent être utiles pour la détection de matériel biologique virale, en particulier dans le cas de mort subite du nouveau-né), avec a suspicion clinique de parvovirus.
8 c) maladie de Carré - échantillons de sang pour la validation de la méthode RT-PCR (extraction et amplification) et échantillons de tampons conjonctivaux (recueillies dans des événements respiratoires), des échantillons de sang (phase de virémie), des échantillons d'urine (à la fois dans la phase aiguë et dans la période de récupération), organes (post-mortem) pour la phase de mise en œuvre de la technique RT-PCR; 6) Optimisation d'un protocole classique de type PCR pour le diagnostic du herpèsvirus félin de type 1, traversant les étapes suivantes: a) validation du protocole d'extraction d'adn pour les échantillons des tissus mous (d'organes); b) optimisation de l'amplification spécifique de ADN FHV-1, obtenant ainsi un protocole PCR stable et pratique, qui recommande cette technique pour le diagnostic spécifique et sensible de l'herpèsvirus félin. 7) Pour l'optimisation d'un protocole de type RT-PCR en temps réel dans le diagnostic de la calicivirose féline ont été realisees les suivantes approches: a) la validation avec succès d un protocole d'extraction d'arn à partir d'échantillons de tampons oro-pharyngées; b) l optimisation de l amplification spécifique de l ARN FCV pour obtenir un protocole en temps réel RT-PCR stable et pratique, ce qui recommande la technique PCR pour le diagnostic spécifique et sensible de la calicivirose féline; 8) En optimisant le protocole PCR en temps réel pour le diagnostic de l'infection par le parvovirus canin 2, ont été obtenus les suivants résultats: a) la validation réussie d'un protocole pour l'extraction d'adn à partir d'échantillons matières fecales; b) l optimisation de l amplification spécifique de l ADN CPV- 2 pour obtenir un protocole en temps réel RT-PCR stable et pratique, ce qui recommande la technique PCR pour le diagnostic spécifique et sensible de la parvovirose canine; 9) En optimisant un protocole PCR en temps réel dédié au diagnostic de la maladie Carre, on a obtenu les suivants résultats: a) la validation réussie d'un protocole pour l'extraction d'arn à partir d'échantillons de sang; b) l optimisation de l amplification spécifique de l'arn CDV pour obtenir un protocole en temps réel RT-PCR stable et pratique, ce qui recommande la technique PCR pour le diagnostic spécifique et sensible de la maladie de Carré;
9 10) La mise en oeuvre du test de RT-PCR dans le diagnostic de la maladie de Carré a confirmé: a) Le schéma (pattern) de corrélation de l'infection avec l'âge, connu à partir des observations précédentes: ainsi, la prévalence de l'infection a atteint 100% immédiatement après le déclin des anticorps maternels, mais après l'âge d'un an, la prévalence tend à diminuer à "0" à la suite de la vaccination et / ou l exposition spontanée au virus circulant dans l'échantillon étudié; b) la corrélation de la suspicion de l'infection avec l'âge et l'état immunitaire, comme suit: la plupart des résultats positifs ont été enregistrées chez les animaux de moins de 1 an, non vaccinés ou avec la vaccination incomplète, tandis que dans les autres groupes d'âge on a enregistré seulement des cas isolés d'infection associé à un état immunitaire inconnu ou sans vaccination, ou dû à l'exposition à une souche très virulente; c) pour les animaux cliniquement sains, la détection correcte d une infection subclinique ou encore en état d'incubation ou la détection de l'état de porteur de virus; d) la sensibilité du protocole pour l'identification des animaux qui sont dans la phase aiguë de l'infection, par la discrimination entre les animaux avec infection subclinique par rapport à ceux cliniquement sains, mais porteurs et éliminateurs de virus; Les performances démontrées par les résultats de cette étude - l'efficacité, la rapidité, la sensibilité et la spécificité, montrent que, la RT-PCR est une alternative viable à la gestion de cette maladie. 11) Tous les protocoles optimisés dans le présent document peuvent être aisement mises en œuvre pour établir le diagnostic courant de la herpèsvirose et de la calicivirose au chats ou de la parvovirose et de la maladie de Carré au chien,s et peuvent être également utilisés dans des études épidémiologiques ou des analyses des séquences du génome viral.
Tuberculose bovine. Situation actuelle
Tuberculose bovine Situation actuelle 21 mai 2013 Dr G. Peduto Vétérinaire cantonal Service de la consommation et des affaires vétérinaires 1 Tuberculose bovine La Suisse est indemne depuis 1959 Dernier
Plus en détailLa lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002.
Le diagnostic de la tuberculose bovine La lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002. 1. Tuberculination Dans la première phase d une infection de tuberculose bovine (Mycobacterium
Plus en détailItem 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve
Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Différentes
Plus en détailLA PERITONITE INFECTIEUSE FELINE
Marie-Hélène BONNET 8, Avenue de l Amiral Narbonne 111120 Bize Minervois Tél. 04.68.40.61.50 Email : manoirperceval@wanadoo.fr LA PERITONITE INFECTIEUSE FELINE A lire très attentivement, et à faire lire
Plus en détailItem 127 : Transplantation d'organes
Item 127 : Transplantation d'organes Date de création du document 2008-2009 Table des matières * Introduction... 1 1 Allogreffe de moelle ou de cellules souches...1 2 Transplantation d'organes... 2 3 Diagnostic...3
Plus en détailAnnales du Contrôle National de Qualité des Analyses de Biologie Médicale
Annales du Contrôle National de Qualité des Analyses de Biologie Médicale ARN du virus de l hépatite C : ARN-VHC ARN-VHC 03VHC1 Novembre 2003 Edité : mars 2006 Annales ARN-VHC 03VHC1 1 / 8 ARN-VHC 03VHC1
Plus en détailMETHODOLOGIE GENERALE DE LA RECHERCHE EPIDEMIOLOGIQUE : LES ENQUETES EPIDEMIOLOGIQUES
Enseignement du Deuxième Cycle des Etudes Médicales Faculté de Médecine de Toulouse Purpan et Toulouse Rangueil Module I «Apprentissage de l exercice médical» Coordonnateurs Pr Alain Grand Pr Daniel Rougé
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailMarquage CE et dispositifs médicaux
Marquage CE et dispositifs médicaux Références officielles Trois principales directives européennes réglementent la mise sur le marché et la mise en service des dispositifs médicaux : la directive 90/385/CEE
Plus en détailVIRUS DE L'IMMUNODEFICIENCE HUMAINE (HIV)
VIRUS DE L'IMMUNODEFICIENCE HUMAINE (HIV) En 1999, dans le monde, plus de 33 millions de sujets dont 43% de femmes étaient infectés par le virus de l'immunodéficience humaine ou HIV. L'épidémie progresse
Plus en détailHépatite B. Le virus Structure et caractéristiques 07/02/2013
Hépatite B Le virus Structure et caractéristiques o o o Famille des Hepadnaviridae Genre orthohepadnavirus Enveloppé, capside icosaédrique, 42 nm 1 Le virus Structure et caractéristiques En microscopie
Plus en détailFICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION
FICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION Madame, Monsieur, Si votre état de santé nécessite une transfusion sanguine, ce document est destiné à vous informer sur les avantages et les risques de la transfusion,
Plus en détailSURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES
SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES Dr Virginie NAEL Service de Santé au travail du personnel hospitalier CHU Nantes 44èmes journées FMC ANMTEPH / SOHF - Lausanne - Septembre
Plus en détailRÉSUMÉ. Mots-clés: blé variété microflore des semences, combat
RÉSUMÉ Mots-clés: blé variété microflore des semences, combat Importance de la récolte de blé a entraîné attention sur la recherche sur la santé des plantes et, en particulier, mycose affectant la récolte
Plus en détailSélection et Évaluation Quantitative des Médicaments pour la Prise en Charge du VIH/SIDA. Sophie Logez, OMS/PSM Addis Abeba, Ethiopie, Février 2005
Sélection et Évaluation Quantitative des Médicaments pour la Prise en Charge du VIH/SIDA Sophie Logez, OMS/PSM Addis Abeba, Ethiopie, Février 2005 Sélection et Évaluation Quantitative Références Sélection
Plus en détailApport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses
Apport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses M-H H BESSIERES,, S. CASSAING, A. BERRY, R. FABRE, J-F.. MAGNAVAL Service de Parasitologie-Mycologie Diagnostic biologique d une d parasitose
Plus en détailaltona altona RealStar CMV PCR Kit 1.0 always a drop ahead. 04/2015 altona Diagnostics GmbH Mörkenstr. 12 22767 Hamburg Germany
altona DIAGNOSTICS altona DIAGNOSTICS RealStar CMV PCR Kit 1.0 04/2015 altona Diagnostics GmbH Mörkenstr. 12 22767 Hamburg Germany phone +49 40 548 06 76-0 fax +49 40 548 06 76-10 e-mail info@altona-diagnostics.com
Plus en détailMINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES DIRECTION GENERALE DE LA SANTE- DDASS DE SEINE MARITIME
Département des situations d urgence sanitaire Personne chargée du dossier : Evelyne FALIP/Nicole BOHIC Tél : 01 40 56 59 65/02 32 18 31 66 evelyne.falip@sante.gouv.fr MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES
Plus en détailSignalement et gestion des infections respiratoires aiguës (IRA) et des gastroentérites aiguës (GEA) 19 juin 2014
Signalement et gestion des infections respiratoires aiguës (IRA) et des gastroentérites aiguës (GEA) 19 juin 2014 Nadège Caillere, Cire Océan Indien Dr Joao Simoes, Cellule de veille, d alerte et de gestion
Plus en détailDiagnostic des Hépatites virales B et C. P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux
Diagnostic des Hépatites virales B et C P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux Diagnostic VHC Dépistage: pourquoi? Maladie fréquente (Ac anti VHC chez 0,84% de la population soit 367 055
Plus en détailHEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas
HEPATITES VIRALES 22/09/09 Mme Daumas Infectieux Introduction I. Hépatite aigu II. Hépatite chronique III. Les différents types d hépatites A. Hépatite A 1. Prévention de la transmission 2. Vaccination
Plus en détailUtilisation des médicaments au niveau des soins primaires dans les pays en développement et en transition
09-0749 1 WHO/EMP/MAR/2009.3 Utilisation des médicaments au niveau des soins primaires dans les pays en développement et en transition Synthèse des résultats des études publiées entre 1990 et 2006 Organisation
Plus en détailChapitre III Le phénotype immunitaire au cours de la vie
Chapitre III Le phénotype immunitaire au cours de la vie Le phénotype immunitaire d un individu caractérise sa capacité à répondre, grâce aux effecteurs de l immunité adaptative, aux différents agents
Plus en détailConférence technique internationale de la FAO
Décembre 2009 ABDC-10/7.2 F Conférence technique internationale de la FAO Biotechnologies agricoles dans les pays en développement: choix et perspectives pour les cultures, les forêts, l élevage, les pêches
Plus en détailMontréal, 24 mars 2015. David Levine Président et chef de la direction DL Strategic Consulting. DL Consulting Strategies in Healthcare
Montréal, 24 mars 2015 David Levine Président et chef de la direction DL Strategic Consulting 1 RSSPQ, 2013 2 MÉDECINE INDIVIDUALISÉE Médecine personnalisée Médecine de précision Biomarqueurs Génomique
Plus en détailDétection et prise en charge de la résistance aux antirétroviraux
Détection et prise en charge de la résistance aux antirétroviraux Jean Ruelle, PhD AIDS Reference Laboratory, UCLouvain, Bruxelles Corata 2011, Namur, 10 juin 2011 Laboratoires de référence SIDA (Belgique)
Plus en détailMASTER (LMD) PARCOURS MICROORGANISMES, HÔTES, ENVIRONNEMENTS (MHE)
MASTER (LMD) PARCOURS MICROORGANISMES, HÔTES, ENVIRONNEMENTS (MHE) RÉSUMÉ DE LA FORMATION Type de diplôme : Master (LMD) Domaine ministériel : Sciences, Technologies, Santé Mention : BIOLOGIE DES PLANTES
Plus en détailLes défibrillateurs cardiaques implantables
Les défibrillateurs cardiaques implantables Etudes d'évaluation économique Etudes d'évaluation technologique Avant-propos Cette étude a été réalisée, à la demande de la Caisse Nationale de l'assurance
Plus en détailLES BIOTECHNOLOGIES DANS LE DIAGNOSTIC DES MALADIES INFECTIEUSES ET LE DÉVELOPPEMENT DES VACCINS
CHAPITRE 1.1.7. LES BIOTECHNOLOGIES DANS LE DIAGNOSTIC DES MALADIES INFECTIEUSES ET LE DÉVELOPPEMENT DES VACCINS INTRODUCTION Les méthodes de biologie moléculaire ont de plus en plus d applications dans
Plus en détailPOLITIQUE DE BIOSÉCURITÉ
Date d entrée en vigueur: Mai 2006 Remplace/amende: VRS-52/s/o Origine: Vice-rectorat aux services Numéro de référence: VPS-52 DÉFINITION Une substance biologique dangereuse se définit comme un organisme
Plus en détailSTOP à la Transmission des microorganismes!
STOP à la Transmission des microorganismes! M.E Gengler Vendredi 25 Avril 2014 Vous avez ditstandard? Voici les «Précautions Standard» ou PS Les Précautions Standard : la Loi Respectez les «précautions
Plus en détailBrest (29) Lessay (50), 12-13 Mars 2012
Conclusions Projet Aquamanche Aquatic management of catchments for health and environment Gestion des eaux des bassin versants pour la santé et l environnement Brest (29) Lessay (50), 12-13 Mars 2012 Les
Plus en détailCalicivirus et caliciviroses chez le Chat
Calicivirus et caliciviroses chez le Chat Dr Pascal Pasquini Di Barbieri 1. Généralités. Bulletin CCOc octobre 2011 Le Calicivirus Félin est un virus à ARN mono brin, appartenant à la famille des Caliciviridae,
Plus en détailEvaluation des coûts de dépistage d Entérocoques Résistants aux Glycopeptides : Résultats préliminaires
Evaluation des coûts de dépistage d Entérocoques Résistants aux Glycopeptides : culture versus PCR Résultats préliminaires J. Assoukpa, L. Dupraz, D. Lecointe UFHHLIN, Centre Hospitalier Sud Francilien,
Plus en détailInfestation par Dipylidium caninum,
Fiche technique n 24 Infestation par Dipylidium caninum, le téniasis félin à Dipylidium Parmi tous les vers qui peuvent infester le chat, Dipylidium caninum est un parasite fréquemment rencontré dans le
Plus en détailA. Protocole de recherche (ainsi que l abrégé en langue française)
Commission d'éthique cantonale (VD) de la recherche sur l'être humain Av. de Chailly, 23, 1012 Lausanne Courriel : secretariat.cer@vd.ch 5.12.2013/mz Recommandations pour la soumission d un dossier Tous
Plus en détailTEST DE DÉPISTAGE DE L IMMUNITÉ CONTRE LE
TEST DE DÉPISTAGE DE L IMMUNITÉ CONTRE LE 14 TÉTANOS ET LA ROUGEOLE 14.1 INTRODUCTION Soumaïla MARIKO Comme on l a déjà précisé au chapitre 1, des tests de dépistage de l immunité contre le tétanos et
Plus en détailLE PLAN D'AMÉLIORATION DE LA FONCTION MARKETING
LE PLAN D'AMÉLIORATION DE LA FONCTION MARKETING Direction du développement des entreprises et des affaires Préparé par Michel Coutu, F. Adm.A., CMC Conseiller en gestion Publié par la Direction des communications
Plus en détailMINISTERE DE LA SANTE, DE LA FAMILLE ET DES PERSONNES HANDICAPEES
MINISTERE DE LA SANTE, DE LA FAMILLE ET DES PERSONNES HANDICAPEES Conduite à tenir pour la prise en charge des personnes présentant un syndrome ou une suspicion de syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS)
Plus en détailles deux premières années du Bachelor of Science en sciences pharmaceutiques
UNIVERSITÉ DE FRIBOURG SUISSE FACULTÉ DES SCIENCES UNIVERSITÄT FREIBURG SCHWEIZ MATHEMATISCH-NATURWISSENSCHAFTLICHE FAKULTÄT Plan d'études pour les deux premières années du Bachelor of Science en sciences
Plus en détailQ & R: De nouvelles règles concernant les déplacements des animaux de compagnie et leur passeport
Questions et réponses De nouvelles règles pour voyager avec votre animal à l intérieur ou en dehors de l Union et de nouveaux passeports pour les animaux de compagnie Introduction Depuis le 29 décembre
Plus en détaila) La technique de l analyse discriminante linéaire : une brève présentation. 3 étapes de la méthode doivent être distinguées :
a) La technique de l analyse discriminante linéaire : une brève présentation. Nous nous limiterons ici à l'analyse discriminante linéaire et à deux groupes : - linéaire, la variante utilisée par ALTMAN
Plus en détailTEST ELISA (ENZYME-LINKED IMMUNOSORBENT ASSEY)
TEST ELISA (ENZYME-LINKED IMMUNOSORBENT ASSEY) Lise Vézina, technicienne de laboratoire Michel Lacroix, agronome-phytopathologiste Direction de l innovation scientifique et technologique Au Laboratoire
Plus en détailSOMMAIRE I. INTRODUCTION 4 II. SOURCES D INFORMATION 5
SOMMAIRE I. INTRODUCTION 4 II. SOURCES D INFORMATION 5 2.1. ETUDES REALISEES PAR LES SERVICES DES CAISSES D ASSURANCE MALADIE 5 2.2. ANALYSE DE LA LITTERATURE 5 2.3. ANALYSE DES VENTES 6 2.4. COMPARAISONS
Plus en détailTP3 Test immunologique et spécificité anticorps - déterminant antigénique
TP3 Test immunologique et spécificité anticorps - déterminant antigénique Partie 1 : Spécificité d'un anticorps pour un déterminant antigénique du VIH La séropositivité pour le VIH correspond à la présence
Plus en détailContenu attendu des guides nationaux de bonnes pratiques d hygiène GBPH
Contenu attendu des guides nationaux de bonnes pratiques d hygiène GBPH Note d information à l usage des professionnels En complément de cette note, des informations relatives au contenu des GBPH sont
Plus en détailQU EST-CE QUE LA PROPHYLAXIE?
QU EST-CE QUE LA PROPHYLAXIE? TABLES DES MATIÈRES Publié par la Fédération mondiale de l hémophilie (FMH) Fédération mondiale de l hémophilie, 2014 La FMH encourage la traduction et la redistribution de
Plus en détailAnimal de compagnie. Les fiches pratiques de la concurrence et de la consommation
Les fiches pratiques de la concurrence et de la consommation Animal de compagnie Les animaux de compagnie sont des animaux dont l'homme a la garde, notamment dans son foyer, pour son agrément et qui ne
Plus en détailRendre les résultats d un test VIH, communiquer les messages pour refaire le test et fournir un conseil à l adulte
Rendre les résultats d un test VIH, communiquer les messages pour refaire le test et fournir un conseil à l adulte Il est prévu que les recommandations contenues dans ce document resteront valables jusqu
Plus en détailFondation PremUp. Mieux naître pour mieux vivre
Fondation PremUp Mieux naître pour mieux vivre Une fondation de coopération scientifique initiée par les pouvoirs publics en 2007 6 membres fondateurs : L Assistance Publique des Hôpitaux de Paris, l Inserm,
Plus en détail- 2 - faire industriel dans la mise au point des produits biologiques. L Institut Roche de Recherche et Médecine Translationnelle (IRRMT, basé à
Information presse Roche, l Agence Nationale de Recherches sur le Sida et les hépatites virales (ANRS), le Baylor Research Institute (BRI) et Inserm Transfert mettent en place une coopération stratégique
Plus en détailDéfinition de l Infectiologie
Définition de l Infectiologie Discipline médicale clinique Spécialisée. Prise en charge des Maladies Infectieuses et Tropicales. Actuelles, émergentes ou ré-émergentes. Référents dans le cadre d un maillage
Plus en détailHépatite chronique B Moyens thérapeutiques
Hépatite chronique B Moyens thérapeutiques Dr Olfa BAHRI Laboratoire de Virologie Clinique Institut Pasteur de Tunis INTRODUCTION Plus de 300. 10 6 porteurs chroniques de VHB dans le monde Hépatite chronique
Plus en détailConclusions du Conseil sur l'innovation dans l'intérêt des patients
Conseil de l'union Européenne PRESSE FR CONCLUSIONS DU CONSEIL Bruxelles, le 1 décembre 2014 Conclusions du Conseil sur l'innovation dans l'intérêt des patients Session du Conseil Emploi, politique sociale,
Plus en détailPlan d action mondial de l OMS pour le confinement des poliovirus sauvages en laboratoire
ORIGINAL : ANGLAIS DISTR. : GÉNÉRALE Plan d action mondial de l OMS pour le confinement des poliovirus sauvages en laboratoire DÉPARTEMENT VACCINS ET PRODUITS BIOLOGIQUES Organisation mondiale de la Santé
Plus en détailTEST DE DÉTECTION DE LA PRODUCTION D INTERFÉRON γ POUR LE DIAGNOSTIC DES INFECTIONS TUBERCULEUSES
TEST DE DÉTECTION DE LA PRODUCTION D INTERFÉRON γ POUR LE DIAGNOSTIC DES INFECTIONS TUBERCULEUSES Classement NABM : non inscrit code : non codé DÉCEMBRE 2006 Service évaluation des actes professionnels
Plus en détailFirst Line and Maintenance in Nonsquamous NSCLC: What Do the Data Tell Us?
Dr Jean-Charles Soria : Bonjour et bienvenue dans ce programme. Je suis Jean Charles Soria, Professeur de Médecine et Directeur du programme de développement précoce des médicaments à l université Paris
Plus en détailM.S - Direction de la réglementation et du contentieux - BASE DE DONNEES. REFERENCE : B O N 5070 du 2 janvier 2003
REFERENCE : B O N 5070 du 2 janvier 2003 Décret n 2-01-1643 du 2 chaabane 1423 9/10/2002 pris pour l'application de la loi n 16-98 relative au don, au prélèvement et à la transplantation d'organes et de
Plus en détailEpidémiologie appliquée aux sciences vétérinaires DES DAOA DES - DEA
Epidémiologie appliquée aux sciences vétérinaires DES DAOA DES - DEA Claude SAEGERMAN Département des maladies infectieuses et parasitaires, Service d épidémiologie et analyse de risques appliquées aux
Plus en détailEXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410
EXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410 EXERCICE 1 PAGE 406 : EXPERIENCES A INTERPRETER Question : rôles respectifs du thymus et de la moelle osseuse dans la production des lymphocytes.
Plus en détailRéorganisation du processus de transfusion sanguine au Liban
Réorganisation du processus de transfusion sanguine au Liban Cahier des charges du Logiciel Médico Technique Rédigé en collaboration avec Cahier des charges du Logiciel Médico Technique La procédure d
Plus en détailProduction d une protéine recombinante
99 Production d une protéine recombinante Lic. B. PIRSON Lic. J-M. SERONT ISICHt - Mons Production de la protéine recombinante GFP (Green Fluorescent Protein d Aequoria victoria) par une bactérie ( E.
Plus en détailObjectif 3 : Confinement et certification
Objectif 3 : Confinement et certification CONFINEMENT ET CERTIFICATION Principaux objectifs Indicateurs de réalisation Principales activités Certifier l éradication et le confinement de tous les poliovirus
Plus en détailIl est bien établi que le réseau d eau hospitalier peut
Les micro-organismes de l eau impliqués dans les infections nosocomiales Depuis 2001 chez Pall, en charge de l information scientifique et réglementaire dans les domaines d applications couverts par la
Plus en détailHépatite C une maladie silencieuse..
Hépatite C une maladie silencieuse.. F. Bally Centre de Maladies Infectieuses et Epidémiologie Institut Central des Hôpitaux Valaisans Histoire Années 70 Hépatite non-a-non-b = hépatite post-transfusionelle
Plus en détailGestion éthique des banques de recherche
Gestion éthique des banques de recherche Jean-Marie Therrien, Ph.D. Président du Comité d éthique de la recherche, CHU Sainte-Justine 30 octobre 2012 Plan Justification éthique et scientifique Principes
Plus en détailCritères pour les méthodes de quantification des résidus potentiellement allergéniques de protéines de collage dans le vin (OIV-Oeno 427-2010)
Méthode OIV- -MA-AS315-23 Type de méthode : critères Critères pour les méthodes de quantification des résidus potentiellement allergéniques de protéines de collage (OIV-Oeno 427-2010) 1 Définitions des
Plus en détailDOCUMENT DE TRAVAIL DES SERVICES DE LA COMMISSION RÉSUMÉ DE L ANALYSE D IMPACT. accompagnant la
COMMISSION EUROPÉENNE Bruxelles, le 4.10.2012 SWD(2012) 291 final DOCUMENT DE TRAVAIL DES SERVICES DE LA COMMISSION RÉSUMÉ DE L ANALYSE D IMPACT accompagnant la proposition de règlement du Parlement européen
Plus en détailProjet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer
DOCUMENT D INFORMATION POUR LES PROFESSIONNELS Projet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer Septembre 2009 DÉFINITION ET OBJECTIF Dès lors qu ils expriment un projet de
Plus en détailTITRE III PRÉVENTION DES RISQUES D'EXPOSITION AU BRUIT. CHAPITRE Ier Dispositions générales
Code du travail nouveau : TITRE III - PREVENTION DES RISQUES D'EXPOSITION AU BRUIT TITRE III PRÉVENTION DES RISQUES D'EXPOSITION AU BRUIT CHAPITRE Ier Dispositions générales SECTION 1 Définitions Art.
Plus en détail360 feedback «Benchmarks»
360 feedback «Benchmarks» La garantie d un coaching ciblé Pour préparer votre encadrement aux nouveaux rôles attendus des managers, Safran & Co vous propose un processus modulable, adapté aux réalités
Plus en détailévaluation des risques professionnels
évaluation des professionnels Inventaire des Etablissement : Faculté de Médecine Unité de travail : Laboratoire de Biochimie Médicale Année : 2013 Locaux Bureaux Salle de Microscopie Culture cellulaire
Plus en détailTD de Biochimie 4 : Coloration.
TD de Biochimie 4 : Coloration. Synthèse de l expérience 2 Les questions posées durant l expérience 2 Exposé sur les méthodes de coloration des molécules : Générique Spécifique Autres Questions Pourquoi
Plus en détailSERVICES DE SEQUENÇAGE
MARCH 16, 2014 SERVICES DE SEQUENÇAGE Centre d innovation Génome Québec et Université McGill Services de Validation et détection de SNP Technologie de Séquençage de Nouvelle Génération Guide de l utilisateur
Plus en détailβ-galactosidase A.2.1) à 37 C, en tampon phosphate de sodium 0,1 mol/l ph 7 plus 2-mercaptoéthanol 1 mmol/l et MgCl 2 1 mmol/l (tampon P)
bioch/enzymo/tp-betagal-initiation-michaelis.odt JF Perrin maj sept 2008-sept 2012 page 1/6 Etude de la β-galactosidase de E. Coli : mise en évidence d'un comportement Michaélien lors de l'hydrolyse du
Plus en détailTITRE : On est tous séropositif!
PRÉPARER UNE «SITUATION COMPLEXE DISCIPLINAIRE», SITUATION D APPRENTISSAGE ET/OU D ÉVALUATION TITRE : On est tous séropositif! classe : 3 ème durée : 30 min I - Choisir des objectifs dans les textes officiels.
Plus en détailPrévenir la colonisation par Campylobacter chez les poulets de chair. Dr. Wael Abdelrahman Consultant technique, Probiotiques volailles
Prévenir la colonisation par Campylobacter chez les poulets de chair Dr. Wael Abdelrahman Consultant technique, Probiotiques volailles Prévenir la colonisation par Campylobacter chez les poulets de chair
Plus en détailVaccinations. Actualités et perspectives
Vaccinations Actualités et perspectives Cet ouvrage présente les travaux du groupe d experts réunis par l Inserm dans le cadre de la procédure d expertise collective, pour répondre aux questions posées
Plus en détail1.1.2 : Indiquer la voie de pénétration du microorganisme
Situation n 2 : EN QUOI L EPIDEMIE DE CHIKUNGUNYA APPORTE T- ELLE DES CHANGEMENTS DANS NOTRE VIE QUOTIDIENNE? Séance n 1 : Le chikungunya Objectif : Prévenir le risque infectieux Tout d un coup, Adeline
Plus en détailActualités sur le Virus de l'hépatite C
CBP CHRU Lille Actualités sur le Virus de l'hépatite C 2.0 ANNE GOFFARD UNIVERSITÉ LILLE 2 DROIT ET SANTÉ FACULTÉ DES SCIENCES PHARMACEUTIQUES ET BIOLOGIQUES DE LILLE 2012 Table des matières I - Épidémiologie
Plus en détailLes souches VIH-1 et la pharmacorésistance primaire au Canada
Agence de santé publique du Canada Public Health Agency of Canada Les souches VIH-1 et la pharmacorésistance primaire au Canada Rapport de surveillance en date du 31 mars 2004 mai 2005 Les souches VIH-1
Plus en détailL hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015
L hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015 Objectifs de la présentation Décrire l évolution clinique et la prise en charge d
Plus en détailStreptocoque B :apports des tests en fin de grossesse, nouvelles propositions.
Streptocoque B :apports des tests en fin de grossesse, nouvelles propositions. Exemple d une étude prospective sur la place d un test de détection rapide du SGB. HONORAT Raphaële 1, ASSOULINE Corinne 1,
Plus en détailASSOCIATION MEDICALE MONDIALE DECLARATION D HELSINKI Principes éthiques applicables à la recherche médicale impliquant des êtres humains
ASSOCIATION MEDICALE MONDIALE DECLARATION D HELSINKI Principes éthiques applicables à la recherche médicale impliquant des êtres humains Adoptée par la 18e Assemblée générale de l AMM, Helsinki, Finlande,
Plus en détailTransgene accorde une option de licence exclusive pour le développement et la commercialisation de son produit d immunothérapie TG4010
Parc d Innovation d Illkirch, France, le 10 mars 2010 Transgene accorde une option de licence exclusive pour le développement et la commercialisation de son produit d immunothérapie TG4010 Transgene (Euronext
Plus en détailQUESTIONS FREQUEMMENT POSEES AUX EXPERTS DU SERVICE TELEPHONE VERT SIDA (800861061) ISTITUTO SUPERIORE DI SANITA
QUESTIONS FREQUEMMENT POSEES AUX EXPERTS DU SERVICE TELEPHONE VERT SIDA (800861061) ISTITUTO SUPERIORE DI SANITA INFORMATIONS SUR LE TEST DE DEPISTAGE Q. Quels examens médicaux doit-on faire pour détecter
Plus en détailEVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE. Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines
EVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines Juillet 2010 Mise à jour Septembre 2010 1 Le rapport complet
Plus en détailAvis de la COCQ-SIDA sur l essai Ipergay
Avis de la COCQ-SIDA sur l essai Ipergay L essai clinique Ipergay a pour but d évaluer l efficacité d un traitement antirétroviral «à la demande» en prophylaxie préexposition (PPrE) à une infection au
Plus en détailConduite à tenir devant une morsure de chien (213b) Professeur Jacques LEBEAU Novembre 2003 (Mise à jour mars 2005)
Conduite à tenir devant une morsure de chien (213b) Professeur Jacques LEBEAU Novembre 2003 (Mise à jour mars 2005) Pré-Requis : Anatomie faciale Principes de traitement des plaies Principes d'antibiothérapie
Plus en détailPour l'instant, les connaissances actuelles ne permettent pas d'empêcher un cancer du sein de survenir.
Dépistage Pour l'instant, les connaissances actuelles ne permettent pas d'empêcher un cancer du sein de survenir. Par contre, nous pouvons tenter de le dépister plus tôt afin d'avoir plus de chances de
Plus en détailINDICATEURS D ALERTE PRÉCOCE DE RÉSISTANCE DU VIH AUX ANTIRÉTROVIRAUX
INDICATEURS D ALERTE PRÉCOCE DE RÉSISTANCE DU VIH AUX ANTIRÉTROVIRAUX Indicateurs de l Organisation mondiale de la Santé pour surveiller la prévention de la résistance du VIH aux antirétroviraux sur les
Plus en détailUniversité Saint-Joseph
Université Saint-Joseph Faculté de pharmacie Actuellement, le métier de pharmacien est un métier polyvalent, ouvert à plusieurs activités dans le domaine de la santé individuelle et publique. Mis à part
Plus en détailMYRIAD. l ADN isolé n est à présent plus brevetable!
MYRIAD La Cour Suprême des Etats-Unis revient sur plus de 30 ans de pratique : l ADN isolé n est à présent plus brevetable! Mauvaise passe pour les inventions en biotechnologies sur le territoire américain.
Plus en détailMaster Développement et Immunologie
Master Développement et Immunologie MASTER 2 PROFESSIONNALISANT EN IMMUNOLOGIE Le Master 2 Professionnalisant en Immunologie propose aux étudiants des filières scientifiques et médicales une formation
Plus en détailMASTER (LMD) MANAGEMENT DE PROJET ET INNOVATION EN BIOTECHNOLOGIE
MASTER (LMD) MANAGEMENT DE PROJET ET INNOVATION EN BIOTECHNOLOGIE RÉSUMÉ DE LA FORMATION Type de diplôme : Master (LMD) Domaine ministériel : Sciences, Technologies, Santé Mention : BIOLOGIE SANTE Spécialité
Plus en détailInfection à CMV et allogreffe de cellules souches hématopoïétiques : Expérience du Centre National de Greffe de Moelle Osseuse, Tunis.
Infection à CMV et allogreffe de cellules souches hématopoïétiques : Expérience du Centre National de Greffe de Moelle Osseuse, Tunis. Tarek Ben Othman Congrès de la STPI, 24 avril 2009 Plan Introduction
Plus en détailTECHNIQUES D AVENIR LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING
TECHNIQUES D AVENIR Jonathan LONDNER, Aurélie HAUTIER Centre Régional de Traitement des Grands Brûlés Service de chirurgie Plastique, Hôpital de la Conception, Marseille. DIAGNOSTIC DÉTERSION BOURGEONNEMENT
Plus en détail