Exercices pratiques de communication

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Exercices pratiques de communication"

Transcription

1 Michel FUSTIER Exercices pratiques de communication à l usage du formateur Éditions d Organisation, 2004 ISBN : X

2 ex e r c ice n o 37 LES MOTS ET LES CHOSES (la trahison du message) Si je donne à mon voisin un objet précis, un marteau, un rasoir électrique, une guitare, etc., je lui envoie un message concret, indiscutable, objectif, stabilisé dans le temps, démontable, remontable, etc. Si je lui transmets une suite de mots, significatifs d une réalité, par exemple : la description d un marteau d un rasoir, d une guitare, je ne fais que lui communiquer un message flou, un nuage de caractéristiques qu il entend à sa manière et qui, de toute façon, trahissent l objet qu elles voudraient représenter. Le monde de l éducation est bien souvent le monde de la parole. Faute d objets concrets à manipuler et à comprendre par un contact physique intime, les enfants, dans des salles de classes principalement aménagées pour la transmission de la parole, sont plongés dans un océan de mots qui ne leur donnent de la réalité qu une image déformée, irritante, frustrante. Et ceci d autant plus que les adultes qui prononcent ces mots leur attribuent au contraire une valeur quasiment religieuse, les définissent avec respect, les transfor- Éditions d Organisation 303

3 Exercices pratiques de communication ment en absolus au cours d une sorte de «rituel d adoration du mot». Le drame du pédagogue est de ne pas disposer d autre chose que de mots pour mettre les élèves en contact avec la réalité. Il parle, parle, parle, mais aucune quantité de paroles ne peut remplacer le contact direct avec l événement. Comme le dit une célèbre (et oubliée) circulaire de l Education Nationale du XIX e siècle (Jules Ferry) : «C est la chose, non le maître, qui détient la vérité.» Lorsque dans un atelier le contremaître veut montrer au compagnon comment il faut usiner la pièce, il ne l inonde pas de mots, il dit : «Regarde, essaie.» Si nous essayons de cerner les raisons de cette trahison du réel par les mots, nous nous apercevons que : 1) les mots employés par l émetteur ne contiennent pas toute la situation décrite, 2) les mots entendus par le récepteur n ont pas la même signification que celle qui leur est donnée souvent confusément par l émetteur, 3) le récepteur est plus sensible à certains mots du message qu à d autres, 4) le récepteur reconstruit la situation décrite à sa manière, compte tenu de la latitude que lui laissent les mots. Pour peu que le message soit transmis plusieurs fois de suite, on imagine les déformations successives qu il subit. De ce phénomène relèvent les mésaventures de tous les modes d emploi et des processus opératoires des fabricants de machines ou d instruments (ordinateurs, machines à laver...), ou de tous les préceptes des moralistes qui essaient par des mots de transmettre des comportements. Les mots sont parcellaires et discontinus, alors que les comportements et les choses sont globaux et continus. 304 Éditions d Organisation

4 La vérité et l erreur : les mots et les choses L objectif de cet exercice est d introduire une certaine prudence dans la relation verbale : les mots n ont jamais de caractère définitif. Il doit également conduire à rendre les participants plus circonspects dans leur interprétation des messages de la vie quotidienne et plus précis dans la composition de ceux qu ils élaborent eux-mêmes. Comme toute leur vie est et sera tendue entre les messages qu ils donneront et ceux qu ils recevront (indications, instructions, revendications, missions, demandes de renseignements), ils feront ainsi une expérience décisive. Le réel La reconstitution du réel dans le flou inhérent au message Note On peut comparer le message verbal, imprécis, irréel, atomisé, à tel autre type de message transmis dans la nature. Par exemple : le code génétique. Si je transporte dans ma poche une graine de tilleul ou de cèdre, j ai sous un volume réduit la description définitive d une «usine» de transformation chimique d une complexité telle qu il n en existera jamais d artificielle et que si elle venait à exister, elle ne pourrait être décrite verbalement qu avec une imprécision à laquelle notre instinct et notre sens du continu devraient suppléer. Éditions d Organisation 305

5 Exercices pratiques de communication THÈMES DE L EXERCICE Il s agit donc de partir d un objet concret, de le décrire par des mots et d essayer ensuite de le reconstituer dans sa structure en se servant uniquement de la description verbale qui en a été faite. Pour que l exercice soit fécond, il faut que l objet concret ne soit pas déjà connu de celui qui essaie de le reconstituer à partir de sa description : car il le ferait, non seulement à partir de la description, mais en se servant de ses souvenirs. Par exemple, si je prends comme thème de transmission le croquis d une chaise, dès que le récepteur aura compris qu il s agit d une chaise, il ajoutera ses souvenirs à la description qui lui est faite et reconstituera la chaise de mémoire. Faute de pouvoir techniquement produire un objet matériel, on se servira de représentation graphique : L'objet concret Description de l'objet (le descripteur voit l'objet) mur Le récepteur reconstitue l'objet sans le voir??? 1) soit un dessin non figuratif et purement gratuit (quelques lignes géométriques dispersées sur une feuille) qu il faut à partir de la description verbale, reproduire sur une autre feuille, 306 Éditions d Organisation

6 La vérité et l erreur : les mots et les choses 2) soit le schéma d un appareil (par exemple de laboratoire ou d atelier) inconnu des auditeurs et dont on ne décrirait que les formes (la description des fonctions amènerait les auditeurs à reconstituer dans leur esprit l objet d après leurs souvenirs), 3) soit une gravure, ou un dessin, ou un tableau original... La description peut aussi concerner, non un schéma ou un dessin, mais un événement ou un comportement que les récepteurs devront reconstituer le plus fidèlement possible : une opération d une complexité moyenne (faire un nœud de marine, un mouvement de gymnastique, une cocotte en papier), un événement simple (une petite scène spontanée ou artificielle, un tableau vivant). Dans ce cas, l animateur divisera le groupe en deux sousgroupes : d un côté, ceux qui seront les observateurs et qui enregistreront fidèlement et le thème et la reconstitution proposée ; de l autre côté, ceux qui seront les récepteurs du message chargés de faire cette reconstitution. Entre les deux, se situera évidemment le descripteur. Note Cet exercice amènera peut-être à réfléchir sur le phénomène dans lequel un mot ou un ordre déclenche un événement (la charge de la cavalerie, l exécution d un concerto, la fabrication d un produit). Mais ces mots et ces ordres ne sont que des signaux et non des descriptions : ils seraient totalement inefficaces s il n y avait pas eu auparavant de longues périodes d entraînement ou d apprentissage de l acte à exécuter. Éditions d Organisation 307

7 Exercices pratiques de communication DÉROULEMENT DE L EXERCICE Première phase : le choix du thème L animateur choisit donc un thème d exercice adapté au but qu il poursuit et au temps dont il dispose. Il désigne ensuite ou fait désigner un descripteur et organise le groupe pour le bon déroulement de l exercice. Deuxième phase : recherche Le descripteur est chargé de présenter verbalement le thème à tous les membres du groupe qui reçoivent, eux, pour mission d en faire la reconstitution. Bien entendu, les récepteurs auront la permission pendant cet exercice de jouer les idiots et d interpréter le message transmis le plus littéralement possible sans chercher à comprendre l intention qui anime le descripteur. D autre part deux techniques sont possibles : 1) seul le descripteur parle, 2) le descripteur peut poser des questions, 3) les récepteurs peuvent poser des questions, 4) l échange verbal est général : questions et réponses dans les deux sens. Ceci permettra de prendre conscience de ce qu est un dispositif de pilotage en aveugle (on ne reçoit pas d informations sur ce qu on a dit) ou un dispositif avec des échanges qui permettront de mesurer la précision ou l inexactitude des ordres qu on a donnés. Cette partie de l exercice constituera ainsi une petite initiation au feed-back cybernétique. 308 Éditions d Organisation

8 La vérité et l erreur : les mots et les choses Troisième phase : examen critique Lorsque cette reconstitution sera achevée, on affichera et l original et toutes les réalisations, et on examinera les altérations subies par le message en soulignant qu elles naissent de deux phénomènes : 1) le descripteur n a pas été fidèle au sujet (il reste, dans bien des cas, approximatif et même inexact), 2) les récepteurs n ont pas compris le message de la même façon et l ont chacun reconstitué selon leur mode personnel. On peut aussi enregistrer la description verbale du descripteur et comparer après coup chaque dessin à cette description pour voir dans quelle mesure les récepteurs ont été conformes à ce qu ils ont entendu, ou dans quelle mesure ils ont ajouté de leur propre fonds des choses qui n étaient pas contenues dans le message. Quatrième phase : nouvelle tentative Après une première tentative, il sera intéressant de recommencer l exercice une ou plusieurs fois, en prenant un thème analogue au précédent. Instruits par l expérience, les descripteurs adopteront un langage de plus en plus précis et les réalisations des récepteurs se rapprocheront de plus en plus de la réalité. Ainsi se fera et s inscrira dans l esprit des participants une expérience décisive qui pourra, dans l avenir, leur épargner mille déboires. VARIANTE : Le groupe principal se divise en sous-groupes pour chacun desquels on désigne un descripteur. On peut alors faire une sorte de concours de sous-groupe à sous-groupe. On fait se succéder plusieurs descripteurs (dont aucun n a entendu ceux qui l ont précédé) et on demande aux récepteurs de réaliser plusieurs dessins successifs. On compare ensuite la qualité des messages et celle des réalisations. Éditions d Organisation 309

9 Exercices pratiques de communication héâtre héâtre On peut également confier à deux ou trois participants la tâche d être ensemble et en même temps le descripteur : c est une sorte d équipe de description. C est un spectacle toujours intéressant que de voir les interactions qui se produisent au sein d une équipe de ce type. On peut aussi diviser le groupe en deux sous-groupes, remettre à chaque sous-groupe un dessin du même type et de difficulté comparable et demander à chaque membre de l un et l autre sous-groupe de faire la description écrite (avec des mots) du dessin qu il a sous les yeux. Puis on remet ces descriptions aux membres de l autre sous-groupe et réciproquement, en leur demandant de reconstituer le dessin conformément aux descriptions qu ils ont sous les yeux. héâtre ADAPTATION AU MILIEU SCOLAIRE Cet exercice n offre aucune difficulté d adaptation. Il peut contribuer à affecter la formation scolaire de ce coefficient de doute qu elle oublie parfois de faire figurer en face de ses équations. 5-8 ans On adoptera des thèmes très simples. On en fera le prétexte d un exercice de langage et un entraînement à la topologie (en haut, en bas, à gauche, à droite). On peut donner à chaque enfant des jeux de matériel préfabriqué ans Les thèmes proposés pourront devenir plus complexes. L exercice de langage se doublera de l emploi d unités de mesure, de telle sorte qu on aboutisse à une véritable organisation de l espace. Il sera facile de développer l aspect compétition ans C est surtout sur l aspect philosophique de la communication et de ses difficultés qu on insistera. 310 Éditions d Organisation

CHARTE DES PROGRAMMES

CHARTE DES PROGRAMMES CHARTE DES PROGRAMMES Charte relative à l élaboration, à la mise en œuvre et au suivi des programmes d enseignement ainsi qu aux modalités d évaluation des élèves dans l enseignement scolaire CONSEIL SUPÉRIEUR

Plus en détail

LES CARTES À POINTS : POUR UNE MEILLEURE PERCEPTION

LES CARTES À POINTS : POUR UNE MEILLEURE PERCEPTION LES CARTES À POINTS : POUR UNE MEILLEURE PERCEPTION DES NOMBRES par Jean-Luc BREGEON professeur formateur à l IUFM d Auvergne LE PROBLÈME DE LA REPRÉSENTATION DES NOMBRES On ne conçoit pas un premier enseignement

Plus en détail

Le Dessin Technique.

Le Dessin Technique. Jardin-Nicolas Hervé cours 1 / 9. Modélisation et représentation d un objet technique. La modélisation et la représentation d un objet sont deux formes de langage permettant de définir complètement la

Plus en détail

Tout au long de l année

Tout au long de l année Objectifs Familiariser les élèves avec le relevé d informations sur un journal de bord. Apprendre aux élèves à utiliser des instruments d observation scientifiques. Réaliser des dessins d observations

Plus en détail

Un contrat de respect mutuel au collège

Un contrat de respect mutuel au collège Apprentissage du respect - Fiche outil 01 Un contrat de respect mutuel au collège Objectifs : Décrire une action coopérative amenant élèves et adultes à s interroger sur leurs propres comportements en

Plus en détail

PRÉSENTATION DE FRANÇOIS-MARIE MONNET. Aucun moteur de recherche, interrogé sur le tableau attribué à Jérôme Bosch et intitulé «l escamoteur»

PRÉSENTATION DE FRANÇOIS-MARIE MONNET. Aucun moteur de recherche, interrogé sur le tableau attribué à Jérôme Bosch et intitulé «l escamoteur» PRÉSENTATION DE FRANÇOIS-MARIE MONNET LA TRANSPARENCE EST-ELLE LA SOLUTION POUR RÉTABLIR LA CONFIANCE DANS LA FINANCE? Aucun moteur de recherche, interrogé sur le tableau attribué à Jérôme Bosch et intitulé

Plus en détail

Charte départementale Accueil et scolarisation des enfants de moins de trois ans

Charte départementale Accueil et scolarisation des enfants de moins de trois ans Charte départementale Accueil et scolarisation des enfants de moins de trois ans Page 1 Charte départementale Accueil et scolarisation des enfants de moins de trois ans Sommaire 1. Cadre institutionnel

Plus en détail

RÉSUMÉ DES NORMES ET MODALITÉS D ÉVALUATION AU SECONDAIRE

RÉSUMÉ DES NORMES ET MODALITÉS D ÉVALUATION AU SECONDAIRE , chemin de la côte Saint-Antoine Westmount, Québec, HY H7 Téléphone () 96-70 RÉSUMÉ DES NORMES ET MODALITÉS D ÉVALUATION AU SECONDAIRE À TRANSMETTRE AU PARENTS Année scolaire 0-0 Document adapté par Tammy

Plus en détail

Modalités d application de l article L 4113-6 du CSP après la parution du décret 2007-454 du 25 mars 2007

Modalités d application de l article L 4113-6 du CSP après la parution du décret 2007-454 du 25 mars 2007 24 mai 2007 MAJ du 11 septembre 2007 Modalités d application de l article L 4113-6 du CSP après la parution du décret 2007-454 du 25 mars 2007 La loi du 4 mars 2002 avait prévu les dispositions suivantes,

Plus en détail

Fiche d animation n 1 : Pêle-mêle

Fiche d animation n 1 : Pêle-mêle Fiche d animation n 1 : Pêle-mêle Cette animation permet au participants de découvrir les différents pièges du crédit à la consommation et plus particulièrement des ouvertures de crédit. Elle suscite également

Plus en détail

Données de catalogage avant publication (Éducation, Citoyenneté et Jeunesse Manitoba) ISBN 0-7711-3999-9

Données de catalogage avant publication (Éducation, Citoyenneté et Jeunesse Manitoba) ISBN 0-7711-3999-9 Données de catalogage avant publication (Éducation, Citoyenneté et Jeunesse Manitoba) 371.9 Un travail collectif : Renseignements aux parents d élèves ayant des besoins spéciaux ISBN 0-7711-3999-9 1. Éducation

Plus en détail

FICHE S PEDAGOGIQUE S. Bilan personnel et professionnel Recherche active d emploi

FICHE S PEDAGOGIQUE S. Bilan personnel et professionnel Recherche active d emploi FICHE S PEDAGOGIQUE S Bilan personnel et professionnel Recherche active d emploi 2 TABLE DES MATIERES PREMIERE PHASE : BILAN 1. Organisation de la phase de bilan 5 2. Fiches relatives à l'expression orale

Plus en détail

Le livret des réponses

Le livret des réponses Le livret des réponses Achat 1 Avant de dépenser tout ton argent, il faut réfléchir aux conséquences de cet achat. Auras-tu besoin d argent pour faire d autres activités dans les semaines qui viennent,

Plus en détail

Principe et règles d audit

Principe et règles d audit CHAPITRE 2 Principe et règles d audit 2.1. Principe d audit Le principe et les règles d audit suivent logiquement l exposé précédent. D abord, comme dans toute branche de l activité d une entreprise, l

Plus en détail

To buzz or not to buzz?

To buzz or not to buzz? Georges CHÉTOCHINE To buzz or not to buzz? Comment lancer une campagne de buzz marketing Groupe Eyrolles, 2007 ISBN : 978-2-212-53812-0 CHAPITRE 5 Recruter, former, animer les évangélistes Les vecteurs

Plus en détail

Foire aux questions Documents mentionnés dans la liste de vérification

Foire aux questions Documents mentionnés dans la liste de vérification Foire aux questions Documents mentionnés dans la liste de vérification Questions 1) Quelle longueur doit avoir la lettre d accompagnement et quel doit être son contenu? 2) Pouvez-vous m envoyer un exemple

Plus en détail

Règles de bonne conduite applicables à toutes les villes désireuses d obtenir l organisation des Jeux Olympiques. Article 1 : CHAMP D APPLICATION

Règles de bonne conduite applicables à toutes les villes désireuses d obtenir l organisation des Jeux Olympiques. Article 1 : CHAMP D APPLICATION Règles de bonne conduite applicables à toutes les villes désireuses d obtenir l organisation des Jeux Olympiques Texte adopté par la commission exécutive du CIO, Lausanne, 7 février 2007 Article 1 : CHAMP

Plus en détail

6 ème FONCTIONS. Pratiquer une démarche scientifique et technologique. Capacités

6 ème FONCTIONS. Pratiquer une démarche scientifique et technologique. Capacités 6 ème FONCTIONS Les exercices de ce chapitre permettent de travailler des compétences scientifiques du socle commun. Pratiquer une démarche scientifique et technologique Capacités Rechercher, extraire

Plus en détail

Emailing Pro : Analyse & Understand your results PAGE 0

Emailing Pro : Analyse & Understand your results PAGE 0 Emailing Pro : Analyse & Understand your results PAGE 0 Les outils d analyse. Les différents rapports. Dès que votre première campagne sera envoyée, vous pourrez accéder aux résultats de celle-ci à travers

Plus en détail

MATHÉMATIQUES. Les préalables pour l algèbre MAT-P020-1 DÉFINITION DU DOMAINE D EXAMEN

MATHÉMATIQUES. Les préalables pour l algèbre MAT-P020-1 DÉFINITION DU DOMAINE D EXAMEN MATHÉMATIQUES Les préalables pour l algèbre MAT-P020-1 DÉFINITION DU DOMAINE D EXAMEN Mars 2001 MATHÉMATIQUES Les préalables pour l algèbre MAT-P020-1 DÉFINITION DU DOMAINE D EXAMEN Mars 2001 Direction

Plus en détail

SmartClass+ Plateforme de gestion de classe. Qu importe le lieu, le moment, l appareil. ipad, Mac Android Windows Téléphones intelligents «AVEC»

SmartClass+ Plateforme de gestion de classe. Qu importe le lieu, le moment, l appareil. ipad, Mac Android Windows Téléphones intelligents «AVEC» SmartClass+ Plateforme de gestion de classe Qu importe le lieu, le moment, l appareil ipad, Mac Android Windows Téléphones intelligents «AVEC» La classe du XXI e siècle, à l ère du numérique La technologie

Plus en détail

Alphabétisation et formation de base. Directives : Sondage sur la satisfaction des apprenantes et des apprenants à la fin de l année 2011-2012

Alphabétisation et formation de base. Directives : Sondage sur la satisfaction des apprenantes et des apprenants à la fin de l année 2011-2012 Alphabétisation et formation de base Directives : Sondage sur la satisfaction des apprenantes et des apprenants à la fin de l année 2011-2012 À quoi sert le sondage sur la satisfaction des apprenantes

Plus en détail

Peut-on faire confiance à une personne démente? olivier.drunat@brt.aphp.fr

Peut-on faire confiance à une personne démente? olivier.drunat@brt.aphp.fr Peut-on faire confiance à une personne démente? olivier.drunat@brt.aphp.fr Actualités en Médecine Gériatrique, Paris 17 juin 2015 Conflit d intérêt Remerciements au Dr O. Faraldi Une réponse triviale?

Plus en détail

ASSURER DES FORMATIONS DE QUALITE: Quelques pistes l expérience d UPLiFT, partenaire d Inter Aide à Manille, Philippines (anciennement appelé NBA)

ASSURER DES FORMATIONS DE QUALITE: Quelques pistes l expérience d UPLiFT, partenaire d Inter Aide à Manille, Philippines (anciennement appelé NBA) ASSURER DES FORMATIONS DE QUALITE: Quelques pistes l expérience d UPLiFT, partenaire d Inter Aide à Manille, Philippines (anciennement appelé NBA) Paul Hibon * Donner aux bénéficiaires envie d acquérir

Plus en détail

NOM : Prénom : Date de naissance : Ecole : CM2 Palier 2

NOM : Prénom : Date de naissance : Ecole : CM2 Palier 2 NOM : Prénom : Date de naissance : Ecole : CM2 Palier 2 Résultats aux évaluations nationales CM2 Annexe 1 Résultats de l élève Compétence validée Lire / Ecrire / Vocabulaire / Grammaire / Orthographe /

Plus en détail

Formation Conseil - Recrutement

Formation Conseil - Recrutement Gobbelsrode 42, 3220 HOLSBEEK. Tél: 016/62.35.22 info@amvr.be www.amvr.be Formation Conseil - Recrutement Formation Points de départ : Notre objectif principal est de contribuer au succès de votre entreprise.

Plus en détail

Évaluation de Reading, de la lecture et des notions de calcul des élèves de 3 e année et évaluation de la lecture des élèves de 4 e année d immersion

Évaluation de Reading, de la lecture et des notions de calcul des élèves de 3 e année et évaluation de la lecture des élèves de 4 e année d immersion Évaluation de Reading, de la lecture et des notions de calcul des élèves de 3 e année et évaluation de la lecture des élèves de 4 e année d immersion française É VALUATION DE R EADING, DE LA LECTURE ET

Plus en détail

REGLEMENT INTERIEUR Pour les enfants et leurs parents

REGLEMENT INTERIEUR Pour les enfants et leurs parents REGLEMENT INTERIEUR Pour les enfants et leurs parents de la RESTAURATION SCOLAIRE MATERNELLE/ELEMENTAIRE Direction de l Education, de l Enfance et de la Réussite Educative Approuvé au Conseil Municipal

Plus en détail

le cycle de certification des écoécoles émérites (ccee)

le cycle de certification des écoécoles émérites (ccee) le cycle de certification des écoécoles émérites (ccee) Qu est-ce que le cycle de certification des ÉcoÉcoles émérites? Le CCEE est un cycle de certification de deux ans, soit une année d engagement et

Plus en détail

Temps forts départementaux. Le calcul au cycle 2 Technique opératoire La soustraction

Temps forts départementaux. Le calcul au cycle 2 Technique opératoire La soustraction Temps forts départementaux Le calcul au cycle 2 Technique opératoire La soustraction Calcul au cycle 2 La soustraction fait partie du champ opératoire additif D un point de vue strictement mathématique,

Plus en détail

Simulation en santé. Outil de gestion des risques. Avril 2014. Dr MC Moll 1

Simulation en santé. Outil de gestion des risques. Avril 2014. Dr MC Moll 1 C E N T R E H O S P I T A L I E R U N I V E R S I T A I R E D ' A N G E R S Simulation en santé Outil de gestion des risques 1 La Simulation : définition 2 Le terme «simulation en santé» correspond à l

Plus en détail

Annexe I b. Référentiel de certification

Annexe I b. Référentiel de certification Annexe I b Référentiel de certification Page 15 sur 45 CORRESPONDANCE ENTRE ACTIVITÉS ET COMPÉTENCES ACTIVITÉS ET TÂCHES A1. S ORGANISER, S INTEGRER à une EQUIPE A1-T1 Préparer son intervention et/ou la

Plus en détail

PLAN DE LEÇON TITRE : Qu est-ce que le crédit? Résultats d apprentissage de la littératie financière. Attentes et contenus d apprentissage

PLAN DE LEÇON TITRE : Qu est-ce que le crédit? Résultats d apprentissage de la littératie financière. Attentes et contenus d apprentissage 70 minutes Résultats d apprentissage de la littératie financière À la fin de la leçon, les élèves pourront : expliquer l objectif du crédit; analyser le rôle et l importance du crédit en ce qui concerne

Plus en détail

Synthèse «Le Plus Grand Produit»

Synthèse «Le Plus Grand Produit» Introduction et Objectifs Synthèse «Le Plus Grand Produit» Le document suivant est extrait d un ensemble de ressources plus vastes construites par un groupe de recherche INRP-IREM-IUFM-LEPS. La problématique

Plus en détail

GUIDE DE L ENSEIGNANT

GUIDE DE L ENSEIGNANT Au ménage! GUIDE DE L ENSEIGNANT 2010-2011 -1- Description de la situation d apprentissage Préparation Activité 1 À leur entrée en classe, les élèves découvrent quatre bouteilles sur le bureau de l enseignante

Plus en détail

GUIDE POUR AGIR. Comment RÉALISER. un bon C.V. J ORGANISE MA RECHERCHE. Avec le soutien du Fonds social européen

GUIDE POUR AGIR. Comment RÉALISER. un bon C.V. J ORGANISE MA RECHERCHE. Avec le soutien du Fonds social européen GUIDE POUR AGIR Comment RÉALISER un bon C.V. J ORGANISE MA RECHERCHE Avec le soutien du Fonds social européen Comment rédiger un C.V.? Vous démarrez votre recherche d emploi? Vous voulez mettre toutes

Plus en détail

ECOLE SUPERIEURE DE L EDUCATION NATIONALE

ECOLE SUPERIEURE DE L EDUCATION NATIONALE ECOLE SUPERIEURE DE L EDUCATION NATIONALE Formation des Chefs d Etablissement d Affectation Management adaptatif et délégations Support participants SOMMAIRE La formation dans son contexte p.3 Les facteurs

Plus en détail

Syllabus du cours de musique. Maternelle. enseigné par Joël Chiasson

Syllabus du cours de musique. Maternelle. enseigné par Joël Chiasson Syllabus du cours de musique Maternelle enseigné par Joël Chiasson DESCRIPTION DU COURS Le programme de musique permet aux élèves d explorer leurs idées, leurs expériences et leurs émotions et de développer

Plus en détail

Méthode universitaire du commentaire de texte

Méthode universitaire du commentaire de texte Méthode universitaire du commentaire de texte Baptiste Mélès Novembre 2014 L objectif du commentaire de texte est de décrire la structure argumentative et de mettre au jour les concepts qui permettent

Plus en détail

COMMENT PARLER DES LIVRES QUE L ON N A PAS LUS?

COMMENT PARLER DES LIVRES QUE L ON N A PAS LUS? Né dans un milieu où on lisait peu, ne goûtant guère cette activité et n ayant de toute manière pas le temps de m y consacrer, je me suis fréquemment retrouvé, suite à ces concours de circonstances dont

Plus en détail

Édition : La Direction des communications du ministère de la Santé et des Services sociaux

Édition : La Direction des communications du ministère de la Santé et des Services sociaux Planification, performance et qualité Guide d élaboration des cadres de gestion des banques de données et de matériel biologique constituées à des fins de recherche Unité de l Éthique Octobre 2012 Rédaction

Plus en détail

Ordonner les étapes «Voitures en circulation»

Ordonner les étapes «Voitures en circulation» «Voitures en circulation» 17-21 Niveau 2 Entraînement 1 Objectifs - S entraîner à décomposer une action. - S entraîner à anticiper une action. - S entraîner à ordonner une suite de mouvements dans l ordre

Plus en détail

Qu est-ce que le crédit?

Qu est-ce que le crédit? Qu est-ce que le crédit? NIVEAU 9 11 Dans cette leçon, les élèves examineront les différents types de cartes de crédit offertes ainsi que les avantages et les inconvénients d acheter à crédit. Cours Initiation

Plus en détail

Interprétation de la norme ISO 9001 au regard de la philosophie de Deming

Interprétation de la norme ISO 9001 au regard de la philosophie de Deming Interprétation de la norme ISO 9001 au regard de la philosophie de Deming Conférence de Jean-Marie Gogue Le terme assurance de la qualité est apparu aux Etats-Unis après la seconde guerre mondiale. Il

Plus en détail

L'EPS à l'école primaire aucune modification des programmes

L'EPS à l'école primaire aucune modification des programmes L'EPS à l'école primaire aucune modification des programmes Les 3 objectifs sont poursuivis aussi bien à l'école maternelle, qu'à l école primaire MATERNELLE * Favoriser la construction des actions motrices

Plus en détail

Cahier des charges pour le tutorat d un professeur du second degré

Cahier des charges pour le tutorat d un professeur du second degré Cahier des charges pour le tutorat d un professeur du second degré Référence : Circulaire n 2010-037 du 25 février 2010 relative au dispositif d'accueil, d'accompagnement et de formation des enseignants

Plus en détail

DISTINGUER LE TRAVAIL RÉMUNÉRÉ DU TRAVAIL NON RÉMUNÉRÉ

DISTINGUER LE TRAVAIL RÉMUNÉRÉ DU TRAVAIL NON RÉMUNÉRÉ Activités éducatives pour les élèves de 8 à 9 ans DISTINGUER LE TRAVAIL RÉMUNÉRÉ DU TRAVAIL NON RÉMUNÉRÉ NIVEAU : PRIMAIRE GROUPE D ÂGE : ÉLÈVES DE 8 À 9 ANS SOMMAIRE DE L ACTIVITÉ Les élèves font la différence

Plus en détail

LE RÔLE DE LA STATISTIQUE DANS UN PROCESSUS DE PRISE DE DÉCISION

LE RÔLE DE LA STATISTIQUE DANS UN PROCESSUS DE PRISE DE DÉCISION LE RÔLE DE LA STATISTIQUE DANS UN PROCESSUS DE PRISE DE DÉCISION Sylvie Gervais Service des enseignements généraux École de technologie supérieure (sylvie.gervais@etsmtl.ca) Le laboratoire des condensateurs

Plus en détail

«PLACE DES PARENTS DANS l ESPACE NUMERIQUE DE TRAVAIL» BROUIL

«PLACE DES PARENTS DANS l ESPACE NUMERIQUE DE TRAVAIL» BROUIL «PLACE DES PARENTS DANS l ESPACE NUMERIQUE DE TRAVAIL» Juin 2013 Introduction : Les parents sont parmi les principaux bénéficiaires de Paris classe numérique. Grâce à ce nouvel outil, la communication

Plus en détail

Guide. Règles sur les cartes professionnelles et les autres représentations. Pour communiquer avec votre clientèle dans le respect de vos obligations

Guide. Règles sur les cartes professionnelles et les autres représentations. Pour communiquer avec votre clientèle dans le respect de vos obligations Guide Règles sur les cartes professionnelles et les autres représentations Pour communiquer avec votre clientèle dans le respect de vos obligations Ce guide remplace celui intitulé Les Règles pour les

Plus en détail

REGLEMENT DU JEU-CONCOURS ANCV CLIENTS JEU GRATUIT ET SANS OBLIGATION D ACHAT

REGLEMENT DU JEU-CONCOURS ANCV CLIENTS JEU GRATUIT ET SANS OBLIGATION D ACHAT REGLEMENT DU JEU-CONCOURS ANCV CLIENTS JEU GRATUIT ET SANS OBLIGATION D ACHAT ARTICLE 1 L Agence Nationale pour les Chèques-Vacances (ci-après «ANCV»), établissement public à caractère industriel et commercial,

Plus en détail

Degré de confiance pour les indicateurs de performance : degré de fiabilité du processus de production et écart significatif 1

Degré de confiance pour les indicateurs de performance : degré de fiabilité du processus de production et écart significatif 1 Degré de confiance pour les indicateurs de performance : degré de fiabilité du processus de production et écart significatif 1 L utilisation des indicateurs de performance ne peut se faire de manière pertinente

Plus en détail

Misereor a-t-elle besoin «d études de base»? Document d information à l intention des partenaires

Misereor a-t-elle besoin «d études de base»? Document d information à l intention des partenaires Misereor a-t-elle besoin «d études de base»? Document d information à l intention des partenaires Texte allemand : EQM/Misereor, janvier 2012 Traduction : Service des langues de MISEROR, mars 2012 Ce document

Plus en détail

Volume 2 Guide d ouverture et de gestion de compte

Volume 2 Guide d ouverture et de gestion de compte Volume 2 Guide d ouverture et de gestion de compte CITSS Système de suivi des droits d émission (Compliance Instrument Tracking System Service) Mars 2013 Table des matières 1.0 Introduction... 6 1.1 Volume

Plus en détail

IFT785 Approches Orientées Objets. FINAL Été 2002. Remise : Jeudi 19 août 2002 à 9h00 am

IFT785 Approches Orientées Objets. FINAL Été 2002. Remise : Jeudi 19 août 2002 à 9h00 am IFT785 Approches Orientées Objets FINAL Été 2002 2 e session d examen Début : Lundi 16 septembre 2002 à 9h00 am Remise : Jeudi 19 août 2002 à 9h00 am Professeur : Sylvain GIROUX Note : /100 points Remarques

Plus en détail

CRÉER UN COURS EN LIGNE

CRÉER UN COURS EN LIGNE Anne DELABY CRÉER UN COURS EN LIGNE Deuxième édition, 2006, 2008 ISBN : 978-2-212-54153-3 2 Que recouvre le concept d interactivité? Dans une perspective de cours en ligne, une activité interactive est

Plus en détail

La légalité du «marketing viral»

La légalité du «marketing viral» SERVICE PUBLIC FÉDÉRAL ÉCONOMIE, PME, CLASSES MOYENNES ET ÉNERGIE Direction générale Régulation et Organisation du Marché Cellule Economie électronique La légalité du «marketing viral» Septembre 2005 1

Plus en détail

Eléments de présentation du projet de socle commun de connaissances, de compétences et de culture par le Conseil supérieur des programmes

Eléments de présentation du projet de socle commun de connaissances, de compétences et de culture par le Conseil supérieur des programmes Eléments de présentation du projet de socle commun de connaissances, de compétences et de culture par le Conseil supérieur des programmes Le projet de socle de connaissances, de compétences et de culture,

Plus en détail

Entraînement, consolidation, structuration... Que mettre derrière ces expressions?

Entraînement, consolidation, structuration... Que mettre derrière ces expressions? Entraînement, consolidation, structuration... Que mettre derrière ces expressions? Il est clair que la finalité principale d une démarche d investigation est de faire acquérir des connaissances aux élèves.

Plus en détail

SOCLE COMMUN - La Compétence 3 Les principaux éléments de mathématiques et la culture scientifique et technologique

SOCLE COMMUN - La Compétence 3 Les principaux éléments de mathématiques et la culture scientifique et technologique SOCLE COMMUN - La Compétence 3 Les principaux éléments de mathématiques et la culture scientifique et technologique DOMAINE P3.C3.D1. Pratiquer une démarche scientifique et technologique, résoudre des

Plus en détail

Système d autorisation de mise en circulation de lots du CBER : vue d ensemble du processus actuel

Système d autorisation de mise en circulation de lots du CBER : vue d ensemble du processus actuel Système d autorisation de mise en circulation de lots du CBER : vue d ensemble du processus actuel DIAPOSITIVE 1 Cette présentation a trait au système d autorisation de mise en circulation de lots du CBER.

Plus en détail

ECOLE SAINTE ANNE PROJET PEDAGOGIQUE ECOLE PRIMAIRE CATHOLIQUE HORS CONTRAT

ECOLE SAINTE ANNE PROJET PEDAGOGIQUE ECOLE PRIMAIRE CATHOLIQUE HORS CONTRAT ECOLE SAINTE ANNE PROJET PEDAGOGIQUE ECOLE PRIMAIRE CATHOLIQUE HORS CONTRAT L école Sainte-Anne a été fondée dans le souci de transmettre à nos enfants un enseignement complet intégrant l intelligence

Plus en détail

ils entretiennent entre eux des flux, ils partagent des perceptions sur l environnement

ils entretiennent entre eux des flux, ils partagent des perceptions sur l environnement Les modèles de Flux Introduction L analyse systémique fournie une modélisation de l organisation échangeant et transformant des flux Cette modélisation du S.I. reste trop générale Il faut découper l organisation

Plus en détail

Le CPAS (Centre Public d Action Sociale), qu est-ce que c est?

Le CPAS (Centre Public d Action Sociale), qu est-ce que c est? Le CPAS (Centre Public d Action Sociale), qu est-ce que c est? Version n : 1 Dernière actualisation : 13-10-2006 1) A quoi sert cette fiche? 2) Qu est-ce qu un CPAS (Centre Public d Action Sociale)? 3)

Plus en détail

Les bonnes pratiques pour les travaux scolaires à la maison

Les bonnes pratiques pour les travaux scolaires à la maison D après LES DEVOIRS ET LES LEÇONS de Marie-Claude Béliveau 1 1 Rappels et définitions. Officiellement, les devoirs à la maison sont interdits depuis 1956 2 à l école primaire mais leur pratique reste très

Plus en détail

Le VIGOR L inventaire des victimes de leurs objectifs, options et risques

Le VIGOR L inventaire des victimes de leurs objectifs, options et risques Le VIGOR L inventaire des victimes de leurs objectifs, options et risques Un outil de planification de la sécurité pour aider les personnes victimes de violence à évaluer les risques et décider comment

Plus en détail

Le graphisme et l écriture, en lien avec les apprentissages en maternelle

Le graphisme et l écriture, en lien avec les apprentissages en maternelle Le graphisme et l écriture, en lien avec les apprentissages en maternelle Conférence de Marie-Thérèse Zerbato-Poudou : Les apprentissages à l école maternelle 12 novembre 2008, St Etienne de St Geoirs

Plus en détail

TABLEAU DE BORD : SYSTEME D INFORMATION ET OUTIL DE PILOTAGE DE LA PERFOMANCE

TABLEAU DE BORD : SYSTEME D INFORMATION ET OUTIL DE PILOTAGE DE LA PERFOMANCE TABLEAU DE BORD : SYSTEME D INFORMATION ET OUTIL DE PILOTAGE DE LA PERFOMANCE INTRODUCTION GENERALE La situation concurrentielle des dernières années a confronté les entreprises à des problèmes économiques.

Plus en détail

Tombez en amour avec Charlie Brown et les

Tombez en amour avec Charlie Brown et les Tombez en amour avec Charlie Brown et les! Chère enseignante/cher enseignant, Vous connaissez et aimez fort probablement déjà les personnages intemporels de la bande de Peanuts. La bande dessinée la plus

Plus en détail

la certification professionnelle du ministère chargé de l emploi Notice technique pour l organisation et la mise en œuvre des sessions de validation

la certification professionnelle du ministère chargé de l emploi Notice technique pour l organisation et la mise en œuvre des sessions de validation certification la certification professionnelle du ministère chargé de l emploi Notice technique pour l organisation et la mise en œuvre des sessions de validation En application de l arrêté du 9/03/2006

Plus en détail

Document d aide au suivi scolaire

Document d aide au suivi scolaire Document d aide au suivi scolaire Ecoles Famille Le lien Enfant D une école à l autre «Enfants du voyage et de familles non sédentaires» Nom :... Prénom(s) :... Date de naissance :... Ce document garde

Plus en détail

40 minutes. Attente Vie active Participer à une variété d activités physiques dans le but d être une personne active tout au long de sa vie.

40 minutes. Attente Vie active Participer à une variété d activités physiques dans le but d être une personne active tout au long de sa vie. Vite à la banque! Niveau 4 Dans la présente leçon, les élèves participeront à une activité physique visant à simuler le concept d épargner de l argent en le déposant à la banque. Ce jeu vise également

Plus en détail

BABEL LEXIS : UN SYSTÈME ÉVOLUTIF PERMETTANT LA CRÉATION, LE STOCKAGE ET LA CONSULTATION D OBJETS HYPERMÉDIAS

BABEL LEXIS : UN SYSTÈME ÉVOLUTIF PERMETTANT LA CRÉATION, LE STOCKAGE ET LA CONSULTATION D OBJETS HYPERMÉDIAS Quatrième colloque hypermédias et apprentissages 275 BABEL LEXIS : UN SYSTÈME ÉVOLUTIF PERMETTANT LA CRÉATION, LE STOCKAGE ET LA CONSULTATION D OBJETS HYPERMÉDIAS Anne-Olivia LE CORNEC, Jean-Marc FARINONE,

Plus en détail

ANNEXE 4. Réaliser un diagnostic de sécurité Principales méthodes de collecte d information. (Module 3, partie I, section 2.5)

ANNEXE 4. Réaliser un diagnostic de sécurité Principales méthodes de collecte d information. (Module 3, partie I, section 2.5) ANNEXE 4 Réaliser un diagnostic de sécurité Principales méthodes de collecte d information (Module 3, partie I, section 2.5) Dans les pages qui suivent, nous présentons neuf méthodes de collecte d information.

Plus en détail

Guide pour aider à l évaluation des actions de formation

Guide pour aider à l évaluation des actions de formation Guide pour aider à l évaluation des actions de formation Pourquoi évaluer? L évaluation constitue la dernière étape du service d ingénierie que le conseiller de l AGEFOS PME Bretagne peut apporter à l

Plus en détail

Manuel d utilisation 26 juin 2011. 1 Tâche à effectuer : écrire un algorithme 2

Manuel d utilisation 26 juin 2011. 1 Tâche à effectuer : écrire un algorithme 2 éducalgo Manuel d utilisation 26 juin 2011 Table des matières 1 Tâche à effectuer : écrire un algorithme 2 2 Comment écrire un algorithme? 3 2.1 Avec quoi écrit-on? Avec les boutons d écriture........

Plus en détail

Organisation de dispositifs pour tous les apprenants : la question de l'évaluation inclusive

Organisation de dispositifs pour tous les apprenants : la question de l'évaluation inclusive Organisation de dispositifs pour tous les apprenants : la question de l'évaluation inclusive Transcription et traduction de la communication de Verity DONNELLY colloque Éducation inclusive, la question

Plus en détail

Premiers Pas avec OneNote 2013

Premiers Pas avec OneNote 2013 Premiers Pas avec OneNote 2 Présentation de OneNote 3 Ouverture du logiciel OneNote 4 Sous Windows 8 4 Sous Windows 7 4 Création de l espace de travail OneNote 5 Introduction 5 Présentation des différentes

Plus en détail

Projet BI powered de la société «BI experts»

Projet BI powered de la société «BI experts» Projet BI powered de la société «BI experts» Le sujet L objectif général du projet BI powered est la création d une chaîne décisionnelle, permettant d aider des utilisateurs à accéder (et analyser) des

Plus en détail

INTRODUCTION AUX TECHNOLOGIES D INGENIERIE DES DONNEES DIRIGEE PAR LES MODELES

INTRODUCTION AUX TECHNOLOGIES D INGENIERIE DES DONNEES DIRIGEE PAR LES MODELES INTRODUCTION AUX TECHNOLOGIES D INGENIERIE DES DONNEES DIRIGEE PAR LES MODELES Les contenus de ce document sont la propriété exclusive de la société REVER. Ils ne sont transmis qu à titre d information

Plus en détail

Dossier Pédagogique Mercredis du Pass Âge (11-14 ans) 2014-2015

Dossier Pédagogique Mercredis du Pass Âge (11-14 ans) 2014-2015 Maison de l Enfance et de la Jeunesse 2 route de Keroumen 29480 Le Relecq Kerhuon 02 98.28.38.38 02.98.28.41.11 E-Mail : mej@mairie-relecq-kerhuon.fr Dossier Pédagogique Mercredis du Pass Âge (11-14 ans)

Plus en détail

Subordonnée circonstancielle de temps

Subordonnée circonstancielle de temps DE MATÉRIEL TEMPS POUR ALLOPHONES 1 Notion de phrase Subordonnée circonstancielle de temps La subordonnée circonstancielle de temps sert à situer l action dans le temps. Elle peut exprimer : la simultanéité

Plus en détail

Ligne directrice du cours menant à une qualification additionnelle. Musique instrumentale (deuxième partie)

Ligne directrice du cours menant à une qualification additionnelle. Musique instrumentale (deuxième partie) Ligne directrice du cours menant à une qualification additionnelle Musique instrumentale (deuxième partie) Annexe D Règlement 184/97 Qualifications requises pour enseigner Mai 2005 This document is available

Plus en détail

ESSOURCES PÉDAGOGIQUES

ESSOURCES PÉDAGOGIQUES 2015 MATERNELLES CYCLE I / PS - MS ESSOURCES PÉDAGOGIQUES Introduction Je découvre par les sens MODULES À DÉCOUVRIR PENDANT LA VISITE La Cité des enfants de Vulcania est un lieu d éveil, de découvertes

Plus en détail

JEU VIDEO : UN NOUVEAU COMPAGNON par Colette KELLER-DIDIER

JEU VIDEO : UN NOUVEAU COMPAGNON par Colette KELLER-DIDIER JEU VIDEO : UN NOUVEAU COMPAGNON par Colette KELLER-DIDIER JEU VIDEO : UN NOUVEAU COMPAGNON par Colette KELLER-DIDIER ALS (séance du 11 mai 2003) 48 Jeu video : un nouveau compagnon (Colette KELLER-DIDIER)

Plus en détail

La prématernelle La Boîte à Surprises (École La Mission) 46 Heritage Drive Saint-Albert, AB T8N 7J5 Tél: (780) 459-9568 lm@centrenord.ab.

La prématernelle La Boîte à Surprises (École La Mission) 46 Heritage Drive Saint-Albert, AB T8N 7J5 Tél: (780) 459-9568 lm@centrenord.ab. La prématernelle La Boîte à Surprises (École La Mission) 46 Heritage Drive Saint-Albert, AB T8N 7J5 Tél: (780) 459-9568 lm@centrenord.ab.ca Complément du formulaire d inscription 2015-2016 Ce formulaire

Plus en détail

Art. 18 Championnat de Belgique par équipes Messieurs, Dames et Vétérans

Art. 18 Championnat de Belgique par équipes Messieurs, Dames et Vétérans Fédération de Squash belge asbl Vorselaarsebaan 64 2200 Herentals Tel. +32 (0)14 85 96 00 tine@vsf.be www.belgiansquash.be BTW BE 0414.528.807 Banque : BE16 3101 1516 6974 Art. 18 Championnat de Belgique

Plus en détail

Petits et grands venez participer à notre concours et proposer votre dessin qui deviendra peut-être la future mascotte du projet Domaine Nature!

Petits et grands venez participer à notre concours et proposer votre dessin qui deviendra peut-être la future mascotte du projet Domaine Nature! Cette année, l association Domaine Nature a besoin de vos talents! Petits et grands venez participer à notre concours et proposer votre dessin qui deviendra peut-être la future mascotte du projet Domaine

Plus en détail

Décrets, arrêtés, circulaires

Décrets, arrêtés, circulaires Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DES FINANCES ET DES COMPTES PUBLICS Décret n o 2014-444 du 29 avril 2014 relatif au fonds de soutien aux collectivités territoriales et à certains

Plus en détail

Est-ce que les parents ont toujours raison? Épisode 49

Est-ce que les parents ont toujours raison? Épisode 49 Est-ce que les parents ont toujours raison? Épisode 49 Fiche pédagogique Le thème du 49 e épisode dirige l attention sur une question fondamentale lorsqu il s agit de développer la pensée des enfants,

Plus en détail

Quand vous ne. Pourrez. plus gérer vos affaires, qui le fera?

Quand vous ne. Pourrez. plus gérer vos affaires, qui le fera? Pourrez Quand vous ne plus gérer vos affaires, qui le fera? Le Service public d éducation et d information juridiques du Nouveau-Brunswick (SPEIJ-NB) est un organisme à but non lucratif. Il a pour but

Plus en détail

PROJET MULTIMEDIA 2005/2006

PROJET MULTIMEDIA 2005/2006 PROJET MULTIMEDIA 2005/2006 Projet : Mise en page d affiches clôturant ou annonçant une activité (sortie, visite ) Structure : accueil périscolaire / accueil quartier / local jeune Secteur enfance et jeunesse

Plus en détail

REGLEMENT INTERIEUR APPLICABLE AUX STAGIAIRES

REGLEMENT INTERIEUR APPLICABLE AUX STAGIAIRES REGLEMENT INTERIEUR APPLICABLE AUX STAGIAIRES article 1 Dispositions générales Le présent règlement est établi conformément aux dispositions des articles L 6352-3 et L. 6352-4 et R 6352-1 à R 6352-15 du

Plus en détail

Le système d évaluation par contrat de confiance (EPCC) *

Le système d évaluation par contrat de confiance (EPCC) * André ANTIBI Le système d évaluation par contrat de confiance (EPCC) * * extrait du livre «LES NOTES : LA FIN DU CAUCHEMAR» ou «Comment supprimer la constante macabre» 1 Nous proposons un système d évaluation

Plus en détail

LA DEFINITION DES COMPETENCES : QUEL ROLE POUR LES ASSOCIATIONS PROFESSIONNELLES?

LA DEFINITION DES COMPETENCES : QUEL ROLE POUR LES ASSOCIATIONS PROFESSIONNELLES? LA DEFINITION DES COMPETENCES : QUEL ROLE POUR LES ASSOCIATIONS PROFESSIONNELLES? INTRODUCTION Depuis quelques années, un certain nombre d évolutions à la fois sociétales et professionnelles nous poussent,

Plus en détail

Un écrivain dans la classe : pour quoi faire?

Un écrivain dans la classe : pour quoi faire? Un écrivain dans la classe : pour quoi faire? Entretien avec Philippe Meirieu réalisé pour l ARALD - Quel est votre sentiment sur la présence des écrivains dans les classes? Il me semble que ce n est pas

Plus en détail

France métropolitaine, juin 2008 SUJET 7. Série ES, France métropolitaine, juin 2008

France métropolitaine, juin 2008 SUJET 7. Série ES, France métropolitaine, juin 2008 France métropolitaine, juin 2008 SUJET 7 7 SUJET Dissertation Série ES, France métropolitaine, juin 2008 Est-il plus facile de connaître autrui que de se connaître soi-même? LE SUJET COUP de POUCE ANALYSE

Plus en détail

Cohésion d Equipe - Team Building

Cohésion d Equipe - Team Building Public concerné : Cadres et cadres supérieurs. Cohésion d Equipe - Team Building Objectifs : Comprendre les mécanismes de fonctionnement d une équipe. Comprendre les rôles de chacun et le rôle de l encadreur.

Plus en détail

De la détresse émotionnelle à l actualisation du potentiel des membres de l entourage. La vision familiale. Série 1, numéro 1

De la détresse émotionnelle à l actualisation du potentiel des membres de l entourage. La vision familiale. Série 1, numéro 1 De la détresse émotionnelle à l actualisation du potentiel des membres de l entourage La vision familiale Série 1, numéro 1 En l espace de 25 ans, le profil de la famille québécoise s est transformé de

Plus en détail

Guide de l utilisateur. Espace santé personnel Clinique médicale Angus

Guide de l utilisateur. Espace santé personnel Clinique médicale Angus Guide de l utilisateur Espace santé personnel Clinique médicale Angus Version 0.1 / le 22 janvier 2014 1. Étapes pour compléter votre inscription*...5 2. Votre compte Espace santé TELUS...6 Qu est-ce que

Plus en détail