L ELECTRO-ENCEPHALOGRAMMEENCEPHALOGRAMME E.E.G
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- Philippe Ringuette
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1 L ELECTRO-ENCEPHALOGRAMMEENCEPHALOGRAMME E.E.G Mme Anita DUBUC Infirmière re Service de Neurophysiologie du Pr WEBER)
2 Qu est-ce que L EEG? Comment recueillir le signal EEG? Les électrodes Comment placer les électrodes? Où placer les électrodes? Qu appelle-t-on «montage EEG»? Comment activer le signal EEG? L hyperpnée La SLI La privation de sommeil Comment se déroule d un EEG? Que recherche-t-on avec un EEG? Qu appelle-t-on «rythme EEG»? Qu est-ce qu un EEG «normal»? L EEG en pédiatriep EEG pathologique EEG : cas particuliers Conclusions
3 Historique 1788 : GALVANI s apers aperçoit que tous les organes vivants engendrent de l él électricité 1924 : découverte d de l EEGl 1929 : publication par Hans BERGER 1945 : les moyens deviennent suffisants pour permettre l application l clinique et l ouverture des laboratoires d EEGd
4 Qu est-ce que l EEG? L EEG consiste à recueillir l activité bioélectrique cérébrale, c au moyen d électrodes. L activité bioélectrique cérébrale c correspond à des différences de potentiel électrique entre deux électrodes. Le nombre d électrodes varie de 8 à 21, parfois plus. Les signaux EEG sont de faible amplitude, ils doivent être amplifi fiés de façon considérable grâce à des amplificateurs. Une fois amplifiés s et filtrés, les signaux EEG sont convertis en un signal numérique. L EEG numéris risé permet ainsi : Une visualisation sur un écran et un couplage vidéo Un traitement a posteriori des signaux Un stockage et un archivage des données Une édition ultérieure sur papier Une transmission à distance, en temps réel r ou différé,, par télécommunication. t
5 Comment recueillir le signal EEG? Les électrodes Les différentes électrodes sont de trois types :
6 Comment recueillir le signal EEG? Les électrodes L électrode tampon : Elle a la forme d un petit dôme de 2cm² à la base, en argent chloruré, recouvert d un tampon de tissu imbibé d eau saline. Elle est simplement placée sur le scalp après dégraissage du cuir chevelu et application d une pâte conductrice. Elle est maintenue par un casque de caoutchouc épousant le crâne du sujet
7 Comment recueillir le signal EEG? Les électrodes L électrode cupule : Elle a la forme d un disque en argent de 5mm de diamètre, dont la cupule centrale permet l application d une pâte conductrice. Elle est collée sur le crâne par un carré de gaze imbibé de Collodion ou Tensive.
8 Comment recueillir le signal EEG? Les électrodes L électrode aiguille (ou sous-cutan cutanée) : Elle a la forme d une aiguille hypodermique, argentée ou en acier inoxydable. Elle est introduite juste sous la peau, parallèlement à la surface.
9 Comment recueillir le signal EEG? Comment placer les électrodes? Avant la pose des électrodes tampons ou cupules, le cuir chevelu doit être décapé pour diminuer l impédance du couple (peau, électrode) à moins de 5000 ohms. Le décapage est réalisé à l aide d une pâte appelée «pâte de Katz»
10 Comment recueillir le signal EEG? Où placer les électrodes? L emplacement est standardisé par une nomenclature internationale appelée «système 10/20». Chaque électrode porte un nom précis. Les chiffres pairs indiquent le côté droit, les impairs le côté gauche. Le nombre d électrodes varie de 8 à 21, ce nombre peut être plus important selon les indications. Une fois les électrodes placées, il faut vérifier qu elles sont équidistantes d avant en arrière et de droite à gauche. La symétrie doit être parfaite.
11 Comment recueillir le signal EEG? Où placer les électrodes? Mise en place du casque, au laboratoire
12 Comment recueillir le signal EEG? Où placer les électrodes? Toutes les électrodes sont reliées par un fil de connexion à la boîte têtière.
13 Qu appelle-t-on «montage EEG»? Un montage vise à couvrir de façon parfaitement symétrique la surface du scalp. Plusieurs montages sont effectués. Le montage référentiel r rentiel : c est la différence de potentiel entre une électrode active et une électrode la plus neutre possible. Chaque électrode du scalp est évaluée e par rapport à cette électrode neutre. Le montage bipolaire antéro ro-postérieur (ou longitudinal) explore d avant en arrière re et de droite à gauche. Le montage transverse explore de droite à gauche et d avant en arrière. re.
14 Qu appelle-t-on «montage EEG»? Page d un tracé réalisé au laboratoire :
15 Qu appelle appelle-t-on «montage EEG»? Exemple de grapho-élément que l on l peut trouver :
16 Comment activer le signal EEG? En pratique courante, deux techniques d activation sont utilisées : L Hyperpnée e (HPN) La Stimulation Lumineuse Intermittente (SLI)
17 Comment activer le signal EEG? L hyperpnée L hyperpnée sensibilise l EEG du fait d une alcalose liée à l hypocapnie. Le patient effectue une respiration ample, répétée de façon continue, pendant 4 à 5 minutes, en accentuant surtout la profondeur de l expiration. L objectif est de rechercher une modification du rythme de base, une accentuation d anomalies préexistantes, de nouvelles anomalies. L hyperpnée peut être réalisée dès l âge de 3 ans. Chez l adulte, l hyperpnée est contre-indiquée en cas de pathologies cardiaque ou respiratoire sévères, et en cas de suspicion d hypertension intracrânienne (HIC).
18 Comment activer le signal EEG? L hyperpnée
19 Comment activer le signal EEG? La stimulation lumineuse intermittente La Stimulation Lumineuse Intermittente (SLI) délivre des éclairs lumineux intenses, à une fréquence variant de 1 à 60 Hz, selon les indications. Les éclairs produits par un stromboscope placé à 30 cm des yeux du patient, sont d intensité et de durée identiques, quelle que soit la fréquence de stimulation. L objectif de la SLI est de rechercher une photosensibilité caractéristique de certains syndromes épileptiques. La réponse anormale se caractérise par l apparition de grapho-éléments paroxystiques, accompagnés ou non de signes cliniques. Certaines crises épileptiques peuvent être très fortement déclenchées par la SLI. Cette technique d activation sera utilisée avec prudence afin de déterminer «un spectre de photosensibilité». On commence par des stimulations à basse fréquence (2 Hz). Trois moments sont particulièrement surveillés : pendant la fermeture des yeux, les yeux fermés de façon continue, les yeux ouverts. La SLI peut également montrer des asymétries de réactivité. Il n y a pas de contre-indication à la réalisation d une SLI.
20 Comment activer le signal EEG? La stimulation lumineuse intermittente Décharge de pointes ondes diffuses lors de la Stimulation Lumineuse Intermittente
21 Comment activer le signal EEG? La stimulation lumineuse intermittente - La photosensibilité peut également être mise en évidence en utilisant un téléviseur 50Hz. - Dans ce cas, on montre au patient des extraits de jeux vidéo choisis pour leurs propriétés stimulantes. - Le patient est assis, les yeux à 50cm de l écran. - Exemple d enregistrement.
22 Comment activer le signal EEG? La privation de sommeil (non-standard) Pourquoi? La privation de sommeil a elle-même un effet inducteur sur l apparition d anomalies EEG intercritiques. La privation de sommeil constitue un moyen privilégi gié d induction de sommeil. Les variations du niveau de vigilance, l endormissement sont des moments propices au déclenchement d d anomalies paroxystiques. Comment pratiquer? Chez l adulte : privation de sommeil dans la nuit précédent l enregistrement. Chez l enfant : privation moins longue, adaptée à l âge. Où la pratiquer? Chez l adulte : une hospitalisation est nécessaire n la veille ou le matin même, si la personne est capable d effectuer sa privation au domicile. L enfant est toujours hospitalisé la veille de l examen.
23 Comment se déroule d un EEG? Le patient doit être averti du déroulement d de l enregistrement et rassuré quant à son innocuité. L examen standard est réalisr alisé au laboratoire, une hospitalisation n est pas nécessaire. n L enregistrement est effectué dans une pièce à lumière tamisée, à l abri du bruit. Le casque de caoutchouc, relié à une mentonnière est placé sur le crâne. Les électrodes sont placées, après s décapage d et dégraissage d du cuir chevelu à leur niveau. Les électrodes sont reliées es à la boite têtière de l appareillage par des fils de connexion de longueur suffisante pour permettre d éventuels déplacement d de la tête. L impédance des électrodes est mesurée e (elle doit être < à 5000 ohms) Le patient doit être confortablement placé en position demi-assise, dans un fauteuil à dossier avec accoudoirs ajustables, la tête et la nuque reposant sur un appui en mousse. L EEG peut cependant être effectué au lit du patient. Le relâchement musculaire doit être total, l enregistrement pourra alors débuter, d le patient étant calme, détendu. d
24 Comment se déroule d un EEG? L EEG standard comporte : Une séquence s de repos d une durée e d environ 5 minutes, Une hyperpnée e pendant 3 à 5 minutes, suivie d un repos d 1 à 2 minutes (parfois apparition d anomalies) Une SLI. Le déroulement d des séquences s de montages pourra être modifié en fonction de la pathologie ou de la survenue d évènements pendant l enregistrement. L apparition de mouvements, la modification de l état de vigilance et, de façon générale, g tout événement extérieur, sera noté.
25 Comment se déroule d un EEG?
26 Que recherche-t-on avec un EEG? Les rythmes physiologiques Leur présence. Leur symétrie. Les anomalies Ralentissement. Pointes. Asymétrie.
27 Qu appelle-t-on rythme EEG? L activité EEG est constituée e d ondes de période p relativement constantes, permettant de définir d des bandes de fréquences, ou rythme EEG : Delta : à 3.5 Hertz Théta : de 4 à 7 Hz Alpha : de 8 à 13 Hz Béta : à 13 Hz Les rythmes cérébraux c évoluent avec l âge. Le rythme de base se constitue au fur et à mesure de la maturation cérébrale (d où l intérêt de l enregistrement EEG chez les prématur maturés). Les caractères res définitifs d du tracé ne seront constitués s que vers 9 à 10 ans.
28 Qu appelle-t-on rythme EEG? Alpha : de 8 à 13 cycles par seconde, c est le rythme physiologique de repos chez le sujet éveillé,, les yeux fermés. Il est localisé aux régions occipitales, et disparaît à l ouverture des yeux.
29 Qu appelle-t-on rythme EEG? Béta : rythme physiologique supérieur à 14 cycles par seconde, il est plus important chez les sujets sous benzodiazépines.
30 Qu appelle-t-on rythme EEG? Delta : inférieur à 4 cycles par seconde, il est pathologique chez un sujet éveillé Il permet une localisation des altérations. Mais il existe physiologiquement dans le sommeil calme.
31 Qu appelle-t-on rythme EEG? Théta : entre 4 et 7 cycles par seconde, il est physiologique, en bouffées localisées sur les régions temporales, plutôt dans la veille. Lorsqu il est continu, localisé,, il peut être pathologique.
32 Qu appelle-t-on rythme EEG? 30 semaines(pas de distinction veille/sommeil électrique ou clinique)
33 Qu appelle-t-on rythme EEG? À terme, 40 semaines(veille, sommeil calme, sommeil agité)
34 Qu est-ce qu un EEG normal? La normalité de l EEG varie en fonction de l âge (maturation de l activité EEG chez le prématur maturé,, le nourrisson, l enfant). La normalité de l EEG varie en fonction de l état de vigilance. L EEG se modifie considérablement dès d s les variations du niveau de vigilance et pendant le sommeil. Une activité EEG normale n est pas synonyme d absence de pathologie cérébrale. c Une activité EEG anormale ne signe pas l existence d une pathologie cérébrale c ou autre. L interprétation tation d un tracé EEG ne se conçoit oit qu en parfaite connaissance des données cliniques.
35 L EEG en pédiatriep La technique : Nombre d électrodes : chez le prématur maturé et le nouveau-né,, 8 électrodes suffisent. Elles sont réparties de façon symétrique sur les deux hémisphh misphères en régard des régions r frontales, rolandiques,, occipitales et temporales. Types d électrodes : des électrodes appelées es «pré-bornes» sont placées dans un casque composé de deux lanières de caoutchouc. La réalisation r : Mise en confiance de l enfant, dès d s qu il est en âge de comprendre Chez le nourrisson, l obtention d un sommeil spontan un sommeil spontané est indispensable, incluant le sommeil lent. L enregistrement d une séquence s de sommeil est souhaitable chez le jeune enfant. Le sommeil viendra spontanément : dans une ambiance calme, au décours d d un repas, à l heure de la sieste, en recommandant aux parents d apporter l objet rituel de l endormissement, en ayant prévenu d empêcher l enfant de dormir pendant le trajet entre le domicile et l hôpital. Epreuves d activation : L hyperpnée e ne peut être réalisr alisée e que si l enfant comprend ; chez le nourrisson, les pleurs réalisent une hyperpnée e spontanée. La SLI est pratiquée e quand l enfant est éveillé. Polygraphie : Chez le nourrisson, il est indispensable d enregistrer simultanément ment EEG, ECG et respiration.
36 EEG pathologique Un tracé EEG est anormal : Soit parce qu il comporte des figures paroxystiques pointes, pointes-ondes, ondes, polypointes-ondes ondes. Soit parce qu il comporte des figures qui n existent pas normalement dans le tracé,, compte-tenu tenu de l âge et de l état de conscience exemple : une activité delta, chez les patients adultes éveillés. Soit parce qu il y a un excès s d éléments qui peuvent exister normalement, en proportion moindre exemple : une activité théta ta. Ces anomalies peuvent être diffuses ou localisées. Un tracé anormal peut également être le fait d un manque de réactivité,, d une trop grande sensibilité aux épreuves d activation, d une asymétrie trop marquée, d une absence totale d activité. Il faut savoir qu un tracé «anormal» n implique pas forcément l existence d un état pathologique. Le tracé devra toujours être
37 EEG pathologique : épilepsie Le diagnostic d épilepsie repose sur les données de l interrogatoire et de la clinique, mais ne saurait se passer de l EEG. C est l examen complémentaire mentaire le plus important : Il contribue au diagnostic. Il permet de déterminer d la forme électroclinique des crises. Il aide au diagnostic éthiologique. Il est indispensable à la surveillance du traitement et de l évolution. Les anomalies à l EEG vont être différentes selon que le patient est enregistré en période p intercritique ou au cours d une crise. En période p intercritique : les anomalies les plus fréquentes sont les pointes-ondes, ondes, polypointes-ondes ondes,, pointes surchage lente en théta ta ou delta (diffuse ou localisée) ralentissement du rythme alpha Au cours des crises : nous allons en voir maintenant quelques exemples.
38 EEG pathologique : épilepsie (crise généralisée) Crise grand mal La crise grand mal commence souvent par une activité très rapide pouvant donner l illusion d un aplatissement. La décharge d paroxystique est d emblée e propagée e aux deux hémisphères et semble de ce fait affecter l ensemble du cortex cérébral. c Désorganisation du tracé Apparition de rythmes rapides de plus en plus aigus qui deviennent des pointes Aspect post-critique critique EEG et vidéo o de Vincent 9 ans EEG et vidéo o de Catherine
39 EEG pathologique : épilepsie (crise généralisée) Crise petit mal (Absence): se caractérise rise par la survenue de pointes-ondes, ondes, bilatérales, synchrone, débutant d et se terminant brutalement, accompagné ou non d une brève perte de conscience observée e et notée e par la technicienne. EEG et vidéo o de Brandon EEG et vidéo o de Mélanie
40 EEG pathologique : épilepsie (crise généralisée) Myoclonies : Ce sont des contractions musculaires brèves et involontaires affectant un muscle ou un groupe de muscles. Des myoclonies peuvent s observer dans de nombreuses situations pathologiques. L épilepsie est la cause la plus fréquente des myoclonies. Sur le plan EEG, elles se caractérisent risent le plus souvent par des polypointes-ondes ondes. (EEG et vidéo o d EMJ)
41 EEG pathologique : épilepsie (crise partielle) Crises partielles ou locales : Un foyer bien précis du cerveau est concerné. Sur le plan électrique, elles se caractérisent risent par la survenue d anomalies localisées. Elles ne peuvent pas toujours être enregistrées es car trop profondes. Exemples : Erick (46 ans) Louis-Arnaud (16 ans) Boris (12 ans)
42 EEG pathologique : autres cas Anomalies localisées : EEG altéré Tumeurs AVC hématomes Delta de localisation variable Scanner abcès
43 EEG pathologique : autres cas EEG et Trouble de conscience : Cause : Toxique Métabolique Etat de mal infraclinique Profondeur du trouble de conscience : Coma dépassd passé greffe d organesd
44 EEG pathologique : autres cas EEG et affections dégénératives : Pointes rythmiques de la maladie de Creutzfeld-Jacob Complexes périodiques de la L.E.S.S. EEG et Chirurgie : Carotidienne Cardiaque
45 Cas particulier : exemples de crises psychogènes Julie - 22 ans - Virginie - 21 ans -
46 Conclusion Les résultatsr L interprétation tation est toujours effectuée e par un médecin spécialis cialisé en électrophysiologie. Le médecin m replace l EEG l dans son contexte clinique. Cet EEG peut intervenir dans la démarche d diagnostique et/ou pronostique et/ou thérapeutique.
47 Limites de l EEGl Conclusion C est le reflet de l activitl activité corticale mais il est difficile de faire un diagnostic éthiologique. Les ondes cérébrales c correspondent à des milliers de cellules nerveuses. L EEG est un élément qui aide au diagnostic en : Neurologie Psychiatrie Pédiatrie L EEG doit être toujours en rapport avec un contexte clinique, il peut cependant avoir une valeur pronostique. L EEG est un examen en temps réel. r
48 Conclusion Voici un exemple d enregistrement de longue durée, en vue d implantation d un stimulateur du nerf vague : Antoine.
49 Conclusion Et pour finir.quelques épileptiques célèbres. c
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