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1 B ULLETIN d informations Volume 53 Décembre 2014 Félicitations à Mélanie Roy qui a emporté le prix Jeune agricultrice au Gala Saturne!! SOMMAIRE Vœux de Noël PAGE 1 Culture du soya PAGE 2 Culture du maïs PAGE 3 Petites annonces PAGE 3 Technique de semis du maïs-grain PAGE 4-5 Les plantes PAGE 6 Projet néonicotinoïdes PAGE 7 Projets horticoles PAGE 8 Le 18 octobre, à Victoriaville, la Fédération des agricultrices du Québec (FAQ) a tenu son Gala Saturne. À cette occasion, Mme Mélanie Roy de Saint-Patrice-de-Beaurivage a décroché les grands honneurs dans la catégorie Jeune agricultrice. Par le Gala Saturne, la FAQ souligne les compétences, la créativité, le courage, l entrepreneurship, la passion et les réalisations. Bref, l apport inestimable des agricultrices, tant par leur présence soutenue à la ferme que dans leur milieu social et syndical. Mélanie est co-propriétaire de la Ferme BR Dynamique inc. avec M. Alain Bilodeau de Saint-Sylvestre, entreprise membre chez Fertior. NOS MEILLEURS VŒUX POUR LE TEMPS DES FÊTES!! La confiance que vous avez toujours témoignée envers l'équipe de FERTIOR nous a permis de célébrer cette année notre 20 e ANNIVERSAIRE. Les défis constants en agriculture exigent une grande ouverture de votre part et c est toujours dans un objectif commun d amélioration de la performance de votre entreprise. Bravo pour vos efforts et Merci de votre fidèle collaboration! «Prenez note que nos bureaux seront fermés du mercredi 24 décembre 2014 au vendredi 2 janvier 2015 inclusivement»

2 Bulletin d informations CULTURE DU SOYA RETOUR SUR L ANNÉE DE CULTURE 2014 On pensait que le printemps nous avait oublié tellement le beau temps tardait à venir.quelle genre de saison allait encore nous tomber sur la tête!!!! Printemps sec, manque d eau en juin et juillet, gel hâtif en septembre, automne pluvieux voilà 2014!!! Culture du soya : Côté soya, la levée a été uniforme et le bel équilibre soleil-pluie a favorisé un développement végétatif très important. Les entre-rangs de soya ont vite été cachés par un feuillage abondant, si bien qu il a gardé trop d humidité, favorisant ainsi la moisissure grise ou sclérotiniose. Une surfertilisation en azote est également un des facteurs qui favorise la maladie. La moisissure blanche a été plus présente chez ceux n ayant pas opté Photo : Brigitte Duval, agr. MAPAQ par une rotation de trois cultures. On recommande, en effet, deux ans sans semer du soya mais ce n est pas non plus un gage de réussite puisque la maladie peut survivre dans le sol jusqu à 5 ans sous forme de sclérotes noires. Un travail de sol en surface permettrait aux sclérotes (masses noires qui propagent la maladie) de germer et de mourir si la plante-hôte n est pas présente. Par contre, on remarque que plusieurs champs en régie de travail réduit ont malgré tout été infestés fortement par la sclérotiniose cette année. La variété est un facteur déterminant également dans le développement de la maladie. La moisissure blanche est donc plus ou moins présente selon la résistance de la plante-hôte, la présence de la maladie (résidus et sclérotes) et les conditions climatiques favorisant celle-ci. Acapela est un fongicide disponible pour lutter contre la sclérotiniose. Par contre, selon plusieurs études d Yvan Faucher, agronome au Mapaq, l utilisation d Acapela n est pas rentable économiquement. Le puceron du soya a été présent plus qu on ne s y attendait. Effectivement, selon la tendance observée des dernières années, la population de pucerons oscille aux deux ans prédisposait à une faible population mais ce ne fût pas le cas. Des populations élevées à très élevées (de 250 à 1000 pucerons/plant) ont été rencontrées sur la moitié des sites du RAP (Réseau d avertissement phytosanitaire). Les populations de pucerons dans la région de Chaudière-Appalaches sont restées basses à moyennes, soit jusqu à 337 pucerons/ plant. Peu d insecticides ont été utilisés puisque les prédateurs étaient abondants et les pucerons sont arrivés plus tardivement en saison. Les champignons entomopathogènes (prédateurs du puceron) sembleraient être moins présents, ce qui pourrait expliquer la plus forte population des pucerons cette année. Plusieurs prédateurs se sont offerts du soya en entrée cette année soit l altise à tête rouge (sur la photo), le scarabée japonais et les criquets. Ils n ont pas causé de dommages Photo : Jennifer De Almeida, CÉROM PAGE 2

3 CULTURE DU MAÏS importants mais ils restent à surveiller. Les années plus sèches et chaudes favorisent souvent la présence des insectes au détriment des maladies fongiques. Le gel hâtif de septembre a interrompu le remplissage des gousses des variétés de soya plus tardives, ce qui a engendré des baisses de rendement. Photo : Martin Ménard de La Terre de Chez-Nous Pour les variétés hâtives ou bien ciblées avec la région, les rendements ont été de très bons à excellents pour les champs avec peu ou sans sclérotinia. Selon M. Denis Lehoux, adjoint en assurances au Centre de Services de la Financière Agricole à Ste-Marie, la qualité des grains du soya a été comparable aux autres années, peut-être légèrement plus de déclassement. Culture du maïs : Côté maïs, l année 2014 sera marquée par une uniformité des champs!! Effectivement, les conditions climatiques presque parfaites du début de saison ont permis de camoufler plusieurs défauts de semis ou des problèmes de levée dus à la compaction, au croutage du sol ou à des maladies fongiques racinaires. Des dégâts causés par des insectes ont été aperçus tels ceux de la punaise brune qui, en s alimentant des très jeunes feuilles de maïs, injectent des enzymes digestives. Ces enzymes causent ensuite des trous et des anomalies de Selon M. Lehoux, les rendements de maïs n ont pas souffert du gel hâtif de septembre pour les variétés bien adaptées à la région. En effet, les rendements ont été supérieurs à la moyenne régionale de référence. Par contre, un plus grand nombre de lots a classé «5» et «échantillons» que les années passées, mais le taux d humidité à la récolte a été plus bas que ce qui était anticipé vu le gel hâtif de septembre. Selon M. Michel Malo, agronome pour la Financière Agricole, on remarque une grande variabilité dans la qualité du grain au niveau provincial, mais la région Chaudière-Appalaches s en est mieux tirée grâce aux conditions plus sèches au moment des semis. Les années sèches favorisent habituellement les céréales dont les racines peuvent explorer le sol plus en profondeur. Par contre, la grosseur du grain a été un peu décevante cette année à cause du manque d eau lors de la période de remplissage du grain. Les taux de vomitoxines cette année sont restés assez bas à cause des températures plus sèches. L utilisation des fongicides contre la fusariose n est pas une assurance que le grain sera classé, mais ils sont efficaces pour diminuer le taux de vomitoxines si utilisés au bon stade. Et voilà!! Il ne nous reste qu à espérer un printemps 2015 plus hâtif et pas de gel hâtif l automne prochain et tout sera parfait!!! Dominique Fiset, agronome Petites annonces Balles de paille à vendre St-Henri 2$/balle Photos : B. Duval, MAPAQ croissance (feuilles tordues, tallage, excroissance). La pyrale du maïs a quant à elle fait beaucoup de dégâts dans les champs non BT. Balles carrées (3X4X5) à vendre de 3ème coupe trèfle, luzerne 21% protéines Grosses balles carrés de paille de blé à vendre. Pour information appeler : VOLUME 53 DÉCEMBRE 2014 PAGE 3

4 Bulletin d informations TECHNIQUES DE SEMIS DU MAÏS-GRAIN Évaluation agronomique et économique de la culture de maïs grain sous paillis de plastique Résultats saison 2014 : Entreprise participante : Les Immeubles Clément Dubois inc. Municipalité : Saint-Flavien Financement : Programme d appui au développement de l agriculture et de l agroalimentaire en région (PADAAR) Partenariat : Louis Robert MAPAQ Dispositif expérimental : Une parcelle de 35 m de large par 350 m de long a été semée en alternant la technique de semis conventionnel avec la technique de semis sous film plastique (Samco). Chaque parcelle avait une largeur de 6 rangs, répétée 3 fois pour chacune des techniques. Mises à part les 2 techniques de semis, les autres facteurs étaient exactement les mêmes. Caractéristiques de semis : Date de semis : 23 mai 2014 Hybride : P9329AM 2700 UTM Dose de semis : grains/acre Précédent cultural : prairie Travail du sol : labour de printemps Engrais organique : fumier bovin engraissement (6t/acre) mis à l automne 2013 Engrais minéral : 150 lb/acre en post-levée 16 juin 2014 Conventionnel : Nb feuilles : début 5 feuilles Température du sol : 18 C Paillis : Nb feuilles : 5 à 7 Température du sol : 23 C 16 juin 2014 Sous paillis : par endroits, feuillage jauni, entortillé et blessé lorsque le plant émerge du plastique PAGE 4

5 TECHNIQUES DE SEMIS DU MAÏS-GRAIN 30 juin 2014 Sous paillis: 10 à 11 feuilles 30 juin 2014 Conventionnel : 10 à 11 feuilles Résultats de rendements Densité de Rendement peuplement À 15% d humidité Humidité Poids Récolte Récolte à la récolte spécifique manuelle commerciale Plants/acre t/ha t/acre t/ha t/acre % Kg/hl Conventionnel ,37 4,20 9,39 3,80 37,52 66,76 Paillis ,99 4,05 9,21 3,73 33,38 67,76 Les résultats de rendements ne présentent pas de différences significatives entre les 2 techniques. Toutefois, l humidité à la récolte présente une différence de 4% entre les 2 techniques, donc plus sec avec la technique sous paillis. Et selon le poids spécifique, le maïs sous paillis serait plus pesant de 1kg/hl. Il s agit d une différence minime qui n entraînera pas de changement de classe. Pour rentabiliser la technique sous paillis de plastique, il faudrait générer des revenus supplémentaires (rendement et qualité du grain) ou des réductions de coûts (séchage) de l ordre de 200$ à 235$ par acre. On calcule une économie de séchage de 2$/tonne par point de pourcentage d humidité en moins. Dans ce cas-ci, pour un rendement équivalent, on obtiendrait une économie de séchage d environ $80 par hectare ($32/acre). Par conséquent, les résultats d une première année d essais ne démontrent pas d avantages à utiliser la technique de semis sous paillis de plastique. Nous tenterons de poursuivre les essais en 2015 dans des parcelles de maïs grain et d ensilage afin de valider les essais de cette première année. Marie-Christine Gauvreau, agronome VOLUME 53 DÉCEMBRE 2014 PAGE 5

6 Bulletin d informations SOL : L IMPORTANCE D UNE COUVERTURE VÉGÉTALE La capacité de production de nos sols est loin d être optimale. Une des façons d y remédier : les plantes. Nous connaissons tous l analyse chimique des sols, mais qu en est-il de la physique? Certains laboratoires peuvent maintenant quantifier certains de ces paramètres. Le plus important est la stabilité structurale (mesure de la résistance des agrégats du sol à l impact de la pluie). Il nous est aussi possible de dresser un portrait de cette stabilité en évaluant un profil de sol. La stabilité structurale est étroitement liée à l équilibre et à la diversité biologique des sols. Le sol est un milieu vivant (il peut y avoir jusqu à 2 milliards de bactéries dans un dé à coudre de sol et jusqu à 5t/ha de vers de terre). De la méga faune (lièvre) jusqu aux micro-organismes (protozoaires), chacun joue son rôle pour rendre disponibles aux plantes les éléments nutritifs du sol. Entrent alors en jeu les mycorhizes (champignons symbiotiques), qui en présence de racines vivantes, sécrètent de la glomaline, une sorte de colle naturelle qui agglomère les petites particules de sol et de matières organiques en de plus gros agrégats. La porosité du sol est ainsi augmentée et l eau s infiltre plus facilement au lieu de ruisseler en surface et créer de l érosion. Lorsqu il y a de l érosion, ce sont les particules les plus fines et aussi les plus fertiles qui sont perdues. Quand on pense que 10 cm de sol arable prend 2000 ans à se former, il faut changer nos pratiques pour le protéger. Voici un tableau pour illustrer l effet des travaux et du type de sol sur l infiltration de l eau. Type de sol Travail de sol Capacité d absorption d eau du sol (po/jour) Boisé Aucun 8 Argile (Montérégie-est) Labour 1/8 Argile (Montérégie-est) Semis direct (long terme) 3 à 4 Loam sableux (Beauce) Labour 1 Source : Louis-Robert, MAPAQ, Ste-Marie Quand la culture est éliminée par un travail de sol, le réseau de mycorhizes est détruit et l apport d oxygène oxyde la matière organique. Les racines meurent et la glomaline disparaît au bout d une trentaine de jours, amenant ainsi la structure à se défaire et le sol à se compacter. Nous voyons donc l importance de maintenir la présence d une culture vivante le plus longtemps possible (culture intercalaire, de couverture, engrais vert, céréale d automne, etc.) afin de préserver cette stabilité et d optimiser la capacité de nos sols à produire. Un sol en très bonne santé a une efficacité azotée élevée, c'est-à-dire que le sol peut fournir la très grande majorité des besoins azotés de la culture (moins besoin d engrais). Un bon sol vous permet donc un maximum de rendement à un minimum de coût. Frédéric Bolduc, agronome PAGE 6

7 PROJET NÉONICOTINOÏDES Suivi du dépistage des néonicotinoïdes Les néonicotinoïdes sont des insecticides appliqués, entre autres, sur les semences de maïs, de soya et de canola. Ils sont connus sous les noms commerciaux de Gaucho, Stresshield, Admire, Cruiser, Hélix, Poncho, Prosper. Ces traitements visent à contrôler les larves de coléoptères (ver fil-de-fer, ver blanc, chrysomèle des racines du maïs), les larves de diptères (mouche des semis) et les larves de lépidoptères (légionnaire uniponctuée, ver gris-noir). Aux États-Unis, de tels traitements de semences sont faits systématiquement sur le maïs et le canola et sur 50% du soya. Comme les semences vendues au Québec proviennent des États-Unis, les producteurs québécois se trouvent eux aussi à utiliser ces pesticides. Mais en avons-nous réellement besoin au Québec? Par le biais du volet 3.2 du programme Prime-Vert, le gouvernement provincial a mis en place de l aide financière pour une utilisation rationnelle des néonicotinoïdes en grandes cultures. L une des dépenses admissibles est le dépistage des insectes ravageurs du sol pour ainsi déterminer la nécessité des traitements de semences pour un champ déterminé. Pour le dépistage d automne, il s agit de cibler les champs de céréales ou de prairies de graminées qui seront cultivés en maïs ou en soya l année suivante. Ce dépistage vise principalement à piéger les vers fil-de-fer et les vers blancs puisque ceux-ci ont un cycle de vie allant jusqu à 6 ans dans le sol des champs et qu ils sont peu mobiles. Cet automne, des pièges-appâts ont été installés chez 42 clients de Fertior, pour un total de 44 sites de dépistage. Le tableau ci-dessous résume le résultat des dépistages. Nombre de site Présence de Site avec des Seuil atteint Recommandation de ver fil-de-fer vers ravageurs (seuil de 1 ver/trou) semence non traitée sites (70% 16 sites (36% 2 sites (5% 36 sites (82% des sites) des sites) des sites) des sites) À la suite de ces résultats de dépistage, on peut constater que 31 sites sur 44 (70% des sites) présentent des vers fil-de-fer. Toutefois, seulement 16 sites ont des vers fil-de-fer considérés comme des ravageurs potentiels en grandes cultures (36% des sites). De ces 16 sites, seulement 2 des sites (5% des 44 sites) ont atteint le seuil d intervention de 1 ver / piège. Finalement, des semences non traitées aux néonicotinoïdes ont été recommandées pour 36 des 44 sites de dépistage, soit 82% des sites. Peutêtre devrions-nous considérer plus sérieusement l option des semences non traitées au Québec? Julie Dufour, agronome VOLUME 53 DÉCEMBRE 2014 PAGE 7

8 Bulletin d informations PROJETS HORTICOLES Élaboration d une stratégie de lutte contre la rouille jaune tardive dans la culture de la framboise d automne en régie biologique Résultats du dépistage de la drosophile à ailes tachetées Encore cette année, vos conseillers ont poursuivi le dépistage de la drosophile à ailes tachetées chez les entreprises désirant connaître l état de la situation sur leur site. Après une première année de projet, les résultats obtenus démontrent que la stratégie utilisée a permis de réduire de manière significative l incidence de la rouille jaune sur les fruits. Cependant, l analyse économique démontre qu il ne serait pas rentable d adopter une telle stratégie. Si le projet est reconduit pour une seconde année, le nombre d applications de Storox sera réduit en débutant les traitements un peu plus tard dans la saison et en effectuant les traitements aux 10 à 15 jours au lieu d aux 7 à 10 jours. De plus, il est important de mentionner qu en 2014, l incidence de la rouille jaune a été moindre que par les années passées. Rappel de la stratégie : 2 applications de Lime sulphur au sol et sur les plants dormants au printemps; 7 applications de Storox un peu avant l'apparition des symptômes jusqu en récolte. (Attention, l utilisation de Storox n est pas homologuée pour la culture de la framboise.) Première capture au Québec : Première capture chez un membre de Fertior : Capture sur l ensemble des membres de Fertior : semaine du 14 juillet semaine du 4 août semaine du 25 août Le dépistage à la ferme a permis aux entreprises de retarder les premières interventions de pesticides et ainsi diminuer les coûts de production. Les populations sont demeurées très faibles jusqu au début de septembre n occasionnant aucun dommage dans les fraises et les framboises d été. Des larves dans les fruits ont été observées dans les framboises d automne et les bleuets en fin de récolte. Pour les fraises d automne, comme l intervalle entre la récolte est court, l observation de larves est plus difficile, mais cela ne signifie pas que ces dernières ne sont pas présentes. Jacinthe Drouin, agronome Coop de fertilisation organique FERTIOR 1741, rue St-Georges, C.P. 206 Saint-Bernard, Qc G0S 2G0 Tél.: (418) Sans frais: Télécopieur: (418) Courriel: fertior@fertior.com PAGE 8

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