Labels bio : garantie ou marketing?
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- Ange Bernard
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1 Bobby Fotolia.com / Mike Harrington - GettyImages.com Labels bio : garantie ou marketing? Conférence Science-Médias-Société Dossier de presse Contacts presse: François Pacaud Martin Clavey presse@bio.dealersdescience.com
2 Bobby Fotolia.com / Mike Harrington - GettyImages.com Sommaire Communiqué de presse 2 Le «bio», une tendance 3 À propos des labels biologiques Les différents labels biologiques La notoriété des labels biologiques auprès des consommateurs Les critères et les méthodes de labellisation AB Les démarches de la labellisation pour les agriculteurs «Labels bio : garantie ou marketing?», une conférence pour trancher la question Des regards croisés sur les labels biologiques Les intervenants Déroulé de l événement 8 Partenaire 9 Le cycle de conférences Retour sur les éditions précédentes Rendez-vous 2010 Qui sont les Dealers de Science? Infos pratiques 12 Contacts 12 Contacts presse : François Pacaud Martin Clavey presse@bio.dealersdescience.com 1
3 Communiqué de presse Bordeaux, le 5 Janvier 2010 Labels bio : garantie ou marketing? Conférence Science-Médias-Société organisée par les «Dealers de Science» Mardi 19 Janvier, à l IUT Michel de Montaigne Bobby Fotolia.com / Mike Harrington - GettyImages.com À l heure où le label européen de l agriculture biologique se met en place et où les consommateurs sont de plus en plus nombreux à choisir le «bio» dans leurs assiettes, l association «Dealers de Science» invite le grand public à un événement gratuit : la conférence «Labels bio : garantie ou marketing» suivie d un buffet «bio» mardi 19 janvier, à 19h à l IUT Michel de Montaigne, place Renaudel (Bordeaux) Tram C, arrêt Tauzia En 2008, presque un français sur deux a consommé au moins une fois par mois des produits issus de l agriculture biologique (rapport CSA, n Edition 2008). Devenus incontournables, ces derniers se retrouvent non seulement dans les supermarchés, où des rayons entiers leur sont parfois consacrés, mais également dans des boutiques spécialisées, ne proposant que des produits étiquetés «bio». Mais à quoi correspondent véritablement ces labels? S agit-t-il uniquement d une mode, d un effet marketing, ou bien la labellisation «bio» garantit-elle au consommateur une réelle qualité des produits? Science, media et société : regards croisés sur les labels «bio» Autant de pistes de réflexion qui seront suivies par les intervenants : Marc Dufumier, directeur de l UFR Agriculture comparée et développement agricole à AgroParisTech. Paul Robin, directeur de recherches à l Inra (département Sciences pour l action et le développement), affecté au laboratoire d Études rurales de l Université Lyon 2, travaillant, en collaboration avec des socio-économistes, sur l histoire de la pensée agronomique en relation avec la normalisation des pratiques. Le traitement médiatique des labels bio sera quant à lui mis en lumière par Claude-Marie Vadrot, journaliste à l hebdomadaire Politis et au journal numérique Mediapart. Le débat sera animé par Cédric Brun, enseignant-chercheur en Philosophie à l Université Bordeaux 3, Michel de Montaigne. Aurore Sournac, agricultrice en démarche pour obtenir le label «Agriculture Biologique» et fournissant des Amap (Association pour le Maintien de l Agriculture Paysanne) en Gironde, témoignera des démarches des agriculteurs. En fin de conférence, les intervenants seront invités à répondre aux questions du public. Qui sont les «Dealers de Science»? L association «Dealers de Science» regroupe les étudiants du Master Professionnel «Médiations des Sciences», co-habilité par les quatre Universités de Bordeaux et géré par l UFR ISIC (Université Bordeaux 3). Les projets portés par l association sont axés sur la conception et la mise en place d événements de médiation scientifique, dont des conférences sous forme de tables rondes Science-Médias-Société. Cette année, le cycle de conférences s articule autour des thèmes de l alimentation, la nutrition et la santé. Contacts presse: Martin Clavey / François Pacaud presse@bio.dealersdescience.com
4 Le «bio», une tendance Selon le baromètre Agence BIO/CSA, en % des sondés consommaient du «bio» au moins une fois par mois. Ils sont, en 2008, 44 %. Et la dynamique de recrutement ne faiblit pas puisqu en 2008, 21 % des consommateurs de produits biologiques l était depuis moins de 2 ans. On peut expliquer cet engouement pour le «bio» par plusieurs facteurs qui ont convergés ces dernières années : les différentes crises sanitaires alimentaires, la multiplication des discours diététiques et médicaux sur l alimentation, le goût et le plaisir (l hédonisme pouvant aussi se faire injonction), la complexité croissante du choix en situation d abondance et de baisse des contrôles sociaux sur les pratiques alimentaires. Mais d après la sociologue de l Institut National de Recherche en Agriculture (INRA), Claire Lamine, les produits biologiques sont majoritairement consommés de manière intermittente. Les consommateurs adoptent le «bio» de manière non-exclusive et finalement, «les mangeurs «bio» puristes» ne sont pas majoritaires. D après Claire Lamine, la plupart des consommateurs «intermittents» de produits biologiques a besoin d être rassurée face aux diverses formes d incertitude alimentaire, avant de pleinement faire confiance au «bio». Dans ce contexte, les labels «bio» peuvent-ils jouer ce rôle de rassurance auprès des consommateurs, en garantissant une réelle qualité des produits, ou ne sont-ils que le reflet d un effet marketing visant à faire vendre le «bio»? Pour en savoir plus : bio-intermittents_def.pdf Martin Clavey presse@bio.dealersdescience.com 3
5 Bobby Fotolia.com / Mike Harrington - GettyImages.com À propos des labels biologiques... Les différents labels biologiques Nature & Progrès, le premier label biologique Le label de l association Nature & Progrès est le premier label «bio» privé qui apparait en France. Son cahier des charges est homologué par les pouvoirs publics en Il est aussi le plus restrictif. Il exige, par exemple, le maintien d un périmètre «sauvage» autour de l exploitation, l eloignement des grandes voies routières, une taille des élevages réduite et un temps de transport limité. Il interdit, par exemple, l utilisation d OGM (sans tolérance) ainsi que la cuisson et le séchage par micro-ondes. Le label «AB» ll s agit du label officiel en France depuis Pour recevoir ce label, Les produits doivent être composés d au moins 95 % d ingrédients issus du mode de production biologique, ne comporter ni colorant chimique, ni arôme artificiel, ni additifs de synthèse, ni agent de conservation chimique et ne pas avoir été irradiés. Étant le label officiel, il est réglementé par la loi française. Par volonté européenne d harmonisation des labels «bio», il prend en compte la réglementation européenne depuis le 1er janvier Le label européen, le nouveau venu Comme pour toutes les normes agraires, l Union Européenne a décidé d harmoniser les critères de labellisation du «bio». Depuis le 1er janvier 2009, les labels «bio» de tous les pays européens respectent le même cahier des charges. Et à partir de juillet 2010, le nouveau logo de l Agriculture Biologique Européenne, dont le choix est actuellement soumis au vote des internautes, sera mis en place. Cette harmonisation crée une polémique importante menée par certaines associations («Nature & Progrès» et «Alternative bio»). Elles pointent du doigt la possibilité, laissée par la nouvelle norme européenne, d inclure des OGM (moins d 1%) dans les produits labellisés, ainsi que «l abandon de règles strictes de gestion et de santé concernant les animaux d élevage». Contacts presse : François Pacaud Martin Clavey presse@bio.dealersdescience.com 4
6 La notoriété des labels biologiques auprès des consommateurs Selon le Baromètre de l Agence BIO/CSA de 2008, les Français étaient 85% à connaître le label AB alors que le label européen n était connu que par 28% d entre eux. Pour la plupart des consommateurs de produits biologiques (70% selon le Baromètre Agence BIO/CSA), le label AB est le moyen de reconnaître les produits respectueux de l environnement et/ou des principes du développement durable. En 2008, le logo AB était utilisé par 84% des consommateurs pour repérer les produits biologiques lors de l achat. La mention «issu de l agriculture biologique» était utilisée comme repère par 67% des consommateurs, davantage qu en 2007 (63%). La signalétique en rayon s avèrait également utile pour beaucoup d acheteurs (51% contre 46% en 2007). 17% repèraient les produits biologiques grâce à la présence du logo européen et 16% grâce à la mention d un organisme de contrôle. Par ailleurs, le vendeur est aujourd hui davantage considéré comme un relai pour l achat de ces produits : 12% des consommateurs en 2008 affirmaient qu ils étaient aidés par les vendeurs pour repérer les produits biologiques, contre seulement 4% en Les critères et les méthodes de labellisation AB Le label AB est le label officiel utilisé en France. Il est régi par la loi et certifie : Pour les végétaux, une culture sans produits chimiques de synthèse (engrais, pesticides, désherbants, fertilisants conventionnels ), l utilisation exclusive des engrais verts, une lutte naturelle contre les parasites et les maladies (sélection des cultures, utilisation des prédateurs naturels d un insecte ) et des modes de production respectant les ressources naturelles et la biodiversité (rotation des cultures, préservation des haies pour maintenir l habitat des espèces ). Pour les animaux, une alimentation provenant de l agriculture biologique et correspondant à leurs besoins physiologiques, une adaptation aux races du milieu dans lequel elles sont élevées et une bonne santé grâce à une logique de prévention et un espace correspondant à leurs besoins (espace, lumière, pâturage, abri ). Martin Clavey presse@bio.dealersdescience.com 5
7 Pour les produits manufacturés, un maximum d ingrédients d origine naturelle et issus en majorité de l agriculture biologique (95% minimum), un transport dans des conteneurs fermés (pas de mélange avec d autres denrées alimentaires), une interdiction des substances chimiques polluantes pour l environnement ou douteuses pour l utilisateur (conservateurs problématiques, colorants chimiques ). Les législateurs font appel à des organismes certificateurs privés (aux nombres de 6 : ECO- CERT, AGROCERT, QUALITÉ FRANCE, ACLAVE, SGS et ICS) afin de contrôler le bon suivi du cahier des charges par les agriculteurs, les producteurs et les industriels. Les démarches de la labellisation pour les agriculteurs Pour les agriculteurs, les démarches de labellisation sont difficiles et peuvent être un frein pour se convertir à une agriculture plus respectueuse de l environnement. Une fois les critères de labellisation atteint, les agriculteurs doivent d abord pratiquer trois années d agriculture biologique avant l obtention du label. De plus, le paiement de l organisme certificateur est entièrement assumé par l agriculteur et les aides financières publiques pour le passage au «bio» sont peu élevées. D autant que l agriculture biologique demande plus de maind oeuvre et admet un rendement de production moins élevé. Pour prétendre à une labellisation de leur production, les agriculteurs doivent changer leurs pratiques pour mettre en œuvre : - le recyclage des matières naturelles organiques, - la rotation des cultures pour préserver la fertilité des sols (non-utilisation des boues d épuration et non-utilisation des fertilisants chimiques et de synthèse), - l utilisation d engrais naturels (non-utilisation de pesticides et non-utilisation d herbicides chimiques), - le désherbage à la main ou mécaniquement, - la non-utilisation des semences issues d OGM Martin Clavey presse@bio.dealersdescience.com 6
8 «Labels bio : garantie ou marketing?», une conférence pour trancher la question Des regards croisés sur les labels biologiques À quels enjeux socio-économiques les labels biologiques doivent-ils faire face aujourd hui? À quoi correspondent véritablement ces labels? S agit-t-il uniquement d une mode, d un effet marketing, ou bien la labellisation «bio» garantit-elle au consommateur une réelle qualité des produits? Afin d aborder ces questions, nous avons choisi de réunir quatre spécialistes du sujet. Quatre intervenants qui échangeront entre eux, mais également avec le public, et apporteront des éclairages différents sur le sujet, selon leurs domaines de compétences, lors de la conférence. Les intervenants Marc DUFUMIER est titulaire de la chaire d Agriculture comparée et développement agricole à l Institut des sciences et industries du vivant et de l environnement (AgroParisTech). Ses recherches en agronomie se concentrent sur le développement agricole durable, la sécurité alimentaire, les politiques et les programmes de développement agricole, le suivi et l évaluation de projets de développement agricole et enfin l analyse-diagnostic des systèmes agraires. Paul ROBIN est directeur de recherche à l Inra (département Sciences pour l Action et le Développement), affecté au laboratoire d Études urales de l Université Lyon2. Il est agronome et travaille, en collaboration avec des socio-économistes, sur l histoire de la pensée agronomique, en relation avec la normalisation des pratiques. Aurore SOURNAC est agricultrice, en démarche pour obtenir le label Agriculture Biologique. Elle gère, avec son mari, une propriété agricole à Eysines (Gironde) depuis 2000 : 4 700m2 de serres verres, 2 hectares en propriété et 5 hectares en location. «Le fait de travailler en AMAP (Association Pour le Maintien de l Agriculture Paysanne) nous a permis de nous diversifier. Aujourd hui nous produisons entre 10 et 15 variétés de légumes différents par saison» explique-t-elle. Martin Clavey presse@bio.dealersdescience.com 7
9 Bobby Fotolia.com / Mike Harrington - GettyImages.com Claude-Marie VADROT est journaliste professionnel. Spécialiste de la nature et de l environnement, il est l auteur d une centaine d articles et de reportages dans ces domaines. Actuellement grand reporter à l hebdomadaire Politis, il collabore d autre part au journal numérique Mediapart et est chargé de cours d écologie, d agriculture et de géographie à Paris 8 depuis Il a été journaliste durant sept ans au Canard Enchaîné et délégué général de l association des journalistes pour la nature et l écologie. Le débat sera modéré par Cédric BRUN, enseignant-chercheur en Philosophie à l Université Bordeaux 3, Michel de Montaigne. Déroulé de l événement La conférence, gratuite et tous publics, aura lieu mardi 19 janvier à l IUT Michel de Montaigne et plus particulièrement au sein de l Institut de Journalisme de Bordeaux Aquitaine (IJBA). L événement se déroulera sur le plateau de télévision de l IJBA, et sera suivi d un buffet «bio» offert. À propos de l IJBA... Créé en 2006, l Institut de Journalisme de Bordeaux Aquitaine fait partie de l IUT Michel de Montaigne Bordeaux 3. L IJBA délivre un master professionnel de journalisme, reconnu par la profession. L IJBA est membre du Conseil des écoles publiques de journalisme (CEPJ). Contacts presse : François Pacaud Martin Clavey presse@bio.dealersdescience.com 8
10 Après la projection d un micro-trottoir, réalisé pour l occasion par les Dealers de Science, les intervenants présenteront leurs points de vue et débattront autour de la thématique de la conférence. Dans un second temps, le public sera invité à échanger avec les intervenants et à poser librement les questions que la discussion aura apportée. Ce temps d échange se poursuivra autour du buffet «bio» gratuit auquel seront conviés spectateurs et intervenants, dans le hall de l IUT. Partenaire Partenaire de l événement, le Syndicat des Vignerons Bio d Aquitaine assure depuis 1995, année de sa création, trois missions principales : - La représentation et la défense des intérêts des vignerons - La promotion des vins «bio» auprès de diverses cibles (consommateurs, professionnels...) - La structuration de la filière (en amont et en aval) Des représentants du syndicat viendront, à l issue de la conférence, faire déguster leurs vins lors du buffet «bio» qui sera offert au public. Syndicat des Vignerons Bio d Aquitaine 7, le Grand Barrail MONTAGNE Tél : Fax : contact@vigneronsbio-aquitaine.org Martin Clavey presse@bio.dealersdescience.com 9
11 Le cycle de conférences Retour sur les éditions précédentes Organisées sur le même modèle de tables rondes Science-Médias-Société, les précédentes éditions des cycles de conférences des Dealers de Science ont réuni un large public, autour de thématiques variées : Faut-il encore envoyer des sondes dans l espace? Le wifi, une innovation sans danger? Les nanotechnologies : intérêts et danger Réchauffement global, dérèglement local? L eau ressource inépuisable? De l uranium dans nos géraniums? Rendez-vous 2010 En 2010, les Dealers de Science proposent un nouveau cycle de trois conférences gratuites et grand public, s articulant autour de la thématique : Alimentation-Nutrition-Santé : Mardi 19 janvier : Labels bio : garantie ou marketing? Mardi 16 février 2010 : «Alicaments» : santé ou publicité? Apparus en France dans les années 1990, les alicaments sont de plus en plus exploités industriellement comme produits de consommation courante. Alors que le terme reste encore assez flou, se pose la question légitime de sa signification et de l existence d une frontière entre aliment et médicament. S agit-il d aliments naturels de consommation courante et primordiale, ou est-ce la définition d un nouveau type d aliments? Il est nécessaire de faire la distinction entre alicaments dit naturels (fraises, oranges, etc.) et alicaments dits industriels (actimel, danacol, etc.). Martin Clavey presse@bio.dealersdescience.com 10
12 Aborder ce thème aujourd hui, c est comprendre ce qu il signifie voire sous-entend, d un point de vue médical, scientifique, juridique et social. C est essayer de se repérer, en tant que consommateur, entre les justifications scientifiques, les allégations santé et les opérations marketing. La conférence «Alicaments : santé ou publicité?» tentera de répondre à ces interrogations en ouvrant le débat au public. Mardi 23 mars 2010 : «Alimentation : l envers des étiquettes» La santé est la principale motivation des consommateurs dans le changement de leur mode de consommation. Les produits alimentaires présentent sur leur emballage de nombreuses informations nutritionnelles qui sont accompagnés de messages séducteurs qui vantent leurs vertus pour la santé. Aujourd hui, ces allégations font l objet d un règlement strict révisé par la Commission Européenne qui tente d harmoniser les communications des industries agroalimentaires pour assurer la protection du consommateur. Quelle est la qualité de l information apportée au consommateur? Comment se retrouve-t-il dans la masse d informations qui lui sont apportées? Qui sont les producteurs de ses messages et quel impact ont-ils sur les comportements alimentaires? Le 23 mars 2010, la conférence débat «Alimentation : l envers des étiquettes», donnera au public toutes les clés pour mieux décrypter ces messages en étudiant les relations entre la nouvelle réglementation, les acteurs de l industrie agroalimentaire et les institutionnels au cœur des campagnes de prévention santé. Qui sont les Dealers de Science? L association «Dealers de Science» regroupe les étudiants du Master Professionnel «Médiations des Sciences», co-habilité par les quatre Universités de Bordeaux et géré par l UFR ISIC (Université Bordeaux 3). Les projets portés par l association sont axés sur la conception et la mise en place d événements de médiation scientifique, dont des conférences sous forme de tables rondes Science-Médias-Société. Pour plus d informations: Martin Clavey presse@bio.dealersdescience.com 11
13 Infos pratiques «Labels bio : garantie ou marketing?» Conférence gratuite et tout public, suivie d un buffet «bio» offert Mardi 19 janvier, 19h IUT Michel de Montaigne (sur le plateau télé de l IJBA, accessible aux handicapés) Tram C - arrêt Tauzia Bus 16/17 - arrêt Meunier et 9 - arrêt Peyronnet Le déroulé de la conférence suivra le plan suivant : - 19h : accueil du public - 19h15 : diffusion du micro-trottoir réalisé par les Dealers de Science pour l occasion - 19h20 : début de la discussion entre les intervenants - 20h15 : début du débat avec le public - 20h45 : buffet «bio» gratuit, proposé au public dans le hall de l IUT Contacts Contacts presse: Martin Clavey François Pacaud presse@bio.dealersdescience.com Pour plus d informations sur les Dealers de Science et nos manifestations : Martin Clavey presse@bio.dealersdescience.com 12
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