Sélection darwinienne et systèmes multi-agents

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Sélection darwinienne et systèmes multi-agents"

Transcription

1 Sélection darwinienne et systèmes multi-agents Samuel Landau Miriad - OASIS - LIP6

2 Objectifs Objectifs Conception de systèmes distribués adaptatifs Apprentissage distribué en ligne Exemples d application: services et réseaux informatiques contrôle d un robot simulations distribuées (biologiques ou sociales) insuffisamment spécifiées, par exemple : évaluation de paramètres libres, évolution de comportements, émission ou validation d hypothèses organisationnelles Samuel Landau 06/06/2003 Présentation INRA - Toulouse 2

3 Contraintes et problèmes Contraintes Descriptions des comportements évolués des entités : Appréhendables par les concepteurs par exemple assimilable à un ensemble de règles Pouvant disposer d états internes si nécessaire Problèmes Théorique: dans tout modèle d apprentissage distribué se pose le problème de Credit assignment [Minsky 1963] Pratique: comparaison des méthodes d apprentissage utilisées Samuel Landau 06/06/2003 Présentation INRA - Toulouse 3

4 Choix Capacités adaptatives obtenue par un processus de sélection darwinienne (évolution artificielle) Généricité, parallélisme Peu de prérequis sur l espace de recherche Apporte une réponse au Credit assignment Description des comportements par des structures intelligibles (architectures symboliques) Concevoir un cadre applicatif liant évolution artificielle et simulation multi-agent, et l implémenter en une plate-forme Samuel Landau 06/06/2003 Présentation INRA - Toulouse 4

5 SFERES [Landau, Doncieux et al 2001] Cadre applicatif d évolution artificielle et de simulation multi-agent travaux d abstraction sur les concepts des techniques évolutionnistes (dont les algorithmes évolutionnistes) Expérimenter plusieurs techniques évolutionnistes sur la même expérience Réutiliser une technique évolutionniste dans plusieurs expériences Plate-forme implantée en C++ sur Linux et sur les BSD libres Echéancier discret, interface avec un moteur de simulation 3D physique-réaliste, gestion fine des statistiques Environ 80 classes abstraites/ lignes de code, et 400 classes dérivées/ ldc Les principaux algorithmes évolutionnistes et architectures évoluables d agent sont implantées Samuel Landau 06/06/2003 Présentation INRA - Toulouse 5

6 Sélection darwinienne Principes [Darwin 1859] Individus en compétition pour des ressources limitées Sélection Ressemblance entre parents et enfants (hérédité) Variation Hypothèse d indépendance entre les causes de variations et celles de sélections Variations «aléatoires» Modèle «hasard - sélection» Gradualisme Darwinisme synthétique [Huxley/Wright 1942] Introduction de la génétique Samuel Landau 06/06/2003 Présentation INRA - Toulouse 6

7 Algorithmes évolutionnistes Méthodes d optimisation inspirées du modèle darwinien synthétique Sélection suivant la valeur d une fonction d évaluation (fitness) + Le génome peut coder pour des structures + Peu de prérequis sur l espace de recherche - Évolution hors ligne - Pas de solution générique pour le credit assignment - Coût élevé en nombre de présentation d exemples ( temps de calcul) Samuel Landau 06/06/2003 Présentation INRA - Toulouse 7

8 Modèles ontophylogénétiques tiques [Landau et Picault 2001, Landau 2003] Dualité organisme / écosystème Population en croissance et compétition sur les ressources Processus de sélection s darwinienne Les renforcements distribués s au système influent sur la disponibilité des ressources Pression sélective s induite renforcements comme pression sélective externe Organisme en développement (population d individus qui croit) ontogenèse Écosystème (composé d individus qui évoluent) phylogenèse Métaphore biologique de «l ontophylogenèse» [Kupiec 1981] Samuel Landau 06/06/2003 Présentation INRA - Toulouse 8

9 Modèles ontophylogénétiques tiques Comparaison avec les algorithmes évolutionnistes Algorithmes Évolutionnistes 1. Centralisé 2. Évaluation «statique» 3. Phylogenèse Modèles ontophylogénétiques 1. Distribué 2. Évaluation «dynamique» 3. Ontogenèse + phylogenèse (échelle inf.) 4. Fitness explicite 5. Hors ligne 6. Cycle exploration/exploitation 4. Fitness implicite 5. En ligne 6. Exploration et exploitation Samuel Landau 06/06/2003 Présentation INRA - Toulouse 9

10 Modèles ontophylogénétiques tiques Cas particuliers Systèmes de classeur (LCS) «Michigan style» Les individus sont les classeurs du système Nombre de classeurs et d états internes (le cas echéant) fixé à l avance Systèmes immunitaires artificiels (AIS) Les individus sont des vecteurs («anticorps») Les ressources constituent les renforcements Samuel Landau 06/06/2003 Présentation INRA - Toulouse 10

11 Modèles ontophylogénétiques tiques Propriétés Moins de présentations d exemples nécessaires Possibilité de distribuer les critères d évaluation sur la population Credit assignment implicite (via la sélection darwinienne) Extension et unification de l apprentissage par renforcement et de l évolution artificielle pour un système distribué Avec des structures : Plus souples que les LCS et AIS à l échelle individuelle (par ex. nombre de règles / d états internes non fixé a priori) Plus souples que les LCS et AIS à l échelle collective (par ex. populations non-homogènes / interactions plus riches) Samuel Landau 06/06/2003 Présentation INRA - Toulouse 11

12 Puissance d expression Évolution des structures Propriétés recherchées «Quasi continuité» du code génétique cadre gradualiste de la sélection darwinienne de petites variations du génotype doivent induire la plupart du temps des petites variations de la structure Neutralité [Kimura 1983] Redondance Épistasie faible Pouvoir générer des structures appréhendables pour faciliter l analyse, les manipulations et l amorçage Les codes génétiques existants ne vérifient pas toutes ces propriétés simultanément Samuel Landau 06/06/2003 Présentation INRA - Toulouse 12

13 Codes génétiquesg directs Le génotype est la structure Principales instances: Programmation génétique [Koza 1992] arbres Programmation évolutionniste [Fogel et al 1966 ] machines à états finis, réseaux de neurones, graphes, + Puissance d expression + Structures appréhendables Pas de redondance Épistasie forte Neutralité faible Nécessité de biaiser fortement les opérateurs génétiques Samuel Landau 06/06/2003 Présentation INRA - Toulouse 13

14 Codes génétiquesg indirects Construction de la structure à partir du «programme» génétique langages de construction, basés pour la plupart sur : une grammaires non contextuelle ou des règles de réécriture de type L-systems réseaux de neurones, circuits électroniques + Puissance d expression + Structures appréhendables o Redondance et neutralité suivant grammaire Épistasie hiérarchique liée à l application des règles de grammaire Nécessité pour les opérateurs génétiques de respecter les règles grammaticales La sémantique (structure produite) est encore très fortement liée à la syntaxe du génotype Samuel Landau 06/06/2003 Présentation INRA - Toulouse 14

15 Stack-Based Gene Expression [Landau et Picault 2001] Code indirect basé sur un langage à pile Samuel Landau 06/06/2003 Présentation INRA - Toulouse 15

16 Stack-Based Gene Expression Principes Les variations affectent le contenu et la taille de la chaîne Samuel Landau 06/06/2003 Présentation INRA - Toulouse 16

17 Stack-Based Gene Expression Propriétés Opérateurs classiques des AG, et même plus (insertion/déletion) car Toute chaîne est interprétable Pas de biais nécessaire sur les opérateurs génétiques Neutralité et redondance du code génétique (surjection) à l interprétation par ex.: l ordre peut ne pas importer pour certaines instructions plusieurs façon de coder les mêmes sous-structures structures différentes mais mêmes sémantique (dépend de l environnement) Épistasie Localité des instructions de la pile Grammaire contextuelle, «distribuée» sur les lexèmes Samuel Landau 06/06/2003 Présentation INRA - Toulouse 17

18 Stack-Based Gene Expression Inspiration biologique Métaphore de la synthèse de protéines Samuel Landau 06/06/2003 Présentation INRA - Toulouse 18

19 ATNoSFERES SBGE appliqué à l évolution d ATN connect dupnode c1? a1! node interprète ATN <vide> Samuel Landau 06/06/2003 Présentation INRA - Toulouse 19

20 ATNoSFERES SBGE appliqué à l évolution d ATN interprète connect dupnode c1? a1! 1 ATN 1 Samuel Landau 06/06/2003 Présentation INRA - Toulouse 20

21 ATNoSFERES SBGE appliqué à l évolution d ATN c1? interprète connect dupnode a1! 1 ATN 1 Samuel Landau 06/06/2003 Présentation INRA - Toulouse 21

22 ATNoSFERES SBGE appliqué à l évolution d ATN 1 c1? interprète connect a1! 1 ATN 1 Samuel Landau 06/06/2003 Présentation INRA - Toulouse 22

23 ATNoSFERES SBGE appliqué à l évolution d ATN 1 interprète 1 ATN c1? a1! 1 Samuel Landau 06/06/2003 Présentation INRA - Toulouse 23

24 ATNoSFERES SBGE appliqué à l évolution d ATN interprète ATN c1? Start a1! 1 End Samuel Landau 06/06/2003 Présentation INRA - Toulouse 24

25 Expérimentations individuelles Fonctionnement Conditions: N?/~N?, NE?/~NE?, Actions : N!, NE!, Samuel Landau 06/06/2003 Présentation INRA - Toulouse 25

26 Comparaison avec les LCS sur des problèmes non-markoviens Dans les modèles distribués, la localité des perceptions et actions des agents induisent souvent de devoir résoudre individuellement des POMDP ATNoSFERES peut résoudre individuellement des problèmes markoviens (expériences non décrites), mais de façon beaucoup moins efficace que les LCS (du fait de l algorithme génétique) Si on ne sait pas à l avance si le problème individuel sera markovien ou non, ATNoSFERES présente a priori l avantage de ne pas nécessiter plus d hypothèses Comparaisons sur des bancs d essais non-markoviens avec les principaux LCS permettant d attaquer des problèmes nonmarkoviens : XCSM (LCS à registres) et ACS (LCS pouvant exécuter des «chaînes comportementales») Samuel Landau 06/06/2003 Présentation INRA - Toulouse 26

27 Comparaison avec les LCS Fonctionnement de XCSM Samuel Landau 06/06/2003 Présentation INRA - Toulouse 27

28 Comparaison avec les LCS Équivalence formelle avec XCSM Étiquettes de condition / action sur les arcs (en limitant le nombre d actions) conditions / actions externes dans les règles Noeud état interne Origine d un arc condition interne Extrémité d un arc action interne ATN XCSM c1 c3? 0 1 a2! conditions actions externe interne externe interne c1 c2 c3 s1 a1 a2 g1 1 # Samuel Landau 06/06/2003 Présentation INRA - Toulouse 28

29 Environnement Maze10 [Lanzi 1998] environnement non-markovien : 13 cases présentant des alias perceptuels 5 cases non ambiguës ; 1 case «food» (sortie), perçue Samuel Landau 06/06/2003 Présentation INRA - Toulouse 29

30 Comparaison résultats Maze XCSMH ATNoSFERES optimum 1 0 nombre de pas moyen XCSMH : version de XCSM «hiérarchique» optimisée pour gérer plus efficacement les états internes Les résultats pour XCSM (15,1) n ont pas été portés pour ne pas «écraser» les histogrammes Samuel Landau 06/06/2003 Présentation INRA - Toulouse 30

31 Environnement E1 [Métivier et Lattaud 2002] environnement non-markovien : 20 cases présentant des alias perceptuels 24 cases non ambiguës ; 1 case «food» (sortie), perçue Samuel Landau 06/06/2003 Présentation INRA - Toulouse 31

32 Comparaison résultats E1 4 3,5 3 2,5 2 1,5 1 0,5 0 nombre de pas moyen ACS (2) ACS (3) ATNoSFERES optimum ACS nécessite de fixer au préalable le longueur maximale des «chaînes comportementales» (paramètre BS max), qui influe beaucoup sur la vitesse d apprentissage du modèle du monde Plus d améliorations au-delà de BS max=3 Samuel Landau 06/06/2003 Présentation INRA - Toulouse 32

33 Environnement E2 [Métivier et Lattaud 2002] environnement non-markovien : 36 cases présentant des alias perceptuels 22 cases non ambiguës ; 1 case «food» (sortie), perçue Samuel Landau 06/06/2003 Présentation INRA - Toulouse 33

34 Comparaison résultats E ACS ATNoSFERES optimum 1 0 nombre de pas moyen Métivier et Lattaud rapportent que faire varier BS max ne change pas grand-chose aux performances du système Samuel Landau 06/06/2003 Présentation INRA - Toulouse 34

35 Première expérimentation collective Enseigner un comportement à un robot pas dé démonstration traitement démonstrations réalisation Modèle naïf : un SMA contrôle le robot. Chaque agent perçoit la couleur d un pixel de l image captée par la caméra du robot, et fait une proposition d action. Les actions sont agrégées par un système de vote, et l action résultante est exécutée par le robot. L utilisateur distribue le renforcement au système soit explicitement, soit implicitement en pilotant le robot. Samuel Landau 06/06/2003 Présentation INRA - Toulouse 35

36 Première expérimentation collective Résultat : échec Problème trop complexe pour des études préliminaires de système ontophylogenétiques : modèle asynchrone pour ce qui est du développement / la robotique en environnement réel implique des perceptions bruitées et le traitement des perceptions visuelles est un problème vaste en soi A cependant permis de soulever des questions : celle du synchronisme des agents, qui ne se pose pas pour les LCS/AIS celle de la régulation du développement et de la pression sélective Les prochaines expériences sont en simulation, en substituant à ATNoSFERES et à l algorithme génétique un modèle distribué sur des automates, apprenant par renforcement Samuel Landau 06/06/2003 Présentation INRA - Toulouse 36

37 Conclusion Résultats SFERES validé (plusieurs techniques/expériences implantées) SBGE et ATNoSFERES validés dans le cadre individuel Observations expérimentales : parcimonie, régulations implicites Travaux actuels Étude du modèle de contrôle distribué en simulation Perspectives Apprentissage multicritère, distribué sur une population d automates possiblement non-homogène Auto-observation et capacité du système à agir sur sa propre activité, afin de créer des bassins d attraction le long du front de Pareto Application dans des modèles sociaux et naturels (CAS) Retour à la robotique quand le modèle sera dominé en simulation Samuel Landau 06/06/2003 Présentation INRA - Toulouse 37

Intelligence Artificielle et Systèmes Multi-Agents. Badr Benmammar bbm@badr-benmammar.com

Intelligence Artificielle et Systèmes Multi-Agents. Badr Benmammar bbm@badr-benmammar.com Intelligence Artificielle et Systèmes Multi-Agents Badr Benmammar bbm@badr-benmammar.com Plan La première partie : L intelligence artificielle (IA) Définition de l intelligence artificielle (IA) Domaines

Plus en détail

Resolution limit in community detection

Resolution limit in community detection Introduction Plan 2006 Introduction Plan Introduction Introduction Plan Introduction Point de départ : un graphe et des sous-graphes. But : quantifier le fait que les sous-graphes choisis sont des modules.

Plus en détail

Intelligence Artificielle et Robotique

Intelligence Artificielle et Robotique Intelligence Artificielle et Robotique Introduction à l intelligence artificielle David Janiszek david.janiszek@parisdescartes.fr http://www.math-info.univ-paris5.fr/~janiszek/ PRES Sorbonne Paris Cité

Plus en détail

Les apports de l informatique. Aux autres disciplines

Les apports de l informatique. Aux autres disciplines Les apports de l informatique Aux autres disciplines Le statut de technologie ou de sous-discipline est celui de l importation l et de la vulgarisation Le statut de science à part entière est lorsqu il

Plus en détail

Conception et contrôle des SMA tolérants aux fautes

Conception et contrôle des SMA tolérants aux fautes Conception et contrôle des SMA tolérants aux fautes Une plate-forme multiagents tolérante aux fautes à base de réplication Nora FACI Contexte SMA large échelle Nombre important d agents Ressources éloignées

Plus en détail

Modélisation multi-agents - Agents réactifs

Modélisation multi-agents - Agents réactifs Modélisation multi-agents - Agents réactifs Syma cursus CSI / SCIA Julien Saunier - julien.saunier@ifsttar.fr Sources www-lih.univlehavre.fr/~olivier/enseignement/masterrecherche/cours/ support/algofourmis.pdf

Plus en détail

basée sur le cours de Bertrand Legal, maître de conférences à l ENSEIRB www.enseirb.fr/~legal Olivier Augereau Formation UML

basée sur le cours de Bertrand Legal, maître de conférences à l ENSEIRB www.enseirb.fr/~legal Olivier Augereau Formation UML basée sur le cours de Bertrand Legal, maître de conférences à l ENSEIRB www.enseirb.fr/~legal Olivier Augereau Formation UML http://olivier-augereau.com Sommaire Introduction I) Les bases II) Les diagrammes

Plus en détail

Université de Bangui. Modélisons en UML

Université de Bangui. Modélisons en UML Université de Bangui CRM Modélisons en UML Ce cours a été possible grâce à l initiative d Apollinaire MOLAYE qui m a contacté pour vous faire bénéficier de mes connaissances en nouvelles technologies et

Plus en détail

Apprentissage Automatique

Apprentissage Automatique Apprentissage Automatique Introduction-I jean-francois.bonastre@univ-avignon.fr www.lia.univ-avignon.fr Définition? (Wikipedia) L'apprentissage automatique (machine-learning en anglais) est un des champs

Plus en détail

L apprentissage automatique

L apprentissage automatique L apprentissage automatique L apprentissage automatique L'apprentissage automatique fait référence au développement, à l analyse et à l implémentation de méthodes qui permettent à une machine d évoluer

Plus en détail

données en connaissance et en actions?

données en connaissance et en actions? 1 Partie 2 : Présentation de la plateforme SPSS Modeler : Comment transformer vos données en connaissance et en actions? SPSS Modeler : l atelier de data mining Large gamme de techniques d analyse (algorithmes)

Plus en détail

Conception des systèmes répartis

Conception des systèmes répartis Conception des systèmes répartis Principes et concepts Gérard Padiou Département Informatique et Mathématiques appliquées ENSEEIHT Octobre 2012 Gérard Padiou Conception des systèmes répartis 1 / 37 plan

Plus en détail

LES OUTILS D ALIMENTATION DU REFERENTIEL DE DB-MAIN

LES OUTILS D ALIMENTATION DU REFERENTIEL DE DB-MAIN LES OUTILS D ALIMENTATION DU REFERENTIEL DE DB-MAIN Les contenues de ce document sont la propriété exclusive de la société REVER. Ils ne sont transmis qu à titre d information et ne peuvent en aucun cas

Plus en détail

IFT2255 : Génie logiciel

IFT2255 : Génie logiciel IFT2255 : Génie logiciel Chapitre 6 - Analyse orientée objets Section 1. Introduction à UML Julie Vachon et Houari Sahraoui 6.1. Introduction à UML 1. Vers une approche orientée objet 2. Introduction ti

Plus en détail

Grandes lignes ASTRÉE. Logiciels critiques. Outils de certification classiques. Inspection manuelle. Definition. Test

Grandes lignes ASTRÉE. Logiciels critiques. Outils de certification classiques. Inspection manuelle. Definition. Test Grandes lignes Analyseur Statique de logiciels Temps RÉel Embarqués École Polytechnique École Normale Supérieure Mercredi 18 juillet 2005 1 Présentation d 2 Cadre théorique de l interprétation abstraite

Plus en détail

Évaluation et implémentation des langages

Évaluation et implémentation des langages Évaluation et implémentation des langages Les langages de programmation et le processus de programmation Critères de conception et d évaluation des langages de programmation Les fondations de l implémentation

Plus en détail

SFERES : Un framework pour la conception de systèmes multi-agents adaptatifs

SFERES : Un framework pour la conception de systèmes multi-agents adaptatifs RECHERCHE SFERES : Un framework pour la conception de systèmes multi-agents adaptatifs Samuel Landau * Stéphane Doncieux ** Alexis Drogoul * Jean-Arcady Meyer ** LIP6 Pôle IA thème OASIS 8, rue du Capitaine

Plus en détail

EXAMEN CRITIQUE D UN DOSSIER TECHNIQUE

EXAMEN CRITIQUE D UN DOSSIER TECHNIQUE EXAMEN CRITIQUE D UN DOSSIER TECHNIQUE (Préparation : 5 heures -- Exposé et Questions : 1 heure) Rapport établi par : P.J. BARRE, E. JEAY, D. MARQUIS, P. RAY, A. THIMJO 1. PRESENTATION DE L EPREUVE 1.1.

Plus en détail

Mesure agnostique de la qualité des images.

Mesure agnostique de la qualité des images. Mesure agnostique de la qualité des images. Application en biométrie Christophe Charrier Université de Caen Basse-Normandie GREYC, UMR CNRS 6072 Caen, France 8 avril, 2013 C. Charrier NR-IQA 1 / 34 Sommaire

Plus en détail

Sciences de Gestion Spécialité : SYSTÈMES D INFORMATION DE GESTION

Sciences de Gestion Spécialité : SYSTÈMES D INFORMATION DE GESTION Sciences de Gestion Spécialité : SYSTÈMES D INFORMATION DE GESTION Classe de terminale de la série Sciences et Technologie du Management et de la Gestion Préambule Présentation Les technologies de l information

Plus en détail

Utilisation d informations visuelles dynamiques en asservissement visuel Armel Crétual IRISA, projet TEMIS puis VISTA L asservissement visuel géométrique Principe : Réalisation d une tâche robotique par

Plus en détail

PEUT- ON SE PASSER DE LA NOTION DE FINALITÉ?

PEUT- ON SE PASSER DE LA NOTION DE FINALITÉ? PEUT- ON SE PASSER DE LA NOTION DE FINALITÉ? à propos de : D Aristote à Darwin et retour. Essai sur quelques constantes de la biophilosophie. par Étienne GILSON Vrin (Essais d art et de philosophie), 1971.

Plus en détail

Cours de Master Recherche

Cours de Master Recherche Cours de Master Recherche Spécialité CODE : Résolution de problèmes combinatoires Christine Solnon LIRIS, UMR 5205 CNRS / Université Lyon 1 2007 Rappel du plan du cours 16 heures de cours 1 - Introduction

Plus en détail

Chapitre 1 : Introduction aux bases de données

Chapitre 1 : Introduction aux bases de données Chapitre 1 : Introduction aux bases de données Les Bases de Données occupent aujourd'hui une place de plus en plus importante dans les systèmes informatiques. Les Systèmes de Gestion de Bases de Données

Plus en détail

Introduction au datamining

Introduction au datamining Introduction au datamining Patrick Naïm janvier 2005 Définition Définition Historique Mot utilisé au départ par les statisticiens Le mot indiquait une utilisation intensive des données conduisant à des

Plus en détail

Création intuitive des éléments d un paysage

Création intuitive des éléments d un paysage Création intuitive des éléments d un paysage Marie-Paule Cani Univ. Grenoble-Alpes, CNRS & Inria Organisation du cours «Façonner l imaginaire» Partie 1 : Création numérique 3D Modélisation géométrique

Plus en détail

Apprentissage incrémental par sélection de données dans un flux pour une application de sécurité routière

Apprentissage incrémental par sélection de données dans un flux pour une application de sécurité routière Apprentissage incrémental par sélection de données dans un flux pour une application de sécurité routière Nicolas Saunier INRETS Télécom Paris Sophie Midenet INRETS Alain Grumbach Télécom Paris Conférence

Plus en détail

MIS 102 Initiation à l Informatique

MIS 102 Initiation à l Informatique MIS 102 Initiation à l Informatique Responsables et cours : Cyril Gavoille Catherine Pannier Matthias Robine Marc Zeitoun Planning : 6 séances de cours 5 séances de TD (2h40) 4 séances de TP (2h40) + environ

Plus en détail

La Recherche du Point Optimum de Fonctionnement d un Générateur Photovoltaïque en Utilisant les Réseaux NEURO-FLOUS

La Recherche du Point Optimum de Fonctionnement d un Générateur Photovoltaïque en Utilisant les Réseaux NEURO-FLOUS Rev. Energ. Ren. : Chemss 2000 39-44 La Recherche du Point Optimum de Fonctionnement d un Générateur Photovoltaïque en Utilisant les Réseaux NEURO-FLOUS D.K. Mohamed, A. Midoun et F. Safia Département

Plus en détail

Une dérivation du paradigme de réécriture de multiensembles pour l'architecture de processeur graphique GPU

Une dérivation du paradigme de réécriture de multiensembles pour l'architecture de processeur graphique GPU Une dérivation du paradigme de réécriture de multiensembles pour l'architecture de processeur graphique GPU Gabriel Antoine Louis Paillard Ce travail a eu le soutien de la CAPES, agence brésilienne pour

Plus en détail

!-.!#- $'( 1&) &) (,' &*- %,!

!-.!#- $'( 1&) &) (,' &*- %,! 0 $'( 1&) +&&/ ( &+&& &+&))&( -.#- 2& -.#- &) (,' %&,))& &)+&&) &- $ 3.#( %, (&&/ 0 ' Il existe plusieurs types de simulation de flux Statique ou dynamique Stochastique ou déterministe A événements discrets

Plus en détail

Intelligence Artificielle Planification

Intelligence Artificielle Planification Intelligence Artificielle Planification Bruno Bouzy http://web.mi.parisdescartes.fr/~bouzy bruno.bouzy@parisdescartes.fr Licence 3 Informatique UFR Mathématiques et Informatique Université Paris Descartes

Plus en détail

Rapport d activité. Mathieu Souchaud Juin 2007

Rapport d activité. Mathieu Souchaud Juin 2007 Rapport d activité Mathieu Souchaud Juin 2007 Ce document fait la synthèse des réalisations accomplies durant les sept premiers mois de ma mission (de novembre 2006 à juin 2007) au sein de l équipe ScAlApplix

Plus en détail

Programmation d'agents intelligents Vers une refonte des fils de raisonnement. Stage de fin d'études Master IAD 2006

Programmation d'agents intelligents Vers une refonte des fils de raisonnement. Stage de fin d'études Master IAD 2006 vendredi 8 septembre 2006 Programmation d'agents intelligents Vers une refonte des fils de raisonnement Stage de fin d'études Master IAD 2006 Benjamin DEVEZE Responsable : M. Patrick TAILLIBERT Plan Plan

Plus en détail

MODELISATION UN ATELIER DE MODELISATION «RATIONAL ROSE»

MODELISATION UN ATELIER DE MODELISATION «RATIONAL ROSE» MODELISATION UN ATELIER DE MODELISATION «RATIONAL ROSE» Du cours Modélisation Semi -Formelle de Système d Information Du Professeur Jean-Pierre GIRAUDIN Décembre. 2002 1 Table de matière Partie 1...2 1.1

Plus en détail

Générer du code à partir d une description de haut niveau

Générer du code à partir d une description de haut niveau Cedric Dumoulin Générer du code à partir d une description de haut niveau Ce projet vise à fournir un environnement de développement permettant de modéliser des UI Android à un haut niveau d abstraction,

Plus en détail

Data Mining. Vincent Augusto 2012-2013. École Nationale Supérieure des Mines de Saint-Étienne. Data Mining. V. Augusto.

Data Mining. Vincent Augusto 2012-2013. École Nationale Supérieure des Mines de Saint-Étienne. Data Mining. V. Augusto. des des Data Mining Vincent Augusto École Nationale Supérieure des Mines de Saint-Étienne 2012-2013 1/65 des des 1 2 des des 3 4 Post-traitement 5 représentation : 6 2/65 des des Définition générale Le

Plus en détail

Développement spécifique d'un système d information

Développement spécifique d'un système d information Centre national de la recherche scientifique Direction des systèmes d'information REFERENTIEL QUALITE Procédure Qualité Développement spécifique d'un système d information Référence : CNRS/DSI/conduite-proj/developpement/proc-developpement-si

Plus en détail

Identification de nouveaux membres dans des familles d'interleukines

Identification de nouveaux membres dans des familles d'interleukines Identification de nouveaux membres dans des familles d'interleukines Nicolas Beaume Jérôme Mickolajczak Gérard Ramstein Yannick Jacques 1ère partie : Définition de la problématique Les familles de gènes

Plus en détail

Pourquoi l apprentissage?

Pourquoi l apprentissage? Pourquoi l apprentissage? Les SE sont basés sur la possibilité d extraire la connaissance d un expert sous forme de règles. Dépend fortement de la capacité à extraire et formaliser ces connaissances. Apprentissage

Plus en détail

Système à enseigner : Robot M.I.M.I. MultipodeIntelligent à Mobilité Interactive. Version 1.0

Système à enseigner : Robot M.I.M.I. MultipodeIntelligent à Mobilité Interactive. Version 1.0 Système à enseigner : Robot M.I.M.I. MultipodeIntelligent à Mobilité Interactive Sommaire - Le Robot M.I.M.I. (Multipode Intelligent à Mobilité Interactive) - Présentation du Système à Enseigner. - Composition

Plus en détail

Modèles et simulations informatiques des problèmes de coopération entre agents

Modèles et simulations informatiques des problèmes de coopération entre agents Modèles et simulations informatiques des problèmes de coopération entre agents Bruno Beaufils LIFL Axe CIM Équipe SMAC Laboratoire d'informatique Plan 1. Motivations 2. Dilemme itéré du prisonnier 3. Simulations

Plus en détail

Cours 1 : Qu est-ce que la programmation?

Cours 1 : Qu est-ce que la programmation? 1/65 Introduction à la programmation Cours 1 : Qu est-ce que la programmation? Yann Régis-Gianas yrg@pps.univ-paris-diderot.fr Université Paris Diderot Paris 7 2/65 1. Sortez un appareil qui peut se rendre

Plus en détail

Parcours en deuxième année

Parcours en deuxième année Parcours en deuxième année Unités d Enseignement (UE) ECTS Ingénierie des réseaux haut 4 débit Sécurité des réseaux et 4 télécoms Réseaux mobiles et sans fil 4 Réseaux télécoms et 4 convergence IP Infrastructure

Plus en détail

Construire un tableau de bord par Marc Maisonneuve

Construire un tableau de bord par Marc Maisonneuve Construire un tableau de bord par Marc Maisonneuve Le tableau de bord On peut le définir comme la présentation synoptique d indicateurs relatifs au suivi d une bibliothèque, d un projet, d un service.

Plus en détail

La plate-forme DIMA. Master 1 IMA COLI23 - Université de La Rochelle

La plate-forme DIMA. Master 1 IMA COLI23 - Université de La Rochelle La plate-forme DIMA Master 1 IMA COLI23 - Université de La Rochelle DIMA Bref aperçu Qu'est-ce? Acronyme de «Développement et Implémentation de Systèmes Multi-Agents» Initié par Zahia Guessoum et Jean-Pierre

Plus en détail

Programme scientifique Majeure INTELLIGENCE NUMERIQUE. Mentions Image et Réalité Virtuelle Intelligence Artificielle et Robotique

Programme scientifique Majeure INTELLIGENCE NUMERIQUE. Mentions Image et Réalité Virtuelle Intelligence Artificielle et Robotique É C O L E D I N G É N I E U R D E S T E C H N O L O G I E S D E L I N F O R M A T I O N E T D E L A C O M M U N I C A T I O N Programme scientifique Majeure INTELLIGENCE NUMERIQUE Langage Java Mentions

Plus en détail

Complexité et auto-organisation chez les insectes sociaux. Complexité et auto-organisation chez les insectes sociaux

Complexité et auto-organisation chez les insectes sociaux. Complexité et auto-organisation chez les insectes sociaux Complexité et auto-organisation chez les insectes sociaux Guy Theraulaz Centre de Recherches sur la Cognition Animale CNRS, UMR 5169, Toulouse, France Marathon des Sciences XXIII ème Festival d Astronomie,

Plus en détail

Suivant les langages de programmation, modules plus avancés : modules imbriqués modules paramétrés par des modules (foncteurs)

Suivant les langages de programmation, modules plus avancés : modules imbriqués modules paramétrés par des modules (foncteurs) Modularité Extensions Suivant les langages de programmation, modules plus avancés : modules imbriqués modules paramétrés par des modules (foncteurs) généricité modules de première classe : peuvent être

Plus en détail

Proposition de sujet de thèse CIFRE EUROCOPTER / LGI2P

Proposition de sujet de thèse CIFRE EUROCOPTER / LGI2P EUROCOPTER SAS Groupe EADS Marignane Ecole des Mines d Alès Laboratoire de Génie Informatique et d Ingénierie de Production LGI2P Nîmes Proposition de sujet de thèse CIFRE EUROCOPTER / LGI2P Titre Domaine

Plus en détail

Programme scientifique Majeure ARCHITECTURE DES SYSTEMES D INFORMATION. Mentions Ingénierie des Systèmes d Information Business Intelligence

Programme scientifique Majeure ARCHITECTURE DES SYSTEMES D INFORMATION. Mentions Ingénierie des Systèmes d Information Business Intelligence É C O L E D I N G É N I E U R D E S T E C H N O L O G I E S D E L I N F O R M A T I O N E T D E L A C O M M U N I C A T I O N Programme scientifique Majeure ARCHITECTURE DES SYSTEMES D INFORMATION Mentions

Plus en détail

quelles sont les spécificités du système de gouvernance des PME - PMI?

quelles sont les spécificités du système de gouvernance des PME - PMI? LA GOUVERNANCE DES PME-PMI Gérard CHARREAUX Professeur de Sciences de Gestion à 1 Université de Bourgogne, Dijon PREAMBULE Il est probable que vous vous interrogez sur l'apport des recherches en matière

Plus en détail

Grammaires d unification

Grammaires d unification Cours sur le traitement automatique des langues (IV) Violaine Prince Université de Montpellier 2 LIRMM-CNRS Grammaires d unification Grammaire catégorielle Grammaire syntagmatique généralisée (GPSG) Les

Plus en détail

Rappels sur les suites - Algorithme

Rappels sur les suites - Algorithme DERNIÈRE IMPRESSION LE 14 septembre 2015 à 12:36 Rappels sur les suites - Algorithme Table des matières 1 Suite : généralités 2 1.1 Déition................................. 2 1.2 Exemples de suites............................

Plus en détail

L E C O U T E P r i n c i p e s, t e c h n i q u e s e t a t t i t u d e s

L E C O U T E P r i n c i p e s, t e c h n i q u e s e t a t t i t u d e s L E C O U T E P r i n c i p e s, t e c h n i q u e s e t a t t i t u d e s L E C O U T E P r i n c i p e s, t e c h n i q u e s e t a t t i t u d e s Stéphane Safin Psychologue - Ergonome Lucid Group -

Plus en détail

Information utiles. cinzia.digiusto@gmail.com. webpage : Google+ : http://www.ibisc.univ-evry.fr/ digiusto/

Information utiles. cinzia.digiusto@gmail.com. webpage : Google+ : http://www.ibisc.univ-evry.fr/ digiusto/ Systèmes de gestion de bases de données Introduction Université d Evry Val d Essonne, IBISC utiles email : cinzia.digiusto@gmail.com webpage : http://www.ibisc.univ-evry.fr/ digiusto/ Google+ : https://plus.google.com/u/0/b/103572780965897723237/

Plus en détail

Mises en relief. Information supplémentaire relative au sujet traité. Souligne un point important à ne pas négliger.

Mises en relief. Information supplémentaire relative au sujet traité. Souligne un point important à ne pas négliger. Cet ouvrage est fondé sur les notes d un cours dispensé pendant quelques années à l Institut universitaire de technologie de Grenoble 2, au sein du Département statistique et informatique décisionnelle

Plus en détail

Objectifs. Clustering. Principe. Applications. Applications. Cartes de crédits. Remarques. Biologie, Génomique

Objectifs. Clustering. Principe. Applications. Applications. Cartes de crédits. Remarques. Biologie, Génomique Objectifs Clustering On ne sait pas ce qu on veut trouver : on laisse l algorithme nous proposer un modèle. On pense qu il existe des similarités entre les exemples. Qui se ressemble s assemble p. /55

Plus en détail

Architecture distribuée

Architecture distribuée Architecture distribuée Conception et développement d algorithmes distribués pour le moteur Baboukweb Jean-Christophe DALLEAU Département de Mathématiques et Informatique Université de La Réunion 26 juin

Plus en détail

Les diagrammes de modélisation

Les diagrammes de modélisation L approche Orientée Objet et UML 1 Plan du cours Introduction au Génie Logiciel L approche Orientée Objet et Notation UML Les diagrammes de modélisation Relations entre les différents diagrammes De l analyse

Plus en détail

Sillage Météo. Notion de sillage

Sillage Météo. Notion de sillage Sillage Météo Les représentations météorologiques sous forme d animation satellites image par image sont intéressantes. Il est dommage que les données ainsi visualisées ne soient pas utilisées pour une

Plus en détail

MASTER SIS PRO : logique et sécurité DÉTECTION D INTRUSIONS. Odile PAPINI, LSIS. Université de Toulon et du Var. papini@univ-tln.

MASTER SIS PRO : logique et sécurité DÉTECTION D INTRUSIONS. Odile PAPINI, LSIS. Université de Toulon et du Var. papini@univ-tln. MASTER SIS PRO : logique et sécurité DÉTECTION D INTRUSIONS Odile PAPINI, LSIS. Université de Toulon et du Var. papini@univ-tln.fr Plan Introduction Généralités sur les systèmes de détection d intrusion

Plus en détail

3A-IIC - Parallélisme & Grid GRID : Définitions. GRID : Définitions. Stéphane Vialle. Stephane.Vialle@supelec.fr http://www.metz.supelec.

3A-IIC - Parallélisme & Grid GRID : Définitions. GRID : Définitions. Stéphane Vialle. Stephane.Vialle@supelec.fr http://www.metz.supelec. 3A-IIC - Parallélisme & Grid Stéphane Vialle Stephane.Vialle@supelec.fr http://www.metz.supelec.fr/~vialle Principes et Objectifs Evolution Leçons du passé Composition d une Grille Exemple d utilisation

Plus en détail

L intelligence artificielle distribuée appliquée aux jeux d équipe situés dans un milieu dynamique : l exemple de la RoboCup

L intelligence artificielle distribuée appliquée aux jeux d équipe situés dans un milieu dynamique : l exemple de la RoboCup Maîtrise d Informatique Option Tranversale Université Paris 8 L intelligence artificielle distribuée appliquée aux jeux d équipe situés dans un milieu dynamique : l exemple de la RoboCup Benjamin DRIEU

Plus en détail

Semestre 1. Objectifs Approfondissement de l environnement Java et de son interface de programmation d applications : réseaux, et processus.

Semestre 1. Objectifs Approfondissement de l environnement Java et de son interface de programmation d applications : réseaux, et processus. Programmation Java avancée (3 ECTS 36h) Semestre 1 Approfondissement de l environnement Java et de son interface de programmation d applications : réseaux, et processus. Introduction. Rappels des concepts

Plus en détail

Chap 4: Analyse syntaxique. Prof. M.D. RAHMANI Compilation SMI- S5 2013/14 1

Chap 4: Analyse syntaxique. Prof. M.D. RAHMANI Compilation SMI- S5 2013/14 1 Chap 4: Analyse syntaxique 1 III- L'analyse syntaxique: 1- Le rôle d'un analyseur syntaxique 2- Grammaires non contextuelles 3- Ecriture d'une grammaire 4- Les méthodes d'analyse 5- L'analyse LL(1) 6-

Plus en détail

Manuel d utilisation 26 juin 2011. 1 Tâche à effectuer : écrire un algorithme 2

Manuel d utilisation 26 juin 2011. 1 Tâche à effectuer : écrire un algorithme 2 éducalgo Manuel d utilisation 26 juin 2011 Table des matières 1 Tâche à effectuer : écrire un algorithme 2 2 Comment écrire un algorithme? 3 2.1 Avec quoi écrit-on? Avec les boutons d écriture........

Plus en détail

Exemple de réalisation dans le cas de projets pilotes Smart Grids. sociétaux» 13 juin, Laas-CNRS Toulouse Jean Wild

Exemple de réalisation dans le cas de projets pilotes Smart Grids. sociétaux» 13 juin, Laas-CNRS Toulouse Jean Wild Exemple de réalisation dans le cas de projets pilotes Smart Grids «Smart grids au carrefour des enjeux technologiques et sociétaux» 13 juin, Laas-CNRS Toulouse Jean Wild l'essentiel Milliards d euros de

Plus en détail

Limitations of the Playstation 3 for High Performance Cluster Computing

Limitations of the Playstation 3 for High Performance Cluster Computing Introduction Plan Limitations of the Playstation 3 for High Performance Cluster Computing July 2007 Introduction Plan Introduction Intérêts de la PS3 : rapide et puissante bon marché L utiliser pour faire

Plus en détail

Jade. Projet Intelligence Artificielle «Devine à quoi je pense»

Jade. Projet Intelligence Artificielle «Devine à quoi je pense» Jade Projet Intelligence Artificielle «Devine à quoi je pense» Réalisé par Djénéba Djikiné, Alexandre Bernard et Julien Lafont EPSI CSII2-2011 TABLE DES MATIÈRES 1. Analyse du besoin a. Cahier des charges

Plus en détail

Modélisation et Simulation

Modélisation et Simulation Cours de modélisation et simulation p. 1/64 Modélisation et Simulation G. Bontempi Département d Informatique Boulevard de Triomphe - CP 212 http://www.ulb.ac.be/di Cours de modélisation et simulation

Plus en détail

MABioVis. Bio-informatique et la

MABioVis. Bio-informatique et la MABioVis Modèles et Algorithmes pour la Bio-informatique et la Visualisation Visite ENS Cachan 5 janvier 2011 MABioVis G GUY MELANÇON (PR UFR Maths Info / EPI GRAVITE) (là, maintenant) - MABioVis DAVID

Plus en détail

Agrégation de liens xdsl sur un réseau radio

Agrégation de liens xdsl sur un réseau radio Agrégation de liens xdsl sur un réseau radio Soutenance TX Suiveur: Stéphane Crozat Commanditaire: tetaneutral.net/laurent Guerby 1 02/02/212 Introduction 2 Introduction: schéma 3 Définition d un tunnel

Plus en détail

Vers une approche Adaptative pour la Découverte et la Composition Dynamique des Services

Vers une approche Adaptative pour la Découverte et la Composition Dynamique des Services 69 Vers une approche Adaptative pour la Découverte et la Composition Dynamique des Services M. Bakhouya, J. Gaber et A. Koukam Laboratoire Systèmes et Transports SeT Université de Technologie de Belfort-Montbéliard

Plus en détail

I Stabilité, Commandabilité et Observabilité 11. 1 Introduction 13 1.1 Un exemple emprunté à la robotique... 13 1.2 Le plan... 18 1.3 Problème...

I Stabilité, Commandabilité et Observabilité 11. 1 Introduction 13 1.1 Un exemple emprunté à la robotique... 13 1.2 Le plan... 18 1.3 Problème... TABLE DES MATIÈRES 5 Table des matières I Stabilité, Commandabilité et Observabilité 11 1 Introduction 13 1.1 Un exemple emprunté à la robotique................... 13 1.2 Le plan...................................

Plus en détail

Chapitre VI- La validation de la composition.

Chapitre VI- La validation de la composition. Chapitre VI- La validation de la composition. Objectifs du chapitre : Expliquer les conséquences de l utilisation de règles de typage souples dans SEP. Présenter le mécanisme de validation des connexions

Plus en détail

Génie Industriel et Maintenance

Génie Industriel et Maintenance Génie Industriel et Maintenance Pour qu aucun de ces systèmes ne tombe en panne. Plan de la visite 1 2 3 6 4 5 Guide visite du département Génie Industriel et Maintenance 1 Salles Informatiques Utilisation

Plus en détail

Contexte et motivations Les techniques envisagées Evolution des processus Conclusion

Contexte et motivations Les techniques envisagées Evolution des processus Conclusion Vérification de logiciels par analyse statique Contexte et motivations Les techniques envisagées Evolution des processus Conclusion Contexte et motivations Specification Design architecture Revues and

Plus en détail

BASES DE DONNÉES. CNAM Centre associé de Clermont-Ferrand Cycle A Année 1997-98. J. Darmont I. INTRODUCTION II. LES SYSTÈMES HIÉRARCHIQUES

BASES DE DONNÉES. CNAM Centre associé de Clermont-Ferrand Cycle A Année 1997-98. J. Darmont I. INTRODUCTION II. LES SYSTÈMES HIÉRARCHIQUES BASES DE DONNÉES CNAM Centre associé de Clermont-Ferrand Cycle A Année 1997-98 J. Darmont I. INTRODUCTION II. LES SYSTÈMES HIÉRARCHIQUES III. LES SYSTÈMES RÉSEAU IV. LES SYSTÈMES RELATIONNELS V. LE LANGAGE

Plus en détail

Table des matières. CHAPITRE 1 Le conseil en organisation : bilan et perspectives... 15

Table des matières. CHAPITRE 1 Le conseil en organisation : bilan et perspectives... 15 Table des matières Préface... 5 Avertissement... 9 Introduction... 11 CHAPITRE 1 Le conseil en organisation : bilan et perspectives... 15 1 L activité du consultant, un terrain peu exploré... 16 2 Deux

Plus en détail

Les attentes du marché

Les attentes du marché www.pwc.com Les attentes du marché Octobre 2012 L état des lieux à propos des formats de reporting et de l appropriation par le marché du XBRL La taxonomie XBRL pour les reportings Solvabilité 2 a fait

Plus en détail

Français langue étrangère Savoir-faire - Actes de paroles - Supports d apprentissage -Tâches

Français langue étrangère Savoir-faire - Actes de paroles - Supports d apprentissage -Tâches Niveau C1 Descripteur global Français langue étrangère Savoir-faire - Actes de paroles - Supports d apprentissage -Tâches La personne peut : comprendre en détail de longs discours et des échanges complexes

Plus en détail

Synthèse du «Schéma Directeur des Espaces Numériques de Travail» A l attention du Premier degré (doc réalisé par Les MATICE 76)

Synthèse du «Schéma Directeur des Espaces Numériques de Travail» A l attention du Premier degré (doc réalisé par Les MATICE 76) Synthèse du «Schéma Directeur des Espaces Numériques de Travail» A l attention du Premier degré (doc réalisé par Les MATICE 76) 1. Qu est-ce que le SDET : schéma directeur des espaces numériques de travail?

Plus en détail

Gènes Diffusion - EPIC 2010

Gènes Diffusion - EPIC 2010 Gènes Diffusion - EPIC 2010 1. Contexte. 2. Notion de génétique animale. 3. Profil de l équipe plateforme. 4. Type et gestion des données biologiques. 5. Environnement Matériel et Logiciel. 6. Analyses

Plus en détail

SECTION 5 BANQUE DE PROJETS

SECTION 5 BANQUE DE PROJETS SECTION 5 BANQUE DE PROJETS INF 4018 BANQUE DE PROJETS - 1 - Banque de projets PROJET 2.1 : APPLICATION LOGICIELLE... 3 PROJET 2.2 : SITE WEB SÉMANTIQUE AVEC XML... 5 PROJET 2.3 : E-LEARNING ET FORMATION

Plus en détail

3. SPÉCIFICATIONS DU LOGICIEL. de l'expression des besoins à la conception. Spécifications fonctionnelles Analyse fonctionnelle et méthodes

3. SPÉCIFICATIONS DU LOGICIEL. de l'expression des besoins à la conception. Spécifications fonctionnelles Analyse fonctionnelle et méthodes PLAN CYCLE DE VIE D'UN LOGICIEL EXPRESSION DES BESOINS SPÉCIFICATIONS DU LOGICIEL CONCEPTION DU LOGICIEL LA PROGRAMMATION TESTS ET MISE AU POINT DOCUMENTATION CONCLUSION C.Crochepeyre Génie Logiciel Diapason

Plus en détail

Machines virtuelles Cours 1 : Introduction

Machines virtuelles Cours 1 : Introduction Machines virtuelles Cours 1 : Introduction Pierre Letouzey 1 pierre.letouzey@inria.fr PPS - Université Denis Diderot Paris 7 janvier 2012 1. Merci à Y. Régis-Gianas pour les transparents Qu est-ce qu une

Plus en détail

La classification automatique de données quantitatives

La classification automatique de données quantitatives La classification automatique de données quantitatives 1 Introduction Parmi les méthodes de statistique exploratoire multidimensionnelle, dont l objectif est d extraire d une masse de données des informations

Plus en détail

Synthèse «Le Plus Grand Produit»

Synthèse «Le Plus Grand Produit» Introduction et Objectifs Synthèse «Le Plus Grand Produit» Le document suivant est extrait d un ensemble de ressources plus vastes construites par un groupe de recherche INRP-IREM-IUFM-LEPS. La problématique

Plus en détail

Eléments constitutifs et synthèse des convertisseurs statiques. Convertisseur statique CVS. K à séquences convenables. Source d'entrée S1

Eléments constitutifs et synthèse des convertisseurs statiques. Convertisseur statique CVS. K à séquences convenables. Source d'entrée S1 1 Introduction Un convertisseur statique est un montage utilisant des interrupteurs à semiconducteurs permettant par une commande convenable de ces derniers de régler un transfert d énergie entre une source

Plus en détail

Informatique et mathématiques

Informatique et mathématiques Informatique Discipline qui traite de tous les aspects, tant théoriques que pratiques, reliés à la conception, à la programmation, au fonctionnement et à l utilisation des ordinateurs. Algorithmique Étude

Plus en détail

TP N 57. Déploiement et renouvellement d une constellation de satellites

TP N 57. Déploiement et renouvellement d une constellation de satellites TP N 57 Déploiement et renouvellement d une constellation de satellites L objet de ce TP est d optimiser la stratégie de déploiement et de renouvellement d une constellation de satellites ainsi que les

Plus en détail

Vérifier la qualité de vos applications logicielle de manière continue

Vérifier la qualité de vos applications logicielle de manière continue IBM Software Group Vérifier la qualité de vos applications logicielle de manière continue Arnaud Bouzy Kamel Moulaoui 2004 IBM Corporation Agenda Analyse de code Test Fonctionnel Test de Performance Questions

Plus en détail

Cloud Computing et SaaS

Cloud Computing et SaaS Cloud Computing et SaaS On a vu fleurir ces derniers temps un grands nombre de sigles. L un des premiers est SaaS, Software as a Service, sur lequel nous aurons l occasion de revenir. Mais il y en a beaucoup

Plus en détail

Formula Negator, Outil de négation de formule.

Formula Negator, Outil de négation de formule. Formula Negator, Outil de négation de formule. Aymerick Savary 1,2, Mathieu Lassale 1,2, Jean-Louis Lanet 1 et Marc Frappier 2 1 Université de Limoges 2 Université de Sherbrooke Résumé. Cet article présente

Plus en détail

EXPLOITATIONS PEDAGOGIQUES DU TABLEUR EN STG

EXPLOITATIONS PEDAGOGIQUES DU TABLEUR EN STG Exploitations pédagogiques du tableur en STG Académie de Créteil 2006 1 EXPLOITATIONS PEDAGOGIQUES DU TABLEUR EN STG Commission inter-irem lycées techniques contact : dutarte@club-internet.fr La maquette

Plus en détail

Retour d expériences avec UML

Retour d expériences avec UML Retour d expériences avec UML UML pour les systèmes biologiques Marie-Hélène Moirez-Charron, UMR AGIR, équipe MAGE INRA Toulouse mailto:marie-helene.charron@toulouse.inra.fr PLAN Contexte de travail UML,

Plus en détail

LE PLAISIR D APPRENDRE POUR APPRENDRE

LE PLAISIR D APPRENDRE POUR APPRENDRE Ville-École-Intégration, n 119, décembre 1999 LE PLAISIR D APPRENDRE POUR APPRENDRE Jean-Pierre ARCHAMBAULT (*) Les TICE favorisent le travail collectif et aident au travail individuel, ont l attrait de

Plus en détail

Christophe Le Page CIRAD - UPR Green

Christophe Le Page CIRAD - UPR Green Christophe Le Page CIRAD - UPR Green Combiner jeux de rôles et simulation informatique pour modéliser avec les acteurs les interactions entre dynamiques écologiques et dynamiques sociales dans les agro-écosystèmes

Plus en détail

NOM : Prénom : Date de naissance : Ecole : CM2 Palier 2

NOM : Prénom : Date de naissance : Ecole : CM2 Palier 2 NOM : Prénom : Date de naissance : Ecole : CM2 Palier 2 Résultats aux évaluations nationales CM2 Annexe 1 Résultats de l élève Compétence validée Lire / Ecrire / Vocabulaire / Grammaire / Orthographe /

Plus en détail