OUTILS DE VEILLE STRATEGIQUE

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "OUTILS DE VEILLE STRATEGIQUE"

Transcription

1 OUTILS DE VEILLE STRATEGIQUE Présenté par : KOUAKOU RASOARILALA Josther Date : 16 Mars 2010 Lieu : BNETD Département des Etudes Economiques et Financières

2 Plan de la présentation 1. Introduction 2. Veille, concepts, composantes et processus 3. Etapes et outils de la veille Expérience et compétence pour vous servir Diapo : 2

3 1. Introduction Aujourd'hui les organisations privées et publiques évoluent dans un environnement en complexification croissante, caractérisé par une concurrence accrue, une mondialisation des échanges, une forte évolution tant sur le plan technologique que sur le plan réglementaire ou économique les obligeant à anticiper et à innover pour une prise de décision rapide. Dans ce contexte, le besoin d'être bien informé devient une préoccupation centrale des dirigeants. L'information devient ainsi une ressource déterminante pour l'avenir et son utilisation comme facteur de développement est indiscutable. Expérience et compétence pour vous servir Diapo : 3

4 1. Introduction Ainsi, un système de veille solide et efficace devient nécessaire. Il permet d'assurer la pertinence du processus décisionnel. Il garantit la pérennité de l organisation dans un environnement concurrentiel. compte tenu, d une part, de sa mission de conseil du Gouvernement, et d autre part, de sa position de cabinet d études et de contrôle de grands travaux, se doit de disposer d instrument lui permettant d envoyer des signaux forts et d alerter les gouvernants sur les risques éventuels à éviter et les opportunités à saisir pour le développement du pays. D où la mise en place d'un dispositif de veille. Expérience et compétence pour vous servir Diapo : 4

5 II. Veille, concepts, composantes et processus II.1. Concept de veille L'homme a toujours pratiqué la veille. Surveiller, observer, écouter, être attentif sont des activités naturelles pour l'être humain. Au cours des vingt dernières années, beaucoup d organisations ont mis en place des activités de surveillance, de veille ou d'intelligence économique. En effet, l'environnement d une organisation revêt une importance particulière parce qu'il entretient avec l'organisation une multitude de relations diverses qui s'influencent mutuellement et de manière permanente. L'environnement se définit comme l'ensemble des acteurs susceptibles d'exercer une influence directe sur l'organisation. Expérience et compétence pour vous servir Diapo : 5

6 II. Veille, concepts, composantes et processus II.1. Concept de veille L environnement est ainsi considéré comme «la totalité des facteurs physiques et sociaux qui sont pris en considération dans le comportement de prise de décision des individus dans une organisation». Il est composé de groupes d'acteurs : internes (propriétaires, salariés, management) et ; externes (clients, fournisseurs, concurrents, pouvoirs publics, collectivités, associations professionnelles, banques). Il peut aussi être divisé en diverses composantes : tendances économiques ; évolutions démographiques (croissance de la population...) ; évolution technologique ; institutions politico-légales ; facteurs sociaux culturels. Expérience et compétence pour vous servir Diapo : 6

7 II. Veille, concepts, composantes et processus II.1. Concept de veille Le concept de veille désigne le processus informationnel volontariste par lequel l'organisation recherche des informations à caractère anticipatif susceptibles d'influer sur sa pérennité. Elle permet à l'organisation de détecter les signaux annonciateurs de changements et de se préparer à leur venue. Le terme indique que les informations fournies par le «radar» ne concernent pas le quotidien de l'organisation mais plutôt l'orientation des décisions qui engagent son devenir et son évolution, en liaison avec les tendances de son environnement. C est «un processus par lequel l'organisation observe, recherche, localise, traite, analyse et diffuse l'information à des buts décisionnels et compétitifs». Expérience et compétence pour vous servir Diapo : 7

8 II. Veille, concepts, composantes et processus II.2. Les composantes de la veille La veille intègre l'ensemble des types de veille. Elle peut être technologique, concurrentielle, réglementaire, scientifique, financière, économique, commerciale, politique etc... La veille technologique permet d'identifier les techniques ou technologies mises en oeuvre dans le cadre du domaine d'activité de l'organisation ou de son métier et peut également contribuer à détecter les menaces émanant de l'environnement pour parer aux mauvaises surprises et saisir les opportunités qui peuvent s'y trouver pour en tirer des avantages concurrentiels profitables à l'organisation. La veille concurrentielle aide l'organisation à rechercher et à collecter les informations qui lui permettent d'identifier ses concurrents actuels et potentiels et mieux comprendre leurs forces et leurs faiblesses. Expérience et compétence pour vous servir Diapo : 8

9 II. Veille, concepts, composantes et processus II.2. Les composantes de la veille La veille commerciale consiste à obtenir des informations utiles et viables permettant d'anticiper les évolutions du marché (clients) et des fournisseurs. La veille «brevet» permet à l'organisation de surveiller l'évolution des brevets, marques et modèles déposés pour bien connaître ceux qui sont en vigueur, pour identifier les organisations dépositaires et protéger son patrimoine. La veille environnementale a pour but de rechercher, recueillir, traiter et diffuser les informations émanant de l'environnement interne et externe de l'organisation et portant sur les aspects sociaux culturels, juridiques, politiques... Expérience et compétence pour vous servir Diapo : 9

10 II. Veille, concepts, composantes et processus II.3. Le processus de veille C est un processus informationnel comprenant plusieurs étapes cycliques. L'analyse de ce processus montre qu'il n'est pas une tâche isolée d'une ou de deux personnes mais qu'il est réellement transversal (faisant intervenir plusieurs personnes situées à plusieurs niveaux et de manière organisée). Le processus de la veille s'apparente à une chaîne. Si l'un des maillons de la chaîne se trouve affectée par une quelconque défaillance, c'est l'ensemble du processus qui va être grippé. Il est indispensable de faire fonctionner les éléments de la chaîne en même temps sans les isoler les uns des autres tout en s'efforçant de leur donner le même rythme. De plus, à chaque étape correspond des méthodes et des outils spécifiques. Expérience et compétence pour vous servir Diapo : 10

11 III. Etapes et outils de la veille Humbert Lesca, l'inspirateur et l'architecte du processus de la veille pour de nombreux auteurs met en évidence plusieurs étapes : Le ciblage : Il délimite la partie de l'environnement que l'organisation doit surveiller. La traque désigne l'opération que l'organisation doit mener pour se procurer les informations recherchées. La remontée et la circulation se présente comme une opération permettant au traqueur de transmettre les informations collectées aux personnes chargées de leur stockage. La sélection des informations représente l'opération au cours de laquelle les informations sont retenues ou rejetées. Expérience et compétence pour vous servir Diapo : 11

12 III. Etapes et outils de la veille La création de sens ( phase cruciale du processus) Elle consiste à traiter et à interpréter les informations collectées et sélectionnées et de faire un rapprochement entre informations ambiguës, incertaines et fragmentaires et informations mémorisées individuelles et collectives afin d'aboutir à la création de liens significatifs. La diffusion consiste à mettre à la disposition des utilisateurs désignés les informations résultant de l'opération de création de sens. L'action permet d'intégrer les informations jugées pertinentes et suffisamment significatives dans le processus décisionnel. Expérience et compétence pour vous servir Diapo : 12

13 III. Etapes et outils de la veille III.1 Le ciblage Le ciblage consiste à scruter la partie de l'environnement que l organisation décide de mettre sous surveillance. Il s'agit d'identifier «les acteurs pertinents» c'està-dire des acteurs susceptibles, par leurs décisions et leurs actions, d'avoir une influence sur la pérennité de l organisation. Ainsi, l'environnement apparaît comme un ensemble d'acteurs que sont : les clients, les concurrents, les pouvoirs publics, les institutions financières tant nationales qu internationales, les organisations sous-régionales, régionales et internationales, les pays etc. L'opération de ciblage est un travail collectif qui consiste à construire la cible. Elle permet de réunir l'ensemble des correspondants et du réseau de compétences spécialisées de la branche d'activité concernée. Expérience et compétence pour vous servir Diapo : 13

14 III. Etapes et outils de la veille III.1 Le ciblage An niveau du BNETD, le Chef de l unité de travail dirige la séance qui enregistre la participation de: directeur du département concerné par le secteur ou son représentant ; correspondants (personnes chargées de traquer les informations) ; autres responsables de la branche d'activité désignés par le directeur de département Au cours de chacune des séances, un travail d'explicitation doit être mené sous forme de brainstorming pour cerner la partie de l'environnement que l organisation décide d'observer et de mettre sous surveillance c'est -à - dire circonscrire les acteurs. Les étapes du ciblage sont : 1. Nommer et lister les acteurs pertinents ; 2. Définir les cibles prioritaires ; 3. Recenser les thèmes pertinents ; 4. Cibler les thèmes prioritaires ; 5. Cibler les informations pour chaque thème prioritaire. Expérience et compétence pour vous servir Diapo : 14

15 III. Etapes et outils de la veille III.1 Le ciblage a. Nommer et lister les acteurs pertinents Les acteurs (clients, concurrents, pouvoirs publics, etc) doivent être identifiés et nommés. Leurs noms et adresses (postale ou électronique), téléphone et fax bien connus. Ils peuvent être actifs actuellement ou dans un proche avenir. Ensuite il est nécessaire de qualifier leur influence selon la typologie des acteurs existante: Acteur direct : c'est un acteur qui nous concerne directement ; Acteur indirect : c'est un acteur qui ne nous concerne pas directement. L observation de «l'indirect» pourrait nous aider à anticiper au sujet du «direct». La réflexion ne doit pas porter non seulement sur les acteurs actuels, mais également sur les acteurs potentiels. Expérience et compétence pour vous servir Diapo : 15

16 III. Etapes et outils de la veille III.1 Le ciblage b. Définir les cibles prioritaires Pour arrêter la liste des différents acteurs qu'il faut surveiller, il faut procéder à une hiérarchisation, d où la définition de critères. Ce sont: 1. Le degré d'influence 2. la gravité de l'influence 3. l'influence par rapport au temps c. Recenser les thèmes pertinents Lorsque l équipe de travail sélectionne un acteur, il devient une cible prioritaire. Il reste ensuite à savoir ce qu'il faut connaître de cet acteur. Il ne s'agit pas de tout savoir sur cet acteur. Ce qu'il y a lieu de connaître réellement, ce sont des informations qui intéressent au plus haut point l organisation et qui constituent véritablement un centre d'intérêt. Expérience et compétence pour vous servir Diapo : 16

17 III. Etapes et outils de la veille III.1 Le ciblage d. Cibler les thèmes prioritaires Si les thèmes liés à chacun des acteurs sont peu nombreux, il faut les retenir dans leur ensemble. Si par contre, les thèmes sont assez nombreux, ils peuvent encombrer les correspondants (traqueurs) ; à ce moment il est nécessaire de procéder à une hiérarchisation et ne cibler que les thèmes prioritaires. e. Cibler les informations pour chaque thème prioritaire Un thème peut renseigner sur deux types d'informations : les informations de profil ; les signaux d'alerte précoces. Expérience et compétence pour vous servir Diapo : 17

18 III. Etapes et outils de la veille III.1 Le ciblage Les informations de profil concernent certaines caractéristiques de l'acteur ciblé. Elles renseignent sur le potentiel de l'acteur et donnent la possibilité de procéder à une évaluation de ses capacités d'engager certaines actions. Les signaux d'alerte précoces fournissent des renseignements sur les actions que l'acteur a engagé ou envisage d'engager à terme. Il s'agit de signaux précoces qualifiés de signaux faibles car ils sont de faible intensité. Ils représentent des informations fragmentaires, imprécises, incomplètes, ambiguës et incertaines. On leur attribue un caractère anticipatif car ils peuvent jouer un rôle de déclic suivi d'une réflexion. Expérience et compétence pour vous servir Diapo : 18

19 III. Etapes et outils de la veille III.1 Le ciblage Les livrables de l'opération de ciblage Il s'agit d'un certain nombre de documents établis au cours de la phase de ciblage : la liste des acteurs prioritaires ciblés ; la liste des thèmes prioritaires ciblés ; un tableau faisant ressortir les acteurs et leurs thèmes retenus ; la liste des correspondants concernés par les acteurs et les thèmes ciblés ; la liste des sources à surveiller ; le glossaire des thèmes. Expérience et compétence pour vous servir Diapo : 19

20 III. Etapes et outils de la veille III.1 Le ciblage a) les sources d informations Il existe deux types de sources : les sources formelles ou documentaires et les sources informelles ou «terrain». Les sources formelles sont composées principalement de : la presse (la télévision, la radio, les journaux et magazines), les banques de donnée et CD-ROM, les publications d'entreprises (rapports annuels, appels d'offres...), les publications scientifiques et techniques ; les informations légales (lois, ordonnances, décrets et autres actes ou documents administratifs), les études publiques réalisées par des prestataires publics ou privés ; etc. Expérience et compétence pour vous servir Diapo : 20

21 III. Etapes et outils de la veille III.1 Le ciblage S agissant de la source informelle, l individu doit se déplacer, passer du temps, sentir, toucher et percevoir l information qu elles procurent. Elles sont variées : - les expositions et les salons - les fournisseurs - les colloques, les congrès, les clubs - les concurrents - les sources internes de l organisation - certains sites web - les réseaux personnels - les missions (dans le pays et à l'étranger) - les contacts avec les experts - Etc Expérience et compétence pour vous servir Diapo : 21

22 III. Etapes et outils de la veille III.1 Le ciblage b) Les informations Il existe 3 niveaux d information : l Information Formelle ou Information Blanche (l information trouvée sur Internet, dans les journaux, sur les bases de données, ), l Information Grise (correspondant aux rapports de congrès, de salons, ). l Information Informelle ou Information Noire (rapport d étonnement, ). c) Les outils Il existe une méthode (au moins) pour aider les organisations à effectuer le ciblage de leur veille. Cette méthode largement validée est appelée CIBLE. Expérience et compétence pour vous servir Diapo : 22

23 III. Etapes et outils de la veille III.1 Le ciblage Lorsque l on utilise cette méthode, l opération de ciblage nécessite de une à trois séances de travail collectif guidées par un consultant extérieur pour les apports méthodologiques. Le groupe de travail est constitué de façon ad hoc. Il compte de 4 à 12 personnes (par exemple). Parmi elles figurent nécessairement des responsables de haut niveau qui doivent être des preneurs de décision. Si cette condition nécessaire n est pas respectée, il n est guère nécessaire d aller plus loin! C est l un des facteurs critiques de succès (FCS) de la veille Expérience et compétence pour vous servir Diapo : 23

24 III. Etapes et outils de la veille III.2 La traque La traque peut se définir comme l'opération qui consiste à capter les informations ciblées. C'est elle qui permet de se procurer les données recherchées Plusieurs formes de traque sont perceptibles : obtenir des informations en réponse à des interrogations, explorer, rechercher et extraire des informations sur un sujet donné. On désigne par traqueurs les personnes chargées d'effectuer la traque. Au niveau du BNETD, on peut considérer les correspondants désignés dans chaque département comme des traqueurs. Expérience et compétence pour vous servir Diapo : 24

25 III. Etapes et outils de la veille III.2 La traque Il existe deux types de traqueurs : les traqueurs sédentaires qui peuvent être les documentalistes dans l organisation ou certaines personnes travaillant dans un bureau sur des sources formelles (supports papier, bases de données, Internet...) ; les traqueurs «terrain» c'est-à-dire des agents situés à la frontière de l organisation, proches du terrain et qui sont motivés pour coopérer dans le cadre de la mise en place du dispositif de veille (par ex : les commerciaux, les techniciens de terrain, les agents en poste au niveau des agences à l étranger, et tout agent en contact direct avec l environnement externe). Expérience et compétence pour vous servir Diapo : 25

26 III. Etapes et outils de la veille III.2 La traque Confection de supports Des supports doivent être conçus pour l'enregistrement des informations «terrain» d'origine sensorielle (visuelles, auditives) pour éviter qu'elles se perdent compte tenu de leur caractère fugace. En ce qui concerne le traqueur sédentaire, il doit établir une fiche de lecture sur laquelle il doit enregistrer les informations collectées à partir des lectures des documents sur papier ou sur ordinateur. Il s agit ainsi de: établissement de la liste des traqueurs en joignant leurs coordonnées (téléphones, adresses, fax, e.mail...) tout en précisant la localité et les champs de surveillance ; mise à la disposition des traqueurs «terrain» des fiches de captage et leur communiquer les consignes pour faire «remonter» les informations; Expérience et compétence pour vous servir Diapo : 26

27 III. Etapes et outils de la veille III.2 La traque élaboration de fiches de lecture destinées aux traqueurs sédentaires ; préparation d'un règlement pour édicter les consignes à suivre afin de faire «remonter» les informations ; élaboration de modèle de rapport d'étonnement que les correspondants peuvent établir et transmettre à l équipe de travail au niveau de la branche Expérience et compétence pour vous servir Diapo : 27

28 III. Etapes et outils de la veille III.2 La traque Les outils Fiche de captage Nom et prénoms du correspondant Acteur... thème... sources... Nature de l'information Lieu et date de captage. Informations collectées... Observations et suggestions... Personnes à contacter Expérience et compétence pour vous servir Diapo : 28

29 III. Etapes et outils de la veille III.2 La traque Fiche de lecture 1) Nom et prénoms du correspondant : 2) Nature de la publication : 3) Auteur et année de publication : 4) Sources : 5) Informations : 6) Pages : 7) Thème : 8) Commentaire : 9) Mots clés : 10) Bibliographie (références intéressantes) : 11) Lieu où se trouve le document : Expérience et compétence pour vous servir Diapo : 29

30 III. Etapes et outils de la veille III.2 La traque Modèle de rapport d'étonnement Ce qui étonne :... Sujets d'étonnement :... 3 faits étonnants :... Ce qui reste inexpliqué et marginal :... Points d'attention particuliers :... Réactions devant l'étonnement :... Lieu et date :... Expérience et compétence pour vous servir Diapo : 30

31 III. Etapes et outils de la veille III.3 La sélection des informations La sélection l'opération qui vise à conserver parmi les informations collectées celles qui sont susceptibles d'intéresser les utilisateurs potentiels. La sélection s'effectue selon une démarche méthodique faisant intervenir des critères. Les critères de sélection Ils peuvent reposer sur : la partie de l'environnement prise en considération, la pertinence c'est-à-dire le rattachement aux cibles sur lesquelles il faut se focaliser, le caractère anticipatif annonciateur d'événements qui concernent le futur, le caractère révélateur d'un changement susceptible d'influer sur le devenir de l organisation. Expérience et compétence pour vous servir Diapo : 31

32 III. Etapes et outils de la veille III.3 La sélection des informations Responsable de la sélection de l'information Le coordonnateur et les correspondants sont concernés par la sélection. Sélection par le correspondant : lorsqu'il est en contact avec la source d'informations, le correspondant doit choisir de collecter ou de rejeter l'information. Sa responsabilité est lourde de conséquences. Sélection par le coordonnateur : si le correspondant n'arrive pas à juger et à interpréter une information pour la sélectionner parce qu'il ne dispose pas suffisamment de connaissances, il doit la transmettre au coordonnateur qui est chargé de la stocker La sélection collective : Le coordonnateur réunit un ensemble de cadres retenus selon leur spécialité, avec la participation des correspondants concernés. Durant une demi-journée, ils vont procéder à la sélection des informations remontées selon un processus en deux grandes étapes : Expérience et compétence pour vous servir Diapo : 32

33 III. Etapes et outils de la veille III.3 La sélection des informations Etape individuelle : Chacun des membres de l équipe doit travailler sur le dossier qu'il a reçu et fait sa sélection et l'argumente ; Etape collective : Pour chaque information retenue, chacun des membres de l équipe s'exprime en soulignant avec arguments à l'appui, s'il a rejeté ou sélectionné l'information en question. Ensuite, une discussion s'engage de manière à examiner information après information. Expérience et compétence pour vous servir Diapo : 33

34 III. Etapes et outils de la veille III.3 La sélection des informations Méthode de sélection Selon la source d origine de l information, l opération de sélection est plus ou moins complexe. Si l information est d origine " terrain " et capturée par un traqueur " terrain ", la sélection se fait sur l instant et donne lieu au remplissage d une fiche de captage d information. La sélection est ainsi réalisée "sur le tas". Si l information est d origine documentaire, la sélection se fait alors à deux niveaux : Sélection de niveau 1: elle consiste à choisir une information au sein d un ensemble appelé "informations brutes". Cette information sélectionnée est appelée " information primaire ". Sélection de niveau 2 : elle consiste à choisir une phrase (ou quelques phrases brèves) au sein de l information primaire. Cette information ainsi sélectionnée au sein d une information primaire est appelée " information essentielle "(ou encore" brève "). Expérience et compétence pour vous servir Diapo : 34

35 III. Etapes et outils de la veille III.3 La sélection des informations Plusieurs personnes vont intervenir successivement : Le traqueur d abord, généralement un traqueur " sédentaire " qui lit des publications, interroge des bases de données, interroge sur Internet, etc. Il effectue une première sélection fournissant ainsi l information " primaire " Puis il transmet cette information " primaire " à un expert. L expert est pratiquement le seul à pouvoir sélectionner les quelques lignes constituant l information essentielle (ou " brève ") contenue dans l information primaire. Outils pour la sélection S agissant des informations d origine documentaire ou Internet, il existe de nombreux outils informatiques pour sélectionner les informations (moteurs de recherche, agents intelligents, etc.). Expérience et compétence pour vous servir Diapo : 35

36 III. Etapes et outils de la veille III.4 La remontée des informations Le correspondant collecte les informations et les transmet au coordonnateur. Cette opération s appelle la remontée et la circulation des informations. Elle nécessite un dispositif adéquat pour qu'elle se déroule dans de bonnes conditions. Les correspondants doivent faire parvenir les informations sans perdre du temps et sans hésitation au coordonnateur. A cet effet, ils doivent normalement disposer des moyens appropriés particulièrement sur le plan technologique. Outils Les moyens matériels pour faciliter la remontée des informations depuis les traqueurs jusqu au lieu de stockage, sont divers. Mais ils ne sont pas tous bien adaptés aux caractéristiques d une activité donnée ainsi qu aux informations de veille. Se pose donc la question des critères de choix. En outre, il doit y avoir cohérence entre le support proposé aux traqueurs pour saisir leurs informations, et le moyen choisi pour faire remonter les informations vers l animateur de la veille. Expérience et compétence pour vous servir Diapo : 36

37 III. Etapes et outils de la veille III.4 La remontée des informations La remontée diffère en fonction de type de correspondant. S'agissant du traqueur sédentaire, les fiches de lecture sont directement remises de main à main (du traqueur au coordonnateur) ou par fax, ou messagerie. Concernant le correspondant «terrain», la remontée peut se faire par plusieurs voies possibles : transmission orale (par téléphone) ; transmission par la messagerie ; scan des fiches de captage sur ordinateur du correspondant et transmission par réseau ; envoi des fiches par fax ; transmission par porteur (dépôt du courrier dans lieu indiqué de façon précise) ; transmission par courrier postal ; envoi par . Expérience et compétence pour vous servir Diapo : 37

38 III. Etapes et outils de la veille III.5 Le stockage des informations Le regroupement des informations recueillies par les veilleurs est une condition nécessaire. Il s'agit de les stocker pour mieux les valoriser et les exploiter afin de les rendre accessible. Cette opération de stockage vise à concrétiser la mise en commun de toutes les informations. Elle concerne : soit le stockage des supports de l'information primaire; soit le stockage des informations sélectionnées par les correspondants; soit le stockage des connaissances suite à une première utilisation. Le stockage vise à centraliser les informations en un lieu unique ou en des lieux reliés entre eux par un réseau. Le siège du dispositif de veille s'avère comme le lieu tout indiqué pour la centralisation des informations. Expérience et compétence pour vous servir Diapo : 38

39 III. Etapes et outils de la veille III.5 Le stockage des informations Le coordonnateur doit : établir un plan pour réaliser un classement correct des informations dans des bases de données; leur donner un contenu plus précis. Outils Pour le stockage des informations, l équipe de travail doit être dotée d'équipements adéquats. Les logiciels de «gestion électronique des données» (GED) peuvent servir grandement à conserver les informations. Toutefois les bases de données doivent être construites sur Access qui s'avère comme le plus adapté. Le stockage des informations de veille est une opération importante, elle constitue une capitalisation des connaissances de l'organisation. C'est l'une des mémoires qui permet d'accéder aux informations et de les partager. Expérience et compétence pour vous servir Diapo : 39

40 III. Etapes et outils de la veille III.6 Le traitement des informations Les informations recueillies doivent être analysées et validées selon plusieurs critères. La validation des données nécessite une prise en compte de : la fraîcheur des informations ; la pertinence et le degré d intérêt ; l exhaustivité ; la fiabilité des données. ; la vision et l appui des experts. L analyse des informations consiste à donner une plus value à l information brute. Elle permet : de donner du sens aux informations; d apporter de la connaissance; de dégager des problématiques; et ainsi d appuyer toutes prises décisions dans la hiérarchie de l organisation. Expérience et compétence pour vous servir Diapo : 40

41 III. Etapes et outils de la veille III.6 Le traitement des informations Le traitement des informations collectées est différent selon qu'il s'agit des signaux d'alerte précoce ou des informations de profil. S'agissant des informations de profil (ou de potentiel), les actions à mener pour opérer des traitement portent sur un ensemble de points : mettre à jour et actualiser de façon régulière les informations recueillies ; visualiser les variations des informations d'une période à l'autre. Cette visualisation du potentiel de l'acteur pris en considération, permet à l'analyste des informations de mesurer les changements et les progrès ou la régression et par conséquent de tirer les conclusions au sujet de sa capacité d'agir au cours des années à venir Expérience et compétence pour vous servir Diapo : 41

42 III. Etapes et outils de la veille III.6 Le traitement des informations L'examen et l'analyse des signaux d alerte précoce constituent un sujet assez épineux. Il nécessite de faire intervenir des méthodes originales. Etant donné que les signaux d'alerte précoce sont des informations fragmentaires, volatiles, incomplètes, incertaines sans grande signification individuelle, alors il faut les transformer en représentations structurées et porteuses de significations. Il faut créer du sens à partir de ces informations et induire des décisions. La création de sens est l'opération collective au cours de laquelle sont créés de la connaissance et du «sens ajouté» à partir de certaines informations qui jouent le rôle de stimuli inducteurs, et au moyen d'interactions entre les participants à la séance de travail, ainsi qu'avec les diverses mémoires (tacites et formelles) de l'organisation. Expérience et compétence pour vous servir Diapo : 42

43 III. Etapes et outils de la veille III.6 Le traitement des informations Pour aider à pratiquer «la création du sens», il est proposé la méthode «puzzle». Cette méthode ressemble au jeu de puzzle du fait que les signaux collectés sont des pièces d'un puzzle, en désordre, à partir desquelles on veut construire une représentation signifiante concernant un acteur de l'environnement, induisant des prises de décision et des actions. Néanmoins, cette méthode diffère du jeu de puzzle dans la mesure, où les pièces ne sont pas toutes disponibles et où la liberté de construire plusieurs représentations est possible. Elle est constituée d un ensemble d heuristiques qui permettent de structurer la réflexion collective tout en laissant une large part à l imagination et à la créativité requises par la nature même des informations à traiter. Expérience et compétence pour vous servir Diapo : 43

44 III. Etapes et outils de la veille III.6 Le traitement des informations En particulier elle aide : à expliciter le raisonnement collectif effectué à partir des informations disponibles, à le rendre raisonnement communicable à d autres personnes, à en garantir la traçabilité en conservant la trace des raisonnements effectués, à mémoriser les résultats sous une forme visuelle. Les avantages de la méthode PUZZLE sont : créatrice de sens ; utilisatrice d'un support de travail commun ; génératrice d'hypothèses et de conclusions utiles pour l'action des responsables centraux et opérationnels; provocatrice de «déclic» ; communicable au sein de l'entreprise. Expérience et compétence pour vous servir Diapo : 44

45 III. Etapes et outils de la veille III.6 Le traitement des informations Les étapes d une séance de travail de création de sens sont : préparer le tableau mural (ou l écran ordinateur sur lequel on va travailler collectivement), utilisé en largeur (gauche->droite) et en hauteur (haut- >bas) ; afficher les informations disponibles et concernant le sujet à l ordre du jour ; démarrer, stimuler et entretenir la réflexion collective. Utiliser, pour cela, les heuristiques de création collective de sens de la méthode Puzzle ; établir la liste des hypothèses plausibles qui ont émergé durant la séance ; établir la liste des actions qui devront être effectuées à la suite de la création de sens. La réalisation pratique de la séance de création collective de sens avec la méthode Puzzle, ainsi que la mise au propre des traces des raisonnements (traçabilité) et du compte rendu en temps réel, sont largement facilitées par l usage du logiciel Puzzle. Expérience et compétence pour vous servir Diapo : 45

46 III. Etapes et outils de la veille III.7 La diffusion des informations La diffusion apparaît comme la clé de voûte du processus de veille car c'est elle qui permet aux dirigeants de prendre connaissance des informations afin de décider efficacement et de déclencher les actions. La diffusion se définit comme l'opération qui consiste à mettre les informations élaborées lors de la séance de création de sens à la disposition des utilisateurs potentiels. Le coordonnateur chargé de gérer le stock des informations et des connaissances doit prendre les mesures nécessaires pour assurer la diffusion. Cependant, il s'agit de transformer l'information en décisions, alors l'identification des utilisateurs, qui ne sont pas forcément ceux occupant les fonctions supérieures dans la hiérarchie, devient importante surtout pour éviter que les informations perdent leur crédibilité et leur sens. Expérience et compétence pour vous servir Diapo : 46

47 III. Etapes et outils de la veille III.7 La diffusion des informations Pour le BNETD, il y a lieu d'informer les personnes placées aux niveaux hiérarchiques les plus hauts, pour obtenir l'impact le plus fort. Pour cela, le rôle du coordonnateur est très important. Il doit considérer les décideurs comme des «partenaires» de l'activité de veille. La fréquence de diffusion doit être assez régulière pour donner de l'intérêt à l'information transmise et éveiller l'attention des utilisateurs Modèles d organisation de la diffusion. On distingue deux modèles basiques pour diffuser les informations et connaissances : l approche par les "stocks", où le gestionnaire du stock est " passif " ; l approche par les "flux", où le gestionnaire du stock est " pro actif " Expérience et compétence pour vous servir Diapo : 47

48 III. Etapes et outils de la veille III.7 La diffusion des informations Toutes deux ont des avantages et des inconvénients. Il faut donc choisir celle qui est la plus appropriée au cas considéré. L organisation de la diffusion peut nécessiter une opération préalable : la cartographie des utilisateurs finals et de leurs besoins en informations de veille. Le gestionnaire des stocks d informations et connaissances de Veille Stratégique joue un rôle déterminant dans la réussite de la diffusion. Outils et support de diffusion Il est préférable de choisir le support papier car selon les expériences vécues sous d'autres cieux, son impact est beaucoup plus fort que les autres moyens comme la messagerie électronique ou le téléphone. En ce qui concerne la longueur du message, il est conseillé d être concis et ne donner que l'essentiel de l'information, autrement dit il faut communiquer toujours de façon synthétique. Expérience et compétence pour vous servir Diapo : 48

49 III. Etapes et outils de la veille III.7 La diffusion des informations Les outils (matériels et logiciels) pour venir en appui de la diffusion sont sans cesse plus nombreux et leurs fonctionnalités de plus en plus riches. Le choix peut être guidé par les théories de DAFT et Lengel relative à l adaptation du support aux caractéristiques des informations et connaissances à diffuser. (le postulat consiste à faire correspondre les canaux de communication avec les besoins en traitement de l information pour réduire l incertitude et le caractère équivoque de la situation). Expérience et compétence pour vous servir Diapo : 49

50 JE VOUS REMERCIE Expérience et compétence pour vous servir Diapo : 50

CIHEAM-IAMM - Janvier 2002 Synthèse documentaire - C. Adamolle. VEILLE STRATEGIQUE & RESEAU INTERNET des outils et méthodes à maîtriser

CIHEAM-IAMM - Janvier 2002 Synthèse documentaire - C. Adamolle. VEILLE STRATEGIQUE & RESEAU INTERNET des outils et méthodes à maîtriser CIHEAM-IAMM - Janvier 2002 Synthèse documentaire - C. Adamolle VEILLE STRATEGIQUE & RESEAU INTERNET des outils et méthodes à maîtriser 2 PLAN : 1 ère Partie : L information : un outil de gestion stratégique

Plus en détail

Thème : Enjeux de l information dans le processus de développement

Thème : Enjeux de l information dans le processus de développement Séminaire de formation des Correspondants locaux de l Association IZF «Investir en Zone Franc» Thème : Enjeux de l information dans le processus de développement MODULE 2 : VEILLE INFORMATIONNELLE ET ENJEU

Plus en détail

LA VEILLE STRATEGIQUE

LA VEILLE STRATEGIQUE LA VEILLE STRATEGIQUE Les Yeux et les Oreilles de Votre Entreprise? Etude 3IE Dernière mise à jour : 01/12/01 3IE c/o EPITA, 14-16 Rue Voltaire 94276 Kremlin-Bicêtre Cedex Tel : 0153145936 Fax : 0153145928

Plus en détail

La veille d'information sur Internet

La veille d'information sur Internet 1 La veille d'information sur Internet Cours IV : I - Une introduction générale Peter Stockinger Séminaire de Maîtrise en Communication Interculturelle à l'institut National des Langues et Civilisations

Plus en détail

LICENCE PRO MANINFO 2014/2015. LA VEILLE STRATEGIQUE : quels liens avec l intelligence économique, la documentation et le knowledge management?

LICENCE PRO MANINFO 2014/2015. LA VEILLE STRATEGIQUE : quels liens avec l intelligence économique, la documentation et le knowledge management? NOM ET PRENOM : BABA KODJO LICENCE PRO MANINFO 2014/2015 LA VEILLE STRATEGIQUE : quels liens avec l intelligence économique, la documentation et le knowledge management? 11 janvier 2015 1 Introduction

Plus en détail

DOSSIER VEILLE. SOURCES - Bonne pratique en matière d intelligence économique. Lucie NAAOUTCHOUE Janvier 2015

DOSSIER VEILLE. SOURCES - Bonne pratique en matière d intelligence économique. Lucie NAAOUTCHOUE Janvier 2015 DOSSIER VEILLE SOURCES - Bonne pratique en matière d intelligence économique - Introduction à la veille - Guide du routard Lucie NAAOUTCHOUE Janvier 2015 SOMMAIRE I - Définition et objectifs de la «veille»

Plus en détail

Tableau de Bord. Clas 1.1 Conduite d'un projet de communication

Tableau de Bord. Clas 1.1 Conduite d'un projet de communication Bande de Com! Tableau de Bord Julien Pansier PROJET Clas 1.1 Conduite d'un projet de communication 1.1.1 Prise en charge du dossier de l annonceur C11.1. S approprier la demande de l annonceur - Comprendre

Plus en détail

INTELLIGENCE ECONOMIQUE : ENJEUX ET RETOUR D EXPERIENCE PILOTE DANS SEPT PMI DE BOURGOGNE

INTELLIGENCE ECONOMIQUE : ENJEUX ET RETOUR D EXPERIENCE PILOTE DANS SEPT PMI DE BOURGOGNE INTELLIGENCE ECONOMIQUE : ENJEUX ET RETOUR D EXPERIENCE PILOTE DANS SEPT PMI DE BOURGOGNE BUSINESS INTELLIGENCE : GOALS AND RESULTS OF A PILOT EXPERIMENT INVOLVING SEVEN SMEs FROM BOURGOGNE Ludovic DENOYELLE,

Plus en détail

Contrôle interne et organisation comptable de l'entreprise

Contrôle interne et organisation comptable de l'entreprise Source : "Comptable 2000 : Les textes de base du droit comptable", Les Éditions Raouf Yaïch. Contrôle interne et organisation comptable de l'entreprise Le nouveau système comptable consacre d'importants

Plus en détail

Chapitre 1 : Introduction aux bases de données

Chapitre 1 : Introduction aux bases de données Chapitre 1 : Introduction aux bases de données Les Bases de Données occupent aujourd'hui une place de plus en plus importante dans les systèmes informatiques. Les Systèmes de Gestion de Bases de Données

Plus en détail

SERVICE du COMMERCE EXTERIEUR 1

SERVICE du COMMERCE EXTERIEUR 1 SERVICE du COMMERCE EXTERIEUR 1 PROGRAMME : L Intelligence Economique 1. Présentation de la veille et de l'intelligence économique 2. Les types de Veille 3. Le Cycle de décision 4. Les 10 commandements

Plus en détail

Mise en œuvre d une activité de veille

Mise en œuvre d une activité de veille CONSERVATOIRE NATIONAL DES ARTS ET METIERS INSTITUT NATIONAL DES TECHNIQUES DE LA DOCUMENTATION MEMOIRE pour obtenir le Titre professionnel "Chef de projet en ingénierie documentaire" INTD niveau I Présenté

Plus en détail

LE PLAN D'AMÉLIORATION DE LA FONCTION MARKETING

LE PLAN D'AMÉLIORATION DE LA FONCTION MARKETING LE PLAN D'AMÉLIORATION DE LA FONCTION MARKETING Direction du développement des entreprises et des affaires Préparé par Michel Coutu, F. Adm.A., CMC Conseiller en gestion Publié par la Direction des communications

Plus en détail

Nom-Projet MODELE PLAN DE MANAGEMENT DE PROJET

Nom-Projet MODELE PLAN DE MANAGEMENT DE PROJET Nom-Projet MODELE PLAN DE MANAGEMENT DE PROJET Glossaire La terminologie propre au projet, ainsi que les abréviations et sigles utilisés sont définis dans le Glossaire. Approbation Décision formelle, donnée

Plus en détail

VEILLE STRATEGIQUE EN ENTREPRISE. ( communication, Gouvernance et Intelligence Economique) Colloque International UFC Alger 14-16 Juin 2008

VEILLE STRATEGIQUE EN ENTREPRISE. ( communication, Gouvernance et Intelligence Economique) Colloque International UFC Alger 14-16 Juin 2008 VEILLE STRATEGIQUE EN ENTREPRISE ( communication, Gouvernance et Intelligence Economique) Colloque International UFC Alger 14-16 Juin 2008 1 I- Introduction I- I Historique de la veille S informer est

Plus en détail

BTS Comptabilité et Gestion SOMMAIRE

BTS Comptabilité et Gestion SOMMAIRE BTS Comptabilité et Gestion SOMMAIRE ANNEXE I : RÉFÉRENTIELS DU DIPLÔME... PAGE 2 I a. Référentiel des activités professionnelles...page 3 I b. Référentiel de certification... page 21 I c. Lexique....

Plus en détail

ÉCONOMIE ET GESTION LYCÉES TECHNOLOGIQUE ET PROFESSIONNEL

ÉCONOMIE ET GESTION LYCÉES TECHNOLOGIQUE ET PROFESSIONNEL ÉCONOMIE ET GESTION LYCÉES TECHNOLOGIQUE ET PROFESSIONNEL Au niveau du second degré, l'économie et gestion recouvre un ensemble de champs disciplinaires relevant de l'économie, du droit, des sciences de

Plus en détail

COMPTEZ AVEC LES NOUVEAUX DOCUMENTALISTES

COMPTEZ AVEC LES NOUVEAUX DOCUMENTALISTES PORTRAIT D UN NOUVEAU DOCUMENTALISTE NB : les réformes en cours (LMD) vont modifier la durée des études universitaires et l appellation des diplômes... Documentaliste Veilleur Gestionnaire de données ASSISTANT

Plus en détail

C11.2 Identifier les solutions à mettre en œuvre C11.3 Préparer le cahier des charges

C11.2 Identifier les solutions à mettre en œuvre C11.3 Préparer le cahier des charges Classe de situation (3) Clas.1.1. Conduite d'un projet de F1 Mise en œuvre et suivi de projets de (3 classes de situations / 10 situations / 12 compétences) Situations (4+2+4) Compétences (6+2+4) Compétences

Plus en détail

S3CP. Socle commun de connaissances et de compétences professionnelles

S3CP. Socle commun de connaissances et de compétences professionnelles S3CP Socle commun de connaissances et de compétences professionnelles Référentiel Le présent socle décrit un ensemble de connaissances et compétences devant être apprécié dans un contexte professionnel.

Plus en détail

Gestion de la Relation Client (GRC)

Gestion de la Relation Client (GRC) Techniques de DM pour la GRC dans les banques Page 2 I.1 Introduction La gestion de la relation client est devenue un processus essentiel dans les institutions bancaires. Ils essaient toujours d améliorer

Plus en détail

LA DÉMARCHE DE VEILLE S.A. MARCHAND PREMIERE PARTIE : AUDIT SUR LA COMMUNICATION INTERNE

LA DÉMARCHE DE VEILLE S.A. MARCHAND PREMIERE PARTIE : AUDIT SUR LA COMMUNICATION INTERNE LA DÉMARCHE DE VEILLE S.A. MARCHAND PREMIERE PARTIE : AUDIT SUR LA COMMUNICATION INTERNE La question posée s inscrit dans une démarche d amélioration de la circulation de l information. questionnaire d

Plus en détail

360 feedback «Benchmarks»

360 feedback «Benchmarks» 360 feedback «Benchmarks» La garantie d un coaching ciblé Pour préparer votre encadrement aux nouveaux rôles attendus des managers, Safran & Co vous propose un processus modulable, adapté aux réalités

Plus en détail

Annexe A de la norme 110

Annexe A de la norme 110 Annexe A de la norme 110 RAPPORTS D ÉVALUATION PRÉPARÉS AUX FINS DES TEXTES LÉGAUX OU RÉGLEMENTAIRES OU DES INSTRUCTIONS GÉNÉRALES CONCERNANT LES VALEURS MOBILIÈRES Introduction 1. L'annexe A a pour objet

Plus en détail

LE MANDAT DE MELBOURNE Un appel à l'action pour accroître la valorisation de la gestion des relations publiques et des communications

LE MANDAT DE MELBOURNE Un appel à l'action pour accroître la valorisation de la gestion des relations publiques et des communications LE MANDAT DE MELBOURNE Un appel à l'action pour accroître la valorisation de la gestion des relations publiques et des communications FORUM MONDIAL SUR LES RELATIONS PUBLIQUES NOVEMBRE 2012 Le mandat des

Plus en détail

La RSE au service de la stratégie de l entreprise et de la création de valeur

La RSE au service de la stratégie de l entreprise et de la création de valeur La RSE au service de la stratégie de l entreprise et de la création de valeur La RSE est aujourd hui un enjeu de première importance pour les entreprises : il reflète la prise de conscience grandissante

Plus en détail

Université de Lausanne

Université de Lausanne Université de Lausanne Records management et archivage électronique : cadre normatif Page 2 Ce qui se conçoit bien s énonce clairement Nicolas Boileau Page 3 Table des matières Qu est- ce que le «records

Plus en détail

A1 GESTION DE LA RELATION AVEC LA CLIENTELE

A1 GESTION DE LA RELATION AVEC LA CLIENTELE Référentiel des Activités Professionnelles A1 GESTION DE LA RELATION AVEC LA CLIENTELE L assistant prend en charge l essentiel du processus administratif des ventes. Il met en place certaines actions de

Plus en détail

Les métiers du secrétariat et de la bureautique

Les métiers du secrétariat et de la bureautique Les métiers du secrétariat et de la bureautique Présentation des métiers Alors que l'on avait annoncé la quasi-disparition des secrétaires, supplantées par les ordinateurs, elles bénéficient aujourd'hui

Plus en détail

La méthode des cas et le plan marketing : énoncé seul

La méthode des cas et le plan marketing : énoncé seul La méthode des cas et le plan marketing : énoncé seul 12_07_2011 Table des matières Table des matières 3 I - 1. Point méthodologique 7 A. 1.1. Définitions...7 B. 1.2. Plan d'analyse type...8 C. 1.3. Synthèse...13

Plus en détail

REDIGER UN COMPTE RENDU DE TYPE JOURNALISTIQUE

REDIGER UN COMPTE RENDU DE TYPE JOURNALISTIQUE FICHE MEDIAS N 1 REDIGER UN COMPTE RENDU DE TYPE JOURNALISTIQUE A l'attention des enseignants des cycles II et III Initiative de sensibilisation au handicap mental l'écolensemble Objectifs pédagogiques

Plus en détail

sentée e et soutenue publiquement pour le Doctorat de l Universitl

sentée e et soutenue publiquement pour le Doctorat de l Universitl Du rôle des signaux faibles sur la reconfiguration des processus de la chaîne de valeur de l organisation : l exemple d une centrale d achats de la grande distribution française Thèse présent sentée e

Plus en détail

Chap 1 : LA DEMARCHE MERCATIQUE

Chap 1 : LA DEMARCHE MERCATIQUE I. La démarche mercatique globale A. Définition Chap 1 : LA DEMARCHE MERCATIQUE La mercatique est l ensemble des techniques et actions ayant pour objet de prévoir, constater, stimuler, susciter ou renouveler

Plus en détail

Prestations d audit et de conseil 2015

Prestations d audit et de conseil 2015 M. Denis VIROLE Directeur des Services +33 (0) 6 11 37 47 56 denis.virole@ageris-group.com Mme Sandrine BEURTHE Responsable Administrative +33 (0) 3 87 62 06 00 sandrine.beurthe@ageris-group.com Prestations

Plus en détail

Qu'est ce que le KM? M. Prax a d'abord défini le KM par la négative. Le KM n'est pas :

Qu'est ce que le KM? M. Prax a d'abord défini le KM par la négative. Le KM n'est pas : Compte-rendu : «Les enjeux des TIC : le Knowledge Management» Conférence du 3 ème millénaire, Salon Initiatives du jeudi 18 octobre 2001 Orateur : Jean-Yves Prax, Directeur de POLIA CONSULTING Face à un

Plus en détail

Etude du cas ASSURAL. Mise en conformité du système d'information avec la norme ISO 17799

Etude du cas ASSURAL. Mise en conformité du système d'information avec la norme ISO 17799 David BIGOT Julien VEHENT Etude du cas ASSURAL Mise en conformité du système d'information avec la norme ISO 17799 Master Management de la Sécurité des Systèmes Industriels et des Systèmes d'information

Plus en détail

Simplifier la gestion de l'entreprise

Simplifier la gestion de l'entreprise Présentation de la solution SAP s SAP pour les PME SAP Business One Objectifs Simplifier la gestion de l'entreprise Optimiser la gestion et assurer la croissance de votre PME Optimiser la gestion et assurer

Plus en détail

Architecture d'entreprise : Guide Pratique de l'architecture Logique

Architecture d'entreprise : Guide Pratique de l'architecture Logique Guides Pratiques Objecteering Architecture d'entreprise : Guide Pratique de l'architecture Logique Auteur : Version : 1.0 Copyright : Softeam Equipe Conseil Softeam Supervisée par Philippe Desfray Softeam

Plus en détail

LA CONDUITE D UNE MISSION D AUDIT INTERNE

LA CONDUITE D UNE MISSION D AUDIT INTERNE 1 LA CONDUITE D UNE MISSION D AUDIT INTERNE Toute mission d Audit est réalisée en trois étapes essentielles: 1 ère étape : La préparation de la mission 2 ème étape : La réalisation de la mission 3 ème

Plus en détail

Filière «Économie et Entreprise» 2015/2016

Filière «Économie et Entreprise» 2015/2016 Filière «Économie et Entreprise» 2015/2016 1. Présentation de la filière Économie et Entreprise La filière «Economie et entreprises» de quatrième année de SciencesPo Strasbourg donne aux étudiants, dans

Plus en détail

LA SURVEILLANCE ET LE SUIVI DE L'ENVIRONNEMENT. Pierre Guimont Conseiller en environnement Unité Environnement Division Équipement, Hydro-Québec

LA SURVEILLANCE ET LE SUIVI DE L'ENVIRONNEMENT. Pierre Guimont Conseiller en environnement Unité Environnement Division Équipement, Hydro-Québec LA SURVEILLANCE ET LE SUIVI DE L'ENVIRONNEMENT Pierre Guimont Conseiller en environnement Unité Environnement Division Équipement, Hydro-Québec Introduction L'un des principes directeurs de la politique

Plus en détail

Sciences de Gestion Spécialité : SYSTÈMES D INFORMATION DE GESTION

Sciences de Gestion Spécialité : SYSTÈMES D INFORMATION DE GESTION Sciences de Gestion Spécialité : SYSTÈMES D INFORMATION DE GESTION Classe de terminale de la série Sciences et Technologie du Management et de la Gestion Préambule Présentation Les technologies de l information

Plus en détail

La création d une agence autonome présenterait les avantages et inconvénients suivants, recensés à travers l étude:

La création d une agence autonome présenterait les avantages et inconvénients suivants, recensés à travers l étude: RÉSUMÉ Contexte de l étude Le 4 septembre 2003, le Parlement européen a adopté une résolution contenant des recommandations à la Commission sur les langues européennes régionales et moins répandues les

Plus en détail

Management des organisations et stratégies Dossier n 10 Veille et intelligence économique

Management des organisations et stratégies Dossier n 10 Veille et intelligence économique Management des organisations et stratégies Dossier n 10 Veille et intelligence économique.i. Les enjeux et domaines de la veille.ii. La mise en place d un processus de veille.iii. Illustration d une démarche

Plus en détail

Atelier A7. Audit de la gestion globale des risques : efficacité ou conformité?

Atelier A7. Audit de la gestion globale des risques : efficacité ou conformité? Atelier A7 Audit de la gestion globale des risques : efficacité ou conformité? 1 Intervenants Jean-Pierre Hottin Associé, PWC jean-pierre.hottin@fr.pwc.com Annie Bressac Directeur de l audit et du contrôle

Plus en détail

Développement d un réseau de prospection TUNIS, 29-30 - 31 Janvier 2003 Paola Morris, Ceipiemonte

Développement d un réseau de prospection TUNIS, 29-30 - 31 Janvier 2003 Paola Morris, Ceipiemonte Développement d un réseau de prospection TUNIS, 29-30 - 31 Janvier 2003 Paola Morris, Ceipiemonte 1 1. Le contexte international et les investissements à l étranger 2 Les dévelopements récents Plus de

Plus en détail

CA ARCserve Backup. Avantages. Vue d'ensemble. Pourquoi choisir CA

CA ARCserve Backup. Avantages. Vue d'ensemble. Pourquoi choisir CA DOSSIER SOLUTION : CA ARCSERVE BACKUP R12.5 CA ARCserve Backup CA ARCSERVE BACKUP, LOGICIEL DE PROTECTION DE DONNÉES LEADER DU MARCHÉ, INTÈGRE UNE TECHNOLOGIE DE DÉDUPLICATION DE DONNÉES INNOVANTE, UN

Plus en détail

NORME INTERNATIONALE D AUDIT 260 COMMUNICATION DES QUESTIONS SOULEVÉES À L OCCASION DE L AUDIT AUX PERSONNES CONSTITUANT LE GOUVERNEMENT D'ENTREPRISE

NORME INTERNATIONALE D AUDIT 260 COMMUNICATION DES QUESTIONS SOULEVÉES À L OCCASION DE L AUDIT AUX PERSONNES CONSTITUANT LE GOUVERNEMENT D'ENTREPRISE NORME INTERNATIONALE D AUDIT 260 COMMUNICATION DES QUESTIONS SOULEVÉES À L OCCASION DE L AUDIT AUX PERSONNES CONSTITUANT LE GOUVERNEMENT D'ENTREPRISE SOMMAIRE Paragraphes Introduction... 1-4 Personnes

Plus en détail

Circulaire n 41/G/2007 du 2 août 2007 relative à l 'obligation de vigilance incombant aux établissements de crédit

Circulaire n 41/G/2007 du 2 août 2007 relative à l 'obligation de vigilance incombant aux établissements de crédit Circulaire n 41/G/2007 du 2 août 2007 relative à l 'obligation de vigilance incombant aux établissements de crédit Le Gouverneur de Bank Al-Maghrib ; vu la loi n 34-03 relative aux établissements de c

Plus en détail

PREMIERE PARTIE DESCRIPTION DE L'UNITE COMMERCIALE

PREMIERE PARTIE DESCRIPTION DE L'UNITE COMMERCIALE TS2 MUC PREMIERE PARTIE DESCRIPTION DE L'UNITE COMMERCIALE 2009-2010 I. IDENTIFICATION DE L'UNITE COMMERCIALE Le Crédit Mutuel de Thérouanne est le bureau relié à l'agence d'aire sur la Lys. Il fait parti

Plus en détail

Partie 1 : Évaluer le marché

Partie 1 : Évaluer le marché Partie 1 : Évaluer le marché 1.1 Établir un diagnostic de ces 2 segments. Conclure Remarques préliminaires : Forces : Faiblesses : utiliser la matrice SWOT la conclusion doit tendre vers un élargissement

Plus en détail

Projet d'engagements de Henkel dans le cadre d'une procédure de non-contestation de griefs dans les affaires n 06/OOOlF et 06/0042F

Projet d'engagements de Henkel dans le cadre d'une procédure de non-contestation de griefs dans les affaires n 06/OOOlF et 06/0042F 3 Projet du 2l août 20 13 Projet d'engagements de Henkel dans le cadre d'une procédure de non-contestation de griefs dans les affaires n 06/OOOlF et 06/0042F Au cours de l'année 2008 et à la suite des

Plus en détail

Cours n 2. UE706: Veille et intelligence économique EC3: Intelligence Économique et réseaux. Promo. Master : SIC. Documentation numérique

Cours n 2. UE706: Veille et intelligence économique EC3: Intelligence Économique et réseaux. Promo. Master : SIC. Documentation numérique UE706: Veille et intelligence économique EC3: Intelligence Économique et réseaux Cours n 2 Promo. Master : SIC. Documentation numérique Par : Sahbi SIDHOM MCF. Université de Lorraine Équipe de recherche

Plus en détail

cabinet de veille La Veille Du concept à la réalité, culture, méthode, outils.

cabinet de veille La Veille Du concept à la réalité, culture, méthode, outils. cabinet de veille La Veille Du concept à la réalité, culture, méthode, outils. Livre blanc Janvier 2013 I. Qu est-ce-que la veille? 1. Définitions.............................. page 4 2. La veille, une

Plus en détail

BTS Assistant de manager(s) LES FINALITES PROFESSIONNELLES

BTS Assistant de manager(s) LES FINALITES PROFESSIONNELLES BTS Assistant de manager(s) LES FINALITES PROFESSIONNELLES 1 FINALITÉ 1 Soutien à la communication et aux relations internes et externes L assistant facilite la communication à tous les niveaux (interpersonnel,

Plus en détail

Infrastructure - Capacity planning. Document FAQ. Infrastructure - Capacity planning. Page: 1 / 7 Dernière mise à jour: 16/04/14 16:09

Infrastructure - Capacity planning. Document FAQ. Infrastructure - Capacity planning. Page: 1 / 7 Dernière mise à jour: 16/04/14 16:09 Document FAQ Infrastructure - Capacity planning EXP Page: 1 / 7 Table des matières Détails de la fonctionnalité... 3 I.Généralités... 3 II.Configuration... 3 III.Vue globale des capacités...3 IV.Vue par

Plus en détail

GUIDE INTERMINISTERIEL SUR LES SYSTEMES D'INFORMATION ET APPLICATIONS SENSIBLES

GUIDE INTERMINISTERIEL SUR LES SYSTEMES D'INFORMATION ET APPLICATIONS SENSIBLES REPUBLIQUE FRANÇAISE PREMIER MINISTRE Secrétariat Général de la Défense Nationale N 730/ SCSSI Issy-les-Moulineaux, le 13 janvier 1997 GUIDE INTERMINISTERIEL SUR LES SYSTEMES D'INFORMATION ET APPLICATIONS

Plus en détail

Executive Master Class en Intelligence Stratégique

Executive Master Class en Intelligence Stratégique Executive Master Class en Intelligence Stratégique Managers et Consultants, donnez-vous les moyens de décider dans l incertitude Avec la collaboration de Donner du sens au désordre POUR QUI? VOUS ÊTES...

Plus en détail

Fondation de Luxembourg Politique d Investissement Socialement Responsable (ISR)

Fondation de Luxembourg Politique d Investissement Socialement Responsable (ISR) Fondation de Luxembourg Politique d Investissement Socialement Responsable (ISR) 1. Objet La Fondation de Luxembourg a reçu une dotation initiale de la part de l'etat et de l'oeuvre Nationale de Secours

Plus en détail

Baccalauréat professionnel vente (prospection - négociation - suivi de clientèle) RÉFÉRENTIEL DE CERTIFICATION

Baccalauréat professionnel vente (prospection - négociation - suivi de clientèle) RÉFÉRENTIEL DE CERTIFICATION RÉFÉRENTIEL DE CERTIFICATION 16 I. COMPÉTENCES C1. PROSPECTER C11. Élaborer un projet de prospection C12. Organiser une opération de prospection C13. Réaliser une opération de prospection C14. Analyser

Plus en détail

La Veille Stratégique, un facteur clé de succès pour les PME/PMI voulant devenir fournisseur de grandes compagnies transnationales.

La Veille Stratégique, un facteur clé de succès pour les PME/PMI voulant devenir fournisseur de grandes compagnies transnationales. La Veille Stratégique, un facteur clé de succès pour les PME/PMI voulant devenir fournisseur de grandes compagnies transnationales. Humbert LESCA, Professeur Université Pierre Mendès France de Grenoble

Plus en détail

GLOBAL SUPPLY CHAIN MANAGEMENT & STRATEGIE LOGISTIQUE

GLOBAL SUPPLY CHAIN MANAGEMENT & STRATEGIE LOGISTIQUE GLOBAL SUPPLY CHAIN MANAGEMENT & STRATEGIE LOGISTIQUE La logistique représentait traditionnellement l activité allant de la mise à disposition des produits finis par l usine ou le négociant jusqu à la

Plus en détail

Initiation à la recherche documentaire

Initiation à la recherche documentaire Initiation à la recherche documentaire 1 Objectifs Cette séance est destinée à reprendre les principes de la démarche documentaire pour construire un parcours pertinent en terme de méthodologie et de résultats

Plus en détail

L ERP global et proactif des Entreprises Moyennes

L ERP global et proactif des Entreprises Moyennes p r o A L P H A L ERP global et proactif des Entreprises Moyennes L'ERP global et proactif des Entreprises Moyennes Nous avons donc développé une solution globale et intégrée, pour optimiser l'ensemble

Plus en détail

L analyse de la gestion de la clientèle

L analyse de la gestion de la clientèle chapitre 1 - La connaissance du client * Techniques utilisées : observation, recherche documentaire, études de cas, études qualitatives (entretiens de groupes ou individuels, tests projectifs, analyses

Plus en détail

REGLEMENT DE DEONTOLOGIE SPECIFIQUE AUX SOCIETES DE GESTION D OPCVM D EPARGNE SALARIALE (FCPE ET SICAVAS)

REGLEMENT DE DEONTOLOGIE SPECIFIQUE AUX SOCIETES DE GESTION D OPCVM D EPARGNE SALARIALE (FCPE ET SICAVAS) REGLEMENT DE DEONTOLOGIE SPECIFIQUE AUX SOCIETES DE GESTION D OPCVM D EPARGNE SALARIALE (FCPE ET SICAVAS) Page 1 PREAMBULE Le présent Règlement de Déontologie spécifique aux sociétés de gestion d OPCVM

Plus en détail

PARTIE I : PRINCIPES GENERAUX DE LA COMPTABILITE GENERALE

PARTIE I : PRINCIPES GENERAUX DE LA COMPTABILITE GENERALE PARTIE I : PRINCIPES GENERAUX DE LA COMPTABILITE GENERALE CHAPITRE I - LA COMPTABILITÉ : UN ÉLÉMENT DU SYSTÈME D'INFORMATION DE L'ENTREPRISE. CHAPITRE I - LA COMPTABILITÉ : UN ÉLÉMENT DU SYSTÈME D'INFORMATION

Plus en détail

Réorganisation du processus de transfusion sanguine au Liban

Réorganisation du processus de transfusion sanguine au Liban Réorganisation du processus de transfusion sanguine au Liban Cahier des charges du Logiciel Médico Technique Rédigé en collaboration avec Cahier des charges du Logiciel Médico Technique La procédure d

Plus en détail

"La démarche marketing, le système d information marketing et l étude de marché"

La démarche marketing, le système d information marketing et l étude de marché ECOLE DES HAUTES ETUDES COMMERCIALES Module : Marketing Fondamental Année Académique : 2014/2015 Niveau : 1 ère année Master (TC) Enseignant : KHERRI Abdenacer Groupes : 12, 13, 14, 15 et 16 Site web :

Plus en détail

Partie IV. Identifier les carences informationnelles d'une PME / PMI

Partie IV. Identifier les carences informationnelles d'une PME / PMI Partie IV. Identifier les carences informationnelles d'une PME / PMI 222 Partie IV. Identifier les carences informationnelles d'une PME / PMI Chapitre A. Représentation de l'utilisation de l'information

Plus en détail

BEP métiers des services administratifs BREVET D'ÉTUDES PROFESSIONNELLES MÉTIERS DES SERVICES ADMINISTRATIFS

BEP métiers des services administratifs BREVET D'ÉTUDES PROFESSIONNELLES MÉTIERS DES SERVICES ADMINISTRATIFS BREVET D'ÉTUDES PROFESSIONNELLES MÉTIERS DES SERVICES ADMINISTRATIFS ANNEXE I a RÉFÉRENTIEL DES ACTIVITÉS PROFESSIONNELLES I. APPELLATION DU DIPLÔME BEP métiers des services administratifs RÉFÉRENTIEL

Plus en détail

AIDE-MÉMOIRE POUR L ÉLABORATION D UN PLAN DE COMMUNICATION

AIDE-MÉMOIRE POUR L ÉLABORATION D UN PLAN DE COMMUNICATION AIDE-MÉMOIRE POUR L ÉLABORATION D UN PLAN DE COMMUNICATION Direction du développement des entreprises et des affaires Préparé par Benoît Tremblay Conseiller en gestion Collaborateurs : MM. Paul Bleau,

Plus en détail

PREVENTION EVALUATION ET MANAGEMENT DU RISQUE SOCIAL

PREVENTION EVALUATION ET MANAGEMENT DU RISQUE SOCIAL Développer, Optimiser, Maintenir la Performance de lhomme et de lentreprise PREVENTION EVALUATION ET MANAGEMENT DU RISQUE SOCIAL Le «Risque Social» doit être pris en charge comme nimporte quel autre type

Plus en détail

Méthode d'organisation de la veille juridique

Méthode d'organisation de la veille juridique Méthode d'organisation de la veille juridique "Je vois de loin, j atteins de même", Jean de La Fontaine* * L'Oracle et l'impie Journée Juriconnexion 25 novembre 2014 1 Toute activité de veille, pour être

Plus en détail

ERGONOMIE GESTION DES DONNEES CLIENT. Gestion données client Vue 360 (Obligatoire) Données récupérées. Données calculées

ERGONOMIE GESTION DES DONNEES CLIENT. Gestion données client Vue 360 (Obligatoire) Données récupérées. Données calculées ERGONOMIE Fonctionnalités Standard Dev Spécifique Non-couverte la solution propose une aide en ligne (multilingue, contextuelle, Accès par touche/clic, messages d' erreurs explicites, Accès au manuel utilisateur)

Plus en détail

Objectifs : piloter l organisation à travers des indicateurs (regroupés dans un tableau de bord), et informer des résultats la hiérarchie.

Objectifs : piloter l organisation à travers des indicateurs (regroupés dans un tableau de bord), et informer des résultats la hiérarchie. C HAPI TRE 8 Tableau de bord et reporting Objectifs : piloter l organisation à travers des indicateurs (regroupés dans un tableau de bord), et informer des résultats la hiérarchie. 1 Principes A Le tableau

Plus en détail

Les 5 étapes du management des. risques routiers. pour les entreprises et les collectivités

Les 5 étapes du management des. risques routiers. pour les entreprises et les collectivités Les 5 étapes du management des risques routiers pour les entreprises et les collectivités Qu'est-ce que le C.P.A.T.S.? Le C.P.A.T.S., Centre de Psychologie Appliquée aux Transports et à leur Sécurité,

Plus en détail

LES CRITERES CLES DU SUCCES D'UNE SEGMENTATION

LES CRITERES CLES DU SUCCES D'UNE SEGMENTATION LES CRITERES CLES DU SUCCES D'UNE SEGMENTATION Quel que soit le type de segmentation, une segmentation réussie se doit d'être : Opérante : les segments définis sont-ils suffisamment importants pour correspondre

Plus en détail

Journée d'animation du réseau des professeurs documentalistes de l'académie de Rouen

Journée d'animation du réseau des professeurs documentalistes de l'académie de Rouen Journée d'animation du réseau des professeurs documentalistes de l'académie de Rouen BEF Fécamp Lillebonne- Yvetôt Jeudi 19 avril 2012 Collège Cuvier - Fécamp Programme de la journée 9h30 Accueil des participants

Plus en détail

Autorité de Régulation des Communications électroniques et des Postes

Autorité de Régulation des Communications électroniques et des Postes Format attendu des dossiers de demande de fréquences dans la bande 2,1 GHz dans les DOM, à Saint-Pierre et Miquelon, Saint-Martin, Saint-Barthélemy et Mayotte en date du 1 er novembre 2007 Selon l article

Plus en détail

LA GESTION DE PROJET INFORMATIQUE

LA GESTION DE PROJET INFORMATIQUE Structurer, assurer et optimiser le bon déroulement d un projet implique la maîtrise des besoins, des objectifs, des ressources, des coûts et des délais. Dans le cadre de la gestion d un projet informatique

Plus en détail

LA COMPTABILITÉ DU COMITÉ D ENTREPRISE : DE NOUVELLES OBLIGATIONS DE TRANSPARENCE À PARTIR DU 1 er JANVIER 2015

LA COMPTABILITÉ DU COMITÉ D ENTREPRISE : DE NOUVELLES OBLIGATIONS DE TRANSPARENCE À PARTIR DU 1 er JANVIER 2015 Groupement des Métiers de l Imprimerie -------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- DÉCEMBRE 2014 NOTE N 24 LA

Plus en détail

Sage BOB 50 Fonctionnalités financières

Sage BOB 50 Fonctionnalités financières Clients, fournisseurs, banques, administrations : l entreprise est entourée d un «écosystème comptable et financier» à la fois riche et complexe. Véritable centre névralgique, l application de comptabilité

Plus en détail

SEMINAIRES INTERNATIONAUX

SEMINAIRES INTERNATIONAUX n, Conseil Formation Recrutement-Intérim SEMINAIRES INTERNATIONAUX Programmes de Formation de Certification Conçus et Dispensés Entièrement en Français Par Illinois State University et GSBO Niamey - Lomé

Plus en détail

Format de l avis d efficience

Format de l avis d efficience AVIS D EFFICIENCE Format de l avis d efficience Juillet 2013 Commission évaluation économique et de santé publique Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service documentation

Plus en détail

Note de présentation de la circulaire du CDVM n 03-08 relative aux opérations de placement en devises réalisées par les OPCVM à l étranger

Note de présentation de la circulaire du CDVM n 03-08 relative aux opérations de placement en devises réalisées par les OPCVM à l étranger Rabat, le 15 juillet 2008. Note de présentation de la circulaire du CDVM n 03-08 relative aux opérations de placement en devises réalisées par les OPCVM à l étranger Dans le cadre de la libéralisation

Plus en détail

Compte-rendu des ateliers

Compte-rendu des ateliers FORUM DE DÉVELOPPEMENT SOCIAL LOCAL 2010 2 E rencontre citoyenneté Compte-rendu des ateliers La 2e rencontre du Forum a abordé le thème de la citoyenneté. Cette rencontre s'est déroulé en suivant en partie

Plus en détail

REFERENTIEL Chef(fe) de Projets Marketing et Commercial Titre Bac+4 certifié Niveau II J.O du 09 Août 2014 - code NSF 312

REFERENTIEL Chef(fe) de Projets Marketing et Commercial Titre Bac+4 certifié Niveau II J.O du 09 Août 2014 - code NSF 312 REFERENTIEL Chef(fe) de Projets Marketing et Commercial Titre Bac+4 certifié Niveau II J.O du 09 Août 2014 - code NSF 312 1 REFERENTIEL DE FORMATION CHEF(FE) DE PROJETS MARKETING ET COMMERCIALE TITRE CERTIFIE

Plus en détail

GUIDE POUR L ÉLABORATION D UN CAHIER DES CHARGES

GUIDE POUR L ÉLABORATION D UN CAHIER DES CHARGES GUIDE POUR L ÉLABORATION D UN CAHIER DES CHARGES Direction du développement des entreprises et des affaires Préparé par Michel Coutu, F.Adm.A., CMC Conseiller en gestion Publié par la Direction des communications

Plus en détail

SPECIFICATION "E" DU CEFRI CONCERNANT LES ENTREPRISES EMPLOYANT DU PERSONNEL DE CATEGORIE A OU B TRAVAILLANT DANS LES INSTALLATIONS NUCLEAIRES

SPECIFICATION E DU CEFRI CONCERNANT LES ENTREPRISES EMPLOYANT DU PERSONNEL DE CATEGORIE A OU B TRAVAILLANT DANS LES INSTALLATIONS NUCLEAIRES 92038 PARIS LA DEFENSE CEDEX Page 1 / 11 SPECIFICATION "E" DU CEFRI CONCERNANT LES ENTREPRISES EMPLOYANT DU PERSONNEL DE CATEGORIE A OU B TRAVAILLANT DANS LES INSTALLATIONS NUCLEAIRES 29/11/00 13 Indice

Plus en détail

SANTÉ ET PRÉVOYANCE DES AGENTS TERRITORIAUX

SANTÉ ET PRÉVOYANCE DES AGENTS TERRITORIAUX Circulaire n 23/2012 Cl. C 451 / C 456 Colmar, le 05 juin 2012 CENTRE de GESTION du HAUT-RHIN FONCTION PUBLIQUE TERRITORIALE 22, rue Wilson - 68027 COLMAR CEDEX 03 89 20 36 00-03 89 20 36 29 - cdg68@calixo.net

Plus en détail