LeBetteravier. Betteraviers inquiets de la trop courte prolongation, mais soulagés du contenu de l accord BETTERAVES TOUT FAIT SUPÉRIEURES :

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "LeBetteravier. Betteraviers inquiets de la trop courte prolongation, mais soulagés du contenu de l accord BETTERAVES TOUT FAIT SUPÉRIEURES :"

Transcription

1 juillet - août 2013 N ième année LeBetteravier organe mensuel de la confédération des betteraviers belges asbl CBB Bd. Anspach 111 Bte Bruxelles T F P UE : plus d 1 Mt de sucre supplémentaires mises sur le marché. Le comité de gestion de l UE a donné son feu vert pour l importation supplémentaire de tonnes de sucre brut et de tonnes de sucre blanc avec un droit minimum de respectivement 141 et 161 /tonne, soit les mêmes droits que lors des 2 dernières adjudications. Au total pour les 4 adjudications de la campagne 2012/13, les offres de sucre acceptées pour l importation atteignent tonnes. Parallèlement, depuis le début de l année, 3 tranches de tonnes de sucre hors quota ont déjà été reclassées en sucre du quota, moyennant des prélèvements de 224 /t, 172 /t et 177 /t. Au total, tonnes de sucre hors quota ont mises sur le marché intérieur de l UE. Le reclassement d une quatrième tranche de tonnes de sucre hors quota est prévu. Le surplus mondial de 10 Mt pèse sur les cours. Début juin, les cours mondiaux du sucre blanc atteignaient leur niveau le plus bas depuis 3 ans: 360 la tonne sur le marché de Londres. Le marché du sucre est pénalisé par une offre largement supérieure à la demande pour cette campagne 2012/13. L Organisation mondiale du sucre (OIS) estime le surplus au niveau record de 9,98 Mt, avec une production de sucre de 181,7 Mt (+4,3% par rapport à la campagne précédente) et une consommation de 171,7 Mt (+ 2,1%). Fin juin, les cours mondiaux du sucre ont légèrement remonté suite à d importantes pluies survenues fin mai au Brésil ce qui a favorisé la production d éthanol par rapport à celle du sucre et provisoirement retardé la récolte et le chargement du sucre dans les ports brésiliens. D autres raisons sont invoquées comme la hausse des importations à l approche du Ramadan et des problèmes logistiques d exportation au Mexique. Dans l UE, l analyste FO Licht prévoit un recul de 3% des surfaces betteravières par rapport à 2012, soit à 1,42 M ha, hors betteraves éthanol. La production UE 2013/2014 serait dès lors estimée à la baisse à 17,2Mt. Evolution des cours du sucre blanc en /t - Londres juillet 2013 Betteraviers inquiets de la trop courte prolongation, mais soulagés du contenu de l accord Après 18 mois de travail intense et de négociations difficiles, la Commission Agricole du Parlement européen et les 27 ministres de l Agriculture réunis en Conseil Agricole ont trouvé un accord politique ce 26 juin sur l avenir de la PAC (Politique Agricole Commune) et l OCM Unique (Organisation Commune du Marché), y compris le Règlement Sucre. Les betteraviers s inquiètent de la prolongation trop courte du Règlement au 30 septembre 2017 Jusqu aux derniers moments avant la décision, nous espérions que notre Règlement Sucre serait prolongé jusqu en Les betteraviers belges sont donc déçus et inquiets à propos de l accord politique intervenu qui veut supprimer les quotas le 30 septembre Déception d autant plus compréhensible que le Parlement européen avait toujours soutenu la demande de la filière Betteraves-Sucre de prolonger le Règlement Sucre jusqu en La campagne 2016/2017 sera donc la dernière campagne gérée par le Règlement actuel. La lourde restructuration de 2006 n est pas encore tout à fait «digérée» que l Europe nous impose une nouvelle réforme d ici 3 campagnes! Soulagement quant au maintien du cadre interprofessionnel et contractuel Nous devons maintenant attendre les textes consolidés sur l OCM Unique et en particulier sur le «paquet sucre» pour connaître les détails qui ont été prévus pour notre filière. Mais nous sommes soulagés de pouvoir garder, dans l après-quota, notre cadre interprofessionnel et contractuel, fruit de plusieurs années de négociations et de coopération au sein de la filière. La CBB se réjouit de pouvoir poursuivre les négociations collectives au nom de tous les planteurs belges après le 30 septembre 2017 afin de ne pas affaiblir la position de négociation des agriculteurs dans la chaîne. Congrès CBB dans un contexte de réforme, de compétitivité et du contrôle des réceptions Dans ce numéro du Betteravier, vous trouverez un résumé des sujets et des motions qui furent présentés au Congrès trisannuel de la CBB début juin à Gand. Nous avons utilisé notre Congrès, planifié juste avant la décision politique, comme «tribune» pour exprimer une dernière fois notre inquiétude au sujet de l avenir de l industrie sucrière belge et européenne dans une ère post-quota et afin de répéter à nos dirigeants politiques que notre demande de prolongation du Règlement Sucre jusqu en 2020 n était pas une demande infondée mais une nécessité pour pouvoir, après la libéralisation, être compétitifs sur le marché mondial face aux grands producteurs de sucre. La ministre fédérale de l Agriculture, Sabine Laruelle, Joris Relaes du Cabinet du Ministre flamand de l Agriculture Kris Peeters et Marc Tarabella éditorial par Valerie Vercammen, Secrétaire général de la CBB ont bien entendu notre message et l ont emporté à Strasbourg. Je tiens d ailleurs à remercier tous nos décideurs politiques aux niveaux belge, flamand, wallon et européen ainsi que nos administrations agricoles en Flandre et en Wallonie pour leurs efforts et leur soutien dans ce dossier au cours de ces 18 derniers mois. C est grâce à une détermination commune que l ère après-quota sera pour nos planteurs de betteraves un peu moins incertaine. Élection d un nouveau président à la CBB Juste après la clôture de la rédaction de ce journal, nous saurons qui sera à la tête de la CBB les 4 prochaines années. Au nom de tous les planteurs belges et du personnel de la CBB, je voudrais déjà remercier Victor Sneessens pour son engagement illimité dans l intérêt de la filière les 4 années passées. Dans le prochain numéro, nous reviendrons plus en détail sur son mandat, mais je voudrais le citer en rappelant son crédo: Pas de syndicalisme d agitation qui fait du bruit mais toujours une recherche de solutions qui portent des fruits! Je vous souhaite un bel été, une bonne récolte et un bon début de la campagne! LeBetteravier organe mensuel de la confédération des betteraviers belges asbl CBB Bd. Anspach 111 Bte Bruxelles T F P BETTERAVES TOUT FAIT SUPÉRIEURES : VOUS AVEZ VU QUE LES VARIÉTÉS BTS ÉTAIENT LES PREMIÈRES À AVOIR FERMÉ LES LIGNES? Rambler Goodwood BTS370 BTS880 Editeur responsable: Victor SNEESSENS, Président de la CBB Directeur de la publication: Valerie VERCAMMEN Edition et publicité: Bernadette Bické - Martine Moyart Responsable de la technique betteravière: IRBAB Tienen Imprimerie: Corelio Printing Abonnement annuel : Belgique : 12,00 UE : 22,00 - Hors UE : 27,00 IBAN : BE TVA BE Tél Fax lebetteravier@cbb.be Distribué par Clovis Matton. BETASEED. SIMPLY DIFFERENT.

2 21 e Congrès de la CBB à Gand Dans l attente de la réforme de la PAC Le 21e Congrès de la CBB s est déroulé début juin, sur fond de réformes de la PAC et de l OCM Sucre. L impact de ces réformes sur notre secteur Betteraves-Sucre s est donc imposé comme un des thèmes du congrès. Quelles seront les conséquences pour notre secteur si l on ne reconduit pas le système des quotas? Serons-nous suffisamment compétitifs par rapport au reste du monde? Sur quelles bases allons-nous négocier avec les fabricants s il n y a plus de prix minimum pour la betterave et si les accords interprofessionnels ne sont plus reconnus? Comment l industrie sucrière envisage-t-elle l après quota? Le Congrès venait donc à point nommé pour dégager une position commune. Le second thème du congrès concernait la fonction première de la CBB : le contrôle des réceptions des betteraves en usine. Pascale Tychon, Inspecteur des réceptions pour la CBB, a présenté un film tourné à l usine de Longchamps détaillant les différentes phases de la réception, avec pour chacune d elles : les contrôles à effectuer, les normes à respecter, les irrégularités constatées et les possibilités de corrections éventuelles. Cette présentation était destinée à susciter les réactions de l assemblée. Une table ronde a ensuite débattu des questions posées: contrôle des bascules, pertes aux parmentières, représentativité de l échantillonnage, alternatives au décolletage et mesures de la richesse. Toujours sur le thème de la réception, la suppression du décolletage dans les usines aux Pays-Bas depuis l an dernier avec réception de betteraves entières et forfaitisation de la tare collet, a été présentée par M. Jan Willem van Roessel, secrétaire général de COSUN. Après un mot de bienvenue de Jos Brouwers, Président du Comité de Coordination des Flandres - région organisatrice du congrès -, les exposés se sont enchaînés. Concernant le projet de réforme de la PAC et du règlement sucre, le 21e congrès de la CBB a eu le privilège d accueillir à sa tribune différents représentants du monde politique : Mme Sabine Laruelle, Ministre Fédéral de l Agriculture, MM. Joris Relaes, chef de Cabinet, représentant du Ministre régional de l Agriculture et Guy Lambrechts, directeur de la politique des marchés et filières au Ministère flamand de l Agriculture et enfin, Marc Tarabella, parlementaire européen à l agriculture par vidéo interposée. Ensuite, les représentants des deux groupes sucriers belges, M. Guy Parternoster pour la RT et M. Olivier Lippens pour Iscal Sugar, sont venus présenter leur vision sur l évolution de l industrie sucrière en Belgique dans le marché libre de l après-quota. Pour analyser les atouts de la betterave et les possibilités d augmenter notre compétitivité, ce sont MM. Alexis Patry, secrétaire de l AMPBCS, Jean-Pierre Vandergeten, Directeur de l IRBAB et Bruno Desprez, Directeur de Florimond Desprez qui ont présenté les marges de progrès possibles en betteraves. En conclusion du congrès, Valerie Vercammen, Secrétaire général de la CBB, a résumé le message politique de la CBB en terminant par la présentation des motions ci-dessous. A l issue du congrès, Victor Sneessens, Président de la CBB a chaleureusement remercié tous les planteurs et les intervenants pour leur participation active. De gauche à droite, Jos Brouwers, Président du Comité du Coordination des Flandres, région organisatrice du congrès, Victor Sneessens, Président de la CBB et Valerie Vercammen, secrétaire général de la CBB. Pascale Tychon, Inspecteur des réceptions pour la CBB, a présenté un film tourné à l usine de Longchamps détaillant les différentes phases de la réception MOTIONS La Confédération des Betteraviers Belges (CBB), représentant quelque planteurs de betteraves, a tenu son 21ième Congrès à Gand du 4 au 5 juin à la veille des prises de décision du trilogue européen sur la réforme de la Politique Agricole Commune, les délégués des quatre associations régionales qui représentent les planteurs wallons et flamands de la Raffinerie Tirlemontoise et d Iscal Sugar, ont analysé l évolution de leur secteur et adopté les motions ci-dessous. Convergence des aides : les betteraviers belges craignent d être les plus pénalisés Les betteraviers belges ont pris acte du souhait des responsables politiques européens de rééquilibrer les aides directes. Néanmoins, ils plaident avec insistance auprès des responsables politiques pour que le rééquilibrage se fasse de façon graduelle et flexible en tenant compte de la spécificité de chaque Etat membre et de la différence des coûts des facteurs de production dans les différents Etats membres. Verdissement: Plus de flexibilité et respect pour les efforts déjà réalisés en matière de durabilité Les betteraviers belges demandent aux responsables politiques de prévoir des mesures de verdissement flexibles qui tiennent compte de la spécificité de l agriculture dans chaque Etat membre et des efforts déjà réalisés en matière de verdissement et de durabilité. Réforme de l OCM Unique - dossier «sucre» - reconduction du régime sucre actuel jusqu en 2020 : une nécessité pour pérenniser la compétitivité Sur le marché mondial du sucre, il n y a pas de Level playing field. Tandis que tous les pays producteurs de sucre soutiennent directement ou indirectement leur industrie sucrière, l Europe semble non seulement délaisser son industrie sucrière, voire mettre son développement en péril en abolissant prématurément les quotas. Les betteraviers belges demandent aux trois parties du trilogue d inclure la prolongation de l OCM Sucre jusqu en 2020 lors de l accord final de la fin Début juin s est tenu à Gand le 21e Congrès de la CBB qui a réuni une centaine de délégués des planteurs issus des quatre entités la CBB (Coco Hainaut-Iscal, Fédé RT, Coco Vlaanderen et Verbond Bietplanters van de Tiense ) juin 2013 afin de ne pas mettre en péril l avenir de toute la filière betteraves-sucre européenne. Les accords Interprofessionnels : indispensables pour assurer le bon fonctionnement de la chaîne Les betteraviers belges demandent aux responsables politiques de défendre le maintien du cadre contractuel y compris les Accords Interprofessionnels (AIP) qui seront cruciaux pour renforcer la position de négociation des planteurs afin de garantir le partage équitable de la plus-value tout au long de la chaîne d approvisionnement. Les AIP sont essentiels au bon fonctionnement de la chaîne d approvisionnement des betteraves et du secteur c est pourquoi ils doivent à tout prix être repris dans les textes de bases légaux européens. Les organisations de producteurs (OP): une solution pour l après-règlement sucre? Les organisations de producteurs pourraient à l avenir être un outil important pour renforcer la position de négociation des betteraviers. Compte tenu de la spécificité de la betterave et de la concurrence imparfaite dans la filière betteraves-sucre, les betteraviers belges demandent aux responsables politiques de faire une dérogation aux règles de la concurrence pour l agriculture. Les planteurs demandent de pouvoir s organiser en organisations ou associations de producteurs fortes qui seront autorisées à négocier collectivement, au nom de leurs membres, des contrats incluant les prix, sans enfreindre le droit à la concurrence. Compte tenu de la réalité du marché (européen voire global), les betteraviers belges plaident pour une concertation entre OP européennes. Une réception et des contrôles efficaces sont une exigence fondamentale Les betteraviers belges rappellent l exigence fondamentale d une réception correcte des betteraves en sucrerie et soulignent la nécessité de reconnaître et de payer les betteraves à leur juste valeur. R&D : accélération du progrès pour être compétitif sur le marché mondial demain Afin de devenir plus compétitifs sur le marché mondial, les betteraviers belges demandent à tous les maillons de la filière betterave-sucre de poursuivre leurs efforts en matière d innovation ainsi que de recherche et développement. Ils demandent aux instances politiques de continuer à stimuler l innovation. Contact : Valerie Vercammen, Secrétaire-Général valerie.vercammen@cbb.be Vous pouvez télécharger les motions du congrès sur notre site /2013 Le Betteravier

3 21 e Congrès CBB La réforme du régime sucre et la PAC Tous les représentants politiques présents au Congrès de la CBB ont exprimé leur volonté de défendre le maintien des quotas jusqu en Sabine Laruelle, Ministre Fédérale de l Agriculture, a tout d abord rappelé le contexte européen avec la réduction de 12 % du budget alloué à la PAC pour les sept prochaines années ( ) ainsi que les deux mesures phares de la réforme : l octroi de 30 % de l enveloppe des aides directes au verdissement et la convergence du niveau des aides directes entre Etats membres qui entraînera une réduction du niveau d aide à l hectare pour la Belgique. Commentant la réforme du régime sucre, la Ministre Laruelle, estime que la volatilité des prix n est pas assez prise en compte et que les régimes de soutien et d organisation des marchés sont réduits au minimum. «Sauf surprise, a -t-elle déclaré, il faudra se résigner à abandonner l espoir de prolonger les quotas jusqu en Néanmoins, la Commission s est engagée à prévoir un cadre pour assurer l organisation de la filière via des mesures supplémentaires». La Ministre Laruelle estime que pour la filière betterave-sucre, 3 mesures sont indispensables: interprofession, conditions d achat et prix minimum. Concernant la PAC, la Ministre Laruelle défend trois priorités. Premièrement, défendre une réelle régulation des marchés afin d assurer un filet de sécurité suffisant et efficace en cas de crise et permettant d obtenir des dispositions renforçant le pouvoir de négociation des producteurs vis-à-vis de l industrie. Deuxièmement, en matière de convergence interne des aides, demander une période de transition la plus longue possible afin d éviter de mettre en péril la situation des exploitations agricoles. Enfin, en matière de verdissement, plaider pour davantage de flexibilité dans la mise en œuvre des mesures afin qu il n y ait pas de perte de revenu injustifiée pour les agriculteurs. Pour Joris Relaes, Chef de cabinet du Ministre flamand de l Agriculture Kris Peeters, la Joris Relaes réforme du régime Sucre voulue par la Commission veut empêcher la pénurie de sucre apparue dans l UE en supprimant les quotas et en laissant l offre de sucre se déterminer par le marché et la compétitivité entre les différents acteurs plutôt que par des décisions administratives. Joris Relaes pense que laisser jouer les forces du marché, ne conduit pas forcément à un avantage en prenant pour preuve la dérégulation du secteur laitier. Il estime que la protection sur les produits alimentaires doit rester plus élevée que sur les autres produits et qu il faut garder une protection extérieure comme le pratiquent d ailleurs de nombreux pays. Il faut également garder un fonctionnement interprofessionnel solide qui soit ancré dans un cadre européen et basé sur des dispositions détaillées en ce qui concerne les conditions d achat pour les betteraves sucrières, même après Marc Tarabella Des propos appuyés par Marc Tarabella, député et membre de la commission Agriculture au Parlement Européen, qui pense que l Union européenne doit à tout prix sécuriser ses approvisionnements en confortant sa propre production, ce qu elle ne fait plus suffisamment aujourd hui. Garder le contrôle de l offre et les outils de gestion du marché est à ses yeux indispensable pour limiter la volatilité des prix préjudiciable aux revenus des agriculteurs. Sa position défendue au Parlement Européen est de : reconduire le système actuel jusqu en 2020 avec une reprise des outils de gestion existants : prix minimum, report, retrait, contenu des accords interprofessionnels ; conserver un mécanisme de gestion des quotas permettant le reclassement ; et d autoriser la Commission à octroyer la réallocation de quotas aux pays qui les avaient abandonnés. La Ministre Laruelle estime que pour la filière betterave-sucre, 3 mesures sont indispensables: interprofession, conditions d achat et prix minimum. Rôle des Organisations de Producteurs (OP) dans l après-quota Un autre volet de la nouvelle PAC, a été présenté par Guy Lambrechts, Directeur du service de la Politique des marchés et filières au département de l Agriculture de la région flamande, à propos des propositions de la Commission destinées à encourager les agriculteurs à s organiser en Organisations de Producteurs (OP) ou en interprofession via des Organisations de Branche (OB). L objectif des propositions de la Commission est de mieux organiser l offre des produits, de renforcer le pouvoir de négociation des agriculteurs et leur permettre d obtenir une répartition plus juste de la valeur ajoutée au sein de la filière alimentaire. Des aides financières sont prévues pour favoriser la création de ces organisations moyennant certaines règles identiques pour tous les Etats membres et pour tous les secteurs. Que peuvent gérer les Organisations de Producteurs(OP)? Le planning de production, la concertation de l offre et de l écoulement, l optimalisation des coûts de production, la stabilisation des prix aux producteurs, la recherche en matière de production durable, les pratiques culturales favorables à l environnement, la gestion des déchets et co-produits, l utilisation durable des ressources naturelles et la limitation des effets du changement climatique. Parmi ces activités, deux au moins devront motiver la création d une OP. Pour les organisations de Branche (OB) qui Guy Lambrechts gèrent les relations entre producteurs, transformateurs et/ou le maillon commercial, la Commission a strictement défini les activités suivantes : l amélioration de la connaissance des marchés (statistiques, études de marché, ), une meilleure coordination de l écoulement et de l offre, la promotion des labels de qualité, de l alimentation biologique,etc, la recherche concernant la production intégrée et durable, la limitation de l usage des produits phytosanitaires et vétérinaires ainsi que l établissement de contrats standards mais sans négociation de prix, formellement interdite! Cette interdiction a fait réagir l assemblée. Les planteurs ont exprimé la nécessité de pouvoir continuer à négocier les volumes et les prix en interprofession et la nécessité de maintenir un cadre contractuel pour tous, que les planteurs soient membres d une coopérative ou pas. Pour que les OP et les OB puissent renforcer la pouvoir de négociation des planteurs dans la filière, il est indispensable que des aménagements et que des dérogations aux règles à la concurrence soient prévues pour l agriculture. POUR LA 8 ème ANNÉE, BÉNÉFICIEZ DE17 % DE REMISE SUPPLÉMENTAIRE SI VOUS INVESTISSEZ AVANT LE 31/08/2013 Rendez-nous visite à Stand Meca V4 Distance optimale entre graines Profondeur constante Levées régulières DistriTECH Tel : JOSKIN Le Betteravier 07-08/2013 3

4 21 e Congrès CBB 20 tonnes de sucre/ha en 2020 : utopie ou réalité? L objectif de 20 tonnes de sucre à l hectare en 2020, est-ce possible? Réponse affirmative de Jean- Pierre Vandergeten, Directeur de l IRBAB, puisque, dans les essais de l IRBAB entre 2009 et 2012, le Jean-Pierre Vandergeten rendement de 20 tonnes/ha avait déjà pu être atteint dans 25 % des sites. Mais, ajoute-t-il immédiatement, il s agit de résultats d essais et non de conditions planteurs (pas de forrières,...). Cela signifie néanmoins que le potentiel de la betterave est important. Entre 1996 et 2012, les rendements racines ont augmenté d 1 tonne par an et la richesse de 0,06 Z par an. Le nombre de jours de végétation et la génétique sont des critères de progression majeurs ainsi que les techniques de semis favorables à une levée rapide et homogène. Selon une étude de la NBR, l ensemble de ces facteurs influencent le rendement final pour 70% tandis que la lutte phytosanitaire compte pour 10% et le contrôle des pertes à la récolte et au stockage pour 20%. 20 tonnes de sucre à l ha à l horizon 2020, c est l objectif que poursuit l IRBAB à travers ses nombreux essais pour améliorer la compétitivité des betteraves : ajustement des intrants (engrais, matières actives, variétés résistantes aux maladies, lutte contre l érosion et la compaction des sols (chenilles sur machines de récolte,..), allongement de la période de végétation (betteraves automnales, techniques de semis,...), limitation des pertes de production grâce à une meilleure conservation des betteraves. Les coûts de production de la betterave de 10 à 30 % supérieurs à ceux de la canne Pour Alexis Patry, secrétaire de l AMPBCS, il est impératif de continuer à améliorer la compétitivité de la betterave, si l Union Européenne veut rivaliser avec les grands acteurs du marché mondial que sont Alexis Patry le Brésil et la Thaïlande. Quels sonts les atouts de la betterave par rapport à la canne à sucre? Côté avantages : la betterave consomme moins d eau et est cultivée dans des zones où l eau est moins rare; la betterave s intègre dans Consignes de décolletage pour livrer toute la betterave, sans feuilles 1. QUI CHERCHONS-NOUS? Une personne consciencieuse et sociable (m/f) avec une expérience en laboratoire et/ou un baccalauréat en agriculture ou en sciences, pour une collaboration dans la réception de la sucrerie de Fontenoy. La connaissance du néerlandais est un atout supplémentaire. 2. EN PRATIQUE Le Comité de Coordination des planteurs de ISCAL,asbl, recherche un «contrôleur» (m/f) pour la campagne betteravière à la sucrerie de Fontenoy Il s agit d un emploi à temps plein en 2 pauses (entre 4h et minuit), à durée déterminée, éventuellement renouvelable pour les prochaines campagnes. L horaire est à convenir avec les autres contrôleurs. 5 jours de travail par semaine du lundi au samedi (avec 1 jour de congé à fixer). Des prestations seront également effectuées quelques dimanches et/ou jours fériés. Période : de mi-septembre jusque fin décembre début janvier. 3. FONCTION une rotation et entraîne beaucoup moins de problèmes de maladies, compaction des sols,... comparativement à la monoculture de la canne ; elle est aussi plus réactive aux variations de la demande en sucre. Enfin, l augmentation des rendements betteraviers est plus rapide que ceux de la canne. Côté désavantages, il y a essentiellement le coût énergétique élevé de la production de sucre de betterave. Pour le sucre de canne, ce coût est nul car les tiges de canne épuisées (bagasses) sont brûlées dans les chaudières qui alimentent l usine en énergie. Il y a même une production d électricité en excès qui peut être vendue. Les facteurs externes tels que le coût de la main-d oeuvre, les contraintes environnementales sont généralement plus élevées en betteraves même si dans des pays comme le Brésil, les salaires et les préoccupations écologiques sont en forte augmentation. On estime que les coûts de production sucre «départ usine» dans l Union Européenne sont 30 % supérieurs aux coûts de production au Brésil et 10 % supérieurs à ceux de la Thaïlande. Alexis Patry conclut qu avec la fin programmée des quotas en 2020, la concurrence sera plus intense. Pour garder ses débouchés, la betterave doit encore continuer à progresser. Aker vise à doubler le progrès génétique des variétés de betteraves Bruno Desprez, Directeur de Florimond Desprez, leader mondial de la semence de betterave, est le président enthousiaste du comité de coordination du projet AKER, un projet de recherche qui a pour Contrôle des différentes étapes de la réception des betteraves. Contrôle et suivi du fonctionnement de la chaîne de mesure de la teneur en sucre des betteraves par des analyses en parallèle. Mesure de la matière sèche de pulpes. Travail en collaboration avec les autres contrôleurs et le personnel de l usine. Si ce poste vous intéresse, envoyez votre curriculum vitae ainsi qu une lettre de motivation par mail à pascale.tychon@cbb.be Date limite pour l envoi des candidatures : le 9 août 2013 ambition de doubler la vitesse du progrès génétique en betterave. Actuellement, le rendement en sucre Bruno Desprez à l hectare augmente en moyenne de 2 % par an. L ambition d AKER est de passer à un gain de croissance annuelle du rendement en sucre de 4 % par an. Comment? Un des premiers axes de recherche est d élargir la variabilité génétique de la betterave en constituant une collection de gènes dans le genre Beta en provenance du monde entier (Europe, continent indien, Amérique du Nord, ). Cela permettra d apporter du sang neuf aux variétés de betteraves sucrières cultivées qui sont fort apparentées, avec notamment beaucoup de gènes italiens. Parmi cette collection de matériel «exotique», une pré-sélection des souches les plus susceptibles d enrichir le matériel génétique de la betterave sucrière est réalisée. La suite du programme consistera à croiser ces souches avec des variétés élites de betteraves sucrières pour produire de nouvelles variétés à haut potentiel. Pour sélectionner les meilleures souches, celles qui possèdent la diversité la plus complémentaire aux variétés de betteraves élites, le programme AKER fait appel à des techniques de recherche et de sélection innovantes (lecture du matériel génétique, analyses et marqueurs moléculaires, traitement informatique et programmes de prévision statistiques, ) qui vont permettre d accélérer l évaluation du matériel génétique. Certaines de ces nouvelles méthodes de génotypage (analyse du matériel génétique) sont déjà utilisées en sélection animale (vaches laitières Holstein). L avantage de ces méthodes est de favoriser au maximum la sélection du matériel génétique avant sa mise en essais afin de gagner du temps et réduire les coûts. Les méthodes de phénotypage (analyse des caractères) seront également modernisées grâce à une optimisation à la betterave des méthodes et équipements existants. Un maximum de critères sera mesuré: germination, croissance précoce, gains de croissance (foliaire et racinaire), maladies, réponse aux facteurs biotiques et abiotiques, et bien sûr le rendement au champ. Cette phase du projet représente 60 % du coût total du projet Aker. Lancé en 2012, Aker est un projet d envergure d une durée de 8 ans qui occupe 80 chercheurs et est porté par 11 partenaires, organismes publics et opérateurs privés de la filière betterave française. Suppression du décolletage à l usine aux Pays-Bas Jan Willem van Roessel, Secrétaire général du Conseil d Administration du groupe sucrier coopératif COSUN, a décrit le nouveau système de réception des betteraves aux Pays-Bas. En 2012, COSUN a décidé de supprimer totalement le décolletage à l usine pour la mesure de la tare collet et de déduire un pourcentage fixe forfaitaire de 3% du poids net des betteraves livrées. Seuls les paramètres de qualité (richesse et extractibilité) sont mesurés sur les betteraves telles qu elles rentrent en usine. COSUN paie davantage de tonnes livrées mais un prix un peu moins élevé à la tonne, ce qui ne pose pas de problèmes aux planteurs globalement car en tant que coopérateurs, ils sont rémunérés selon les résultats de la coopérative. Jan Willem van Roessel Les consignes de décolletage au champ sont restées identiques. Les betteraves sont scalpées de manière à être livrées sans feuilles. Un contrôle est effectué en fonction du pourcentage de betteraves portant des pétioles de plus de 2 cm avec les conséquences suivantes. Les tas présentant plus de 30 % de betteraves avec des pétioles de plus de 2 cm ne sont pas chargés. En-dessous de 30 %, une réduction du prix à la tonne de betteraves est appliquée: % de betteraves avec pétioles de plus de 2 cm : - 1,50 ; % de betteraves avec pétioles de plus de 2 cm : - 3, % de betteraves avec pétioles de plus de 2 cm : - 4,50. Lors de cette première campagne, aucun lot n a été refusé et 42 lots ont été pénalisés car ils contenaient trop de feuilles. Les planteurs n ayant pas intérêt à laisser trop de feuilles car elles entraînent des pertes lors du stockage. A partir de 2015, un facteur de qualité supplémentaire pourrait être introduit concernant le pourcentage de sucre inverti. Le collet contient en effet davantage de sucre inverti ce qui entraîne des difficultés pour extraire le sucre et obtenir un sucre non coloré. Une étude est en cours mais le problème est complexe car le pourcentage de collet n est pas le principal facteur explicatif pour le sucre inverti. D autres éléments entrent en jeu comme la qualité de la récolte et du stockage, la qualité sanitaire des betteraves et le choix des variétés /2013 Le Betteravier

5 INSTITUT ROYAL BELGE POUR L AMéLIORATION L AMÉLIORATION DE LA BETTERAVE ASBL Molenstraat 45, B-3300 Tienen (Tirlemont) F. F info@irbab.be Techniques culturales betteravières pvbc PVBC - PROGRAMME VULGARISATION BETTERAVE CHICORéE, CHICORÉE, DANS LE CADRE DES CENTRES PILOTES Rubrique Rubrique rédigée rédigée et présentée et présentée sous sous la responsabilité la responsabilité de l IRBAB, de l IRBAB, J.-Fr. J.-P. Misonne, Vandergeten, Directeur Directeur de l IRBAB, de l IRBAB, avec le soutien avec le financier soutien du du Service Ministère public de la de Région Wallonie Wallonne Maladies foliaires & Ravageurs de la betterave en été : Interventions en fonction des messages du Service d Avertissements de l IRBAB L utilisation des bâches TOPTEX Guy Legrand, André Wauters, Barbara MANDERYCK (IRBAB asbl - KBIVB vzw) Chaque année, l IRBAB coordonne un réseau de champs d observation en betterave Le produit et en son chicorée, historique à travers toute la région de culture. Les informations Les avertissements peuvent courir jusque début septembre, date à laquelle le teur traitement reçoit 0,50 /tonne n est plus de recommandé. betteraves. collectées chaque semaine permettent de suivre l évolution de ces Parallèlement aux avertissements, l agriculteur peut s aider du tableau des Pour les betteraves non-déterrées 2009 reste une année transitoire avec la possibilité cultures et des éventuels problèmes phytosanitaires observés. L évolution sensibilités variétales aux principales maladies foliaires : cercosporiose, des La bâche problèmes TOPTEX phytosanitaires est un produit peut fabriqué être par visualisée la Royal Ten sur Cate, des société illustrations spécialisée cartographiques ramulariose, d utiliser soit le oïdium TOPTEX et rouille avec (voir l indemnité, graphique soit le de plastique droite). noir Il complète (distribué l interprétatioment gratuitekbivb.bduction dans différents produits disponibles dont les sur géotextiles. site Internet Cette société de compte l IRBAB trois ( sites de pro- et > a son champs siège d observation-cartographie). à Almelo aux Pays-Bas. Les bâches TOPTEX sont fabriquées comme à auparavant) donner aux mais observations sans indemnité qui de seront bâchage. notifiées pour chaque champ Si la Raf d observation. nerie Tirlemontoise devait émettre un avertissement gel pour les betteraves Un dans avis le site d intervention de production est de Ten établi Cate par Geosynthetics l IRBAB lorsque en Autriche. le seuil de traitement Une à livrer maladie avant le foliaire 1e décembre, en betterave les betteraves se combat couvertes au mieux avec le au TOPTEX moment béné où son cieront également contre un ravageur ou une maladie est atteint. Ces avis et autres conseils seuil de traitement est atteint. Rappelons à ce propos qu un traitement préventif sont envoyés gratuitement, au moins une fois par semaine, par à réalisé avant des indemnités l apparition mentionnées des symptômes plus haut. risque de coûter un traitement toute personne qui en fait la demande (s adresser à : info@irbab.be). Ces Pour ISCAL inutile SUGAR avec une répercussion négative sur le bilan économique de la messages sont également publiés sur le site Internet de l Institut. Le service d avertissements de l IRBAB reçoit un soutien financier des Ministères le seuil de traitement est atteint pour l une ou l autre maladie, il est con- culture. Le taux pivot Ceci ne de référence cadre d ailleurs pour la pas tare avec terre est l idée de de 5,5 la % lutte pour intégrée. les betteraves Lorsque déterrées. Un malus de 10 à la tonne de tare terre est appliqué pour une tare supérieure régionaux de l Agriculture. seillé d utiliser un produit agréé à la dose agréée. Utiliser des doses réduites à ce niveau. d un fongicide Pour les betteraves peut engendrer livrées de avant la résistance le 15 novembre et réduire et bâchées son effica- avec du Les principaux ravageurs et maladies observés au niveau des feuilles, de la fermeture des lignes jusqu au début de la récolte et contre lesquels un avis cité TOPTEX et sa (sur persistance base volontaire) d action. le planteur Pour tout reçoit traitement, 0.80 /tonne respectez de betteraves. les Pour délais des d intervention pourrait être établi sont mentionnés dans le tableau des avant livraisons récolte après qui le varient 15 novembre entre et 21 bâchées et 45 jours avec du (voir TOPTEX liste des (sur produits base volontaire) agréés pages précédentes (voir ligne Avertissement : «IRBAB»). En présence de sur le site Internet de l IRBAB). le planteur reçoit 1.10 /tonne de betteraves. Pour des betteraves bâchées (bâchage parasites, maladies ou symptômes difficilement identifiables, contactez 200 votre agronome de sucrerie ou le service «Beta Sana» de l IRBAB (Beta obligatoire avec du plastique ou du Toptex) après un avertissement de risque de gel Sana = identification de problèmes phytosanitaires en culture de betterave). par la sucrerie, 160 le planteur reçoit 1,10 /tonne de betteraves Les indemnités 120de bâchage proposées actuellement par les sucreries sont destinées brut à couvrir les frais 80 de bâchages mécanisés (voir plus loin). En 2013 et pour assurer un suivi régulier de l évolution des maladies foliaires net Photo 1. de Bâche l été, TOPTEX l IRBAB dispose xée sur d un le tas réseau de betteraves de 75 champs à l aide d observations de sacs remplis 40 de en betteraves et et reliés de 20 par champs des liens d observations en chicorée. Plus de 45 particuliers Dimensions et 0 couverture des tas participent à ce réseau. Qu ils soient ici tous remerciés pour leur non traité 16 juil.. Spyrale collaboration bien utile. La bâche est une toile blanche en bres de polypropylène, non tressées. Elle est donc Les bâches commercialisées en 9 août Belgique 9 août ont une longueur 9 août de 16m et une largeur de Opus Team Spyrale 1.0 Spyrale 1.0 perforée d une multitude de petits trous de la taille d une aiguille. Ces trous permettent 9,80m et coûtent 120. Elles permettent 0.7 la couverture 30 aoûtd approximativement 80t de Sur base des observations hebdomadaires, un avertissement de traitement peut une circulation Armure 0.7 être lancé de dès l air que entre le les seuil betteraves pour une tout maladie en limitant est l introduction atteint dans de les l eau sites de betteraves. Elles sont prévues pour des bâchages manuels. Elles sont bien adaptées visités. pluie dans Mieux le tas. encore, l agriculteur réalisant lui-même des observations Gain pour financier des tas repris brut par et net des (coûts déterreurs déduits) qui ont du des traitement tables d avalage en 2012 de : 8m. il est Dans le ce peut de baser sur les même seuils pour intervenir : plus rentable lorsqu appliqué 1 fois au seuil de traitement (arrachage fin octobre). cas, les 16m sont placés dans le sens de la longueur. Pour les tas (non-déterrés) qui g g g L objectif de la bâche est triple : ont une base plus large, les 16m doivent être placés dans le sens de la largeur. Si la Avant le 20 août Après le 20 août RosalindaKws - réduire la tare terre, bâche SabrinaKws dépasse la base du tas, replier le surplus sur la base du tas. Ceci renforcera la GondolaKws - protéger Cercospora, les betteraves Ramularia du gel et 5% de la de pluie, feuilles 20% de feuilles protection ClaudettaKws à la base du tas. EleonoraKws - réduire la perte en sucre en cours atteintes de conservation. atteintes Rambler Tyler Rouille, Oïdium 15% de feuilles 30% de feuilles Goodwood BTS 880 atteintes atteintes Watson Le TOPTEX est importé en Belgique par la société PYPE sprl. Il est utilisé en Europe Prodige Texel depuis 1990 et a été introduit en Belgique en Jusqu à présent, le produit a été BTS 370 Escault utilisé Comment à faible échelle gérer (0,2% au de la mieux surface betteravière les maladies sur base annuelle). foliaires Au cours? BernadettaKws Mintaramax de - ces Eviter années, tout l IRBAB traitement a effectué préventif quelques en absence essais ponctuels de maladie. en vue d analyser l impact de ce type de bâche sur la réduction de tare terre et l aptitude à protéger les Coyote Mercator Benno - Observer le développement des maladies au niveau la parcelle en Magellan prélevant 100 feuilles à travers le champ. TimotheaKws betteraves contre le gel. Candimax - Intervenir avec un fongicide adapté dès qu un seuil de traitement est Pasteur Le nouveau régime sucre, les nouveaux barèmes concernant la tare terre, les fermetures Rubens BanderaKws atteint en tenant compte de la sensibilité de la variété pour la maladie Husky présente d usines et et l allongement de la date d apparition. des campagnes ont suscité un regain d intérêt pour ce type LisannaKws - de Ne produit. plus traiter à moins de 45 jours avant récolte. Marjolaine Perruche cercospora Des - accords Si le seuil interprofessionnels pour une maladie ont n est été conclus, pas atteint dont certains au 10 août éléments et que sont l arrachage Pour est prévu les termes avant précis le 1er de octobre l accord, : se impasse référer auprès du traitement. de la CBB. Figure Euromax 1. Positionnement des bâches TOPTEX sur des tas confectionnés pour repris Carreau KassiaKws ramularia ci-dessous. Gandhi witziekte Pour - Même la RAFFINERIE si visuellement TIRLEMONTOISE l aspect du champ pourrait en souffrir, un traitement fongicide en septembre n est pas rentable (pour autant que le Bengal roest des déterreurs Adler à table d avalage ou à trémie d attente ou pour des chargements Le taux pivot de référence pour la tare terre est de 6 % pour les betteraves déterrées. directs Balear à la grue. premier traitement ait été bien appliqué). Cassini Un Biscay Quel malus est de l avantage 10 à la tonne de choisir de tare une terre variété est appliqué moins pour sensible une tare? supérieure à ce Baloo Steel Sensibilité des variétés aux maladies niveau - Une et un variété bonus moins équivalent sensible pour une permet tare inférieure. une plus grande souplesse pour le A la Greenmax jointure entre deux bâches, il faut les superposer sur une largeur de 10 à 15cm. Charly Pour délai les betteraves d intervention déterrées, du le traitement planteur reçoit fongicide 1 /tonne (voir de ci-dessus). betteraves nette s il achète - des Une bâches variété TOPTEX moins et sensible couvre retarde les betteraves la date qui de sont réapparition ou seront mises de maladie en tas à cords entre Geckobâches restent bien collés aux betteraves. On peut bare éventuellement est longue, relier Il est conseillé de tenir compte de la direction des vents dominants foliaires pour : plus que les la rac- IsabellaKws Vedeta partir au-delà du 15 novembre de la rémanence et à livrer après du le produit 1e décembre. : un deuxième Les années traitement suivantes le n est plan- les bâches Zeppelinentre elles en utilisant des liens (type colson). plus la variété est donc pas nécessaire. Iguane sensible. Zorro gain Euro/ha Le Betteravier 06/ /

6 RAVAGEURS et MALADIES de la BETTERAVE, de la FERMETURE d Pour plus d'informations, consultez sur le site Web IRBAB: Guide technique "Ravageurs et Maladies en betterave sucrière" (cfr > Publicatio Module "Identification des Maladies et Ravageurs" (cfr Page d'accueil) Liste des produits agréés (cfr > Publications > Maladies & lutte ou Ravageurs & Pégomyies, Pseudomonas, Mildiou Jaunisse virale, Pucerons noirs, Chenilles, Acariens, Bloca Juin Juillet LEGENDE Incidence Chenilles, Nématodes, Aphanomyces, Rhizoctone brun, Verticil Dégâts (parfois localement) Intervention Traitement Efficacité Co Collet 1 minime - Aucune - Aucun 1 mauvaise Ra Racine 2 faible P préventive Fo foliaire 2 insuffisante Fe Feuilles 3 modérée C curative 3 acceptable 4 importante V Variétés tolérantes 4 bonne 5 grave ou résistantes 5 parfaite? pas d'information Produits agréés (Fytoweb, mai 2013) Matière active et produit commercial pour lutter contre : Fongicides foliaires Oïdium Cerco Ramu Rouille carb carbendazim dife difenoconazole : DIFCOR, GEYSER, PLOVER, agréé agréé agréé TAPIER fendi fenpropidine epox epoxyconazole fenmo fenpropimorphe : CORBEL agréé agréé agréé flus flusilazole : CAPITAN agréé agréé agréé proc prochloraz prop propiconazol pyra pyraclostrobine quin quinoxyfen : FORTRESS agréé souf soufre : COSAVET, KUMULUS, HERMOVIT, agréé MICROSULFO, SPUITZWAVEL 800, THIOVIT JET, SULFOSTAR tetr tetraconazole : BELROSE, EMINENT agréé agréé agréé dife+fendi SPYRALE agréé agréé agréé agréé dife+prop ARMURE agréé agréé agréé agréé fenmo+epox OPUS TEAM agréé agréé agréé agréé flus+carb PUNCH agréé agréé agréé proc+prop BUMPER P agréé agréé pyra+epox RETENGO PLUS agréé agréé agréé agréé Produits Matière active et produit co Insecticides foliaires cyf beta cyfluthrine : BULLDOCK cyh lambda cyhalothrine : KARAT NINJA, RAVANE 50, LAMBD LIFE SCIENTIFIC LAMBDA del deltaméthrine : SPLENDID, dim diméthoate : DANADIM PRO DIMISTAR PROGRESS, DIM PERFEKHTION 400, ROGO pir pirimicarbe : PIRIMOR cyh+pir OKAPI 6 06/2013 Le Betteravier

7 es LIGNES au DEBUT de la RECOLTE : MOYENS D INTERVENTION ns > Maladies & lutte ou Ravageurs & lutte) lutte) Guy Legrand IRBAB asbl-kbivb vzw f Maladie des petites taches jaunes Oïdium, Cercosporiose, Ramulariose, Rouille, Alternaria, Phoma, ge ou Carence en éléments nutritifs, Autres facteurs Août Septembre lium, Fusarium, Rhizomanie, Nécrose jaune, Erwinia Rhizoctone violet agréés (Fytoweb, mai 2013) mmercial pour lutter contre : Pucerons Chenilles Pégomyies agréé E ZEON, agréé agréé A 50 CYALOTHRIN, SPARVIERO DECIS 2,5, PATRIOT agréé agréé agréé GRESS, agréé agréé ISTAR PROGRESS 400, R 40 agréé agréé agréé édition 2013 Le Betteravier 07-08/2013 7

8 Grande journée technique en culture de betteraves et de chicorées le 10 octobre prochain! J.-P. Vandergeten Lieu Introduc on Avec la n annoncée des quotas, planteurs et industries devront être concurren els vis à vis des autre sources de sucre (canne à sucre, isoglucose, ). La seule issue possible pour a eindre cet objec f est d augmenter la produc on par hectare avec pour objec f d a eindre 20 tonnes de sucre en 2020! A l occasion de ses 81 années d existence, l IRBAB et son secteur souhaitent faire l état des lieux de l avancement de la recherche appliquée et des pistes futures de progression des rendements dans ces deux cultures. La journée se endra sur une parcelle de 20 ha appartenant à Monsieur Bernard Mehauden, située à Avernas le Bauduin (près de Hannut). Objet de la journée démonstra ve Pour augmenter la produc on, la première étape consiste à valoriser au maximum tous les acquis de la recherche et à améliorer encore la communica on pour que le plus grand nombre béné cie des dernières évolu ons techniques. La seconde étape consiste à augmenter la produc on par le canal de la technique et notamment de la géné que. De grands programmes de recherche géné que ont été ac vés, notamment en France et en Allemagne. L IRBAB dispose d un circuit très poussé de contrôle de la qualité des graines et de la produc on des variétés commerciales. Contrairement aux pays voisins, l ins tut belge effectue également les études qui mènent à l inscrip on des nouvelles variétés au catalogue et ceci, pour le compte des autorités régionales. Le système u lisé pour l évalua on de la produc on est pra quement unique en Europe. En effet, tous les essais sont effectués selon des plans expérimentaux très stricts et les parcelles sont semées en 6 rangs. L évalua on du rendement se fait exclusivement sur les 4 rangs centraux a n d éviter les effets de bordures. Des machines spéciales ont été développées à cet effet. Ces machines seront en démonstra on sur le site. La troisième étape consiste à limiter les pertes de produc on. Pour apprécier le développement des machines de récolte, les chiffres suivants sont éloquents : 3% de pertes en produc on sucre en 1980 et 2% en 2012! L IRBAB a également lancé de grands projets de recherche pour améliorer la conserva on des be eraves et faire face aux campagnes plus longues tout en limitant les pertes de produc on. L augmenta on de la produc on ne peut pas se faire au détriment du prix de revient de la culture. La protec on des plantes doit rester économique (désherbage, stratégie insec cide et fongicide, choix variétal, ). La ges on op male des fer lisants est un autre point essen el qui a une in uence importante sur le prix de revient. Des techniques respectueuses de l environnement doivent assurer la durabilité de la culture. De nombreuses techniques ont été élaborées, visant une réduc on des intrants : faibles doses d herbicides (FAR), insec cides à très pe tes doses dans les enrobages des graines, doses réduites d azote en localisé, Dans ce e op que, le réseau des champs d observa ons co nancé par les autorités régionales permet de donner des conseils ciblés en fonc on de la présence de mauvaises herbes, de l appari on de certaines maladies et/ou de parasites et de leur niveau d infesta on. De gros efforts ont été faits au niveau de l azote. En 1980, on u lisait 4 kg d azote minéral par tonne de be erave à 16 S pour seulement 1,3 kg en 2012 (données essais IRBAB). Comparés à d autres cultures, les reliquats azotés à la récolte sont par culièrement faibles. Les techniques de non labour (TCSL) ont été largement étudiées et perme ent de garan r une lu e efficace contre l érosion. La généralisa on du déterrage et la combinaison déterrage/bâchage Toptex perme ent de réduire fortement les quan tés de terre et de verts transportées. Les études sur les couvertures vertes des silos de pulpe surpressée montrent qu elles peuvent remplacer avantageusement les bâches plas ques et les pneuma ques usagés. Mais de nombreux dé s a endent le secteur : mise en place de l IPM (Integrated Pest Management), réduc on encore plus importante des pes cides, compac on des sols, A l occasion de cet évènement, l IRBAB souhaite me re en avant toutes ces collabora ons belges et européennes, qu elles soient bilatérales ou effectuées au travers de groupes de recherches. Programme préliminaire Une surface de 1,5 ha a été enherbée et est des née aux chapiteaux et stands. Un chapiteau central regroupera des stands du secteur (IRBAB et son Programme de Vulgarisa on Be erave et Chicorée, Confédéra on des Be eraviers Belges, Raffinerie Tirlemontoise Ora i) ainsi que le Centre de Recherches Agronomiques de Gembloux (CRA W), l Ins tuut voor Landbouw en Visserijonderzoek (ILVO, Merelbeke) et les Services Agricoles de la Province de Liège. A côté du chapiteau central, on trouvera une dizaine de chapiteaux individuels des nés : aux maisons de sélec ons variétales qui sont des partenaires du secteur be erave sucre et de l IRBAB depuis de très nombreuses années, aux sociétés de produits protec on des plantes u lisés en cultures de be eraves et chicorées, à la société qui commercialise les bâches des nées à couvrir et protéger les tas de be eraves conservés à long terme. Sur le site, on trouvera également le CRA W, l ILVO, l Université Catholique de Louvain (UCL), l Ins tut Technique de la Be erave industrielle (ITB, Paris), l Ins tuut voor Ra onele Suikerproduk e (IRS, Bergen op Zoom), les partenaires du secteur de la chicorée (CPL Végémar, Inagro, Pibo, Ora i, Cosucra, ) qui illustreront et commenteront des points de recherches en cours de réalisa on avec l IRBAB. Des sociétés de construc on de machines agricoles comme Grimme (machines de récolte adaptées à l arrachage de be eraves chauves), Ropa (déterreur pour be eraves et machine de récolte pour chicorées), Holmer (machine de récolte pour chicorées) et d autres encore (qui seront précisées dans le prochain Be eravier) seront également en démonstra on. Au programme du jeudi 10 octobre 2013 : de 9h30 à 12h30 : visite, démonstra on et commentaires sur site à par r de 12h00 : accueil de personnalités et officiels de 13h30 à 16h30 : visite, démonstra on et commentaires sur site (programme iden que à celui du ma n) Parcelles expérimentales sur le site de 20 ha destiné à la journée technique betterave et chicorée du 10 octobre Points techniques qui seront abordés ou en démonstra on En be erave Variétés : essais variétaux IRBAB avec matériel de récolte en démonstra on, variétés doubles tolérantes (nématodes, rhizoctone et rhizomanie), résistance variétale aux maladies foliaires. Protec on des plantes : désherbage, FAR, lu e contre les chénopodes résistants, désherbage mécanique, matériel guidé par GPS, capteurs de spores de maladies fongiques et iden ca on par PCR, lu e contre les pules, IPM, Sol & semis : semis hâ fs, évolu on dans les semoirs, Mécanisa on : non labour & Strip Till, be eraves chauves, lu e contre les be eraves sauvages, tramlining, déterrage, Conserva on des be eraves et protec on des tas : bâches géotex les & Jupe es, facteurs de conserva on : qualité arrachage, placement xa on enlèvement mécanisé des bâches, Fer lisa on : PGDA ; MAP4, engrais verts & légumineuses, reliquats azotés, impact de l incorpora on hâ ves de feuilles, fer lisa on globale, Coproduits : pulpe surpressée avec couverture verte, valorisa on des écumes, Aspects environnementaux de la culture En chicorée semis (in uence de la vitesse et profondeur de semis) variétés (sélec on de variétés actuelles et pour l avenir en Belgique) fer lisa on (produits vendus comme bios mulateur) herbicides (essai désherbage ainsi que les objec fs et fonc onnement du Groupe Phyto Chicorées au sein du PVBC) récolte (arrachage à fourches Ropa et Holmer accompagné d un transbordeur) déterrage (chargement chicorées par Ora i, avaleuse type chicorées de 10 m de large Ropa et déterrage par chan er décomposé : grue et déterreur Gebo) Résumé A l occasion de son 81ème anniversaire, l IRBAB et son secteur organisent le jeudi 10 octobre prochain une grande journée technique en cultures de be erave et de chicorée. L objec f est d augmenter les rendements pour être concurren el avec les autres sources de sucre et ainsi faire face à la dispari on prochaine du système des quotas sucre. Lors de ce e journée démonstra ve, l IRBAB fera le point sur ses recherches appliquées actuelles et abordera les pistes de progression des rendements pour les prochaines années. L IRBAB veut également montrer les réalisa ons de son Programme de Vulgarisa on Be erave Chicorée (PVBC) co nancé par les pouvoirs régionaux, et les travaux de son programme de recherche global qui reçoit une aide fédérale. Ce e manifesta on sera l occasion de me re l accent sur les collabora ons très étroites entre l IRBAB et les chercheurs belges et européens, et d y associer les semenciers, les rmes de produits phytopharmaceu ques et la rme qui commercialise les géotex les. Une informa on plus complète sera publiée dans le prochain Be eravier /2013 Le Betteravier

Betteravier HUSKY. L incontournable. LeBetteravier. 2013... Année pivot pour les betteraves

Betteravier HUSKY. L incontournable. LeBetteravier. 2013... Année pivot pour les betteraves IN DIT NUMMER Éditorial par Philippe Bedoret, Président de la CBB FéVRIER 2013 N 498 47 ième année dans ce numéro Marché européen : Fin décembre, la Commission a décidé d importer 600.000 t de sucre supplémentaires.

Plus en détail

Fiche Technique. Filière Maraichage. Mais doux. Septembre 2008

Fiche Technique. Filière Maraichage. Mais doux. Septembre 2008 Fiche Technique Production Peu Développée en Languedoc-Roussillon Filière Maraichage Mais doux Septembre 2008 Rédigée par : Julien GARCIA Chambre Régionale d Agriculture du Languedoc-Roussillon Potentiel

Plus en détail

Sorgho grain sucrier ensilage L assurance sécheresses

Sorgho grain sucrier ensilage L assurance sécheresses Sorgho grain sucrier ensilage L assurance sécheresses Sorgho grain sucrier Itinéraire cultural Type de sol et préparation avant semis Le sorgho grain sucrier est relativement peu exigeant par rapport au

Plus en détail

mon maïs fourrage, (GNIS) rassemble toutes les parties prenantes de la filière semences française, soit 72 entreprises de sélection,

mon maïs fourrage, (GNIS) rassemble toutes les parties prenantes de la filière semences française, soit 72 entreprises de sélection, Ma vache, mon maïs fourrage, et moi 50 ans de progrès! Depuis maintenant 50 ans, le maïs fourrage a bénéficié avec succès du progrès génétique et de l innovation variétale. Il a su s inscrire durablement

Plus en détail

RÉSULTATS DE L OBSERVATOIRE TECHNICO-ÉCONOMIQUE DU RAD Synthèse 2011 - Exercice comptable 2010

RÉSULTATS DE L OBSERVATOIRE TECHNICO-ÉCONOMIQUE DU RAD Synthèse 2011 - Exercice comptable 2010 Les essentiels du Réseau agriculture durable RÉSULTATS DE L OBSERVATOIRE TECHNICO-ÉCONOMIQUE DU Synthèse 2011 - Exercice comptable 2010 Réseau d information comptable agricole du Ministère de l Agriculture,

Plus en détail

Un expérience pluridisciplinaire de l intensification écologique en Agriculture Familiale

Un expérience pluridisciplinaire de l intensification écologique en Agriculture Familiale Le développement du semis-direct sous couverture végétale pour les agriculteurs des exploitations familiales des biomes Cerrados (2005-2009) et Amazonia (2008-2013) Un expérience pluridisciplinaire de

Plus en détail

Contexte : Objectif : Expérimentation :

Contexte : Objectif : Expérimentation : Estimation de la valeur fertilisante de digestats issus de la biométhanisation. Résultat de 3 années d expérimentation en culture de maïs (2009 à 2011). (JFr. Oost 1, Marc De Toffoli 2 ) 1 Centre pilote

Plus en détail

Marc VARCHAVSKY Conseil National CER FRANCE Olivier BOUCHONNEAU Président de CER FRANCE 49

Marc VARCHAVSKY Conseil National CER FRANCE Olivier BOUCHONNEAU Président de CER FRANCE 49 Impact de la variabilité des prix des produits agricoles et des intrants sur les exploitations en France Marc VARCHAVSKY Conseil National CER FRANCE Olivier BOUCHONNEAU Président de CER FRANCE 49 Colloque

Plus en détail

DOSSIER DE PRESSE. Organisateur. Contact. Carolina Cardoso cardoso@bee- life.eu Chargée de communication + 32 (0)10 47 34 16 + 32 496 87 46 85

DOSSIER DE PRESSE. Organisateur. Contact. Carolina Cardoso cardoso@bee- life.eu Chargée de communication + 32 (0)10 47 34 16 + 32 496 87 46 85 DOSSIER DE PRESSE Organisateur CARI asbl Place Croix du Sud, 4 1348 Louvain la Neuve +32 (0)10 47 34 16 www.cari.be Contact Carolina Cardoso cardoso@bee- life.eu Chargée de communication + 32 (0)10 47

Plus en détail

Agricultural Policies in OECD Countries: Monitoring and Evaluation 2005. Les politiques agricoles des pays de l OCDE: Suivi et évaluation 2005.

Agricultural Policies in OECD Countries: Monitoring and Evaluation 2005. Les politiques agricoles des pays de l OCDE: Suivi et évaluation 2005. Agricultural Policies in OECD Countries: Monitoring and Evaluation 2005 Summary in French Les politiques agricoles des pays de l OCDE: Suivi et évaluation 2005 Résumé Le soutien accordé aux producteurs

Plus en détail

CRITERES D EXAMEN DE VARIETES EN VUE DE LEUR ADMISSION AU CATALOGUE POMMES DE TERRE (Solanum tuberosum L.) - 13/12/2013

CRITERES D EXAMEN DE VARIETES EN VUE DE LEUR ADMISSION AU CATALOGUE POMMES DE TERRE (Solanum tuberosum L.) - 13/12/2013 1/9 CRITERES D EXAMEN DE VARIETES EN VUE DE LEUR ADMISSION AU CATALOGUE POMMES DE TERRE (Solanum tuberosum L.) - 13/12/2013 I. EXAMEN DE LA DISTINCTION, L HOMOGENEITE ET DE LA STABILITE (D.H.S.). L examen

Plus en détail

GUIDE D UTILISATION DES PRODUITS DE MAÏS

GUIDE D UTILISATION DES PRODUITS DE MAÏS GUIDE D UTILISATION DES PRODUITS DE MAÏS Refuge Advanced MC SmartStax MC Herculex MC ÉDITION CANADIENNE Le présent guide d utilisation du produit (le guide) établit les exigences pour la culture des hybrides

Plus en détail

Guide de la documentation parcellaire

Guide de la documentation parcellaire Guide de la documentation parcellaire Agrar-Office AgroWIN Agrar-Office AgroWIN 0 200 m 0 200 m 40% 30% 20% 10% 0% Statistik gespeichert am 26.09.2007 Mittelwert 69,43 % 25% 20% 15% 10% 5% 0% Legende [%]

Plus en détail

Bien choisir sa variété de maïs ensilage

Bien choisir sa variété de maïs ensilage Bien choisir sa variété de maïs ensilage Le maïs ensilage n est pas une culture difficile à cultiver. Pour choisir sa variété, l agriculteur dispose aujourd hui d une multitude de critères : attention

Plus en détail

La campagne 2004/05 a vu des livraisons globalement stables:

La campagne 2004/05 a vu des livraisons globalement stables: Conférence de presse UNIFA - 23 septembre 2005 Sommaire Le marché des engrais : campagne 2004-2005 La hausse des prix de l énergie pèse sur la nouvelle campagne Le contexte réglementaire : la nouvelle

Plus en détail

Note récapitulative : culture de Taillis à très Courte Rotation (TtCR) de saules

Note récapitulative : culture de Taillis à très Courte Rotation (TtCR) de saules Convention de production et de vente de TtCR de saule Note récapitulative : culture de Taillis à très Courte Rotation (TtCR) de saules 1. Généralités Le taillis à très courte rotation (TtCR) est une culture

Plus en détail

Informations techniques sur la culture de l ananas

Informations techniques sur la culture de l ananas Informations techniques sur la culture de l ananas Conditions de culture favorables (choix de la parcelle) : Sol drainant et plutôt acide. Terrain exposé au soleil. Accès à l eau pour l irrigation durant

Plus en détail

Autocontrôle et traçabilité dans la production primaire végétale

Autocontrôle et traçabilité dans la production primaire végétale Gisèle Fichefet Conseillère Vegaplan.be Le Standard GIQF : Autocontrôle et traçabilité dans la production primaire végétale Contenu Introduction Historique GIQF/Guide sectoriel Vegaplan.be Le Standard

Plus en détail

Témoignage client SAP Chimie Cosucra. Tous les ingrédients du succès et de la croissance

Témoignage client SAP Chimie Cosucra. Tous les ingrédients du succès et de la croissance Témoignage client SAP Chimie Cosucra Tous les ingrédients du succès et de la croissance Cosucra Secteur Chimie Produits et services Ingrédients alimentaires naturels Site web www.cosucra.com SAP s FAST-Food

Plus en détail

La couverture des risques agricoles

La couverture des risques agricoles PACIFICA - ASSURANCES DOMMAGES La couverture des risques agricoles Patrick Degiovanni Directeur Général Adjoint Page 1 Marrakech, Jeudi 28 octobre 2010 Sommaire Le contexte Les risques du métier en Agriculture

Plus en détail

BREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR AGRICOLE SUJET

BREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR AGRICOLE SUJET SESSION 2011 France métropolitaine BREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR AGRICOLE ÉPREUVE N 2 DU PREMIER GROUPE ÉPREUVE SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE Option : Génie des équipements agricoles Durée : 3 heures 30 Matériel(s)

Plus en détail

Fertiliser le maïs autrement

Fertiliser le maïs autrement Fertiliser le maïs autrement Dans un contexte de renchérissement des ressources en azote organique et de recherche de plus d autonomie, les agriculteurs biologiques picards et leurs conseillers au sein

Plus en détail

Thème sélection génétique des plantes hybridation et génie génétique

Thème sélection génétique des plantes hybridation et génie génétique Thème sélection génétique des plantes hybridation et génie génétique Exemple d activité : recenser, extraire et exploiter des informations afin de comprendre les caractéristiques et les limites de la modification

Plus en détail

NOP: Organic System Plan (OSP) / EOS: Description de l Unité Information et documents requis

NOP: Organic System Plan (OSP) / EOS: Description de l Unité Information et documents requis TITRE NOP: Organic System Plan (OSP) / EOS: Description de l Unité Information et documents requis Selon le règlement NOP de l USDA 205.406(a), un opérateur certifié doit transmettre chaque année à son

Plus en détail

Agence Fédérale pour la Sécurité de la Chaîne Alimentaire

Agence Fédérale pour la Sécurité de la Chaîne Alimentaire Agence Fédérale pour la Sécurité de la Chaîne Alimentaire Circulaire relative aux conditions d exportation en vue d être conforme aux exigences spécifiques des pays tiers au niveau des limites maximales

Plus en détail

Fiche info financière Assurance-vie Top Protect Financials 08/2018 1

Fiche info financière Assurance-vie Top Protect Financials 08/2018 1 Fortis AG - Vos assurances chez votre courtier Fiche info financière Assurance-vie Top Protect Financials 08/2018 1 1 Cette fiche d information financière décrit les modalités du produit qui sont d application

Plus en détail

Présentation de la réforme de la PAC 2014-2020

Présentation de la réforme de la PAC 2014-2020 Brief: Les perspectives de la politique agricole N 5 / Décembre 2013 Présentation de la réforme de la PAC 2014-2020 SOMMAIRE 1. INTRODUCTION 2. DÉFIS ET OBJECTIFS 3. BUDGET DE LA PAC 4. ÉVOLUTION DE LA

Plus en détail

La filière noisette : un développement des surfaces est encore possible d après Unicoque.

La filière noisette : un développement des surfaces est encore possible d après Unicoque. La filière noisette : un développement des surfaces est encore possible d après Unicoque. Cette action de diffusion est cofinancée par l Union européenne avec les Fonds Européen Agricole pour le Développement

Plus en détail

Conseil Spécialisé fruits et légumes

Conseil Spécialisé fruits et légumes Conseil Spécialisé fruits et légumes Proposition d axes pour l expérimentation pour 2013/2015 dans la filière fruits et légumes frais (hors pomme de terre) 18 décembre 2012 FranceAgriMer Préparation de

Plus en détail

DOCUMENT DE TRAVAIL DES SERVICES DE LA COMMISSION RÉSUMÉ DE L'ANALYSE D'IMPACT. accompagnant le document:

DOCUMENT DE TRAVAIL DES SERVICES DE LA COMMISSION RÉSUMÉ DE L'ANALYSE D'IMPACT. accompagnant le document: COMMISSION EUROPÉENNE Bruxelles, le 22.4.2015 SWD(2015) 88 final DOCUMENT DE TRAVAIL DES SERVICES DE LA COMMISSION RÉSUMÉ DE L'ANALYSE D'IMPACT accompagnant le document: Rapport de la Commission au Parlement

Plus en détail

Le FMI conclut les consultations de 2008 au titre de l article IV avec le Maroc

Le FMI conclut les consultations de 2008 au titre de l article IV avec le Maroc Note d information au public (NIP) n 08/91 POUR DIFFUSION IMMÉDIATE Le 23 juillet 2008 Fonds monétaire international 700 19 e rue, NW Washington, D. C. 20431 USA Le FMI conclut les consultations de 2008

Plus en détail

La lutte intégrée contre les ravageurs de sol en grandes cultures. Geneviève Labrie

La lutte intégrée contre les ravageurs de sol en grandes cultures. Geneviève Labrie La lutte intégrée contre les ravageurs de sol en grandes cultures Geneviève Labrie La lutte intégrée Portrait des dommages au Québec Financière agricole du Québec 880 avis de dommages depuis 2008 224 avis

Plus en détail

LES CONTRATS EN AVICULTURE. Comité Volailles FranceAgriMer, 31 janvier 2013 1

LES CONTRATS EN AVICULTURE. Comité Volailles FranceAgriMer, 31 janvier 2013 1 LES CONTRATS EN AVICULTURE Comité Volailles FranceAgriMer, 31 janvier 2013 1 CONTEXTE, OBJECTIFS ET MÉTHODE Comité Volailles FranceAgriMer, 31 janvier 2013 2 CONTEXTE Déficit de compétitivité français

Plus en détail

RÉUNION DES MINISTRES DE L'ALIMENTATION, DE L'AGRICULTURE ET DE LA PÊCHE DES PAYS MEMBRES DU CIHEAM 9ÈME DECLARATION FINALE

RÉUNION DES MINISTRES DE L'ALIMENTATION, DE L'AGRICULTURE ET DE LA PÊCHE DES PAYS MEMBRES DU CIHEAM 9ÈME DECLARATION FINALE 9ÈME RÉUNION DES MINISTRES DE L'ALIMENTATION, DE L'AGRICULTURE ET DE LA PÊCHE DES PAYS MEMBRES DU CIHEAM La Valette 27 septembre 2012 DECLARATION FINALE page 1 A l invitation de S.E. George Pullicino,

Plus en détail

Calcul de la marge brute en production laitière

Calcul de la marge brute en production laitière Mode d emploi : Calcul de la marge brute en production laitière Calculez la marge brute en production laitière sur votre exploitation et comparez-la avec celle d autres exploitations du même type. Utilisation

Plus en détail

Résumé du suivi phytosanitaire du canola au Centre-du-Québec de 2009 à 2011

Résumé du suivi phytosanitaire du canola au Centre-du-Québec de 2009 à 2011 Résumé du suivi phytosanitaire du canola au Centre-du-Québec de 2009 à 2011 Brigitte Duval, agronome (MAPAQ Nicolet) et Geneviève Labrie, Ph.D. (CÉROM) en collaboration avec Joëlle Cantin, stagiaire, Mathieu

Plus en détail

ATELIER DE RESTITUTION DU 27 NOVEMBRE 2014 ETUDE SECTEUR AGROALIMENTAIRE PROGRAMME EDEC

ATELIER DE RESTITUTION DU 27 NOVEMBRE 2014 ETUDE SECTEUR AGROALIMENTAIRE PROGRAMME EDEC Ministère Chargé du Commerce Extérieur ATELIER DE RESTITUTION DU 27 NOVEMBRE 2014 ETUDE SECTEUR AGROALIMENTAIRE PROGRAMME EDEC Présentation du secteur agroalimentaire (IAA) Le secteur des industries agroalimentaires

Plus en détail

Valérie Roy-Fortin, agr. Bio pour tous! - 6 mars 2015

Valérie Roy-Fortin, agr. Bio pour tous! - 6 mars 2015 Valérie Roy-Fortin, agr. Bio pour tous! - 6 mars 2015 Mise en contexte Résultats des essais du CETAB+ Méthodologie; Biomasse et facteurs de variation; Rendements en maïs et corrélations avec l azote apporté;

Plus en détail

FICHE TECHNIQUE SUR LA FERTILISATION DE LA PASTEQUE

FICHE TECHNIQUE SUR LA FERTILISATION DE LA PASTEQUE FICHE TECHNIQUE SUR LA FERTILISATION DE LA PASTEQUE 2 I- JUSTIFICATION La consommation de la pastèque est en nette expansion en réponse à une forte demande nationale et régionale ; Cependant la production

Plus en détail

«L énergie la moins chère et la moins polluante est celle qu on ne consomme pas»

«L énergie la moins chère et la moins polluante est celle qu on ne consomme pas» Énergie «L énergie la moins chère et la moins polluante est celle qu on ne consomme pas» La première fonction de l agriculture est la valorisation de l énergie solaire en énergie alimentaire par la photosynthèse.

Plus en détail

Communiqué de presse. Tereos Europe 500 000 000 d emprunt obligataire à 6 3/8 % dus à 2014. Pour le semestre clos au 31 mars 2012.

Communiqué de presse. Tereos Europe 500 000 000 d emprunt obligataire à 6 3/8 % dus à 2014. Pour le semestre clos au 31 mars 2012. Communiqué de presse Lille, le 29 juin 2012 Tereos Europe 500 000 000 d emprunt obligataire à 6 3/8 % dus à 2014 Pour le semestre clos au 31 mars 2012. L Entreprise organise une conférence téléphonique

Plus en détail

Réponse concernant le financement de l assurance-emploi et les récentes mesures connexes. Ottawa, Canada 9 octobre 2014 www.pbo-dpb.gc.

Réponse concernant le financement de l assurance-emploi et les récentes mesures connexes. Ottawa, Canada 9 octobre 2014 www.pbo-dpb.gc. Réponse concernant le financement de l assurance-emploi et les récentes mesures connexes Ottawa, Canada 9 octobre 2014 www.pbo-dpb.gc.ca Le Directeur parlementaire du budget a pour mandat de présenter

Plus en détail

MODE D EMPLOI LOI POUR LE POUVOIR D ACHAT : Rachat de jours de repos, déblocage anticipé de la participation, prime exceptionnelle...

MODE D EMPLOI LOI POUR LE POUVOIR D ACHAT : Rachat de jours de repos, déblocage anticipé de la participation, prime exceptionnelle... MODE D EMPLOI Valérie Coutteron LOI POUR LE POUVOIR D ACHAT : Rachat de jours de repos, déblocage anticipé de la participation, prime exceptionnelle... LA LOI N 2008-111 DU 8 FÉVRIER 2008 pour le pouvoir

Plus en détail

EPREUVE ECRITE D ADMISSIBILITE

EPREUVE ECRITE D ADMISSIBILITE CONCOURS DE RECRUTEMENT DE PROFESSEURS DE LYCEE PROFESSIONNELS AGRICOLE (PLPA) SESSION 2011 Concours : INTERNE Section : Sciences économiques et sociales et gestion Option A : Sciences économiques et sociales

Plus en détail

UNE MEILLEURE CROISSANCE, UN MEILLEUR CLIMAT

UNE MEILLEURE CROISSANCE, UN MEILLEUR CLIMAT UNE MEILLEURE CROISSANCE, UN MEILLEUR CLIMAT The New Climate Economy Report EXECUTIVE SUMMARY La Commission Mondiale sur l Économie et le Climat a été établie pour déterminer s il est possible de parvenir

Plus en détail

IMPACT DE LA MICRO FINANCE EN MILIEU RURAL EXPERIENCE DE LA CAISSE D EPARGNE ET DE CREDIT

IMPACT DE LA MICRO FINANCE EN MILIEU RURAL EXPERIENCE DE LA CAISSE D EPARGNE ET DE CREDIT IMPACT DE LA MICRO FINANCE EN MILIEU RURAL EXPERIENCE DE LA CAISSE D EPARGNE ET DE CREDIT D ODIENNE (CECO) PRESENTATION DE MONSIEUR TOURE GAOUSSOU PRESIDENT DU CONSEIL D ADMINISTRATION DE LA CAISSE D EPARGNE

Plus en détail

CONGRES REGIONAL CTA/ ATPS DE LA JEUNESSE EN AFRIQUE

CONGRES REGIONAL CTA/ ATPS DE LA JEUNESSE EN AFRIQUE CONGRES REGIONAL CTA/ ATPS DE LA JEUNESSE EN AFRIQUE Exploiter le Potentiel de la Science, de la Technologie et de l Innovation dans les chaînes Agro-alimentaires en Afrique : Créer emplois et richesse

Plus en détail

LA FERME À MATURIN INC. ÉNONCÉ

LA FERME À MATURIN INC. ÉNONCÉ JEUX DU COMMERCE 2008 CAS COMPTABILITÉ FINANCIÈRE LA FERME À MATURIN INC. ÉNONCÉ Éric Déry, CA, MBA Département des Sciences comptables Université du Québec à Trois-Rivières 2007 Toute reproduction, en

Plus en détail

réglementation bio Partie générale bio, reconnaissable et contrôlé

réglementation bio Partie générale bio, reconnaissable et contrôlé réglementation bio Partie générale bio, reconnaissable et contrôlé Partie générale : bio, reconnaissable et contrôlé. L objectif de la partie générale de la brochure est de clarifier ce qu est exactement

Plus en détail

RENTABILITÉ ÉCONOMIQUE MODÈLES DE CALCUL

RENTABILITÉ ÉCONOMIQUE MODÈLES DE CALCUL Faits et chiffres de l aviculture CH 2.6 RENTABILITÉ ÉCONOMIQUE MODÈLES DE CALCUL 1. Généralités sur les coûts de production et la rentabilité économique Les modèles de calcul en annexe sont à interpréter

Plus en détail

Contribution des industries chimiques

Contribution des industries chimiques Contribution des industries chimiques au débat national sur la transition énergétique Les entreprises de l industrie chimique sont des acteurs clés de la transition énergétique à double titre. D une part,

Plus en détail

POURQUOI VISIOLYS? SOMMAIRE VOUS PROPOSE : Un monde qui bouge COMPRENDRE. Analyses et adaptations SE REPÉRER SE PROJETER ET CHOISIR

POURQUOI VISIOLYS? SOMMAIRE VOUS PROPOSE : Un monde qui bouge COMPRENDRE. Analyses et adaptations SE REPÉRER SE PROJETER ET CHOISIR POURQUOI VISIOLYS? EXPERTISE STRATÉGIE ÉCONOMIE Visiolys est né de la volonté commune des deux entreprises de conseil en élevage Clasel et Eilyps de se projeter dans un monde en pleine mutation, de permettre

Plus en détail

LCBC CABC O. HERMANN. Institut Royal Belge pour l'amérlioration de la Betterave (IRBAB/KBIVB) Tienen (Tirlemont), Belgique

LCBC CABC O. HERMANN. Institut Royal Belge pour l'amérlioration de la Betterave (IRBAB/KBIVB) Tienen (Tirlemont), Belgique LCBC CABC Reconnaître les maladies foliaires de la betterave au champ O. HERMANN Institut Royal Belge pour l'amérlioration de la Betterave (IRBAB/KBIVB) Tienen (Tirlemont), Belgique Publication réalisée

Plus en détail

Nécessité d un «électrochoc» fiscal

Nécessité d un «électrochoc» fiscal Les Analyses du Centre Jean Gol Nécessité d un «électrochoc» fiscal Janvier 2014 Administrateur délégué : Richard Miller Directrice : Laurence Glautier Directeur scientifique : Corentin de Salle Les analyses

Plus en détail

ASSOCIATION DES ÉDITEURS BELGES

ASSOCIATION DES ÉDITEURS BELGES ASSOCIATION DES ÉDITEURS BELGES MEMORANDUM AUX RESPONSABLES POLITIQUES Dans le cadre des futures élections du 25 mai 2014, l Association des Editeurs Belges de langue française (ADEB), fédération professionnelle

Plus en détail

Devenez point de chute d une ferme du réseau québécois d agriculture soutenue par la communauté (ASC)

Devenez point de chute d une ferme du réseau québécois d agriculture soutenue par la communauté (ASC) GUIDE À L INTENTION DES ORGANISATIONS Devenez point de chute d une ferme du réseau québécois d agriculture soutenue par la communauté (ASC) Pour des paniers de légumes locaux et sains, directement livrés

Plus en détail

PAC. ce qui change. vraiment

PAC. ce qui change. vraiment PAC 2014 2020 ce qui change vraiment Dotée d un budget préservé de l ordre de 9,1 milliards par an, la nouvelle pac entrera pleinement en application en 2015 et sera le cadre commun de l agriculture européenne

Plus en détail

Livre Blanc Oracle Novembre 2010. Le Bureau des Projets (PMO) : un levier stratégique de création de valeur pour l industrie

Livre Blanc Oracle Novembre 2010. Le Bureau des Projets (PMO) : un levier stratégique de création de valeur pour l industrie Livre Blanc Oracle Novembre 2010 Le Bureau des Projets (PMO) : un levier stratégique de création de valeur pour l industrie Présentation générale Les entreprises industrielles sont confrontées à un environnement

Plus en détail

Evaluation de cépages résistants ou tolérants aux principales maladies cryptogamiques de la vigne

Evaluation de cépages résistants ou tolérants aux principales maladies cryptogamiques de la vigne VITICULTURE 27 Evaluation de cépages résistants ou tolérants aux principales maladies cryptogamiques de la vigne Marc Chovelon Grab Mathieu Combier Chambre d Agriculture du Var Gilles Masson Centre du

Plus en détail

Copyright Agirc-Arrco Mars 2012. 2 QUESTIONS pour comprendre le Système d Information Retraite Complémentaire (SI-RC)

Copyright Agirc-Arrco Mars 2012. 2 QUESTIONS pour comprendre le Système d Information Retraite Complémentaire (SI-RC) 2 QUESTIONS pour comprendre le Système d Information Retraite Complémentaire (SI-RC) SOMMAIRE (1/3) ENJEUX DE L INFORMATIQUE RETRAITE COMPLÉMENTAIRE 1. Depuis quand un programme de convergence informatique

Plus en détail

Caisse Nationale de Mutualité Agricole

Caisse Nationale de Mutualité Agricole Séminaire national sur la vulgarisation, l appui-conseil et les bonnes pratiques agricoles Le rôle des Assurances Agricole dans le développement de la politique du renouveau Agricole et Rural Présentation

Plus en détail

«Vaincre la crise par la solidarité» La réduction collective du temps de travail sans perte de salaire et avec embauche compensatoire

«Vaincre la crise par la solidarité» La réduction collective du temps de travail sans perte de salaire et avec embauche compensatoire «Vaincre la crise par la solidarité» La réduction collective du temps de travail sans perte de salaire et avec embauche compensatoire Congrès exceptionnel FGTB Liège-Huy-Waremme 2009 - Document de travail

Plus en détail

Ray-grass anglais auto-regarnissant

Ray-grass anglais auto-regarnissant Robuste COMME L ACIER Ray-grass anglais auto-regarnissant Une technologie révolutionnaire : auto-regarnissage et tolérance au jeu la plus élevée, même avec une tonte courte! RPR technology inside! RPR

Plus en détail

DIAGNOSTIC DE DURABILITE du Réseau Agriculture Durable

DIAGNOSTIC DE DURABILITE du Réseau Agriculture Durable DIAGNOSTIC DE DURABILITE du Réseau Agriculture Durable Guide de l utilisateur 2010 Si vous êtes amenés à utiliser cet outil, merci d indiquer votre source. Réseau agriculture durable - Inpact Bretagne

Plus en détail

République de Côte d Ivoire NOTE D INFORMATION UN INSTRUMENT PROFESSIONNEL AU CŒUR DU DEVELOPPEMENT AGRICOLE ET DES FILIERES DE PRODUCTION

République de Côte d Ivoire NOTE D INFORMATION UN INSTRUMENT PROFESSIONNEL AU CŒUR DU DEVELOPPEMENT AGRICOLE ET DES FILIERES DE PRODUCTION République de Côte d Ivoire NOTE D INFORMATION UN INSTRUMENT PROFESSIONNEL AU CŒUR DU DEVELOPPEMENT AGRICOLE ET DES FILIERES DE PRODUCTION Investir pour le futur Anticiper - Innover 01 BP 3726 ABIDJAN

Plus en détail

Réforme du crédit à la consommation. Statut des enseignants chercheurs. Point sur les États généraux de l outre-mer

Réforme du crédit à la consommation. Statut des enseignants chercheurs. Point sur les États généraux de l outre-mer LE PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE A REUNI LE CONSEIL DES MINISTRES AU PALAIS DE L ÉLYSÉE LE MERCREDI 22 AVRIL 2009 A L ISSUE DU CONSEIL, LE SERVICE DE PRESSE DE LA PRESIDENCE DE LA REPUBLIQUE A DIFFUSÉ LE

Plus en détail

Choisir une pointeuse, badgeuse ou système de gestion des temps

Choisir une pointeuse, badgeuse ou système de gestion des temps Choisir une pointeuse, badgeuse ou système de gestion des temps Ce guide a été conçu pour vous assister dans votre démarche de sélection d un système de gestion des temps. Nous souhaitons ici vous faire

Plus en détail

Questions fréquemment posées au sujet de la sortie du nucléaire en Allemagne

Questions fréquemment posées au sujet de la sortie du nucléaire en Allemagne Traduction Questions fréquemment posées au sujet de la sortie du nucléaire en Allemagne Pour quelles raisons décisives le gouvernement fédéral veut-il sortir complètement du nucléaire d ici à 2022? Décisif

Plus en détail

L assurance récoltes en France

L assurance récoltes en France P A C I F I C A - A S S U R A N C E S D O M M A G E S L assurance récoltes en France Colloque FARM - Pluriagri du 18 décembre 2012 Thierry LANGRENEY Directeur général de Pacifica L assurance, un outil

Plus en détail

Micro-irrigation à Madagascar

Micro-irrigation à Madagascar P R AVSF - J. Mas A X IS LES EXPÉRIENCES I N N O VA N T E S D AV S F PAYS Madagascar TITRE DU PROJET SCAMPIS Développement des Systèmes de Micro-irrigation BÉNÉFICIAIRES DIRECTS Plus de 10 000 familles

Plus en détail

Produire avec de l'herbe Du sol à l'animal

Produire avec de l'herbe Du sol à l'animal GUIDE PRATIQUE DE L'ÉLEVEUR Produire avec de l'herbe Du sol à l'animal avril 2011 BRETAGNE PAYS DE LA LOIRE SOMMAIRE Paroles d éleveurs 4 Quelle place donner à l herbe Le choix d un système fourrager 8

Plus en détail

UNE MEILLEURE CONNAISSANCE

UNE MEILLEURE CONNAISSANCE CONCEVOIR ET GÉRER DES AMAS DE FUMIER SOLIDE AU CHAMP UNE MEILLEURE CONNAISSANCE pour un meilleur environnement En 2002, le Règlement sur les exploitations agricoles (REA) prévoyait l échéance des dispositions

Plus en détail

Document explicatif Introduction à Fairtrade

Document explicatif Introduction à Fairtrade Document explicatif Introduction à Fairtrade Explication de quelques mots et expressions clés utilisés à Fairtrade. Coopérative de Café Cocla, Peru. Photo: Henrik Kastenskov Document: Document explicatif

Plus en détail

Un gouvernement qui agit en misant sur l investissement privé

Un gouvernement qui agit en misant sur l investissement privé Cabinet du ministre Communiqué de presse BUDGET 2013-2014 COMMUNIQUÉ N 2 BUDGET 2013-2014 Un gouvernement qui agit en misant sur l investissement privé Québec, le 20 novembre 2012 «Pour accélérer la croissance

Plus en détail

Rotations dans la culture de pomme de terre : bilans humiques et logiciel de calcul

Rotations dans la culture de pomme de terre : bilans humiques et logiciel de calcul Colloque sur la pomme de terre Une production à protéger 13 novembre 2009, Québec Rotations dans la culture de pomme de terre : bilans humiques et logiciel de calcul Marc F. CLÉMENT., agronome, conseiller

Plus en détail

Indicateurs de résultats en Agriculture Durable

Indicateurs de résultats en Agriculture Durable Indicateurs de résultats en Agriculture Durable Formation «Mesures et indicateurs en agriculture durable» - 5 mars et 19 mai 2008- FNCIVAM Indicateurs clés socio-économiques Les indicateurs connus sont

Plus en détail

Les exploitations de grandes cultures face à la variabilité de leurs revenus : quels outils de gestion des risques pour pérenniser les structures?

Les exploitations de grandes cultures face à la variabilité de leurs revenus : quels outils de gestion des risques pour pérenniser les structures? Les exploitations de grandes cultures face à la variabilité de leurs revenus : quels outils de gestion des risques pour pérenniser les structures? Benoît Pagès 1, Valérie Leveau 1 1 ARVALIS Institut du

Plus en détail

Adaptation Aux changements climatiques. Agriculture et sécurité alimentaire: Cas du Burkina Faso

Adaptation Aux changements climatiques. Agriculture et sécurité alimentaire: Cas du Burkina Faso Adaptation Aux changements climatiques Agriculture et sécurité alimentaire: Cas du Burkina Faso Sommaire Le Le contexte Notion Notion d adaptation Stratégies Stratégies et techniques d adaptation Les Les

Plus en détail

Information Technology Credits (ITCredits)

Information Technology Credits (ITCredits) Informations générales Information Technology Credits (ITCredits) Vous pouvez faire appel à tout moment à notre service technique (tarifs horaires standard) en cas d installations, intervenions à distance

Plus en détail

Produire en grand tunnel multichapelle ou en serre froide individuelle Quelle structure choisir?

Produire en grand tunnel multichapelle ou en serre froide individuelle Quelle structure choisir? Produire en grand tunnel multichapelle ou en serre froide individuelle Quelle structure choisir? Christine Villeneuve, agr. MAPAQ, Ste-Martine 25 janvier 2012 Impact des changements climatiques sur l'agroclimat

Plus en détail

Participation des employeurs publics au financement de la protection sociale complémentaire. L analyse de la MNT sur le projet de décret

Participation des employeurs publics au financement de la protection sociale complémentaire. L analyse de la MNT sur le projet de décret Participation des employeurs publics au financement de la protection sociale complémentaire L analyse de la MNT sur le projet de décret Patrick DOS Vice-Président de la MNT Participation des employeurs

Plus en détail

TCS, strip-till et semis direct

TCS, strip-till et semis direct Témoignage dethierry Lesvigne Polyculture Elevage Bovin Lait La Bernaudie 24 480 ALLES- SUR-DORDOGNE Depuis 2008, Thierry Lesvigne a choisi repenser l ensemble de son système agronomique et a arrêté définitivement

Plus en détail

[Signature]Essais réalisés en collaboration entre les Chambres d'agriculture de Bretagne, les fédérations de Cuma et Arvalis Institut du végétal.

[Signature]Essais réalisés en collaboration entre les Chambres d'agriculture de Bretagne, les fédérations de Cuma et Arvalis Institut du végétal. [Titre]Semis de maïs : 3 semoirs à l'épreuve de la vitesse [Commentaires sur la mise en forme : Le tableau des caractéristiques des matériels avec les photos des semoirs doit être placé en première page.

Plus en détail

Agricultures paysannes, mondialisation et développement agricole durable

Agricultures paysannes, mondialisation et développement agricole durable Agricultures paysannes, mondialisation et développement agricole durable Marcel MAZOYER professeur à La Paz juillet 2 007 Contenu 1. Une situation agricole et alimentaire mondiale inacceptable 2. Développement

Plus en détail

Chaque page correspond à la version allemande. Vous pouvez imprimer les deux versions selon votre besoin.

Chaque page correspond à la version allemande. Vous pouvez imprimer les deux versions selon votre besoin. de notre prospectus Chaque page correspond à la version allemande. Vous pouvez imprimer les deux versions selon votre besoin. Page 1 Le fournisseur système Page 2 Bienvenue chez Schanzlin Une entreprise

Plus en détail

Certificat de Spécialisation «RESPONSABLE TECHNICO-COMMERCIAL : AGRO-FOURNITURES»

Certificat de Spécialisation «RESPONSABLE TECHNICO-COMMERCIAL : AGRO-FOURNITURES» Certificat de Spécialisation «RESPONSABLE TECHNICO-COMMERCIAL : AGRO-FOURNITURES» S appuyant sur le Brevet de Technicien Supérieur Agricole : Analyse et conduite des systèmes d exploitation Arrêté du 27

Plus en détail

Fiche Technique. sur l itinéraire de fertilization de la Pomme de terre. (Solanum tuberosum L.) au Cameroon

Fiche Technique. sur l itinéraire de fertilization de la Pomme de terre. (Solanum tuberosum L.) au Cameroon Fiche Technique sur l itinéraire de fertilization de la Pomme de terre (Solanum tuberosum L.) au Cameroon I. JUSTIFICATION La pomme de terre est une culture importante qui participe à la sécurité alimentaire

Plus en détail

RESULTATS DE L ESSAI VARIETES D ORGES D HIVER EN AGRICULTURE BIOLOGIQUE CAMPAGNE 2007-2008

RESULTATS DE L ESSAI VARIETES D ORGES D HIVER EN AGRICULTURE BIOLOGIQUE CAMPAGNE 2007-2008 C.R.E.A.B. MIDI-PYRENEES CENTRE REGIONAL DE RECHERCHE ET D EXPERIMENTATION EN AGRICULTURE BIOLOGIQUE MIDI-PYRENEES RESULTATS DE L ESSAI VARIETES D ORGES D HIVER EN AGRICULTURE BIOLOGIQUE CAMPAGNE 2007-2008

Plus en détail

ACCORD NATIONAL INTERPROFESSIONNEL DU 22 MARS 2014 RELATIF A L INDEMNISATION DU CHOMAGE

ACCORD NATIONAL INTERPROFESSIONNEL DU 22 MARS 2014 RELATIF A L INDEMNISATION DU CHOMAGE ACCORD NATIONAL INTERPROFESSIONNEL DU 22 MARS 2014 RELATIF A L INDEMNISATION DU CHOMAGE Préambule Considérant la situation économique et, notamment, l impact de celle ci sur le marché de l emploi et le

Plus en détail

Discours de Philippe MARTIN Ministre de l Écologie, du Développement durable et de l Énergie

Discours de Philippe MARTIN Ministre de l Écologie, du Développement durable et de l Énergie Philippe MARTIN, Ministre de l Écologie, du Développement durable et de l Énergie Paris, le jeudi 6 février 2014 Discours de Philippe MARTIN Ministre de l Écologie, du Développement durable et de l Énergie

Plus en détail

BULLETIN de SANTE du VEGETAL Franche-Comté

BULLETIN de SANTE du VEGETAL Franche-Comté BULLETIN de SANTE du VEGETAL Franche-Comté Bulletin N 11-24 juillet 2015 INSCRIPTIONS Si vous ne recevez pas le BSV Légumes chaque semaine, vous pouvez vous inscrire aux listes diffusion de votre choix

Plus en détail

Préface. Betterave fourragère, un concentré de fourrage

Préface. Betterave fourragère, un concentré de fourrage Préface Les anciens le diront tous, la betterave fourragère a des atouts incontestables pour l alimentation des animaux d élevage. En production bovine de lait ou de viande ou pour la production ovine

Plus en détail

ACCORD SUR LES ASTREINTES UES CAPGEMINI

ACCORD SUR LES ASTREINTES UES CAPGEMINI ACCORD SUR LES ASTREINTES UES CAPGEMINI PREAMBULE Pour répondre à la continuité du service que l entreprise doit assurer à ses clients, certaines activités pour certains rôles ou fonctions, recourent à

Plus en détail

Techniques agronomiques innovantes de la conduite du maïs fourrage

Techniques agronomiques innovantes de la conduite du maïs fourrage Techniques agronomiques innovantes de la conduite du maïs fourrage Romain LEGERE- Arvalis(station de la Jaillière Collaboration Bruno Couilleau-CA44 (Ferme de Derval) Techniques agronomiques innovantes

Plus en détail

L injection de biométhane dans le réseau de gaz naturel

L injection de biométhane dans le réseau de gaz naturel L injection de biométhane dans le réseau de gaz naturel Claire BRECQ GrDF - Délégation Stratégie- Régulation 10 ème Conférence sur le biogaz et le biométhane Montréal, le 24 mai 2012 Présentation de GrDF

Plus en détail

SERVICE PANIERS FRAICHEUR EN RHONE-ALPES DEMARCHE ET RETOUR D EXPÉRIENCE

SERVICE PANIERS FRAICHEUR EN RHONE-ALPES DEMARCHE ET RETOUR D EXPÉRIENCE SERVICE PANIERS FRAICHEUR EN RHONE-ALPES DEMARCHE ET RETOUR D EXPÉRIENCE ATELIER CEREMA 21 MAI 2015 LYON DÉPARTEMENT MARKETING ET SERVICE / TER RA DIFFUSION LIMITÉE JEUDI 21 MAI 2015 SOMMAIRE 01. DÉFINITION

Plus en détail

Position du secteur électrique français

Position du secteur électrique français 16 novembre 2010 ENERGIE 2020 Position du secteur électrique français L UFE, Union Française de l Electricité, est l association professionnelle du secteur de l électricité. Elle représente les employeurs

Plus en détail

Réformes socio-économiques

Réformes socio-économiques Réformes socio-économiques Le 27 novembre 2011, suite à la dégradation de la note belge par l agence Standard & Poor s, les six partis ont conclu, dans l urgence, un accord sur le budget et sur la réforme

Plus en détail

3. Un crédit à la consommation responsable

3. Un crédit à la consommation responsable 3. Un crédit à la consommation responsable Comité consultatif du secteur financier Rapport 2009-2010 49 Au cours de l exercice 2009-2010, le CCSF a suivi de près l évolution du texte de loi sur la réforme

Plus en détail

Le rôle du conseil agronomique dans la compétitivité du secteur agricole. L exemple de la filière du plant de pomme de terre en Europe

Le rôle du conseil agronomique dans la compétitivité du secteur agricole. L exemple de la filière du plant de pomme de terre en Europe Le rôle du conseil agronomique dans la compétitivité du secteur agricole. L exemple de la filière du plant de pomme de terre en Europe Hana Dhiab, Pierre Labarthe, Catherine Laurent Carrefour Innoplant,

Plus en détail