Histoire de la radio et de la télévision. Plan du cours 24/11/2015. Benoit Lafon,

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1 Histoire de la radio et de la télévision Benoit Lafon, Plan du cours Chap. 1 -La suprématie de la radio (début 20ème s. -années 1950) I. La mise au point de la TSF ( ) II. L'essor des stations (années 20 et 30) III. La guerre des ondes (années 1940) IV. Radio privées et radiodiffusion d'etat (années 1950) Chap. 2 -L'hégémonie de la télévision (années début 21ème s.) I. La naissance et la consolidation de la télévision (années 1960) II. La consolidation de la télévision sous de Gaulle (années 1960) III. Les prémices d'une libéralisation (années 1970) IV. Les bases d'un système mixte de radio-télévision (années 1980) V. Recompositions et consolidations (années ) II. La consolidation de la télévision sous de Gaulle (années 1960) 1. Le statut de la télévision gaullienne: l ORTF 2. Le contrôle politique dans les faits 3. La diversification des genres et le recul progressif de l emprise politique 4. La question de la publicité 5. La radio : le rôle clef de la SOFIRAD 1

2 1. Le statut de la télévision gaullienne: l ORTF Période de la présidence de Charles de Gaulle ( ), marquée par un contrôle étroit sur la radiotélévision. Période où le ministre de l Information joue un rôle central, et durant laquelle la TV devient le principal média Dès les débuts de la présidence de Charles de Gaulle (1958), nouveau statut de la RTF, élaboré par Roger Frey, ministre de l Information du gouvernement Debré. Deux textes : Ordonnance de 1959 : La RTF devient un établissement public et commercial (EPIC). Le budget de la télévision n est plus voté par le Parlement, Décret sur le statut des personnels du 2 février 1960 : Le personnel a un statut particulier, différent de celui des journalistes de presse ou de radio ; Le monopole de production est réaffirmé. Un nouveau statut est voté en 1964 : Il instaure l ORTF : Office de Radio-Télévision Française. Le conseil d'administration, dépendant du gouvernement, n'a que peu de pouvoirs ; La vraie nouveauté porte sur le statut des personnels, où ne figure plus un monopole de production pour la première fois énoncé par le Parlement en 1953, et réaffirmé en On commence à discuter la justification de ce monopole : la mission de service public ne va plus tout à fait de soi. Produire des programmes hors de l ORTF n est plus interdit. 2

3 Logo et horloge (écran diffusé en interlude) de l ORTF 2. Le contrôle politique dans les faits Années 1960 : indépendance grandissante de l'information, avec de fréquents retours en arrière. Durant la période gaullienne la TV devient un enjeu politique. Les ministres de l'information André Malraux, Roger Frey, Alain Peyrefitte, sont dans les faits les véritables dirigeants de la RTF. La justification n'est pas dissimulée : les adversaires influençant toute la presse écrite, le gouvernement, pour compenser, doit disposer de la télévision. Le Président de la République Charles de Gaulle s intéresse à la TV et en fait part à son ministre de l information Alain Peyrefitte à de nombreuses reprises. Exemples : En décembre 1962 : «Vous savez, vos journalistes de la presse écrite, vous pouvez toujours essayer de leur expliquer les choses, vous n'y arriverez pas. Ce sont des adversaires et ils sont bien décidés à le rester. Alors, servez-vous au moins de l'instrument que vous avez entre les mains, la télévision; mais servez-vous-en à bon escient. N'essayez pas de persuader les responsables, donnez-leur des instructions. La presse est contre moi, la télévision est à moi» (A. Peyrefitte dans «C'était de Gaulle», p. 500). 3

4 Autre exemple, tiré des «Lettres, Notes et Carnets» du Général de Gaulle : «Note pour M. Peyrefitte, 2 février Je ne puis comprendre comment et pourquoi la RTF a donné hier soir le spectacle vraiment odieux d'une opération sans anesthésie. C'est une vile réclame tant pour les gens de «Cinq Colonnes à la Une», pour qui ne vaut que l'horreur et le sang, que pour tel médecin m'as-tu-vu, que pour une certaine équipe effrénée de la télévision elle-même. Plus que jamais, il apparaît que la TV placée sous la tutelle directe de l'etat et payée par lui, est une espèce de fief livré aux lobbies et incontrôlé.» L'époque est bien décrite par Jérôme Bourdon, dans son «Histoire de la télévision sous de Gaulle», qui évoque l'existence du SLI, (Service de liaisons interministérielles), par lequel est supposé passer l'ensemble des communications entre le gouvernement et la télévision: Peut-être l'influence de cette institution a-t-elle été exagérée et mythifiée, mais cette pratique est significative d'un climat et d'une attitude. Néanmoins, les magazines jouissent de plus de liberté que le journal télévisé (cf. partie suivante). 3. La diversification des genres et le recul progressif de l emprise politique De 1958 à 1968, le taux d'équipement des ménages en TV passe de 5 % à 62 %, On inaugure la seconde chaîne (1964), Puis la couleur (1967). Progressivement, la télévision devient la source d'information et de divertissement dominante. Le volume croit : heures diffusées en 1958 (près de 6 h 30 par jour), en 1963, heures en

5 Albert Ollivier (Directeur des programmes de l ORTF de 1959 à 1964) donne une impulsion au développement des programmes télévisuels. Les genres évoluent,naissance d une culture télévisuelle populaire : La dramatique en direct s'efface, la télévision s éloigne du théâtre et du music hall pour devenir une industrie culturelle à part entière. Les réalisateurs cherchent à innover en créant des fictions inspirées de situations vécues et tournées en décors réels, que l'on dénomme d'abord "télévision-vérité" Les premiers feuilletons ou séries connaissent un grand succès : Vidocq (1963) ou encore La Demoiselle davignon(1972), Belphégor, Saintes chéries, Rois maudits. Emissions jeunesse: Thierry La Fronde, Bonne Nuit les Petits Parallèlement la diffusion de films de cinéma s'accroît considérablement. Enfin, l'essor des variétés et surtout des jeux constitue l'autre bouleversement essentiel. La tête et les jambes, Intervilles, la Grande Farandole, ou encore Les raisins verts. Le Journal Télévisé Présentateurs : C. Darget, R. Marcillac, J. Sallebertet M. Droit. Avec la réforme de 1963, le journal télévisé évolue : La nouvelle formule est fondée sur la priorité à l'image, jugée garante d'objectivité. Le rôle du meneur de jeu se modifie. L'introduction du «prompteur» (1963) permet au présentateur de lire le texte du journal en donnant au spectateur l'impression qu'il le regarde «dans les yeux». Cette humanisation participe au succès de la télévision. 5

6 Deux journalistes essentiels du JT, très différents : le fondateur Pierre Sabbagh et le présentateur Léon Zitrone La technique évolue : Jusque-là, la télévision n utilisait que ses propres archives et de celles des agences de la presse filmée. Dorénavant, elle dispose de celles des télévisions étrangères. Inauguré avec Telstar(liaison Europe-États-Unis, 1962), l'usage du satellite relais des images et des sons devient courant dans les années Un réseau permanent d'échanges d'images coordonné par l'uer (Union européenne de radiodiffusion) relie des rédactions européennes Un certain recul de l'emprise politique : Quelques signes annoncent un assouplissement de l'emprise politique, en particulier la campagne présidentielle de Pour la première fois, un temps d'antenne égal est attribué à chaque candidat. succès de Lecanuet, ballottage de Gaulle/Mitterrand. 6

7 Dès 1966, Face à Face (inspiré de l émission américaine Meetthe Press) inaugure le pluralisme télévisuel. Un pas est franchi. De plus, le rôle des journalistes évolue. De faire-valoir, ils deviennent «interrogateurs». Emissions de société se développent: A armes égales, Dossiers de l écran. Mais ces magazines continuent d'éviter la politique intérieure avec soin, s'en tenant à leur secteur de liberté : étranger, économie, sciences, phénomènes de société. Malgré tout, les tensions politiques persistent. Les responsables des journaux parlés et télévisés assistent quotidiennement aux réunions du SLII Lors de la grève de mai 1968, le journal national est un enjeu majeur : mesures répressives à l encontre des grévistes. 4. La question de la publicité Contexte : Le parc de téléviseurs s'élargit la publicité devient inévitable 7

8 Janvier 1973 : lancement de la 3ème chaîne en couleur Le volume d'émissions diffusées croît fortement : de heures en 1964 à heures en Une attention particulière est portée à l'audience : pour les directeurs, battre «l'autre» chaîne devient un souci majeur. La publicité va s imposer d elle-même dans ce contexte de plus en plus concurrentiel. A partir de 1960, débats pour autoriser la publicité comme moyen de financer la télévision. Mais si la publicité est officiellement interdite, on y fait déjà appel sous des formes diverses. Publicité dite compensée : officiellement propagande collective d'intérêt général, elle avait été tolérée dès 1949, et consacrée par la loi du 24 mai Publicité officieuse ou clandestine. Par ex. lors de retransmissions sportives : en mars 1960, une marque d'apéritifs insère des panneaux sur le tracé d'une course cycliste filmée Recours à la publicité évoqué à de nombreuses reprises au cours de l'élaboration du statut du 26 juin 1964, qui crée l'ortf. Finalement, après de longs débats au parlement (à l'automne 1967 et au printemps 1968), interrompus par la crise de mai 1968, le Conseil des ministres annonce que la publicité de marques sera effectivement introduite sur la 1 ère chaîne. 1er octobre 1968 : mise en place de la Régie française de publicité (RFP), société anonyme, filiale de l'ortf. 8

9 5. La radio : le rôle clef de la SOFIRAD L état des stations: France-Inter qui, en 1962, n'atteignait que 24 % de l'écoute, contre 42 % à Radio Luxembourg et 34 % à Europe n 1, rattrape et devance ses deux concurrentes de 1967 à Mais une société joue un rôle central dans les années 1960: la SOFIRAD Puisque le gouvernement français ne pouvait empêcher la création des radios périphériques, il cherchera à contrôler certaines d'entre elles par l'intermédiaire de la Société Financière de Radiodiffusion, la Sofirad, société d'etat. A l'origine de la Sofirad se trouve une société anonyme au capital de 20 millions créée par Pierre LAVAL le 7 novembre 1942 : la sofira. Après la Libération, le Gouvernement français devient propriétaire de la Sofiraqui se transforme en Sofirad. De 1945 à 1958, la SOFIRAD publie un hebdomadaire de radio Elle finance la création d'andorradioqui deviendra Sud-Radio. En 1959, elle achète 35,76 % du capital d'europe n 1. Le président de la Sofirad est nommé pour six ans par le Conseil des ministres: c est un poste très politisé. 9

10 A partir de 1985, la SOFIRAD se retire de Europe 1. Idem en 1987 pour Sud-Radio, puis en mars 1998 pour Radio Monte- Carlo. A partir de la fin des années 1980, ses présidents successifs cherchent à faire de la SOFIRAD un levier de la politique audiovisuelle française sur la scène internationale en contrôlant diverses radios ( African 1, RMC Moyen-Orient, Radio Carribean International ). La Sofirad fut un véritable «organisme étatique de relations publiques» (selon Michel Jobert, ministre des Affaires étrangères en ) En 1998, elle est mise en liquidation : RFI et TV5 reprennent son créneau, ainsi que France Monde, en cours de création. 10

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