VERSION : SEPTEMBRE 2014 D i r e c t i o n d e s a n t é p u b l i q u e d e l a M o n t é r é g i e
|
|
- Danielle Labonté
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Outils pour la gestion des éclosions de grippe saisonnière VERSION : SEPTEMBRE 2014 D i r e c t i o n d e s a n t é p u b l i q u e d e l a M o n t é r é g i e
2 Table des matières Aide-mémoire Activités de préparation aux éclosions de grippe (révisé ) 3 Annexe 10A Statut vaccinal des résidants 4 Annexe 10B Statut vaccinal des travailleurs de la santé, des médecins et des bénévoles 5 Définition d un syndrome d allure grippale (SAG) 6 Arbre décisionnel Confirmation d une éclosion de grippe saisonnière en centre d hébergement 7 Annexe 5A Grille de surveillance des syndromes d allure grippale pour les résidants 8 Annexe 5B Grille de surveillance des syndromes d allure grippale pour les travailleurs de la santé 9 Annexe 6 Algorithme pour la prise en charge des travailleurs de la santé 10 Étapes de prise en charge d une éclosion de grippe (version septembre 2014) 11 T:\DSP\PMT\7400 PMT\7410 Maladies\15 Série maladies\influenza\17 Surveillance\Éclosion en milieux de soins\éclosions grippe \Outils éclosions grippe saisonniere.docx Mise à jour Mai 2015 (logo) 2
3 Activités de préparation aux éclosions de grippe en centre d hébergement AIDE-MÉMOIRE Identifier une personne responsable de la mise en œuvre des mesures proposées dans le guide (1) (formation, vaccination, surveillance, prévention et contrôle des éclosions). Vacciner contre la grippe et établir une liste du statut vaccinal de tous les résidants par unité de soins et de tous les travailleurs de la santé (voir annexes 10a et 10b, du guide). S assurer que la politique de l établissement au regard des éclosions soit connue de tous les travailleurs de la santé (exemple : prise d antiviraux pour les travailleurs de la santé non immunisés). Lors de l identification d un cas de SAG, faire des rappels à tous les travailleurs de la santé de la définition d un syndrome d allure grippale (SAG) (2), de la période de surveillance et des mécanismes de transmission rapide de l information à la personne responsable. Former les travailleurs de la santé quant aux pratiques de base, aux précautions additionnelles recommandées en présence de grippe (gouttelettes et contact), aux mesures d hygiène et d étiquette respiratoires. Inviter les visiteurs à appliquer les mesures d hygiène et d étiquette respiratoires. Prévoir avec le laboratoire le type de prélèvement requis selon la méthode diagnostique utilisée ainsi que le matériel nécessaire. S assurer d avoir accès à un test de laboratoire TAAN pour la confirmation d une éclosion de grippe. Former les travailleurs de la santé pour effectuer le prélèvement. Les recommandations du guide (1) s appliquent pour l administration des antiviraux. Les inhibiteurs de la neuraminidase sont recommandés pour le traitement et la prophylaxie; veuillez-vous référer à la section 4.4. du guide, page 23 à 26. Prévoir une procédure permettant d instaurer une prophylaxie antivirale (prise de décision médicale, protocole et pharmaciens) au besoin, lors d éclosion : Obtenir le consentement des résidants ou de leurs représentants pour l utilisation des antiviraux en prophylaxie lors d éclosion de grippe et inscrire une note au dossier qui confirme le consentement. S assurer d avoir au dossier de tous les résidants l inscription de leur poids actuel et un dosage datant d un maximum de 1 an de la créatinine. Prévoir un mécanisme d ordonnance pour les antiviraux en prophylaxie pour chaque résidant consentant ainsi qu une procédure permettant de l activer en temps opportun. Dès l apparition du premier cas de syndrome d allure grippale dans l établissement, faire un rappel de la vaccination (relance téléphonique si nécessaire) aux personnes non vaccinées (Annexe 10A et 10B du guide). (1) Pour les mesures détaillées, voir le «Guide d intervention de grippe saisonnière en milieu d hébergement et de soins de longue durée/prévention, surveillance et contrôle» décembre 2013 MSSS. (2) Syndrome d allure grippale (SAG) : apparition brusque de fièvre et toux et au moins l un des symptômes suivant : mal de gorge, arthralgie, myalgie, prostration. Chez les 65 ans et plus, la fièvre peut être plus ou moins importante. Version Septembre
4 ANNEXE 10A- STATUT VACCINAL DES RÉSIDANTS Unité de soins : Raisons de non vaccination Nom, Prénom No. chambre Médecin traitant Date de vaccination (aa/mm/jj) Refus Réaction anaphylactique antérieure Syndrome de Guillain et Barré 1 (< 6 semaines suivant la vaccination) Autre 1 Comme mentionné au Protocole d immunisation du Québec (MSSS, 2013), la survenue d'un syndrome de Guillain et Barré en post-vaccination est extrêmement rare, soit environ 1 cas de plus par million de personnes vaccinées contre l influenza par rapport à l incidence attendue dans la population adulte (de 10 à 20 cas par million). Source : Guide d intervention de grippe saisonnière en milieu d hébergement et de soins de longue durée/prévention, surveillance et contrôle» décembre 2013 MSSS. Signature : Date (aa/mm/jj) : 4
5 ANNEXE 10B- STATUT VACCINAL DES TRAVAILLEURS DE LA SANTÉ Raisons de non vaccination Nom, Prénom Date de vaccination (aa/mm/jj) Refus Réaction anaphylactique antérieure Syndrome de Guillain et Barré 1 (< 6 semaines suivant la vaccination) Autre 1 Comme mentionné au Protocole d immunisation du Québec (MSSS, 2013), la survenue d'un syndrome de Guillain et Barré en post-vaccination est extrêmement rare, soit environ 1 cas de plus par million de personnes vaccinées contre l influenza par rapport à l incidence attendue dans la population adulte (de 10 à 20 cas par million). Source : Guide d intervention de grippe saisonnière en milieu d hébergement et de soins de longue durée/prévention, surveillance et contrôle» décembre 2013 MSSS. Signature : Date (aa/mm/jj) : 5
6 Définition d un syndrome d allure grippale (SAG) Apparition soudaine de fièvre (38 c buccale ou plus) et de toux et d au moins l un des symptômes suivants : Mal de gorge Arthralgie Myalgie Fatigue extrême La présentation peut-être atypique et la fièvre absente, en particulier chez les personnes âgées. De plus, la toux peut-être tardive. Version Septembre 2014 Définition d un syndrome d allure grippale (SAG) Apparition soudaine de fièvre (38 c buccale ou plus) et de toux et d au moins l un des symptômes suivants : Mal de gorge Arthralgie Myalgie Fatigue extrême La présentation peut-être atypique et la fièvre absente, en particulier chez les personnes âgées. De plus, la toux peut-être tardive. Version Septembre
7 ARBRE DÉCISIONNEL CONFIRMATION D UNE ÉCLOSION DE GRIPPE SAISONNIÈRE EN CENTRE D HÉBERGEMENT Détection d un 1 er cas de syndrome d allure grippale (SAG) parmi les résidants Aviser le service PCI du CSSS ou de l établissement de soins. Appliquer les précautions additionnelles contre la transmission par gouttelettes et contact. Prélèvement du 1 er cas de SAG selon la décision de l établissement (1). Acheminer le prélèvement au laboratoire de votre CSSS (2). Dans l attente des résultats, un traitement peut être débuté à la discrétion du médecin, idéalement dans les 48 heures suivant le début des symptômes. Appel à la vigilance à l intention du personnel de l unité de soins concernée Assurer une surveillance accrue pour l apparition de nouveaux cas de SAG (résidants et travailleurs de la santé). Détection d un 2 e cas de SAG lié épidémiologiquement en 10 jours, parmi les résidants Aviser le service PCI du CSSS ou de l établissement de soins. Appliquer les précautions additionnelles contre la transmission par gouttelettes et contact. Prélèvement du 2 e cas de SAG et, si ce n est déjà fait, prélèvement chez le 1 er cas de SAG si les symptômes sont présents depuis 72 heures ou moins. Acheminer le prélèvement au laboratoire de votre CSSS (2). Dans l attente des résultats, un traitement peut être débuté à la discrétion du médecin, idéalement dans les 48 heures suivant le début des symptômes. Prélèvement de tout autre cas de SAG dans les 10 jours suivant le dernier cas jusqu à confirmation de l éclosion ou jusqu à un maximum de 5 prélèvements par épisode. Confirmation d une éclosion de grippe Deux prélèvements positifs pour un même type d influenza. Il est nécessaire de confirmer au moins un cas par TAAN (RT-PCR). Avis à la Direction de santé publique de la Montérégie À cette fin, compléter le document «Formulaire de signalement d éclosion de grippe saisonnière - Hôpital et centre d hébergement» de la saison en cours. (1) Selon l algorithme du MSSS, il faut attendre l apparition d un 2 e cas de SAG pour faire un prélèvement chez le 1 er cas. Toutefois, afin d accélérer le processus d identification d une éclosion, l établissement peut décider de faire immédiatement le prélèvement du 1 er cas. (2) Chaque établissement décide s il fait des tests rapides ou s il prend une entente avec un laboratoire de référence pour faire des tests par TAAN pour les prélèvements effectués. Selon l algorithme du MSSS, pour confirmer la présence d une éclosion de grippe, il est essentiel d obtenir deux prélèvements positifs du même type d influenza dont 1 par TAAN. Version Septembre
8 No. Chambre Âge ou Oui (O) / Non (N) T Toux nouvelle ou exacerbée Symptômes autres* Type d analyse ** Résultats Si oui, le(s)quel(s), et dosage Précautions gouttelettes / contact Décès, complications ANNEXE 5A- GRILLE DE SURVEILLANCE DES CAS DE SYNDROME D ALLURE GRIPPALE CHEZ LES RÉSIDANTS NB : Dès qu'un résidant répond aux critères de définition d'un SAG instaurer rapidement les mesures de contrôle appropriées et aviser la personne responsable de la surveillance des cas de grippe. UNITÉ OU ÉTAGE : Période : RÉSIDANT Vaccination Début des symptômes Signes et symptômes Prélèvement Antibiotiques ou antiviral Nom, Prénom D.D.N. (aa/mm/jj) Date (aa/mm/jj) Date (aa/mm/jj) Date (aa/mm/jj) date (aa/mm/jj) * Symptômes autres : M = Myalgies ou Arthralgies; C = Céphalées; F = Frissons; G = Mal de gorge; Autres (préciser) ** Type d analyse : C = culture virale; IF = immunofluorescence, Ag (EIA) A+B ou Ag (EIA) A seul; PCR = RT-PCR Source : Guide d intervention de grippe saisonnière en milieu d hébergement et de soins de longue durée/prévention, surveillance et contrôle» décembre 2013 MSSS. Grille complétée par : Date : 8
9 Âge ou Oui (O) / Non (N) Retrait du travail T Toux nouvelle ou exacerbée Symptômes autres* Type d analyse ** Résultats Si oui, le(s)quel(s), et dosage Décès, complications ANNEXE 5B- GRILLE DE SURVEILLANCE DES CAS DE SYNDROME D ALLURE GRIPPALE CHEZ LES TRAVAILLEURS DE LA SANTÉ NB : Dès qu'un travailleur de la santé répond aux critères de définition d'un SAG instaurer rapidement les mesures de contrôle appropriées et aviser la personne responsable de la surveillance des cas de grippe. UNITÉ OU ÉTAGE : Période : TRAVAILLEUR DE LA SANTÉ Vaccination Début des symptômes Signes et symptômes Prélèvement Antibiotiques ou antiviral Nom, Prénom D.D.N. (aa/mm/jj) Date (aa/mm/jj) Date (aa/mm/jj) Date (aa/mm/jj) date (aa/mm/jj) * Symptômes autres : M = Myalgies ou Arthralgies; C = Céphalées; F = Frissons; G = Mal de gorge; Autres (préciser) ** Type d analyse : C = culture virale; IF = immunofluorescence, Ag (EIA) A+B ou Ag (EIA) A seul; PCR = RT-PCR Adapté de : Guide d intervention de grippe saisonnière en milieu d hébergement et de soins de longue durée/prévention, surveillance et contrôle» décembre 2013 MSSS Grille complétée par : Date : 9
10 TABLEAU-SYNTHÈSE ANNEXE 6 - ALGORITHME POUR LA PRISE EN CHARGE DES TRAVAILLEURS DE LA SANTÉ (Version corrigée du 21 janvier 2014) ÉCLOSION DE GRIPPE Appliquer les mesures de prévention et contrôle des infections pour le contrôle d une éclosion (chapitre 4) Travailleur de la santé (TS) Asymptomatique Travailleur de la santé (TS) Symptomatique (vacciné ou non) Vacciné Vérifier si protection suffisante Non vacciné ou considéré non protégé Doit aviser le service de santé et sécurité au travail (SSST) et la responsable de l unité de soins ou selon la procédure locale TS protégé (vaccin reçu depuis 14 jours et souches vaccinales bien appariées aux souches circulantes) Offrir la vaccination et, lors d une éclosion majeure, offrir les antiviraux en prophylaxie jusqu à 14 jours après la vaccination ou pour la durée de l éclosion Exclusion du travail auprès des résidants : jusqu à 24 heures après la fin des symptômes systémiques idéalement 5 jours après le début des symptômes Peut travailler sur l unité en éclosion Si vaccination* et prophylaxie acceptées Si vaccination* refusée et prophylaxie acceptée Si vaccination* acceptée et prophylaxie refusée Si vaccination* et prophylaxie refusées Si TS devient symptomatique Prophylaxie pour 14 jours (ou fin de l éclosion si < 14 jours). Prophylaxie pendant la durée de l éclosion. Exclusion de l unité en éclosion pour 14 jours Réaffectation sur une unité non en éclosion 72 heures après dernier contact avec un cas. Exclusion de l unité pendant la durée de l éclosion Réaffectation sur une unité non en éclosion 72 heures après dernier contact avec un cas. Peut travailler sur l unité en éclosion. En cas de bris de service, ces TS pourront continuer à travailler sur l unité en éclosion en portant un masque pour les soins à tous les résidants (symptomatiques ou non). *Il est sous-entendu que la vaccination et la prophylaxie antivirale sont offertes s il y a indication. Adapté de Mesures de prévention et de contrôle de la grippe saisonnière en centre hospitalier de soins généraux et spécialisés (CINQ, 2012), page 63. Version Septembre
11 11
12 12
13 13
14 14
Signalement et gestion des infections respiratoires aiguës (IRA) et des gastroentérites aiguës (GEA) 19 juin 2014
Signalement et gestion des infections respiratoires aiguës (IRA) et des gastroentérites aiguës (GEA) 19 juin 2014 Nadège Caillere, Cire Océan Indien Dr Joao Simoes, Cellule de veille, d alerte et de gestion
Plus en détailProtégeons-nous ensemble!
Grippe saisonnière. Protégeons-nous ensemble! Informations importantes pour vous et votre famille. www.sevaccinercontrelagrippe.ch www.ofsp.admin.ch B C Qu est-ce que la grippe saisonnière et quels en
Plus en détailvaccin pneumococcique polyosidique conjugué (13-valent, adsorbé)
EMA/90006/2015 EMEA/H/C/001104 Résumé EPAR à l intention du public vaccin pneumococcique polyosidique conjugué (13-valent, adsorbé) Le présent document est un résumé du rapport européen public d évaluation
Plus en détailVaccinations - Rédaction Dr BOUTON
20-14 Vaccinations - Rédaction Dr BOUTON Chaque personnel navigant est responsable de la mise à jour des ses vaccins. 1 - VACCINATION OBLIGATOIRE La vaccination contre la fièvre jaune (vaccination anti-amarile)
Plus en détailGestion de la crise sanitaire grippe A
Gestion de la crise sanitaire grippe A Sommaire de la présentation Nature du risque lié au virus A H1N1 Plan gouvernemental de pandémie grippale Mesures de protection Historique de la grippe La grippe
Plus en détailVaccinations pour les professionnels : actualités
Vaccinations pour les professionnels : actualités Dominique Abiteboul Service de Santé au Travail Hôpital Bichat - Claude Bernard Paris GERES Les vaccins A (H1N1)v 4QUESTIONS +++++ Pas assez de recul???
Plus en détailGUIDE DE DÉVELOPPEMENT PROFESSIONNEL EN SOINS INFIRMIERS. pour les centres d hébergement. Décembre 2007 Direction des soins infirmiers
GUIDE DE DÉVELOPPEMENT PROFESSIONNEL EN SOINS INFIRMIERS pour les centres d hébergement Décembre 2007 Direction des soins infirmiers CE GUIDE A ÉTÉ PRODUIT PAR L ÉQUIPE DE LA DIRECTION DES SOINS INFIRMIERS
Plus en détailPandémie : pas de fermetures de classes Évaluation de la situation au 13 novembre 2009
Erziehungsdirektion des Kantons Bern Direction de l'instruction publique du canton de Berne Amt für Kindergarten, Volksschule und Beratung Office de l'enseignement préscolaire et obligatoire, du conseil
Plus en détailVaccination contre la grippe saisonnière
le point sur risques infectieux > Vaccinations Vaccination contre la grippe saisonnière Questions / Réponses - Professionnels de santé Document élaboré le 14 octobre 2014 1 - Quand a lieu la campagne de
Plus en détailVaccination contre la grippe : enjeux pour les infirmières et les infirmiers
Série de Webinaires de l AIIC : Progrès de la pratique Vaccination contre la grippe : enjeux pour les infirmières et les infirmiers Caroline Quach Pédiatre microbiologiste-infectiologue, Hôpital de Montréal
Plus en détailService d ambulance. Normes. de soins aux patients. et de transport
Service d ambulance Normes de soins aux patients et de transport Ministère de la Santé et des Soins de longue durée Direction des services de santé d urgence Avril 2000 (Mise à jour : octobre 2002) Soins
Plus en détailIl faut protéger votre organisation contre la pandémie qui menace «AVEZ-VOUS UN PLAN?» Marcel-M. Boucher MD
Il faut protéger votre organisation contre la pandémie qui menace «AVEZ-VOUS UN PLAN?» Marcel-M. Boucher MD Fonctions passées et présentes Urgentologue depuis 1977 CH Maisonneuve Rosemont Urgences-santé
Plus en détailCe que les femmes enceintes doivent savoir au sujet de la grippe H1N1 (appelée grippe porcine auparavant)
Ce que les femmes enceintes doivent savoir au sujet de la grippe H1N1 (appelée grippe porcine auparavant) 3 mai 2009, 15 h HNE Sur cette page : Que dois-je faire si je contracte ce nouveau virus et que
Plus en détailMINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES DIRECTION GENERALE DE LA SANTE- DDASS DE SEINE MARITIME
Département des situations d urgence sanitaire Personne chargée du dossier : Evelyne FALIP/Nicole BOHIC Tél : 01 40 56 59 65/02 32 18 31 66 evelyne.falip@sante.gouv.fr MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES
Plus en détailHépatite = inflammation du foie. Pr Bronowicki CHU Nancy - 17.11.2011 Conférence mensuelle - section de Forbach
Hépatite = inflammation du foie Pr Bronowicki CHU Nancy - 17.11.2011 Conférence mensuelle - section de Forbach 1 Hépatites virales chroniques 2 Histoire naturelle Hépatite aiguë Guérison Hépatite chronique
Plus en détailQuelles sont les maladies hautement contagieuses susceptibles d être hospitalisées en réanimation en France?
53 e congrès national d anesthésie et de réanimation. Infirmiers. Infirmier(e)s de réanimation 2011 Sfar. Tous droits réservés. Quelles sont les maladies hautement contagieuses susceptibles d être hospitalisées
Plus en détailHEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas
HEPATITES VIRALES 22/09/09 Mme Daumas Infectieux Introduction I. Hépatite aigu II. Hépatite chronique III. Les différents types d hépatites A. Hépatite A 1. Prévention de la transmission 2. Vaccination
Plus en détailLA TUBERCULOSE Docteur ALAIN BERAUD
LA TUBERCULOSE Docteur ALAIN BERAUD Service de Pneumologie Hôpital Beauregard - THIONVILLE 1 Bilan initial Objectifs Bilan de base Traitement pharmacologique Autres traitements pharmacologiques Autres
Plus en détailPrésentation générale du Programme
Contexte Le Propias fait suite à Plan stratégique national 2009-2013 de prévention des infections associées aux soins Programme national de prévention des infections nosocomiales 2009-2013 (Propin) Programme
Plus en détailPLAN QUÉBÉCOIS DE LUTTE À UNE PANDÉMIE D INFLUENZA MISSION SANTÉ
PLAN QUÉBÉCOIS DE LUTTE À UNE PANDÉMIE D INFLUENZA MISSION SANTÉ PLAN QUÉBÉCOIS DE LUTTE À UNE PANDÉMIE D INFLUENZA - MISSION SANTÉ Édition produite par : La Direction des communications du ministère de
Plus en détailOrdonnance collective
Centre de Santé et de Services sociaux de Québec-Nord NUMÉRO DE L ORDONNANCE: OC-31 Ordonnance collective Nom de l ordonnance: Initier des analyses de laboratoire pour le suivi de la clientèle présentant
Plus en détailL ANGINE. A Epidémiologie :
L ANGINE L angine est une inflammation aiguë des amygdales d origine essentiellement virale, et secondairement bactérienne. C est les streptocoque ß hémolytique du groupe A, qui est l agent responsable
Plus en détailGestion des épidémies en FAM et MAS. 2 ère réunion annuelle FAM/MAS 20 mars 2015
Gestion des épidémies en FAM et MAS 2 ère réunion annuelle FAM/MAS 20 mars 2015 Rappels En EMS, le risque infectieux est présent, avec cumul des différents aspects de ce risque: Infections communautaires:
Plus en détailOSIRIS GRIPPE A H1N1
REPUBLIQUE ET CANTON DE GENEVE État-major opérationnel OSIRIS OSIRIS INFORMATION ÉTAT-MAJOR OPÉRATIONNEL POLICE Genève, le 13 mai 2009 Rapport mensuel Avis de précaution Message urgent GRIPPE A H1N1 Recommandations
Plus en détailMaladies neuromusculaires
Ministère de la Santé et des Solidarités Direction Générale de la Santé Informations et conseils Maladies neuromusculaires Lisez attentivement ce document et conservez-le soigneusement avec la carte de
Plus en détailDéfinition de l Infectiologie
Définition de l Infectiologie Discipline médicale clinique Spécialisée. Prise en charge des Maladies Infectieuses et Tropicales. Actuelles, émergentes ou ré-émergentes. Référents dans le cadre d un maillage
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailNote de synthèse Assurance Maladie. Information des professionnels de santé sur les produits de santé mars 2011
Note de synthèse Assurance Maladie Information des professionnels de santé sur les produits de santé mars 2011 Au début des années 2000, l Assurance Maladie a commencé à construire puis développer une
Plus en détailINFORMATIONS pour le médecin qui contrôle et complète le formulaire
Vaccination des étudiants du Baccalauréat en Médecine de Lausanne INFORMATIONS pour le médecin qui contrôle et complète le formulaire La vaccination du personnel de santé est recommandée par l Office fédéral
Plus en détailLe parcours en greffe de cellules hématopoïétiques : greffe allogénique
Le parcours en greffe de cellules hématopoïétiques : greffe allogénique Introduction Cette brochure vise à vous familiariser avec la greffe de cellules hématopoïétiques (GCH). Elle présente en quelques
Plus en détailMINISTERE DE LA SANTE, DE LA FAMILLE ET DES PERSONNES HANDICAPEES
MINISTERE DE LA SANTE, DE LA FAMILLE ET DES PERSONNES HANDICAPEES Conduite à tenir pour la prise en charge des personnes présentant un syndrome ou une suspicion de syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS)
Plus en détailMise en place de référents grippe au sein d un centre hospitalier
Mise en place de référents grippe au sein d un centre hospitalier Sophie FOUCAULT, IDE Hygiéniste, FFC Service ECLIN P.MIR, C.JACOB, Praticiens de Santé au Travail R.HUE, Praticien Hygiéniste, Service
Plus en détailMme BORGHI Monique Infirmière ETP Mme ALEXIS Françoise Hopital Archet I Infectiologie/Virologie Clinique
Mme BORGHI Monique Infirmière ETP Mme ALEXIS Françoise Hopital Archet I Infectiologie/Virologie Clinique Une hépatite est une inflammation du foie causée soit par des substances toxiques (médicaments,
Plus en détailInfection à CMV et allogreffe de cellules souches hématopoïétiques : Expérience du Centre National de Greffe de Moelle Osseuse, Tunis.
Infection à CMV et allogreffe de cellules souches hématopoïétiques : Expérience du Centre National de Greffe de Moelle Osseuse, Tunis. Tarek Ben Othman Congrès de la STPI, 24 avril 2009 Plan Introduction
Plus en détailY a-t-il une place pour un vaccin thérapeutique contre l hépatite B? H. Fontaine, Unité d Hépatologie Médicale, Hôpital Cochin
Y a-t-il une place pour un vaccin thérapeutique contre l hépatite B? H. Fontaine, Unité d Hépatologie Médicale, Hôpital Cochin Objectifs thérapeutiques Inhibition de la réplication virale Négativation
Plus en détailORGANISATION DES SOINS EN SITUATION DE PANDEMIE GRIPPALE
Ministère de la Santé et des Solidarités Direction de l Hospitalisation et de l Organisation des Soins ORGANISATION DES SOINS EN SITUATION DE PANDEMIE GRIPPALE > FICHES DE RECOMMANDATIONS 1 re édition
Plus en détailCampagne de vaccination contre la grippe saisonnière. Une priorité de santé publique
Campagne de vaccination contre la grippe saisonnière Une priorité de santé publique 9 octobre 2013 Communiqué de presse Campagne de vaccination contre la grippe saisonnière Une priorité de santé publique
Plus en détailSTANDARDS POUR L INFIRMIÈRE TRAVAILLEUSE AUTONOME
STANDARDS POUR L INFIRMIÈRE TRAVAILLEUSE AUTONOME STANDARDS POUR L INFIRMIÈRE TRAVAILLEUSE AUTONOME PRODUCTION SERVICE DE L ÉDITION DIRECTION DES SERVICES AUX CLIENTÈLES ET DES COMMUNICATIONS, OIIQ CONCEPTION
Plus en détailChapitre VI : Gestion des risques épidémiques
Chapitre VI : Fiche n VI.1 : Gale Fiche n VI.2 : Tubeculose pulmonaire (accessible dans la prochaine version) Fiche n VI.3 : Gastro-entérite Fiche n VI.4 : Infection respiratoire aigüe basse Sommaire Sommaire
Plus en détailProgramme National de Prévention des infections associées aux soins en ES, 2009-2012
Programme National de Prévention des infections associées aux soins en ES, 2009-2012 Pr Coordonnateur Groupe de Pilotage du Programme National de Lutte contre les Infections Nosocomiales Séminaire National
Plus en détailVaccination et tuberculose en Gériatrie. Unité de Prévention et de Dépistage: Centre de vaccination et centre de lutte anti tuberculeuse CH Montauban
Vaccination et tuberculose en Gériatrie Unité de Prévention et de Dépistage: Centre de vaccination et centre de lutte anti tuberculeuse CH Montauban VACCINATIONS 2 Personnes âgées et vaccinations Avec
Plus en détailFICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION
FICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION Madame, Monsieur, Si votre état de santé nécessite une transfusion sanguine, ce document est destiné à vous informer sur les avantages et les risques de la transfusion,
Plus en détailLes facteurs de croissance lignée blanche Polynucléaires neutrophiles Grastims
Les facteurs de croissance lignée blanche Polynucléaires neutrophiles Grastims 12 2014 HEMATOPOIESE Progéniteurs puis précurseurs Stimulation par facteur : activation spécifique de leur récepteur Moelle
Plus en détailZ I G U I N C H O R SITUATION ECONOMIQUE ET SOCIALE REGIONALE 2013. Service Régional de la Statistique et de la Démographie de Ziguinchor
Z I G U I N C H O R REPUBLIQUE DU SENEGAL Un Peuple Un But Une Foi ------------------ MINISTERE DE L ECONOMIE, DES FINANCES ET DU PLAN ------------------ AGENCE NATIONALE DE LA STATISTIQUE ET DE LA DEMOGRAPHIE
Plus en détailrepose sur la mise en place d un suivi étroite de médecins vigies relayant
Santé Au moment de la sortie de presse de cet article, la situation de la pandémie grippale aura certainement encore évolué. La surveillance, repose sur la mise en place d un suivi ration étroite de médecins
Plus en détailHépatite chronique B Moyens thérapeutiques
Hépatite chronique B Moyens thérapeutiques Dr Olfa BAHRI Laboratoire de Virologie Clinique Institut Pasteur de Tunis INTRODUCTION Plus de 300. 10 6 porteurs chroniques de VHB dans le monde Hépatite chronique
Plus en détailORDONNANCE COLLECTIVE
ORDONNANCE COLLECTIVE Assurer le suivi des personnes recevant un Page 1 de 12 O.C. 6.5 Professionnels visés : Les infirmières qui possèdent la formation, les connaissances et les compétences nécessaires,
Plus en détailPOURQUOI L HYGIENE HYGIENE = PROPRETE HYGIENE = PREVENTION DES INFECTIONS COMMUNAUTAIRES ET DES INFECTIONS ASSOCIEES AUX SOINS
Prise en charge d un «résident septique» en Etablissements Médico Sociaux PRÉVENTION DES RISQUES INFECTIEUX EN ETABLISSEMENTS MÉDICO SOCIAUX INFECTIONS NOSOCOMIALES ET COMMUNAUTAIRES ASSOCIÉES AUX SOINS
Plus en détailRestitution de l 'atelier 1 Protocoles thérapeutiques et aspects médicaux de la PTME
Restitution de l 'atelier 1 Protocoles thérapeutiques et aspects médicaux de la PTME Modérateur : Dr Didier Koumavi Ekouevi INSERM U-897, Université Bordeaux Segalen, PACCI, Abidjan et Université de Lomé
Plus en détailTEST DE DÉPISTAGE DE L IMMUNITÉ CONTRE LE
TEST DE DÉPISTAGE DE L IMMUNITÉ CONTRE LE 14 TÉTANOS ET LA ROUGEOLE 14.1 INTRODUCTION Soumaïla MARIKO Comme on l a déjà précisé au chapitre 1, des tests de dépistage de l immunité contre le tétanos et
Plus en détailArticle 1. Article 2. Article 3
ENTENTE RELATIVE AUX COMITÉS DE SANTÉ ET DE SÉCURITÉ DU TRAVAIL ET AU TEMPS DE LIBÉRATION ALLOUÉ AUX REPRÉSENTANTS À LA PRÉVENTION DANS L EXERCICE DE LEURS FONCTIONS (Juin 1992) Article 1 En vue de prévenir
Plus en détailSélection et Évaluation Quantitative des Médicaments pour la Prise en Charge du VIH/SIDA. Sophie Logez, OMS/PSM Addis Abeba, Ethiopie, Février 2005
Sélection et Évaluation Quantitative des Médicaments pour la Prise en Charge du VIH/SIDA Sophie Logez, OMS/PSM Addis Abeba, Ethiopie, Février 2005 Sélection et Évaluation Quantitative Références Sélection
Plus en détailArthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes
Arthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes G Borgherini 1, A Gouix 1, F Paganin 1, A Jossaume 1, L Cotte 2, C Arvin-Berod 1, A Michault
Plus en détailGuide des vaccinations Édition 2012. Direction générale de la santé Comité technique des vaccinations
Guide des vaccinations Édition 2012 Direction générale de la santé Comité technique des vaccinations 293 Vaccinations pour les personnels de santé INTRODUCTION La vaccination des personnels de santé a
Plus en détailL approche populationnelle : une nouvelle façon de voir et d agir en santé
Trousse d information L approche populationnelle : une nouvelle façon de voir et d agir en santé Novembre 2004 L approche populationnelle : une nouvelle façon de voir et d agir en santé L approche populationnelle
Plus en détailLe syndrome de fatigue chronique
Le syndrome de fatigue chronique La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à
Plus en détailGUIDE DE SOUMISSION D UN PROJET DE RECHERCHE
Direction générale adjointe Planification, qualité et mission universitaire Coordination de l enseignement et de la recherche 1250, rue Sanguinet, Montréal, QC H2X 3E7 Tél. : (514) 527-9565 / Téléc. :
Plus en détailRhume ou grippe? Pas d antibiotiques!
Brochure d information En utilisant mal une ressource, elle devient inefficace! Rhume ou grippe? Pas d antibiotiques! z6creation.net Une initiative européenne en matière de santé. Rhume ou grippe? Pas
Plus en détailLe Québec et l Ontario adoptent l entente de l ACOR sur les régimes de retraite relevant de plus d une autorité gouvernementale
Communiqué Juin 2011 Le Québec et l Ontario adoptent l entente de l ACOR sur les régimes de retraite relevant de plus d une autorité gouvernementale Les provinces du Québec et de l Ontario ont adopté l
Plus en détailPandémie & Entreprises
Pandémie & Entreprises Dr. Elisabeth Conne-Perréard 29.09.09 28.10.2009 - Page 1 Département Office Qu'est-ce que la grippe et comment se transmet-elle? Comment se protéger contre la grippe? Que faire
Plus en détailOUVERTURE ET MISE EN PLACE
OUVERTURE ET MISE EN PLACE Estelle Marcault 20/01/2012 URC PARIS NORD 1 Ouverture et mise en place Trois types de visites/ réunions peuvent avoir lieu : Visite de sélection Réunion investigateur Visite
Plus en détailPromotion de la vaccination : agir pour maintenir la confiance
Promotion de la vaccination : agir pour maintenir la confiance Promotion de la vaccination : agir pour maintenir la confiance Direction des risques biologiques et de la santé au travail Juin 2014 AUTEURES
Plus en détailPrévenir... par la vaccination
Prévenir... par la vaccination 6 La vaccination...... Soit c est OBLIGATOIRE (2)... Les vaccinations obligatoires pour l ensemble de la population et dont les lois sont inscrites dans le Code de la Santé
Plus en détailI - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE
I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais
Plus en détailPolitique des stages. Direction des études
Direction des études Service des programmes et de la réussite scolaire Politique des stages Recommandée par la Commission des études du 6 décembre 2011 Adoptée par le conseil d administration du 15 mai
Plus en détailChapitre III Le phénotype immunitaire au cours de la vie
Chapitre III Le phénotype immunitaire au cours de la vie Le phénotype immunitaire d un individu caractérise sa capacité à répondre, grâce aux effecteurs de l immunité adaptative, aux différents agents
Plus en détailPolitique de déplacement des bénéficiaires 2011-09-22. La présente politique inclut entre autres les deux documents suivants :
POLITIQUE TITRE : NUMÉRO : AD 001-001 REMPLACE DOCUMENT(S) SUIVANT(S), S IL Y A LIEU : Politique de déplacement des bénéficiaires PERSONNEL VISÉ : gestionnaires personnel de soutien soins aux patients
Plus en détailPlan de continuité des opérations. Maladies infectieuses
Plan de continuité des opérations Maladies infectieuses Contents Qu est-ce qu un plan de continuité des opérations?... 1 Un plan qui s applique aux maladies infectieu ses est-il..1 différent d un plan
Plus en détailIntroduction au métier d ARC. en recherche clinique
Introduction au métier d ARC en recherche clinique Déroulement d un projet de recherche clinique Idée Faisabilité Avant Pendant Après Protocole accepté Démarches réglementaires Déroulement de l étude Analyse
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 18 janvier 2006
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 18 janvier 2006 ADVATE 1500 UI, poudre et solvant pour solution injectable 1 flacon(s) en verre de 1 500 UI - 1 flacon(s) en verre de 5 ml avec matériel(s) de perfusion(s)
Plus en détailLuce Landry, DESS sc. infirmières, UQAR. Résumé
Le groupe de codéveloppement professionnel : une stratégie d amélioration de l aptitude à gérer des situations complexes pour les infirmières qui pratiquent en prévention et contrôle des infections au
Plus en détailLes Infections Associées aux Soins
Les Infections Associées aux Soins Dr Catherine Sartor EOH Conception Assistance Publique Hôpitaux de Marseille Ecole IFSI, Marseille, 12 septembre 2014 Définitions 2007 Infection Nosocomiale (IN) 1999
Plus en détail+ Questions et réponses
HÉPATITE B L hépatite B c est quoi? L hépatite B est un type de maladie du foie causée par le virus de l hépatite B, une des formes les plus courantes de l hépatite virale (les autres sont le virus de
Plus en détailDirection des risques biologiques, environnementaux et occupationnels Institut national de santé publique du Québec
AVIS DÉPISTAGE DE L IMMUNITÉ CONTRE LA RUBÉOLE Comité sur l immunisation du Québec Direction des risques biologiques, environnementaux et occupationnels Institut national de santé publique du Québec Juin
Plus en détailPoint d Information. Le PRAC a recommandé que le RCP soit modifié afin d inclure les informations suivantes:
Point d Information Médicaments à base d ivabradine, de codéine, médicaments contenant du diméthyl fumarate, du mycophénolate mofétil/acide mycophénolique, de l octocog alpha, spécialité Eligard (contenant
Plus en détailRAPPORT ANNUEL 2012-2013. Conseil des Infirmières et Infirmiers
RAPPORT ANNUEL 2012-2013 Conseil des Infirmières et Infirmiers PRÉSENTATION DES MEMBRES ÉLUS Fréderic Drolet, vice-président infirmier au soutien à domicile, CLSC Saint-Laurent Nicole Exina, secrétaire
Plus en détailDétection et prise en charge de la résistance aux antirétroviraux
Détection et prise en charge de la résistance aux antirétroviraux Jean Ruelle, PhD AIDS Reference Laboratory, UCLouvain, Bruxelles Corata 2011, Namur, 10 juin 2011 Laboratoires de référence SIDA (Belgique)
Plus en détailHépatite B. Le virus Structure et caractéristiques 07/02/2013
Hépatite B Le virus Structure et caractéristiques o o o Famille des Hepadnaviridae Genre orthohepadnavirus Enveloppé, capside icosaédrique, 42 nm 1 Le virus Structure et caractéristiques En microscopie
Plus en détail«Grippe Aviaire : Le nouveau péril jaune?»
Numéro 12, Mai 2004 «Grippe Aviaire : Le nouveau péril jaune?» Le nez qui coule, des salves d éternuements et des quintes de toux qui agitent de soubresauts vos brumes fiévreuses, cela vous rappelle-t-il
Plus en détailRésultats du monitoring de la grippe aviaire au cours de l année 2014
Résultats du monitoring de la grippe aviaire au cours de l année 2014 Monitoring actif dans l avifaune sauvage En 2014, dans le cadre du monitoring actif, 3.036 oiseaux sauvages ont été échantillonnés.
Plus en détailANNEXE IIIB NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR
Dénomination du médicament ANNEXE IIIB NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR LYSOPAÏNE MAUX DE GORGE AMBROXOL CITRON 20 mg SANS SUCRE, pastille édulcorée au sorbitol et au sucralose. Chlorhydrate d ambroxol
Plus en détailCertification des ressources d hébergement en toxicomanie ou en jeu pathologique
Ministère de la Santé et des Services sociaux Direction générale des services sociaux, Direction des dépendances et de l itinérance Certification des ressources d hébergement en toxicomanie ou en jeu pathologique
Plus en détailItem 127 : Transplantation d'organes
Item 127 : Transplantation d'organes Date de création du document 2008-2009 Table des matières * Introduction... 1 1 Allogreffe de moelle ou de cellules souches...1 2 Transplantation d'organes... 2 3 Diagnostic...3
Plus en détailVaccination des voyageurs dont la sérologie VIH est positive.
Vaccination des voyageurs dont la sérologie VIH est positive. Pr Jean Beytout Service des maladies infectieuses et tropicales CHU de Clermont-Ferrand. Comité Technique des Vaccinations Conclusion Le principal
Plus en détailDes soins après avortement : Amis des Jeunes. Cartes à conseils 1-6
Des soins après avortement : Amis des Jeunes Cartes à conseils 1-6 SAA: Avant l intervention Accueillir cordialement la cliente et la mettre à l aise Garantir la confidentialité et l intimité Prendre les
Plus en détailQU EST-CE QUE LA PROPHYLAXIE?
QU EST-CE QUE LA PROPHYLAXIE? TABLES DES MATIÈRES Publié par la Fédération mondiale de l hémophilie (FMH) Fédération mondiale de l hémophilie, 2014 La FMH encourage la traduction et la redistribution de
Plus en détailLe champ d exercice et les activités réservées des infirmières
Le champ d exercice et les activités réservées des infirmières Mise à jour du guide d application publié en 2003 NOTE AU LECTEUR Le Service de refonte du ministère de la Justice effectue jusqu en janvier
Plus en détailPlan québécois de promotion de la vaccination
Plan québécois de promotion de la vaccination INSTITUT NATIONAL DE SANTÉ PUBLIQUE DU QUÉBEC Plan québécois de promotion de la vaccination Direction des risques biologiques et de la santé au travail Octobre
Plus en détailGUIDE GUIDE D APPLICATION
GUIDE GUIDE D APPLICATION de la nouvelle Loi sur les infirmières et les infirmiers et de la Loi modifiant le Code des professions et d autres dispositions législatives dans le domaine de la santé avril
Plus en détailVivre en santé après le traitement pour un cancer pédiatrique
PRÉCAUTIONS POUR LES INDIVIDUS SANS RATE FONCTIONNELLE La rate, c est quoi? La rate est un organe situé du coté gauche, vers le haut de l abdomen, sous les côtes, derrière l estomac. Une rate normale a
Plus en détailCOMPLEMENT D AVIS de l Agence nationale de sécurité sanitaire de l alimentation, de l environnement et du travail
Saisine n 2010-SA-0215 Le directeur général Maisons-Alfort, le 11 août 2011 COMPLEMENT D AVIS de l Agence nationale de sécurité sanitaire de l alimentation, de l environnement et du travail relatif à la
Plus en détailPARTAGER NOTRE PASSION. Livret de présentation de la vaccination et de nos vaccins
PARTAGER NOTRE PASSION Livret de présentation de la vaccination et de nos vaccins PARTAGER NOTRE PASSION LIVRET DE PRÉSENTATION DE LA VACCINATION ET DE NOS VACCINS Ces hommes qui ont fait l histoire de
Plus en détailSECTION II RELATIVE AU PRÉLEVEUR
SECTION II RELATIVE AU PRÉLEVEUR II-0 INDEX SECTION II Pages Section relative au préleveur Heures d ouvertures des laboratoires pour clients externes Requête régionale II-2 II-2 II-3 Informations requises
Plus en détailStandards d accès, de continuité, de qualité, d efficacité et d efficience
Standards d accès, de continuité, de qualité, d efficacité et d efficience Ligne provinciale d intervention téléphonique en prévention du suicide 1 866 APPELLE Octobre 2014 Table des matières Contexte...
Plus en détailL infirmière praticienne spécialisée en soins de première ligne (IPSPL) : Portrait des pratiques en UMF sur le territoire Abitibi-Témiscamingue
L infirmière praticienne spécialisée en soins de première ligne (IPSPL) : Portrait des pratiques en UMF sur le territoire Abitibi-Témiscamingue Marie-Christine Lemieux, M.Sc. Inf., IPSPL 2 e Symposium
Plus en détailL investigation chez la personne infectée par le VIH
P O U R Q U O I P A R L E R D U V I H E N 2 0 0 4? 2 L investigation chez la personne infectée par le VIH quand et comment utiliser les différents tests de laboratoire? par Harold Dion Paul, un homme de
Plus en détailAssurance des traitements dans les hôpitaux et des soins de santé
Assurance des traitements dans les hôpitaux et des soins de santé Prestation Admissibilité Couverture à l extérieur de la province Table des matières Introduction...1 Qu est-ce que les P.E.I. Hospital
Plus en détailCéphalées. 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée. APP du DENAISIS
Céphalées 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée EPU DENAIN -14 novembre 2006 Dr Kubat-Majid14 novembre 2006 Dr KUBAT-MAJID Céphalées 1 Mise au point sur la migraine
Plus en détailINFORMATION À L INTENTION DES EMPLOYÉS ACTIFS DU QUÉBEC ÂGÉS DE 65 ANS ET DES PERSONNES À LEUR CHARGE ADMISIBLES
INFORMATION À L INTENTION DES EMPLOYÉS ACTIFS DU QUÉBEC ÂGÉS DE 65 ANS ET DES PERSONNES À LEUR CHARGE ADMISIBLES Employés âgés de 65 ans En tant qu employé ayant choisi de continuer à travailler après
Plus en détailConduite à tenir devant une morsure de chien (213b) Professeur Jacques LEBEAU Novembre 2003 (Mise à jour mars 2005)
Conduite à tenir devant une morsure de chien (213b) Professeur Jacques LEBEAU Novembre 2003 (Mise à jour mars 2005) Pré-Requis : Anatomie faciale Principes de traitement des plaies Principes d'antibiothérapie
Plus en détail