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1 SAPHYMO SAPHYMO C.R.C.V. C.R.C.C. (Contrôle radiologique de chargement de véhicules / de conteneurs) La Radioactivité sous contrôle. Nos portiques ont été conçus pour la détection de sources radioactives dans le chargement de véhicules routiers ou ferroviaires, dans des conteneurs ou sacs de déchets, avant qu ils ne soient admis sur site. Document non contractuel. Nous nous réservons le droit de modifier à tout moment les caractéristiques des appareils décrits dans cette documentation

2 PORTIQUES DE CONTRÔLE DE LA RADIOACTIVITE Contexte et perspectives Depuis une dizaine d années, les industriels non-nucléaires ont été amenés à prendre en compte les risques de contamination radioactive et à se préoccuper du contrôle des chargements entrant ou sortant de leurs sites. Saphymo, qui a développé en collaboration avec le CEA (Commissariat à l Énergie Atomique) les premiers systèmes de détection de sources radioactives dans les véhicules, est actuellement la référence française dans ce domaine avec plus de 900 portiques installés en France et à l étranger. Portique en entrée de site industriel Les sites concernés sont très divers : - Sites nucléaires - Hôpitaux - Centres de recherche - CET classe 1, 2 et 3 - Centres de traitement, de tri et de transfert DIB, DIS, DAS - Usines d incinération - Aciéries électriques, fonderies, récupérateurs de métaux - Cimenteries - Frontières, etc

3 LES DECHETS RADIOACTIFS DIFFUS Le nucléaire diffus reste encore très méconnu du grand public qui, lorsque l on aborde ce sujet, pense plus au réacteur fumant de Tchernobyl qu à l usage médical des sources radioactives, à la destruction des insectes dans l agroalimentaire, aux engrais ou bien aux appareils de détection du plomb. Il existe pourtant plusieurs centaines d industries non-nucléaires et de petits producteurs, utilisateurs de radionucléides naturels ou artificiels pour les besoins de la médecine, de la recherche et de l industrie. Et comme tout acteur industriel, ils génèrent des déchets, potentiellement radioactifs, qui doivent être contrôlés. La provenance des déchets radioactifs Dans la majorité des cas, les déclenchements des portiques sont dus à la présence : - de radionucléides d origine naturelle dans les matériaux de construction, les engrais, les déchets de fonderies ou de l industrie du verre (briques réfractaires, plâtre, sable) : K40, Ra226, Th232 - de radioéléments artificiels à vie courte d usage médical (déchets d activité de soins tels que couches, coton, serviettes hygiéniques contaminés par les patients) : Tc99, I131 - de radioéléments artificiels à vie longue présents dans certains produits manufacturés (paratonnerres, détecteurs incendie), utilisés par des laboratoires de recherche (traceurs) ou par l industrie (jauges de niveau, systèmes de contrôle par gammagraphie) : Am241, Co60, Cs137 Contrôle de déchets hospitaliers

4 LA REGLEMENTATION Aujourd hui, la réglementation impose à certains récupérateurs de déchets (déchets industriels, banals ou ordures ménagères) d effectuer un contrôle de l absence de radioactivité en entrée de site (ce contrôle pouvant être réalisé grâce à un portique). C est le cas : - des centres d enfouissement technique de classe I (arrêtés ministériels du 18 décembre 1992) - des centres d enfouissement technique de classe II dont l exploitation se poursuit après 2002 (arrêté ministériel du 9 septembre 1997) - des installations internes ou collectives d incinération et de co-incinération et de vitrification traitant des déchets dangereux (arrêté ministériel du 20 septembre 2002) LES PROBLEMES RENCONTRES Cependant, si la mise en place d un dispositif de détection (portique par exemple) est obligatoire, les arrêtés ne sont pas assez précis au niveau: - des performances (sensibilités) requises - de la vérification annuelle du matériel - de la notion de seuils d alarme - des procédures à mettre en place en cas d alarme Tous ces points doivent être examinés et expliqués à l exploitant par un spécialiste des portiques.

5 LES SOLUTIONS SAPHYMO Les portiques Saphymo (systèmes C.R.C.V. de Contrôle Radiologique du Chargement des Véhicules) ont été conçus dans une optique de simplicité : ils fonctionnent en continu, sans intervention du personnel, détectent et signalent tout défaut technique ou anomalie de comptage, et contrôlent en permanence les variations des conditions ambiantes. Les systèmes CRCV sont constitués d un ou plusieurs détecteurs à scintillation plastique (détection des rayonnements gamma) installés de part et d autre du passage (en général au niveau du pont bascule d entrée). Il existe plusieurs tailles de détecteurs. Détecteurs à scintillation plastique DSP: Les détecteurs à scintillation plastique de la série DSP assurent, grâce à leur grande sensibilité, une détection extrêmement fiable des sources radioactives, même enfouies dans un chargement de forte densité. La sensibilité des détecteurs DSP permet une optimisation des limites de détection du système, tout en gardant un taux de fausses alarmes négligeable. Les limites de détection dépendent des conditions locales et des réglages du système (notamment le taux de fausses alarmes toléré), ainsi que du radioélément considéré. Principales versions disponibles: DSP 010 : 100 x 50 x 5 cm 3, soit 25 litres DSP 002 : 100 x 10 x 5 cm 3, soit 5 litres DSP 001 : 50 x 10 x 5 cm 3, soit 2,5 litres Les détecteurs sont connectés à un coffret de traitement qui permet la communication avec divers périphériques : - micro-ordinateur (avec logiciel d enregistrement, logiciel de gestion des pesées, ) - imprimante à listing au fil de l eau ou à ticket - dispositifs d alarme locaux ou déportés - commande de feux, de barrières, etc Schéma du principe de fonctionnement d un système CRCV En cas de déclenchement, en complément des portiques, Saphymo propose une gamme complète de détecteurs portables (radiamètres, spectromètres, contaminamètres), une assistance technique spécialisée, ainsi que des interventions de maintenance préventive et corrective.

6 LES SEUILS D ALARME L absence de seuils d alarme s explique par la définition même de ces seuils, qui sont des valeurs calculées à chaque contrôle par rapport au bruit de fond ambiant (radioactivité naturelle), et non des valeurs fixes. Le seuil d'alarme en coups par seconde (c/s) se définit par un taux de comptage net égal à n fois l'écart type σ des fluctuations du bruit de fond (fig.1) selon la formule simplifiée : SAl = BdF + n BdF Où BdF est le bruit de fond déterminé en l'absence de véhicule à contrôler. Probabilité d'apparition Fluctuations du comptage net au cours du processus de mesure. 0 σ SAl Comptages nets (c/s) La valeur de n est fixée en fonction du taux de fausses alarmes que l'on tolère en exploitation. Dans la pratique, n est paramétré dans l électronique de traitement du portique et sa valeur est généralement comprise entre 5 et 20. Par ailleurs, on voit de plus en plus apparaître les demandes suivantes : avec calcul du n correspondant. SAl = 1,5 BdF ou SAl = 2 BdF, etc La difficulté supplémentaire vient de la variation géographique, horaire et météorologique du bruit de fond naturel. Ainsi, un site breton dont le sous-sol granitique engendrant un bruit de fond important sera «pénalisé», en terme de sensibilité, par rapport à un site parisien au sous-sol sédimentaire.

7 LES PROCEDURES L alarme d un portique est habituellement accompagnée d une montée d adrénaline chez les responsables d exploitation (tout au moins lors des premiers déclenchements)! Il n existe malheureusement pas de procédure type donnée par les autorités et permettant d adopter la meilleure conduite à tenir. Chaque site se doit donc de mettre en place ses propres instructions, afin de répondre aux principales interrogations suscitées par le déclenchement d une alarme : - est-ce dangereux? - qui prévenir? - que faire du chargement? - où évacuer la source? - existe-t-il une filière d élimination adaptée? - combien cela va-t-il coûter? - qui doit payer? - comment éviter l impact médiatique? Radiamètre portable 6150 AD6 Radiamètre portable de prospection DG5

8 LES PROCEDURES (suite) A titre d exemple, voici quelques éléments permettant de gérer une alerte sur un portique : - s assurer qu il ne s agit pas d une fausse alarme en effectuant un nouveau contrôle et en questionnant le chauffeur sur le contenu du chargement, ainsi que sur ses traitements médicaux en cours (gestion de l impact psychologique à prévoir) - éloigner le véhicule sur une aire d isolement et le protéger des changements d intempéries (pour éviter une pollution du sol) - quantifier le danger pour le personnel (exploitant, chauffeur) grâce à un radiamètre portable capable d évaluer le débit de dose au contact du véhicule (réalisation d un périmètre de sécurité) - prévenir les autorités compétentes : IRSN (Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire), DRIRE, Préfecture, Pompiers (CMIR), Dans un deuxième temps, il faut : - effectuer la recherche de la source dans le chargement (opération généralement réalisée par une société spécialisée) - évaluer le risque sanitaire après identification des radioéléments présents à l aide d un spectromètre portable - isoler la source dans un container adapté (blindé si possible) qui sera stocké sur site en attente de décroissance si l on se trouve en présence de radioéléments à vie courte, ou bien pris en charge par l ANDRA (Agence Nationale pour la gestion des Déchets RAdioactifs) pour les radioéléments à vie longue ou de forte toxicité. C est bien évidemment cette dernière étape qui reste la plus délicate, de part sa complexité administrative et son impact économique, sans oublier l absence d une filière d élimination adaptée à certains types de déchets. Contaminamètre CoMo 170 Spectromètre portable GR130

9 LES PERFORMANCES ET LA VERIFICATION ANNUELLE Préciser des performances minimales de détection est certes quelque peu complexe. Il est en effet difficile pour des non spécialistes de s orienter dans la «jungle» des unités (coups par seconde, Becquerel, Sievert par heure pour ne citer que les plus courantes) ou d estimer des ordres de grandeur en radioprotection. Il est à noter par ailleurs que l on attribue souvent aux portiques un rôle d appareils de mesure de laboratoire, alors que ce sont des systèmes de détection (tout ou rien) de terrain. De plus, l environnement dans lequel sont réalisés les contrôles est généralement peu favorable : conditions de mesure non reproductibles, types de matériaux à contrôler non définis, densités de chargements non homogènes, effets d écran variables En tout état de cause, les lacunes de la réglementation à ce niveau peuvent induire une dérive vers des achats de matériels à bas prix, ne respectant que partiellement les textes et ne permettant pas une détection efficace. Pour répondre à une démarche Qualité ISO nous préconisons la vérification annuelle du matériel sur site. Ainsi, Saphymo propose la maintenance de systèmes fixes ou de matériels portables de tous types. Pour cela, Saphymo dispose d une installation COFRAC pour l étalonnage des équipements de Radioprotection (dont dosimétrie individuelle).

10 La mise en place de portiques de contrôle de la radioactivité permet de minimiser les risques d incidents ou d accidents. On ne peut en effet écarter une erreur humaine, une défaillance technique, ou même un acte de malveillance en amont SAPHYMO, avec plus de 900 portiques installés et un système qualité reconnu (ISO 9001 COFRAC) est donc à même de vous proposer des systèmes fiables et des prestations de qualité. SAPHYMO 5 rue du Théâtre MASSY tél. : saphymo@saphymo.com

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