Chapitre 24: MONNAIE ET CREDIT
|
|
- Denise Lavoie
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Chapitre 24: MONNAIE ET CREDIT SOMMAIRE I. LISTE DES GRAPHIQUES II. LISTE DES TABLEAUX III. PRESENTATION IV. METHODOLOGIE V. SOURCES DE DOCUMENTATION Chapitre 24 : Monnaie et crédit Page 414
2 I. LISTE DES GRAPHIQUES Graphique 24. 1: Evolution des créances du système monétaire sur l économie selon la nature des bénéficiaires II. LISTE DES TABLEAUX Tableau 24. 1:Avoir extérieurs nets du système monétaire au sens large (en millions de francs cfa) Tableau 24. 2: Position nette du Gouvernement vis-à-vis du système monétaire au sens large (en millions de fcfa) Tableau 24. 3: Ressources du système bancaire (en millions de fcfa) Tableau 24. 4: Contreparties des ressources du système bancaire Tableau 24. 5:: Evolution des taux d intérêt de la beac et des conditions de banque Tableau 24. 6:: Evolution du bilan consolidé des banques Tableau 24. 7:: Statistiques de la banque à distance Tableau 24. 8::Evolution des incidents de paiement Tableau 24. 9:: Evolution des virements Tableau :: Evolution des encours de placements des sociétés d assurance Tableau : Evolution des taux directeurs des pays partenaires de la zone beac Tableau : Evolution du stock de la dette publique par type (milliards de fcfa) Tableau : Evolution des tirages par créancier (milliards de fcfa) Tableau : Evolution du service de la dette publique (en milliard de fcfa) Tableau : Piement du principal de la dette publique par type de creancier (en milliards de fcfa) Tableau : Paiement des charges d intérêts de la dette publique par type de créancier (en milliards de fcfa) Tableau : Evolution du stock de la dette extérieure du cameroun par créanciers (en milliards de fcfa) Chapitre 24 : Monnaie et crédit Page 415
3 III. Institut National de la Statistique Annuaire Statistique du Cameroun 2013 PRESENTATION Le présent chapitre s intéresse aux statistiques monétaires et à celles liées à la dette du Cameroun. Les principaux indicateurs pris en compte pour caractériser cet environnement sont en constante amélioration. La contrepartie des ressources du système bancaire est en nette augmentation depuis Entre 2012 et 2013, le total des contreparties a augmenté de près de 10,1 %. Malgré cette augmentation du total de contreparties, les avoirs extérieurs nets ont évolution en sens inverse entre 2011 et Les statistiques de la dette mises à jour au 31 décembre 2013 font apparaître, un stock de la dette publique du Cameroun de FCFA milliards dont milliards pour la dette extérieure et 702 milliards pour la dette intérieure. La dette publique extérieure au 31 décembre 2012 est de milliards de FCFA et représente 18.23% du Pib courant et 85,4%% des recettes budgétaires hors dons de la même année. Cet encours en nette augmentation par rapport à celui du 31 décembre 2008, a globalement diminué depuis l atteinte du point d achèvement. La composante extérieure qui est de 74% de la dette publique totale correspond à 13,4% du Pib courant et 62,5% des recettes budgétaires hors dons de l année Comparé au niveau observé après l atteinte du point d achèvement, elle est en diminution en valeur nominale. La composante intérieure quant à elle connait une tendance haussière entre 2008 et Elle est de 702 milliards au 31 décembre 2013, soit une hausse de 61%% par rapport à Cependant entre 2012 et 2013, l encours de la dette interieure est resté stable. Depuis le point d achèvement de l initiative PPTE, la dette extérieure décaissée connait une tendance haussière. Il est d environ 523,9milliards de FCFA en 2013 contre environ 70 milliards de FCFA en En 2013, les charges d intérêts de la dette intérieure se sont établies à 9,1 milliards de FCFA dont 6,9 milliards de FCFA consacrées aux titres publics et 2,2 milliards de FCFA à la dette structurée. Le coût de la dette extérieure s est élevé à 36.4 milliards de FCFA, soit près de 69%% consacrées au paiement des intérêts sur les emprunts auprès des créanciers bilatéraux. IV. METHODOLOGIE Les statistiques financières s élaborent en collaboration avec le Bureau des Statistiques du Fonds Monétaire International. Depuis 1993, une réforme a été initiée aboutissant par la suite à une nouvelle sectorisation du système financier et économique des Etats membres de la Zone BEAC et à l adoption de nouveaux tableaux monétaires. a- Sectorisation de l économie nationale Les statistiques monétaires sont établies mensuellement à partir des données comptables tirées des situations mensuelles des institutions financières. Ces établissements sont tenus de transmettre à la Banque Centrale leur situation comptable établie selon les règles du Plan Comptable Sectoriel des Banques. L agrégation des données monétaires ne peut s effectuer que si les imputations des opérations entre les différents secteurs de l économie sont bien effectuées. Ces imputations supposent que les limites entre ces différents secteurs soient bien définies. On distingue généralement deux sphères dans l économie nationale : le secteur financier et le secteur non financier. Présentation du secteur financier de la zone BEAC Dans la Zone BEAC, on distingue désormais quatre types d institutions financières : a) La Banque Centrale La Banque des Etats de l Afrique Centrale (BEAC) a pour rôle d émettre la monnaie centrale, d agir sur le crédit, de gérer les réserves internationales, d effectuer les transactions avec le FMI en tant qu agent financier des Etats membres et d assurer la surveillance générale du système monétaire. b) Les Banques Créatrices de Monnaie (BCM) Ce sont toutes les sociétés de dépôts monétaires qui acceptent des dépôts à vue transférables par chèques ou susceptibles d être utilisées à des fins de paiement. c) Les Autres Institutions Bancaires (AIB) Les Autres Institutions Bancaires sont des banques qui n acceptent pas de dépôts à vue transférables par chèques. On peut regrouper les (AIB) en deux catégories: - Les Autres Institutions Bancaires Eligibles au Refinancement de la BEAC (AIBE) ; - Les Autres Institutions Bancaires Non Eligibles au Refinancement de la BEAC (AIBNE). d) Les Institutions Financières non Bancaires (IFNB) Ce sont des Institutions qui ne reçoivent pas de dépôts du public mais qui participent au financement de l'économie en octroyant des crédits ou en effectuant des opérations financières ayant des incidences sur le secteur monétaire. Présentation du secteur non financier de la zone BEAC Selon la nouvelle méthodologie, toutes les opérations avec les entités non résidentes sont, par définition, classées dans les avoirs et les engagements extérieurs. Par conséquent, si on exclut l'extérieur, le secteur non financier se décompose de la manière qui suit: - Les administrations publiques Ce sont les institutions et services publics qui mettent en œuvre la politique générale de l'etat en fournissant essentiellement des services non marchands. L'Administration publique Centrale ou Gouvernement ; Les Organismes publics et les Collectivités locales. - Les entreprises publiques non financières (EPNF) Ce sont des sociétés d'etat, des sociétés d'économie mixte, et plus généralement toutes les entreprises où l'etat détient, directement ou indirectement, au moins 30% du capital social et qui produisent et vendent des biens et services marchands destinés au public. Chapitre 24 : Monnaie et crédit Page 416
4 - Le secteur privé Il comprend les ménages, les entreprises privées, les entrepreneurs individuels, les administrations privées (institutions sans but lucratif), et tous les autres agents économiques qui n'ont pu être classés ailleurs. b- Les différents types de tableaux monétaires Les différents types de tableaux monétaires établis à partir des bilans consolidés des institutions financières présentent les sources de la création monétaire ainsi que les éléments constitutifs de la masse monétaire. Les séries monétaires ont été corrigées à partir de décembre V. SOURCES DE DOCUMENTATION Ce chapitre a été réalisé grâce aux documents publiés par la BEAC «Etudes et Statistiques de la BEAC» et la CAA. Chapitre 24 : Monnaie et crédit Page 417
5 Graphique 24. 1: Evolution des créances du système monétaire sur l économie selon la nature des bénéficiaires Source : BEAC - INS Chapitre 24 : Monnaie et crédit Page 418
6 Tableau 24. 1: Avoirs extérieurs nets du système monétaire au sens large (en millions de francs cfa) Rubriques Avoirs extérieurs bruts de la BEAC 1.1 Or D.T.S Position de réserve FMI Compte d'opérations (solde créditeur) 1.5 Autres Avoirs extérieurs des banques Engagements extérieurs bruts de la BEAC Recours aux crédits du FMI Autres Engagements extérieurs des banques Dette postale Autres Avoirs extérieurs nets du système monétaire Source: BEAC, les données 2008, 2009 et 2012 ont été corrigées Tableau 24. 2: Position nette du gouvernement vis-à-vis du système monétaire au sens large (en millions de FCFA) Rubriques Position nette du Gouvernement vis à vis de la BEAC Total des créances Total des avoirs Position nette du Gouvernement visà-vis du FMI Position nette du Gouvernement vis à vis des banques (BCM & AIBE) Créances sur le Gouvernement Dépôts du Gouvernement Total des créances nettes vis à vis du système monétaire (au sens large) sur l'etat Source: BEAC * les données de 2010 et 2011 ont été corrigées Chapitre 24 : Monnaie et crédit Page 419
7 Tableau 24. 3: Ressources du système bancaire (en millions de FCFA) Rubriques Disponibilités monétaires et quasi-monétaires (masse monétaire) Disponibilités monétaires Monnaie Fiduciaire (hors BCM, AIBE & AIBNE) Monnaie scripturale auprès de la BEAC auprès des banques auprès des CCP auprès des AIBE auprès des AIBNE Quasi-Monnaie auprès des banques auprès des AIBE auprès des AIBNE Fonds propres Autres postes nets Total des ressources du système bancaire Source: BEAC *les données de 2009 à 2012 ont été corrigées Tableau 24. 4: Contreparties des ressources du système bancaire Rubriques Avoirs extérieurs nets Crédit intérieur Créances nettes sur l'etat Position Nette du Gouvernement Autres créances nettes Créances sur l'économie Institutions financières non monétaires (IFNB, IBL) Entreprises publiques non financières Secteur privé Total des Contreparties Source: BEAC, les données 2009 à 2012 ont été corrigées Chapitre 24 : Monnaie et crédit Page 420
8 Tableau 24. 5:: Evolution des taux d intérêt de la BEAC et des conditions de banque RUBRIQUES I - Opérations des Trésors (Hors Marché). Taux des avances aux Trésors 4,00 4,00 4,00 4,00 3,50. Taux de pénalité aux Trésors 10,00 10,00 10,00 10,00 10,00 - Taux d'intérêt sur Placements Publics (TISP) Le TISP a 4 composantes, à savoir :. Taux d'intérêt sur Placement Public au titre du Fonds de réserves sur les Générations Futures (TISPPo) 1,25 1,50 1,25 1,00 0,1000. Taux d'intérêt sur Placement Public au titre du Mécanisme de stabilisation des recettes budgétaires (TISPP1) 0,85 1,10 0,85 0,60 0,1625. Taux d'intérêt sur Placement Public au titre des dépôts spéciaux (TISPP2) 0,60 0,85 0,60 0,35 0,2250. Taux d'intérêt sur Placement Public lorsque l'etat concerné recourt aux avances de la BEAC II - Marché monétaire A-Injections de liquidités 1- Guichet "A". Taux des appels d'offres (TIAO) 4,00 4,00 4,00 4,00 3,50. Taux des prises en pension (TIPP) 5,75 5,75 5,75 5,75 5,25. Taux des Interventions Ponctuelles (TISIP) 5,75-10,0 5,75-10,0 5,75-10,0 5,75-10,0 5,25-10,0. Taux des Av.except.s/Cert.de Plac.(TACP)* 4,00 4,00 4,00 4,00 3,50. Taux de pénalité aux banques (TPB) 10,00 10,00 10,00 10,00 10,00 2- Guichet "B". Taux s/nouveaux crédits d'invest.productifs ** 4,25 4,00 4,00 4,00 4,00. Taux effectifs s/anciens CMT irrévocables 4,30-6,35 4,30-6,35 4,30-6,35 4,30-6,36 4,30-6,37 B-Ponctions de liquidités (Appels d'offres négatifs). Taux d'intérêt sur placement à 7 jours "TISP" 0,6000 0,6000 0,6000 0,3500 0,1000. Taux d'intérêt sur placement à 28 jours "TISP" 0,6625 0,6625 0,6625 0,4125 0,1625. Taux d'intérêt sur placement à 84 jours "TISP" 0,7250 0,7250 0,7250 0,4750 0,2250 III - conditions de banque - Libres, avec 2 bornes : 1. Taux Débiteur Maximum (TDM) 2. Taux Créditeur Minimum (TCM) 3,25 3,25 3,25 3,25 3,25 Source : BEAC Chapitre 24 : Monnaie et crédit Page 421
9 Tableau 24. 6:: Evolution du bilan consolidé des banques ACTIF Variation en % Variation en volume Sommes déductibles des capitaux permanents % Valeurs immobilisées % dont Immobilisations financières % Opérations avec la clientèle % Crédits à long terme % Crédits à moyen terme % Crédits à court terme % Créances nettes en souffrances % Comptes débiteurs de la clientèle % Autres sommes dues par la clientèle % Valeurs non imputées % Créances rattachées % Opérations diverses % Opérations de trésorerie et opérations interbancaires % Dont titres de placement et de transaction % Total du bilan actif % PASSIF Variation en Variation en % volume Capitaux permanents % dont fonds propres % Opérations avec la clientèle % Comptes de dépôts à régime spécial % Comptes de dépôts à terme % Comptes créditeurs à vue % Autres comptes créditeurs % Dettes rattachées % 5133 Opérations diverses % Opérations de trésorerie et opérations interbancaires % Total du bilan passif Source : COBAC % Tableau 24. 7:: Statistiques de la banque à distance Nombre de comptes de transferts d argent par téléphonie mobile créés Nombre de comptes actifs de transferts d argent par téléphonie mobile Nombre de points de services de transferts d argent par téléphonie mobile créés Nombre de points de services de transferts d argent par téléphonie mobile fonctionnels Valeur des transactions par téléphonie mobile effectuées au cours de l année Nombre des transactions par téléphonie mobile effectuées au cours de l année Encours des comptes actifs de transferts par téléphonie mobile Source : CNC, déclarations des banques Chapitre 24 : Monnaie et crédit Page 422
10 Tableau 24. 8::Evolution des incidents de paiement Nombre Valeur (milliards F CFA) 29,9 36,6 47,9 47,6 Variation (%) Variation nombre 12,8 21,1 18,4 8 Variation Valeur 20,6 22,4 30,9-1 Source : BEAC Tableau 24. 9:: Evolution des virements Nombre Valeur (milliards F CFA) 1 551,4 1783, , ,7 Source : BEAC Tableau :: Evolution des encours de placements des sociétés d assurance ANNEE IARDT VIE MARCHE Source : ASAC Tableau : Evolution des taux directeurs des pays partenaires de la zone BEAC Marchés Nov 2010 BCEAO. Taux d'escompte (TES) 1/ 4,75 6,42 6,25 6,25. Taux d'appel d'offres - injections de liquidités 4,22 4,31 3,25 3,50 - reprises de liquidités -. Taux des pensions 4,25 4,67 4,25 4,25 Zone Euro*. Taux d'appel d'offres 4,00 3,71 1,00 1,00. Facilité de prêt marginal 5,00 4,46 1,75 1,75. Facilité de dépôts 3,00 2,92 0,25 0,25 Royaume-Uni. Prêts maisons d'escompte 5,50 4,08 0,50 0,50 Etats-Unis. Taux d'escompte 6,25 1,63 0,50 0,50. Taux au j/j "Fed Funds" 2/ 4,50 1,38 0,25 0,25 Japon. Taux d'escompte 0,50 0,37 0,30 0,30. Objectif J/J 0,00 0,00 0,00 0,00 Source: BEAC Chapitre 24 : Monnaie et crédit Page 423
11 Tableau : Evolution du stock de la dette publique par type (milliards de fcfa) Années Stock dette extérieure Multilatérale Bilatérale Commerciale Dont Emprunt obligataire détenus par les non résidents Stock dette intérieure Titres publics Structurée (conventionnelle) Non structurée (non conventionnelle) Nouvelle dette (Audit fin arriérés) Stock total Dette garantie Autre passif conditionnels Stock dette publique et dette à garantie publique Source : CAA Chapitre 24 : Monnaie et crédit Page 424
12 Tableau : Evolution des tirages par créancier (milliards de FCFA) Années Total 70,4 92,6 92,9 126,2 118,0 155,8 213,9 523,95 Multilatéral 39,0 43,0 54,3 112,0 80,2 85,6 94,8 132,2 Union Européenne IDA 13,5 10,1 13, ,5 37,7 43,3 89,3 FAD 11 11,5 26,6 11,2 36,8 25,2 36,0 18,5 FMI 4,1 3,9 5,2 70 0,0 0,0 0,0 0 BEI 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 11,2 3,3 0 BADEA 3,5 4,3 3,6 0,3 0,2 0,0 0,4 1,5 BID 3,5 4 1,9 4,2 2,2 1,5 8,0 12 Inter Islamic 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 8,5 0,0 0 FIDA 2 2,8 0,9 2,1 0,3 1,5 0,3 3 FS OPEP 1,4 4,6 3 2,2 0,2 0,0 3,5 7,9 0 1, ,0 0,0 0,0 0 Bilatéral Club de Paris 23,3 27,2 19,5 10,4 10,9 7,5 3,8 22,35 Belgique 13,6 14,4 9,8 7,0 5,9 4,5 0,0 0 France 4,9 5,7 1,4 0,0 0,0 0,0 0,0 18,9 Allemagne 0,3 5,3 6,4 0,5 0,1 0,8 1,0 0,05 Pays Bas 4, ,0 0,0 0,0 0 Espagne 0 1,8 1,9 2,9 1,7 0,5 0,0 0 Japon 3,2 1,7 2,8 3,4 Bilatéral non Club de Paris 8,1 22,4 19,1 3,8 26,9 62,7 115,3 318,5 Chine 5 16,9 16,1 2,4 16,4 62,3 106,2 317,7 Koweit 3,1 3,8 3 0,7 0,0 0,0 0,0 0,2 Arabie Saoudite 0 1,7 0 0,7 0,0 0,0 0,0 0,1 Corée du Sud 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 9,1 0,5 Inde 0,0 0,0 0,0 0,0 10,5 0,4 0,0 0 Commerciaux 50,9 DEXIA 0,5 Deutsche bank 31,1 SG Paris 19,3 Source : CAA NB : Les prêts de EXIMBANK china sont inclus dans les prêts de la chine. Chapitre 24 : Monnaie et crédit Page 425
13 Tableau : Evolution du service de la dette publique (en milliard de FCFA) Années Dette publique extérieure Service effectif 112,3 96,7 86,1 90,7 113,9 93,7 2-Dette publique intérieure Dont intérêt 32,4 28,8 26,3 32,6 38,9 36,4 Service effectif 103,9 45,9 75,8 73,3 124,9 99,9 Dont intérêt 6,8 7,3 10,6 13,5 15,5 9,1 3-Dette publique total (1) + (2) Service effectif 217,2 142,6 161,9 164,0 238,8 193,6 Source : CAA Dont intérêt 39,3 36,1 36,9 46,1 53,5 45,5 Tableau : Paiement du principal de la dette publique par type de creancier (en milliards de FCFA) Rubriques Dette extérieure 67,6 79,9 67,9 59, ,9 57,2 Multilatérale 8,8 14,4 12,9 12,0 13,8 12,7 21,4 Bilatérale 55,4 57,0 54,9 47,8 49,5 40,8 30,1 Commerciale 3,4 8,5 0,0 0,0 0,0 21,4 5,7 Dette intérieure ,1 38,6 65,3 59,8 161,8 90,7 Titres publics ,8 Dette structurée 129,5 61,9 27,5 30,5 44,8 47,3 23,7 Dont bancaire 27,5 6,5 1,0 0,6 0,6 6,7 3,3 Dette non structurée 78,6 35,2 11,1 34, ,5 18,2 Dette publique totale 275,6 176,9 106,5 125,1 122,8 236,7 147,9 Source : CAA Tableau : Paiement des charges d intérêts de la dette publique par type de créancier (en milliards de fcfa) Rubriques Dette extérieure 33,0 32,4 28,8 26,3 32,7 38,9 36,4 Multilatérale 4,8 7,2 4,6 4,9 6,0 5,8 8,6 Bilatérale 28,2 25,2 24,2 21,4 24,3 28,0 25,1 Commerciale 0,0 0,0 0,0 0,0 2,4 5,1 2,7 Dette intérieure 9,9 6,8 7,3 11,8 13,5 15,5 9,1 Titres publics 0,0 0,0 0,0 0,0 8,8 8,8 6,9 Dette structurée 9,9 6,8 7,3 8,1 4,7 6,7 2,2 Dont bancaire 6,1 3,9 3,7 3,7 2,1 4,2 2,1 Dette non structurée 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0 Dette publique totale 42,9 39,2 36,1 38,1 46,2 54, 4 45,5 Source : CAA Chapitre 24 : Monnaie et crédit Page 426
14 Tableau : Evolution du stock de la dette extérieure du Cameroun par créanciers (en milliards de FCFA) Rubriques Total 989,7 932,3 974, ,4 1471,0 Multilatéraux 242,9 282,7 376, ,1 629,7 721,4 IDA 94,8 106,4 125, ,4 264,5 327,5 BIRD 19,4 16,6 13,8 15 9,7 6,6 4,2 FMI 10,7 11,4 79, ,7 83,4 77,9 BAD 12,4 9,2 6, FAD 26,3 50,5 61, ,5 172,4 177,6 BID 17,4 20,0 21, ,3 32,7 48,4 FIDA 9,8 12,4 14, ,2 20,5 29,6 FS OPEP 7,1 10,0 10, ,6 10,2 18,2 BADEA 10,0 13,7 13, ,6 13,1 12,4 UE 35,0 32,5 30, ,7 26,3 25,6 Bdeac ,4 0,03 0,03 Bilatéraux Club de Paris 655,1 580,5 527, ,6 428,2 433,3 Belgique 5,8 5,8 9,5 5 3,9 15,0 15 France 581,1 519,5 471, ,5 360,7 359,6 Allemagne 43,2 31,6 30, ,1 26,5 35,8 Pays-Bas 9,3 8,3 7,4 6 5,4 4,4 3,4 Espagne 12,8 12,4 6,6 7 11,3 11,5 10,2 Suisse 2,9 2,8 2,7 3 2,8 2,6 2 Japon ,6 7,5 9,3 Bilatéral non Club de Paris 48,3 68,5 69, ,3 325,3 635,2 Chine 31,2 48,4 50, ,5 278,9 596,4 Koweit 12,5 16,2 16, ,1 15,5 14,3 Corée du Sud ,8 9,6 4,3 Arabie Saoudite 4,5 3,9 3,7 3 2,6 3,8 3 Inde ,3 17,5 17,2 Commerciaux (arrières) 43,5 0,6 0,6 52,6 59,4 87,8 125,1 Bank Rumbold 35,9 0,0 0, Calder Co 7,0 0,0 0, BTP Banque 0,2 0,2 0,2 0,2 0,2 0,3 0,3 Non commercial 0,4 0,4 0,4 0,4 0,4 0,4 0,4 Emprunt obligataire ,0 42,0 31,5 21 Belgique Dexia ,8 21,8 20,8 Espagne Deutsche Bank ,6 50,8 France/USA Société générale ,7 23,3 IFTC ,5 8,5 Source : CAA Chapitre 24 : Monnaie et crédit Page 427
REPUBLIQUE DU BENIN. Fraternité-Justice-Travail -@@@ MINISTERE DE L ECONOMIE, DES FINANCES ET DES PROGRAMMES DE DENATIONNALISATION -@@@
REPUBLIQUE DU BENIN Fraternité-Justice-Travail -@@@ MINISTERE DE L ECONOMIE, DES FINANCES ET DES PROGRAMMES DE DENATIONNALISATION -@@@ DIRECTION GENERALE DES AFFAIRES ECONOMIQUES -@@@ DIRECTION DE LA PREVISION
Plus en détailBANQUE CENTRALE DE TUNISIE DETTE EXTERIEURE DE LA TUNISIE 2011
البنك المركزي التونسي BANQUE CENTRALE DE TUNISIE DETTE EXTERIEURE DE LA TUNISIE 2011 DECEMBRE 2012 DETTE EXTERIEURE DE LA TUNISIE 2011 DECEMBRE 2012 SOMMAIRE Pages Introduction... 5 Endettement extérieur
Plus en détailInstitut National de la Statistique - Annuaire Statistique du Cameroun 2010. Chapitre 26 : LE CAMEROUN DANS LA ZONE CEMAC
Institut National de la Statistique - Annuaire Statistique du Cameroun 2010 Chapitre 26 : LE CAMEROUN DANS LA ZONE CEMAC 1. Présentation... 328 2. Méthodologie... 328 3. Définitions... 328 4. Sources de
Plus en détailBanque nationale suisse Résultat de l exercice 2014
Communication Case postale, CH-8022 Zurich Téléphone +41 44 631 31 11 communications@snb.ch Zurich, le 6 mars 2015 Banque nationale suisse Résultat de l exercice 2014 La Banque nationale suisse (BNS) a
Plus en détailBanque de la République d Haïti. Bulletin Statistique 36 Juillet - Septembre 2000
Banque de la République d Haïti Bulletin Statistique 36 Juillet - Septembre 2000 Table des matières Avertissement...5 I- Statistiques monétaires et financières Tableau 1.1 Principaux indicateurs monétaires...10
Plus en détailBASE DE DONNEES - MONDE
BASE DE DONNEES - MONDE SOMMAIRE Partie I Monnaies Partie II Epargne/Finances Partie III Démographie Partie IV Finances publiques Partie V Matières premières Partie I - Monnaies Cours de change euro/dollar
Plus en détailActifs des fonds de pension et des fonds de réserve publics
Extrait de : Panorama des pensions 2013 Les indicateurs de l'ocde et du G20 Accéder à cette publication : http://dx.doi.org/10.1787/pension_glance-2013-fr Actifs des fonds de pension et des fonds de réserve
Plus en détailb ) La Banque Centrale Bilan de BC banques commerciales)
b ) La Banque Centrale Notre système bancaire se complexifie puisqu il se trouve maintenant composer d une multitude de banques commerciales et d une Banque Centrale. La Banque Centrale est au cœur de
Plus en détailL Épargne des chinois
L Épargne des chinois (Patrick ARTUS Johanna MELKA) Colloque Cirem-Cepii-Groupama AM 29 septembre 25 Indicateurs de «qualité de vie» en Chine 199 1995 2 22 23 Nombre d'écoles par 1 habitants 9,1 7,82 6,48
Plus en détailElaboration des comptes financiers et du tableau des opérations financières
REPUBLIQUE DU CAMEROUN Paix - Travail Patrie ---------- INSTITUT NATIONAL DE LA STATISTIQUE ---------- REPUBLIC OF CAMEROON Peace - Work Fatherland ---------- NATIONAL INSTITUTE OF STATISTICS ----------
Plus en détailLes banques suisses 2013 Résultats des enquêtes de la Banque nationale suisse
Communiqué presse Communication Case postale, CH-8022 Zurich Téléphone +41 44 631 31 11 communications@snb.ch Zurich, le 19 juin 2014 Les banques suisses 2013 Résultats s enquêtes la Banque nationale suisse
Plus en détailUniversité d Oran / Faculté des Sciences Commerciales Spécialité : 4 eme. Fiche N 2 : Banque et Monnaie
Université d Oran / Faculté des Sciences Commerciales Spécialité : 4 eme Finance / Module : Les Techniques Bancaires Fiche N 2 : Banque et Monnaie I)- Principes Généraux : 1)- Définition du Terme Monnaie
Plus en détailLes perspectives mondiales, les déséquilibres internationaux et le Canada : un point de vue du FMI
Présentation à l Association des économistes québécois Le 19 mai 25 Les perspectives mondiales, les déséquilibres internationaux et le Canada : un point de vue du FMI Kevin G. Lynch Administrateur Fonds
Plus en détailCREATION MONETAIRE ET SON CONTROLE
CREATION MONETAIRE ET SON CONTROLE PAR LES AUTORITES MONETAIRES SECTION 1 : LA CREATION MONETAIRE A Acteurs et modalités de création monétaire : La création monétaire consiste à accroître la quantité de
Plus en détailRapport intermédiaire de la Banque nationale suisse au 30 juin 2010
Communication Case postale, CH-8022 Zurich Téléphone +41 44 631 31 11 Fax +41 44 631 39 10 Zurich, le 13 août 2010 Rapport intermédiaire de la Banque nationale suisse au 30 juin 2010 La Banque nationale
Plus en détailROYAUME DU MAROC OFFICE DES CHANGES
ROYAUME DU MAROC OFFICE DES CHANGES www.oc.gov.ma 2007 La reproduction des informations contenues dans la présente publication est autorisée sous réserve d en mentionner expressément la source. 1 TABLE
Plus en détailCOMPTES D OPÉRATIONS MONÉTAIRES
R É P U B L I Q U E F R A N Ç A I S E COMPTES SPÉCIAUX RAPPORTS ANNUELS DE PERFORMANCES ANNEXE AU PROJET DE LOI DE RÈGLEMENT DES COMPTES ET RAPPORT DE GESTION POUR 2007 COMPTES D OPÉRATIONS MONÉTAIRES
Plus en détailQuel est le temps de travail des enseignants?
Quel est le temps de travail des enseignants? Dans les établissements publics, les enseignants donnent, en moyenne et par an, 779 heures de cours dans l enseignement primaire, 701 heures de cours dans
Plus en détailLes perspectives économiques
Les perspectives économiques Les petits-déjeuners du maire Chambre de commerce d Ottawa / Ottawa Business Journal Ottawa (Ontario) Le 27 avril 2012 Mark Carney Mark Carney Gouverneur Ordre du jour Trois
Plus en détailPARTIE 2 : LES POLITIQUES ÉCONOMIQUES CONJONCTURELLES
SO00BM24 Introduction aux politiques économiques PARTIE 2 : LES POLITIQUES ÉCONOMIQUES CONJONCTURELLES CHAPITRE 2 : LA POLITIQUE MONETAIRE I. Préambules sur la Monnaie II. 1. La création monétaire A. Comment
Plus en détailPartie 2 : Qui crée la monnaie?
Partie 2 : Qui crée la monnaie? Marché monétaire Masse monétaire Banque centrale Prêteur en dernier ressort Notions clés I. La mesure de la création monétaire : la masse monétaire La masse monétaire n
Plus en détailAnnexe - Balance des paiements et équilibre macro-économique
Annexe - Balance des paiements et équilibre macro-économique Les échanges de marchandises (biens et services), de titres et de monnaie d un pays avec l étranger sont enregistrés dans un document comptable
Plus en détailINDICATIONS COMPLÉMENTAIRES
eduscol Sciences économiques et sociales - Première ES Science économique 4. La monnaie et le financement Ressources pour le lycée général et technologique Fiche 4.3 : Qui crée la monnaie? INDICATIONS
Plus en détailMonnaie, banques, assurances
Monnaie, banques, assurances Panorama La politique monétaire de la Banque nationale suisse en 2013 En 2013, la croissance de l économie mondiale est demeurée faible et fragile. En Europe, les signes d
Plus en détailGUIDE DU PASSAGE À L EURO : NOTE D INFORMATION À L INTENTION DES EMPRUNTEURS DE LA BANQUE MONDIALE AOÛT 2001
GUIDE DU PASSAGE À L EURO : NOTE D INFORMATION À L INTENTION DES EMPRUNTEURS DE LA BANQUE MONDIALE AOÛT 2001 Ce GUIDE DU PASSAGE À L EURO donne, sous forme de questions et de réponses, des informations
Plus en détailPERTES ET BENEFICES DE CHANGE
ANALYSE DE L EXECUTION DU BUDGET DE L ETAT PAR MISSION ET PROGRAMME EXERCICE 2012 COMPTE D OPERATIONS MONETAIRES PERTES ET BENEFICES DE CHANGE MAI 2013 Compte d opérations monétaires Pertes et bénéfices
Plus en détailLe nouvel indice de taux de change effectif du dollar canadien
Le nouvel indice de taux de change effectif du dollar canadien Janone Ong, département des Marchés financiers La Banque du Canada a créé un nouvel indice de taux de change effectif du dollar canadien,
Plus en détailOrdonnance relative à la loi fédérale sur la Banque nationale suisse
Ordonnance relative à la loi fédérale sur la Banque nationale suisse (Ordonnance de la Banque nationale, OBN) Modification du 7 mai 2014 La Banque nationale suisse arrête: I L ordonnance du 18 mars 2004
Plus en détailQuelle part de leur richesse nationale les pays consacrent-ils à l éducation?
Indicateur Quelle part de leur richesse nationale les pays consacrent-ils à l éducation? En 2008, les pays de l OCDE ont consacré 6.1 % de leur PIB cumulé au financement de leurs établissements d enseignement.
Plus en détailCOFFRES-FORTS 158,15 240 EUR 237,23 320 EUR. Coût additionnel pour coffre à code 15 EUR
Tenue de compte, coffres, attestations et recherches FORFAIT ANNUEL TENUE DE COMPTE 1 COFFRES-FORTS Avec accès e-banking sécurisé 2 25 EUR Volume (dm 3 ) loyer annuel HT + TVA 17% Avec envoi hebdomadaire
Plus en détailLa balance des paiements et la position
La balance des paiements et la position extérieure globale selon le BPM6 1. Introduction La balance des paiements de la Belgique est l état statistique qui récapitule de façon systématique les transactions
Plus en détailà la Consommation dans le monde à fin 2012
Le Crédit à la Consommation dans le monde à fin 2012 Introduction Pour la 5 ème année consécutive, le Panorama du Crédit Conso de Crédit Agricole Consumer Finance publie son étude annuelle sur l état du
Plus en détailL importance de la monnaie dans l économie
L importance de la monnaie dans l économie Classes préparatoires au Diplôme de Comptabilité et Gestion UE 13 Relations professionnelles Etude réalisée par : Marina Robert Simon Bocquet Rémi Mousseeff Etudiants
Plus en détailLA CONNAISSANCE DES COMPTES FINANCIERS ET NON FINANCIERS DES ACTEURS FINANCIERS
LA CONNAISSANCE DES COMPTES FINANCIERS ET NON FINANCIERS DES ACTEURS FINANCIERS Fabrice LENGLART INSEE Comptes nationaux Bruno LONGET - Banque de France - SESOF CNIS 22 juin 2009 Plan I Place des activités
Plus en détailTARIFICATION DES INSTRUMENTS FINANCIERS AU 01 JANVIER 2015
TARIFICATION DES INSTRUMENTS FINANCIERS AU 01 JANVIER 2015 I. Organismes de Placements Collectifs 1. SICAV émises par la BCEE Sous réserve d exceptions éventuelles prévues dans le prospectus d émission,
Plus en détailEditorial. Chère lectrice, cher lecteur,
Version de : juillet 2013 Le point sur... Informations fournies par le ministère fédéral des Finances Les mécanismes européens de stabilité Sur la voie de l Union de la stabilité 1 2 3 4 ème volet Editorial
Plus en détailBANQUE DES ETATS DE L AFRIQUE CENTRALE COMPTES ANNUELS
BANQUE DES ETATS DE L AFRIQUE CENTRALE EXERCICE CLOS AU 31 DECEMBRE 2012 SOMMAIRE ETATS FINANCIERS... 4 Bilan... 4 Compte de Résultat... 6 NOTES ANNEXES AUX ETATS FINANCIERS... 7 Note 1 : Cadre juridique,
Plus en détail3e question : Qui crée la monnaie?
3e question : Qui crée la monnaie? INTRO : Sensibilisation Vidéo : Comprendre la dette publique en quelques minutes (1min à 2min 27) http://www.youtube.com/watch?v=jxhw_ru1ke0&feature=related Partons de
Plus en détailLe RMB chinois comme monnaie de mesure internationale : causes, conditions
27 novembre 213 N 5 Le RMB chinois comme monnaie de mesure internationale : causes, conditions La Chine semble vouloir développer le poids du RMB comme monnaie internationale, aussi bien financière que
Plus en détailChiffres-clés relatifs à la place financière suisse Mis à jour en décembre 2008
Chiffres-clés relatifs à la place financière suisse Mis à jour en décembre 2008 O:\Ifw-daten\IFW-FF\14 FinMaerkte_FinPlatzPolitik\143.2 FM CH Statistik\Publ Kennzahlen\Kennzahlen_Dezember08\Internet\Kennzahlen_CD-
Plus en détailInvestissement étranger à la Bourse de Casablanca
Investissement étranger à la Bourse de Casablanca Juin 2014 Page 1 898 SYNTHESE En 2013, le nombre des investisseurs étrangers en actions cotées à la Bourse de Casablanca a enregistré une hausse ; il est
Plus en détailPlan du cours. I. La création monétaire dans un système bancaire non hiérarchisé.
1 Plan du cours I. La création monétaire dans un système bancaire non hiérarchisé. II. Les échanges interbancaires. III. La création monétaire et les échanges interbancaires dans un système bancaire hiérarchisé.
Plus en détailCompte d opérations monétaires. Pertes et bénéfices de change
Compte d opérations monétaires Pertes et bénéfices de change Note d analyse de l exécution budgétaire 2014 2 COUR DES COMPTES Pertes et bénéfices de change LFI Exécution 1 Ecart Recettes 25 M 19,3 M -5,7
Plus en détailQU EST-CE QU UNE BANQUE? 1 RE PARTIE Questions et réponses sur le thème des banques
Les banques en tant qu intermédiaires financiers Qu est-ce qu une banque? Une banque est une entreprise dont l activité principale consiste à recevoir l épargne en dépôt, à accorder des crédits et à fournir
Plus en détailLa monnaie, les banques et les taux d intérêt
Chapitre 10 La monnaie, les banques et les taux d intérêt 1 Objectifs Définir ce qu est la monnaie et décrire ses fonctions Expliquer les fonctions économiques des banques canadiennes et des autres intermédiaires
Plus en détailComité de Bâle sur le contrôle bancaire. Rapport intérimaire sur la mise en œuvre du cadre réglementaire de Bâle
Comité de Bâle sur le contrôle bancaire Rapport intérimaire sur la mise en œuvre du cadre réglementaire de Bâle Octobre 2013 Le présent document est traduit de l anglais. En cas de doute ou d ambiguïté,
Plus en détailLa situation financière des SNF françaises Quelques éléments de diagnostic élaborés à partir des comptes nationaux
La situation financière des SNF françaises Quelques éléments de diagnostic élaborés à partir des comptes nationaux 21 novembre 2014 Gilbert Cette 1. Définitions et sources Valeur ajoutée aux coûts des
Plus en détailENSAE, 1A Maths. Roland Rathelot roland.rathelot@ensae.fr. Septembre 2010
Initiation à l économie ENSAE, 1A Maths Roland Rathelot roland.rathelot@ensae.fr Septembre 2010 Les ménages (1/2) Les ressources des ménages La consommation L épargne Les ménages comme agents économiques
Plus en détailSO00BM24 Introduction aux politiques économiques
SO00BM24 Introduction aux politiques économiques PARTIE 2 : LES POLITIQUES ÉCONOMIQUES CONJONCTURELLES CHAPITRE 2 : LA POLITIQUE MONETAIRE I. Préambules sur la Monnaie 1. La création monétaire A. Comment
Plus en détail1. La fonction de règlement ne peut être assurée au niveau international que dans des conditions bien différentes. D une part, les agents concernés
Introduction La notion de système évoque l idée d organisation. Un système monétaire national est l organisation des relations monétaires dans un pays : comment les agents économiques peuvent-ils utiliser
Plus en détailLa comptabilité nationale en économie ouverte (rappels) et la balance des paiements
La comptabilité nationale en économie ouverte (rappels) et la balance des paiements Identité fondamentale: Y= C + I + G + EX - IM Y: PIB (Produit Intérieur Brut) C: Consommation I: Investissement G: Dépenses
Plus en détail4 Formulaires de virement standard disponibles auprès de nos guichets ou en appelant votre conseiller.
I. Compte à vue FRAIS DE TENUE DE COMPTE TAUX CREDITEURS (taux annuels) / (CHF: taux négatifs) Ouverture/fermeture de compte Forfait annuel incluant l'ouverture de comptes additionnels dans toutes les
Plus en détailLes comptes nationaux et le SEC 2010
Les comptes nationaux et le SEC 2010 7 ème séminaire de la Banque nationale de Belgique pour enseignants en économie du secondaire Bruxelles, le 22 octobre 2014 Catherine RIGO Plan de l exposé Introduction
Plus en détailHightech Payment Systems en bref
Hightech Payment Systems en bref Mission Fourniture de solutions de paiement électronique multi-canal Quelques Chiffres +100 collaborateurs dont 85 Ingénieurs et Consultants +50 sites installés et 150
Plus en détailL ESPACE UNIQUE DES PAIEMENT EN EUROS (SEPA) Vers une harmonisation des moyens de paiement européens. Direction des affaires économiques de la CGPME
L ESPACE UNIQUE DES PAIEMENT EN EUROS (SEPA) Vers une harmonisation des moyens de paiement européens Direction des affaires économiques de la CGPME SEPA (Single Euro Payment Area) Harmonisation des moyens
Plus en détailÉtudes. Des effets de la réglementation des produits d épargne sur le comportement de placement des ménages
Des effets de la réglementation des produits d épargne sur le comportement de placement des ménages Depuis 25 ans, la structure de l épargne financière des ménages a été singulièrement modifiée par l essor
Plus en détailSOMMAIRE DU LIVRET PLAN ET MINUTAGE DU PROGRAMME
2 PLAN ET MINUTAGE DU PROGRAMME SOMMAIRE DU LIVRET 3 Ce film est conçu pour être visionné dans son ensemble, mais aussi pour être utilisé sous forme de chapitres permettant une utilisation pédagogique
Plus en détailLes tableaux de flux de trésorerie en règles françaises et internationales : essai de synthèse
Synthèse // Réflexion // Une entreprise/un homme // Références Les tableaux de flux de trésorerie en règles françaises et internationales : essai de synthèse Particulièrement utiles pour évaluer la capacité
Plus en détailCroissance plus lente dans les pays émergents, accélération progressive dans les pays avancés
POUR DIFFUSION : À Washington : 9h00, le 9 juillet 2015 STRICTEMENT CONFIDENTIEL JUSQU À DIFFUSION Croissance plus lente dans les pays émergents, accélération progressive dans les pays avancés La croissance
Plus en détailLa BRI. Au service de la stabilité monétaire et financière
La BRI Au service de la stabilité monétaire et financière Fondée le 17 mai 1930, la BRI est la plus ancienne organisation financière internationale. Outre son siège social, à Bâle (Suisse), elle possède
Plus en détailTarifs des principales opérations de placement en vigueur au 23-03-2015
I. SICAV Tarifs des principales opérations de placement en vigueur au 23-03-2015 Une vaste sélection de sicav est également négociable via Belfius Direct Net ou Belfius Direct Net Business. Si vous négociez
Plus en détailLes comptes de la Banque de France
1 Le rapport sur la situation patrimoniale et les résultats Le Conseil général a arrêté les comptes de l exercice 2012 au cours de la séance du 28 mars 2013. Le résultat net s établit à 3 146 millions
Plus en détailGUIDE DIDACTIQUE DU PLAN COMPTABLE DE L ETAT CEMAC TOME 2 RELATIF AUX FONCTIONNEMENT DES COMPTES DIVISIONNAIRES
COMMUNAUTE ECONOMIQUE ET MONETAIRE DE L AFRIQUE CENTRALE GUIDE DIDACTIQUE DU PLAN COMPTABLE DE L ETAT CEMAC TOME 2 RELATIF AUX DES COMPTES DIVISIONNAIRES Directive n 03/11-UEAC-195-CM-22 relative au plan
Plus en détailQUELLE DOIT ÊTRE L AMPLEUR DE LA CONSOLIDATION BUDGÉTAIRE POUR RAMENER LA DETTE À UN NIVEAU PRUDENT?
Pour citer ce document, merci d utiliser la référence suivante : OCDE (2012), «Quelle doit être l ampleur de la consolidation budgétaire pour ramener la dette à un niveau prudent?», Note de politique économique
Plus en détailCrédit hypothécaire : croissance durable
Union Professionnelle du Crédit Communiqué de presse Crédit hypothécaire : croissance durable Bruxelles, le 6 mai 2011 Au cours du premier trimestre de 2011, 24 % de crédits hypothécaires de plus ont été
Plus en détailLa révision des indices du cours du franc suisse, nominaux et réels, pondérés par les exportations
La révision des indices du cours du franc suisse, nominaux et réels, pondérés par les exportations par Robert Fluri et Robert Müller, Direction de la statistique, Banque nationale suisse, Zurich BNS 42
Plus en détailLe Système de Paiement au Liban * * Dr. Nasser Saïdi
Le Système de Paiement au Liban * * Dr. Nasser Saïdi Introduction De nombreux événements se sont produits dans le domaine des systèmes de paiement durant cette dernière décennie. Les investissements réalisés
Plus en détailL empreinte carbone des banques françaises. Résultats commentés
L empreinte carbone des banques françaises Résultats commentés Le cabinet de conseil Utopies et l association Les Amis de la Terre publient le 22 novembre 2010 l empreinte carbone des groupes bancaires
Plus en détailPLAN DE FORMATION COMPTABLE NOVEMBRE 2013
PLAN DE FORMATION COMPTABLE NOVEMBRE 2013 I L ENTREPRISE ET LA FAMILLE La famille est une entreprise La famille dépend de l entreprise La famille et l entreprise se gèrent de la même manière mais indépendamment
Plus en détailLES OPERATIONS SUR LE MARCHÉ DES CHANGES. Finance internationale, 9 ème éd. Y. Simon & D. Lautier 1
LES OPERATIONS SUR LE MARCHÉ DES CHANGES Finance internationale, 9 ème éd. Y. Simon & D. Lautier 1 Couverture : Protéger des créances ou des dettes (commerciales ou financières) contre le risque de variation
Plus en détailBienvenue dans votre FIBENligne
Bienvenue dans votre FIBENligne Retrouvez dans votre FIBENligne toutes les nouveautés FIBEN et l ensemble des services que la Banque de France met à votre disposition pour vous aider dans votre maîtrise
Plus en détailPréambule Autodiagnostic 1) QRU - La Banque centrale est : 2) QRU - L encadrement du crédit était une technique :
Préambule Nous vous proposons en préambule d estimer votre niveau de connaissances bancaires et financières en répondant à cet auto diagnostic. Que celui-ci vous soit prétexte à valider et à approfondir
Plus en détailContrôle. Consultation CDEC
Chapitre 1 : Monnaie et financement de l économie marocaine Financement de l activité économique Financement Direct Financement Indirect Marché financier Marché monétaire Marché hypothécaire Banques Stés.
Plus en détailLes ratios financiers de l industrie alimentaire : définitions et évolution comparative à long terme
Commission Consultative Spéciale Alimentation CCE 2005-822 JPT/NB 12 septembre 2005 Les ratios financiers de l industrie alimentaire : définitions et évolution comparative à long terme Le présent document
Plus en détailSénégal. Textes d application de la loi relative à la promotion de la bancarisation
Textes d application de la loi relative à la promotion de la bancarisation 1. Instruction n 1 du 8 mai 2004 relative à la promotion des moyens de paiements scripturaux et à la détermination des intérêts
Plus en détail12. Le système monétaire
12. Le système monétaire Le rôle de la monnaie est fondamental. Imaginez une situation où aucun moyen de paiement ne ferait l unanimité : - Economie de «troc». - On échange des biens et services contre
Plus en détailProgramme de stabilité 2015-2017 Quel impact sur l investissement local?
Le 3 juillet 2014 Programme de stabilité 2015-2017 Quel impact sur l investissement local? Guy Gilbert * et Alain Guengant ** Les résultats qui suivent sont obtenus sous l hypothèse que les comportements
Plus en détailL activité financière des sociétes d assurances
L activité financière des sociétes d assurances Les marchés boursiers ont repris au cours de l année 2003. Par conséquent, les plus-values latentes sur actifs des sociétés d assurances augmentent. Les
Plus en détailBANQUE CENTRALE EUROPÉENNE COMMUNIQUÉ DE PRESSE
Paris, le 20 avril 2015 BANQUE CENTRALE EUROPÉENNE COMMUNIQUÉ DE PRESSE STATISTIQUES RELATIVES AUX FONDS D INVESTISSEMENT DE LA ZONE EURO FÉVRIER 2015 En février 2015, l encours de parts émises par les
Plus en détailINTERROGATION ECRITE N 3 PFEG INTERROGATION ECRITE N 3 PFEG
Q1 - Quelle est la différence entre une banque de détail et une banque de gros ou universelle? Une banque de détail reçoit des dépôts de ses clients et leur accorde des crédits. Elle se limite aux métiers
Plus en détailUNION MONETAIRE OUEST AFRICAINE BANQUE CENTRALE DES ETATS DE L'AFRIQUE DE L'OUEST
UNION MONETAIRE OUEST AFRICAINE BANQUE CENTRALE DES ETATS DE L'AFRIQUE DE L'OUEST DISPOSITIF PRUDENTIEL APPLICABLE AUX BANQUES ET AUX ETABLISSEMENTS FINANCIERS DE L UNION MONETAIRE OUEST AFRICAINE (UMOA)
Plus en détailInstitut des comptes nationaux. Statistique du commerce extérieur. Bulletin mensuel 2015-01
Institut des comptes nationaux Statistique du commerce extérieur Bulletin mensuel 2015-01 Contenu de la publication Les règlements européens cités dans la notice méthodologique en fin de publication prescrivent
Plus en détailLES COMPTES ANNUELS DE LA BCE
LES COMPTES ANNUELS DE LA TABLE DES MATIÈRES BILAN Page 3 COMPTE DE RÉSULTAT Page 5 LES RÈGLES ET MÉTHODES COMPTABLES Page 6 ANNEXE AU BILAN Page 18 ANNEXE AU COMPTE DE RÉSULTAT Page 45 BILAN AU 31 DÉCEMBRE
Plus en détailinstruments de paiement échangés à travers les circuits bancaires
instruments de paiement échangés à travers les circuits bancaires Statistiques arrêtées à fin 2013 SOMMAIRE PRÉAMBULE 5 Partie I : Evolution des paiements de masse 6 I. Echanges EN INTERbancaire 7 1.
Plus en détailLE COMMERCE EXTÉRIEUR CHINOIS DEPUIS LA CRISE: QUEL RÉÉQUILIBRAGE?
LE COMMERCE EXTÉRIEUR CHINOIS DEPUIS LA CRISE: QUEL RÉÉQUILIBRAGE? Françoise Lemoine & Deniz Ünal CEPII Quel impact de l expansion chinoise sur l économie mondiale? Rencontres économiques, 18 septembre
Plus en détailTarif des principales opérations sur titres
Tarif des principales opérations sur titres 01 janvier 2015 Ordres Euronext... 2 Bourse étrangère... 3 Euro-obligations... 4 Fonds de placement KBC (1)... 4 Produits d investissement KBC émis par KBC AM...
Plus en détailREGLEMENT N 07/2006/CM/UEMOA PORTANT ADOPTION DES MODALITES DE CALCUL DU SOLDE BUDGETAIRE DE BASE CORRIGE DES RESSOURCES PPTE ET DES DONS BUDGETAIRES
UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE ------------------------- LE CONSEIL DES MINISTRES REGLEMENT N 07/2006/CM/UEMOA PORTANT ADOPTION DES MODALITES DE CALCUL DU SOLDE BUDGETAIRE DE BASE CORRIGE
Plus en détailLe commerce extérieur de la Suisse en 2013
Le commerce extérieur de la Suisse en 2013 Résumé L excédent commercial suisse affiche un nouveau record en 2013, à 26,6 Mds CHF (environ 4,5% du PIB). Recevant près de 55% des exportations suisses, l
Plus en détailLa Banque de France. 1- Les activités de la Banque de France p. 3. 2- Le système européen de banques centrales (SEBC) p. 4
La Banque de France Sommaire 1- Les activités de la Banque de France p. 3 2- Le système européen de banques centrales (SEBC) p. 4 3- Les activités de la Banque et son organisation territoriale p. 5 4-
Plus en détailTD n 1 : la Balance des Paiements
TD n 1 : la Balance des Paiements 1 - Principes d enregistrement L objet de la Balance des Paiements est de comptabiliser les différentes transactions entre résidents et non-résidents au cours d une année.
Plus en détailLe revenu et le pouvoir d achat
Le revenu et le pouvoir d achat Le revenu & le pouvoir d achat Le revenu d une personne est la somme d argent perçue en contrepartie du travail fourni, de ses placements, d un service rendu ou d une situation
Plus en détailLes bases de la comptabilité une leçon pour comprendre les grands principes comptables
Les bases de la comptabilité une leçon pour comprendre les grands principes comptables Dans cette leçon, vous allez découvrir les principes fondamentaux de la comptabilité, et visualiser les incidences
Plus en détailalpha sélection est une alternative à un placement risqué en actions et présente un risque de perte en capital, en cours de vie et à l échéance.
alpha sélection alpha sélection est une alternative à un placement risqué en actions et présente un risque de perte en capital, en cours de vie et à l échéance. Instrument financier émis par Natixis (Moody
Plus en détail- - Créances sur les établissements de crédit et. chèques postaux
BILAN AU 31 DÉCEMBRE 2005 ACTIF DEC 2005 DEC 2004 PASSIF DEC 2005 DEC 2004 Valeurs en caisse,banques centrales, Trésor public, Banques centrales, Trésor public, Servicesdes 197 427 113 253 Service des
Plus en détailQUEL RÔLE POUR LE FMI DANS LE NOUVEL ORDRE ÉCONOMIQUE MONDIAL?
QUEL RÔLE POUR LE FMI DANS LE NOUVEL ORDRE ÉCONOMIQUE MONDIAL? Clément ANNE, clem.anne@hotmail.fr Doctorant, Ecole d Economie de Clermont-Ferrand, CERDI 18/03/2015, Assises Régionales de l économie EN
Plus en détailLES BRIC: AU DELÀ DES TURBULENCES. Françoise Lemoine, Deniz Ünal Conférence-débat CEPII, L économie mondiale 2014, Paris, 11 septembre 2013
LES BRIC: AU DELÀ DES TURBULENCES 1. Facteurs structurels du ralentissement de la croissance dans les BRIC 2. Interdépendances commerciales entre les BRIC et le reste du monde Françoise Lemoine, Deniz
Plus en détailSemaine de la finance pour les enfants et les jeunes Journées portes ouvertes du 10 au 14 mars 2014
Semaine de la finance pour les enfants et les jeunes Journées portes ouvertes du 10 au 14 mars 2014 La monnaie Les moyens de paiement La banque La bourse Qui protège l épargne et les dépôts du public dans
Plus en détail