ANÉMIE INFECTIEUSE DES ÉQUIDES
|
|
- Émile Robillard
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 CHAPITRE ANÉMIE INFECTIEUSE DES ÉQUIDES RÉSUMÉ L anémie infectieuse des Equidés (AIE) est due à un lentivirus. Elle peut être diagnostiquée sur la base des signes cliniques, des lésions et de la sérologie. Les chevaux infectés demeurent porteurs du virus pendant toute leur vie et fournissent une réponse sérologique positive. Habituellement, les anticorps demeurent présents et les animaux à réponse positive, de plus de 6 mois, sont des porteurs de virus (chez les animaux plus jeunes, une réponse sérologique positive peut être due à des anticorps d origine maternelle). Ils sont potentiellement capables de transmettre le virus à d autres chevaux. Identification de l agent pathogène : à partir d un cheval, le virus peut être isolé par inoculation de sang suspect à un cheval indemne ou à une culture de leucocytes préparée à partir d un cheval indemne. La reconnaissance de l infection chez des chevaux ayant reçu une inoculation expérimentale peut être faite sur la base des signes cliniques, des modifications hématologiques et d une réponse sérologique positive à l épreuve d immunodiffusion en gélose (IDG) ou au dosage immuno-enzymatique (ELISA). L isolement du virus en culture de leucocytes de cheval peut être confirmée par la mise en évidence d antigène spécifique de l AIE par immunofluorescence, par réaction d amplification en chaîne par polymérase (PCR), par essai de transcriptase inverse ou par inoculation du liquide de culture à des chevaux indemnes. La mise en évidence du virus est rarement faite à cause du temps nécessaire, des difficultés et du coût. Épreuves sérologiques : les épreuves d IDG et ELISA sont simples et fiables pour l identification de l infection par le virus de l AIE. Une réponse sérologique positive en ELISA doit être confirmée par l épreuve d IDG. L antigène précipitant peut être préparé à partir de cultures tissulaires infectées ou en utilisant de l ADN recombinant. Spécifications applicables aux vaccins et aux produits biologiques à usage diagnostique : aucun produit biologique n est actuellement disponible. A. INTRODUCTION L anémie infectieuse des Equidés (AIE) sévit dans le monde entier. L infection est limitée aux équidés. La maladie est caractérisée par des crises fébriles récurrentes, une thrombocytopénie, de l anémie, une perte rapide de poids et un œdème des parties déclives ; elle a tendance à devenir inapparente si la mort ne résulte pas d une crise. La période d incubation est normalement de 1 à 3 semaines, mais peut atteindre 3 mois. Dans les cas aigus, les nœuds lymphatiques, la rate et le foie sont congestionnés et hypertrophiés. L hypertrophie de la rate peut être perçue par exploration rectale. A l examen microscopique, ces organes sont infiltrés par des groupes de lymphocytes immatures et de plasmocytes. Dans le foie, les cellules de Kupffer contiennent des hématies ou de l hémosidérine. Le sang d un cheval infecté par le virus de l AIE demeure infectieux pendant toute sa vie. Ceci signifie que le cheval est porteur virémique et peut en principe transmettre l infection à d autres chevaux (4). La transmission se fait par transfert de sang à partir d un cheval infecté. Dans les conditions naturelles, elle se fait, le plus souvent, à l occasion de repas sanguin interrompu de Tabanidés sur un cheval cliniquement atteint, poursuivi sur un cheval indemne, ou par l intermédiaire d aiguilles souillées. Le titre de la virémie est beaucoup plus élevé chez les chevaux cliniquement atteints et, par suite, le risque de transmission est beaucoup plus important à partir de ces animaux qu à partir des porteurs de virus en état d infection latente dont le titre virémique est plus faible. L infection du fœtus in utero peut également survenir (8). 754 Manuel terrestre de l OIE 2005
2 B. TECHNIQUES DE DIAGNOSTIC Les épreuves d immunodiffusion en gélose (IDG) (7) et immuno-enzymatiques (ELISA) (15) sont fiables pour l identification de l AIE chez les chevaux, sauf au début de l infection d un animal et chez les poulains nés de mère infectée. Dans de rares autres circonstances, une réponse faussement négative peut survenir, par exemple lorsque le titre de la virémie au cours d une crise est suffisant pour se combiner aux anticorps circulants ou lorsque le titre des anticorps demeure insuffisant pour être détecté pendant une longue période (16). L ELISA permet de détecter des titres en anticorps plus faibles que l IDG et fournit un résultat positif plus précocement, mais tout résultat positif en ELISA doit être confirmé par IDG, à cause de résultats faussement positifs qui sont parfois rencontrés avec l ELISA. L IDG a également l avantage de permettre la distinction entre les lignes de précipité spécifique d AIE et celles d autres antigènes. Le virus de l AIE est un lentivirus, une sous famille des Retroviridae qui comprend également les virus visna-maedi, de l arthrite encéphalite caprine, de l immunodéficience bovine et de l immunodéficience humaine. La comparaison des séquences des acides nucléiques a montré l existence d une grande analogie entre ces virus. 1. Identification de l agent pathogène L isolement du virus n est habituellement pas nécessaire pour faire le diagnostic. L isolement du virus à partir d un cheval suspect peut se faire par inoculation du sang à des cultures de leucocytes préparées à partir de chevaux indemnes. La présence du virus en culture peut être confirmée par détection de l antigène AIE par ELISA (14), par immunofluorescence (18) ou par inoculation à des chevaux indemnes. L isolement viral est rarement employé à cause des difficultés d obtention de cultures de leucocytes équins. Un dosage par une réaction d amplification en chaîne par polymérase (PCR) nichée pour détecter le pro virus de l AIE dans le sang périphérique de chevaux a été décrit (12). Lorsque le statut infectieux d un cheval ne peut pas être déterminé clairement, on peut avoir recours à l inoculation du sang de l animal suspect à un cheval indemne. Dans ce cas, on utilise un cheval fournissant une réponse sérologique négative et après l injection, on suit son statut sérologique et son état clinique pendant au moins 45 jours. Habituellement, 1 à 25 ml de sang injectés immédiatement par voie veineuse sont suffisants pour révéler l infection, mais dans de rares cas il peut être nécessaire d utiliser un volume supérieur de sang (250 ml) ou de leucocytes lavés provenant d un tel volume (5). 2. Épreuves sérologiques En raison de la persistance du virus de l AIE chez les équidés infectés, une réponse sérologique positive confirme l infection d un sujet par le virus de l AIE. a) Épreuve d immunodiffusion en gélose (épreuve prescrite pour les échanges internationaux) Lors d infection par le virus de l AIE, des anticorps précipitants sont rapidement produits et peuvent être détectés par l épreuve d IDG. Une réaction spécifique est attestée par la formation d une ligne de précipité entre l antigène AIE et le sérum testé et elle est confirmée par son identité avec la ligne de précipité apparaissant entre l antigène et le sérum positif de référence. Au cours des 2 à 3 semaines suivant l infection, les chevaux fournissent habituellement une réponse sérologique négative. Dans de rares cas, le délai d apparition des anticorps après l infection peut aller jusqu à 60 jours. Plusieurs compagnies fournissent les réactifs pour l épreuve d IDG. Par ailleurs, l antigène pour IDG et le sérum de référence peuvent être préparés comme décrit ci-dessous. Préparation de l antigène L antigène spécifique de l AIE peut être préparé à partir de la rate d un cheval infecté de façon aiguë (6), de culture cellulaire équine infectée (10), d une lignée cellulaire de thymus canin infectée de façon persistante (3) ou des protéines exprimées par des bactéries ou des baculovirus en utilisant la technique de l ADN recombinant (2, 9). La préparation à partir de cultures infectées ou par une technique d ADN recombinant donne un résultat plus régulier que les rates infectées et permet une meilleure standardisation des réactifs. Pour obtenir un antigène satisfaisant à partir de la rate, un cheval doit être infecté avec une souche très virulente du virus de l AIE La période d incubation doit être de 5 à 7 jours et la rate doit être prélevée au 9 e jour, quand le titre viral est maximal et avant l apparition des anticorps précipitants. La pulpe splénique Manuel terrestre de l OIE
3 non diluée est utilisée comme antigène (6). L extraction d antigène à partir de la rate avec une solution saline et la concentration avec du sulfate d ammonium ne fournissent pas un antigène aussi bon que la sélection d une rate ayant un très haut titre en antigène AIE Autrement, on peut infecter des cellules rénales de fœtus de cheval, des cellules dermiques ou des cellules de thymus de chien avec une souche de virus de l AIE adaptée à la culture cellulaire (American Type Culture Collection). Le virus est récolté des cellules par précipitation avec une solution de 8 p. cent de polyéthylène glycol ou par ultracentrifugation. L antigène de diagnostic, p26, est récupéré du virus par traitement avec un détergent ou l éther (10). Les protéines virales de l AIE exprimées par des bactéries ou un baculovirus sont disponibles dans le commerce et sont utilisables comme antigène de grande qualité pour le diagnostic sérologique. La p26 est une protéine structurale interne du virus codée par le gène gag. Au sein des souches de virus de l AIE, la p26 est plus stable que les glycoprotéines gp45 et gp90 (11). On a décrit des variations mineures dans la séquence des acides aminés de p26 en fonction de la souche ; cependant, ceci ne gène pas les épreuves de diagnostic (19). Préparation du sérum positif de référence Un sérum positif peut être récolté chez un cheval infecté par le virus de l AIE Ce sérum doit fournir une ligne dense de précipité spécifique de l AIE, comme le démontre une réaction d identité avec un sérum de référence connu. Il est important d équilibrer les concentrations de l antigène et de l anticorps afin d obtenir une sensibilité optimale de l épreuve. Ces concentrations doivent être ajustées de façon à obtenir une ligne étroite de précipité située approximativement à égale distance des puits contenant l antigène et le sérum. Protocole (1, 6, 13) i) Les réactions d immunodiffusion sont effectuées dans de la gélose en boîtes de Petri. Pour des boîtes de Petri de 100 mm de diamètre, on utilise 15 à 17 ml de gélose Noble à 1 %. Six puits de même diamètre sont creusés dans la couche de gélose, 1 central et 6 périphériques. Les puits ont 5,3 mm de diamètre et sont distants de 2,4 mm. Chaque puits doit contenir le même volume de réactif. ii) iii) iv) L antigène est placé dans le puits central et le sérum positif de référence en alternance dans les puits périphériques. Les sérums à tester sont placés dans les 3 puits restants. Les boîtes sont conservées à température du laboratoire en atmosphère humide. Après 24 à 48 h, les réactions de précipitation sont examinées à l aide d un éclairage donnant un faisceau étroit de lumière intense oblique, sur un fond noir. Les lignes de précipité de référence doivent être clairement visibles à 24 h, et à ce moment tout sérum fortement positif peut également avoir produit une ligne de précipité montrant une réaction d identité avec celle située devant les réactifs de référence. Une réaction faiblement positive peut demander 48 h pour être visible et ne se traduit que par une légère inflexion de la ligne de précipité de référence du puits voisin. Un sérum contenant beaucoup d anticorps précipitants peut former une ligne large et floue. Une telle réaction peut être confirmée comme spécifique de l AIE en retestant le sérum après dilution au 1/2 et au 1/4 ; ces dilutions donnent une ligne de précipité mieux visible dans la réaction d identité. Les sérums dépourvus d anticorps de l AIE ne forment pas de ligne de précipité et n ont pas d effet sur les lignes de précipité de référence des puits voisins. v) Interprétation des résultats. Des chevaux en début d infection peuvent fournir une réponse négative à l épreuve d IDG. Le sérum de tels animaux devra être testé de nouveau 3 à 4 semaines plus tard. Pour effectuer un diagnostic chez un poulain, il est nécessaire de déterminer le statut sérologique de sa mère. Si la mère transmet des anticorps de l AIE à son poulain par le colostrum, une période de 6 mois après la naissance, voire davantage, peut être nécessaire pour l élimination des anticorps maternels. Un contrôle sérologique mensuel du poulain peut être utile pour constater une diminution des anticorps maternels. Pour conclure que le poulain n est pas infecté, il faut obtenir un résultat négatif (après la réponse positive initiale) au moins 2 mois après la séparation du poulain d avec sa mère infectée ou de tout autre cheval infecté. b) Épreuve immuno-enzymatique Trois ELISA ont été agréés par le Département de l agriculture des États-Unis d Amérique pour le diagnostic de l AIE et sont disponibles au plan international : un ELISA de compétition et 2 autres ELISA (sans compétition). L ELISA de compétition et un autre ELISA détectent les anticorps produits par la protéine p26. Le troisième ELISA utilise à la fois l antigène p26 et l antigène gp45 (protéine virale transmembranaire). Les protocoles classiques ELISA sont utilisés pour ces 3 tests. Lorsque le matériel ELISA commercial n est pas disponible, on peut utiliser de l antigène p26 provenant de culture cellulaire (14). 756 Manuel terrestre de l OIE 2005
4 Tout sérum ayant fourni une réponse ELISA positive doit être étudié par IDG afin de confirmer le diagnostic, car quelques réponses faussement positives ont été obtenues en ELISA. Le résultat positif peut également être confirmé par immunoblot. Un sérum étalon international, qui contient la quantité minimale d anticorps devant être détectée par les laboratoires, est disponible auprès de Laboratoires de référence de l OIE (se reporter à la liste dans la partie 3 de ce Manuel terrestre). Des méthodes uniformes de lutte contre l AIE ont été publiées (17). C. SPÉCIFICATIONS APPLICABLES AUX VACCINS ET AUX PRODUITS BIOLOGIQUES À USAGE DIAGNOSTIQUE Aucun produit biologique n est actuellement disponible pour l AIE. RÉFÉRENCES BIBLIOGRAPHIQUES 1. ASSOCIATION FRANÇAISE DE NORMALISATION (AFNOR) (2000). Animal Health Analysis Methods. Detection of Antibodies against Equine Infectious Anaemia by the Agar Gel Immunodiffusion Test. NF U AFNOR, 11 avenue Francis de Pressensé, Saint-Denis La Plaine Cedex, France. 2. ARCHAMBAULT D., WANG Z., LACAL J.C., GAZIT A., YANIV A., DAHLBERG J.E. & TRONICK S.R. (1989). Development of an enzyme-linked immunosorbent assay for equine infectious anaemia virus detection using recombinant Pr55gag. J. Clin. Microbiol., 27, BOUILLANT A.M.P., NELSON K., RUCKERBAUER C.M., SAMAGH B.S. & HARE W.C.D. (1986). The persistent infection of a canine thymus cell line by equine infectious anaemia virus and preliminary data on the production of viral antigens. J. Virol. Methods, 13, CHEEVERS W.M. & MCGUIRE T.C. (1985). Equine infectious anaemia virus; immunopathogenesis and persistence. Rev. Infect. Dis., 7, COGGINS L. & KEMEN M.J. (1976). Inapparent carriers of equine infectious anaemia (EIA) virus. In: Proceedings of the IVth International Conference on Equine Infectious Diseases. University of Kentucky, Lexington, Kentucky, USA, COGGINS L., NORCROSS N.L. & KEMEN M.J. (1973). The technique and application of the immunodiffusion test for equine infectious anaemia. Equine Infect. Dis., III, COGGINS L., NORCROSS N.L. & NUSBAUM S.R. (1972). Diagnosis of equine infectious anaemia by immunodiffusion test. Am. J. Vet. Res., 33, KEMEN M.J. & COGGINS L. (1972). Equine infectious anaemia: transmission from infected mares to foals. J. Am. Vet. Med. Assoc., 161, KONG X. K., PANG H., SUGIURA T., SENTSUI H., ONODERA T., MATSUMOTO Y. & AKASHI H. (1997). Application of equine infectious anaemia virus core proteins produced in a Baculovirus expression system, to serological diagnosis. Microbiol. Immunol., 41, MALMQUIST W.A., BARNETT D. & BECVAR C.S. (1973). Production of equine infectious anaemia antigen in a persistently infected cell line. Arch. Gesamte Virusforsch., 42, MONTELARO R.C., PAREKH B., ORREGO A. & ISSEL C.J. (1984). Antigenic variation during persistent infection by equine infectious anaemia, a retrovirus. J. Biol. Chem., 16, NAGARAJAN M.M. & SIMARD C. (2001). Detection of horses infected naturally with equine infectious anemia virus by nested polymerase chain reaction. J. Virol. Methods, 94, PEARSON J.E. & COGGINS L. (1979). Protocol for the immunodiffusion (Coggins) test for equine infectious anaemia. Proc. Am. Assoc. Vet. Lab. Diagnosticians, 22, SHANE B.S., ISSEL C.J. & MONTELARO R.C. (1984). Enzyme-linked immunosorbent assay for detection of equine infectious anemia virus p26 antigen and antibody. J. Clin. Microbiol., 19, Manuel terrestre de l OIE
5 15. SUZUKI T., UEDA S. & SAMEJINA T. (1982). Enzyme-linked immunosorbent assay for diagnosis of equine infectious anaemia. Vet. Microbiol., 7, TOMA B. (1980). Réponse sérologique négative persistante chez une jument infectée. Rec. Med. Vet., 156, UNITED STATES DEPARTMENT OF AGRICULTURE ANIMAL AND PLANT HEALTH INSPECTION SERVICE (2002). Equine Infectious Anemia Uniform Methods and Rules WEILAND F., MATHEKA H.D. & BOHM H.O. (1982). Equine infectious anaemia: detection of antibodies using an immunofluorescence test. Res. Vet. Sci., 33, ZHANG W., AUYONG D.B., OAKS J.L. & MCGUIRE T.C. (1999). Natural variation of equine infectious anemia virus Gag-protein cytotoxic T lymphocyte epitopes. Virology, 261, * * * NB : Il existe plusieurs Laboratoires de référence de l OIE pour l anémie infectieuse des équidés (se reporter à la liste de la partie 3 de ce Manuel terrestre ou consulter le site internet de l OIE pour une liste actualisée : Manuel terrestre de l OIE 2005
TEST ELISA (ENZYME-LINKED IMMUNOSORBENT ASSEY)
TEST ELISA (ENZYME-LINKED IMMUNOSORBENT ASSEY) Lise Vézina, technicienne de laboratoire Michel Lacroix, agronome-phytopathologiste Direction de l innovation scientifique et technologique Au Laboratoire
Plus en détailTEST DE DÉTECTION DE LA PRODUCTION D INTERFÉRON γ POUR LE DIAGNOSTIC DES INFECTIONS TUBERCULEUSES
TEST DE DÉTECTION DE LA PRODUCTION D INTERFÉRON γ POUR LE DIAGNOSTIC DES INFECTIONS TUBERCULEUSES Classement NABM : non inscrit code : non codé DÉCEMBRE 2006 Service évaluation des actes professionnels
Plus en détailTuberculose bovine. Situation actuelle
Tuberculose bovine Situation actuelle 21 mai 2013 Dr G. Peduto Vétérinaire cantonal Service de la consommation et des affaires vétérinaires 1 Tuberculose bovine La Suisse est indemne depuis 1959 Dernier
Plus en détailLa lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002.
Le diagnostic de la tuberculose bovine La lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002. 1. Tuberculination Dans la première phase d une infection de tuberculose bovine (Mycobacterium
Plus en détailwww.gbo.com/bioscience 1 Culture Cellulaire Microplaques 2 HTS- 3 Immunologie/ HLA 4 Microbiologie/ Bactériologie Containers 5 Tubes/ 6 Pipetage
2 HTS 3 Immunologie / Immunologie Informations Techniques 3 I 2 ELISA 96 Puits 3 I 4 ELISA 96 Puits en Barrettes 3 I 6 en Barrettes de 8 Puits 3 I 7 en Barrettes de 12 Puits 3 I 8 en Barrettes de 16 Puits
Plus en détailCONTROVERSE : IDR OU QUANTIFERON LORS D'UN CONTAGE EN EHPAD?
CONTROVERSE : IDR OU QUANTIFERON LORS D'UN CONTAGE EN EHPAD? Hélène MANGEARD François MALADRY Tuberculose : infection mycobactérienne Infection mycobactérienne chronique (M. Tuberculosis ++ ou bacille
Plus en détailAnnales du Contrôle National de Qualité des Analyses de Biologie Médicale
Annales du Contrôle National de Qualité des Analyses de Biologie Médicale ARN du virus de l hépatite C : ARN-VHC ARN-VHC 03VHC1 Novembre 2003 Edité : mars 2006 Annales ARN-VHC 03VHC1 1 / 8 ARN-VHC 03VHC1
Plus en détailANTICORPS POLYCLONAUX ANTI IMMUNOGLOBULINES
L OUTIL IDEAL POUR TOUTES LES DETECTIONS IMMUNOCHIMIQUES pour toutes les techniques immunodosages (EIA/ELISA) dot/ westernblot immunohistochimie immunocytochimie cytométrie en flux quel que soit le système
Plus en détailDiagnostic des Hépatites virales B et C. P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux
Diagnostic des Hépatites virales B et C P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux Diagnostic VHC Dépistage: pourquoi? Maladie fréquente (Ac anti VHC chez 0,84% de la population soit 367 055
Plus en détailEXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410
EXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410 EXERCICE 1 PAGE 406 : EXPERIENCES A INTERPRETER Question : rôles respectifs du thymus et de la moelle osseuse dans la production des lymphocytes.
Plus en détailTP3 Test immunologique et spécificité anticorps - déterminant antigénique
TP3 Test immunologique et spécificité anticorps - déterminant antigénique Partie 1 : Spécificité d'un anticorps pour un déterminant antigénique du VIH La séropositivité pour le VIH correspond à la présence
Plus en détailIMMUNOLOGIE. La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T. Informations scientifiques
IMMUNOLOGIE La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T Informations scientifiques L infection par le VIH entraîne des réactions immunitaires de l organisme qui se traduisent par la production
Plus en détail5.5.5 Exemple d un essai immunologique
5.5.5 Exemple d un essai immunologique Test de grossesse Test en forme de bâtonnet destiné à mettre en évidence l'hormone spécifique de la grossesse, la gonadotrophine chorionique humaine (hcg), une glycoprotéine.
Plus en détailHépatite chronique B Moyens thérapeutiques
Hépatite chronique B Moyens thérapeutiques Dr Olfa BAHRI Laboratoire de Virologie Clinique Institut Pasteur de Tunis INTRODUCTION Plus de 300. 10 6 porteurs chroniques de VHB dans le monde Hépatite chronique
Plus en détailDIAGNOSTIC SEROLOGIQUE DE LA SYPHILIS
DIAGNOSTIC SEROLOGIQUE DE LA SYPHILIS A-L. Basse-Guérineau 1,2 et le comité de relecture 3 1 Institut de veille sanitaire ; 2 Laboratoire de virologie, Hôpital Saint-Vincent de Paul, Paris ; 3 N. Dupin
Plus en détailTransfusions sanguines, greffes et transplantations
Transfusions sanguines, greffes et transplantations Chiffres clés en 2008 La greffe d organes est pratiquée depuis plus de 50 ans. 4 620 malades ont été greffés. 1 563 personnes ont été prélevées. 222
Plus en détailL immunoenzymologie. Technique puissante couramment utilisée e en recherche et en diagnostic cificité des anticorps pour leurs nes
L immunoenzymologie Technique puissante couramment utilisée e en recherche et en diagnostic Basée e sur la très s grande spécificit cificité des anticorps pour leurs antigènes nes Test qualitatif Détection
Plus en détailApport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses
Apport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses M-H H BESSIERES,, S. CASSAING, A. BERRY, R. FABRE, J-F.. MAGNAVAL Service de Parasitologie-Mycologie Diagnostic biologique d une d parasitose
Plus en détailTransgene accorde une option de licence exclusive pour le développement et la commercialisation de son produit d immunothérapie TG4010
Parc d Innovation d Illkirch, France, le 10 mars 2010 Transgene accorde une option de licence exclusive pour le développement et la commercialisation de son produit d immunothérapie TG4010 Transgene (Euronext
Plus en détailStreptocoque B :apports des tests en fin de grossesse, nouvelles propositions.
Streptocoque B :apports des tests en fin de grossesse, nouvelles propositions. Exemple d une étude prospective sur la place d un test de détection rapide du SGB. HONORAT Raphaële 1, ASSOULINE Corinne 1,
Plus en détailVue d ensemble : Office of Cellular, Tissue and Gene Therapies
Vue d ensemble : Office of Cellular, Tissue and Gene Therapies DIAPOSITIVE 1 Cette présentation fournit une vue d ensemble de l Office of Cellular, Tissue, and Gene Therapies (bureau des thérapies cellulaires,
Plus en détailParvo B19 IgG-ELISA medac. Français
Parvo B19 IgG-ELISA medac Immunoessai enzymatique pour la détection des anticorps IgG anti Parvovirus B19 Français VP-F-195.070202 FABRICANT medac Gesellschaft für klinische Spezialpräparate mbh Fehlandtstraße
Plus en détailCharges virales basses sous traitement: définition impact virologique. Laurence Bocket Virologie CHRU de Lille
XVIIe Journée Régionale de Pathologie Infectieuse 12 octobre 2010 Charges virales basses sous traitement: définition impact virologique Laurence Bocket Virologie CHRU de Lille conflits d intérêts subventions,
Plus en détailMaster Développement et Immunologie
Master Développement et Immunologie MASTER 2 PROFESSIONNALISANT EN IMMUNOLOGIE Le Master 2 Professionnalisant en Immunologie propose aux étudiants des filières scientifiques et médicales une formation
Plus en détailChapitre III Le phénotype immunitaire au cours de la vie
Chapitre III Le phénotype immunitaire au cours de la vie Le phénotype immunitaire d un individu caractérise sa capacité à répondre, grâce aux effecteurs de l immunité adaptative, aux différents agents
Plus en détailLes OGM. 5 décembre 2008. Nicole Mounier
Les OGM 5 décembre 2008 Nicole Mounier Université Claude Bernard Lyon 1 CGMC, bâtiment Gregor Mendel 43, boulevard du 11 Novembre 1918 69622 Villeurbanne Cedex OGM Organismes Génétiquement Modifiés Transfert
Plus en détailLA PERITONITE INFECTIEUSE FELINE
Marie-Hélène BONNET 8, Avenue de l Amiral Narbonne 111120 Bize Minervois Tél. 04.68.40.61.50 Email : manoirperceval@wanadoo.fr LA PERITONITE INFECTIEUSE FELINE A lire très attentivement, et à faire lire
Plus en détailTEST DE DÉTECTION DE LA PRODUCTION D INTERFÉRON γ POUR LE DIAGNOSTIC DES INFECTIONS TUBERCULEUSES
TEST DE DÉTECTION DE LA PRODUCTION D INTERFÉRON γ POUR LE DIAGNOSTIC DES INFECTIONS TUBERCULEUSES Classement NABM : non inscrit code : non codé DÉCEMBRE 2006 Service évaluation des actes professionnels
Plus en détailHépatite C une maladie silencieuse..
Hépatite C une maladie silencieuse.. F. Bally Centre de Maladies Infectieuses et Epidémiologie Institut Central des Hôpitaux Valaisans Histoire Années 70 Hépatite non-a-non-b = hépatite post-transfusionelle
Plus en détailApport d un nouveau test Interféron Gamma
Apport d un nouveau test Interféron Gamma Dr D. Bonnet Service de maladies infectieuses Bichat Claude bernard Tuberculose 1/3 population mondiale infectée par BK Primo infection asymptomatique 90% des
Plus en détailCritères pour les méthodes de quantification des résidus potentiellement allergéniques de protéines de collage dans le vin (OIV-Oeno 427-2010)
Méthode OIV- -MA-AS315-23 Type de méthode : critères Critères pour les méthodes de quantification des résidus potentiellement allergéniques de protéines de collage (OIV-Oeno 427-2010) 1 Définitions des
Plus en détailTest d immunofluorescence (IF)
Test d immunofluorescence (IF) 1.1 Prélèvement du cerveau et échantillonnage Avant toute manipulation, il est fondamental de s assurer que tout le personnel en contact avec un échantillon suspect soit
Plus en détailMINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES DIRECTION GENERALE DE LA SANTE- DDASS DE SEINE MARITIME
Département des situations d urgence sanitaire Personne chargée du dossier : Evelyne FALIP/Nicole BOHIC Tél : 01 40 56 59 65/02 32 18 31 66 evelyne.falip@sante.gouv.fr MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES
Plus en détailBREVET D ÉTUDES PROFESSIONNELLES AGRICOLES SUJET
SESSION 2010 France métropolitaine Option : élevage canin et félin BREVET D ÉTUDES PROFESSIONNELLES AGRICOLES ÉPREUVE E DU DEUXIÈME GROUPE Durée : 2 heures Matériel(s) et document(s) autorisé(s) : Calculatrice
Plus en détailLES BIOTECHNOLOGIES DANS LE DIAGNOSTIC DES MALADIES INFECTIEUSES ET LE DÉVELOPPEMENT DES VACCINS
CHAPITRE 1.1.7. LES BIOTECHNOLOGIES DANS LE DIAGNOSTIC DES MALADIES INFECTIEUSES ET LE DÉVELOPPEMENT DES VACCINS INTRODUCTION Les méthodes de biologie moléculaire ont de plus en plus d applications dans
Plus en détailLaboratoire de Touraine Page 1
FDK LVD/BIO/SER/943 Recherche d'anticorps contre le Syndrome Buvard(s) Elisa Indirecte Kit Monocupule Idexx FAC LVD/BIO/SER/951 Recherche d'anticorps totaux contre la Maladie Buvard(s) Elisa Indirecte
Plus en détailAnnales du Contrôle National de Qualité des Analyses de Biologie Médicale
Annales du Contrôle National de Qualité des Analyses de Biologie Médicale Anticorps anti-tissus non spécifiques d organe (anticorps anti-mitochondries de type M2) Immuno-pathologie 04ATI2 Janvier 2005
Plus en détailHEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas
HEPATITES VIRALES 22/09/09 Mme Daumas Infectieux Introduction I. Hépatite aigu II. Hépatite chronique III. Les différents types d hépatites A. Hépatite A 1. Prévention de la transmission 2. Vaccination
Plus en détailPolyarthrite rhumatoïde et biologie
Polyarthrite rhumatoïde et biologie Le point de vue de l'immunologiste Sylvain Laboratoire d'immunologie, sdubucquoi@univ univ-lille2. -lille2.fr FR et PR Définition Auto-anticorps anti-fragment Fc des
Plus en détailSommaire de la séquence 8
Sommaire de la séquence 8 Nous avons découvert dans la séquence 7 que les micro-organismes sont présents partout dans notre environnement et qu à la faveur d une lésion, ils sont capables de franchir nos
Plus en détailSeroMP Recombinant IgM
SeroMP Recombinant Trousse pour la détection semi-quantitative par dosage immuno-enzymatique (ELISA) des anticorps anti-mycoplasma pneumoniae dans le sérum humain Notice d emploi Trousse pour 96 déterminations
Plus en détailPremière partie: Restitution + Compréhension (08 points)
Lycée M hamdia Année scolaire : 2011/2012 Prof : Saïd Mounir Date : 17/05/2012 Première partie: Restitution + Compréhension (08 points) EXERCIE N O 1: (4 points) : 1 : a-b 2 : b 3 : a-b 4 : d 5 : d 6 :
Plus en détailFICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION
FICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION Madame, Monsieur, Si votre état de santé nécessite une transfusion sanguine, ce document est destiné à vous informer sur les avantages et les risques de la transfusion,
Plus en détailINFORMATIONS pour le médecin qui contrôle et complète le formulaire
Vaccination des étudiants du Baccalauréat en Médecine de Lausanne INFORMATIONS pour le médecin qui contrôle et complète le formulaire La vaccination du personnel de santé est recommandée par l Office fédéral
Plus en détailRAPID Salmonella/Gélose 356-3961 356-3963 356-4705
356-3961 356-3963 356-4705 DOMAINE D APPLICATION La gélose RAPID Salmonella est un milieu chromogénique utilisé pour la recherche des Salmonella spp. lors de l'analyse des produits d alimentation humaine
Plus en détailDirection des risques biologiques, environnementaux et occupationnels Institut national de santé publique du Québec
AVIS DÉPISTAGE DE L IMMUNITÉ CONTRE LA RUBÉOLE Comité sur l immunisation du Québec Direction des risques biologiques, environnementaux et occupationnels Institut national de santé publique du Québec Juin
Plus en détailItem 127 : Transplantation d'organes
Item 127 : Transplantation d'organes Date de création du document 2008-2009 Table des matières * Introduction... 1 1 Allogreffe de moelle ou de cellules souches...1 2 Transplantation d'organes... 2 3 Diagnostic...3
Plus en détailTITRE : On est tous séropositif!
PRÉPARER UNE «SITUATION COMPLEXE DISCIPLINAIRE», SITUATION D APPRENTISSAGE ET/OU D ÉVALUATION TITRE : On est tous séropositif! classe : 3 ème durée : 30 min I - Choisir des objectifs dans les textes officiels.
Plus en détail+ Questions et réponses
HÉPATITE B L hépatite B c est quoi? L hépatite B est un type de maladie du foie causée par le virus de l hépatite B, une des formes les plus courantes de l hépatite virale (les autres sont le virus de
Plus en détailKIT ELISA dosage immunologique anti-bsa REF : ELISA A RECEPTION DU COLIS : Vérifier la composition du colis indiquée ci-dessous en pages 1 et 2
KIT ELISA dosage immunologique anti-bsa REF : ELISA : 0033 (0)169922672 : 0033 (0)169922674 : www.sordalab.com @ : sordalab@wanadoo.fr A RECEPTION DU COLIS : Vérifier la composition du colis indiquée ci-dessous
Plus en détailBiochimie I. Extraction et quantification de l hexokinase dans Saccharomyces cerevisiae 1. Assistants : Tatjana Schwabe Marcy Taylor Gisèle Dewhurst
Biochimie I Extraction et quantification de l hexokinase dans Saccharomyces cerevisiae 1 Daniel Abegg Sarah Bayat Alexandra Belfanti Assistants : Tatjana Schwabe Marcy Taylor Gisèle Dewhurst Laboratoire
Plus en détailLa Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène
1 La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène Document rédigé par l équipe pluridisciplinaire du centre de référence pour les maladies cardiaques héréditaires (Paris), en collaboration avec des patients
Plus en détailDevenir des soignants non-répondeurs à la vaccination anti-vhb. Dominique Abiteboul - GERES Jean-François Gehanno Michel Branger
Devenir des soignants non-répondeurs à la vaccination anti-vhb Dominique Abiteboul - GERES Jean-François Gehanno Michel Branger Contexte Hépatite B = risque professionnel pour les soignants Passé futur
Plus en détailLe don de moelle osseuse :
DON DE MOELLE OSSEUSE Le don de moelle osseuse : se décider aujourd hui, s engager pour longtemps LA MOELLE OSSEUSE ET SA GREFFE La moelle osseuse C est le tissu mou dans le centre du corps des os qui
Plus en détailL AUTOGREFFE QUELQUES EXPLICATIONS
L AUTOGREFFE QUELQUES EXPLICATIONS Le traitement de votre maladie nécessite une Chimiothérapie intensive. Cette chimiothérapie qui utilise de fortes doses de médicaments antimitotiques est plus efficace
Plus en détailF.Benabadji Alger 22.11.13
F.Benabadji Alger 22.11.13 ALLERGIE DANS LE MONDE 4ÉME RANG MONDIAL (OMS) PROBLÈME DE SANTÉ PUBLIQUE LES CAUSES Notre environnement (industriel, technologique, scientifique et climatique) * Allergènes
Plus en détailQUESTIONS FREQUEMMENT POSEES AUX EXPERTS DU SERVICE TELEPHONE VERT SIDA (800861061) ISTITUTO SUPERIORE DI SANITA
QUESTIONS FREQUEMMENT POSEES AUX EXPERTS DU SERVICE TELEPHONE VERT SIDA (800861061) ISTITUTO SUPERIORE DI SANITA INFORMATIONS SUR LE TEST DE DEPISTAGE Q. Quels examens médicaux doit-on faire pour détecter
Plus en détailAGREGATION DE BIOCHIMIE GENIE BIOLOGIQUE
AGREGATION DE BIOCHIMIE GENIE BIOLOGIQUE CONCOURS EXTERNE Session 2005 TRAVAUX PRATIQUES DE BIOCHIMIE PHYSIOLOGIE ALCOOL ET FOIE L éthanol, psychotrope puissant, est absorbé passivement dans l intestin
Plus en détailSérodiagnostic de la polyarthrite rhumatoïde
1 ETSL Sérodiagnostic de la polyarthrite rhumatoïde TP 1 GABIN-GAUTHIER 13/11/2009 I. LA MALADIE... 2 II. TECHNIQUES QUALITATIVES... 2 1. PRINCIPE... 2 2. MODE OPERATOIRE... 3 2.1. WRST ou Waaler Rose
Plus en détailInnovations thérapeutiques en transplantation
Innovations thérapeutiques en transplantation 3èmes Assises de transplantation pulmonaire de la région Est Le 16 octobre 2010 Dr Armelle Schuller CHU Strasbourg Etat des lieux en transplantation : 2010
Plus en détailGénétique et génomique Pierre Martin
Génétique et génomique Pierre Martin Principe de la sélections Repérage des animaux intéressants X Accouplements Programmés Sélection des meilleurs mâles pour la diffusion Index diffusés Indexation simultanée
Plus en détailLD-P PRINCIPE ECHANTILLON. Coffret référence 442660. REVISION ANNUELLE Date. Date APPLICATION
Systèmes SYNCHRON CX Mode d emploi Copyright 2007 Beckman Coulter, Inc. Lactate déshydrogénase Coffret référence 442660 Pour utilisation diagnostique in vitro REVISION ANNUELLE Revu par : Date Revu par
Plus en détailLymphome non hodgkinien
Lymphome non hodgkinien Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca LYMPHOME NON HODGKINIEN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du cancer presque
Plus en détailANNEXE I RÉSUMÉ DES CARACTÉRISTIQUES DU PRODUIT
ANNEXE I RÉSUMÉ DES CARACTÉRISTIQUES DU PRODUIT 1 1. DÉNOMINATION DU MÉDICAMENT VÉTÉRINAIRE Equip WNV - émulsion injectable pour chevaux 2. COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE Chaque dose de 1 ml contient:
Plus en détailMAB Solut. vos projets. MABLife Génopole Campus 1 5 rue Henri Desbruères 91030 Evry Cedex. www.mabsolut.com. intervient à chaque étape de
Mabsolut-DEF-HI:Mise en page 1 17/11/11 17:45 Page1 le département prestataire de services de MABLife de la conception à la validation MAB Solut intervient à chaque étape de vos projets Création d anticorps
Plus en détailTUBERCULOSE Nouveautés 2009
TUBERCULOSE Nouveautés 2009 Dr Grégoire Gex Rencontres Genevoises de Pneumologie Avril 2010 Introduction 6044 articles dans PubMed avec Tuberculose dans titre en 2009 Stratégie de recherche : Sélections
Plus en détailDes déficiences présentes
Des déficiences présentes Comment se fait-il que dans certains cas, le système immunitaire ne fonctionne pas convenablement? Problèmes : 1. Pourquoi certains enfants sont-ils mis sous bulle plastique?
Plus en détailTECHNIQUES D AVENIR LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING
TECHNIQUES D AVENIR Jonathan LONDNER, Aurélie HAUTIER Centre Régional de Traitement des Grands Brûlés Service de chirurgie Plastique, Hôpital de la Conception, Marseille. DIAGNOSTIC DÉTERSION BOURGEONNEMENT
Plus en détailSystème d autorisation de mise en circulation de lots du CBER : vue d ensemble du processus actuel
Système d autorisation de mise en circulation de lots du CBER : vue d ensemble du processus actuel DIAPOSITIVE 1 Cette présentation a trait au système d autorisation de mise en circulation de lots du CBER.
Plus en détailLES ACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL Prise en charge & Prévention
LES ACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL Prise en charge & Prévention Evaluation du risque après AEV Selon le type d'accident Virus Percutanée Cutanéomuqueux Morsure VHB 2 à 40% >HCV>VIH Documentée VHC
Plus en détailLISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B
LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B Actualisation février 2009 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailLes Maladies Tropicales, la Société de Pathologie Exotique. et l Institut Pasteur
Les Maladies Tropicales, la Société de Pathologie Exotique et l Institut Pasteur Un partenariat qui a bien plus de 100 ans Beaucoup des grands noms de la recherche française sur les maladies tropicales
Plus en détailSymposium des Société Française d Angéiologie (SFA) et Société Francophone de Médecine Sexuelle (SFMS), Paris, Journées internationales Francophones
Symposium des Société Française d Angéiologie (SFA) et Société Francophone de Médecine Sexuelle (SFMS), Paris, Journées internationales Francophones d Angéiologie 8 Janvier 2010 Historique 1550 Falloppio
Plus en détailCytokines & Chimiokines
Cytokines & Chimiokines I. (D après Förster, R. et al. (1999) Cell 99:23) Dans le but d étudier la régulation de la circulation des leucocytes dans l organisme, des souris déficientes pour le récepteur
Plus en détailDétection et prise en charge de la résistance aux antirétroviraux
Détection et prise en charge de la résistance aux antirétroviraux Jean Ruelle, PhD AIDS Reference Laboratory, UCLouvain, Bruxelles Corata 2011, Namur, 10 juin 2011 Laboratoires de référence SIDA (Belgique)
Plus en détail25 février 2005 Vol. 18 N o 8. Sommaire
ISSN 1012-5310 25 février 2005 Vol. 18 N o 8 Sommaire Stomatite vésiculeuse en Bolivie 67 Influenza aviaire hautement pathogène en Thaïlande : rapport de suivi nº 46 69 Influenza aviaire hautement pathogène
Plus en détailMASTER (LMD) MANAGEMENT DE PROJET ET INNOVATION EN BIOTECHNOLOGIE
MASTER (LMD) MANAGEMENT DE PROJET ET INNOVATION EN BIOTECHNOLOGIE RÉSUMÉ DE LA FORMATION Type de diplôme : Master (LMD) Domaine ministériel : Sciences, Technologies, Santé Mention : BIOLOGIE SANTE Spécialité
Plus en détailVaccins du futur Atelier «Croisière dans l archipel des nouveaux vaccins»
Vaccins du futur Atelier «Croisière dans l archipel des nouveaux vaccins» Bernard Duval Institut National de Santé Publique du Québec 18 avril 2002 Objectifs Grands axes de la réponse immunitaire Conjugaison
Plus en détailMaladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin
Maladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca MALADIE DE HODGKIN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du
Plus en détailDr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires
Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires I. Introduction II. Les microscopes 1. Le microscope optique 2. Le microscope à fluorescence 3. Le microscope confocal 4. Le microscope électronique
Plus en détailTD de Biochimie 4 : Coloration.
TD de Biochimie 4 : Coloration. Synthèse de l expérience 2 Les questions posées durant l expérience 2 Exposé sur les méthodes de coloration des molécules : Générique Spécifique Autres Questions Pourquoi
Plus en détailBrucella. B. abortus as viewed by electron microscopy Cells are approximately 0.5-0.7 µm in diameter and 0.6-1.5 µm in length
Brucella B. abortus as viewed by electron microscopy Cells are approximately 0.5-0.7 µm in diameter and 0.6-1.5 µm in length Projet BBSRC-ZELS: contrôle multisectoriel de la brucellose dans les principales
Plus en détailBrest (29) Lessay (50), 12-13 Mars 2012
Conclusions Projet Aquamanche Aquatic management of catchments for health and environment Gestion des eaux des bassin versants pour la santé et l environnement Brest (29) Lessay (50), 12-13 Mars 2012 Les
Plus en détailLes charges virales basses: constat et gestion
Les charges virales basses: constat et gestion Symposium inter-régional viro-clinique Hardelot 25-26 Mai 2011 Laurence Bocket --- Laboratoire de Virologie --- CHRU Lille conflits d intérêts subventions,
Plus en détailDiabète de type 1 de l enfant et de l adolescent
GUIDE - AFFECTION DE LONGUE DURÉE Diabète de type 1 de l enfant et de l adolescent Juillet 2007 Juillet 2007 1 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailQuantiFERON TB Gold in tube
Qu est-ce que le QuantiFERON? Test sanguin de dépistage de l infection tuberculeuse. QuantiFERON TB Gold in tube Test ELISA qui mesure la réponse immunitaire à médiation cellulaire à l infection tuberculeuse.
Plus en détailDON DE SANG. Label Don de Soi
DON DE SANG Label Don de Soi 2015 SOMMAIRE Les différents types de dons p.3 Le don de sang total Le don de plasma Le don de plaquettes Le don de moelle osseuse Que soigne-t-on avec un don de sang? p.7
Plus en détailI - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE
I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais
Plus en détailLes nouveaux traitements de fond de la SEP
Sclérose en plaques : les nouveaux traitements Guillaume MATHEY, Hôpital de Metz-Mercy Les nouveaux traitements de fond de la SEP Le but des traitements de fond Forme par poussées 2 ième ligne TYSABRI
Plus en détailDiagnostic biologique de la toxoplasmose
COURS DE COLLEGE DE MALADIES INFECTIEUSES MICROBIOLOGIE PARASITOLOGIE Diagnostic biologique de la toxoplasmose 26 Janvier 2012 Faculté de Médecine de Sousse Principes des techniques utilisées dans le diagnostic
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION. 10 octobre 2001
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION 10 octobre 2001 VIRAFERONPEG 50 µg 80 µg 100 µg 120 µg 150 µg, poudre et solvant pour solution injectable B/1 B/4 Laboratoires SCHERING PLOUGH Peginterféron
Plus en détailY a-t-il une place pour un vaccin thérapeutique contre l hépatite B? H. Fontaine, Unité d Hépatologie Médicale, Hôpital Cochin
Y a-t-il une place pour un vaccin thérapeutique contre l hépatite B? H. Fontaine, Unité d Hépatologie Médicale, Hôpital Cochin Objectifs thérapeutiques Inhibition de la réplication virale Négativation
Plus en détailArthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes
Arthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes G Borgherini 1, A Gouix 1, F Paganin 1, A Jossaume 1, L Cotte 2, C Arvin-Berod 1, A Michault
Plus en détailMORTALITÉ ET PRODUCTION D INTERFÉRON CIRCULANT CHEZ LA TRUITE ARC-EN-CIEL APRÈS INFECTION EXPÉRIMENTALE AVEC LE VIRUS D EGTVED : INFLUENCE DE
MORTALITÉ ET PRODUCTION D INTERFÉRON CIRCULANT CHEZ LA TRUITE ARC-EN-CIEL APRÈS INFECTION EXPÉRIMENTALE AVEC LE VIRUS D EGTVED : INFLUENCE DE LA TEMPÉRATURE M. DORSON, P. De KINKELIN, Corinne TORCHY, Monique
Plus en détail- 2 - faire industriel dans la mise au point des produits biologiques. L Institut Roche de Recherche et Médecine Translationnelle (IRRMT, basé à
Information presse Roche, l Agence Nationale de Recherches sur le Sida et les hépatites virales (ANRS), le Baylor Research Institute (BRI) et Inserm Transfert mettent en place une coopération stratégique
Plus en détailREPUBLIQUE DU RWANDA MINISTERE DE L EDUCATION INSTITUT D`ENSEIGNEMENT SUPERIEUR DE RUHENGERI (INES RUHENGERI)
REPUBLIQUE DU RWANDA MINISTERE DE L EDUCATION INSTITUT D`ENSEIGNEMENT SUPERIEUR DE RUHENGERI (INES RUHENGERI) FACULTE DES SCIENCES FONDAMENTALES ET APPLIQUEES DEPARTEMENT DE BIOTECHNOLOGIE APPORT DE LA
Plus en détail*smith&nephew IV3000 Pansement pour cathéters réactif à l'humidité. Le pansement idéal pour cathéters
Le pansement idéal pour cathéters IV3000 diminue sensiblement le risque d infection en maintenant sec le site de ponction. IV3000 est jusqu à 8 fois plus efficace en terme d évaporation d humidité que
Plus en détail