LECTURE DANS LE REGLEMENT PARASISMIQUE MAROCAIN RPS2000 REVISE 2008

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "LECTURE DANS LE REGLEMENT PARASISMIQUE MAROCAIN RPS2000 REVISE 2008"

Transcription

1 LECTURE DANS LE REGLEMENT PARASISMIQUE MAROCAIN RPS2000 REVISE 2008 Taleb A. Dép. Génie Civil Ecole Mohammedia d Ingénieurs, Rabat, Maroc Moustachi O. Dép. Génie Civil Ecole Mohammedia d Ingénieurs, Rabat, Maroc Mouzzoun M. Dép. Génie Civil, Ecole Mohammedia d Ingénieurs, Rabat, Maroc RESUME Le séisme d Al-Hoceima du 24/02/2004 a fait preuve de la fragilité des structures et de la négligence des effets sismiques. En effet, les dommages importants et la ruine des constructions causées par le séisme sont dus non seulement à la qualité des matériaux utilisés, mais également à la conception et l étude non conformes aux exigences parasismiques. Le règlement parasismique Marocain RPS 2000[2] a fait l objet de différentes améliorations pour tenir compte des expériences acquises au fil du temps et des enseignements tirés des séismes survenus récemment, notamment celui d Al-Hoceima en date du 24 /02/2004 pour aboutir au RPS A travers cette communication, on se propose de répondre à la question suivante : si les séismes sont inévitables, comment peut on prévenir l effondrement des bâtiments par application du règlement parasismique RPS2008. MOTS CLES Séisme, parasismique, RPS2000, RPS2008, ductilité, spectre de réponse, analyse modale, facteur de comportement. Taleb.A :taleb@emi.ac.ma Moustachi.O :moustachi@emi.ac.ma Mouzzoun.M :mouzzoun78@gmail.com 1. INTRODUCTION Les séismes majeurs sont liés à l existence de mouvements tectoniques globaux continuellement en action qui soulèvent des chaînes de montagnes et creusent des tranchées océaniques à la surface de la terre. Ces mouvements affectent une quinzaine de "plaques" sphéroïdales et engendrent des contraintes sur les lignes de contact des plaques. Lorsque ces contraintes deviennent trop élevées et supérieures à la «résistance au frottement», une rupture brutale se produit : c'est un tremblement de terre, à la suite duquel un nouvel état provisoire de stabilité est réalisé. Il résulte de cette description qu'il existe des régions du monde à plus ou moins haut risque sismique, suivant qu'elles sont plus ou moins proches des zones de jonctions des "plaques".

2 Le Figure1 : Carte du monde montrant les principales plaques tectoniques Maroc se trouve à la limite des plaques tectoniques, l activité y est issue du rapprochement des plaques africaines et européennes qui entrent actuellement en collision. Elles se rapprochent de 0,5 cm par an, ce qui provoque des séismes tout au long de la ligne sismique de ces plaques. 2. SEISME D ALHOCEIMA DU 24 FEVRIER 2004 Le mardi 24 février, à 2h 27min (heure locale), un fort séisme de magnitude M b = 6.1 sur l échelle ouverte de Richter, a touché la province d Al-Hoceima. En quelques secondes, des centaines d'habitations, surtout en zone rurale, cèdent à la secousse. Le tremblement de terre a été ressenti jusqu'à Tétouan au Nord- Ouest, au-delà de Mélilia et Nador à l'est et jusqu'à Fès vers le Sud. La ville d'al-hoceima a-t-elle épargnée? À part quelques fissures constatées sur certains bâtiments, aucun dégât matériel, ni humain, n a été signalé. L'épicentre du séisme a été localisé à 19 Km au Sud- Ouest de la station balnéaire, quelque part entre Imzouren et Aït Kamra, les deux localités urbaine et rurale les plus touchées. Depuis celui d'agadir qui avait fait morts en 1960, le séisme qui a frappé la région d'al-hoceima est le plus meurtrier au Maroc, 629 morts et 926 blessés. 3. REGLEMENT PARASISMIQUE MAROCAIN RPS2008 But du règlement Afin de préserver les vies humaines et protéger les biens matériels le règlement a pour but de définir l action sismique sur les constructions présenter un recueil d exigences minimales et de dispositions constructives 4. ZONAGE SISMIQUE DU MAROC Il été retenu cinq zones, chaque zone est caractérisée par l accélération et la vitesse maximale.

3 Tableau1 : vitesses maximales par zone zone sismique vitesse (m/s) Figure2 : carte des zones d accélérations maximales au sol

4 Figure3 : carte des zones de vitesses maximales au sol 5. CLASSIFICATION DES BATIMENTS Tableau.2 facteur de priorité type de construction Classe facteur de priorité bâtiments d'importance vitale I 1,3 bâtiments du grand public II 1,2 bâtiments ordinaires III 1 Tableau.3 niveaux de ductilité Classe de bâtiments Vitesse de séisme (m/s) v 0,10 0,10 < v 0,20 0,20 < v I ND1 ND2 ND3 II ND1 ND2 ND3 III ND1 ND1 ND2 6. FACTEUR DE COMPORTEMENT

5 Tableau.4 : facteur de comportement en fonction du niveau de ductilité système de contreventement Niveau de ductilité ND1 ND2 ND3 ossature en béton armé portiques auto stables 2 3,5 5 voiles voiles+portiques 1,4 2,1 2,8 voiles couplés 1,8 2,7 3,5 ossatures en acier portiques à nœuds rigides 3 4,5 6 ossature contreventée CATEGORISATION DES SITES Tableau.5 : coefficient de site en fonction de la nature du sol Site Nature de site Coefficient de site S 1 S 2 S 3 roche toute profondeur sols fermes épaisseur < 30m sols fermes épaisseur 30m sols meubles épaisseur < 30m sols meubles épaisseur 15m sols mous épaisseur < 10m S 4 sols mous épaisseur 10m 1.8 S 5 conditions spéciales ********* 8. Spectre de réponse- facteur d amplification D 9. Figure4 : facteur d amplification D en fonction de la période T

6 METHODES DE CALCUL Le calcul des actions sismiques peut être mené par deux approches distinctes : une approche dite statique équivalente et une approche dynamique. 9.1 Méthode statique équivalente Le principe de cette méthode est de remplacer les forces dynamiques réelles développées dans la construction par des forces statiques fictives dont les effets sont considérés équivalents à ceux de l action sismique. L action sismique à la base V est donnée par : v : coefficient de vitesse S : facteur de site D : facteur d amplification I : facteur de priorité W : poids total de la structure V = vsdiw K 9.2 Méthode d analyse modale spectrale Cette méthode est fréquemment utilisée pour l analyse sismique des structures, elle comporte les étapes suivantes : La définition du mouvement sismique imposé aux supports sous la forme d un spectre de réponse. L hypothèse d un comportement linéaire de la structure permettant le calcul des modes propres. Etablissement d un modèle de calcul reproduisant fidèlement le comportement dynamique de la structure. Calcul des modes propres et fréquences propres de la structure. Lecture sur le spectre de réponse des valeurs maximales des réponses des modes propres. Calcul des réponses de la structure par combinaison des réponses modales. 9.3 Méthode d analyse temporelle L'analyse temporelle est une analyse qui permet d'obtenir la réponse de la structure à une excitation imposée dans un intervalle de temps déterminé. L'analyse temporelle consiste à trouver la solution de l'équation de la variable de temps "t" suivante : (1) [ ]{ } [ ]{ } [ ]{ } [ ]{ } [ M ] : matricedes masses [ C ] : matriced'amortissement [ K ] : matricederigidité { U(t) } : vecteurdéplacement M U(t) && + C U(t) & + K U(t) = - M 1 && a g (t) && a g (t) :accélération du sol (2) 10. CONCLUSION Le risque sismique est lié à l aléa sismique et à la vulnérabilité de la construction, raison pour laquelle une démarche globale de conception parasismique de la construction doit être mise en place. Elle doit s appuyer sur trois points :

7 Conception architecturale parasismique Respect de la réglementation parasismique Mise en œuvre soignée Il est alors très important que l ingénieur civil et l architecte travaillent en étroite collaboration dès le début du projet, des surcoûts notables et des adaptations après coup, de toute manière insuffisantes, peuvent souvent être évitées. 11. REFERENCES [1] André, P., Constructions en zone sismique. Université de Liège. [2] Ministère de l habitat et de l aménagement de l espace, Règlement parasismique marocain révisé [3] Tajeddine, Ch. et Harnafi, M., Rapport préliminaire de mission poste sismique. Séisme d El Hoceima du 3 au 7 mars [4] Davidovici, V. et Capra, A., 1982.Calcul dynamique des structures en zone sismique. Eyrolles. /

1. Introduction 2. Localiser un séisme 3. Déterminer la force d un séisme 4. Caractériser le mécanisme de rupture d un séisme

1. Introduction 2. Localiser un séisme 3. Déterminer la force d un séisme 4. Caractériser le mécanisme de rupture d un séisme Partie II Les paramètres des séismes Séisme: libération d énergie destructrice à partir de la magnitude 5 Prévision sismique: déterminer l aléa sismique Étude du mécanisme de rupture de la faille 1. Introduction

Plus en détail

La nouvelle RÉGLEMENTATION PARASISMIQUE applicable aux bâtiments

La nouvelle RÉGLEMENTATION PARASISMIQUE applicable aux bâtiments La nouvelle RÉGLEMENTATION PARASISMIQUE applicable aux bâtiments dont le permis de construire est déposé à partir du 1 er mai 2011 Janvier 2011 Ministère de l'écologie, du Développement durable, des Transports

Plus en détail

Séquence 4. Comment expliquer la localisation des séismes et des volcans à la surface du globe?

Séquence 4. Comment expliquer la localisation des séismes et des volcans à la surface du globe? Sommaire Séquence 4 Tu as constaté que les séismes et les éruptions volcaniques se déroulaient toujours aux mêmes endroits. Tu vas maintenant chercher à expliquer ce phénomène. Problématique : Comment

Plus en détail

CHAPITRE 6 : LE RENFORCEMENT DU MODELE PAR SON EFFICACITE PREDICTIVE

CHAPITRE 6 : LE RENFORCEMENT DU MODELE PAR SON EFFICACITE PREDICTIVE 1 CHAPITRE 6 : LE RENFORCEMENT DU MODELE PAR SON EFFICACITE PREDICTIVE Quels sont les arguments qui permettent de renforcer le modèle? 2 3 I. UNE CONFIRMATION DE L EXPANSION DU PLANCHER OCÉANIQUE A.LES

Plus en détail

CONCEPTION PARASISMIQUE DES BATIMENTS (STRUCTURES) INTRODUCTION A LA DYNAMIQUE DES STRUCTURES

CONCEPTION PARASISMIQUE DES BATIMENTS (STRUCTURES) INTRODUCTION A LA DYNAMIQUE DES STRUCTURES COURS DE CONSTRUCTION PARASISMIQUE VOLUME 2 CONCEPTION PARASISMIQUE DES BATIMENTS (STRUCTURES) INTRODUCTION A LA DYNAMIQUE DES STRUCTURES Introduction à la conception PS des structures - Approche qualitative

Plus en détail

LE GÉNIE PARASISMIQUE

LE GÉNIE PARASISMIQUE LE GÉNIE PARASISMIQUE Concevoir et construire un bâtiment pour qu il résiste aux séismes 1 Présentation de l intervenant Activité : Implantation : B.E.T. structures : Ingénierie générale du bâtiment. Siège

Plus en détail

Le point de vue du contrôleur technique

Le point de vue du contrôleur technique Le point de vue du contrôleur technique mars 2010 P-E Thévenin Contrôle technique en zone sismique le contrôle technique missions et finalité contrôle technique obligatoire les attestations PS de contrôle

Plus en détail

Institut technologique FCBA : Forêt, Cellulose, Bois - construction, Ameublement

Institut technologique FCBA : Forêt, Cellulose, Bois - construction, Ameublement Renforcer la compétitivité des entreprises françaises des secteurs forêt, bois, pâte à papier, bois construction, ameublement face à la mondialisation et à la concurrence inter-matériaux Institut technologique

Plus en détail

Fermettes + tuiles terre cuite = totale fiabilité en cas de séisme

Fermettes + tuiles terre cuite = totale fiabilité en cas de séisme * Fermettes + tuiles terre cuite = totale fiabilité en cas de séisme Le programme, lancé en 2009** et coordonné par FCBA, a pour objet d affiner les connaissances sur le comportement au séisme des habitats

Plus en détail

Construire en zone sismique - Conception et bonnes pratiques

Construire en zone sismique - Conception et bonnes pratiques La construction face au risque sismique Nouvelle réglementation Auch 27 novembre 2012 Construire en zone sismique - Conception et bonnes pratiques Albane RAMBAUD Sandrine MARNAC CETE du Sud Ouest / DALET

Plus en détail

n 180 secousses sismiques et équipements électriques photographie Eric MELMOUX

n 180 secousses sismiques et équipements électriques photographie Eric MELMOUX n 180 photographie secousses sismiques et équipements électriques Eric MELMOUX Ingénieur diplômé en 1981 de l INSA de LYON option génie mécanique, il obtient la même année un DEA "vibrations". Après 10

Plus en détail

Exemples de Projets SAFI

Exemples de Projets SAFI Exemples de Projets SAFI Analyse sismique simplifiée (CNB-95) Société Informatique SAFI Inc. 3393, chemin Sainte-Foy Ste-Foy, Québec, G1X 1S7 Canada Contact: Rachik Elmaraghy, P.Eng., M.A.Sc. Tél.: 1-418-654-9454

Plus en détail

ANNEXE J POTEAUX TESTÉS SELON UN CHARGEMENT STATIQUE ET TESTÉS SELON UN CHARGEMENT CYCLIQUE ET STATIQUE

ANNEXE J POTEAUX TESTÉS SELON UN CHARGEMENT STATIQUE ET TESTÉS SELON UN CHARGEMENT CYCLIQUE ET STATIQUE 562 ANNEXE J POTEAUX TESTÉS SELON UN CHARGEMENT STATIQUE ET TESTÉS SELON UN CHARGEMENT CYCLIQUE ET STATIQUE 563 TABLE DES MATIÈRES ANNEXE J... 562 POTEAUX TESTÉS SELON UN CHARGEMENT STATIQUE ET TESTÉS

Plus en détail

Journée des utilisateurs de Salome-Meca et code_aster ETUDE SISMIQUE DE LA PINCE VAPEUR

Journée des utilisateurs de Salome-Meca et code_aster ETUDE SISMIQUE DE LA PINCE VAPEUR Journée des utilisateurs de Salome-Meca et code_aster 18 Mars 2014 ETUDE SISMIQUE DE LA PINCE VAPEUR 1 CIPN/GC - Groupe Séisme Sommaire Description de la pince vapeur et du contexte Présentation des diagnostics

Plus en détail

ANNEXE 4-5 Réponses aux questions fréquemment posées sur la réglementation nationale

ANNEXE 4-5 Réponses aux questions fréquemment posées sur la réglementation nationale ANNEXE 4-5 Réponses aux questions fréquemment posées sur la réglementation nationale Réponses aux questions sur la nouvelle réglementation parasismique applicable aux bâtiments CLASSIFICATION DES BÂTIMENTS

Plus en détail

LA PROBLEMATIQUE SISMIQUE EN CONSTRUCTION BOIS

LA PROBLEMATIQUE SISMIQUE EN CONSTRUCTION BOIS > LA PROBLEMATIQUE SISMIQUE EN CONSTRUCTION BOIS Opération collective MI-SISBOIS Petit déjeuner thématique du 13 février 2013 / REMIREMONT Baptiste MORON - CRITTBOIS En partenariat avec: Financé par: L

Plus en détail

Chapitre 12. Bâtiments à ossature mixte en zone sismique.

Chapitre 12. Bâtiments à ossature mixte en zone sismique. 12.1 Chapitre 12. Bâtiments à ossature mixte en zone sismique. 12.1. Introduction. Il existe des solutions mixtes acier-béton très diverses dans le domaine du bâtiment. A côté des classiques ossatures

Plus en détail

Comité de suivi collège Galilée du 08 octobre 2014

Comité de suivi collège Galilée du 08 octobre 2014 Comité de suivi collège Galilée du 08 octobre 2014 Comité de suivi collège Galilée du 8 octobre 2014 1. Historique 1995 2014 2. Diagnostic structure : rapport intermédiaire octobre 2014 3. Gestion de la

Plus en détail

SECTION GÉOTECHNIQUE DÉPARTEMENT DE GÉNIE CIVIL UNIVERSITÉ DE SHERBROOKE

SECTION GÉOTECHNIQUE DÉPARTEMENT DE GÉNIE CIVIL UNIVERSITÉ DE SHERBROOKE ANALYSE DYNAMIQUE DES PENTES ARGILEUSES ET DES REMBLAIS CONSTRUITS SUR DES DÉPÔTS D ARGILE SECTION GÉOTECHNIQUE DÉPARTEMENT DE GÉNIE CIVIL UNIVERSITÉ DE SHERBROOKE ANALYSE DYNAMIQUE DES PENTES ARGILEUSES

Plus en détail

(B.O. n 2739 du 28-4-1965, page 489) LE PREMIER MINISTRE,

(B.O. n 2739 du 28-4-1965, page 489) LE PREMIER MINISTRE, DECRET N 2-64-445 DU 21 CHAABANE 1384 (26 DECEMBRE 1964) DEFINISSANT LES ZONES D HABITAT ECONOMIQUE ET APPROUVANT LE REGLEMENT GENERAL DE CONSTRUCTION APPLIABLE A CES ZONES (B.O. n 2739 du 28-4-1965, page

Plus en détail

Direction Générale des Impôts. Taxe d'habitation et Taxe de Services Communaux

Direction Générale des Impôts. Taxe d'habitation et Taxe de Services Communaux Direction Générale des Impôts Taxe d'habitation et Taxe de Services Communaux Edition 2010 Direction Générale des Impôts Service de la Communication Rue Haj Ahmed Cherkaoui, Agdal, Rabat Tél. : 212 (0)

Plus en détail

FORD C-MAX + FORD GRAND C-MAX CMAX_Main_Cover_2013_V3.indd 1-3 22/08/2012 15:12

FORD C-MAX + FORD GRAND C-MAX CMAX_Main_Cover_2013_V3.indd 1-3 22/08/2012 15:12 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 12,999,976 km 9,136,765 km 1,276,765 km 499,892 km 245,066 km 112,907 km 36,765 km 24,159 km 7899 km 2408 km 76 km 12 14 16 1 12 7 3 1 6 2 5 4 3 11 9 10 8 18 20 21 22 23 24 26 28 30

Plus en détail

TUTORIAL 1 ETUDE D UN MODELE SIMPLIFIE DE PORTIQUE PLAN ARTICULE

TUTORIAL 1 ETUDE D UN MODELE SIMPLIFIE DE PORTIQUE PLAN ARTICULE TUTORIAL 1 ETUDE D UN MODELE SIMPLIFIE DE PORTIQUE PLAN ARTICULE L'objectif de ce tutorial est de décrire les différentes étapes dans CASTOR Concept / FEM permettant d'effectuer l'analyse statique d'une

Plus en détail

PRESENTATION DE L AGENCE NATIONALE DES PORTS. Avril 2011

PRESENTATION DE L AGENCE NATIONALE DES PORTS. Avril 2011 PRESENTATION DE L AGENCE NATIONALE DES PORTS Avril 2011 1 Mise en place d un cadre législatif et réglementaire L instauration par la Loi 15-02 de: l obligation d exercice des activités portuaires dans

Plus en détail

SYSTEMES D ALERTE SISMIQUE

SYSTEMES D ALERTE SISMIQUE SYSTEMES D ALERTE SISMIQUE Fusce vitae purus sed lectus egestas dignissim. Morbi in pede a justo posuere ornare. Préparons nous d autres séismes arrivent! Page 5 Mots Clés : Alerte Spécifique : Système

Plus en détail

1- Semestre 1 : Domaine : Science et technologie Filière : Technologie Spécialité/option : Génie civil / Gestion des projets d ingénierie civil

1- Semestre 1 : Domaine : Science et technologie Filière : Technologie Spécialité/option : Génie civil / Gestion des projets d ingénierie civil 1- Semestre 1 : Domaine : Science et technologie Filière : Technologie Spécialité/option : Génie civil / Gestion des projets d ingénierie civil Unité d Enseignement VHS V.H hebdomadaire Coeff. Créd Mode

Plus en détail

Fiche Technique d Évaluation sismique : Construction basse en Maçonnerie Non-armée, Chaînée, ou de Remplissage en Haïti

Fiche Technique d Évaluation sismique : Construction basse en Maçonnerie Non-armée, Chaînée, ou de Remplissage en Haïti .0 RISQUES GEOLOGIQUES DU SITE NOTES. LIQUÉFACTION : On ne doit pas trouver de sols granulaires liquéfiables, lâches, saturés, ou qui pourraient compromettre la performance sismique du bâtiment, dans des

Plus en détail

Tremblements de terre : comment limiter les dégâts?

Tremblements de terre : comment limiter les dégâts? Tremblements de terre : comment limiter les dégâts? Le 17 août 1999, la population du nord-ouest de la Turquie a soudainement senti la terre trembler violemment. Ce tremblement de terre allait causer la

Plus en détail

2x 9 =5 c) 4 2 x 5 1= x 1 x = 1 9

2x 9 =5 c) 4 2 x 5 1= x 1 x = 1 9 Partie #1 : La jonglerie algébrique... 1. Résous les (in)équations suivantes a) 3 2x 8 =x b) Examen maison fonctions SN5 NOM : 2x 9 =5 c) 4 2 x 5 1= x 1 x d) 2 x 1 3 1 e) x 2 5 = 1 9 f) 2 x 6 7 3 2 2.

Plus en détail

Vu le dahir du 7 kaada 1371 (30 Juillet 1952) relatif à l urbanisme et, notamment, son article 18 ;

Vu le dahir du 7 kaada 1371 (30 Juillet 1952) relatif à l urbanisme et, notamment, son article 18 ; Décret n 2-64-445 du 21 chaabane 1384 (26 décembre 1964) définissant les zones d habitat économique et approuvant le règlement général de construction applicable à ces zones. (B.O. n 2739 du 28-4-1965,

Plus en détail

Huitième Cours de Maîtrise en Administration Sanitaire et Santé Publique (2004-2006)

Huitième Cours de Maîtrise en Administration Sanitaire et Santé Publique (2004-2006) Royaume du Maroc Ministère de la Santé Institut National d Administration Sanitaire Centre Collaborateur de l O.M.S Huitième Cours de Maîtrise en Administration Sanitaire et Santé Publique (2004-2006)

Plus en détail

Assurance Tous risques chantiers

Assurance Tous risques chantiers Assurance Tous risques chantiers Münchener Rück Munich Re Assurance Tous risques chantiers Une publication de la Münchener Rückversicherungs Gesellschaft Cette publication a été entièrement conçue, rédigée

Plus en détail

Responsabilités et assurances des architectes et de leurs partenaires modules d application

Responsabilités et assurances des architectes et de leurs partenaires modules d application Responsabilités et assurances des architectes et de leurs partenaires modules d application Conception : Mis à jour le 15 décembre 2010 module d application Assurance et développement durable Cadre légal

Plus en détail

Anticiper la gestion d'un séisme dommageable Anticipare la gestione dei danni di un terremoto

Anticiper la gestion d'un séisme dommageable Anticipare la gestione dei danni di un terremoto Atelier 1 groupe de travail sismique franco-italo-suisse du projet Interreg Alcotra RiskNET Atelier 1 gruppo di lavoro sismico franco-italo-svizzero del progetto Interreg Alcotra RiskNET Anticiper la gestion

Plus en détail

Le risque sismique : ce qui change

Le risque sismique : ce qui change Le risque sismique : ce qui change Conséquences de la publication des décrets Intervenant Service Date Ministère de l'écologie, du Développement durable, des Transports et du Logement www.developpement-durable.gouv.fr

Plus en détail

CONSTRUIRE EN MUR DE PIERRES CONFINÉES

CONSTRUIRE EN MUR DE PIERRES CONFINÉES CONSTRUIRE EN MUR DE PIERRES CONFINÉES Améliorer l habitat des populations fragiles au Maroc LE PROGRAMME DE MUR EN PIERRES CONFINÉES - - - - Construire un bâtiment témoin en MPC sur un site dédié aux

Plus en détail

Regard sur le béton. Maison «Mannaz» à Wasseiges

Regard sur le béton. Maison «Mannaz» à Wasseiges Regard sur le béton Maison «Mannaz» à Wasseiges La maison «Mannaz» s implante dans la campagne de la Hesbaye, ouverte sur son paysage et ancrée dans son patrimoine bâti. L architecte Yves Delincé traduit

Plus en détail

Projet de Fin d Etudes ANNEXE 1 : Présentation du Collège Doctoral Européen

Projet de Fin d Etudes ANNEXE 1 : Présentation du Collège Doctoral Européen Génie Civil Septembre 2006 Projet de Fin d Etudes ANNEXE 1 : Présentation du Collège Doctoral Européen Tournier Guillaume, élève ingénieur 5 ème année Partie résidentielle Atrium & jardins intérieurs Espace

Plus en détail

Thème Le domaine continental et sa dynamique

Thème Le domaine continental et sa dynamique Thème Le domaine continental et sa dynamique 1 Chapitre I Caractérisation du domaine continental - I - Les caractéristiques de la lithosphère continentale 1) La nature de la croûte continentale Rappels

Plus en détail

Décrète : Ce règlement est applicable aux zones définies à l'article premier. Fait à Rabat, le 21 chaabane 1384 (26 décembre 1964). Ahmed Bahnini.

Décrète : Ce règlement est applicable aux zones définies à l'article premier. Fait à Rabat, le 21 chaabane 1384 (26 décembre 1964). Ahmed Bahnini. Décret n 2-64-445 du 21 chaabane 1384 (26 décembre 1964) définissant les zones d'habitat économique et approuvant le règlement général de construction applicable à ces zones.( BO n 2739 du 28 Avril 1965)

Plus en détail

Rapport du Conseil communal au Conseil général

Rapport du Conseil communal au Conseil général République et Canton de Neuchâtel COMMUNE DE L A T E NE Rapport du Conseil communal au Conseil général concernant une demande de crédit de 53 000 francs pour la réfection des points d ancrage de trois

Plus en détail

«La solution» DESCRIPTION TECHNIQUE

«La solution» DESCRIPTION TECHNIQUE «La solution» DESCRIPTION TECHNIQUE P2-f & P4-f - 185/180 - Standard P2-f & P4-f - 170/165 - Compact P2-f & P4-f - 200/195 - Confort MODELE H DH P2f-4f - 185/180 - Standard 340 171 P2f-4f - 170/165 - Compact

Plus en détail

Effondrements et affaissements du sol, la Wallonie vous accompagne

Effondrements et affaissements du sol, la Wallonie vous accompagne Un colloque inédit sur les techniques de prévention et la gestion de crise 3 avril 2014 - centre culturel «La Marlagne» - Wépion Effondrements & affaissements du sol et assurance Bernard Desmet Assuralia

Plus en détail

La gestion déléguée. l expérience de la LYDEC

La gestion déléguée. l expérience de la LYDEC NOT AN OFFICIAL UNCTAD RECORD Partenariat Public-Privé Privé pour le développement du secteur énergétique en Afrique Vendredi 30 avril 2004 - Marrakech La gestion déléguée de la distribution de l'électricité

Plus en détail

Projet Pédagogique Conférence interactive HUBERT REEVES Vendredi 13 mars 2015-14 H

Projet Pédagogique Conférence interactive HUBERT REEVES Vendredi 13 mars 2015-14 H Projet Pédagogique Conférence interactive HUBERT REEVES Vendredi 13 mars 2015-14 H Page 1 DES CONFERENCES QUI ENRICHISSENT LES PROGRAMMES SCOLAIRES : Objectifs principaux : Acquérir et approfondir des

Plus en détail

FAG Detector II le collecteur et l analyseur de données portatif. Information Technique Produit

FAG Detector II le collecteur et l analyseur de données portatif. Information Technique Produit FAG II le collecteur et l analyseur de données portatif Information Technique Produit Application La maintenance conditionnelle Principe de fonctionnement Application Le FAG II est, à la fois, un appareil

Plus en détail

L ASSURANCE TOUS RISQUES CHANTIER

L ASSURANCE TOUS RISQUES CHANTIER L ASSURANCE TOUS RISQUES CHANTIER Une protection optimale pour vos chantiers 30.34.001/00 08/14 L ASSURANCE TOUS RISQUES CHANTIER Une protection optimale pour votre chantier La construction d un bâtiment,

Plus en détail

CATASTROPHES NATURELLES PREVENTION ET ASSURANCES

CATASTROPHES NATURELLES PREVENTION ET ASSURANCES CATASTROPHES NATURELLES PREVENTION ET ASSURANCES Mission des sociétés d assurances pour la connaissance et la prévention des risques naturels WWW.mrn-gpsa.org Une association créée en 2000 entre : Mission

Plus en détail

VERS UNE ACCESSIBILITÉ. généralisée. Accès à tout pour tous

VERS UNE ACCESSIBILITÉ. généralisée. Accès à tout pour tous VERS UNE ACCESSIBILITÉ généralisée Accès à tout pour tous La loi handicap du 11 février 2005 précise que les conditions d accès des personnes handicapées dans les E.R.P.* doivent être les mêmes que celles

Plus en détail

Assurances de construction Ne démolissez pas vos finances!

Assurances de construction Ne démolissez pas vos finances! Assurances de construction Ne démolissez pas vos finances! Assurances de construction Qui a besoin d une assurance? Maître de l ouvrage Architecte Ingénieur Entrepreneur Artisan Assurances pendant la construction:

Plus en détail

Améliorez votre productivité grâce à une solution tout-en-un

Améliorez votre productivité grâce à une solution tout-en-un basé sur la technologie Autodesk logiciel 3d de cao/fao pour la construction bois Améliorez votre productivité grâce à une solution tout-en-un Le logiciel hsbcad a été spécialement conçu pour les entreprises

Plus en détail

Guide de conception. Sécurité incendie des halls industriels

Guide de conception. Sécurité incendie des halls industriels Projet mené grâce au financement du programme de recherche Research Fund for Coal & Steel RFS2 CR 2007 00032 Sécurité incendie des halls industriels Guide de conception Sommaire 1. Introduction... 2 2.

Plus en détail

La Règue Verte 54 logements THPE à structure béton et enveloppe à ossature bois

La Règue Verte 54 logements THPE à structure béton et enveloppe à ossature bois Forum Bois Construction Beaune 2011 La Règue verte - 54 logements THPE à structure béton et enveloppe à ossature bois B. Dayraut 1 La Règue Verte 54 logements THPE à structure béton et enveloppe à ossature

Plus en détail

Renforcement bâtiment bureaux par voiles extérieurs et précontrainte additionnelle

Renforcement bâtiment bureaux par voiles extérieurs et précontrainte additionnelle Renforcement bâtiment bureaux par voiles extérieurs et précontrainte additionnelle A B C D 12,00 D1 C1 D2 34,76 C2 34,76 12,00 N 34,76 A2 34,76 12,00 A1 B1 12,00 B2 Corbeau + appui néoprène Parking D C

Plus en détail

CASERNE NIEL Quai des Queyries à Bordeaux DIAGNOSTIC POUR LA CONSERVATION D UNE CHARPENTE METALLIQUE

CASERNE NIEL Quai des Queyries à Bordeaux DIAGNOSTIC POUR LA CONSERVATION D UNE CHARPENTE METALLIQUE CASERNE NIEL Quai des Queyries à Bordeaux DIAGNOSTIC POUR LA CONSERVATION D UNE CHARPENTE METALLIQUE S O M M A I R E CHAPITRE 1 - PRÉSENTATION GÉNÉRALE... 2 CHAPITRE 2 - SÉCURITÉ DES PERSONNES VIS A VIS

Plus en détail

P M L R O G W. sylomer. Gamme de Sylomer Standard. Propriétés Méthode de test Commentaires. Polyuréthane (PUR) Cellulaire mixte

P M L R O G W. sylomer. Gamme de Sylomer Standard. Propriétés Méthode de test Commentaires. Polyuréthane (PUR) Cellulaire mixte Matière : Couleur : Polyuréthane (PUR) Cellulaire mixte Gris Recommandations d usage : Pression (dépend du facteur de forme) Déflexion Pression statique maximum :. N/mm ~ % Pression dyn. maximum :. N/mm

Plus en détail

LE LAVOIR DE LA MONTAGNE - RAPPORT DE PRESENTATION - DOSSIER PHOTOGRAPHIQUE

LE LAVOIR DE LA MONTAGNE - RAPPORT DE PRESENTATION - DOSSIER PHOTOGRAPHIQUE LE LAVOIR DE LA MONTAGNE - RAPPORT DE PRESENTATION - DOSSIER PHOTOGRAPHIQUE 1 La mairie de Ressons-le-Long souhaite restaurer le lavoir de la Montagne. L opération fait l objet d une souscription «Fondation

Plus en détail

BAIES RESEAUX 19" SÉRIE OPTIMAL ::ROF

BAIES RESEAUX 19 SÉRIE OPTIMAL ::ROF BAIES RESEAUX 19" SÉRIE OPTIMAL ::ROF es baies de répartition data et de télécommunication peuvent loger tous vos équipements tel que panneaux de brassage, composants actifs, serveurs... etc. 4 Description:

Plus en détail

Tableau 7: Emissions polluantes scénario «futur avec projet 2014»

Tableau 7: Emissions polluantes scénario «futur avec projet 2014» Projet d ensemble commercial Ametzondo Tableau 7: Emissions polluantes scénario «futur avec projet 2014» Remarques : Aucune émission ne sera prise en compte sur le parking pour un fonctionnement dominical.

Plus en détail

D.I.C.R.I.M. DOCUMENT D INFORMATIONS COMMUNAL SUR LES RISQUES MAJEURS LES BONS REFLEXES EN CAS DE RISQUES MAJEURS

D.I.C.R.I.M. DOCUMENT D INFORMATIONS COMMUNAL SUR LES RISQUES MAJEURS LES BONS REFLEXES EN CAS DE RISQUES MAJEURS D.I.C.R.I.M. DOCUMENT D INFORMATIONS COMMUNAL SUR LES RISQUES MAJEURS LES BONS REFLEXES EN CAS DE RISQUES MAJEURS Les incendies de forêts ou les inondations sont les principaux risques majeurs qui peuvent

Plus en détail

Conception parasismique des diaphragmes de toit selon la norme CSA-S16

Conception parasismique des diaphragmes de toit selon la norme CSA-S16 Conception parasismique des diaphragmes de toit selon la norme CSA-S16 Robert Tremblay École Polytechnique, Montréal, Canada SCGC - Québec Québec, 16 Avril 2009 Plan 1. Information générale 2. Exemple

Plus en détail

PLAN SEISME ANTILLES

PLAN SEISME ANTILLES Direction générale de la prévention des risques PLAN SEISME ANTILLES Note de synthèse Bilan 2008 et perspectives 2009-2010 Présent pour l avenir Ministère de l écologie, de l énergie, du développement

Plus en détail

Le maçon à son poste de travail

Le maçon à son poste de travail Fiche Prévention - E2 F 03 14 Le maçon à son poste de travail Partie 2 : la protection face au vide La réalisation de murs en maçonnerie est une opération courante sur les chantiers du bâtiment (maison

Plus en détail

Plan Séisme - Chantier N 2-Action 2.4.6 Guide méthodologique pour la conception, l installation et le diagnostic des équipements en zone sismique

Plan Séisme - Chantier N 2-Action 2.4.6 Guide méthodologique pour la conception, l installation et le diagnostic des équipements en zone sismique Cahier echnique #30 AFPS Guide méthodologique pour la conception, l installation et le diagnostic des équipements en zone sismique Guide élaboré par l Association Française du génie ParaSismique dans le

Plus en détail

Le PNQ, Pour Promouvoir la Performance

Le PNQ, Pour Promouvoir la Performance Direction de la Qualité et de la Surveillance du Marché Ministère de l Industrie, du Commerce, de l Investissement et de l Economie Numérique Angle Avenue Kamal Zebdi et rue Dadi, Hay Riad - Rabat Téléphone

Plus en détail

Microzonage sismique de Port-au-Prince, Rapport de synthèse. Rapport Final

Microzonage sismique de Port-au-Prince, Rapport de synthèse. Rapport Final Microzonage sismique de Port-au-Prince, Rapport de synthèse Rapport Final Décembre 2013 Microzonage sismique de Port-au-Prince, Rapport de synthèse Rapport final Décembre 2013 Synthèse A la suite du séisme

Plus en détail

B2.- Performances acoustiques de divers éléments de construction

B2.- Performances acoustiques de divers éléments de construction B2.- Performances acoustiques de divers éléments de construction B2.1.- Caractéristiques d absorption B2.1.1.- Coefficients d absorption de surfaces couvertes par différents éléments Maçonnerie et enduits

Plus en détail

Les Français et le don d organes

Les Français et le don d organes Les Français et le don d organes Rapport Version n 2 Date : 8 Février 2011 De: Nadia AUZANNEAU et Stéphanie CHARDRON A: Jean-Pierre SCOTTI et Saran SIDIBE OpinionWay, 15 place de la République, 75003 Paris.

Plus en détail

Mission des sociétés d assurances pour la connaissance et la prévention des risques naturels www.mrn-gpsa.org

Mission des sociétés d assurances pour la connaissance et la prévention des risques naturels www.mrn-gpsa.org Une association créée en 2000 entre : Mission des sociétés d assurances pour la connaissance et la prévention des risques naturels www.mrn-gpsa.org Le régime des catastrophes naturelles et technologiques

Plus en détail

LE PROFIL DU CONSOMMATEUR MAROCAIN

LE PROFIL DU CONSOMMATEUR MAROCAIN LE PROFIL DU CONSOMMATEUR MAROCAIN Le profil du consommateur Marocain 1. La population en chiffres Population totale : 31.992.592 Population urbaine : 55,0% Population rurale : 43,6% Densité de la population:

Plus en détail

Comment protéger un bâtiment contre la grêle

Comment protéger un bâtiment contre la grêle Comment protéger un bâtiment contre la grêle Vereinigung Kantonaler Feuerversicherungen Association des établissements cantonaux d assurance incendie CE QUE VOUS DEVRIEZ SAVOIR À PROPOS DE LA GRÊLE Les

Plus en détail

LES LOIS PHYSIQUES APPLIQUÉES AUX DEUX-ROUES : 1. LA FORCE DE GUIDAGE

LES LOIS PHYSIQUES APPLIQUÉES AUX DEUX-ROUES : 1. LA FORCE DE GUIDAGE LES LOIS PHYSIQUES APPLIQUÉES AUX DEUX-ROUES : 1. LA FORCE DE GUIDAGE 2. L EFFET GYROSCOPIQUE Les lois physiques qui régissent le mouvement des véhicules terrestres sont des lois universelles qui s appliquent

Plus en détail

Caractéristiques des ondes

Caractéristiques des ondes Caractéristiques des ondes Chapitre Activités 1 Ondes progressives à une dimension (p 38) A Analyse qualitative d une onde b Fin de la Début de la 1 L onde est progressive puisque la perturbation se déplace

Plus en détail

Pour votre Oldtimer TCS Assurance auto

Pour votre Oldtimer TCS Assurance auto Pour votre Oldtimer TCS Assurance auto Un monde d avantages pour les Oldtimers! Soyez sûr de bénéficier de l engagement d un Club. Toutes vos prestations sur mesures en un coup d œil Pour les fiers détenteurs

Plus en détail

REALISATION D UNE ETUDE SUR LES CRITERES POUR LA DEFINITION DE MESURES DE REDUCTION DU RISQUE SISMIQUE DU BATI EXISTANT EN FRANCE

REALISATION D UNE ETUDE SUR LES CRITERES POUR LA DEFINITION DE MESURES DE REDUCTION DU RISQUE SISMIQUE DU BATI EXISTANT EN FRANCE 48, avenue Trespoey 64000 PAU & 6b, rue des Migraniers 13360 ROQUEVAIRE FRANCE Tél / Fax : +33 (0)5 59 30 46 50 Mobile : +33 06 81 95 88 06 E-mail : urbater@wanadoo.fr REALISATION D UNE ETUDE SUR LES CRITERES

Plus en détail

1. Titre du contrat. (si les travaux de montage se font en plusieurs tranches, indiquer quelle est la tranche ou les tranches à assurer)

1. Titre du contrat. (si les travaux de montage se font en plusieurs tranches, indiquer quelle est la tranche ou les tranches à assurer) FORMULAIRE DE DECLARATION DU RISQUE ASSURANCE TOUS RISQUES MONTAGE - ESSAI 1. Titre du contrat (si les travaux de montage se font en plusieurs tranches, indiquer quelle est la tranche ou les tranches à

Plus en détail

Garde-corps. bfu bpa upi. Base: norme sia 358. Les bâtiments doivent répondre à un besoin humain fondamental, celui de se sentir en sécurité.

Garde-corps. bfu bpa upi. Base: norme sia 358. Les bâtiments doivent répondre à un besoin humain fondamental, celui de se sentir en sécurité. bfu bpa upi Mb 9401 Garde-corps Base: norme sia 358 Les bâtiments doivent répondre à un besoin humain fondamental, celui de se sentir en sécurité. Habitations, magasins, bâtiments administratifs, écoles

Plus en détail

Guide pratique de l investisseur étranger au Maroc

Guide pratique de l investisseur étranger au Maroc Guide pratique de l investisseur étranger au Maroc A- Implantation d une société au Maroc : 1. Aspects juridiques - Implantation sous forme de société commerciale (les formes les plus courantes) : Société

Plus en détail

Aménagements de l avant-gare de Paris Montparnasse

Aménagements de l avant-gare de Paris Montparnasse Aménagements de l avant-gare de Paris Montparnasse préalables à l arrivée des lignes à grande vitesse Bretagne Pays de la Loire et Sud Europe Atlantique Pièce H Avis des Architectes des Bâtiments de France

Plus en détail

DISPOSITIONS APPLICABLES A LA ZONE N

DISPOSITIONS APPLICABLES A LA ZONE N DISPOSITIONS APPLICABLES A LA ZONE N CARACTERE DE LA ZONE Zone faisant l objet d une protection en raison soit de la qualité des sites, des milieux naturels, des paysages et de leur intérêt notamment du

Plus en détail

Société MARITA Immobilière

Société MARITA Immobilière Société MARITA Immobilière Présentation & Références Agenda 1 Présentation de la SMI 2 Projets finalisés 3 Projet en cours Innovation Qualité Elégance Page 2 Société MARITA Immobilière Chiffres clés DOMAINES

Plus en détail

Assurances de biens et de responsabilité

Assurances de biens et de responsabilité Enquête Juin 2011 Assurances de biens et de responsabilité Inondations du Var des 15 et 16 juin 2010 Bilan chiffré au 31 mai 2011 1 LES INONDATIONS DU VAR DES 15 ET 16 JUIN 2010 SYNTHESE Les conséquences

Plus en détail

Agriculture paysanne durable: innovations et meilleures pratiques aux fins de transposition et de reproduction à plus grande échelle

Agriculture paysanne durable: innovations et meilleures pratiques aux fins de transposition et de reproduction à plus grande échelle Méthodes innovantes d amélioration sylvo-pastorale: Le cas du projet de lutte participative contre la désertification et de réduction de la pauvreté dans les écosystèmes arides et semi-arides des hauts

Plus en détail

DOUBLE PARK ECO «La solution» DESCRIPTION TECHNIQUE

DOUBLE PARK ECO «La solution» DESCRIPTION TECHNIQUE DOUBLE PARK ECO «La solution» DESCRIPTION TECHNIQUE P2-F et P4-F 185 (Modèle standard) P2-F et P4-F 170 MODELE P2/4-F 170 P2/4-F 185 (Standard) P2/4-F 195 P2-F et P4-F 195 H 325 340 350 DH 156 171 181

Plus en détail

Discovering Hidden Value

Discovering Hidden Value Discovering Hidden Value A la découverte de la valeur cachée Consultation pour les Opérations de Forage Proposées en Offshore Marocain 2013 Qui est Cairn Energy? Cairn est une société de pétrole et de

Plus en détail

instruments de paiement échangés à travers les circuits bancaires

instruments de paiement échangés à travers les circuits bancaires instruments de paiement échangés à travers les circuits bancaires Statistiques arrêtées à fin 2013 SOMMAIRE PRÉAMBULE 5 Partie I : Evolution des paiements de masse 6 I. Echanges EN INTERbancaire 7 1.

Plus en détail

COURSE EN LIGNE / MARATHON ANNEXES 2014

COURSE EN LIGNE / MARATHON ANNEXES 2014 COURSE EN LIGNE / MARATHON ANNEXES 2014 applicable du 1 er janvier 2014 au 31 décembre 2014 ANNEXES 2014 SOMMAIRE ANNEXE 1 : LE CHAMPIONNAT DE FRANCE DE FOND... 4 ANNEXE 2 : LE CHAMPIONNAT DE FRANCE DE

Plus en détail

METEOROLOGIE CAEA 1990

METEOROLOGIE CAEA 1990 METEOROLOGIE CAEA 1990 1) Les météorologistes mesurent et prévoient le vent en attitude à des niveaux exprimés en pressions atmosphériques. Entre le niveau de la mer et 6000 m d'altitude, quels sont les

Plus en détail

Ce guide se divise en six chapitres, dont quatre sont dédiés à une catégorie de bâtiment :

Ce guide se divise en six chapitres, dont quatre sont dédiés à une catégorie de bâtiment : INTRODUCTION Constructions de pointe et d usage courant, les escaliers métalliques doivent répondre à d autres exigences, que celle de pouvoir passer d un niveau à un autre. L un des principaux points

Plus en détail

1 Mise en application

1 Mise en application Université Paris 7 - Denis Diderot 2013-2014 TD : Corrigé TD1 - partie 2 1 Mise en application Exercice 1 corrigé Exercice 2 corrigé - Vibration d une goutte La fréquence de vibration d une goutte d eau

Plus en détail

N09 Viaduc de Chillon

N09 Viaduc de Chillon Département fédéral de l'environnement, des transports, de l'énergie et de la communication DETEC Office fédéral des routes N09 Viaduc de Chillon Solution innovante en relation avec la RAG Conférence JERI

Plus en détail

Bilan décennal des catastrophes naturelles en France

Bilan décennal des catastrophes naturelles en France Bilan décennal des catastrophes naturelles en France SOMMAIRE BILAN DÉCENNAL EN TERMES DE NOMBRE ET DE TYPE DE CATASTROPHES NATURELLES BILAN EN TERME DE VICTIMES.. 2 5 BILAN DÉCENNAL EN TERMES ÉCONOMIQUES

Plus en détail

Swiss Auto. Roulez en toute sérénité

Swiss Auto. Roulez en toute sérénité Swiss Auto Roulez en toute sérénité Swiss Auto : l assurance auto qui vous ressemble Voiture neuve ou d occasion? Vous roulez peu ou vous avez besoin de votre véhicule tous les jours? Vous l utilisez aussi

Plus en détail

Jean-Marc Schaffner Ateliers SCHAFFNER. Laure Delaporte ConstruirAcier. Jérémy Trouart Union des Métalliers

Jean-Marc Schaffner Ateliers SCHAFFNER. Laure Delaporte ConstruirAcier. Jérémy Trouart Union des Métalliers Jean-Marc Schaffner Ateliers SCHAFFNER Laure Delaporte ConstruirAcier Jérémy Trouart Union des Métalliers Jean-Marc SCHAFFNER des Ateliers SCHAFFNER chef de file du GT4 Jérémy TROUART de l Union des Métalliers

Plus en détail

Essais de charge sur plaque

Essais de charge sur plaque Page No.: 1 L essai de charge sur plaque est exécuté entre autres dans des galeries d exploration ou dans des puits, mais il peut aussi être exécuté à la surface en appliquant un poids mort ou en chargeant

Plus en détail

Energie et morphologie : vers la perdurabilité de la forme urbaine? Généralités et transports. Luc Adolphe

Energie et morphologie : vers la perdurabilité de la forme urbaine? Généralités et transports. Luc Adolphe Energie et morphologie : vers la perdurabilité de la forme urbaine? Généralités et transports Luc Adolphe RÉDUCTION DES BESOINS ÉNERGÉTIQUES DANS LES TRANSPORTS. Contexte : Densité, Mobilité Réduire

Plus en détail

Orientations stratégiques en matière de développement minier

Orientations stratégiques en matière de développement minier Ministère de l Energie et des Mines Orientations stratégiques en matière de développement minier Journées Nationales de l Industrie Minérale Marrakech, 23-25 novembre 2005 1 Plan de l exposé Place de l

Plus en détail

Direction du Logement et de l'habitat Sous-Direction de l'habitat

Direction du Logement et de l'habitat Sous-Direction de l'habitat Bureau de la Protection des Locaux d'habitation Direction du Logement et de l'habitat Sous-Direction de l'habitat Règlement municipal fixant les conditions de délivrance des autorisations de changement

Plus en détail

DOSSIER TECHNIQUE XP 12

DOSSIER TECHNIQUE XP 12 DOSSIER TECHNIQUE XP 12 I) Descriptif des éléments principaux Aile XP 12 a) Caractéristiques Surface 12,5 m2 Profil Double surface 90% Envergure 9,2 m Allongement 7,36 Longueur 3,1 m Poids 46 kg Dossier

Plus en détail