S. Guez Unité des Maladies allergiques Médecine Interne et Post-urgences Hôpital Pellegrin, CHU Bordeaux
|
|
- Yolande Beauregard
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 S. Guez Unité des Maladies allergiques Médecine Interne et Post-urgences Hôpital Pellegrin, CHU Bordeaux
2 Intérêts financiers : néant Liens durables ou permanents : néant Interventions ponctuelles : Abello ALK, Stallergènes, MSD, Astra Zeneca Intérêts indirects : néant
3 Situation d urgence : On est dans la réalité d une réaction allergique d origine alimentaire : problème relativement clair Comment reconnaitre une anaphylaxie? Que faut-il faire? Que ne faut-il pas faire? Comment gérer l AA après une anaphylaxie sévère? Situation de prévention d une anaphylaxie : Le diagnostic d AA est porté Peut-on évaluer la gravité en cas de ré-ingestion accidentelle, et agir avant que la réaction soit sévère? On est dans le domaine des probabilités Quelles valeurs des marqueurs proposés de gravité? Quels facteurs de risque de sévérité retenir?
4 Dans le cadre d une AA peut-on évaluer la gravité de cette allergie pour adapter la prise en charge? 2 jeux de rôle afin de lister les arguments pouvant être retenu pour qualifier une AA de peu grave ou au contraire de grave Synthèse Dans le cadre d une urgence AA comment évaluer la gravité pour adapter la prise en charge, Dans l immédiat Au décours de la prise en charge de l urgence 2 cas cliniques Synthèse
5 Une fois porté le diagnostic d AA à un aliment, la notion de gravité regroupe également en réalité plusieurs notions : Grave parce-que allergie durable et non transitoire? Grave parce que l éviction de l allergène est très difficile avec un risque élevé de le retrouver «caché»? Grave parce que le nouveau contact va entraîner forcément une réaction plus sévère? Est-ce que c est grave parce qu il faut prescrire de l adrénaline auto-injectable dans ce cas précis selon les recommandations?
6 Pour l allergologue : Il peut recouvrir plusieurs significations qui ne se résument pas qu au risque de réaction grave liée à un nouveau contact. Pour le patient et ses parents : Plutôt risque immédiat et dans la vie de tous les jours de l allergique Il faut donc bien préciser : Grave pourquoi? Grave comment? Grave combien? Eviction jusqu ou?
7 Comme les mots «sévérité» ou «gravité» recouvrent des notions différentes : Pour l allergologue Et le patient / ou ses parents Il faut user de ces termes avec beaucoup de prudence : Une fois prononcés, il est très difficile de revenir en arrière Pratique quotidienne : Confrontation très fréquente avec une idée préconçue des parents avant la consultation allergologique Meilleur exemple : la poursuite des évictions malgré la réalisation d un TPO strictement négatif +++ (BMJ 2006, 333 : )
8 La dramatisation de l AA va créer un stress : Pour le patient Son entourage Son milieu de vie habituel Est-ce que ce stress créé par le terme «sévérité» ou «gravité» est réellement justifié? : Surdiagnostic de gravité? Question posée en raison de la masse considérable d adrénaline auto-injectable actuellement prescrite et qui est sans commune mesure avec le nombre de cas d anaphylaxie rapporté par AA : Mais ces chiffres sont-ils valables?
9
10 1) Soit toute AA démontrée à IgE est d emblée potentiellement «grave» : Dans la littérature il y a très souvent amalgame des termes : Le fait de démontrer qu une réaction est due à des IgE implique de facto une gravité potentielle Le problème posé est alors que le mécanisme IgE n est pas en soi la preuve d une AA : mais si le lien est prouvé alors la gravité est implicite. 2) Soit il y a bien 2 temps dans la consultation allergologique : Celui du diagnostic allergique d une part avec ses critères d évaluation propre : clinique, cutané et biologique Et celui de l évaluation du danger d autre part, avec évaluation du risque réel encouru en cas de nouveau contact avec l allergène sur des critères définis et adaptation de la TU au niveau de gravité supposé
11 Elle n est pas forcément explicitée, mais implicite dans le raisonnement. Exemple : (P.A. Eigenmann. Rev Fr Allergol Immunol Clin 2009, 49 : )
12 AA fréquente : 5% des enfants et 2% des adultes Chocs anaphylactiques par ingestion d aliments entre 0 et 4 ans : En France, prévalence : 1 à 4 chocs par AA / habitants Décès par AA : 0,7 à 1% Augmentation du nombre des chocs par AA : En France : + 28% entre 2001 et 2006 En Gde Bretagne : 7 fois plus d admissions pour chocs anaphylactiques entre 1990/91 et 2003/4 (F. Rancé, G. Dutau. Rev Fr Allergol Immunol Clin 2008, 48 S. : Guez S16-S18) (Bordeaux)
13 Faire un diagnostic certain de mécanisme à IgE : Critères cutanés et biologiques : VPP et VPN pour chaque examen. Implication d une gravité intrinsèque puisque la conclusion est l éviction stricte TPO dans le doute qui affirme le diagnostic parce qu il entraîne un début de réaction anaphylactique : preuve du mécanisme IgE et dans le même temps de la gravité de ce diagnostic. Mais ce lien entre mécanisme IgE et gravité n est pas très clair statistiquement : Identification de facteurs de risque supplémentaires d une AA grave
14 Les tests allergologiques cherchent à faire la différence entre réactivité et allergie Mais il n y a pas de corrélation entre la réactivité cutanée et les taux d IgEs avec la sévérité d une allergie Démontré par exemple pour l arachide : La taille des tests cutanés Et les taux d IgEs Ne sont pas des marqueurs prédictifs d une AA grave dans le sens du risque lors d un nouveau contact (C Summers et al. JACI 2008, 121 : 632-8)
15 Les facteurs de sévérité d une AA IgE démontrée : Allergie arachide et fruits à coque Asthme associé Adolescent Exercice, alcool, traitements associés (IEC et BB) Absence de Vit D Posture Mastocytose Retard ou non administration d adrénaline Basés sur des études rétrospectives : pas de preuves réelles du bien fondé de ces facteurs (F. Rancé, G. Dutau. Rev Fr Allergol Immunol Clin 2008, 48 S. : S16-S18) Guez (Bordeaux)
16 Difficultés du diagnostic d AA : Population générale de enfants : 40,9% sont sensibilisés dont 22,4% aux pollens de G 10,9% sensibilisés à l arachide Lien très étroit avec la sensibilisation associée aux pollens Réactivité croisée ++++ Etude canadienne : Seulement 1% de suspicion d AA à l arachide, et 0.61% d allergie confirmée. Donc : il est très facile d impliquer à tort l arachide lors d une enquête systématique chez un atopique à la suite d une réaction d allure allergique au décours d un repas (B Niggemann et al. Allergy 2011, 66 : )
17 Association AA et Asthme : Asthme mal équilibré Associé à une AA «sévère» Retrouvée de façon constante dans toutes les études épidémiologiques : AA mortelle : 30 à 80% par accidents respiratoires Anaphylaxie d effort par allergie alimentaire Mastocytose hyménoptères +++ (1) (2) (1)(J Robert. Rev Fr Allergol Immunol Clin 2011, 51 : ) (2)(F Rancé et al. Rev Fr Allergol Immunol 2008, 48 : S16 18)
18 Adrénaline auto injectable si antécédents : Choc anaphylactique par AA Angioedème laryngé par AA Asthme aigu grave par AA ++ Urticaire généralisée par AA Choc anaphylactique idiopathique (L Têtu et al. Rev Fr Allergol Immunol Clin 2007, 47 : S32-35)
19 Discordance importante entre le nombre des allergiques AA et la fréquence constatée des anaphylaxies sévères Il n y a jamais de tableau indiquant les situations cliniques et biologiques permettant d affirmer qu il n y a pas de risque d AA grave Donc : cela conduit forcément à surestimer le risque grave par rapport au non grave!! Est-ce que cela signifie qu il n est pas possible d identifier un risque faible?
20 Est-ce qu on peut parler «AA grave» lorsqu il n y a pas eu de manifestation anaphylactique initiale? Pas de description de classification comme les grades de sévérité d une anaphylaxie : qu est-ce qu une AA «pas grave» et «grave comment?»? Système binaire : grave? Pas grave? Et entre les deux? Description de facteurs de gravité (sans préciser quelle gravité) mais pas de critères de non gravité d une AA? Faut-il comprendre que si les facteurs proposés de gravité sont absents alors l AA est non grave? Très rarement écrit voir jamais!!
21
22 Beaucoup d autres maladies ont un taux de mortalité réellement plus élevé que l AA sans pour autant relier systématiquement la maladie à sa dangerosité (HTA, Asthme etc ) Il faut donc comprendre la nature de ce lien pour appréhender clairement la question et aider au mieux nos patients
23 Prévalence de l AA : 5% chez le jeune enfant, diminue à 2% à l'âge de 10 ans Dans 90% des cas : lait, arachide, soja, œuf, blé, noisette, poisson, fruits de mer Allergie à l arachide génère le plus de stress mais : 51% ne feront qu une réaction cutanée bénigne Certes quelques cas d anaphylaxie mortelle : Entre 1990 et 2000 : UK et Irlande, 8 DC par AA soit 0.02 / enfants de 0 à 15 ans Soit 1 DC/ enfants avec AA/an C Macdougall, O Etuwewe. Current Paediatrics 2005, 15 :
24 Article sur Anaphylaxie sévère Urgences 2009 : 1 personne sur Risque léthal de 1.5% 1,5 DC sur 1 million Augmentation de l anaphylaxie alimentaire de 28% c est beaucoup? 1 à 3 DC sur 1 million DA Moneret-Vautrin et al FMU Nancy
25 Mortalité par accident de la vie courante chez les moins de 15 ans : 2.4 DC / enfants Soit 240 DC / million d enfants Chute, incendie, noyade, suffocation, autre autocar L Labeur et al. Institut de veille sanitaire, 2010.
26 Fait état d une augmentation de l anaphylaxie lors de ces 10 dernières années : 350% pour l anaphylaxie alimentaire et 230% pour l anaphylaxie non alimentaire! Dans le détail de la référence citée : 112 cas fatals en Australie sur 9 ans (1997/2005) 58% : médicaments 18% : insectes 18% autre 6% aliments Pas de variation du taux de mortalité par AA : seul le nombre d admissions pour suspicion d AA augmente M Ben-Shoshan, AE Clarke. Allergy 2011, 66 : 1-14
27 C est l anaphylaxie médicamenteuse et par piqures d insectes qui est importante et en augmentation avec une augmentation du risque de DC Mais certes : Difficultés du diagnostic dans ces registres : Codage type CM10 Tous les âges confondus Dans le détail : AA surtout chez les enfants et les autres réactions chez les adultes Pertes de tous les patients qui ne sont pas allés aux urgences parce qu ils ont reçus de l adrénaline rapidement ++++
28 Etude UK entre : 8 Décès d enfants < 16 ans par AA : 5% d AA dans la population générale 1 DC/ enfants ayant une AA % DC/ /an enfants < 16 ans Sur ces 8 décès : 4 avec du lait, 2 échecs de l adrénaline, 1 surdosage mortel d adrénaline. Dans les autres cas : asthme grave +++ Accidents sévères mais non mortels : 55 soit 0.2%/ /an enfants < 16 ans Enfants qui ont reçus de l adrénaline et n avaient pas de signe d anaphylaxie en arrivant, donc exclus de l étude : 78 enfants 27 : pas de manifestations initiale respiratoire 14 : urticaire simple Les autres (37) : utilisation correcte
29 2 études montrent que non : Dans l une : 50% des stylos sont périmés, 30% ne se rappellent pas comment il faut l utiliser Dans l autre : seulement 30% vont l utiliser lors d une réaction après un nouveau contact avec l allergène Donc en dehors des cas où il y a déjà eu une réaction initiale sévère, et là il est impératif de prescrire de l adrénaline qui sera utilisée, les autres situations ne sont pas plus «sécurisée» par la prescription d adrénaline auto injectable Pediatrics 2000, 105 : JACI 2000, 106 : 171-6
30 NON Il faut rassurer les parents : éventualité d une anaphylaxie grave est très faible chez les moins de 16 ans L arachide n est pas l allergène le plus épouvantable Seul l asthme est un facteur de risque clair et démontré de faire une réaction grave si celle-ci doit se produire L asthme n augmente pas la fréquence, seulement la gravité de la réaction sévère si elle doit se produire La prescription systématique d adrénaline est disproportionnée par rapport à son efficacité réelle, le stress engendré, le coût pour la société A. Cover. BMJ, 2006 (333) :
31 Est-ce que les allergologues en font trop? Est-ce que les parents sont trop inquiets? Quelle est l attitude à adopter?
32 Insistent sur la gravité car : Valorise l activité médicale? : souvent «allergie = bobologie» Permet de discuter à égal avec les vrais spécialistes car «l allergie tue»! Dans tous les cas : la présentation de chiffres est faite pour dramatiser et non pour rassurer! Ex * :Etude entre 1998 et 200 de Macdougall (2002) 3 cas mortels soit DC 1,3% + 2,32% «rattrapés de justesse» Mais sur 229 AA sur une population de 13 millions d enfants Donc dit autrement : 0.05 pour 1 million d enfants!! * (G Dutau et al. Rev fr Allergol Immunol clin 2007, 47 : ).
33 Il ne dispose pas de marqueurs fiables de gravité Il sait qu il y a des situations à risque qui dépendent de l environnement de l enfant ou de l adulte Les statistiques ne permettent pas d appréhender le risque réel à l échelon individuel Seulement 20% des enfants qui ont eu une anaphylaxie mortelle ont eu une réaction initiale sévère. Impossible de répondre à la question : si accident anaphylactique : où, quand? comment?
34 Porter le diagnostic d une AA avec le sousentendu implicite de gravité n est pas sans danger pour le bien être psychique de l enfant et de ses parents : Altération de la qualité de vie Augmentation du stress et de l anxiété Altération de la prise d indépendance de l enfant Restriction de son développement affectif et sportif Mais il n est pas démontré que l anticipation d une situation à risque avec la prescription d adrénaline génère une anxiété supplémentaire (W Hu et al. BMJ 2004, 329 : 852 4)
35 Etude Australienne : 2 système d auto-injection par enfant ayant une AA à l arachide qualifiée de sévère 29,7 millions!! Mais combien coûte une vie humaine? Que signifie un raisonnement de masse au niveau d un individu donné? (W Hu et al. BMJ 2004, 329 : 852 4)
36 IL y a de facto une dramatisation de l allergie alimentaire On est dans le domaine de l affectivité et non de la rationalité Anticipation d un éventuel «regret» : Le décès malgré une injection d adrénaline N est pas la même chose qu un décès avec le sentiment qu il ne serait pas arrivé s il y avait eu de l adrénaline (d ailleurs c est «écrit» partout!) L angoisse générée de la non prescription justifiée, sur le plan médical, d adrénaline, peut remettre en question cette non prescription (W Hu et al. J Med Ethics Medical Humanities 2005, 31 : 12 16)
37 La prescription d un traitement d urgence valorise l attention à porter à l éviction alimentaire prescrite et les mesures imposées. Cela permet également de partager le stress de la surveillance de l enfant, qui est partagé lors de son séjour à l école (sinon l enfant est «abandonné à son risque» L apprentissage du traitement d urgence par le milieu scolaire crée également une solidarité et augmente l attention à l enfant allergique.
38 Car l AA tue, c est une réalité L anaphylaxie grave est difficilement prévisible Il n y a pas de marqueurs prédictifs fiables On peut diminuer les risques mais pas les éliminer Difficile de maitriser d éventuels cofacteurs Peut-on admettre de «regretter» de ne pas avoir prescrit un traitement d urgence même si on est pas certain de son efficacité dans tous les cas? Le plus important est d avoir un diagnostic certain d AA avec une évaluation précise des risques en fonction du terrain et de l allergène Un diagnostic allergologique doit bien séparer : le diagnostic d une part, la gravité d autre part L éducation thérapeutique est primordiale et doit être entretenue (JOB Hourihane. BMJ 2006, 333 : )
39 Il faut sortir d une question insoluble : on ne peut pas actuellement prédire le risque réel d un nouveau contact avec un allergène chez un enfant ayant une AA IgE médiée sauf cas particulier. Il faut donc aborder ce problème de gravité avec les parents, après le diagnostic, en reconnaissant clairement les limites de nos compétences dans ce domaine prédictif.
40 La question de la gravité peut être reformulée de la façon suivante : Oui cet enfant est allergique L éviction va le protéger S il y a une prise accidentelle elle ne sera plus sévère que dans 16% environ des cas Mais il y peut y avoir des facteurs imprévisible augmentant une éventuelle réaction allergique Pour autant il ne faut pas stresser car les statistiques montrent que les accidents graves sont extrêmement rares Mais le risque nul n existe pas. La prescription d adrénaline est une sécurité supplémentaire qui doit être présentée comme une facilité pour conduire un PAI
41 Il faut accepter d entendre le raisonnement affectif des parents, et le confronter aux données objectives de l allergologue : Accepter que s immisce de fait un nouvel acteur dans la prise de décision médicale : un tiers Laisser les parents choisir en fonction des informations données par l allergologue puisque l allergologue n a pas les moyens de régler la question de façon certaine Donc exposer les faits objectivement Notion de compromis thérapeutique Dans le doute toujours en faire plus que moins +++ le regret est un sentiment terrible qu il faut anticiper, et que les parents anticipent lors de la décision finale. (W. HU et al. BMJ 2004, 329 : 852 4)
42 Mère très anxieuse : il faudrait comprendre la raison réelle de son anxiété : Parce qu elle est persuadée que cette AA peut être grave et donc elle ne sera rassurée que par la prescription d adrénaline? Ou parce qu elle veut forcer le médecin à dire : cette AA n est pas grave, j affirme qu il n a pas besoin d adrénaline? Se rappeler que la responsabilité de l enfant incombe aux parents : C est eux qui vont conduire l éviction, et surveiller leur enfant allergique au quotidien et faire face à des urgences Il faut donc les aider à assumer ce risque, en accédant à des demandes dont personne ne peut dire si elles sont pertinentes ou non (il faudrait une étude en double aveugle adrénaline ou pas) Ils font avec les informations données et il faut accepter leur interprétation des données statistiques (W Hu et al. J Med Ethics Medical Humanities 2005, 31 : 12 16)
43 Cas miroir : maintenant c est le médecin qui est convaincu que c est grave et le patient qui ne veut pas l admettre. On vit la situation précédente «coté maternel». Le cas de figure semble plus simple car on n est dans une situation très claire sur le plan médical concernant : Le niveau de sévérité Le risque potentiel La composition de la trousse d urgence Mais les données statistiques révèlent que c est dans ces situations à risque, qu effectivement le traitement d urgence n est pas toujours appliqué alors même que l information a été donnée : Faut-il faire peur? donner l information claire et informer le médecin traitant TPO? Intérêt d impliquer des tiers pour intervenir en cas d urgence? Education thérapeutique?
44 On sait comment rendre une allergie alimentaire moins dangereuse : - diagnostic précis - éviction claire (cru, cuit etc ) - éducation thérapeutique - traitement d urgence avec adrénaline ET béta2mimétique ++++
Exemple de Projet d Accueil Individualisé ELEVE CONCERNE
Exemple de Projet d Accueil Individualisé Circulaire projet d accueil n 2003-135 du 08/09/2003 (Bulletin Officiel n 34 du 18/9/2003) Circulaire restauration scolaire n 2001-118 du 25/06/2001(BO Spécial
Plus en détailRéintroductions alimentaires chez l enfant. M. Hofer - J.Wassenberg Immuno-allergologie Service de pédiatrie - CHUV
Réintroductions alimentaires chez l enfant M. Hofer - J.Wassenberg Immuno-allergologie Service de pédiatrie - CHUV Réintroductions alimentaires en 2004 Age: 12 mois 10 ans Nombre total: 30 Tests réussis:
Plus en détailDes désensibilisations inhabituelles : le chat, Alternaria. Michel Miguéres AART, janvier 2011
Des désensibilisations inhabituelles : le chat, Alternaria Michel Miguéres AART, janvier 2011 Allergènes répandus Pouvoir pathogène élevé Éviction difficile voire impossible ITS peut être considérée Quels
Plus en détailF.Benabadji Alger 22.11.13
F.Benabadji Alger 22.11.13 ALLERGIE DANS LE MONDE 4ÉME RANG MONDIAL (OMS) PROBLÈME DE SANTÉ PUBLIQUE LES CAUSES Notre environnement (industriel, technologique, scientifique et climatique) * Allergènes
Plus en détailL ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES
L ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES CONTEXTE 1. Pourquoi avoir élaboré un guide sur l éducation thérapeutique du En réponse à la demande croissante des professionnels de santé
Plus en détailENFANT ASTHMATIQUE? PAS DE PANIQUE Contrôlez et équilibrez l asthme de votre enfant
ENFANT ASTHMATIQUE? PAS DE PANIQUE Contrôlez et équilibrez l astme de votre enfant Membre de la Fédération Française de Pneumologie Avec le soutien de la Direction Générale de la Santé et le parrainage
Plus en détailPour pouvoir fréquenter le restaurant scolaire, l inscription préalable est obligatoire.
Chaque famille demandant l inscription de son ou de ses enfants en restauration scolaire s engage à respecter tous les points du présent règlement, notamment les modalités d inscription, de facturation
Plus en détailMieux vivre avec votre asthme
Mieux vivre avec votre asthme L éducation thérapeutique pour bien gérer votre asthme au quotidien Bien gérer sa maladie permet de reconnaître et maîtriser les symptômes afin de limiter la gêne respiratoire.
Plus en détailLes mises au point de l'ifn
Les mises au point de l'ifn Octobre 2008 N 2 Pascale Dumond, Gisèle Kanny Médecine interne, Immunologie clinique et allergologie Centre hospitalier universitaire de Nancy Hôpital Central 54035 Nancy cedex
Plus en détailInfection par le VIH/sida et travail
Documents publiés dans la collection VIH-sida du ministère de la Santé et de la Protection sociale : COLLECTION VIH/SIDA Sida-MST (maladies sexuellement transmissibles) Transmission - Diagnostic/dépistage
Plus en détailAttirez-vous les Manipulateurs? 5 Indices
Attirez-vous les Manipulateurs? Claire Parent 1 Attirez-vous les Manipulateurs? Claire Parent Mini livre gratuit Sherpa Consult Bruxelles, Mai 2012 Tous droits de reproduction, d'adaptation et de traduction
Plus en détailA vertissement de l auteur
A vertissement de l auteur Attention, ce livre n est pas à mettre entre toutes mains ; il est strictement déconseillé aux parents sensibles. Merci à Madame Jeanne Van den Brouck 1 qui m a donné l idée
Plus en détailLa prise en charge. de votre affection de longue durée
La prise en charge de votre affection de longue durée Comment fonctionne la prise en charge à 100 %? Quels sont les avantages pour vous? À quoi vous engagez-vous? Comment êtes-vous remboursé? Votre médecin
Plus en détailnewsletter Edito Avril Patrick Alexandre Président du Directoire
newsletter Avril Edito Patrick Alexandre Président du Directoire SUPERGENERIQUES Développement et élargissement du portefeuille de supergénériques QUATRE MEDICAMENTS Méthotrexate, Adrénaline, Sumatriptan,
Plus en détailRèglement intérieur de la restauration scolaire ville de TERGNIER
Règlement intérieur de la restauration scolaire ville de TERGNIER SOMMAIRE Chapitre 1 : Inscription 3 Article 1 : Organisation de la restauration scolaire... 3 Article 2 : Fréquentation. 3 Article 3 :
Plus en détail5 rue Marteville 35000 RENNES 5. Allergology Unit Hospital Bld Dr Lacroix - 11100 NARBONNE
Prévalence de la sensibilisation à l arachide dans une population de 4137 sujets consultant en allergologie Enquête du Réseau Allergo-Vigilance en 2002 Morisset M 1, Moneret-Vautrin DA 1, Kanny G 1, Rance
Plus en détailLe référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique
A R D E Q A F Le référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique 1.1 Définition de la profession et du contexte de l intervention p. 2 1.2 Le référentiel d activités du Diplôme
Plus en détail«Evaluation de l activité physique chez les enfants et adolescents à l aide d une méthode objective» SOPHYA
ID: «Evaluation de l activité physique chez les enfants et adolescents à l aide d une méthode objective» SOPHYA Swiss children s objectively measured physical activity Questionnaire pour les parents sur
Plus en détailAvis 29 mai 2013. XYZALL 5 mg, comprimé B/14 (CIP : 34009 358 502 4-9) B/28 (CIP : 34009 358 505 3-9) Laboratoire UCB PHARMA SA.
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 29 mai 2013 XYZALL 5 mg, comprimé B/14 (CIP : 34009 358 502 4-9) B/28 (CIP : 34009 358 505 3-9) Laboratoire UCB PHARMA SA DCI Code ATC (2012) Motif de l examen Liste
Plus en détailPRESCRIRE DANS L APLV?
QUEL LAIT PRESCRIRE DANS L APLV? Dr Avigael Benhamou Senouf Chef de clinique Allergologie pédiatrique Genève, Suisse RAPPEL APLV Prévalence en France: 2-3 % des nourrissons et 1% des enfants scolarisés
Plus en détailProgramme de certification d aliments transformés avec contrôle optimal d allergènes
Programme de certification d aliments transformés avec contrôle optimal d allergènes Par: Claire Dufresne AQAA Rencontre BNQ-AFNOR Octobre 2006 Mission de l AQAA Offrir du soutien et de l information,
Plus en détailRÈGLEMENT DU RESTAURANT SCOLAIRE
S O M M A I R E Préambule Règlement Objectifs Ecole / cantine Quelques chiffres Le prestataire 1 2 Préambule RÈGLEMENT DU RESTAURANT SCOLAIRE A N N É E 2 0 1 2 / 2 0 1 3 La municipalité de CHAMPAGNIER
Plus en détailAllergologie en pratique
2-0093 Allergologie en pratique M. Raffard, H. Partouche L incidence des maladies allergiques est en constante augmentation. Pour expliquer ce phénomène, on discute des modifications du style de vie dans
Plus en détailEst-ce que les parents ont toujours raison? Épisode 49
Est-ce que les parents ont toujours raison? Épisode 49 Fiche pédagogique Le thème du 49 e épisode dirige l attention sur une question fondamentale lorsqu il s agit de développer la pensée des enfants,
Plus en détailRèglement du restaurant scolaire
DEPARTEMENT DE LOIR-ET-CHER REPUBLIQUE FRANCAISE ARRONDISSEMENT DE BLOIS COMMUNE DE SAINT GERVAIS LA FORET Règlement du restaurant scolaire Le présent règlement concerne l organisation du restaurant scolaire.
Plus en détailREGLEMENT INTERIEUR du RESTAURANT SCOLAIRE de la COMMUNE de LINXE 05.58.73.89.58
REGLEMENT INTERIEUR du RESTAURANT SCOLAIRE de la COMMUNE de LINXE 05.58.73.89.58 Préambule La Commune de Linxe, organise un service de restauration pour son groupe scolaire. Ce service est ouvert à tous
Plus en détailDéfinition, finalités et organisation
RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Définition, finalités et organisation Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à présenter à l ensemble des professionnels de santé, aux patients
Plus en détailDiplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences
Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,
Plus en détailMa vie Mon plan. Cette brochure appartient à :
Ma vie Mon plan Cette brochure est pour les adolescents(es). Elle t aidera à penser à la façon dont tes décisions actuelles peuvent t aider à mener une vie saine et heureuse, aujourd hui et demain. Cette
Plus en détailARBRE DÉCISIONNEL INTERACTIF
ARBRE DÉCISIONNEL INTERACTIF DE GESTION DES PATIENTS ALLERGIQUES AVANT INJECTION DE PRODUIT DE CONTRASTE IODÉ D Geffroy¹, A Pipet², F Wessel², G Mineur¹, P Meingan¹, I Doutriaux¹, C Labbe¹, S Houdebine¹,
Plus en détailcontact@farabi.fr www.farabi.fr Carnet de Liaison Année scolaire :... /... Nom :... Prénom :... Classe :...
contact@farabi.fr www.farabi.fr Carnet de Liaison Année scolaire :... /... Nom :... Prénom :... Classe :... RENSEIGNEMENTS ÉLÈVE Nom Prénom Adresse Classe Tél. / L élève est autorisé à quitter l institut
Plus en détailRESTAURATION SCOLAIRE REGLEMENT INTERIEUR
RESTAURATION SCOLAIRE REGLEMENT INTERIEUR OBJET Le restaurant scolaire est un service municipal dont le fonctionnement est assuré par des agents municipaux, sous la responsabilité du Maire. ACCES AU RESTAURANT
Plus en détailLes plans de menus sont fournis par le prestataire de service à la semaine et sont affichés à l entrée de la cantine.
RESTAURANT SCOLAIRE D HABERE LULLIN REGLEMENT INTERIEUR Article préliminaire La cantine scolaire n a pas de caractère obligatoire et a pour objet d assurer, dans les meilleures conditions possibles d hygiène
Plus en détailLivret des nouveaux anticoagulants oraux. Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation
Livret des nouveaux anticoagulants oraux Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation DONNÉES DU PATIENT Nom Adresse Tél MÉDECIN TRAITANT Nom Adresse Tél SPÉCIALISTE Nom Hôpital Tél MÉDICAMENT
Plus en détailGROUPE SCOLAIRE GUYOT DESSAIGNE REGLEMENT INTERIEUR DU RESTAURANT SCOLAIRE
GROUPE SCOLAIRE GUYOT DESSAIGNE REGLEMENT INTERIEUR DU RESTAURANT SCOLAIRE PREAMBULE Le restaurant scolaire n a pas un caractère obligatoire, il a pour objet d assurer, dans les meilleures conditions d
Plus en détail4720.5560.46 (septembre 2009) 30 %
4720.5560.46 (septembre 2009) 30 % Prévenir le jeu excessif chez les adolescents C est toujours gagnant! Pourquoi ce dépliant? [ ] Le rôle des parents est déterminant dans la prévention du jeu excessif
Plus en détail1 - Qu est-ce qu une mission, comment déterminer son contenu et qui va les accomplir?
FICHE N 20 : LES MISSIONS DE TERRAIN À ASSURER Pour assurer la mise en œuvre des missions de sauvegarde, il est nécessaire de disposer d intervenants de terrain. En fonction des phénomènes, de la situation,
Plus en détailprise en charge paramédicale dans une unité de soins
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : prise en
Plus en détailSynthèse Mon projet d emploi
Synthèse Mon projet d emploi Nom : Date : Complété par : TÉVA Estrie 2012 La synthèse permet de recueillir les informations notées dans les questionnaires et de constater les ressemblances et les différences
Plus en détailLES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS
LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS 1. RÉFÉRENTIEL PROFESSIONNEL D ÉDUCATEUR SPÉCIALISÉ 2. RÉFÉRENTIEL ACTIVITÉS 3. RÉFÉRENTIEL DE 4. RÉFÉRENTIEL DE CERTIFICATION 5. RÉFÉRENTIEL DE FORMATION
Plus en détailFICHE D URGENCE * ECOLE JEAN MOULIN - LE BARCARES - Nom - Prénom de l enfant : Classe :.Date de naissance :..
FICHE D URGENCE * ECOLE JEAN MOULIN - LE BARCARES - Nom - Prénom de l enfant : Classe :.Date de naissance :.. Nom et adresse des parents ou du représentant légal :... N et adresse du centre de sécurité
Plus en détailAuriol : le service public de la Restauration scolaire
Auriol : le service public de la Restauration scolaire Au titre de nos valeurs communes, nous avons voulu décliner l offre de restauration en mettant l accent au plus près des enfants. Plus de 80% des
Plus en détailSUPPLEMENT AU DIPLÔME
SUPPLEMENT AU DIPLÔME Le présent supplément au diplôme (annexe descriptive) suit le modèle élaboré par la Commission européenne, le Conseil de l'europe et l'unesco/cepes. Le supplément vise à fournir des
Plus en détail1 mois de cotisation d assurance offert. pour toute nouvelle souscription d un contrat Auto*
OFFRES DE BIENVENUE RÉSERVÉES AUX SALARIÉS GRÂCE À VOUS, LES SALARIÉS DE VOTRE ENTREPRISE PEUVENT BÉNÉFICIER D UN MOIS DE COTISATION D ASSURANCE OFFERT POUR TOUTE NOUVELLE SOUSCRIPTION À TITRE INDIVIDUEL
Plus en détailQuestionnaire pour les enseignant(e)s
info@educatout123.fr www.educatout123.fr +31 614303399 L enfant qui bouge beaucoup! C est un fait, un enfant bouge beaucoup, il a besoin de se dépenser. Il arrive même parfois qu on n arrive plus à tenir
Plus en détailALTO : des outils d information sur les pathologies thromboemboliques veineuses ou artérielles et leur traitement
Communiqué de presse Bayer HealthCare S.A.S. Parc Eurasanté 220, avenue de la Recherche 59120 LOOS France Tel.+333 28 16 34 00 www.bayerhealthcare.fr Favoriser l observance avec ALTO : l engagement de
Plus en détailHypersensibilité immédiate déclenchée par un prick-test à l amoxicilline. Immediate hypersensitivity triggered by amoxicillin skin prick test.
Hypersensibilité immédiate déclenchée par un prick-test à l amoxicilline. Immediate hypersensitivity triggered by amoxicillin skin prick test. Cherih C 1, Bernede A 1, Breton AL 1, Pralong P 1-3, Nicolas
Plus en détailREFERENTIEL D AUTO-EVALUATION DES PRATIQUES EN ODONTOLOGIE
REFERENTIEL D AUTO-EVALUATION DES PRATIQUES EN ODONTOLOGIE Janvier 2006 I. PROMOTEURS Association dentaire française (ADF). Haute Autorité de santé (HAS). II. SOURCE Agence nationale d accréditation et
Plus en détailCONNAISSANCE DE SOI APPRENDRE A AVOIR CONFIANCE EN SOI
CONNAISSANCE DE SOI APPRENDRE A AVOIR CONFIANCE EN SOI Comprendre ses propres stratégies d échec et de réussite Mettre à jour ses freins, ses propres croyances Développer son potentiel et repousser ses
Plus en détailPeut-on faire confiance à une personne démente? olivier.drunat@brt.aphp.fr
Peut-on faire confiance à une personne démente? olivier.drunat@brt.aphp.fr Actualités en Médecine Gériatrique, Paris 17 juin 2015 Conflit d intérêt Remerciements au Dr O. Faraldi Une réponse triviale?
Plus en détailAssises Nationales du Maintien à Domicile 14 17 juin 2000 La douleur Les soins palliatifs. EXPERIENCE DE SOINS D'UNE EQUIPE A DOMICILE Dr AVEROUS
EXPERIENCE DE SOINS D'UNE EQUIPE A DOMICILE Dr AVEROUS INTRODUCTION (Présentation de l'association François-Xavier Bagnoud) L'Association L'association qui porte le nom de François-Xavier Bagnoud est une
Plus en détailComment la proposer et la réaliser?
RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Comment la proposer et la réaliser? Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à aider les professionnels de santé dans la mise en œuvre d un programme
Plus en détailALLERGIES ALIMENTAIRES : Etat des lieux et propositions d orientations. Carine DUBUISSON Sébastien LA VIEILLE Ambroise MARTIN
ALLERGIES ALIMENTAIRES : Etat des lieux et propositions d orientations Carine DUBUISSON Sébastien LA VIEILLE Ambroise MARTIN Janvier 2002 Les auteurs tiennent à remercier pour leurs suggestions et la lecture
Plus en détail1. Productions orales en continu après travail individuel
Tâches de production orale 2 niveau A2/B1 (Les tâches sont réalisables aussi bien au niveau A2 qu au niveau B1 suivant la complexité des énoncés et des interactions que les élèves sont capables de produire)
Plus en détailPrise de position sur les biosimilaires. Résumé
Prise de position sur les biosimilaires Résumé Les médicaments biotechnologiques, appelés également biomédicaments, occupent une place importante dans le traitement de maladies comme le cancer, la polyarthrite
Plus en détailRéférentiel Officine
Référentiel Officine Inscrire la formation dans la réalité et les besoins de la pharmacie d officine de demain - Ce référentiel décrit dans le cadre des missions et des activités du pharmacien d officine
Plus en détailProgramme d assurance-invalidité de courte durée
Programme d assurance-invalidité de courte durée Votre trousse de six pages Aperçu Le Programme d assurance-invalidité de courte durée (PAICD) assure un traitement uniforme pour tous les employés lorsqu
Plus en détailALLERGIE RESPIRATOIRE
ALLERGIE RESPIRATOIRE Catherine NEUKIRCH Service de Pneumologie et Allergologie INSERM U700 Hôpital Bichat, Université Paris 7 Enquête allergologique chez l asthmatique : oui! Cause allergique retrouvée
Plus en détailEcole Sacré-Cœur Camphin-en-Pévèle Année Scolaire 2014/2015 REGLEMENT INTERIEUR CANTINE SCOLAIRE ECOLE SACRE-CŒUR CAMPHIN-EN-PEVELE
REGLEMENT INTERIEUR CANTINE SCOLAIRE ECOLE SACRE-CŒUR CAMPHIN-EN-PEVELE 1 CHAPITRE 1. GENERALITES Article 1. Présentation Durant l année scolaire, un service de restauration scolaire est ouvert à l Ecole
Plus en détailPREVENTION ASV. Partie réalisée par Aurélys ANTOINE. Le 09/05/2015
PREVENTION ASV Partie réalisée par Le 09/05/2015 Atelier n 2 : Parasites et intoxication Principaux parasites de l été: - Les puces : c est quoi? - Les tiques : c est quoi? - Les aoutats : c est quoi?
Plus en détailLes français et les jeunes conducteurs
DOSSIER DE PRESSE Paris, 4 mai 2015 www.jeune-conducteur-assur.com Les français et les jeunes conducteurs Révélation de l étude Jeune Conducteur Assur / Ifop Enquête menée auprès d un échantillon de 1000
Plus en détailLES ÉLÈVES INSCRITS EN FORMATION PROFESSIONNELLE ET LEURS BESOINS SPÉCIFIQUES DE SOUTIEN À LA PERSÉVÉRANCE ET À LA RÉUSSITE. QUI SONT-ILS VRAIMENT?
LES ÉLÈVES INSCRITS EN FORMATION PROFESSIONNELLE ET LEURS BESOINS SPÉCIFIQUES DE SOUTIEN À LA PERSÉVÉRANCE ET À LA RÉUSSITE. QUI SONT-ILS VRAIMENT? Élisabeth Mazalon et Sylvain Bourdon Université de Sherbrooke
Plus en détailFiche résumée : AIDE À DOMICILE
Fiche résumée : AIDE À DOMICILE Aide ménagère Auxiliaire de vie Auxiliaire de vie sociale Auxiliaire familiale Employé familial Assistant de vie aux familles Assistant de vie dépendance Aide aux personnes
Plus en détailL utilisation de l approche systémique dans la prévention et le traitement du jeu compulsif
L utilisation de l approche systémique dans la prévention et le traitement du jeu compulsif Isabelle Cyr, B.sc. Psychologie. B.sc. Service social. T.s. Thérapeute Josée Dostie, B.A. Psychologie. Thérapeute
Plus en détailComment remplir une demande d AVS Remplir les dossiers administratifs quand on a un enfant autiste et TED (3) : demander une AVS
Comment remplir une demande d AVS Remplir les dossiers administratifs quand on a un enfant autiste et TED (3) : demander une AVS Intégration était le maître mot de la loi de 75, scolarisation est ce lui
Plus en détailCommune de RESTAURATION SCOLAIRE REGLEMENT INTERIEUR
Commune de RESTAURATION SCOLAIRE REGLEMENT INTERIEUR REGLEMENT INTERIEUR Vu la délibération du Conseil Communautaire en date du 26 mai 2015 et portant instauration du système des forfaits ; Vu la délibération
Plus en détailCompliance (syn. Adhérence - Observance) IFMT-MS-Sémin.Médict.Nov.05 1
Compliance (syn. Adhérence - Observance) IFMT-MS-Sémin.Médict.Nov.05 1 Qu est ce que la compliance? Une maladie a été diagnostiquée Le diagnostic est correct Le traitement a été bien indiqué, bien choisi,
Plus en détailREFLEXIONS POUR LE DEVELOPPEMENT D UNE PRATIQUE DE CONCERTATION PROFESSIONNELLE ENTRE MEDECINS ET PHARMACIENS DANS L INTERET DES MALADES
REFLEXIONS POUR LE DEVELOPPEMENT D UNE PRATIQUE DE CONCERTATION PROFESSIONNELLE ENTRE MEDECINS ET PHARMACIENS DANS L INTERET DES MALADES Le médecin et le pharmacien bien que fréquentant souvent des facultés
Plus en détailTDAH ET LA CONDUITE AUTOMOBILE
DOCUMENT SUPPLÉMENTAIRE 6C TDAH ET LA CONDUITE AUTOMOBILE Points clés pour les médecins à réviser avec les adolescents et adultes atteints de TDAH: Données concernant les risques: a) Des études cliniques
Plus en détailCirculaire 2015/1 «Comptabilité banques»
Foire aux questions (FAQ) Circulaire 2015/1 «Comptabilité banques» (Dernière modification : 22 juillet 2015) 1. Comment faut-il traiter les provisions, constituées initialement pour des limites de crédit
Plus en détailL ergonomie au service du développement de l enfant. Par Nicole Delvolvé Ergonome nicole.delvolve@orange.fr reussite-pour-tous.overblog.
L ergonomie au service du développement de l enfant Par Nicole Delvolvé Ergonome nicole.delvolve@orange.fr reussite-pour-tous.overblog.fr 1. La cadre théorique de la réflexion proposée 2. Quelles connaissances
Plus en détailMél : Nom de l ACMO : Mél ACMO :
Etat des lieux en hygiène et sécurité dans un établissement scolaire Rectorat Inspection en Hygiène et sécurité Dossier suivi par M. Gilbert ROUSSEAU Téléphone 05 57 57 39 82 Fax 05 57 57 87 40 Mél: Gilbert.rousseau@acbordeaux.fr
Plus en détailÉtude d impact IBM sur les états frontaliers - Sommaire
Étude d impact IBM sur les états frontaliers - Sommaire Les États-Unis sont le marché touristique international le plus important pour le Canada et l Ontario. Par conséquent, on déploie des efforts importants
Plus en détailCONCLUSION. Echanges I QU EST II - EXISTE-T-IL IL UN ACCOMPAGNEMENT EDUCATIF JUSTE FAVORISANT LE DEVELOPPEMENT DE L ENFANT L L ADOLESCENT?
I QU EST EST-CE QUI NOUS ATTIRE VERS LES «ECRANS»? II - EXISTE-T-IL IL UN ACCOMPAGNEMENT EDUCATIF JUSTE FAVORISANT LE DEVELOPPEMENT DE L ENFANT L ET DE L ADOLESCENT? III - QUELS SONT LES DANGERS POTENTIELS?
Plus en détailLes personnes âgées et le système de santé : quelles sont les répercussions des multiples affections chroniques?
Janvier 2011 Les personnes âgées et le système de santé : quelles sont les répercussions des multiples affections chroniques? Introduction Les soins dispensés aux patients souffrant d affections chroniques
Plus en détailRÈGLEMENT INTÉRIEUR. RESTAURATION SCOLAIRE Année scolaire 2014/2015
RÈGLEMENT INTÉRIEUR RESTAURATION SCOLAIRE Année scolaire 2014/2015 Article 1 : SERVICE MUNICIPAL DE RESTAURATION SCOLAIRE La ville d Andernos les Bains met à la disposition pour le déjeuner de tous les
Plus en détailUne forte dynamique des prescriptions de ces nouveaux anti-coagulants oraux
27 novembre 2013 Nouveaux anti-coagulants oraux : une étude de l Assurance Maladie souligne la dynamique forte de ces nouveaux médicaments et la nécessité d une vigilance accrue dans leur utilisation Les
Plus en détail1 La scintigraphie myocardique au Persantin ou Mibi Persantin
La scintigraphie myocardique au Persantin ou Mibi Persantin Pour mieux connaître l état de votre cœur, votre médecin vous a demandé de passer une scintigraphie myocardique au Persantin. Cette fiche explique
Plus en détailÉvaluation du risque cardiovasculaire dans le contexte de l hypertension artérielle et de son traitement
Évaluation du risque cardiovasculaire dans le contexte de l hypertension artérielle et de son traitement DIU HTA François Gueyffier Service de pharmacologie clinique UMR CNRS 5558 CIC 201, LYON francois.gueyffier@chu-lyon.fr
Plus en détailPROGRAMME DE FORMATION. Etre Coach professionnel en entreprise
PROGRAMME DE FORMATION Etre Coach professionnel en entreprise Buts : Former des coachs professionnels capables d intervenir dans le monde de l entreprise pour accompagner et développer l autonomie de salariés
Plus en détailRestauration Scolaire Lycée Français Josué-Hoffet. Cahier des Charges et Contrat 2014
Restauration Scolaire Lycée Français Josué-Hoffet Cahier des Charges et Contrat 2014 Siglaisons et troncation : APE : Association des Parents d Élèves COGES : Comité de Gestion CHSCT : Commission Hygiène
Plus en détailCas clinique Enquête autour d un cas IDR vs IGRA Pr Emmanuel Bergot
Cas clinique Enquête autour d un cas IDR vs IGRA Pr Emmanuel Bergot Service de Pneumologie, CHU Côte de Nacre Centre de compétence régionale de l HTAP UMR INSERM 1086 «Cancers et Préventions», Université
Plus en détailEDUCATEUR SPECIALISE ANNEXE 1 : REFERENTIEL PROFESSIONNEL
EDUCATEUR SPECIALISE ANNEXE 1 : REFERENTIEL PROFESSIONNEL 1.1 DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION L éducateur spécialisé, dans le cadre des politiques partenariales de prévention,
Plus en détailREGLEMENT DU SERVICE DE CANTINE SCOLAIRE
REGLEMENT DU SERVICE DE CANTINE SCOLAIRE Préambule : Le présent règlement approuvé par le Conseil Municipal de Tende régit le fonctionnement de la cantine scolaire. La cantine scolaire est un service facultatif,
Plus en détail«Les antibiotiques c est pas automatique», 12 ans après, quels sont les changements laissés par ce slogan percutant?
«Les antibiotiques c est pas automatique», 12 ans après, quels sont les changements laissés par ce slogan percutant? Thèse présentée et soutenue publiquement Le 17 juin 2014 Pour obtenir le Diplôme d État
Plus en détailMon boss ne délègue pas
Situation 3 Mon boss ne délègue pas L importance d une rhétorique soignée Les situations de pur rapport de force Autonomie et contrôle La délégation Explication/justification La situation Pierre, notre
Plus en détailRÈGLEMENT INTÉRIEUR DU RESTAURANT SCOLAIRE DE JUMIÈGES
RÈGLEMENT INTÉRIEUR DU RESTAURANT SCOLAIRE DE JUMIÈGES I - RÈGLES GÉNÉRALES Article 1 - Le restaurant scolaire n a pas un caractère obligatoire, il a pour objet d assurer, dans les meilleures conditions
Plus en détailCENTRE DE VACANCES DE BRAINE-LE-COMTE 2015 LIEU DU CENTRE DE VACANCES : Ecole de Ronquières, rue d Henripont 145 FICHE D INSCRIPTION.
CENTRE DE VACANCES DE BRAINE-LE-COMTE 2015 LIEU DU CENTRE DE VACANCES : Ecole de Ronquières, rue d Henripont 145 FICHE D INSCRIPTION L ENFANT Nom : Prénom : Date de naissance : Adresse : EST INSCRIT PAR
Plus en détailIschémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète.
Ischémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète. A propos d un cas clinique, sont rappelés: - les caractères cliniques et pronostiques de l IMS chez le diabétique, - la démarche de l identification de
Plus en détailDemande de règlement d invalidité de longue durée
Régime d assurance pour les cadres de gestion de la Fonction publique Demande de règlement d invalidité de longue durée Industrielle Alliance, Assurance et services financiers inc. Police collective n
Plus en détaildéveloppement informatiquee DES ACVC]
Octobre 2010 CALYXIS, pôle d expertise du risque Anthony SIEUW, chargé d études statistiques et de développement informatiquee [BAROMETRE DES ACVC] ] Le 29 Septembre 2010, un questionnaire internet (www.barometre
Plus en détailPARTIE 5 NOTICE HYGIENE ET SECURITE
de en Martinik NOTICE HYGIENE ET SECURITE BUREAU VERITAS ASEM Dossier n 6078462 Révision 2 Octobre 2014 Page 1 de en Martinik SOMMAIRE 1. INTRODUCTION... 3 1.1 OBJET DE LA NOTICE... 3 1.2 CADRE REGLEMENTAIRE...
Plus en détailL HABILITATION EN ÉLECTRICITÉ Démarche en vue de l habilitation du personnel
Prévention et Gestion des Risques Professionnels Sécurité Sociale Caisse régionale d assurance maladie Alsace-Moselle L HABILITATION EN ÉLECTRICITÉ Démarche en vue de l habilitation du personnel Note Technique
Plus en détailInstructeur du dossier : Adresse : Téléphone : E-mail :
Commission Permanente d Action Sociale. DEMANDE d AIDE FINANCIERE 2015 Vacances Familiales ou Individuelles, Cures, Voyages pour Insuffisants Respiratoires, Maladies rares, Neurologiques, Asthme Séjours
Plus en détailadmission directe du patient en UNV ou en USINV
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : admission
Plus en détailECOLE PRIMAIRE QUERAL ECOLE MATERNELLE CHARLES PERRAULT ECOLE DU CHAT PERCHE SAINT-ROCH
COMMUNE DE PONTCHATEAU REGLEMENT INTERIEUR DES RESTAURANTS SCOLAIRES MUNICIPAUX ECOLE PRIMAIRE QUERAL ECOLE MATERNELLE CHARLES PERRAULT ECOLE DU CHAT PERCHE SAINT-ROCH Le présent règlement, adopté par
Plus en détailScroll down for the full contact details of these training centres.
FRANCE Paediatric Respiratory Medicine national training representative responsible: Prof. Dr A. CLEMENT, Prof. Dr P. SCHEINMANN Status of national recognition: French Paediatric Respiratory Medicine has
Plus en détailbaby-sitting le service
le service baby-sitting Destiné aux Saint-Bricien(nes), le service baby-sitting a été mis en place afin de mettre en contact parents et lycéen(ne)s / étudiant(e)s recherchant un job de baby-sitter. CLes
Plus en détailFormation certifiante au métier de coach scolaire
Formation certifiante au métier de coach scolaire 1 Préambule CoachingMaestro est un portail de formations dédié à toute personne intéressée dans l accompagnement des jeunes. Préambule Ses missions sont
Plus en détail