PAUVRETÉ ET LUTTE CONTRE LA PAUVRETÉ EN TUNISIE
|
|
- Renée Normand
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 République Tunisienne Ministère de l Enseignement Supérieur Institut National du Travail et des Etudes Sociales Séminaire International Justice sociale et lutte contre l exclusion dans un contexte de transition démocratique PAUVRETÉ ET LUTTE CONTRE LA PAUVRETÉ EN TUNISIE VERS UNE ANALYSE SOCIOLOGIQUE Ali JAIDI Institut National du Travail et des Etudes Sociales INTES Septembre 2011
2 2 ORIGINE ET OBJET DE L INTERVENTION I. Conclusions et Données : Conclusions : données quantitatives et qualitatives ( ), 3 catégories de données : Données institutionnelles (services sociaux), Données statistiques (l INS et du MAS), Données empiriques (Enquête familles pauvres). II. Origine : Paradoxe caractérisant la pauvreté Contexte Mondial dominé par la pauvreté, INS : pauvreté recule même pendant le PAS : 3.8% 2005, Taux déconnecté des résultats de l économie, Taux inférieur à des taux enregistrés en Europe plus que 12%. III. Questionnement : L Etat n aurait-il pas tendance à sous-estimer l ampleur de la pauvreté? Présenter une fausse image de la société tunisienne? IV. Objet de l Intervention : Evolution de L ALCP (Perception et action), Ampleur de la pauvreté (rupture avec le schéma officiel), Efficacité des PLCP (besoins sociaux et promotion sociale), Profil des populations pauvres (dynamique positive).
3 3 Trois périodes de pauvreté : La pauvreté des années 60, La pauvreté des années 70-85, La pauvreté des années 86-nos jours,..question I. EVOLUTION DE L ALCP I. Années 60 : (Pauvreté de Masse) Chute générale des indicateurs sociaux, LCP = Logique de lutte contre le sous-développement, Objet des Politiques sociales générales : Politique de la Santé, Politique de l éducation, Politique de la population, etc. Politique spécifique de LCP, Comprend deux chapitres : Aides au noyau dur des pauvres : (l UTSS 1958), Développement local 1963 : (Orientations collectivistes).
4 4..QUESTION I. EVOLUTION DE L ALCP II. Années : (nouvelles orientations) Action de l Etat réorientée vers deux champs : Pauvreté monétaire et l exclusion sociale = PLCP axée Création des sources de revenu, Soutien au pouvoir d achat. Les zones plus concernées : Lutte contre la pauvreté rurale. III. Années 86-Nos jours : (Refonte générale) Contenir les effets sociaux néfastes du PAS, Dispositif de ciblage de besoins consolidé : Prolongé par d autres instruments : Espace social dominé par la pauvreté urbaine : Devenu chapitre indépendant dans la PLCP : Exclusion sociale et emploi plus d envergure : Réorganisation de l AMG2 : Création de programmes d intégration : Création de 4 Instruments : CGC : 70 PDR : 73 PFP : 76 PDRI : 84 PNAFN : 86 FNS : 93 AMG1 : 98 PDUI : 92 AMG2 : 98 FNE : 99 BTS : 97
5 5 QUESTION I. ALCP DUALISTE I. Dimension officielle : Repose sur perception simpliste et absolue, Cible le noyau dur des pauvres et couvre les besoins de base, Produire les statistiques et le discours politique, Repérables dans deux grands registres : l INS et le MAS. II. Dimension Institutionnelle : Pauvreté ph. Complexe = démarche multidimensionnelle, S oriente aux catégories sociales vulnérables, Couvre les différents besoins sociaux. III. Dispositif de LCP en vigueur : Résultat brut de ce passage, Complexe, Cible les formes de pauvreté, Tableau établit le rapport : Programme social, Type de pauvreté.
6 6 QUESTION II. EVOLUTION ET AMPLEUR DE LA PAUVRETÉ I. Evolution de la pauvreté à partir des statistiques officielles : L état des faits : statistiques officielles affirment le recul de la pauvreté, Taux est passé de : Pauvreté urbain Total Pauvreté rurale Pauvreté urbain Pauvreté rurale Total Tendance régressive valable également pour : La pauvreté rurale, La pauvreté urbaine, La pauvreté dans les régions.
7 7 QUESTION II. EVOLUTION ET AMPLEUR DE LA PAUVRETÉ II. Evolution des autres formes de pauvreté : Selon l INS, les indicateurs exprimant : La pauvreté des conditions de vie, La pauvreté humaine, Les autres formes de pauvreté, Confirment cette même tendance régressive. Taux Logements rudimentaires 23% : % : % : 2008 Taux brut de Mortalité 10%0 : %0 : %0 : 2006 Taux de Mortalité infantile 51.4%0 : %0 : %0 : 2007 Taux d Analphabétisme 55% : % : % : 2002 Coefficient alimentaire 41% : % : % : 2005 Taux couverture Eau potable 84% : % : % : 2008 Taux couverture Electricité 86% : % : % : 2008 Taux de scolarisation 86% : % : % : 2005 Espérance de vie 58 : : : 2008
8 8 QUESTION II. EVOLUTION ET AMPLEUR DE LA PAUVRETÉ III. Evolution de la pauvreté selon certaines organisations : BM, BIT et PNUD présentent des schémas différents, BIT : 19.5% en 1995 ; PNUD : 19.2% en Taux Pauvreté INS 22 12,9 7,7 6,7 6,2 4,2 3,8 BIT 37,2 28,6 22,7 20,6 19,5 BM 11,3 7,4 7,7 4,1 PNUD 23,3 19,9 19,2 18,3 Ecart INS -BIT 15,2 15, ,9 13,3 Ecart INS -BM 3,6 0,7 1,5-0,1 Ecart INS -PNUD 17,1 15,7 15,4 18,3 IV. Evolution de la pauvreté selon certains économistes : Selon des économistes : le taux de 3 à 5 fois celui de l INS, Indice composite de bien-être en 2001 = 23.2% contre 4.2%, Méthode des sous ensembles flous en 2006 = 24.4% contre 3.8%. Taux de pauvreté INS 6,7 6,2 4,2 ICBE 46,2 35,5 23, SsE. Flous 35,46 24,4 Ecart INS-ISBE 39,5 29,3 19 Ecart INS-SsE. Flous 29,26 20,2
9 9 QUESTION II. EVOLUTION ET AMPLEUR DE LA PAUVRETÉ I. Evolution de la pauvreté selon la méthode de G. Simmel : Ecarts entre les estimations officielles et les autres estimations très importants. INS ICBE INS BIT BM PNUD Comment savoir : Les autres estimations en train de produire de nouvelles aberrations? Dilemme résolu avec l approche de G. Simmel : observer les services sociaux, II. Définition sociologique de la pauvreté : Pauvreté = Construction sociale à appréhender dans les rapports sociaux (SSS), A partir du moment où ils sont assistés (), ou leur situation leur donne droit à l AS, Partie d un groupe caractérisé par la pauvreté. Aborder la pauvreté d un point de vue sociologique : Démarche vers la réaction sociale : politiques sociales et services sociaux.
10 10 QUESTION II. EVOLUTION ET AMPLEUR DE LA PAUVRETÉ II. En Appliquant la démarche Sociologique : 1 ère catégorie de pauvres : Familles nécessiteuses : Critères : Pauvreté extrême/absolue, Critère de base : Rev. Anl. Indiv. Moyen/F. < Seuil de pauvreté en vigueur. MAS 2005 : familles reçoivent l aide sociale : PNAFN, AMG1, ASO. Taille moyenne ménage pauvre = 6.3P/F, Taux de familles ayant reçu l AS en termes de pauvreté absolue en INS PNAFN AMG1 ASO Taux pauvreté 3,8 7,28 10,76 12, INS PNAFN AMG1 ASO
11 11 QUESTION II. EVOLUTION ET AMPLEUR DE LA PAUVRETÉ III. En Appliquant la démarche de G. Simmel : Les S.S. révèlent une trajectoire de la pauvreté différente de celle de l INS, Taux serait passé de : INS 7,7 6,7 4,2 3,8 MAS 8, Taux de pauvreté selon le MAS Taux pauvreté selon l'ins Pauvreté absolue ne recule pas, Elle gagne de plus en plus de terrain, Cela est logique dans le cadre du PAS.
12 12 QUESTION II. EVOLUTION ET AMPLEUR DE LA PAUVRETÉ Pauvreté relative 2000 et 2005 I. Pauvreté relative : Populations fragiles, faibles Définitions différentes et les estimations par conséquent : 2000, 08.8% selon Seklani, 2000, 12.3% selon PNUD, 2005, 7.7% selon L INS. INS Seklani PNUD S orienter vers les services sociaux = 2 ème catégorie de pauvres, Familles à revenu limité éligible à l aide sociale / l AMG2, Définie par un Rapport entre SMIG/Taille de famille : Assistance sociale = Pauvreté relative exprimée par FRL, Décret n du 18 Février 1998 se rapportant à la détermination des catégories bénéficiaires des cartes de soins à tarif réduit. II. Familles à revenu limité : MAS 2005 révèlent F bénéficiaires de l aide sociale, Cartes des soins à tarif réduit, Eligibles également à l aide scolaire et autres formes. Soit un taux de 24.6% de la population, Taux global populations Assistées peut atteindre le 1/3. INS MAS
13 13..QUESTION III. EFFICACITÉ DE L ALCP I. Evaluation du traitement social de la pauvreté : Comparer l aide sociale globale annuelle/famille avec 2 indicateurs : Dépenses courantes de consommation, Dépenses alimentaires. Comparaison = Ecarts positifs et Ecarts négatifs : Ecarts positifs = Aide Couvre les besoins = pourcentage 1.02% DCC et 3.23% DA, Ecarts négatifs = Aide ne couvre pas les besoins = pourcentage 98% DCC et 96% DA, Dépenses de consommation Nbr familles Taux Nbr personnes Taux Familles à écart positif , ,02 Familles à écart négatif , ,98 Total Dépenses alimentaires Familles à écart positif , ,23 Familles à écart négatif , ,76 Total Ecart positif Ecart négatif Dépenses de consommation Dépenses alimentaures Constatation : Pour survivre et pour combler les insuffisances : Majorité des familles assistées devraient Recourir à d autres solutions.
14 14 QUESTION III. EFFICACITÉ DE L ALCP II. Traitement actif de la pauvreté : mêmes conclusions La mise à jour du FNP repose sur trois mouvements : Décès, Adresse, Amélioration SS. L amélioration de la situation sociale = passage d une situation de pauvreté, Ce qui permet le retrait de l aide sociale. Selon le MAS, F. retirées du FNP en , soit 19% (PNAFN), Chiffre concerne les trois mouvements sur le FNP, Travailleurs sociaux = l amélioration est la moins importante, Taux familles échappant à la pauvreté ne dépasse pas 4.75% 95.25% des Familles persistent dans la pauvreté : Familles retirées du FNP Familles non retirées IV. Déduction : Politique sociale fonctionne avec une assistance sociale : Ne couvre pas les besoins fondamentaux des pauvres, Ne permet pas de briser le cercle de pauvreté.
15 QUESTION IV. PROFIL DES PAUVRES : I. Profil officiel de la pauvreté (INS) : Profil de la pauvreté et profil des populations pauvres, Profil établi selon un schéma standard : Répartition selon le milieu, les régions, les catégories SP, la taille du ménage. Théorie : cela permet l affectation des ressources et le ciblage des besoins, Ce qui ne correspond pas à la réalité car l aide sociale (monétaire) : ne tient pas compte : Seuil, Taille, milieu, autres facteurs, Quotas régionaux du PNAFN nbre demandeurs (Listes d attente). II. Réalités sociales : Profil officiel exprime une réalité sociale et sociologique admise : Taux et intensité de pauvreté augmentent avec la taille de la famille, Taux de pauvreté plus importants dans les régions intérieures. GG : MAS avance presque la mm courbe régionale de la pauvreté que l INS. GD : Centre-ouest reçoit un taux PNAFN < au nbre DAS et nbre de familles pauvres. 15 ASO AMG1 PNAFN INS INS PNAFN AMG1
16 QUESTION IV. PROFIL DE LA PAUVRETÉ 16 I. Nature de la pauvreté : Pauvreté structurelle, durable et résistante, Découle d un engrenage fatal : Un profil des pauvres de plus en plus incapables, Un système socioéconomique de plus en plus imperméable. II. Les Catégories des populations pauvres : Pauvreté plus lourde et plus dure chez les FN, Plus légère et moins dramatique chez les FRL, Les FRL constituent une base de recrutement des FN. III. Questionnaires et entretiens avec des FN et des FRL : Profil commun aux 2 catégories (FN et FRL), Ce profil contient cinq paramètres : Les conditions de vie, Le Travail, La famille, La capabilité, Eléments culturels et comportementaux.
17 17 QUESTION IV. PROFIL DES PAUVRES : I. Conditions de vie : Déséquilibre fondamental entre des revenus et des dépenses, Logements indécents et des conditions de vie difficiles ou médiocres, L isolement et l enclavement (Zones rurales) (FN). II. Travail : (2 catégories) Le non travail, le chômage et le travail précaire et indécent, L absence d une couverture sociale (Régime de sécurité sociale), III. Famille : L absence de soutien familial, (Parmi les membres de la famille) (FN), Présence de facteurs fragilisants : (2 catégories) Présence de personnes à besoins spécifiques (Handicapés, Personnes âgées) Taille : Familles nombreuses, Monoparentalité et/ou Dislocation famille. IV. Capabilité (A. Sen) : (2 catégories) Insuffisance du capital économique et physique : Epargne, propriété, Insuffisance du capital humain : scolaire, professionnel, Insuffisance du capital social : appartenance sociale, régionale, réseaux sociaux. V. Eléments Culturels : (2 catégories) Présence de certains éléments Culturels et des comportement (stagnation) : Pratiques de Débrouillardise sociale, Comportements, Attitudes.
18 Population et LCP en Tunisie Ali JAIDI Institut National du Travail et des Etudes Sociales Merci De Votre Attention
Les critères d identification des pays les moins avancés
Les critères d identification des pays les moins avancés Vue d ensemble Ce document reprend les éléments présentés sur le site du Comité des politiques de développement http://www.un.org/en/development/desa/policy/cdp/ldc/ldc_criteria.shtml
Plus en détailRoyaume du Maroc. La masse salariale et ses impacts sur les équilibres économiques et financiers
Royaume du Maroc La masse salariale et ses impacts sur les équilibres économiques et financiers Table des Matières 1. Données sur la masse salariale...2 1.1. Importance de la masse salariale...2 1.2. Aggravation
Plus en détailPerspectives économiques régionales Afrique subsaharienne. FMI Département Afrique Mai 2010
Perspectives économiques régionales Afrique subsaharienne FMI Département Afrique Mai 21 Introduction Avant la crise financière mondiale Vint la grande récession La riposte politique pendant le ralentissement
Plus en détailLE TABLEAU DE BORD DE SUIVI DE L ACTIVITE
TABLEAU DE BORD LE TABLEAU DE BORD DE SUIVI DE L ACTIVITE DEFINITION Le tableau de bord est un support (papier ou informatique) qui sert à collecter de manière régulière des informations permettant de
Plus en détailUne famille, deux pensions
famille, deux pensions Susan Poulin Au cours du dernier quart de siècle, la proportion de familles composées de deux conjoints mariés ayant tous deux un emploi a augmenté de façon phénoménale. En 1994,
Plus en détailLe FMI et son rôle en Afrique
Le FMI et son rôle en Afrique M a r k P l a n t, V a l e r i a F i c h e r a, N o r b e r t F u n k e D a k a r, l e 3 n o v e m b r e 2 0 1 0 Sommaire Comment fonctionne le FMI? Comment l Afrique a-t-elle
Plus en détailRETOUR SUR LA RÉFORME DES ALLOCATIONS D INSERTION
Annexe 2 (doc. IW/13/CM.08) RETOUR SUR LA RÉFORME DES ALLOCATIONS D INSERTION (an c i e n n e m e n t «a l l o c a t i o n s d a t t e n t e») D ici exactement 475 jours, le 1 er janvier 2015, 30.000 personnes
Plus en détailrésumé un développement riche en emplois
ne pas publier avant 00:01 Gmt le mardi 27 mai 2014 résumé un développement riche en emplois Rapport sur le Travail dans le Monde 2014 Un développement riche en emplois Résumé ORGANISATION INTERNATIONALE
Plus en détailLISTE DES DOCUMENTS A FOURNIR A L APPUI DE VOTRE DEMANDE DE BOURSE
2015-1 - 1 Cette liste n'est pas exhaustive. L'Administration se réserve le droit de demander tout document complémentaire qui lui apparaîtrait nécessaire lors de l'instruction du dossier. Aucun document
Plus en détailLe système de protection sociale en santé en RDC
REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO MINISTERE DE L EMPLOI, DU TRAVAIL ET DE LA PREVOYANCE SOCIALE Le système de protection sociale en santé en RDC 13/09/2013 1 I. Contexte national Plan II. Mesures de protection
Plus en détailCollecter des informations statistiques
Collecter des informations statistiques FICHE MÉTHODE A I Les caractéristiques essentielles d un tableau statistique La statistique a un vocabulaire spécifique. L objet du tableau (la variable) s appelle
Plus en détailQuelles ressources pour vivre seul, en 2014, dans une commune du Doubs? Essai d évaluation
1 Septembre 2014 Quelles ressources pour vivre seul, en 2014, dans une commune du Doubs? Essai d évaluation Grand-Charmont est une commune de 5200 habitants qui compte 57 % de logements sociaux. Les revenus
Plus en détailPart des salaires dans la valeur ajoutée
NOTE CGT SUR LES SALAIRES ET LE POUVOIR D ACHAT Augmenter les salaires pour renouer avec la croissance Montreuil, le 18 juin 2013 On ne peut pas parler salaires sans parler coût du capital. Dans une économie
Plus en détailLe calcul du barème d impôt à Genève
Le calcul du barème d impôt à Genève Plan : 1. Historique Passage d un système en escalier à une formule mathématique 2. Principe de l imposition Progressivité, impôt marginal / moyen ; barème couple/marié
Plus en détail[ les éco_fiches ] Situation en France :
Des fiches pour mieux comprendre l'actualité éco- nomique et les enjeux pour les PME Sortie de crise? Depuis le 2ème trimestre la France est «techniquement» sortie de crise. Cependant, celle-ci a été d
Plus en détailLa pension de vieillesse au Luxembourg: réglementation et modalités de calcul. Florence Navarro
La pension de vieillesse au Luxembourg: réglementation et modalités de calcul Déjeuner-débat ELSA Florence Navarro 2 juillet 2014 Le principe des 3 piliers en matière de pension 1 er pilier Sécurité sociale
Plus en détailLe creusement des inégalités touche plus particulièrement les jeunes et les pauvres
LE POINT SUR LES INÉGALITÉS DE REVENU Le creusement des inégalités touche plus particulièrement les jeunes et les pauvres Résultats issus de la Base de données de l OCDE sur la distribution des revenus
Plus en détailCompétences essentielles numériques dans les petites entreprises rurales QUESTIONNAIRE DU SONDAGE PRÉ- FORMATION DES EMPLOYEURS
1 Nom de l organisation INTRODUCTION Merci de prendre le temps de participer à ce sondage. Les résultats nous fourniront des données essentielles afin de mesurer l efficacité de la formation. Ces données
Plus en détail1. Les comptes de dépôt et d épargne
1. Les comptes de dépôt et d épargne 1.1 Les comptes de dépôt 1.1.1 Le taux de possession d un compte de dépôt Le premier constat est celui d un accès important aux comptes de dépôt, quelle que soit la
Plus en détailINDIVIDUAL CONSULTANT PROCUREMENT NOTICE
INDIVIDUAL CONSULTANT PROCUREMENT NOTICE Date: 10 Novembre 2014 Pays: TUNISIE Description de la consultation: RECRUTEMENT D UN CONSULTANT NATIONAL EXPERT SOCIETE CIVILE Nom du projet: JUSTICE TRANSITIONNELLE
Plus en détailRecommandation de RECOMMANDATION DU CONSEIL. concernant le programme national de réforme du Luxembourg pour 2015
COMMISSION EUROPÉENNE Bruxelles, le 13.5.2015 COM(2015) 265 final Recommandation de RECOMMANDATION DU CONSEIL concernant le programme national de réforme du Luxembourg pour 2015 et portant avis du Conseil
Plus en détailAgricultures paysannes, mondialisation et développement agricole durable
Agricultures paysannes, mondialisation et développement agricole durable Marcel MAZOYER professeur à La Paz juillet 2 007 Contenu 1. Une situation agricole et alimentaire mondiale inacceptable 2. Développement
Plus en détailAnalyse et exploitation des données du rapport. du PNUD sur le développement humain
Royaume du Maroc Direction des Etudes et des Prévisions financières Analyse et exploitation des données du rapport du PNUD sur le développement humain Novembre 1995 Document de travail n 02 Analyse et
Plus en détailInégalités de salaires et de revenus, la stabilité dans l hétérogénéité
Inégalités de salaires et de revenus, la stabilité dans l hétérogénéité Gérard Cornilleau Des inégalités contenues, des classes moyennes fragiles Le débat sur les salaires n est plus aujourd hui dominé
Plus en détailDéfinitions. Définitions sur le logement
Définitions sur le logement Logement Un logement est défini par son utilisation : c est un local séparé et indépendant utilisé pour l habitation. Il doit être séparé d autres locaux par des murs ou cloisons
Plus en détailAssociations Dossiers pratiques
Associations Dossiers pratiques Optimisez la gestion financière de votre association (Dossier réalisé par Laurent Simo, In Extenso Rhône Alpes) Les associations vivent et se développent dans un contexte
Plus en détailConseil national de l information statistique
Conseil national de l information statistique Commission Système financier et financement de l économie Accessibilité et inclusion bancaire 25 septembre 2014 1 Pourquoi la Croix-Rouge française s occupe-t-elle
Plus en détailNOTE SUR LA MODELISATION DU RISQUE D INFLATION
NOTE SUR LA MODELISATION DU RISQUE D INFLATION 1/ RESUME DE L ANALYSE Cette étude a pour objectif de modéliser l écart entre deux indices d inflation afin d appréhender le risque à très long terme qui
Plus en détailL indice de SEN, outil de mesure de l équité des systèmes éducatifs. Une comparaison à l échelle européenne
L indice de SEN, outil de mesure de l équité des systèmes éducatifs. Une comparaison à l échelle européenne Sophie Morlaix To cite this version: Sophie Morlaix. L indice de SEN, outil de mesure de l équité
Plus en détailBurkina Faso Profil pays EPT 2014
Burkina Faso Profil pays EPT 14 Contexte général Situé au cœur de l Afrique occidentale, dans la boucle du Niger, le Burkina Faso est l un pays des pays les plus peuplés de la sous-région Ouest-africaine
Plus en détail8 Certifications Minergie
8 Chapitre 8 Être Minergie, est-ce aussi être «autrement»? Pour de nombreux acteurs du marché immobilier, un label de durabilité devrait s accompagner d une appréciation de la valeur de leur immeuble,
Plus en détailComment les pratiques en milieu scolaire agissent-elles au regard des inégalités sociales de santé? Regard sur trois continents
Comment les pratiques en milieu scolaire agissent-elles au regard des inégalités sociales de santé? Regard sur trois continents Rencontre francophone internationale sur les inégalités sociales de santé
Plus en détailLa retraite en Suisse : le 2 ème pilier
La retraite en Suisse : le 2 ème pilier Conférence du Vendredi 27 mars 2015 présentée par le Service Juridique du GTE Suzanne Ruiz-Berthet LA PLACE DU 2EME PILIER DANS LE SYSTÈME DE RETRAITE SUISSE 1 er
Plus en détailCouverture du risque maladie dans les pays en développement: qui doit payer? (Paris, 7 mai 2008)
Couverture du risque maladie dans les pays en développement: qui doit payer? (Paris, 7 mai 2008) Excellences, Chers collègues, Mesdames et Messieurs, Chers amis, Quelles méthodes, quels instruments pour
Plus en détailImpact du mobile banking sur les comportements d épargne et de transferts à Madagascar. Florence Arestoff Baptiste Venet
Impact du mobile banking sur les comportements d épargne et de transferts à Madagascar Florence Arestoff Baptiste Venet 1 Introduction : contexte du contrat de recherche Ce contrat de recherche fait suite
Plus en détailpas de santé sans ressources humaines
Résumé Une vérité universelle : pas de santé sans ressources humaines + alliance mondiale pour les personnels de santé Résumé Objectif Le présent rapport est destiné à éclairer les débats du troisième
Plus en détailDécrets, arrêtés, circulaires
Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DES FINANCES ET DES COMPTES PUBLICS Décret n o 2014-444 du 29 avril 2014 relatif au fonds de soutien aux collectivités territoriales et à certains
Plus en détailRégime de retraite patronal-syndical (Québec) de l'association internationale des machinistes (A.I.M.)
Régime de retraite patronal-syndical (Québec) de l'association internationale des machinistes (A.I.M.) 2002 Pourquoi la planification de la retraite est-elle importante? Peu importe vos projets pour la
Plus en détailRevendiquons une véritable liaison au bien-être! Des pensions décentes, ce n est que justice. Revendiquons une véritable liaison au bien-être!
Revendiquons une véritable liaison au bien-être! Des pensions décentes, ce n est que justice. Revendiquons une véritable liaison au bien-être! Cela fait bien longtemps que les pensions et les allocations
Plus en détailInitiative socialiste pour des impôts équitables Commentaires Bernard Dafflon 1
Initiative socialiste pour des impôts équitables Commentaires Bernard Dafflon 1 L initiative socialiste pour des impôts équitables soulève des discussions souvent quérulentes entre défenseurs de l initiative
Plus en détailBourses Scolaires - 2nd Conseil - Campagne 2015/2016
Bourses Scolaires - 2nd Conseil - Campagne 2015/2016 Date limite de dépôt du dossier au consulat : 18 septembre 2015 Cette rubrique présente les modalités de constitution et dépôt du dossier de bourse,
Plus en détailPlus de 43 000 recrutements et deux concours externes
Plus de 43 000 recrutements et deux concours externes 2013 marque le début de la refondation de la formation initiale des enseignants > Pour remplacer les départs des enseignants en 2013, 22 100 postes
Plus en détailLes critères de segmentation Critères Variables retenues Description Exemple Pays, région, ville, Chauffage,
SYNTHÈSE DU CHAPITRE 11 : LA SEGMENTATION DE LA DEMANDE. La segmentation. La segmentation de la demande consiste à définir des groupes de clients (des segments de clientèle) ayant des comportements homogènes
Plus en détailLa réforme des pensions expliquée
La réforme des pensions expliquée TABLE DES MATIÈRES 1. LA PENSION ANTICIPÉE... 2 1.1. SITUATION AVANT LA RÉFORME... 2 1.2. SITUATION À PARTIR DU 1 ER JANVIER 2013... 2 1.3. LES MESURES DE TRANSITION...
Plus en détailFocus. Lien entre rémunération du travail et allocation de chômage
Focus Lien entre rémunération du travail et allocation de chômage Introduction Le travailleur qui devient chômeur et qui est admissible sur base de prestations de travail se voit, en application du principe
Plus en détailBase de données sociales sur Paris
Base de données sociales sur Paris Fiches d identité sociale des 20 arrondissements - 2012 Apur - David Boureau Étude réalisée en collaboration avec le Centre d Action Sociale de la Ville de Paris (CASVP)
Plus en détailInstitut National de la Statistique - Annuaire Statistique du Cameroun 2010. Chapitre 26 : LE CAMEROUN DANS LA ZONE CEMAC
Institut National de la Statistique - Annuaire Statistique du Cameroun 2010 Chapitre 26 : LE CAMEROUN DANS LA ZONE CEMAC 1. Présentation... 328 2. Méthodologie... 328 3. Définitions... 328 4. Sources de
Plus en détailDébat participatif. La vie chère. «Les Français n ont pas seulement le sentiment, mais la démonstration, que leur pouvoir d achat baisse»
Débat participatif La vie chère «Les Français n ont pas seulement le sentiment, mais la démonstration, que leur pouvoir d achat baisse» Ségolène ROYAL Les enjeux de notre débat : Réconcilier les Français
Plus en détailCAMPAGNE BOURSIERE 2015/2016 PREMIERE COMMISSION LOCALE. DOSSIERS COMPLETS A DEPOSER AU PLUS TARD LE 25 SEPTEMBRE à 12H
1 CAMPAGNE BOURSIERE 2015/2016 PREMIERE COMMISSION LOCALE DOSSIERS COMPLETS A DEPOSER AU PLUS TARD LE 25 SEPTEMBRE à 12H CONDITIONS L obtention d une bourse scolaire est subordonnée aux conditions suivantes
Plus en détail75 ANS D HISTOIRE EN CHIFFRES : 1935-2010
75 ANS D HISTOIRE EN CHIFFRES : 1935-21 L économie canadienne depuis la fondation de la Banque du Canada Première édition : le 11 mars 21 Mise à jour : le 16 decembre 21 1 La Banque du Canada, fondée en
Plus en détailRÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère de l Economie et des Finances Décret n relatif au fonds de soutien aux collectivités territoriales ayant souscrit des contrats de prêt ou des contrats financiers structurés
Plus en détailMarché de l occasion et exigences de rénovation énergétique. Rencontre de l Observatoire 21 mai 2015
Marché de l occasion et exigences de rénovation énergétique Rencontre de l Observatoire 21 mai 2015 Logements neufs / logements d occasion 7 700 logements d occasion vendus en 2013 dans l aire urbaine
Plus en détail1 - Salaires nets tous secteurs confondus
N 627 Résultats l enquête annuelle sur les s auprès s entreprises - Mai 2011 - L enquête annuelle sur les s auprès s entreprises, réalisée par voie postale par l ONS a donné les résultats présentés ci-ssous.
Plus en détailSecrétariat d Etat auprès du Premier Ministre chargé des Technologies Nouvelles
République Islamique de Mauritanie Honneur Fraternité - Justice Secrétariat d Etat auprès du Premier Ministre chargé des Technologies Nouvelles Communication de Madame la Secrétaire d Etat Fatimetou Mint
Plus en détailToutes les rubriques doivent être renseignées. Si vous n'êtes pas concerné, portez la mention «néant».
Poste diplomatique ou consulaire F O R M U L A I R E D E D E M A N D E D E B O U R S E S S C O L A I R E S au bénéfice d'enfants français résidant avec leur famille à l'étranger. (en application des articles
Plus en détailESSEC Cours Wealth management
ESSEC Cours Wealth management Séance 9 Gestion de patrimoine : théories économiques et études empiriques François Longin 1 www.longin.fr Plan de la séance 9 Epargne et patrimoine des ménages Analyse macroéconomique
Plus en détailEssais de charge sur plaque
Page No.: 1 L essai de charge sur plaque est exécuté entre autres dans des galeries d exploration ou dans des puits, mais il peut aussi être exécuté à la surface en appliquant un poids mort ou en chargeant
Plus en détailSous la direction de Laurent Faibis avec la collaboration de Jean-Michel Quatrepoint. Actes du Colloque Xerfi
Sous la direction de Laurent Faibis avec la collaboration de Jean-Michel Quatrepoint Finance emploi relocalisations Actes du Colloque Xerfi Michel Aglietta Eric Bourdais de Charbonnière Jérôme Cazes Louis
Plus en détailINTÉGRATION DES SERVICES FINANCIERS DANS LES STRATÉGIES DE LUTTE CONTRE LA PAUVRETÉ Un aperçu Général --------
INTÉGRATION DES SERVICES FINANCIERS DANS LES STRATÉGIES DE LUTTE CONTRE LA PAUVRETÉ Un aperçu Général -------- Colloque UEMOA-CRDI, du 08-10 Décembre 2009, Ouagadougou Samuel T. KABORE; Dieudonné OUEDRAOGO,
Plus en détailMicro-crédit et lien social en Hinisie. La solidarité instituée
Micro-crédit et lien social en Hinisie La solidarité instituée Table des matières Introduction - 11 L Le système d'acteurs et le cadre socio-territorial 23 { CHAPITRE I Le cadrctconceptuel en matière de
Plus en détailLes durées d emprunts s allongent pour les plus jeunes
Revenus Les durées d emprunts s allongent pour les plus jeunes Marie-Émilie Clerc, Pierre Lamarche* Entre 2005 et 2011, l endettement des ménages a fortement augmenté, essentiellement du fait de la hausse
Plus en détailMesure du surendettement en Europe
Mesure du surendettement en Europe Conférence du 24 juin 2008 Didier Davydoff, Directeur de l OEE 0EE - Observatoire de l'épargne européenne 1 Introduction: l augmentation des encours de crédit aux ménages
Plus en détailPerspectives économiques régionales du Moyen-Orient et de l Afrique du Nord
Perspectives économiques régionales du Moyen-Orient et de l Afrique du Nord Mise à jour - Janvier 2015 Giorgia Albertin Représentante Résidente pour la Tunisie Fonds Monétaire International Plan de l exposé
Plus en détailLA LETTRE DE L EPARGNE ET DE LA RETRAITE DU CERCLE DE L EPARGNE. N 3 juillet 2014
LA LETTRE DE L EPARGNE ET DE LA RETRAITE DU CERCLE DE L EPARGNE N 3 juillet 2014 L Edito de Philippe Crevel L épargnant des temps nouveaux frappe à la porte En 2017, les «digital natives» auront pris le
Plus en détailLA PROTECTION SOCIALE DU DIRIGEANT
LA PROTECTION SOCIALE DU DIRIGEANT Christian RIEUTORT Didier TEXIER Conseils en Protection Sociale et Financière des Dirigeants 5-7, ave des Frères Lumière 93370 Montfermeil Protection sociale du Dirigeant
Plus en détailLA GESTION DE LA FORCE DE VENTE ABORDEE SOUS L ANGLE DE LA REMUNERATION
LA GESTION DE LA FORCE DE VENTE ABORDEE SOUS L ANGLE DE LA REMUNERATION Depuis quelques années, on constate une grande évolution de la fonction vente ; avec le passage de la notion de l acte de vente à
Plus en détailUNE MEILLEURE CROISSANCE, UN MEILLEUR CLIMAT
UNE MEILLEURE CROISSANCE, UN MEILLEUR CLIMAT The New Climate Economy Report EXECUTIVE SUMMARY La Commission Mondiale sur l Économie et le Climat a été établie pour déterminer s il est possible de parvenir
Plus en détailLe FMI conclut les consultations de 2008 au titre de l article IV avec le Maroc
Note d information au public (NIP) n 08/91 POUR DIFFUSION IMMÉDIATE Le 23 juillet 2008 Fonds monétaire international 700 19 e rue, NW Washington, D. C. 20431 USA Le FMI conclut les consultations de 2008
Plus en détail«Mécanismes» et contraintes budgétaires
Ville de Viry-Châtillon / Bilan 2008 2013 et prospective financière 2014-2020 Intervention du 25 septembre 2014 87 rue St-Lazare I 75009 Paris Tél. 01 55 34 40 00 I Fax 01 40 41 00 95 Mail : fcl@fcl.fr
Plus en détailFaire croître votre chiffre d affaires PLACEMENTS PLANIFICATION FINANCIÈRE ASSURANCE
Faire croître votre chiffre d affaires PLACEMENTS PLANIFICATION FINANCIÈRE ASSURANCE 2 Table des matières 1. Survol de ÉlémentsPatrimoine 2. Modules renseignements du client 3. Modules planifications financière
Plus en détailLa fumée de tabac secondaire (FTS) en Mauricie et au Centre-du- Québec, indicateurs du plan commun tirés de l ESCC de 2007-2008
La fumée de tabac secondaire (FTS) en Mauricie et au Centre-du- Québec, indicateurs du plan commun tirés de l ESCC de 2007-2008 Ce document se veut une analyse succincte des indicateurs se rapportant à
Plus en détailL état de la pauvreté en France
Notes de l Observatoire N 1, octobre 2013 L état de la pauvreté en France Combien compte-t-on de pauvres en France? Comment évolue leur nombre? Qui est le plus concerné par la crise? A l heure où une partie
Plus en détailETUDE SUR LE PRIX DE MARCHE DE L IMMOBILIER D ENTREPRISE EN ZONES RURALES FRAGILES
ETUDE SUR LE PRIX DE MARCHE DE L IMMOBILIER D ENTREPRISE EN ZONES RURALES FRAGILES SYNTHESE JUILLET 2004 DATAR - AATEC / ARGUYL - 2-29/07/04 OBJECTIF ET CONTEXTE L immobilier d entreprise est un enjeu
Plus en détailLES ENSEIGNEMENTS DE L OBSERVATOIRE DE L ENDETTEMENT DES MENAGES. LES CREDITS DE TRESORERIE AUX PARTICULIERS EN FRANCE
LES ENSEIGNEMENTS DE L OBSERVATOIRE DE L ENDETTEMENT DES MENAGES. LES CREDITS DE TRESORERIE AUX PARTICULIERS EN FRANCE Michel MOUILLART Directeur Scientifique de l Observatoire de l Endettement des Ménages
Plus en détailLe Québec en meilleure situation économique et financière pour faire la souveraineté
18 ans après le référendum de 1995 Le Québec en meilleure situation économique et financière pour faire la souveraineté présenté par Marcel Leblanc, économiste pour le comité de travail sur la souveraineté
Plus en détailPlateforme d informations climatiques au Niger Présentation de l opportunité
Plateforme d informations climatiques au Niger Présentation de l opportunité 23 Novembre 2012 Pour diffusion publique Résumé Exécutif Une opportunité Pour un opérateur privé, la plateforme d'informations
Plus en détailSituation financière des ménages au Québec et en Ontario
avril Situation financière des ménages au et en Au cours des cinq dernières années, les Études économiques ont publié quelques analyses approfondies sur l endettement des ménages au. Un diagnostic sur
Plus en détailCONSEILS -EN- PATRIMOINE. Étude ISF. A l attention de Monsieur et Madame XXXXXXXX
CONSEILS -EN- PATRIMOINE Étude ISF A l attention de Monsieur et Madame XXXXXXXX 10 Préambule Ermont, le XXXXXX Évaluer, déclarer son Impôt de Solidarité sur la Fortune dans de bonnes conditions demeurent
Plus en détailLes ménages et le crédit
Les ménages et le crédit Marseille 16 novembre 2011 1 Tous droits réservés 2011 Objectif et plan PLAN DE LA PRÉSENTATION Etat des lieux : Endettement et surendettement Bien souscrire son crédit immobilier
Plus en détailAgences de Bassins Hydrauliques & Gouvernance de l eau
ROYAUME DU MAROC Secrétariat d État chargé de l Eau et de l Environnement Agences de Bassins Hydrauliques & Gouvernance de l eau Mohamed HACHIMI Du 08 au 09/07/2009 à Tunis Gouvernance au niveau des Agences
Plus en détailCOMPTE RENDU. Atelier-débat avec les futurs clients éligibles. 25 septembre 2002
Paris, le 17 octobre 2002 COMPTE RENDU Atelier-débat avec les futurs clients éligibles 25 septembre 2002 *** I La fourniture d électricité... 2 Les clients éligibles peuvent-ils acheter leur électricité
Plus en détailPrésentation du dispositif départemental d aide au «Microcrédit Personnel»
DOSSIER DE PRESSE Présentation du dispositif départemental d aide au «Microcrédit Personnel» Lundi 21 janvier 2013 à 15h30 A l Hôtel du Département, à Rouen En présence de : Didier MARIE, Président du
Plus en détailACCRÉDITATION DES CENTRES PRIVÉS ET DES PROGRAMMES DE FORMATION PROFESSIONNELLE EN HAÏTI. Formulaire de demande d une autorisation de fonctionnement
ACCRÉDITATION DES CENTRES PRIVÉS ET DES PROGRAMMES DE FORMATION PROFESSIONNELLE EN HAÏTI Formulaire de demande d une autorisation de fonctionnement Juin 2011 Projet d accompagnement de l INFP dans la révision,
Plus en détailéclairages QUI SONT LES ALLOCATAIRES INDEMNISÉS PAR L ASSURANCE CHÔMAGE? Près de 3 demandeurs d emploi sur 5 sont couverts par l Assurance chômage
éclairages ÉTUDES ET ANALYSES N 5 AVRIL 213 QUI SONT LES ALLOCATAIRES INDEMNISÉS PAR L ASSURANCE CHÔMAGE? L Unédic a réalisé une étude pour approfondir la compréhension de la population des allocataires
Plus en détailUniversitéClients CA 23 février 2012. Quels placements privilégier en 2012?
UniversitéClients CA 23 février 2012 Quels placements privilégier en 2012? 2012, quels placements privilégier? Quel contexte économique et financier? Les principales nouveautés fiscales sur les revenus
Plus en détailChapitre 1 : La consommation et l épargne
Chapitre 1 : La consommation et l épargne - 7 - Dans ce chapitre vous allez : - Distinguer les différents types de consommation. - Découvrir de quels facteurs dépend la consommation. - Étudier ce qu est
Plus en détailInvestissements et R & D
Investissements et R & D Faits marquants en 2008-2009 - L investissement de l industrie manufacturière marque le pas en 2008 et se contracte fortement en 2009 - Très fort recul de l utilisation des capacités
Plus en détailBOURSES SCOLAIRES 2014-2015
BOURSES SCOLAIRES 2014-2015 Dossiers à compléter et à déposer au service social du Consulat Général de France avant le 28 fevrier 2014 Pour tout renseignement complémentaire, contactez Mme DENIS Assistante
Plus en détailAssociations Dossiers pratiques
Associations Dossiers pratiques Le tableau de bord, outil de pilotage de l association (Dossier réalisé par Laurent Simo, In Extenso Rhône-Alpes) Difficile d imaginer la conduite d un bateau sans boussole
Plus en détailSécurité Sociale. Indépendant. SIEGE SOCIAL Rue Royale 153 1210 Bruxelles tél. +32 2 406 35 11 fax +32 2 406 35 66
Ensemble, c est sûr. SIEGE SOCIAL Rue Royale 153 1210 Bruxelles tél. +32 2 406 35 11 fax +32 2 406 35 66 siege ANvers Desguinlei 92 2018 Antwerpen tél. +32 3 244 66 88 fax +32 3 244 66 87 VIVIUM S.A. Membre
Plus en détailANALAYSE FINANCIERE 1] BILAN FONCTIONNEL
ANALAYSE FINANCIERE 1] BILAN FONCTIONNEL Il donne une vision plus économique, il présente la manière dont les emplois sont financés par les ressources. Il permet de mieux comprendre le fonctionnement de
Plus en détailTEST DE DÉPISTAGE DE L IMMUNITÉ CONTRE LE
TEST DE DÉPISTAGE DE L IMMUNITÉ CONTRE LE 14 TÉTANOS ET LA ROUGEOLE 14.1 INTRODUCTION Soumaïla MARIKO Comme on l a déjà précisé au chapitre 1, des tests de dépistage de l immunité contre le tétanos et
Plus en détailL évolution des formes
L évolution des formes d emploi 5 décembre 2014 Conseil d orientation pour l emploi Plan de la présenta-on I. Les formes d emploi: un paysage en évolution et de plus en plus complexe II. Les causes de
Plus en détailLISTE DES DOCUMENTS A FOURNIR A L APPUI DE VOTRE DEMANDE DE BOURSE
LISTE DES DOCUMENTS A FOURNIR Documents à fournir quelle que soit votre situation : Formulaire de demande de bourse dûment complété et signé Livret de famille Carte d inscription au registre des Français
Plus en détailMarketing et communication SMART Courtage Assurances
Marketing et communication SMART Courtage Assurances Le présent questionnaire préalable d assurance Marketing et Communication a pour objet de réunir des informations sur vos activité commerciales Quelles
Plus en détailCORRECTION BANQUE DUPONT-DURAND
CORRECTION BANQUE DUPONT-DURAND DOSSIER A : GESTION DES COMPTES 20 points A.1 Conservation des relevés de compte 2 A.2 Démarche en cas d anomalie sur relevé 3 A.3 Calcul montant des agios (annexe A) 7
Plus en détailLe contrat d apprentissage
Mai 2009 contrats et mesures Le contrat d apprentissage Vous recrutez un jeune tout en bénéficiant d avantages financiers. Vous le préparez à un métier de votre entreprise et à une qualification professionnelle
Plus en détailLa crise de l emploi des jeunes: Appel à l action
La crise de l emploi des jeunes: Appel à l action Résolution et conclusions de la 101 e session de la Conférence internationale du Travail, Genève, 2012 Bureau international du Travail Genève ISBN 978-92-2-226492-6
Plus en détail«Quelle fiscalité pour le capital à risque?»
Réception de Nouvel An «Quelle fiscalité pour le capital à risque?» Bruno Colmant Administrateur délégué d Euronext Belgique, Docteur en Economie Appliquée (ULB) Membre du Conseil Supérieur des Finances,
Plus en détail