HISTOLOGIE TOPOGRAPHIQUE On est capable grâce aux techniques vues dans les ED
|
|
- Jean-Charles Guillaume Laframboise
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 HISTOLOGIE TOPOGRAPHIQUE On est capable grâce aux techniques vues dans les ED HISTOLOGIE TOPOGRAPHIQUE MORPHOLOGIQUE (MO-MET) Utilisation du tétrachrome. Dans l adénohypophyse en relation avec la post hypophyse et dans l adénohypophyse on peut colorer les cellules grace à Orange B, Erythrosine, Bleu d aniline hématoxilline, Repérage des cellules somatotrope jaunes / orange, Les rouges (prolactine) et les cellules bleues (gonadotrope, tyréotropes et corticotropes). Au MET, visualisation des organites en dégradé de gris, en 2D On ne parle plus de coloration mais de contrastants. A la différence de la MO, les lipides sont maintenus dans l échantillon. ex. contrastants : tetraoxyde d osmium citrate de plomb, platine, acide phosphotungstique.
2 HISTOLOGIE ORIENTEE ou SPECIALE Permet de déterminer la nature des constituants du vivant. Désavantage : Perte de la topographie et morphologie intérieure des tissus Avantage : met en évidence des composants spécifiques. Ici : on voit la tyroïde 1 par immunofluorescence Un anticorps dirigé contre les cellules calcitonines les rèvèle sous l aspect d évènements fluorescents. 2 par immunocytochimie L anticorps n est cette fois pas greffé à un fluorochrome mais à une enzyme (peroxydase) et qui génère un précipité (trace noire) qui révèle elle aussi les cellules à calcitonine. ATTENTION : on a bien fixé les tissus pour les observer. Dans la plupart des cas on est capable de démasquer la fixation grâce à des solutions de démasquage (citrate de sodium à ph 6) Dans une certaine mesure le citrate de sodium à Ph6 va être incubé avec l échantillon va permettre de déponter le formaldéhyde pour permettre cette reconnaissance en immunofluorescence et immunocytochimie. Le démasquage est TRES difficile à obtenir en MET. Seulement en MO.
3 OUTILS DE L OBSERVATION DES TISSUS MICROSCOPIE OPTIQUE CLASSIQUE OU PHOTONIQUE : SONDE = PHOTON SONDE = Le PHOTON. Transmis à travers l échantillon pour permettre son observation. - absence de charge - masse non négligeable, - longueur d onde invariable (390 à 760 nm = gamme du spectre visible - Résolution max de 0,2 micromètres. On ne peut pas visualiser deux points distants de moins de 0,2 micromètres. 2 LENTILLES : Premier grandissement : lentille de l objectif Deuxième grandissement : lentille occulaire. Grossissement maximum 1500x. C est pourquoi on adapte ce microscope optique à différents types de microscopie. Un microscope a souvent plusieurs fonctions. = un microscope optique classique peut changer de mode.
4 MICROSCOPE OPTIQUE A CONTRASTE DE PHASES ET INTERFERENTIEL. Ajout de lentilles et de condenseurs spéciaux qui permettent de générer une réfringence, un contraste optique en fonction de la composition aqueuse de l échantillon. Ce microscope est très utilisé pour : - étudier les cellules vivantes en culture, - étudier la mobilité au sein d un échantillon (vitalité spz) - faire micromanipulations : faire se rencontrer un ovocyte et un spz grâce à un micro injecteur MICROSCOPE A FOND NOIR (TYNDALL) Effet tyndall : Utilisation de l effet de dispersion de la lumière incidente sur des particules de matière dont les dimensions sont comparables aux longueurs d onde associées à la sonde utilisée. Cet effet est visible dans les systèmes colloïdaux càd particules en suspension, solubilisation qui caractérisent le vivant. Mais également les émulsions. Il est affuté d un condenseur spécial qui permet d orienter la sonde de façon tangentielle par rapport à l échantillon. Cela fait apparaître des évènements lumineux sur fond noir Si l objet est caractérisé par une émulsion il paraît brillant sur fond noir. LE MICROSCOPE A LUMIERE POLARISEE = étude des structures pseudo cristallines à cristallines. Détection des structures anisotropes (particules minérales poussières, syllicates, étude de la minéralisation osseuse) Ces particules diffractent la lumière de part leur répartition extrêmement ordonnée dans le vivant. Exemple : disque A du sarcomères dans le muscle / les structures cristallines qui peuvent être détectées comme étant des particules en surcharges dans les cellules mais aussi les tissus. 2 FILTRES : Filtre polariseur entre la source et l objet Filtre analyseur croisé ou décroisé, après l objet, qui permet de sélectionner la raie (?) lumineuse qui a été polarisée. MICROSCOPE A ULTRAVIOLETS Utilise une partie du spectre où la longueur d onde est la plus courte (300 / 350 nm) Amélioration du pouvoir de résolution : 0,1 micromètre. Peu utilisé car coûteux, et nécessite lentilles et lentes spéciales, et en plus il engendre énormément de mutations au niveau des cellules et tissus observés donc peu utilisé pour des structures vivantes. Plutôt utilisé pour structures fixées, et encore, les structures fixées gênent le microscope à ultraviolets (artefacts)
5 MICROSCOPIE A FLUORESCENCE CONFOCALE Considère la totalité de l échantillon dans son épaisseur OU une tranche particulière de l échantillon dans le cas où elle est confocale. Basée sur la fluorescence qui est une propriété de certaines molécules qui soumises à un rayonnement de longueur d onde spécifique (lambda 1) réémettent un rayonnement secondaire (lambda 2) Ces rayonnements lambda 1 et 2 caractérisés par un spectre étroit dans la gamme des longueurs d onde. Plus la différence entre les deux rayonnements est grande et plus la spécificité d observation est grande. Bonne résolution à cause du contraste provoqué par le fond noir. La fluorescence confocale peut être associée à la microscopie photonique => Superposition des images où sont associées la réfringence et la fluorescence => Localisation d éléments des cellules. INTERET : => Par tranchage et confocalité on va pouvoir réassocier les images en 3D (observer l épaisseur) => On est capables de faire de la construction 3D pour localiser les protéines dans la cellule. Visualisation de fluorescence naturelle par exemple la vitamine A : On peut repérer sa localisation dans les tissus qui l utilisent. Y a aussi des fluorescences dépendantes de cations comme des protéines FURA 2 qui deviennent fluo quand elles sont additionnées avec le calcium. Visualisation de fluorescence générée après traitement chimique : amines biogènes (adrénaline noradrénaline sérotonine) => Localisation neurones, sécrétions neuroendocrines, au sein de l échantillon. Visualisation de fluorescences provoquées par l utilisation de marqueurs. => Rhodamine (rouge) => Fluorescéine (vert) + de 100 marqueurs => painting (au moins 4 fluorochromes) pour visualiser une topographie qui peut être dynamique. Permettre au vivant d exprimer une protéine fluorescente la GFP en adossant le gène de la GFP au gène d intérêt qui va coder pour notre protéine cible au sein de la cellule et permettre ainsi son expression associée et ainsi étudier sa localisation cellulaire, tissulaire, organique et systématique.
6 MICROSCOPIE ELECTRONIQUE : SONDE = ELECTRON. MICROSCOPE ELECTRONIQUE A TRANSMISSION Mis au point dans les années 30, par physiciens comme RUSKA (prix nobel) la microscopie électronique utilise l électron comme sonde, on utilise sa charge pour le faire accélérer, sa vitesse génère une longueur d onde associée beaucoup plus courte que celle obtenue grâce au photon. Un filament de tungstène chauffé délivre des électrons qui vont être condensés dans un fin faisceau au niveau du cylindre de Wehlnet. Ce cylindre de WEHLNET est associé à un générateur haute tension, avec une anode pour créer une DDP de l ordre de 20 à 120 kev qui vont permettre d attirer l électron et permettre de l accélerer entre cylindre, catode et anode. Le faisceau électronique va passer par des lentilles électromagnétiques dans un tube caractérisé par le fait qu il contient le moins possible de particules et dans lequel on a créé un vide très poussé (10-5 TORR grâce à des pompes. 1torr = 1mmHg = 133,32 Pa) La colonne qui protège le microscope électronique permet le maintien de ce vide poussé mais aussi protège l utilisateur des rayons X qui sont générés dans la colonne quand le faisceau rentre l échantillon. Grossissement jusqu à x (pour des DDP de 3000 kev pas plus) Préparation très importante pour blinder l échantillon de l intérieur et de l extérieur (voir ED) Le MET est encombrant, coûteux, la préparation est délicate => Etude des organites, les microfilaments, les virus
7 MICROSCOPE ELECTRONIQUE A BALAYAGE Utilisation de l interaction électron / matière Réémission de plusieurs types de particules (voir schéma) Ce sont ces différents types de particules réémises qui sont captées pour étudier la surface de l échantillon. Etude de certaines substances à l intérieur de la matière, grâce à la réémission de rayons X. Lorsque la surface est composée de molécules comme l arsenic ou le plomb, l étude du rayon X réémis permet d identifier les constituants dans le tissu, mais aussi de les quantifier. => Etude qualitative et quantitative. C est ce microscope qui est utilisé pour détecter des toxiques en médecine légale ou anthropologique (intoxications, meurtres...) C est comme ça qu on a su que Napoléon avait été empoisonné à l arsenic. Grossissement moins important = x Applications : Études de surfaces : différenciation cellulaire, forme cellulaire au sein d un tissu, microorganismes, Cryodécapage : observation de la structure tridimensionnelle d un échantillon de façon interne, dans une certaine mesure préparation délicate, on casse un tissu, on le métallise, et on étudie à l intérieur la répartition en 3D de l échantillon. Le type de préparation est beaucoup plus simple => Déssication : chauffage à haute T et sous vide précédant une métallisation de l échantillon pour le consolider (platine, or ) => Etude des structures 3D Les structures blanches = électrons largement rétrotransmis Les structures noires : électrons perdus au recaptage ;
8 MICROSCOPE A EFFET DE PROXIMITE OU A CHAMP PROCHE Pas de lentille, ni en verre ni électromagnétique Utilise une pointe qui tape une surface où repose l échantillon. La pointe est une catode qui balaye l échantillon en x et en y A l intérieur de cette catode on fait passer un courant qui sera relayé par la surface qui soutient l échantillon et qui est une anode. La pointe est microscopique : de l ordre de l atome, de l angström. Cette catode va tapoter l échantillon, et le courant qui va passer vers cette anode va subir une résistance du fait de l échantillon et permettra l analyse de la surface atomique de l échantillon par balayage de la pointe sur la surface. La DDP est maintenue constante, et l échantillon va être reconnu et enregistré sur l axe Z et permettre une cartographie de l échantillon sur le support. Applications : Limitées Etude moléculaire (macromolécules déjà isolées au préalable : exemple : conformation de l(hélice d ADN dans différentes solutions. Chimie biologique : étude d alliages utilisés pour les greffes (nanobiotechnologies) Gravures permettant de faire de la biocybernétique alliant les métaux et les cellules. On ne peut pas étudier l épaisseur d une cellule grâce à cette technique.
Dr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires
Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires I. Introduction II. Les microscopes 1. Le microscope optique 2. Le microscope à fluorescence 3. Le microscope confocal 4. Le microscope électronique
Plus en détailDIFFRACTion des ondes
DIFFRACTion des ondes I DIFFRACTION DES ONDES PAR LA CUVE À ONDES Lorsqu'une onde plane traverse un trou, elle se transforme en onde circulaire. On dit que l'onde plane est diffractée par le trou. Ce phénomène
Plus en détailChapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :
Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur
Plus en détailComprendre l Univers grâce aux messages de la lumière
Seconde / P4 Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière 1/ EXPLORATION DE L UNIVERS Dans notre environnement quotidien, les dimensions, les distances sont à l échelle humaine : quelques mètres,
Plus en détailTP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE
TP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE OBJECTIFS : - Distinguer un spectre d émission d un spectre d absorption. - Reconnaître et interpréter un spectre d émission d origine thermique - Savoir qu un
Plus en détailSéquence 9. Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière
Séquence 9 Consignes de travail Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière Travaillez les cours d application de physique. Travaillez les exercices
Plus en détailFluorescent ou phosphorescent?
Fluorescent ou phosphorescent? On entend régulièrement ces deux termes, et on ne se préoccupe pas souvent de la différence entre les deux. Cela nous semble tellement complexe que nous préférons rester
Plus en détailMise en pratique : Etude de spectres
Mise en pratique : Etude de spectres Introduction La nouvelle génération de spectromètre à détecteur CCD permet de réaliser n importe quel spectre en temps réel sur toute la gamme de longueur d onde. La
Plus en détailMicroscopie Confocale. Principes de base & Applications en Biologie Cellulaire
Université Paris Descartes L3 - Licence Professionnelle «Industries chimiques et Pharmaceutiques Option Biotechnologie» Microscopie Confocale Principes de base & Applications en Biologie Cellulaire Bruno
Plus en détailMicroscopie de fluorescence Etat de l art
Etat de l art Bibliométrie (Web of sciences) CLSM GFP & TPE EPI-FLUORESCENCE 1 Fluorescence Diagramme de JABLONSKI S2 S1 10-12 s Excitation Eex Eem 10-9 s Émission Courtoisie de C. Spriet
Plus en détailLa recherche d'indices par fluorescence
La recherche d'indices par fluorescence Ces sources d éclairage à haute intensité permettent, en fluorescence, la mise en évidence d indices qui ne sont pas visibles ou peu à l oeil nu. Ex : empreintes
Plus en détailNiveau 2 nde THEME : L UNIVERS. Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS
Document du professeur 1/7 Niveau 2 nde THEME : L UNIVERS Physique Chimie SPECTRES D ÉMISSION ET D ABSORPTION Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS Les étoiles : l analyse de la lumière provenant
Plus en détailPLATE-FORME DE MICROSCOPIE ÉLECTRONIQUE À TRANSMISSION
PLATE-FORME DE MICROSCOPIE ÉLECTRONIQUE À TRANSMISSION Dr. Mohamed SENNOUR Responsable de la plate-forme JOURNÉE PLATES-FORMES EVRY, GÉNOCENTRE 25 juin 2013 Contexte et historique 2000 : constitution du
Plus en détailUn spectromètre à fibre plus précis, plus résistant, plus pratique Concept et logiciel innovants
& INNOVATION 2014 NO DRIVER! Logiciel embarqué Un spectromètre à fibre plus précis, plus résistant, plus pratique Concept et logiciel innovants contact@ovio-optics.com www.ovio-optics.com Spectromètre
Plus en détailSUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION)
Terminale S CHIMIE TP n 2b (correction) 1 SUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION) Objectifs : Déterminer l évolution de la vitesse de réaction par une méthode physique. Relier l absorbance
Plus en détailChapitre 6 La lumière des étoiles Physique
Chapitre 6 La lumière des étoiles Physique Introduction : On ne peut ni aller sur les étoiles, ni envoyer directement des sondes pour les analyser, en revanche on les voit, ce qui signifie qu'on reçoit
Plus en détailPRINCIPE MICROSCOPIE CONFOCALE
PRINCIPE MICROSCOPIE CONFOCALE Un microscope confocal est un système pour lequel l'illumination et la détection sont limités à un même volume de taille réduite (1). L'image confocale (ou coupe optique)
Plus en détailNouvelles techniques d imagerie laser
Nouvelles techniques d imagerie laser Les chimistes utilisent depuis longtemps les interactions avec la lumière pour observer et caractériser les milieux organiques ou inorganiques. La présence, dans la
Plus en détailObjectifs pédagogiques : spectrophotomètre Décrire les procédures d entretien d un spectrophotomètre Savoir changer l ampoule d un
CHAPITRE 6 : LE SPECTROPHOTOMETRE Objectifs pédagogiques : Citer les principaux éléments d un dun spectrophotomètre Décrire les procédures d entretien d un spectrophotomètre p Savoir changer l ampoule
Plus en détailMesures de PAR. Densité de flux de photons utiles pour la photosynthèse
Densité de flux de photons utiles pour la photosynthèse Le rayonnement lumineux joue un rôle critique dans le processus biologique et chimique de la vie sur terre. Il intervient notamment dans sur les
Plus en détailSpectrophotométrie - Dilution 1 Dilution et facteur de dilution. 1.1 Mode opératoire :
Spectrophotométrie - Dilution 1 Dilution et facteur de dilution. 1.1 Mode opératoire : 1. Prélever ml de la solution mère à la pipette jaugée. Est-ce que je sais : Mettre une propipette sur une pipette
Plus en détailÉPREUVE COMMUNE DE TIPE 2008 - Partie D. TITRE : Comment s affranchir de la limite de la diffraction en microscopie optique?
ÉPREUVE COMMUNE DE TIPE 2008 - Partie D TITRE : Comment s affranchir de la limite de la diffraction en microscopie optique? Temps de préparation :...2 h 15 minutes Temps de présentation devant le jury
Plus en détailEXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points)
BAC S 2011 LIBAN http://labolycee.org EXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points) Les parties A et B sont indépendantes. A : Étude du fonctionnement d un spectrophotomètre
Plus en détailLes rayons X. Olivier Ernst
Les rayons X Olivier Ernst Lille La physique pour les nuls 1 Une onde est caractérisée par : Sa fréquence F en Hertz (Hz) : nombre de cycle par seconde Sa longueur λ : distance entre 2 maximum Sa vitesse
Plus en détailANTICORPS POLYCLONAUX ANTI IMMUNOGLOBULINES
L OUTIL IDEAL POUR TOUTES LES DETECTIONS IMMUNOCHIMIQUES pour toutes les techniques immunodosages (EIA/ELISA) dot/ westernblot immunohistochimie immunocytochimie cytométrie en flux quel que soit le système
Plus en détailwww.gbo.com/bioscience 1 Culture Cellulaire Microplaques 2 HTS- 3 Immunologie/ HLA 4 Microbiologie/ Bactériologie Containers 5 Tubes/ 6 Pipetage
2 HTS 3 Immunologie / Immunologie Informations Techniques 3 I 2 ELISA 96 Puits 3 I 4 ELISA 96 Puits en Barrettes 3 I 6 en Barrettes de 8 Puits 3 I 7 en Barrettes de 12 Puits 3 I 8 en Barrettes de 16 Puits
Plus en détailInteractions des rayonnements avec la matière
UE3-1 : Biophysique Chapitre 2 : Interactions des rayonnements avec la matière Professeur Jean-Philippe VUILLEZ Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.
Plus en détailUne nouvelle technique d'analyse : La spectrophotométrie
Une nouvelle technique d'analyse : La spectrophotométrie Par spectrophotométrie on peut : - déterminer la concentration d'une espèce chimique colorée en solution à partir de l'absorbance. - suivre la cinétique
Plus en détailBiologie Appliquée. Dosages Immunologiques TD9 Mai 2015. Stéphanie Sigaut INSERM U1141 stephanie.sigaut@inserm.fr
Biologie Appliquée Dosages Immunologiques TD9 Mai 2015 Stéphanie Sigaut INSERM U1141 stephanie.sigaut@inserm.fr 1 ELISA 2 3 4 [Ac] 5 6 7 8 9 Correction : Faire la moyenne D0-1 et D0-2 pour toute les valeurs
Plus en détailCorrection ex feuille Etoiles-Spectres.
Correction ex feuille Etoiles-Spectres. Exercice n 1 1 )Signification UV et IR UV : Ultraviolet (λ < 400 nm) IR : Infrarouge (λ > 800 nm) 2 )Domaines des longueurs d onde UV : 10 nm < λ < 400 nm IR : 800
Plus en détailIndicateur d'unité Voyant Marche/Arrêt
Notice MESURACOLOR Colorimètre à DEL Réf. 22020 Indicateur d'unité Voyant Marche/Arrêt Indicateur Etalonnage Bouton Marche/Arrêt Indicateur de sélection de la longueur d'onde Indicateur de mode chronomètre
Plus en détailParrainage par Monsieur Philippe PAREIGE de notre classe, presentation des nanotechnologies.
LUDIVINE TASSERY 1ere S 5 Parrainage par Monsieur Philippe PAREIGE de notre classe, presentation des nanotechnologies. Lors de la seconde visite, Monsieur PAREIGE, nous a parlé des nanotechnologies et
Plus en détailAGRÉGATION DE SCIENCES DE LA VIE - SCIENCES DE LA TERRE ET DE L UNIVERS
AGRÉGATION DE SCIENCES DE LA VIE - SCIENCES DE LA TERRE ET DE L UNIVERS CONCOURS EXTERNE ÉPREUVES D ADMISSION session 2010 TRAVAUX PRATIQUES DE CONTRE-OPTION DU SECTEUR A CANDIDATS DES SECTEURS B ET C
Plus en détailApplication à l astrophysique ACTIVITE
Application à l astrophysique Seconde ACTIVITE I ) But : Le but de l activité est de donner quelques exemples d'utilisations pratiques de l analyse spectrale permettant de connaître un peu mieux les étoiles.
Plus en détailMicroscopie Multiphotonique
Microscopie Multiphotonique Philippe Guillaud 2014 Université Pierre et Marie Curie Paris 6 Principaux problèmes rencontrés en microscopie confocale La dégradation rapide des échantillons biologiques et
Plus en détailTP n 1: Initiation au laboratoire
Centre Universitaire d El-Tarf Institut des Sciences Agronomiques 3 ème année Contrôle de Qualité en Agroalimentaire TP n 1: Initiation au laboratoire Introduction L analyse de la matière vivante au laboratoire
Plus en détailRDP : Voir ou conduire
1S Thème : Observer RDP : Voir ou conduire DESCRIPTIF DE SUJET DESTINE AU PROFESSEUR Objectif Compétences exigibles du B.O. Initier les élèves de première S à la démarche de résolution de problème telle
Plus en détailPHOTO PLAISIRS. La Lumière Température de couleur & Balance des blancs. Mars 2011 Textes et Photos de Bruno TARDY 1
PHOTO PLAISIRS La Lumière Température de couleur & Balance des blancs Mars 2011 Textes et Photos de Bruno TARDY 1 Blanc Infrarouge Flash Température Lumière RVB Couleur chaude Couleur Couleur Couleur Incandescente
Plus en détail(aq) sont colorées et donnent à la solution cette teinte violette, assimilable au magenta.»
Chapitre 5 / TP 1 : Contrôle qualité de l'eau de Dakin par dosage par étalonnage à l'aide d'un spectrophotomètre Objectif : Vous devez vérifier la concentration massique d'un désinfectant, l'eau de Dakin.
Plus en détailpka D UN INDICATEUR COLORE
TP SPETROPHOTOMETRIE Lycée F.BUISSON PTSI pka D UN INDIATEUR OLORE ) Principes de la spectrophotométrie La spectrophotométrie est une technique d analyse qualitative et quantitative, de substances absorbant
Plus en détailD ETECTEURS L UXMETRE SUR TIGE C OMPTEUR DE FRANGES A FIBRE OPTIQUE. Détecteurs
D ETECTEURS L UXMETRE SUR TIGE Capteur luxmètre à sonde détachable, idéal pour les expériences de polarisation, il permet de quantifier simplement et rapidement les principales sources et phénomènes lumineux.
Plus en détailDIPLÔME INTERUNIVERSITAIRE D ECHOGRAPHIE. Examen du Tronc Commun sous forme de QCM. Janvier 2012 14 h à 16 h
ANNEE UNIVERSITAIRE 2011-2012 DIPLÔME INTERUNIVERSITAIRE D ECHOGRAPHIE Examen du Tronc Commun sous forme de QCM Janvier 2012 14 h à 16 h Les modalités de contrôle se dérouleront cette année sous forme
Plus en détailDéshydratation, Inclusions, Coupes, et microscopie électronique à transmission
Déshydratation, Inclusions, Coupes, et microscopie électronique à transmission Valérie Messent Lobservation de tissus vivants en microscopie électronique à transmission impose des techniques de préparations
Plus en détailA chaque couleur dans l'air correspond une longueur d'onde.
CC4 LA SPECTROPHOTOMÉTRIE I) POURQUOI UNE SUBSTANCE EST -ELLE COLORÉE? 1 ) La lumière blanche 2 ) Solutions colorées II)LE SPECTROPHOTOMÈTRE 1 ) Le spectrophotomètre 2 ) Facteurs dont dépend l'absorbance
Plus en détailATELIER IMAGEJ. Différentes applications vous sont proposées pour apprendre à utiliser quelques fonctions d ImageJ :
Différentes applications vous sont proposées pour apprendre à utiliser quelques fonctions d ImageJ : 1. ANALYSE QUANTITATIVE D UN GEL D ELECTROPHORESE... 2 2. NUMERATION DE COLONIES BACTERIENNES SUR UNE
Plus en détailSpectrophotomètre double faisceau modèle 6800
Spectrophotomètre double faisceau modèle 6800 Spectrophotomètre double faisceau modèle 6800 Double faisceau avec optiques parfaitement stables. Bande passante 1,5 nm. Logiciel de navigation Jenway Flight
Plus en détailAMINES BIOGENIQUES. Dopamine/Noradrénaline/Adrénaline (CATECHOLAMINES) Sérotonine/Histamine/Dopamine
AMINES BIOGENIQUES Dopamine/Noradrénaline/Adrénaline (CATECHOLAMINES) Sérotonine/Histamine/Dopamine Effets physiologiques des bioamines via le systeme nerveux autonome Cardiovasculaire: Augmentation du
Plus en détailTEST ELISA (ENZYME-LINKED IMMUNOSORBENT ASSEY)
TEST ELISA (ENZYME-LINKED IMMUNOSORBENT ASSEY) Lise Vézina, technicienne de laboratoire Michel Lacroix, agronome-phytopathologiste Direction de l innovation scientifique et technologique Au Laboratoire
Plus en détailMicroscopie de fluorescence
Microscopie de fluorescence François MICHEL PhD La microscopie pour débutants (ou pas) Partie 2 Imagerie de fluorescence Ce qui vous attend (encore) Fluorescence?? Microscopie à épi-fluorescence Résolution
Plus en détailEléments de caractérisation des diamants naturels et synthétiques colorés
Actualités gemmologiques Eléments de caractérisation des diamants naturels et synthétiques colorés Dr. Erel Eric 1 Développés depuis les années 50 pour leurs applications dans les domaines des abrasifs,
Plus en détailTHEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE
THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE 1. RAPPEL: L ATOME CONSTITUANT DE LA MATIERE Toute la matière de l univers, toute substance, vivante ou inerte, est constituée à partir de particules
Plus en détailEn savoir un peu plus sur le(s) microscope(s)
2 En savoir un peu plus sur le(s) microscope(s) 1. Types d appareils par Guy Auderset (*) Depuis une vingtaine d années coexistent deux types fondamentaux d appareils :! Les appareils anciens (Wild, American
Plus en détailParcours de visite, lycée Exposition: LA RADIOACTIVITÉ De Homer à oppenheimer
Complétez le schéma de gestion des déchets nucléaires en vous aidant du panneau, les surfaces des cercles sont proportionnelles à leur importance Parcours de visite, lycée Exposition: LA RADIOACTIVITÉ
Plus en détailLa spectrophotométrie
Chapitre 2 Document de cours La spectrophotométrie 1 Comment interpréter la couleur d une solution? 1.1 Décomposition de la lumière blanche En 1666, Isaac Newton réalise une expérience cruciale sur la
Plus en détailUNIVERSITE MOHAMMED V Rabat Ecole Normale Supérieure
UNIVERSITE MOHAMMED V Rabat Ecole Normale Supérieure APPEL D OFFRES OUVERT SUR OFFRES DE PRIX 08/ENS/24 BORDEREAU DES PRIX-DETAIL ESTIMATIF Lot n 2 : Achat et installation de matériel pour l enseignement
Plus en détailDETERMINATION DE LA CONCENTRATION D UNE SOLUTION COLOREE
P1S2 Chimie ACTIVITE n 5 DETERMINATION DE LA CONCENTRATION D UNE SOLUTION COLOREE Le colorant «bleu brillant FCF», ou E133, est un colorant artificiel (de formule C 37 H 34 N 2 Na 2 O 9 S 3 ) qui a longtemps
Plus en détailDr Berdj Haroutunian, 5, Chemin Gottret ch-1255 VEYRIER tél 00 41 (0)22 784-01-18 www.haroutunian.ch E-mail : berdj@haroutunian.ch
1 L UTILISATION DU PLOMB EN DENTISTERIE : MYTHE OU REALITE Dr Berdj HAROUTUNIAN, Genève Le plomb ne devrait en principe pas être utilisé en dentisterie car il n est pas considéré comme un oligo-élément
Plus en détailSensibilisation à la Sécurité LASER. Aspet, le 26/06/2013
Sensibilisation à la Sécurité LASER Aspet, le 26/06/2013 Modes d émission LASER P c P 0 P moy 0 Emission pulsée Salve ou train de N impulsions Emission continue Q i t i t Longueur d onde λ Emission continue
Plus en détailCASA SPERM CLASS ANALYZER
CASA SPERM CLASS ANALYZER Microptic, spécialisé depuis 20 ans dans l analyse automatique de spermes Entreprise innovatrice dans le développement de système CASA (Computer aided semen analysis) le plus
Plus en détailFICHE 1 Fiche à destination des enseignants
FICHE 1 Fiche à destination des enseignants 1S 8 (b) Un entretien d embauche autour de l eau de Dakin Type d'activité Activité expérimentale avec démarche d investigation Dans cette version, l élève est
Plus en détailBleu comme un Schtroumpf Démarche d investigation
TP Bleu comme un Schtroumpf Démarche d investigation Règles de sécurité Blouse, lunettes de protection, pas de lentilles de contact, cheveux longs attachés. Toutes les solutions aqueuses seront jetées
Plus en détailcontributions Les multiples de la chimie dans la conception des tablettes et des Smartphones Jean-Charles Flores
Les multiples contributions de la chimie dans la conception des tablettes et des Smartphones Jean-Charles Flores Jean-Charles Flores est spécialiste de l électronique organique au sein de la société BASF
Plus en détailChapitre 7 Les solutions colorées
Chapitre 7 Les solutions colorées Manuel pages 114 à 127 Choix pédagogiques. Ce chapitre a pour objectif d illustrer les points suivants du programme : - dosage de solutions colorées par étalonnage ; -
Plus en détailNi tout noir, ni tout blanc Consignes Thème I - Observer
Ni tout noir, ni tout blanc Consignes Thème I - Observer BUT : Etudier les synthèses additives et soustractives Comprendre la notion de couleur des objets COMPETENCES : Rechercher et trier des informations
Plus en détailCaractérisations des nanomatériaux par microscopies électroniques
GDR Verres GDR 3338 Caractérisations des nanomatériaux par microscopies électroniques Nicolas Menguy Institut de Minéralogie et Physique des Milieux Condensés Plan Partie 1 - Le microscope électronique
Plus en détail- I - Fonctionnement d'un détecteur γ de scintillation
U t i l i s a t i o n d u n s c i n t i l l a t e u r N a I M e s u r e d e c o e ffi c i e n t s d a t t é n u a t i o n Objectifs : Le but de ce TP est d étudier les performances d un scintillateur pour
Plus en détailLE PHYSICIEN FRANCAIS SERGE HAROCHE RECOIT CONJOINTEMENT LE PRIX NOBEL DE PHYSIQUE 2012 AVEC LE PHYSICIEN AMERCAIN DAVID WINELAND
LE PHYSICIEN FRANCAIS SERGE HAROCHE RECOIT CONJOINTEMENT LE PRIX NOBEL DE PHYSIQUE 0 AVEC LE PHYSICIEN AMERCAIN DAVID WINELAND SERGE HAROCHE DAVID WINELAND Le physicien français Serge Haroche, professeur
Plus en détailM1 - MP057. Microscopie Électronique en Transmission Diffraction Imagerie
M1 - MP057 Microscopie Électronique en Transmission Diffraction Imagerie Nicolas Menguy Institut de Minéralogie et Physique des Milieux Condensés Plan Le microscope électronique en transmission : - colonne,
Plus en détailDe la physico-chimie à la radiobiologie: nouveaux acquis (I)
De la physico-chimie à la radiobiologie: nouveaux acquis (I) Collaboration: - Laboratoire de Radiotoxicologie et Oncologie (L. Sabatier) CEA, DSV - Laboratoire de Génotoxicité et Modulation de l Expression
Plus en détailMicroscope inversé de routine. Microscope inversé CKX41/31 CKX
Microscope inversé de routine Microscope inversé CKX41/31 CKX La série CKX Commodité, performance et flexibilité Les CKX31 et CKX41 offrent des performances optiques accrues et une utilisation simple.
Plus en détailUne optique brillante associée à un éclairage innovant
Leica DM IL LED Une optique brillante associée à un éclairage innovant Le nouveau microscope inversé pour les travaux de routine et de laboratoire en biologie cellulaire et en médecine Le microscope inversé
Plus en détailTEMPÉRATURE DE SURFACE D'UNE ÉTOILE
TEMPÉRATURE DE SURFACE D'UNE ÉTOILE Compétences mises en jeu durant l'activité : Compétences générales : Etre autonome S'impliquer Elaborer et réaliser un protocole expérimental en toute sécurité Compétence(s)
Plus en détailLABORATOIRES DE CHIMIE Techniques de dosage
LABORATOIRES DE CHIMIE Techniques de dosage Un dosage (ou titrage) a pour but de déterminer la concentration molaire d une espèce (molécule ou ion) en solution (généralement aqueuse). Un réactif de concentration
Plus en détailTest d immunofluorescence (IF)
Test d immunofluorescence (IF) 1.1 Prélèvement du cerveau et échantillonnage Avant toute manipulation, il est fondamental de s assurer que tout le personnel en contact avec un échantillon suspect soit
Plus en détailSi la source se rapproche alors v<0 Donc λ- λo <0. La longueur d onde perçue est donc plus petite que si la source était immobile
Red shift or blue shift, that is the question. a) Quand une source d onde se rapproche d un observateur immobile, la longueur d onde λ perçue par l observateur est-elle plus grande ou plus petite que λo
Plus en détailTS 31 ATTAQUE DE FOURMIS!
FICHE 1 Fiche à destination des enseignants TS 31 ATTAQUE DE FOURMIS! Type d'activité ECE Notions et contenus du programme de Terminale S Compétences exigibles du programme de Terminale S TYPE ECE Evaluation
Plus en détailCaractérisation de défauts par Magnétoscopie, Ressuage, Courants de Foucault
Page 1 25 octobre 2012 Journée «Contrôle non destructif et caractérisation de défauts» Caractérisation de défauts par Magnétoscopie, Ressuage, Courants de Foucault Henri Walaszek sqr@cetim.fr Tel 0344673324
Plus en détailLeica DM4000 B LED. Une imagerie facilitée par un éclairage brillant!
Leica DM4000 B LED Une imagerie facilitée par un éclairage brillant! Microscope numérique Leica avec éclairage à LED pour les applications biomédicales LEICA DM4000 B LED UN ÉCLAIRAGE BRILLANT POUR L'IMAGERIE!
Plus en détailANALYSE SPECTRALE. monochromateur
ht ANALYSE SPECTRALE Une espèce chimique est susceptible d interagir avec un rayonnement électromagnétique. L étude de l intensité du rayonnement (absorbé ou réémis) en fonction des longueurs d ode s appelle
Plus en détailCaractérisations des nanomatériaux par microscopies électroniques
Caractérisations des nanomatériaux par microscopies électroniques Nicolas Menguy Institut de Minéralogie et Physique des Milieux Condensés Plan Partie 1 - Le microscope électronique en transmission (M.E.T.)
Plus en détailSVP ISO - Sécurité & Protection
SVP ISO - Sécurité & Protection ETUDE PRESTATION-FOURNITURE / INDUSTRIE & SECURITE Site web: www.svp-securite.fr - E-mail: svptouati@caramail.com 04, rue LARBI TEBESSI. 31200. Arzew - Oran - Tel / Fax:
Plus en détailD Utilisation des Spectromètres à CCD
D Utilisation des Spectromètres à CCD (de marque Ocean Optics, Avantes ou Getspec version USB2000 et USB650) I PRINCIPE DE FONCTIONNEMENT DU SPECTROMETRE : La lumière à analyser est transmise au spectromètre
Plus en détailGestion moteur véhicules légers
Module 8 Gestion moteur véhicules légers Orientation véhicules légers Diagnosticien d'automobiles avec brevet fédéral Orientation véhicules utilitaires Modules 7 à 9 Modules 10 à12 Modules 1 à 6 UPSA,
Plus en détailÉCOLES NORMALES SUPÉRIEURES ÉCOLE NATIONALE DES PONTS ET CHAUSSÉES CONCOURS D ADMISSION SESSION 2013 FILIÈRE BCPST COMPOSITION DE BIOLOGIE
ÉCOLES NORMALES SUPÉRIEURES ÉCOLE NATIONALE DES PONTS ET CHAUSSÉES CONCOURS D ADMISSION SESSION 2013 FILIÈRE BCPST COMPOSITION DE BIOLOGIE Épreuve commune aux ENS de Cachan, Lyon, Paris et de l ENPC Durée
Plus en détailINTRODUCTION À LA SPECTROSCOPIE
INTRODUCTION À LA SPECTROSCOPIE Table des matières 1 Introduction : 2 2 Comment obtenir un spectre? : 2 2.1 Étaller la lumière :...................................... 2 2.2 Quelques montages possibles
Plus en détailDentiste Numérique Zfx. Un cabinet dentaire certifié avec la technologie innovante signée Zfx
Dentiste Numérique Zfx Un cabinet dentaire certifié avec la technologie innovante signée Zfx Dentiste Numérique Zfx Des technologies novatrices parfaitement adaptées Zfx offre aux dentistes des technologies
Plus en détailInstruction Fiche d utilisation du microscope Zeiss AxioImager.M1 et du logiciel Axiovision Rel 4.7.1
Page 1/14 1 - Fonction Ce microscope est un microscope optique droit permettant la visualisation de tissus en microscopie fond clair et contraste de phase ou en fluorescence. L illumination repose sur
Plus en détailQuelques liens entre. l'infiniment petit et l'infiniment grand
Quelques liens entre l'infiniment petit et l'infiniment grand Séminaire sur «les 2» au CNPE (Centre Nucléaire de Production d'électricité) de Golfech Sophie Kerhoas-Cavata - Irfu, CEA Saclay, 91191 Gif
Plus en détailNouveau programme de première S (2011) : l essentiel du cours. www.physagreg.fr
Nouveau programme de première S (2011) : l essentiel du cours www.physagreg.fr 22 avril 2012 Table des matières 1 Couleur, vision et image 3 1.1 Oeil réel et oeil réduit...................... 3 1.2 Lentille
Plus en détailCONSOMMABLES. Tubes polarimètres. Cuves spectrophotomètres. Lampes spectrophotomètres
CONSOMMABLES Tubes polarimètres Cuves spectrophotomètres Lampes spectrophotomètres Chemin des Abeils.30110 BRANOU LES TAILLADES. Tél. : 04.66 30.57. 75 Fax : 04.66.30.46.21 Spectrophotomètres SECOMAM CONSOMMABLES
Plus en détail5.5.5 Exemple d un essai immunologique
5.5.5 Exemple d un essai immunologique Test de grossesse Test en forme de bâtonnet destiné à mettre en évidence l'hormone spécifique de la grossesse, la gonadotrophine chorionique humaine (hcg), une glycoprotéine.
Plus en détailNom : Prénom :. Date :..Classe : 2 TECHNIQUES DE MODIFICATION DE LA COULEUR DES CHEVEUX
2 TECHNIQUES DE MODIFICATION DE LA COULEUR DES CHEVEUX Objectif : Indiquer les règles de base de colorimétrie en coiffure (échelle de tons, reflets) LA COLORIMETRIE Du soleil nous parvient la lumière du
Plus en détailUne solution stockage sécurisée et distribuée au Synchrotron Soleil
Une solution stockage sécurisée et distribuée au Synchrotron Soleil Informatique Scientifique Groupe Systèmes et Réseaux Division Informatique philippe.martinez@synchrotron-soleil.fr Historique du Synchrotron
Plus en détailPHYSIQUE Discipline fondamentale
Examen suisse de maturité Directives 2003-2006 DS.11 Physique DF PHYSIQUE Discipline fondamentale Par l'étude de la physique en discipline fondamentale, le candidat comprend des phénomènes naturels et
Plus en détailLa lumière. Sommaire de la séquence 10. t Séance 4. Des lumières blanches. Des lumières colorées. Les vitesses de la lumière
Sommaire de la séquence 10 La lumière t Séance 1 Des lumières blanches t Séance 2 Des lumières colorées t Séance 3 Les vitesses de la lumière t Séance 4 Je fais le point sur la séquence 10 Ce cours est
Plus en détailChapitre 22 : (Cours) Numérisation, transmission, et stockage de l information
Chapitre 22 : (Cours) Numérisation, transmission, et stockage de l information I. Nature du signal I.1. Définition Un signal est la représentation physique d une information (température, pression, absorbance,
Plus en détailL PRESENTATION GENERALE SCPIO
L PRESENTATION GENERALE SCPIO Nom : DEPARTEMENT PLATEFORME TECHNOLOGIQUE Sigle: CEA / DRT / LETI / DPTS SILICUIM Etablissement : CEA Grenoble Adresse : 7 rue des Martyrs Site Web : 804 GRENOBLE Cedex 9
Plus en détail101 Adoptée : 12 mai 1981
LIGNE DIRECTRICE DE L OCDE POUR LES ESSAIS DE PRODUITS CHIMIQUES 101 Adoptée : 12 mai 1981 «Spectres d'absorption UV-VIS» (Méthode spectrophotométrique) 1. I N T R O D U C T I O N I n f o r m a t i o n
Plus en détailBREVET D ÉTUDES PROFESSIONNELLES AGRICOLES SUJET
SESSION 2010 France métropolitaine Option : élevage canin et félin BREVET D ÉTUDES PROFESSIONNELLES AGRICOLES ÉPREUVE E DU DEUXIÈME GROUPE Durée : 2 heures Matériel(s) et document(s) autorisé(s) : Calculatrice
Plus en détail