Antonella Invernizzi La vie quotidienne des enfants travailleurs : Stratégies de survie et socialisation dans les rues de Lima

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1 Antonella Invernizzi La vie quotidienne des enfants travailleurs : Stratégies de survie et socialisation dans les rues de Lima But du texte : Démontrer qu il ne faut pas catégoriser les activités des enfants d une manière objective mais qu il faut distinguer les activités exercées par les enfants à partir des échanges entre acteurs ainsi que par leurs propres définitions du travail. Il ne faut pas non plus catégoriser les enfants en fonction du type d activités. 1. Définition du travail : Différente selon l enfant et/le groupe auquel il appartient Le travail peut se définir par plusieurs critères: - ce qui permet de gagner sa vie lien avec l argent - ce qui demande un effort - ce qui demande des compétences (p.ex. le vol à la tire) - quelque chose d utile pour le consommateur - les capitaux dont dispose le travailleur (surtout pour les catégories aisées) - la productivité - la personne du travailleur - le caractère légal ou illégal du travail - l autonomie Ces éléments font partie d une évaluation sociale comprenant des normes légales et des stéréotypes. Ils dépendent également de la situation économique. = évaluation contextuelle de l acteur à propos de son travail. Ces évaluations sont nuancées, elles tiennent compte de la position sociale, des ressources et des aspirations du travailleur.

2 Le travail des enfants : Leur définition du travail ne comprendra qu un ou deux des points précités. L attribution d un travail dépend de : - l âge - du sexe - de l origine ethnique ou du fait d être un migrant Problèmes rencontrés par les enfants : - conflits sur les prix de vente - concurrence - conflits sur l occupation de l espace Des activités comme la mendicité ou le vol (catégorisées pour nous comme activité marginale et connoté négativement) sont tolérées sous certaines conditions et considérées comme étant un travail puisque cela demande des compétences et/ou permet de gagner un peu d argent. Faire attention à respecter certaines règles de réciprocité afin de laisser à l enfant son identité de vendeur. 2. La mendicité est tolérée dans certaines conditions : - grande pauvreté - charge familiale importante à assumer - personne âgée, malade ou handicapée - solution provisoire - petit enfant inexpérimenté Demande certaines compétences: - connaître les lieux de passage fréquentés - reconnaître le type de personne susceptible de donner de l argent - avoir une bonne technique pour aborder les gens et adapter sa demande par rapport à la personne

3 2.1 Exemples Le nettoyage de voiture : suivant le contexte et la manière dont ce travail est effectué, il peut être considéré comme un travail ou comme de la mendicité. Le cirage de chaussures : le fait de considérer le cirage de chaussure comme une activité utile dépend de l endroit de l offre, de la qualité du cirage et de la demande des gens. 3. La problématique du tourisme dans la définition du travail Les touristes : Modifient les règles du marché du travail Contribuent à la construction sociale de la mendicité (en transformant un service utile et pour soi-même et pour la survie de l enfant en mendicité). Pourquoi? - inexpérience / méconnaissance des règles de réciprocité - choisissent les enfants les plus jeunes par pitié (mais les plus inexpérimentés) ce qui discrédite ce métier et contribue à le marginaliser - donnent plus d argent que le prix payé - se plaignent du prix exagéré et accuse l enfant d être malhonnête ce qui attribue une nouvelle fois une image négative à l enfant 4. Conséquences des définitions dominantes du travail sur les enfants: Les définitions dominantes du travail des touristes, du client de classe supérieur ou de toute autre instance intervenant avec l enfant (p.ex ONG) amènent : - un impact important sur les transactions quotidiennes - des effets sur l identité de l enfant - une dévalorisation des efforts de l enfant - l attribution d une identité négative pour tous les enfants travailleurs

4 Présentation du système 1. Première dimension : l Effort Ici, l effort comprend la dimension physique, mais aussi la dimension stratégique pour survivre (trouver des solutions aux problèmes matériels, affronter les espaces inconnus). A travers cette conception on devine une forme d insécurité qui va de pair avec la recherche de protection. 2. L utilité du revenu pour le travailleur Cette dimension est reliée aux conditions de vie très précaires et aux solidarités au sein de la famille de l enfant ( l enfant veut aider en rapportant son revenu). 3. Caractère utile du produit ou du service fourni Cette donnée n est pas objective, elle est déterminée de façon imprécise par la paie. Ici, pour contrer la définition du travail classique il semble important de mettre en évidence les compétences et stratégies légales qui sont utilisées par les enfants lors de crises économiques. 4. Les compétences et les capacités L évaluation des compétences de l acteur va définir le type d activité que ce dernier peut exercer, dans le sens où s il n est pas en mesure de faire un travail productif, la mendicité lui sera tolérée. 5. L autonomie Dans le travail, l autonomie se réfère soit à un lien (parents / patrons) ou à une dimension particulière telle que la mobilité spatiale, la gestion de l activité ou du revenu. 6. Liens de coopération et de solidarité, l abus et l exploitation La manière dont l enfant se relie à son environnement et l intensité du lien vont aussi déterminer l activité. Ainsi l utilité du revenu va définir le niveau d exploitation.

5 7. Les capitaux disponibles et la productivité Les critères de productivité et de capitaux mis à dispositions pour atteindre un but différencient le travail de l activité marginale. L utilité du revenu est secondaire pour légitimer la notion de travail. 8. Le caractère légitime et licite Ici, la conception du travail va être légitimée par des construits sociaux qui vont influencer : les attentes des parents, la conception de la socialisation, la référence au genre Principes de classification du travail des enfants Ces 8 conceptions varient d une famille à l autre et se modifient en fonction du contexte de vie et de la conjoncture économique. La conception du travail est aussi bien différente si l on compare la vision du milieu de la rue avec celle du travail salarié dit moderne. Il y a deux manière de classer les activités des enfants : 1. définition large : se base sur l utilité du revenu 2. définition stricte : se base sur l utilité sociale des services fournis Positions plus générales à propos du travail des enfants : 1. le travail des enfants est associé à la misère et est conçu comme peu formateur, comme une entrave au développement, le but serait de l éliminer ou alors de protéger l enfant travailleur. 2. le travail est conçu comme une expérience pour l enfant pauvre. Il s agit alors de le valoriser tout en luttant contre l exploitation. Il est difficile de distinguer une activité marginale d un travail à partir de critères soit disant objectifs ; ainsi la notion de travail peut se définir, dans ce contexte, comme une expérience hétérogène qui influence le développement et la socialisation de l enfant de manières diverses.

6 L intervention Pour développer une intervention, il est important de prendre en considération les distinctions faites par les adultes et par les enfants du milieu. Lors d intervention on remarque que l enfant qui travaille dans la rue doit affronter plusieurs problèmes : - produire des revenus très rapidement - tout en se laissant un espace privé pour sa socialisation (jeu, exploration) - manque de perspective d avenir (les ado sont conscients de la difficulté de faire une formation) - affronter le regard stigmatisant, le mépris et la non reconnaissance sociale La définition dominante du travail associe la rue avec la pauvreté, misère, exploitation et nie la valeur des efforts, des compétences, des liens de solidarité, de coopération et les progrès économiques et sociaux. Cela pose le problème de la reconnaissance sociale et de l influence sur les politiques d intervention. Projets de certaines ONG Les ONG qui proposent des programmes d intervention basés sur la protection, posent des objectifs qui ne concordent pas forcément avec les intérêts des enfants. Dans cette situation ces projets se confrontent à deux catégories de difficultés qui réduisent leur efficacité d action. La première est que les modalités de travail proposées ne trouvent pas d adeptes. La deuxième concerne l impasse qui est faite sur les avantages que l enfants trouve en travaillant dans la rue. Ces difficultés s expliquent par la méconnaissance de la vie quotidienne des bénéficiaires et l absence de l approche explicative qui prend en compte le point de vue des enfants. Diverses ONG travaillent avec l approche explicative, ainsi, ce sont d autres dimensions qui sont touchées. Ainsi l approche participative donne la possibilité de fonder des interventions auprès des enfants travailleurs qui soient à la fois réalisables, efficaces et accueillies favorablement dans le milieu de vie.

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