: Education à la sexualité et prévention des IST auprès des jeunes, notamment en difficulté o Action-n

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1 Fiche Action : Axe prioritaire 2 «Accompagner les phases de fragilisation au cours du parcours de vie ou à la suite d évènements de santé fragilisants» o Action-n : Education à la sexualité et prévention des IST auprès des jeunes, notamment en difficulté o Action-n : Favoriser l expression d un besoin d aide ou de soins, organiser et accompagner la prise en charge des personnes en souffrance psychique o Action-n : Formation des acteurs sanitaires et non sanitaires au repérage de la souffrance psychique o Action-n : Amélioration de la prévention, du dépistage des risques suicidaires, de l intervention de crise et de la postvention o Action-n : Mise en place de programmes de développement des compétences psychosociales chez les enfants et adolescents o Action-n : Préparation au bon vieillissement pour une meilleure anticipation des changements, à la suite de la cessation d activité o Action-n : Vulnérables sociaux et gérontologie : préparer et accompagner le vieillissement des personnes en situation de précarité et de vulnérabilité sociale dans le cadre de changements de situation/ ruptures sociales (passage à la retraite, cessation d activité) o Action-n : Handicap et gérontologie : préparer et accompagner le vieillissement des personnes handicapées dans le cadre de changements de situation/ ruptures sociales (passage à la retraite, cessation d activité) o Action-n : Préserver l autonomie des personnes âgées par la prévention des chutes et la pratique d une activité physique o Action-n : Gérer le vieillissement pathologique pour un maintien au mieux Action-n de l autonomie

2 o Action-n : Faciliter l accès à l information o Action-n : Promouvoir les pratiques d éducation thérapeutique o Action-n : Développer les soins de support o Action-n : Aide aux aidants naturels - autour de l entrée dans l aide o Action-n : Aide aux aidants naturels le temps et la sortie de l aide o Action-n : Aide aux aidants naturels Si vous souhaitez plus d information concernant le déroulement et les objectifs du programme vous pouvez contacter les chefs de projets suivants : Objectif : mail : Objectifs Mme le Dr Dominique LINGK - : mail : dominique.lingk@sante.gouv.fr Objectif M. Patrick TEREYGEOL - : mail : patrick.tereygeol-ext@urcam-idf.cnamts.fr Référent pour les actions conduites en direction des personnes âgées et handicapées - Mme le Dr Yolande SOBECKI - : mail : yolande.sobecki@sante.gouv.fr Référent pour les actions de l objectif 16 maladies chroniques - Mme le Dr Jeannick DEVORT - : mail : jeannick.devort@sante.gouv.fr

3 Axe Prioritaire 2 : Accompagner les phases de fragilisation au cours du parcours de vie ou à la suite d évènements de santé fragilisants Objectif n 11 : «Renforcer les actions d éducation à la sexualité, intégrant les dimensions VIH, VHB et IST, contraception, chez les jeunes, notamment les jeunes en difficulté» Référence aux programmes VIH / IST, Hépatites et Périnatalité Action-n : Education à la sexualité et prévention des IST auprès des jeunes, notamment en difficulté Publics cibles : Les jeunes : jeunes présentant des facteurs de vulnérabilité, jeunes en milieu scolaire (voir les précisions sur la typologie dans les recommandations, infra). Les professionnels et les relais en contact avec ces publics: intervenants sanitaires et sociaux, éducateurs. Une campagne nationale sur la contraception est en cours par l INPES de 2007 à 2009 auprès du public jeune. Une campagne régionale, financée par le Conseil régional d Ile de France sera portée prochainement par l association du Mouvement Français pour le Planning Familial (MFPF). Les projets doivent s inscrire dans l un et/ou l autre des objectifs opérationnels suivants : Permettre aux jeunes d acquérir et de maintenir des comportements de prévention, dans une approche globale d éducation à la sexualité intégrant : - la prévention de la transmission du VIH et des IST, du VHB ; - la prévention des grossesses non désirées et la prévention des violences sexuelles ; - l expression du questionnement sur l identité sexuelle. Intervenir auprès des professionnels pour garantir une offre préventive suffisante, adaptée et diversifiée (préservatifs masculins et féminins payants et gratuits, contraception, contraception d urgence) et une information sur les lieux de conseil et de consultations, notamment gratuits. Types d actions proposées : Formation des professionnels et des adultes en contact avec les publics jeunes (formations ad hoc, et/ou intégration de la dimension VIH-IST-hépatites dans les programmes de formation initiale et continue). Les adultes doivent être en mesure de sensibiliser les jeunes collectivement et de les informer et les orienter de façon individuelle le cas échéant vers les lieux adaptés (CPEF, CDAG, CIDDIST, Sida Info Service). Mise à disposition «accompagnée» de documents d information (brochures, bandes dessinées, supports vidéo ) et d outils (préservatifs féminins et masculins). Des outils ont été créés dans le cadre de la campagne nationale.. Actions directes auprès des publics par les professionnels : sessions d information, théâtre forum, actions événementielles. Actions d information et de sensibilisation sur la contraception, la contraception d urgence et sur les préservatifs masculins et féminins en lien avec les infirmeries scolaires, les centres de planification et d éducation familiale, les pharmacies d officine et les médecins libéraux.

4 Recommandations éventuelles : Les actions devront cibler prioritairement les publics et territoires suivants : Publics prioritaires : Les jeunes présentant des facteurs de vulnérabilité - Jeunes particulièrement vulnérables (via la Protection Judiciaire de la Jeunesse PJJ - et l Aide Sociale à l Enfance - ASE) ; - Jeunes ayant quitté le circuit scolaire (missions locales, foyers de jeunes travailleurs) ; - Public des Points accueil écoute jeune (PAEJ), des espaces santé jeunes, des structures d insertion ; - Jeunes présentant un handicap physique et/ou mental ; - Jeunes en questionnement sur leur identité sexuelle. Les jeunes en milieu scolaire et éducatif Tous les jeunes doivent bénéficier d une éducation à la sexualité conformément aux textes spécifiques de l Education nationale et du ministère de la Santé. Certains jeunes nécessitent cependant une approche plus adaptée : - Scolaires en difficultés (Section d enseignement général et professionnel adapté - SEGPA, Etablissement régional d enseignement adapté - EREA et lycées professionnels dans certains secteurs) ; - Jeunes en Centre de formation pour apprentis ( CFA) ; - Etudiants, notamment ceux en situation de déracinement et d isolement. Les jeunes dans leurs activités de loisirs, de sport et dans des lieux d information polyvalents réseaux des Centres d information jeunesse (CIJ) et des bureaux d information jeunesse (BIJ). Territoires prioritaires : Territoires caractérisés par des indicateurs de vulnérabilité et de précarité importants, notamment les territoires relevant de la politique de la ville, articulation, le cas échéant avec les «ateliers santé ville». Les actions devront s inscrire dans le cadre de la charte du SREPS, s articuler avec la campagne nationale. Pour celles concernant les jeunes en milieu scolaire, le Comité d éducation à la santé et à la citoyenneté (CESC) doit être impliqué. Les collaborations inter-associatives sont à encourager. En matière d outils, la diffusion des outils existants élaborés par les instances missionnées sont à privilégier. Si une création d outils est prévue dans l action, les modalités de validation devront être précisées (sources, références, experts consultés). Les actions régionales devront préciser l impact local (département, territoire).

5 Eléments d évaluation : (à développer en fonction du type d action retenu) - Du processus : Moyens effectivement engagés (humains, financiers) Qualité du processus : - Points forts (nombre de chartes et autres processus de collaboration entre acteurs intervenant auprès des jeunes, capacité d amplification des relais) ; - Points faibles, obstacles et difficultés - De l activité : Ampleur de l action : - Territoire ; - Durée ; - Mobilisation des professionnels et des relais (nombre et profil des professionnels et relais formés, nombre de séances de formation, taux de participation) ; Participation des jeunes (nombre et profil des jeunes touchés par une action de sensibilisation nombre d actions de sensibilisation) diffusion (nombre de documents et préservatifs distribués). - Des résultats : - Actions en direction des professionnels - Évolution des pratiques professionnelles (visibilité des circuits, améliorations des orientations ). - Evaluation à distance souhaitable - Actions en direction des publics :. Amélioration des connaissances, connaissances des structures relais pour informations complémentaires,. Appropriation,. Orientations, fréquentation des dispositifs. - Dispositifs d approvisionnement en préservatifs : - Dispositifs installés et fonctionnels.

6 Axe Prioritaire 2 : Intervenir durant les phases de fragilisation du parcours de vie ou à la suite d évènements de santé fragilisants Objectif n 12 : Mieux prendre en compte la souffrance psychique. Référence au Plan Santé Mentale, Rapport Violence et Santé, Plan Santé Travail Action-n : favoriser l expression d un besoin d aide ou de soins, organiser et accompagner la prise en charge des personnes en souffrance psychique Publics cibles : Les personnes en situation de vulnérabilité psychique et psychosociale dont celles victimes de violences conjugales. Promoteurs : Les professionnels intervenant auprès des publics ciblés : - Etablissements d accueil et d hébergement (CHRS, FTM..). - Structures d insertion des jeunes (missions locales, points écoute jeunes..). - Associations intervenant dans le cadre des violences conjugales. - Collectivités locales dont celles en contrat urbain de cohésion sociale et territoriales. - Toute structure accueillant le public ciblé. Les projets doivent s inscrire dans l un et/ou l autre des objectifs opérationnels suivants : Accueillir, soutenir et accompagner les personnes cibles. Diversifier et adapter les modalités d accueil et d intervention de première intention. Organiser la mise en relation des différents intervenants et appuyer des programmes locaux interdisciplinaires d évaluation et de prise en charge de ces publics. Améliorer l orientation et les filières de prises en charge en optimisant le recours aux soins et en facilitant le travail en réseau avec les autres professionnels. Types d actions proposées : Accompagnement à l interface entre santé mentale et insertion sociale et professionnelle pour les personnes nécessitant un suivi psychiatrique ou un soutien psychologique, en particulier les personnes en difficulté dans leur parcours scolaire et/ou professionnel. Mise en place d actions de médiation afin d aider les personnes dans leurs démarches, en particulier celles restant à domicile. Mise en place d actions (individuelles et collectives) pour favoriser l expression et l orientation des victimes adultes de violence conjugales et création d espaces de parole en direction de ces victimes, des enfants témoins et des auteurs de violence. Mise en lien de professionnels par : - La mise en place d outils de communication. - L organisation d une instance locale de concertation des situations de personnes en souffrance psychique par une coordination interprofessionnelle définissant les mesures de suivis adaptés. - Le développement du travail en partenariat, en vue d une meilleure complémentarité des interventions et d une reconnaissance des rôles et missions de chacun (médecines générale et spécialisée en psychiatrie, services d aide à domicile, structures sociales, médico-sociales, médico-professionnelles ).

7 Eléments d évaluation : L évaluation doit pouvoir s appuyer sur trois types d indicateurs : - De processus : - Evaluation qualitative de la mise en place de l action (points forts, difficultés de mise en œuvre, validation de la stratégie d action, ). - D activité : (avec indicateurs chiffrés) : - Files actives des différentes structures et typologie des accompagnements et des orientations ; - Nombre et modalités des actions de médiation ; - Nombre d actions et d espace de parole en direction des victimes adultes de violences conjugales, modalités des orientations ; - Nombre d instances locales installées, nombre de cas traités, outils élaborés ; - Protocoles ou conventions de partenariat entre les différents intervenants. - De résultats : - Réalisation d outil et transmission au chef de projet ; - Analyse des personnes orientées par rapport à la file active ; - Mesure de l amélioration de la souffrance psychique pour les personnes prises en charge, mesure de l évolution de leur situation familiale, sociale, professionnelle.

8 Axe Prioritaire 2 : Intervenir durant les phases de fragilisation du parcours de vie ou à la suite d évènements de santé fragilisants Objectif n 12 : Mieux prendre en compte la souffrance psychique. Référence au Plan Santé Mentale, Rapport Violence et Santé, Plan Santé Travail Action-n : Formation des acteurs sanitaires et non sanitaires au repérage de la souffrance psychique Publics cibles : Promoteurs : Associations, établissements de santé, collectivités territoriales, réseaux, tout organisme collaborant avec les professionnels sanitaires et non sanitaires et susceptible de proposer une formation. Les projets doivent s inscrire dans l un et/ou l autre des objectifs opérationnels suivants : Amélioration du repérage de la souffrance psychique et de son degré. Amélioration des compétences et des pratiques professionnelles. Aide à l orientation vers les services adaptés ( sociaux, soins ). Développement de référentiels. Types d actions proposées : Formation au repérage de la souffrance psychique : Par l apport de connaissances sur la clinique psychosociale et l ethnopsychiatrie. Par l apport de connaissances sur les mécanismes des violences, à travers une approche globale et multidisciplinaire, notamment : - faites aux femmes, - en milieu professionnel. Par le développement de l utilisation de questionnaires standardisés : - soit généralistes sur l état de santé : SF-36 :medical outcome study Short Form, profil de santé de DUKE, GHQ 28 : General Health Questionnaire.. - soit plus spécifiques : détresse psychologique (CES-D :Center for Epidémiologic Studies Depression scale, MINI :Mini International Neuropsychiatric Interview), dépendance à l alcool DETA-CAGE, AUDIT, questionnaire d utilisation du système de soins. Recommandations éventuelles : Ces formations doivent intégrer des champs disciplinaires différents. Au moins deux professionnels par structure pourront être formés.

9 Eléments d évaluation : Du processus : - Evaluation qualitative du déroulement de l action (points forts, difficultés de mise en œuvre, validation méthodologique de l action, ). D activité (avec indicateurs chiffrés) - Nombre de formations réalisées ; - Nombre de personnes formées ; - Typologie des personnes formées. De résultats : (aspect qualitatif et quantitatif) - Evaluation de l amélioration des pratiques professionnelles à la suite de la formation. - soit par une enquête avant et à distance de la formation, - soit étude d observation par l analyse des dossiers de suivi. - Mesure de l amélioration des orientations des personnes prises en charge : nombre d orientations vers les structures adaptées avant et à l issue de la formation.

10 Axe Prioritaire 2 : Intervenir durant les phases de fragilisation du parcours de vie ou à la suite d évènements de santé fragilisants Objectif n 12 : Mieux prendre en compte la souffrance psychique. Référence au Plan Santé Mentale, à la Stratégie Nationale d actions face au suicide et au Plan Santé Travail Action-n : Amélioration de la prévention, du dépistage des risques suicidaires,de l intervention de crise et de la postvention Les publics cibles : Personnes en situation de détresse psychologique : - Milieu scolaire, structures d insertion ou lieux spécifiques jeunes ; - Milieu universitaire ; - Milieu pénitentiaire ; - Personnes âgées en établissement ou à domicile ; - Milieu professionnel. Promoteurs : - Professionnels en capacité de proposer de nouveaux outils pour l aide à la prévention des publics ciblés et de mettre en œuvre des actions individuelles et collectives appropriées ; - Organismes proposant des formations sur le repérage des facteurs de risque suicidaire et sur l intervention de crise ; - Formateurs régionaux formés dans le cadre de la convention DGS/CH Vinatier pour le repérage et la gestion de la crise suicidaire, proposant une démultiplication des formations reçues (prison, EHPAD, réseaux gérontologiques ). Les projets doivent s inscrire dans l un et/ou l autre des objectifs opérationnels suivants : Favoriser la prévention des risques suicidaires. Renforcer les compétences spécifiques des professionnels du secteur sanitaire, social, éducatif et du monde du travail en améliorant la connaissance des facteurs de risque suicidaire et de leurs déterminants. Types d actions proposées : Elaboration d outils spécifiques de prévention et du repérage du risque suicidaire. Mise en place d actions de prévention. Mise en place d actions de postvention. Formations de professionnels pouvant être confrontés au risque suicidaire. Démultiplication et diffusion du contenu des formations spécifiques reçues au niveau national par les personnes ressources régionales. Recommandations : Les outils de prévention ne doivent pas être ponctuels mais s intégrer dans une démarche préventive élaborée. Une formation à leur utilisation doit être proposée.

11 Eléments d évaluation : - Du processus : - Evaluation qualitative du déroulement de l action (Points forts, difficultés de mise en œuvre, validation méthodologique de l action ). - D activité (avec indicateurs chiffrés) : - Nombre d interventions de prévention et de postvention ; - Nombre et typologie des professionnels formés ; - Nombre de personnes repérées ; - Profil d orientation des personnes repérées (nature de l orientation : vers quelle structure ). - De résultats : - Réalisation d outils et méthodologie d utilisation, à transmettre au chef de projet ; - Evolution du nombre de personnes repérées ; - Evaluation de l amélioration des pratiques professionnelles à la suite de la formation (enquête avant et à distance de la formation) ; - Mesure de l amélioration de la détresse psychologique chez les personnes repérées.

12 Axe Prioritaire 2 : Intervenir durant les phases de fragilisation du parcours de vie ou à la suite d évènements de santé fragilisants Objectif n 13 : Favoriser la promotion de la santé mentale pour un public jeune Référence au plan Santé Mentale Action-n : Mise en place de programmes de développement des compétences psychosociales chez les enfants et adolescents Publics cibles : Petits enfants de 0 à 3 ans Enfants d écoles maternelles et élémentaires. Jeunes des collèges, lycées ou pris en charge hors milieu scolaire (missions locales.). Les projets doivent s inscrire dans l un et/ou l autre des objectifs opérationnels suivants : Pour les enfants de 0 à 3 ans, mettre en place des programmes de prévention précoce favorisant le développement de leurs compétences psychosociales, à partir d un soutien à la parentalité (autonomie, résolutions des conflits, estime de soi..). Pour les enfants d écoles maternelles et élémentaires, mettre en place des programmes précoces permettant la gestion progressive des conflits interindividuels à partir du développement de compétences psychosociales (tolérance d une frustration, identification des émotions, résolution de problèmes ).Il est souhaitable que parallèlement, un soutien à la parentalité soit organisé pour permettre d améliorer la qualité de l interaction parents/enfants. Pour les adolescents, mettre en place des programmes permettant le renforcement des compétences psychosociales (valorisation de l estime de soi, gestion du stress et des conflits, amélioration relationnelle ) Pour les enfants d écoles maternelles et élémentaires et pour les adolescents, mettre en place des programmes visant à prévenir les comportements et les violences sexistes et à promouvoir le respect filles-garçons. Types d actions proposées : Pour les petits enfants, actions de soutien à la parentalité. Pour les enfants d écoles maternelles et élémentaires, des ateliers réguliers, avec une méthodologie et des outils qui devront être précisés. Si possible associer ou impliquer l équipe éducative. Pour les parents de ces enfants, soutien des parents volontaires avec des entretiens individuels réguliers (échanges sur les problématiques rencontrées, information sur le développement des enfants ) et/ou des visites à domicile. Pour les adolescents, des ateliers réguliers avec une méthodologie et des outils qui devront aussi être précisés.

13 Recommandations : Le promoteur pourra éventuellement former les enseignants à la mise en place du programme. Il devra aussi former les intervenants auprès des parents. Le promoteur devra utiliser une méthodologie et des outils reconnus et éventuellement adaptés à partir d expériences étrangères pour les publics ciblés Eléments d évaluation : L évaluation devra s appuyer sur les 3 types d indicateurs : - Du Processus : - Comment l action se met-elle en place et se déroule t-elle? points forts, difficultés, propositions d amélioration, validation de la stratégie d action - D activité : - Nombre de jeunes ayant bénéficié du programme ; - Nombre de parents soutenus. - De résultats : - Mesure de l amélioration des compétences psychosociales des enfants et des adolescents ; - Mesure de l amélioration des compétences parentales ; - Préciser la méthodologie d évaluation utilisée. Pour les programmes importants, il y aura intérêt à valider les résultats à travers l utilisation de groupes d enfants ou adolescents témoins et de groupes bénéficiant de l action.

14 Axe Prioritaire 2 : Accompagner les phases de fragilisation au cours du parcours de vie ou à la suite d évènements de santé fragilisants Objectif n 14 : «Développer l évaluation globale du vieillissement (en y intégrant une dimension de prévention primaire et secondaire) et l étendre aux populations vulnérables vieillissantes» Référence au Programme Personnes âgées Action-n : Préparation au bon vieillissement pour une meilleure anticipation des changements, à la suite de la cessation d activité. Publics cibles : Personnes âgées de 55 ans ou plus. Professionnels intervenant auprès des seniors, des personnes âgées et des familles. Associations d usagers et de familles. Médecine du travail. Médecine de ville. Caisses de retraite. Mutuelles. Villes et autres collectivités territoriales. Les projets doivent s inscrire dans l un et/ou l autre des objectifs opérationnels suivants : Il s agit de favoriser la prise en compte et la prévention des facteurs de risque liés aux changements de situation comme la cessation d activité et la mise à la retraite. Il s agit donc : - de promouvoir les actions de consultation, bilan et suivi des personnes à des fins préventives, dans le cadre d actions à caractère exemplaire, afin de sensibiliser et d éduquer ces personnes à la préparation au changement et les risques qui en découlent en terme de santé ; - de corréler et d interfacer les acteurs professionnels autour de la gestion de nouveaux équilibres (recherche de cohésion) psychiques, biologiques et environnementaux et du suivi des actions; - de professionnaliser les structures et dispositifs existants. Types d actions proposées : Le repérage des actions exemplaires menées en région en matière de bilan médico-psycho-social. La sensibilisation des personnes en cessation d activité et des professionnels au bilan médicopsycho-social. Des programmes actifs d éducation à la santé en matière de préparation au grand âge : prévention des facteurs de risque et comportements à adopter (par exemple : réalisation d ateliers pour personnes «en retraite» sur les questions de santé liées au vieillissement, la promotion de l exercice physique, etc.). La formation et information des professionnels sur les conditions d un «bon vieillissement» des personnes en cessation d activité (en particulier les comportements à adopter). La formation des personnels des CLIC et des réseaux à la santé publique et aux techniques de prévention. L information/ sensibilisation des professionnels de santé (dont la médecine de ville) sur les dispositifs et actions de prévention existants. Des études et appuis méthodologiques au développement des politiques préventives gérontologiques locales et régionales.

15 Recommandations éventuelles : Favoriser les actions de proximité, faciles d accès et accessibles aux seniors, et familles. Veiller à la conformité des actions avec le programme national «Bien vieillir». Privilégier le développement des actions au sein des villes, des habitats collectifs et des instances de proximité santé, retraites, mutuelles (publiques et/ou privées), université 3 ème âge ou inter-âge, comités d entreprises Actions en partenariat avec l URML, ou les Amicales de médecins généralistes Eléments d évaluation : - Du processus : - Points forts et points faibles de l action tant du point de vue des promoteurs que de celui des patients ou des personnes formées. - D activité : Pour chaque action, parmi les indicateurs que vous aurez retenus, veuillez préciser en particulier : - Le nombre d interventions (de formation, sensibilisation, information) réalisées ; - Le profil type de la population bénéficiaire de l action, qu il s agisse des 55 ans ou plus ou des professionnels ; - Le nombre moyen de personnes bénéficiaires de l action ; - Les supports utilisés. - De résultats (avec indicateurs chiffrés) : - Impact sur les pratiques professionnelles ; - Capacité d amplification ou d essaimage ; - Ciblage et canaux d information ; - Nouvelles filières de communication et d implication, et leur potentialité.

16 Axe Prioritaire 2 : Accompagner les phases de fragilisation au cours du parcours de vie ou à la suite d évènements de santé fragilisants Objectif n 14 : «Développer l évaluation globale du vieillissement (en y intégrant une dimension de prévention primaire et secondaire) et l étendre aux populations vulnérables vieillissantes» Référence au Programme Personnes âgées Action-n : Vulnérables sociaux et gérontologie : préparer et accompagner le vieillissement des personnes en situation de précarité et de vulnérabilité sociale dans le cadre de changements de situation/ruptures sociales (passage à la retraite, cessation d activité ) Publics cibles : Personnes vieillissantes en situation de vulnérabilité sociale (Chômeurs longue durée, Rmistes de plus de 50 ans, monoparentaux vieillissants, migrants hors foyers). Aînés en situation de précarité (isolement, comportements addictifs ). Professionnels intervenant auprès des personnes vieillissantes en situation de vulnérabilité sociale ou en situation de précarité (ANPE, structures d insertion, CMU, mutuelles). Professionnels intervenants auprès des personnes âgées. Les migrants vieillissants en foyer, les détenus, les vulnérables sociaux en errance font partie du PRAPS. Les projets doivent s inscrire dans l un et/ou l autre des objectifs opérationnels suivants : Il s agit de mieux identifier les besoins de ces populations lors de changements de situation comme le passage à la retraite, afin de les aider à mieux préparer leur vieillesse. Il s agit donc : - D identifier les besoins de ses populations pour la mise en place de bilans médico-psychosociaux, afin de prévenir les risques d un vieillissement précoce et faciliter l accès au droits et aux soins ; - De favoriser l articulation des professionnels pour mieux gérer la transition, afin de réinsérer les personnes dans leur parcours du vieillissement ; - D inciter le rapprochement des professionnels des secteurs de l insertion, de la précarité, de l emploi, de la retraite et de la gérontologie. Pour les aînés précaires : - Lutter et prévenir les troubles du comportement liés à une désorientation, et/ou une désocialisation (repérage de ces personnes, développement des approches de santé mentale pour les sujets âgés : gérontopsychiatrie) ; - Articulation avec la médecine de ville pour reconstruire le lien médecin/sujet ; - Développement de la bientraitance (lutte contre la maltraitance due à des comportements de désorientation, d alcoologie, de liens déséquilibrés : enfant adulte précaire vivant au domicile de parents âgés) ; - Etude et développement d actions de solidarité et de dignité pour lutter contre la paupérisation des personnes âgées ; - Lutte contre le logement insalubre des aînés précaires ; - Amélioration des connaissances et des approches liées au syndrome Diogène.

17 Types d actions proposées : Production de connaissances : études (Diogène, approche des comportements de refus de soins ), expérimentations. Prévention des comportements à risques : addiction médicamenteuse, alcoologie des personnes âgées, refus de soins Ingénierie d articulation des secteurs et des acteurs. Formation, sensibilisation des professionnels. Recommandations éventuelles : Aucune Eléments d évaluation : - Du processus : - Points forts et points faibles de l action tant du point de vue des promoteurs que de celui des patients ou des personnes formés. - D activité : Pour chaque action, parmi les indicateurs que vous aurez retenus, veuillez préciser en particulier : - Le nombre d interventions réalisées ; - Le profil type de la population bénéficiaire de l action, qu il s agisse des populations vulnérables ou des professionnels ; - Le nombre moyen de personnes bénéficiaires de l action ; - les supports utilisés. - Des résultats (avec indicateurs chiffrés) : - Développement des connaissances ; - Effectif des populations cibles.

18 Axe Prioritaire 2 : Accompagner les phases de fragilisation au cours du parcours de vie ou à la suite d évènements de santé fragilisants Objectif n 14 : «Développer l évaluation globale du vieillissement (en y intégrant une dimension de prévention primaire et secondaire) et l étendre aux populations vulnérables vieillissantes» Référence au Programme Personnes âgées Action-n : Handicap et gérontologie : préparer et accompagner le vieillissement des personnes handicapées dans le cadre de changements de situation/ruptures sociales (passage à la retraite, cessation d activité ) Publics cibles : Personnes handicapées vieillissantes. Professionnels intervenant auprès des personnes handicapées et/ou des personnes âgées : - professionnels et handicap (maison départementale du handicap, associations ), - professionnels et grand âge (CLIC, réseaux, hôpital, associations ). Les projets doivent s inscrire dans l un et/ou l autre des objectifs opérationnels suivants : Il s agit de prendre en compte le vieillissement des personnes handicapées dans le cadre de bilans médico-psycho-sociaux afin de prévenir les risques accrus d un vieillissement pathologique, en particulier la désinsertion et la désocialisation de ces personnes du fait des changements de situation liées à la retraite, à leur propre vieillissement, au vieillissement de leur entourage proche (parents, fratries). Il s agit donc : - d inciter le rapprochement des professionnels des professionnels des secteurs du handicap avec les professionnels de la gérontologie, afin d améliorer l articulation entre prise en charge du handicap et prise en charge gérontologique, - de favoriser l acquisition d une culture commune, - de faciliter l articulation d enfants handicapés adultes avec des parents âgés, notamment dans le cadre du maintien à domicile. Types d actions proposées : Sensibilisation des professionnels du handicap à la gérontologie (dispositifs d accès aux droits, accès aux soins). Formation des professionnels intervenant en gérontologie-gériatrie aux questions du handicap. Elaboration d outils d information, pour les personnes âgées avec enfants adultes handicapés et leurs familles. Elaboration de fiches techniques pour les institutions. Ingénierie d articulation des secteurs et des acteurs. Formation, sensibilisation des professionnels, en particulier les équipes mobiles de gériatrie et d évaluation à la question du handicap à domicile. Recommandations éventuelles : Favoriser les actions de proximité, faciles d accès et accessibles aux personnes handicapées et aux personnes âgées. Privilégier le développement de ces actions au sein des EPHAD, avec ouverture à un public externe.

19 Eléments d évaluation : - Du processus : - Points forts et points faibles de l action tant du point de vue des promoteurs que de celui des patients ou des personnes prises en charge - D activité : Pour chaque action, parmi les indicateurs que vous aurez retenus, veuillez préciser en particulier : - Le nombre d actions (de formation, sensibilisation ) réalisées ; - Le profil type de la population bénéficiaire de l action, qu il s agisse des personnes handicapées vieillissantes ou des professionnel ; - Le nombre moyen de personnes bénéficiaires de l action ; - Les supports utilisés. - Des résultats (avec indicateurs chiffrés) : - Evolution des pratiques professionnelles ; - Développement des compétences ; - Qualité des articulations/approches partagées ; - Conventions liées aux nouvelles coopérations ; - Amélioration des orientations des personnes prises en charge.

20 Axe prioritaire 2 : Accompagner les phases de fragilisation du parcours de vie ou à la suite d événements de santé fragilisants Objectif n 14 : «Développer l évaluation globale du vieillissement (en y intégrant une dimension de prévention primaire et secondaire) et l étendre aux populations vulnérables vieillissantes» Référence au Plan expérimental de Préservation de l Autonomie des Personnes Agées. ACTION-n : Préserver l autonomie des personnes âgées par la prévention des chutes et la pratique d une activité physique. Publics cibles : Personnes âgées à domicile ou en institution. Professionnels et bénévoles travaillant auprès des personnes âgées. Centres d examens de santé et structures d accueil et d hébergement. Prestataires de service et/ou intervenants de toute nature auprès des personnes âgées, qualifiés, ou ayant bénéficié d une formation. Les projets doivent s inscrire dans l un et /ou l autre des objectifs opérationnels suivants : Sensibiliser et former les personnes âgées, les professionnels, et les intervenants à l importance de la prévention des chutes, Promouvoir la prévention des chutes, par la mise en œuvre de techniques visant à maintenir l équilibre, et la stabilité posturale. Promouvoir la pratique régulière et adaptée d une activité physique. Diminuer l impact psychologique de la chute, en apprenant à se relever du sol, et à gérer le risque éventuel de re-chute. Promouvoir la pratique régulière et adaptée d une activité physique. Types d actions proposées : Actions d éducation pour la santé à destination des personnes âgées visant à mettre en œuvre les recommandations en matière de prévention des chutes. Organisation de séances de formation des professionnels et d information des personnes âgées. Mise en place d ateliers «Equilibre de prévention des chutes» visant à récupérer la stabilité posturale, prévenir la perte d équilibre, et diminuer l impact psychologique de la chute en apprenant aux personnes à se relever seules. Recommandations éventuelles : Mettre en œuvre les recommandations et référentiels validés dans ces problématiques (INPES..). Diffuser les supports d information sur la prévention des chutes. Mobiliser, et s appuyer sur le réseau des CLIC. S appuyer sur les réseaux de santé «Personnes âgées». Travailler en lien avec les organismes de formation continue, de formation et d information. Travailler avec les associations intervenant auprès des personnes âgées. Travailler avec les institutions impliquées (organismes d assurance maladie, collectivités territoriales, caisses de retraite de tous régimes, fédérations d établissements d hébergement de personnes âgées, associations de maintien à domicile, etc.)

21 Eléments d évaluation : Du processus - Points forts et point faibles de l action tant du point de vue des promoteurs, que de celui des patients, et des personnes informées et formées. D activité - Nombre et types d interventions réalisées (formation, action d éducation pour la santé, etc.). - Nombre et nature des lieux d intervention. - Nombre de personnes âgées, de professionnels, d intervenants, de participants touchés (total et par séance). - Profil des personnes concernées. - Thèmes de santé abordés par action. - Nombre et nature des outils pédagogiques utilisés. - Nombre et nature des livrets pédagogiques distribués. - Nombre et type de réseaux mobilisés par type d action. Des résultats - Evolution des représentations et des connaissances des personnes âgées sur les problématiques abordées. - Evolution des pratiques et des comportements des personnes âgées, des professionnels de santé, des intervenants sur les problématiques visées, notamment pour les personnes âgées par la mesure du taux de chute après action, avec la mise en place d une cohorte d évaluation. - Mesure de l évolution de la pratique d activités physiques par les personnes âgées. - Appréciation de l amélioration de la qualité de vie des personnes âgées touchées.

22 Axe Prioritaire 2 : Accompagner les phases de fragilisation au cours du parcours de vie ou à la suite d évènements de santé fragilisants Objectif n 15 : «Développer des bilans médico-psycho-sociaux pour les personnes atteintes de polypathologies chroniques avec un retentissement fonctionnel (en particulier les personnes atteintes de détérioration intellectuelle et les personnes du grand âge) et s assurer de leur suivi» Référence au Programme Personnes âgées Action-n : Gérer le vieillissement pathologique pour un maintien - au mieux - de l autonomie Publics cibles : Personnes âgées de 75 ans ou plus, personnes fragilisées vieillissantes présentant un vieillissement pathologique du fait de pathologies surajoutées (maladies chroniques, développement de cancer «tardif», de troubles cognitifs, de troubles psychiques relevant de la santé mentale ). Professionnels intervenant auprès des personnes âgées. Professionnels intervenant dans le cadre des pathologies chroniques et des détériorations intellectuelles (troubles psychiques, neurologiques). Ce programme croise avec les objectifs maladies chroniques, cancer, et santé mentale. Les projets doivent s inscrire dans l un et/ou l autre des objectifs opérationnels suivants : Le développement de bilan médico-psycho-sociaux doit permettre de favoriser la prise en compte et la prévention des facteurs de risques. Il s agit donc : - de sensibiliser et d inciter les personnes âgées à entretenir leur capacité d autonomie et à prévenir les risques de dépendance accrus ; - d améliorer la qualité de vie, et notamment le parcours de vie de ces personnes en promouvant les actions de suivi et d articulation entre les acteurs pour une meilleure santé globale ; - de développer les actions et stratégies de bientraitance prenant en compte la vulnérabilité du grand âge et/ou d un vieillissement pathologique ; - de veiller au maintien de la qualité du lien social notamment pour prévenir le refus de soins et pour la conduite de changements (aspects éthiques). Types d actions proposées : Action et programme d information, outils de communication et de sensibilisation relatifs à : - la gestion des parcours et qualité de vie, - les projets de vie, - l adaptation de l habitat, - au lien social et à l animation dans le cadre du maintien à domicile. Développement des bilans médico-psycho-sociaux et formation des professionnels. Développement des coopérations inter-professionnelles (réseau, CLIC, médecins traitants ). Amélioration de la filière ville-hôpital-ville : outils, partenariat, étude et impact. Développement des pratiques d accompagnement et de fin de vie (soins de supports, approches palliatives, fin de vie). - Lutter et prévenir les troubles du comportement liés à une désorientation, et/ou une désocialisation (repérage de ces personnes, développement des approches de santé mentale pour les sujets âgés : gérontopsychiatrie)

23 - Articulation avec la médecine de ville pour reconstruire le lien médecin/sujet Développement de la bientraitance (lutte contre la maltraitance due à des comportements de désorientation, d alcoologie, de liens déséquilibrés : enfant adulte précaire vivant au domicile de parents âgés). Recommandations éventuelles : Favoriser les actions de proximité, faciles d accès et accessibles aux personnes âgées et familles. Eléments d évaluation : - Du processus : - Points forts et points faibles de l action tant du point de vue des promoteurs que de celui des patients pris en charge ou des personnes formées. - D activité : - Le nombre d actions (de formation, sensibilisation, information ) réalisées. Pour chaque action, parmi les indicateurs que vous aurez retenus, veuillez préciser en particulier : - le profil type de la population bénéficiaire de l action, qu il s agisse des personnes atteintes de polypathologies chroniques avec un retentissement fonctionnel ou des professionnels, - le nombre moyen de personnes bénéficiaires de l action, - les supports utilisés. - De résultats (avec indicateurs chiffrés) : - Evolution des pratiques professionnelles ; - Développement des compétences ; - Qualité des articulations ; - Convention et protocole de travail.

24 Axe Prioritaire 2 : Accompagner les phases de fragilisation au cours du parcours de vie ou à la suite d évènements de santé fragilisants Objectif n 16 : «Améliorer la qualité de vie des personnes atteintes de maladies chroniques, notamment celles atteintes de cancer, maladie d Alzheimer et affections apparentées» Nouvelle Thématique Action-n : Faciliter l accès à l information Publics cibles : Personnes atteintes de maladies chroniques, maladies rares, physiques (en particulier les cancers, diabètes, les maladies cardio-vasculaires, les maladies respiratoires, les maladies ostéoarticulaires, ) et mentales (en particulier d Alzheimer et affections apparentées, ). Les projets doivent s inscrire dans l un et/ou l autre des objectifs opérationnels suivants : Faciliter l accès à l information des malades et de leurs familles, qu il s agisse de l offre de soins, ou des organismes, structures, lieux d information générale sur les maladies concernées. Permettre la meilleure orientation possible des malades. Types d actions proposées : Recensement de l offre de soins et de l offre d information. Réalisation de plaquettes et/ou guides d information permettant l orientation des malades et leurs familles. Mise à disposition de ces outils d information dans les lieux de prise en charge. Recommandations éventuelles : Favoriser les projets associant les usagers. Favoriser l expertise du promoteur. Privilégier la pertinence du système de diffusion de l information. Eléments d évaluation : - Du processus : - Points forts et points faibles de l action tant du point de vue des promoteurs que de celui des patients ou des personnes formées. - D activité : Le promoteur de l action devra établir une méthode et un protocole d évaluation de son activité. Le bilan d activité devra préciser : - Nombre de patients concernés par les actions ; - Nombre de patients ayant utilisé l'information (démarches) ; - Moyens utilisés (financiers et humains) ; - Eventuellement, nombre de séances d'information menées ; - Nombre de participants aux formations selon la fonction.

25 - De résultats (avec indicateurs chiffrés) : - Nombres de démarches des patients (ou entourage) réalisées suite à l'intervention (consultations, adhésions ou contact avec les associations de patients, demandes d'information) ; - Taux d'impact des différentes actions : nombre de démarches des patients / nombre de patients touchés ; - Evolution des connaissances des patients sur le sujet ; - Satisfaction des patients sur le service offert, les outils proposés ou les documents utilisés ; - Satisfaction des patients relative à leur qualité de vie ou à leur état de santé.

26 Axe Prioritaire 2 : Accompagner les phases de fragilisation au cours du parcours de vie ou à la suite d évènements de santé fragilisants Objectif n 16 : «Améliorer la qualité de vie des personnes atteintes de maladies chroniques, notamment celles atteintes de cancer, maladie d Alzheimer et affections apparentées» Nouvelle Thématique Maladies chroniques Action-n : Promouvoir les pratiques d éducation thérapeutique Publics cibles : Personnes atteintes de maladies chroniques au sein de deux sous-ensembles : Personnes atteintes de maladies chroniques, maladies rares, physiques (en particulier les cancers, diabètes, les maladies cardio-vasculaires, les maladies respiratoires, les maladies ostéoarticulaires, ) et mentales (en particulier d Alzheimer et affections apparentées, ). Personnes atteintes de maladies rares parmi les plus fréquentes et en particulier la drépanocytose, la mucoviscidose, l hémophilie,.. ). Les projets doivent s inscrire dans l un et/ou l autre des objectifs opérationnels suivants : Permettre aux malades d acquérir et de conserver les connaissances sur leur maladie leur permettant ainsi de vivre de manière optimale avec elle. Diffuser l information sous forme simple et attrayante. Types d actions proposées : Programme d éducation thérapeutique à visée collective, menée hors d un établissement de santé. Programme de formation de professionnels (hors champ de la formation professionnelle conventionnelle ) et/ou de bénévoles aux pratiques d éducation thérapeutiques, pour la mise en œuvre d interventions auprès des publics concernés. Recommandations éventuelles : Favoriser les projets associant les usagers. Favoriser l expertise du promoteur et permettre aux associations de malades de porter un projet. Rechercher la pertinence dans les actions proposées, et leur caractère innovant. Nécessaire conformité des projets aux recommandations de l OMS. Adhésion à la charte du SREPS d Ile de France. Utilisation de référentiels validés (OMS, HAS,..). Eléments d évaluation : L examen des dossiers accordera une importance particulière à ceux proposant des indicateurs de résultat choisis parmi ceux figurant dans la liste ci après : - Du processus : - Points forts et points faibles de l action tant du point de vue des promoteurs que de celui des patients pris en charge ou des personnes informées ou formées.

27 - D activité : - Nombre de patients concernés par les Programmes d'éducation thérapeutique ; - Moyens utilisés (financiers et humains) ; - Nombre de séances de formation menées ; - Nombre de participants aux formations selon la fonction. - De résultats : r. Programmes d'éducation thérapeutique : - Modification des comportements des patients (avant/après l'intervention) sur les aspects suivants (non exhaustif) : - Activités physiques. - Alimentation. - Facteurs de risques. - Observance des traitements. - Soins. - Modification des connaissances des patients (avant/après l'intervention) sur sa maladie et son impact sur la qualité de vie ; - Taux d'impact des différentes actions : nombre de modifications de comportements des patients / nombre de patients éduqués ou touchés ; - Satisfaction des patients sur le service offert, les outils proposés ou les documents utilisés. Programmes de formation des professionnels ou des bénévoles - Evolution des connaissances des personnes (professionnels ou bénévoles) formées ; - Mesure de l'utilisation des formations reçues dans la pratique des personnes formées (professionnels ou bénévoles) ; - Satisfaction des professionnels ou bénévoles sur les formations reçues, les outils proposés ou les documents utilisés.

28 Axe Prioritaire 2 : Accompagner les phases de fragilisation au cours du parcours de vie ou à la suite d évènements de santé fragilisants Objectif n 16 : «Améliorer la qualité de vie des personnes atteintes de maladies chroniques, notamment celles atteintes de cancer, maladie d Alzheimer et affections apparentées» Nouvelle Thématique Maladies chroniques Action-n : Développer les soins de support Publics cibles : Personnes atteintes de maladies chroniques, maladies rares, physiques (en particulier les cancers, diabètes, les maladies cardio-vasculaires, les maladies respiratoires, les maladies ostéoarticulaires, ) et mentales (en particulier d Alzheimer et affections apparentées, ). Les projets doivent s inscrire dans l un et/ou l autre des objectifs opérationnels suivants : Soutenir les malades et leurs familles dans la prise en charge quotidienne de leur maladie. Soutenir les associations et les aidants. Assurer, autant que faire se peut, une bonne coordination des soins, et le travail en réseau. Prendre en charge les aspects psychologiques de la maladie. Types d actions proposées : Améliorer la formation des soignants (hors champ de la formation professionnelle conventionnelle) à l utilisation d échelles d évaluation de la qualité de vie. Former les bénévoles et les volontaires des associations. Soutenir les permanences associatives qui proposent une aide pratique et un soutien, notamment aux aidants. Recommandations éventuelles : Favoriser les projets associant les usagers. Favoriser l expertise du promoteur et permettre aux associations de malades de porter un projet. Privilégier les démarches de prise en charge globale des malades dans toutes leurs dimensions. Eléments d évaluation : L examen des dossiers accordera une importance particulière à ceux proposant des indicateurs de résultat choisis parmi ceux figurant dans la liste ci après : - Du processus : - Points forts et points faibles de l action tant du point de vue des promoteurs que de celui des patients pris en charge ou des personnes formées. - D activité : - Le promoteur de l action devra établir une méthode et un protocole d évaluation de son activité. Le bilan d activité devra préciser : - Moyens utilisés (financiers et humains) ; - Nombre de séances de formation menées ; - Nombre de participants aux formations selon la fonction.

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