GARDES D ENFANTS LE CASSE-TÊTE DES PARENTS COMMENT FONCTIONNENT LES STRUCTURES DANS LE HAUT-DOUBS? les survivalistes se préparent au pire IDÉESCADEAUX

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1 IDÉESCADEAUX Vins - Foie gras - Produits régionaux Mensuel d information des cantons de Montbenoît, Mouthe, Levier, Pontarlier, Vercel et du Jura voisin DÉCEMBRE 2012 N 158 2, rue du Docteur Grenier - PONTARLIER Tél GARDES D ENFANTS LE CASSE-TÊTE DES PARENTS COMMENT FONCTIONNENT LES STRUCTURES DANS LE HAUT-DOUBS? LE DOSSIER en p. 21 à 25 SÉCURITÉ p. 8 La délinquance commerciale en hausse Les commerçants du Haut-Doubs démunis face à la violence des cambriolages. L ÉVÉNEMENT p. 6 et 7 21 décembre 2012 : les survivalistes se préparent au pire Rédaction : Les Éditions de la Presse Pontissalienne - B.P , rue de la Brasserie MORTEAU CEDEX - Tél redaction@groupe-publipresse.com

2 2 La Presse Pontissalienne n Décembre 2012 Éditorial Pragmatisme Sans tambours ni trompettes, avec une opiniâtreté peut-être toute féminine, la présidente de la Région Franche-Comté Marie- Guite Dufay a su montrer dans le dossier ferroviaire du Haut-Doubs tout ce que les citoyens sont en droit d attendre de leurs élus locaux. La mise en place des nouvelles lignes de trains régionaux qui relieront Pontarlier et Frasne à Vallorbe et au Val de Travers à partir du 10 décembre est une illustration parfaite du rôle que doivent remplir les collectivités territoriales. Parfois raillée pour son manque supposé de charisme, son déficit de notoriété ou son retrait, Marie- Guite Dufay a préparé ce dossier sans aucune esbroufe et c est avec la même modestie qu elle a annoncé la mise en place de ces nouvelles lignes destinées à désengorger autant que faire se peut le trafic transfrontalier. Là où des comités internationaux, des agglomérations transfrontalières nés ad hoc ou encore des Conférences transjurassienne à la lourdeur de fonctionnement toute jacobine peinent à mettre en place des solutions concrètes, en voilà une, simple, certes coûteuse - quoique - et certainement efficace qui peut non seulement servir à pallier les carences et les promesses en l air de la toute puissante mais si lourde S.N.C.F. dans le dossier des T.G.V. franco-suisses, mais qui est aussi une réponse immédiate à la galère ressentie par des milliers de frontaliers. Las, ces derniers ne croient plus aux promesses d amélioration des routes, menés en bateau par un État devenu indigent. Sur ce point, et malgré l énergie déployée par la nouvelle députée Annie Genevard depuis son élection en juin dernier, on ne peut que se rendre à l évidence : le contournement de Pontarlier restera sans doute une chimère. Et les premiers travaux d amélioration de la R.N. 57 et du trafic transfrontière ne seront pas effectués avant au moins quatre ans, les services de l État dépensant plus de temps et d argent à réaliser des études et des contre-études qu à agir. Il a donc fallu que d autres solutions soient imaginées, plus rapides à mettre en œuvre et également plus écologiquement correctes. Certains responsables politiques raillent sous cape le manque d autorité de la présidente de Région. L entière disponibilité qu elle consacre à son seul mandat à la tête de la Franche-Comté n aboutit jamais à des coups d éclat. On ne demande d ailleurs rien autre chose que du pragmatisme au service des problématiques régionales. Le dossier des T.E.R. transfrontaliers en est l exemple parfait. Jean-François Hauser L actualité bouge, les dossiers évoluent. La Presse Pontissalienne revient sur les sujets abordés dans ses précédents numéros, ceux qui ont fait la une de l actualité du Haut-Doubs. Tous les mois, retrouvez la rubrique Retour sur info. La C.C.L. réfute le caractère polluant de la station d épuration La communauté de communes du Larmont réagit aux propos dʼalexandre Cheval, le garde de la Fédération de pêche du Doubs. Il a indiqué dans notre édition dʼoctobre, à lʼoccasion dʼune longue interview qui lui était consacrée, que lʼépuration de la station de Pontarlier est critiquable. Une remarque que repousse la C.C.L. qui investit de 1 à 2 millions dʼeuros dans lʼassainissement (réseaux et station dʼépuration) chaque année. Ce poste lui coûte tous les ans 2 millions dʼeuros en fonctionnement. Selon Gérard Rognon, lʼélu en charge de cette question à la C.C.L., on ne peut imputer aux rejets de la station dʼépuration la dégradation du Doubs. Que ce soit au niveau des mises aux normes de la station, des investissements engagés dans les communes pour optimiser le réseau, de tout le travail qui est fait avec les industriels, tout concours à lʼoptimisation des traitements des eaux usées explique Gérard Rognon. Selon lʼélu, tout est parfaitement fléché. Les services de lʼétat sont attentifs aux rejets de la station dit-il. La C.C.L. précise en effet que des analyses sont réalisées dans le milieu naturel en amont de la station, en aval, et en aval lointain afin de déterminer si les rejets ont des conséquences sur le Doubs et son milieu naturel. La qualité de nos rejets est bien notée par les services de lʼétat rappelle Gérard Rognon avant de préciser quʼà lʼavenir, le panel des critères suivis sera encore élargi afin que les rejets de la station soient plus encore en conformité avec les eaux de la rivière. Tout cela induit des coûts. RETOUR SUR INFO Acquisition du bâtiment Sbarro, c est dans la boîte Les élus de la C.C.L. ont validé le 27 novembre dernier lʼacquisition du bâtiment qui servira de maison de lʼintercommunalité. Le président Patrick Genre sʼest montré très convaincant, arguant dʼune situation propice et dʼune opportunité qui ne se représentera pas de sitôt. Prix du bien : 3,450 millions dʼeuros auquel il conviendra dʼajouter pour 4,65 millions dʼeuros dʼaménagement. Soit une opération à 8 millions dʼeuros. Ce projet permettra le regroupement des services mutualisés de la C.C.L. du Une opération à 8 millions d euros. Centre Technique Intercommunal et du Centre Technique Municipal. La Ville de Pontarlier apportera un fond de concours. Le financement sʼétalera jusquʼen 2014 avec une occupation partielle des locaux espérée à partir du second semestre Une telle dépense ne remet pas en cause mais décale dans le temps la réalisation des autres projets intercommunaux comme le funérarium, la piscine et la médiathèque. Cinq élus ont voté contre cette décision. Suffisamment rare pour le signaler. La station de Doubs est dimensionnée pour traiter les eaux usées de équivalents habitants. Bouquet fleuri pour la Petite Échelle est éditée par Les Éditions de la Presse Pontissalienne - 1, rue de la Brasserie B.P MORTEAU CEDEX Tél. : Fax : redaction@groupe-publipresse.com Directeur de la publication : Thomas COMTE Directeur de la rédaction : Jean-François HAUSER Directeur artistique : Olivier CHEVALIER Rédaction : Frédéric Cartaud, Édouard Choulet, Thomas Comte, Jean-François Hauser. Agence publicitaire : S.A.R.L. BMD - Tél. : François ROUYER - Portable : Imprimé à I.P.S. - ISSN : Dépôt légal : Décembre 2012 Commission paritaire : 1102I80130 Crédits photos : La Presse Pontissalienne, Amicale des pompiers, W. Donnarel, Rega. L alpage de Norbert Bournez sur le Mont d Or vient de se voir décerner le premier prix du cinquième concours de prairies fleuries du Parc Naturel Régional du Haut-Jura. Cet événement transfrontalier associe aussi le Parc naturel Vaudois. Il concerne donc des agriculteurs des deux territoires et un patrimoine commun : les pré-bois ou pâturages boisés. Le jury qui était composé d experts français et suisses est intervenu courant septembre sur le terrain. Sa mission : évaluer l équilibre agro-sylvo-pastoral et environnemental de chaque alpage inscrit au concours. Les élèves des collèges Grenier et Malraux à Pontarlier ont également établi leur propre classement dans l attribution du prix des Jeunes Pousses. On ne répétera sans doute jamais assez l importance des pré-bois. Ces milieux ouverts et forestiers rassemblent tous les stades de la colonisation de la hêtraie sapinière et la biodiversité qui lui est associée. Essentiel pour l alimentation estivale des jeunes bovins et des vaches, ces paysages tendent à se refermer progressivement. La Petite Échelle représentera le territoire au concours national des prairies fleuries, dont la remise des prix se déroulera en décembre à Paris. Le premier prix a été attribué à l alpage de la Petite Échelle, commune de Rochejean. Le prix des Jeunes Pousses à l alpage de la Laizinette Dessous à Mouthe (photo O. Roydor).

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4 4 La Presse Pontissalienne n Décembre 2012 L INTERVIEW DU MOIS TRANSPORT Lancement des lignes transfrontalières C est la vie de nos territoires qui est en jeu La présidente de Région Marie-Guite Dufay a officialisé le 29 novembre la création des deux nouvelles lignes transfrontalières en direction de Vallorbe et du Val de Travers. Une chance pour le Haut-Doubs. La Presse Pontissalienne : Comment justifier la mise en place de ces nouvelles lignes ferroviaires? Marie-Guite Dufay : Il s avérait nécessaire de proposer une nouvelle offre sur ce secteur où il n y avait plus rien sur l axe transfrontalier. La Région marque ainsi sa volonté de contribuer à un allégement de la circulation sur les routes au moment où les frontaliers les empruntent massivement. Ceci s inscrit aussi dans le schéma de mobilité avec les Suisses. L.P.P. : Ces trains iront d où à où? M.-G.D. : À partir du 10 décembre, on aura une circulation entre Pontarlier et Travers qui sera cadencée avec un autre train ralliant Fleurier où travaillent de nombreux frontaliers. On propose aussi une autre liaison entre Pontarlier-Frasne et Vallorbe avec des correspondances vers Lausanne et la Vallée de Joux. On a travaillé en étroite collaboration avec les cantons de Neuchâtel et de Vaud. Inimaginable de priver le Haut-Doubs de T.G.V. regarderai ce que donne cette ligne, je chercherai à associer à la Région et aux cantons suisses un troisième partenaire financier. Je considère que les entreprises suisses qui seront desservies doivent être de la partie. Ce ne serait pas normal que seuls les pouvoirs publics assument ces financements. Ces entreprises sont capables d investir dans des navettes de bus. Elles peuvent donc se mobiliser aussi par substitution en faveur des trains. L.P.P. : Combien coûtent ces ouvertures de lignes? M.-G.D. : Cela représente une enveloppe de euros pour la Région. L.P.P. : Ce projet s est concrétisé en un temps record! M.-G.D. : Cela correspond à six mois de propositions. Quand nous avons dévoilé nos intentions, la Une progression de 12 % de fréquentation. S.N.C.F. nous a signalé que rien n était possible avant Nous sommes montés au créneau pour raccourcir ces délais. Ceci grâce à la mobilisation politique entre les Suisses et les Français qui a fortement pesé sur les C.F.F. et la S.N.C.F. L.P.P. : Êtes-vous confiante sur la réussite de l opération? M.-G.D. : C est une expérimentation. J espère qu elle va prendre. On verra l an prochain si nous confortons ou si nous arrêtons. En même temps que je L.P.P. : Ces lignes vont conforter l avenir du ferroviaire dans le Haut-Doubs? M.-G.D. : Je me réjouis pour le Haut- Doubs. C est vraiment une étape qu il faut suivre de près. Pour la gare de Pontarlier, c est très important. Avec ces deux trains, on commence à tisser un réseau altermodal avec les frontaliers. Soyons humbles aussi car cela ne résoudra pas tous les problèmes de circulation. Ces trains fonctionneront en complémentarité avec le covoiturage et d autres moyens de transport collectifs. L.P.P. : Par les temps qui courent, c est plutôt rare d annoncer des ouvertures de lignes régionales? M.-G.D. : On était déjà dans cette dynamique avec le cadencement des T.E.R. entrepris en On a fait des efforts et les résultats sont assez encourageants. On enregistre par exemple une progression de 12 % de fréquentation dans le cadencement supplémentaire entre Pontarlier et Dole qui comprend trois trains. On a provoqué une offre. On a aussi rétabli un Saint-Claude- Besançon. L.P.P. : Qu en est-il de la situation régionale? M.-G.D. : La S.N.C.F. repose sur un modèle économique qui ne tient pas la route. En Franche-Comté, on est en train d entrer dans le rouge. C est inimaginable de priver le Haut-Doubs de dessertes T.G.V. On nous parle sans cesse de rentabilité mais on n a pas à opposer des considérations économiques à des fonctions d aménagement. C est la vie de nos territoires qui est en jeu. Autre exemple, il est anormal que ce C est une expérimentation. On verra l an prochain si nous confortons ou si nous arrêtons, confie Marie-Guite Dufay. soit la Région qui supporte le financement des navettes entre la gare Viotte et celle d Auxon. Cela nous coûte quand même 2,8 millions d euros. L.P.P. : Vous semblez pessimiste M.-G.D. : Je tire la sonnette d alarme. On pourrait aussi parler du Belfort- Delle qui ne sort toujours pas du marasme. La Région a pourtant formalisé le plan de financement et R.F.F. ne donne toujours pas le feu vert. Autre sujet d inquiétude sur les lignes du Haut- Jura et du Revermont qui vont nécessiter de gros travaux de maintenance. Il faut instaurer un plan rail. L.P.P. : Comment réduire le budget T.E.R.? M.-G.D. : En négociant avec la S.N.C.F. pour trouver des gains de productivité qui permettent de réduire les coûts. Propos recueillis par F.C. Informations sur ces nouvelles lignes - Contac ter au du lundi au vendredi de 6 h 30 à 19 heures Recevez chez vous La Presse Pontissalienne Abonnez-vous à un tarif préférentiel Le journal d information qui aborde tous les mois les sujets d actualité de Pontarlier et de sa région : événements, société, actu, sport, vie associative et culturelle, dossier 27,50 les 12 numéros au lieu de 30 1 NUMÉRO GRATUIT 1 an - 12 numéros 52,50 au lieu de 60 3 NUMÉROS les 24 numéros GRATUITS 2 ans - 24 numéros BULLETIN D ABONNEMENT Bulletin à remplir et à retourner accompagné de votre règlement à l adresse suivante : La Presse Pontissalienne - B.P , rue de la Brasserie MORTEAU CEDEX Nom Prénom N /Rue Code Tél. 1 an (12 numéros)= 27,50 au lieu de 30 soit 1 NUMÉRO GRATUIT 2 ans (24 numéros)= 52,50 au lieu de 60 soit 3 NUMÉROS GRATUITS Ville En application de l article 27 de la loi du 6 janvier 1978, les informations ci-dessus sont indispensables au traitement de votre commande et sont communiquées aux destinataires la traitant. 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5 PONTARLIER La Presse Pontissalienne n Décembre ENSEIGNEMENT Un mandat de deux ans Cornélia Bonnard à la tête du Conseil général des jeunes Cette jeune collégienne qui suit sa scolarité aux Augustins est la nouvelle présidente du Conseil général des jeunes. De l énergie et beaucoup d envie pour s investir dans sa mission. Ce challenge, c est d abord l affaire de deux copines inséparables qui sont liées d amitié depuis la rentrée au collège des Augustins. Cornélia Bonnard vient de Dijon. Tiffany Bonin est du Haut-Doubs. Elles sont toutes les deux internes et dans la même classe de 4 ème. Il n en fallait pas plus pour former un duo d adolescentes comme on en trouve dans tous les internats. On partage les mêmes idées. À la formation des délégués, Tiffany m a poussé à m inscrire pour représenter le collège, explique Cornélia. La classe est la circonscription de base du Conseil général des jeunes. Il faut d abord être délégué avant de postuler à l élection des conseillers généraux juniors qui représentent les collèges du département. Les deux complices ont travaillé d arrache-pied pour défendre un projet d établissement axé sur la création d un journal conçu par les collégiens et pour La suite du programme Les nouveaux conseillers vont se réunir dans leur commission respective une fois par mois, de décembre à février, pour débattre des projets à mettre en œuvre en Chaque commission dispose dʼun budget de euros par an, précise Cornélia. Au printemps prochain, les projets retenus seront présentés et votés en assemblée plénière. En parallèle, les jeunes conseillers seront invités à développer une action au sein même de leur collège. La joie ressentie à l annonce des résultats. Déjà inséparables au collège des Augustins, Cornélia la blonde présidente et Tiffany sa suppléante ont développé leur complicité à la tête du Conseil général des jeunes. les collégiens. On ne communique pas assez dans l établissement. On aimerait avoir un support qui parle de sport, de culture, de loisir, explique Tiffany qui a accepté d être la suppléante de Cornélia. Les deux font la paire. Leur enthousiasme communicatif pallie encore quelques difficultés à appréhender l organisation et le fonctionnement de l assemblée dont elles ont pris les commandes. Mais quand l envie de bien faire est là, le reste n est qu une question de temps. Le 7 novembre dernier, les conseillers généraux juniors du Doubs étaient réunis à la Saline d Arc-et-Senans. Cette journée d intégration leur a permis de faire connaissance et de prendre toute la mesure de leurs nouvelles fonctions. Ils ont eu à élire leur président et ses deux vice-présidents. Pendant cette réunion, j ai eu l occasion de discuter avec l ancienne présidente Laurène Fleurot. Elle m a convaincue de tenter ma chance, poursuit Cornélia qui faisait partie des 16 candidats. Chacun a pris la parole pour défendre ses idées. Trac énorme, cœur qui bat à tout rompre. Cornélia a eu sa dose d émotion pendant ce grand oral qu elle n est pas prête d oublier. Très formateur. Sa prestation fut à la hauteur et on devine encore la joie ressentie à l annonce des résultats. Mon père m a envoyé 18 S.M.S., indique en souriant cette jeune présidente très bien soutenue par son entourage. Comme elle est issue de la commission de Pontarlier, ses deux vice-présidents appartiennent aux deux autres bassins démographiques, à savoir Besançon et Montbéliard. Voilà de quoi alimenter les loisirs à l internat des Augustins. F.C.

6 L ÉVÉNEMENT 6 La Presse Pontissalienne n Décembre 2012 LE HAUT-DOUBS DES SURVIVALISTES Les heures de l humanité seraient donc comptées. Les théories les plus farfelues annoncent la fin du monde pour le 21 décembre Ce jourlà, l apocalypse frappera la planète pour la plonger dans le chaos. Rien que ça! Dans la communauté des Hommes, il y a ceux qui sont convaincus que le ciel va leur tomber sur la tête et ceux qui en pleurent de rire tant cette histoire leur semble ridicule. Puis il y a ceux qui ne redoutent pas le néant mais une crise économique et sociale majeure, un événement naturel, un conflit, qui bousculera l ordre établi de notre société occidentale qui vit au rythme effréné de la consommation. Ceux-là se préparent à faire face à des problèmes d approvisionnement en denrées alimentaires, à des coupures d électricité et à des difficultés d alimentation en eau. On les appelle les survivalistes. La Presse Pontissalienne les a rencontrés. MÉDIAS Pontarlier Grunswick, la chaîne du survivalisme Dans le Haut-Doubs, un internaute a créé la chaîne de Grunswick qui rassemble un ensemble de vidéos dans lesquelles il se met en scène pour parler de sujets aussi divers que la crise économique ou la manière d allumer un feu avec de l amadou. Internet foisonne de survivalistes qui délivrent des conseils pour survivre à un coup dur. Parmi les blogeurs actifs sur le web, il y a l animateur de la Chaîne de Grunswick. Cet internaute, vraisemblablement installé dans le secteur de Pontarlier, que nous avons cherché a contacté en vain, poste des vidéos sur You Tube dans lesquelles il parle du survivalisme et du bushcraft, un domaine qui regroupe un ensemble de techniques pour survivre en milieu naturel. Grunswick ne spécule pas sur la fin du monde ou l explosion d un système qui conduirait à une guerre urbaine. Il ne joue pas sur les peurs. Les vidéos dans lesquelles l animateur se met en scène à visage découvert, mais sans jamais donner son nom, abordent des sujets très divers qui ont un lien. Au bistrot du survivalisme, il parle de tout. À sa manière, il évoque la crise économique mondiale, le pouvoir des banques ou la mortalité des abeilles. Autant de sujets qui reflètent une forme de décadence du monde dans lequel on vit. Il fait sa propre rentrée littéraire en présentant des ouvrages utiles au survivaliste car ils enseignent la conservation des aliments, la façon de faire un potager, ou de connaître les arbres fruitiers. Selon Grunswick, le survivaliste peut se préparer à des événements peu dramatiques et se constituer une réserve alimentaire pour faire face à une rupture dans la chaîne de consommation de la société. En cas de crise plus longue, le survivaliste a les moyens de vivre en autarcie alimentaire. Pour cela, il doit être capable de se constituer un potager, un verger, pratiquer la chasse et la pêche. Il peut aussi, avec peu de moyens, élever des insectes comme les grillons pour se nourrir. Caméra au point, Grunswick part en randonnée autour de Pontarlier. L occasion pour lui de donner des conseils pour survivre en milieu naturel en apprenant par exemple à allumer un feu avec l amadou, un champignon qui se fixe sur les arbres. HAUT-DOUBS Il a souhaité garder l anonymat. Nous l appellerons donc Philippe. En couple, père de famille installé dans le Haut- Doubs un job en Suisse, ce garçon mène une vie normale. Sa différence est son tempérament prévoyant exacerbé. Philippe est par nature plus fourmi que cigale : c est un survivaliste. Par définition, il est donc prêt à faire face à une situation de crise qui menacerait sa vie et celle des siens. S il le faut, il se réfugiera dans son abri enterré de l autre côté de la frontière dans lequel il a de quoi vivre en autonomie. Il est équipé de six lits et d une pompe à air. C est un endroit sec et frais, parfaitement adapté pour stocker des denrées alimentaires dit-il. Philippe dispose d environ six mois d avance de nourriture dans son bunker : boîtes de conserves, pâtes, lait en poudre, eau, produits sanitaires. Un stock qu il entretient et régénère comme tout bon survivaliste qui se respecte. Mais que peut-il bien redouter pour se protéger ainsi? La fin du monde? Non. Il ne fait pas partie de ceux qui s organisent et s arment, dans l espoir de survivre à l apocalypse qui réduirait la terre à l état de néant et l humanité à la barbarie comme dans le film La route de John Hillcoat. Une rupture qui fait froid dans le dos. Il y a des gens qui attendent cela, qui voudraient que ça pète pour se livrer à une guérilla urbaine. Faire des réserves, cultiver le jardin, avoir un minimum de production, ça ne les intéresse pas. Ils veulent se battre. Moi je ne raisonne pas com- L exemple de Philippe Prêt à faire face à un effondrement de la normalité Cet habitant du Haut-Doubs dispose de six mois de réserves alimentaires dans son bunker. Actuellement, il engrange des connaissances pour maîtriser la culture de la terre. Rencontre avec un survivaliste qui se dit prêt à faire face à une crise qui bousculerait l ordre établi. me cela. Je suis plutôt d une nature optimiste affirme Philippe qui ne fantasme pas sur les scénarios catastrophe. D ailleurs, il ne croit à la date du 21 décembre, le jour où tout doit basculer selon les oracles illuminés. La guérilla urbaine, ce n est pas du survivalisme, c est du crime organisé. Ce que l on peut redouter en effet, c est qu en cas d effondrement, qui assurera la sécurité des citoyens si l État n est plus en mesure de le faire? interroge Piero San Giorgio, auteur de deux ouvrages sur le sujet. Chez notre habitant du Haut-Doubs, le survivalisme sonne comme un retour aux sources. Il se réapproprie des habitudes de vie comme en avaient nos aïeuls il y a encore un demi-siècle. Alors Revoir notre train de vie. tout devient question de bon sens, et de proximité avec la nature qui l entoure. Par exemple, cultiver un jardin pour se nourrir, cueillir les fruits, faire des conserves, élever des bêtes, couper du bois pour se chauffer l hiver, sont quelques-unes des pratiques qu il plébiscite. Être capable de générer suffisamment de nourriture pour devenir autonome, voilà l enjeu à relever à une époque où il est plus facile de pousser son caddie dans les rayons d un supermarché que de s éreinter à bêcher son jardin pour ceux qui ont la chance d avoir un bout de terrain. J ai la même démarche qu avaient nos grands-parents. J acquiers des connaissances qui vont dans ce sens. Pour moi, le survivalisme c est être capable de faire attention à ce que l on consomme. Pourquoi acheter dans une grande surface des tomates cultivées sous serre en Espagne alors que je peux en faire pousser sous mes fenêtres? Pourquoi ne pas chercher à consommer local? Je crois qu on vit une période de fou. On perd la notion de beaucoup de choses. Si on veut que ça fonctionne, il faut peut-être revoir notre train de vie conseille Philippe. Il va le moins souvent possible au supermarché et plaide pour les filières courtes, du producteur au consommateur. Être autonome sur le plan de la nourriture est une manière d anticiper d éventuelles menaces sur l'approvisionnement des magasins. En changeant sa façon de vivre au quotidien sans tout révolutionner, cet homme estime être capable de faire face à un effondrement de la normalité comme une période de chômage longue, un événement climatique, un accident nucléaire ou un conflit. Le monde peut s effondrer autour de lui, comme cela arrive ailleurs sur la planète, Philippe sait déjà comment il va réagir car il a anticipé la crise. Pour la plupart des survivalistes, l organisation qu ils déploient doit leur permettre de faire face à une situation critique temporaire. Les armes à feu et les armes blanches font partie de leur paquetage. Même les plus modérés se disent prêts à défendre leur pré carré. Question de sécurité. Ce qui surprend dans cette démarche, c est son côté égoïste et individualiste puisqu elle répond à la règle du chacun pour soi. Et dire que l avenir de l humanité tient peut-être dans une boîte de conserve périmée en C est moche.

7 La Presse Pontissalienne n Décembre INTERVIEW Piero San Giorgio On risque de traverser une période difficile et violente Auteur de deux livres sur le survivalisme, ce citoyen suisse redoute que la crise économique aboutisse à des conflits sociaux importants. Comme d autres, il s y prépare. FRANCE A 50 kilomètres au sud de Carcassonne La Presse Pontissalienne : Pour certains, le survivalisme consiste à se préparer à une guérilla urbaine. Pour d autres, l objectif est de revenir à une vie proche de la nature. Quelle est votre définition du survivalisme? Piero San Giorgio : La difficulté est que chacun a sa propre définition du survivalisme qui est apparu dans les années cinquante aux États-Unis pendant la guerre froide. L objectif à l époque était de se protéger contre des attaques nucléaires. Cela a évolué pour couvrir une palette plus large de personnes. Elle va des apocalyptiques religieux qui croient en la fin du monde, à ceux qui se préparent à faire face à une catastrophe locale telle qu un ouragan, un tremblement de terre, ou une période de grande neige qui les couperait du monde pendant une durée plus ou moins longue. Pour ma part, je me prépare à l effondrement économique. Le survivaliste est un adulte responsable et prévoyant. L.P.P. : Votre premier livre s intitule Survivre à l effondrement économique. Que redoutez-vous au juste et quelles seraient les conséquences? P.S.G. : Je rejoins les analyses de beaucoup d économistes et d écologistes. Le détonateur des difficultés à venir est la Le délire de Bugarach Culminant à mètres d altitude, le pic de Bugarach est considéré par ceux qui croient en la théorie de l apocalypse, comme l endroit où il faudra être le 21 décembre pour survivre. Pour éviter les problèmes, le préfet de l Aude a décidé d en interdire l accès ce jour-là. ÀBugarach jouit d une notoriété internationale. Pourquoi? Parce que des hurluberlus du monde entier qui annoncent l apocalypse pour le 21 décembre, prétendent, sur la base d une interprétation approximative du calendrier Maya, que ce village de l Aude, situé au cœur du pays cathare, sera épargné. Pour être plus précis, c est son pic mystérieux qui culmine à mètres d altitude, surplombant la bourgade, qui est considéré comme un des ultimes refuges de l humanité, du moins de ce qu il en restera. Depuis de nombreuses années, cette montagne est au cœur de tous les fantasmes, alimentant les délires Le pic de Bugarach nourrit tous les fantasmes depuis de nombreuses années. De nationalité suisse, Piero San Giorgio est l auteur de Survivre à l effondrement économique et de Rues barbares. Il est photographié devant sa ferme survivaliste. les plus fous. Le pic de Bugarach serait un portail qui s ouvrirait sur un abri souterrain, d où se déploieraient des tunnels filant à travers la planète. Une théorie soutenue que l ufologue Élisabeth Van Buren dans un livre paru dans les années quatre-vingt intitulé Bugarach, le refuge de l apocalypse. Mieux, il y aurait une vie sous ce massif. On y aurait entendu des bruits, provenant d un atelier de maintenance de soucoupe volante! Certains prétendent même que le pic va servir de piste d atterrissage à un gigantesque vaisseau spatial qui sauvera les Hommes. On nage en plein dans un scénario de science-fiction! En attendant, il y a des gens sur cette planète qui prennent cette histoire très au sérieux. C est ce qui inquiète les autorités locales. La pression monte au fur et à mesure que l on approche de la date fatidique. Pour éviter les problèmes, le préfet de l Aude a annoncé que l accès à Bugarach serait interdit du 19 au 23 décembre. Ceux qui avaient donc prévu de se réfugier sur les pentes du pic, par conviction ou juste pour le fun, devront se résoudre à trouver autre chose. Par cette décision, le préfet entend également couper court au business de la fin du monde à Bugarach où des particuliers seraient prêts à louer appartement, maison, et terrain à prix d or. crise économique liée au montant de la dette des États. Il est tel que le danger est que nous n ayons pas les moyens de financer ni la paix sociale, ni les solutions aux problèmes climatiques.à mon sens, nous arrivons à une situation où les dix prochaines années risquent d être difficiles. Ce ne sera pas soudain, les choses se feront lentement comme on le constate aujourd hui en Grèce. Il n y a pas encore eu d explosion sociale dans ce pays, mais la probabilité d y arriver est forte. Pour moi, je pense qu en France il y a malheureusement plusieurs raisons qui peuvent conduire à une situation similaire. L.P.P. :Le principe de solidarité prévaut dans nos sociétés. Ne croyez-vous pas qu il est possible d éviter l explosion sociale? P.S.G. : Lorsqu il y a eu le tsunami au Japon, il y a eu morts. Les gens ont survécu en travaillant ensemble. Ils ont attendu avec résilience les secours car c est dans la culture japonaise d être discipliné. À l inverse en 2005, lorsqu il y a eu l ouragan Katrina aux États-Unis, on a vu presque immédiatement des pillards s attaquer aux magasins. Estce qu en France nous sommes plus près de la culture japonaise, ou plutôt dans des réactions violentes? Nous n avons pas la réponse. L.P.P. : Le survivalisme est une règle individualiste, alors que la solution aux problèmes quels qu ils soient est sans doute collective. Quel est votre point de vue? P.S.G. : Vous parlez de solidarité, mais nous vivons dans un monde qui est devenu très individualiste, où l on consomme à outrance.je crois en effet que pour résoudre les problèmes, il faudra se mettre tous ensemble. Mais avant cela, il faut commencer par se préparer soimême, pour ensuite étendre le cercle à sa famille et à ses amis. Ce n est qu à partir du moment où nous sommes prêts que l on peut aider les autres. Le but n est évidemment pas de s enterrer dans un bunker ou de se retrancher dans la forêt avec des armes. Le but est juste d avoir un peu d autonomie pour ensuite aider d autres personnes dans son village, dans son quartier. Je prône le lien social qui ne peut se faire qu à partir d une démarche personnelle. Le principe du survivalisme est de rompre avec une mentalité d assistanat, qui consiste à penser qu en cas de problème la société continuera de s occuper de moi. L.P.P. : Mais le survivalisme n est pas à la portée de tout le monde. Cela coûte de l argent? P.S.G. : C est un fait :plus on a d argent et mieux on peut se préparer. J ai eu la chance, c est vrai, de pouvoir m acheter une ferme. J ai mon potager, des boîtes de conserve, des panneaux solaires. Je dispose d un an d avance de nourriture. Je suis pratiquement autonome. Cela m a coûté de l argent.ce que j ai mis en place est un système idéal. Mais finalement, ce que j explique aussi dans mon dernier Je ne serai jamais à 100 % autonome. livre Rues barbares, est qu il est possible de trouver des solutions quand on vit en H.L.M. en organisant un potager urbain, en récupérant l eau, etc. L.P.P. : Beaucoup de survivalistes disent qu ils n inventent rien. Ils reviennent aux sources, à la terre, à la vie de nos grands-parents dans les campagnes qui étaient autonomes pour beaucoup de choses. Qu en pensez-vous? P.S.G. : C est exactement le sens de mon message.on imagine que ce sera le chaos, un scénario à la Mad Max, mais tout cela est très exagéré. Moi je parle d un retour au sol local,d une façon de consommer moins. Je commence à faire des conserves de légumes, des salaisons, à jardiner. Je sais cependant que je ne serai jamais à 100 % autonome. Par exemple, je ne produis pas de lait. En revanche, mes voisins ont des vaches. Ils peuvent me donner du lait en échange d autre chose.il y a une solidarité qui existe à la campagne. D ailleurs en cas de problème, la vie sera beaucoup plus dure à Paris où il y a une forte concentration humaine, qu à Besançon qui est une ville à la campagne. Nous risquons de traverser une période difficile et violente, mais à terme les gens retrouveront une solidarité naturelle. Nous finirons par aller vers un monde meilleur. L.P.P. :Est-ce qu on vous traite parfois d excessif et de pessimiste? Êtes-vous taxé de jouer sur les peurs lorsque vous intitulés votre dernier livre Rues barbares? P.S.G. : Que des gens le pensent, c est certain. J ai eu des débats houleux parfois avec mon entourage sur ces sujets. Je constate qu aujourd hui, la crainte du lendemain pousse de plus en plus de gens à se constituer des réserves alimentaires. D autres quittent la ville pour s installer en campagne où le contexte est meilleur pour survivre. Propos recueillis par T.C.

8 8 La Presse Pontissalienne n Décembre 2012 PONTARLIER SÉCURITÉ Cette violence fait peur. Plus de vigilance La montée en puissance de la délinquance commerciale Les commerçants locaux se sentent démunis et peu préparés face à la recrudescence et à la violence des cambriolages. Des changements d habitude s imposent. Il faudra s y faire et comme le souligne le commandant Delacour à la tête du commissariat : Pontarlier n est pas la petite ville tranquille où il ne se passe jamais rien. Le nombre de commerces attire la convoitise, génère de la malveillance. La recrudescence des cambriolages à l échelle nationale s applique aussi au joli gâteau commercial du Haut- Doubs dont on pouvait croire naïvement sans doute qu il puisse être épargné. Trois vols à main armée ont été perpétrés sur la zone Pontarlier- Doubs. Ce qui n était jamais arrivé sur le secteur, observe la souspréfète Laura Reynaud. Cette violence fait peur. Preuve de cette inquiétude, les commerçants s étaient déplacés en nombre à la réunion sécurité commerce organisée par la Chambre de commerce le 29 novembre aux Capucins. L occasion pour les forces de l ordre de rappeler la mise en place du plan anti-hold-up du 16 novembre au 16 janvier. On renforce les patrouilles et la présence policière sur le terrain notamment aux heures d ouverture et de fermeture des magasins, décrit le chef de la police. La sécurité à 100 % n existe pas face à la délinquance commerciale. Les policiers et les gendarmes par le biais de leurs spécialistes en sûreté sont prêts à proposer des conseils sur la manière de mieux sécuriser les commerces à l intérieur comme à l extérieur. La C.C.I. du Doubs a lancé en septembre 2011 le dispositif alerte commerce qui permet aux commerçants d être informés par S.M.S. des vols et escroqueries commis sur leur zone. On enregistre 104 adhérents au niveau de la C.C.L. Huit alertes ont été diffusées depuis le 26 septembre 2011 : cinq vols à main armée ou avec violence, un vol à l étalage, cinq escroqueries, détaille Nathalie Bernard de la C.C.I. du Doubs. Ces moyens ne suffiront pas à arrêter systématiquement les voleurs mais ils participent à la construction d une prise de conscience collective qui sera certainement la solution la plus efficace pour contrer ce phénomène auquel il faudra malheureusement s habituer. F.C. Zooms Les couacs du 17 Témoin cet été dʼun cambriolage nocturne dans son bureau de tabac à Houtaud, Sébastien Paquette a dû attendre près de 40 minutes lʼarrivée de la gendarmerie alors quʼil avait prévenu le 17 au moment des faits. Il avait même pris lʼinitiative de solliciter la police de Pontarlier qui lui a annoncé lʼenvoi dʼune patrouille au rond-point Leclerc car en limite de zone police. Bonjour la sécurité Suite à votre exemple, on va faire en sorte que cela ne se reproduise pas, lui a répondu le commandant Delacour. Les faux sourds-muets Cʼest une arnaque récurrente perpétrée par des gens des pays de lʼest, plutôt jeunes qui sollicitent le passant avec un faux document estampillé sourds et muets. Cʼest gros mais ça fonctionne toujours. Les forces de l ordre, police et gendarmerie, ont répondu aux questions des commerçants. Les caméras La question des caméras sur lʼespace public a de nouveau été évoquée. Les commerçants semblent très demandeurs en ville comme aux Grands-Planchants. Lʼappel dʼoffres semble être en cours, sʼest permis de répondre la sous-préfète sur ce projet en lʼabsence de représentants de la municipalité qui pilote lʼopération. La violence La violence de certains cambriolages laisse des traces profondes dont on guérit difficilement. Lʼassociation dʼaide aux victimes dʼinfraction peut apporter un soutien psychologique. Gens du voyage La grande distribution réclame plus de présence policière car lʼarrivée des caravanes coïncide avec une recrudescence des vols. Un commerçant parle dʼun véritable pillage. Une délinquance de passage très compliquée à circonscrire. Plus rien ne sera comme avant La bijouterie lʼorade au centre-ville de Pontarlier a été victime dʼun vol à main armée. Le 28 juillet dernier à 9 h 20, deux individus pénètrent dans le magasin où étaient présents Adeline et Laurent Lambert, les gérants et leurs deux vendeuses. Les voleurs sont repartis avec un tiers du stock, tout le rayon dʼor. Lʼopération a duré six minutes. On est tous allé suivre une séance à la cellule dʼaide psychologique. Plus rien ne sera jamais comme avant, confie la commerçante. La sécurité a été renforcée par une porte automatique commandée de lʼintérieur. La bijouterie nʼest plus en accès libre. Un nouveau système de surveillance permet dʼalerter encore plus vite les forces de lʼordre à la moindre suspicion. On a réduit notre offre en or par le biais de collections factices. On commande les vrais bijoux au fur et à mesure, conclut Adeline Lambert confiante dans le déroulement de lʼenquête menée par la P.J. de Besançon. État civil de novembre 2012 NAISSANCES 26/10/12 Lisenn de Frédéric CLERC, vendeur et de Marina CHABOD, aide soignante. 26/10/12 Mohamed de Rafik MENAÏ, chauffagiste et de Esma KHEMAÏSSIA, sans profession. 27/10/12 Clarisse de Joël POINTURIER, technicien de maintenance et de Dominique REUILLE, infirmière. 27/10/12 Jules de Sébastien PAGNIER, ingénieur et de Elise SALVI, infirmière. 29/10/12 Ethan de Damien MOUTENET, décorateur horloger et de Alexandra PASTEUR, responsable comptable. 30/10/12 Flavie de Yann GOLLIET, ouvrier et de Virginie MAIRE, hôtesse de caisse. 30/10/12 Fanny de Cédric REYMOND, magasinier et de Nathalie SOLIGNAC, sans profession. 30/10/12 Maxence de Yohann NEVEUX, agriculteur et de Johannie GENSSE, vendeuse. 31/10/12 Manon de Franck GNECCHI, gérant de bar et de Marta NEVES ANTUNES, sans profession. 31/10/12 Nathan de Franck VOISARD, charpentier et de Carène BARTHET, enseignante. 01/11/12 Alizée de Arnaud MARGUIER, agriculteur et de Angélique HENRIET, hôtesse d'accueil. 02/11/12 Matthieu de Jonas GRANDVOYNET, chef de projet et de Aude BOURNEZ, auxiliaire de puériculture. 02/11/12 Catia de Frédéric DE ALMEIDA PIRES, opérateur production et de Angélique TOMATIS, agent de sécurité. 03/11/12 Théo de Francis GABRIEL, ouvrier en bâtiment et de Aurore FANCHIN, équipère polyvalente. 03/11/12 Kimi de Sylvain AUTHIER, charpentier et de Fanny HAUGUEL, professeur des écoles. 04/11/12 Camille de Jean-Marc PIEL, cuisinier et de Rachel LÉTONDAL, aide à domicilie. 04/11/12 Agathe de Patrick MAGNENET, artisan charpentier et de Camille HUOT, auxiliaire de vie. 05/11/12 Kaïla de Romane CHIADO-CAPONET, sans profession. 06/11/12 Léna de Clément TIREFORD, régleur et de Aurélie SCAVONE, kinésithérapeute. 06/11/12 Zélie de Guillaume PIARD, charpentier couvreur et de Marlène MOUTENET, vendeuse. 06/11/12 - Marwa et Hajar de Nabil ATFA, ingénieur et de Leïla AFDILI, ingénieur. 07/11/12 Eliott de Nicolas BOUILLAUD, chauffeur livreur et de Stéphanie LETOUBLON, secrétaire. 07/11/12 Lily de Florian DAVID, mécanicien et de Elodie DAYET, assistante maternelle. 08/11/12 Julia de Damien MARTIN, mécanicien et de Léa BARRIEUX, sans profession. 09/11/12 Fendiye de Ramazan CEKEREK, agent de sécurité et de Hilal KOÇAK,aide cuisinière. 08/11/12 Mael de Laurent DERIAZ, opérateur technique et de Stéphanie MANZANO CANTE- RO, sans profession. 09/11/12 Victor de Davy PERRIN, ingénieur et de Alice BINETRUY, sage-femme. 12/11/12 Alexandre de Stéphane ZIEGLER, technicien en génie climatique et de Zina SELMI, prestataire de bien-être. 09/11/12 Enzo de Anthony ANDREOTTI, mécanicien et de Vanessa PILLARD, préparatrice en pharmacie. 10/11/12 Camille de Maxence BROZZETTI, arboriste grimpeur et de Charlotte FLEURY, infirmière. 10/11/12 Léon de Bertrand DICHAMP, fontainier et de Sophie PAULIN, commerciale en imprimerie. 10/11/12 Nathan de Ivann KUDELKA, informaticien et de Jessica LAURANSOT, esthéticienne. 11/11/12 Gabriel de Jérôme TIBLE, carreleur et de Amandine GARRIGOUX, fonctionnaire de police. 12/11/12 Mervé de Aydin GUCLUOGLU, régleur et de Seyhan KOCAK, sans profession. 13/11/12 Sasha de John BELOT, boucher et de Marie GALMICHE, agent des services hospitaliers. 14/11/12 Enzo de Sébastien BRETILLOT, machiniste et de Fabienne POIX, factrice. 14/11/12 Emma de Stéphane ROBIN, vendeur et de Géraldine GOGUEY, opératrice. 14/11/12 Clément de Guillaume VUILLEMIN, responsable informatique et de Elodie FAIVRE, assistante de direction. 14/11/12 Paul de Julien DUCHENE, ingénieur et de Céline PIDOUX, opticienne. 14/11/12 Ema de Jérôme ROY, régleur et Aurore MOISAN, assistante d'éducation. 14/11/12 Norah de Bastien DUFRENOY, assistant conditionnement et Gaëlle POINTET, sans profession. 15/11/12 Louan de Stéphane INVERNIZZI, menuisier et de Aurélie DUHAMEL, horlogère. 05/11/12 Albin de Eric POCHARD, responsable de maintenance et de Mélanie MATHEZ, assistante administrative. 15/11/12 Alexandre de Jean-Gérard NICOL- LIER, conseiller clientèle et de Jessica HAVARD, consultante formatrice. 15/11/12 Eliott de Francis LANDOZ, décorateur horloger et de Séverine FLAMENT, coiffeuse. 15/11/12 Maé de David LAMBERT, chargé de sécurité et de Laëtitia SANCEY-RICHARD, commerciale. 18/11/12 Léonie de Julien TOUBIN, conseiller emploi et de Sarah LAMY, responsable ressources humaines. 16/11/12 Camille de François JACQUOT, électricien et de Amélie PETIT, éducatrice spécialisée. 16/11/12 Jody de Nicolas MERCIER, menuisier charpentier et de Elodie KLIMA, sans profession. 17/11/12 Mathéo de Stéphane RIGOLOT, charpentier et de Laurane PERRIN, ostéopathe. 17/11/12 Romane de Bruno CASTETS, gazier et de Anaïs BUIREY, aide médico-psychologique. 18/11/12 Lya de Lloyd GAUME, maçon et de Marilyne MOUREAUX, employée de commerce. 19/11/12 Capucine de David DROMARD, prototypiste et de Emilie DAVAL, opératrice de fabrication. 19/11/12 Thaïs de Julien POURCHET, décolleteur et de Marjorie DORNIER, chef d'équipe. 15/11/12 Noam de Jonathan LAVERGNE, ouvrier en espaces verts et de Mélanie FOURNIER, sans profession. 17/11/12 Eimeo de Gérald FOURNIER, commerçant et de Johanne BAUD, employée de banque. 19/11/12 Loann de Cyril TERRAZ, employé Société Nationale des Chemins de Fer et de Emilie VUILLEMIN, dessinatrice. 20/11/12 Emmy de Julien ETIENNE, machiniste et de Emilie DEFLUBE, assistante d'éducation. 18/11/12 Baptiste de Christophe BOURQUIN, décolleteur et de Consuelo GRANDJACQUET, auxiliaire de vie scolaire. 20/11/12 Sacha de Romuald ZELEK, serrurier et de Alexandra CART, ouvrière. 21/11/12 Constance de Benoît LHOMME, garde-forestier et de Ludivine FAIVRE, chanteuse. 21/11/12 Emma de Antoine GRAF, technicien maintenance et de Stéphanie PARDONCHE, aide soignante. 21/11/12 Ibrahim de Abderrahmane SAADANE, ouvrier et de Souhila KHELFA, psychologue. 21/11/12 Elena de Olivier GAUSS, employé commercial et de Stéphanie LAVANGA, enseignante. 21/11/12 Riyad de Cédric MULLER, ouvrier en horlogerie et de Samiha EL WARDI, sans profession. 21/11/12 Mathias de Eric LHOMME, agent de sécurité et de Nataliia REDKO, caissière. 22/11/12 Augustin de Jérôme DUPREY, électricien et de Sabrina CARBONNEAUX, professeur des écoles. MARIAGES 10/11/12 Frédéric SALVI, contrôleur qualité et Virginie BOURQUIN, monitrice auto-école. 16/11/12 Mickaël GAUME, technicien et Laetitia BOUCHARD, comptable. 14/11/12 Jean-Jacques HÉLIAS, médecin et de Claudine, Marie, Cécile MOUGIN, ouvrière en horlogerie. 21/11/12 Gérard, Marie, Bernard LACOMBE, magasinier et de Catherine, Jacqueline, Nicole HARDY, professeur de musique. 22/11/12 Shpend REXHEPI, sans profession et de Erlinda MUSTAFA, lycéenne. 20/11/12 Simon NGONDE TAMBU, mécanicien et de Matondo KIONGOLO, aide cuisinière. DÉCÈS 27/10/12 Firmin COUVENHES, 89 ans, retraité gardien de la paix, domicilié à Pontarlier (Doubs), veuf de Maria POMAREDE. 26/10/12 François MAGNIN, 70 ans, retraité, domicilié à Arsure-Arsurette (Jura). 29/10/12 Simone NICOLET, 66 ans, retraitée, domiciliée à Mouthe (Doubs), épouse de Flore IACHELINI. 30/10/12 Anselme MARET, 92 ans, retraité, domicilié à Poligny (Jura), veuf de Renée FROISSARD. 30/10/12 Gilles MARION, 57 ans, pizzaiolo, domicilié à Levier (Doubs), célibataire. 31/10/12 Christiane FAIVRE, retraitée, domiciliée à Pontarlier (Doubs), épouse de Jean GRES- SET. 31/10/12 Jean-Marie LOUVRIER, 79ans, retraité agricole, domicilié à Pontarlier (Doubs), époux de Marie-Joséphine MOREL. 03/11/12 Henry GUYON, 89 ans, retraité cuisinier, domicilié à Jougne (Doubs), époux de Paulette BONJOUR. 03/11/12 Gabriel RONDOT, 76 ans, retraité, domicilié à Maîche (Doubs), époux de Marthe CHEVAL. 06/11/2012 Charles JEANNIER, 90 ans, retraité, domicilié à Pontarlier (Doubs) époux de Jeanne ROY. 06/12/12 Marcel JEANDROZ, 92 ans, agent de maîtrise retraité, domicilié à Pontarlier (Doubs) veuve de Suzanne COMTE. 07/11/12 Adeline BELINGHERI, 78 ans, retraitée, domiciliée à Pontarlier (Doubs) veuve de Jean POUX. 08/11/12 Juliette RENAUD, 87 ans, retraité, domicilié à Chaffois (Doubs) célibataire. 10/11/12 Romano TEMPESTA, 77 ans, retraité, domicilié à Pontarlier (Doubs), époux de Ginette BULLE. 16/11/12 Claire JOBARD, 94 ans, retraitée, domiciliée à Pontarlier (Doubs), veuve de Louis ROUS- SILLON. 18/11/12 Hélène PRZYBYLEK, 83 ans, retraitée, domiciliée à Mouthe (Doubs), veuve de Marcel LORIN. 16/11/12 Anna GACA, 99 ans, retraitée, domiciliée à Pontarlier (Doubs), veuve de Henri BOL- LE-REDDAT. 18/11/12 André VUILLEMIN, 82 ans, retraité, domicilié à Pontarlier (Doubs), époux de Monique BOISSENIN. 18/11/12 Sylvie GRANDVOYNNET, 61 ans, retraitée, domiciliée à Orchamps-Vennes (Doubs), épouse de Gérard CRETENET. 21/11/12 Gisèle FEUILLETTE, 93 ans, retraitée, domiciliée à Levier (Doubs), veuve de Pierre RAGAIN. 21/11/12 Louis MOYSE, 87 ans, retraité, domicilié à Pontarlier (Doubs), époux de Andrée AYMO- NIN. 21/11/12 Marguerite PIRAT, 84 ans, retraitée, domiciliée à Pontarlier (Doubs), veuve de Jean BELLERAUT. 23/11/12 Jean-Marie PRZYBYLEC, 75 ans, retraité, domicilié à Bonnevaux (Doubs), époux de Chantal CASAGRANDE.

9 PONTARLIER La Presse Pontissalienne n Décembre PROJET L ancien cinéma Plazza transformé La libraire pontissalien investit à Besançon Le projet porté par le libraire pontissalien Michel Méchiet à Besançon est sur le point d aboutir. L entrepreneur table sur un chiffre d affaires annuel entre 3 et 5 millions d euros. Le principal intéressé est très motivé, la société Eurinvest à qui appartient désormais l immeuble de l ancien cinéma Plazza rue des Granges à Besançon est séduite par le dossier, les services de l urbanisme et des Affaires culturelles tout autant. Toutes les conditions sont désormais réunies pour confirmer la création en 2013 d une vaste librairie universitaire par Michel Méchiet, le libraire installé à Pontarlier (L Intranquille). Il ne reste que le bail commercial à signer, via l agence Courbet à qui a été confié le dossier, et peaufiner les derniers ajustements concernant la surface commerciale, laquelle devrait finalement avoisiner les 800 m 2, avant de lancer officiellement le chantier qui fait l objet d un nouveau permis de construire dont le dépôt est imminent. C est en très bonne voie confirme Michel Méchiet qui garde une légitime prudence. La surface au sol sera de 310 m 2 et on prévoit quatre niveaux supplémentaires. L idéal pour nous serait une surface comprise entre 900 et m 2. Les contraintes architecturales et de sécurité devraient néanmoins réduire la surface exploitable entre 750 et 800 m 2 ajuste Annie Les anciens Campo seront privilégiés. Courbet, de l agence éponyme. Michel Méchiet assure que son business plan est bouclé, il ne reste plus qu à finaliser les discussions avec Eurinvest concernant le financement des travaux d aménagement à réaliser. À l intérieur de la chapelle Notre-Dame des Jacobins, ce bâtiment du XVIII ème siècle qui abritait le Plazza, tout l espace sera dégagé, et notamment la coupole de la chapelle qui sera remise à nu pour que le public puisse jouir du point de vue. L idée est de rendre toute leur authenticité à ces locaux ajoute Annie Courbet. C est naturellement pour compenser la disparition de Camponovo que Michel Méchiet (qui fut aussi un candidat à la reprise de Campo) s est positionné sur le site du Plazza. Si je travaille sur ces surfaces-là, c est bien pour reprendre ce que Camponovo faisait, notamment les sciences humaines, le domaine universitaire, etc. La fin de Campo a laissé un grand vide que les librairies existantes ne sont pas capables de phagocyter. Sur une surface plus petite, il n y aurait aucun intérêt, aucune viabilité. La librairie Camponovo réalisait aux environs de 5 millions d euros de chiffre d affaires annuel au comptant (sans compter les ventes à terme aux collectivités). L entrepreneur table sur un chiffre d affaires compris entre 3 et 5 millions d euros, avec une vingtaine de salariés à l ouverture. Sur ce dernier point, Michel Méchiet dit vouloir compter sur les anciens Campo qui seront privilégiés. Les candidatures qu il a déjà reçues seront examinées début 2013 indique le créateur. Après le dépôt du permis modificatif et les éventuels recours, l engagement des lourds travaux d aménagement, Michel Méchiet finalisera les derniers détails de l opération avant la fin de l année. l ouverture de la nouvelle librairie qui sera peut-être également baptisée L Intranquille ne pourra pas être effective avant la fin de l été Plus raisonnablement, on se dirige vers une ouverture à l automne 2013, avant la période fatidique des fêtes de fin d année. Malgré la concurrence brutale d Internet, le porteur de projet croit plus que jamais à l avenir de la librairie indépendante. D ici quatre ou cinq ans, on aura atteint le point maximal de l e-commerce estime Michel Méchiet. Les librairies indépendantes seront toujours d actualité si, en plus d être libraires, on est des créateurs d émotions, de rencontres, de festivals, de salons, de rencontres. J.-F.H. EN BREF Lallemand Exposition des œuvres récentes de Lallemand jusqu au 7 décembre à la galerie Art et Lithographies (5, rue de la République) à Pontarlier. Abattoir Le verdict vient de tomber dans le bras de fer judiciaire entre l abattoir du Haut- Doubs et celui de Champagnole. Ce dernier est condamné à rembourser euros à la communauté de communes de Champagnole Plateau du Jura qui lui avait versé cette somme en Le tribunal administratif de Besançon a rendu son jugement le 13 novembre. Cette décision me rassure mais ne me réjouit pas. C est détestable d en arriver là et le problème reste entier, constate Daniel Defrasne. Le président du syndicat de l abattoir du Haut-Doubs avait attaqué en juillet 2011 la communauté de communes de Champagnole car elle abondait au budget de l abattoir de façon anormale. Ces pratiques généraient une distorsion de concurrence au niveau des taxes d abattage : 47 euros la tonne à Champagnole contre 61 euros la tonne à Pontarlier. On reste prêt à étudier toute solution de rapprochement un tant soit peu raisonnable. Tout doit être entrepris pour sauver la situation, estime Daniel Defrasne. À chacun ses dettes. Ouverture du lundi 10 au 24 décembre inclus. Ouvert les dimanches 16 et 23 décembre IDÉES CADEAUX Pensez aux cartes cadeaux valables dans nos boutiques et notre restaurant Bonnes fêtes de fin d année! Boîte carton imprimé > Terrine comtoise forestière (180 g) > Arbois Barthod 2009 Chardonnay (75 cl) > Assortiment biscuits de Noël (150 g) Réf. FC11 - Prix 26,45 Coupe en zinc rouge > Chutney de figues (125 g) > Sauterne Barthod 2009 (37,5 cl) > Bloc de foie gras de canard (135 g) Réf. FC01 - Prix 30,50 Coffret carton croco rouge > Terrine comtoise campagnarde (180 g) > Caramels (160 g) > Bordeaux Barthod 2009 (37,5 cl) Réf. FC08 - Prix 19,35 Coffret carton croco gris > Arbois Barthod 2011 Ploussard (75 cl) > Terrine de cochon au kirsch (85 g) > Terrine de canard aux Griottines (85 g) > Macarons comtois (120 g ou 150 g) Réf. FC04 - Prix 30,35 Coffret carton croco gris > Coq au vin (300 g) > Poulet au vin jaune (300 g) > Boulets comtois (200 g) > Griottines en coffret (5 cl) > Arbois Barthod 2009 Chardonnay (37,5 cl) > Arbois Barthod 2010 Ploussard (37,5 cl) Réf. FC06 - Prix 39,30 Notre sélection de bouteilles à l'unité > Carafe Ibis Magnum Peugeot - Réf. B6 - Prix 71 > Alsace Gewurztraminer vendanges tardives Schlumberger 2007 (37,5 cl) - Réf. B1-17,50 > Champagne Sélection Barthod (75 cl) - Réf. B2 - Prix 19,95 > Magnum Rasteau 2009 Château la Gardine (150 cl) - Réf. B4 - Prix 30 > Étoile Vin Jaune 2005 Sélection Barthod (62 cl) - Réf. B3 - Prix 22,50 > Beaune 1 er Cru 2009 Cuvée Cyrot-Chaudron - Hospices de Beaune (75 cl) Réf. B5 - Prix 44 > Champagne Duval Leroy Cuvée Femme 2000 (75 cl) - Réf. B8 - Prix 95 > Tire Bouchon Baltaze Basalte Peugeot - Réf. B7 - Prix 72 Notre sélection de coffrets bois Bordeaux Barthod 2009 en caisse bois (6 x 75 cl) Réf. B14 - Prix 39,90 Les Vins de Bourgogne (3 x 75 cl) > Château de Corton André 1 Bourgogne Chardonnay Savigny-les-Beaune 2010 Clos des Guettottes 1 Saint-Romain 2010 Blanc Réf. B10 - Prix 65,75 3 régions (3 x 75 cl) > 1 Crozes-Hermitage rouge Les Pends 2010 C & F Tardy 1 Haut-Médoc Moulin de la Lagune 1 Fixin Domaine des Tilleuls Réf. B12 - Prix 77 Les Vins de Bordeaux (3 x 75 cl) > 1 Haut-Médoc Château d'arcins 2008 Cru Bourgeois 1 Moulis Château Dutruch Grand Poujeaux Saint-Emilion Grand Cru 2009 Château La Croix Montalbert Réf. B11 - Prix 62 Découverte du Millésime 2009 Bordeaux (5 x 75 cl) Réf. B15 - Prix 45 Les Vin du Jura (3 x 75 cl) > Sélection Bathod 1 Arbois blanc Chardonnay-Savagnin Arbois Rouge Arbois Savagnin 2006 Réf. B13 - Prix 38,95 L'abus d'alcool est dangereux pour la santé, sachez consommer avec modération, dégustations et ventes interdites aux mineurs. Photos non contractuelles. 22 rue du Docteur Grenier Pontarlier Tél rue Bersot Besançon Tél Livraison dans toute la France barthod-levin@barthod.fr

10 10 La Presse Pontissalienne n Décembre 2012 PONTARLIER SPORTS Heureuse coïncidence, la jeune championne qui vient de raccrocher les pointes se retrouvait dans son collège le 23 novembre dernier. L occasion d évoquer quelques souvenirs comme ses Fin de carrière sportive Retour au collège pour Linda Marguet L athlète pontissalienne est venue à la rencontre des élèves du collège Grenier qui ont découvert le quotidien d un sportif de haut niveau avec ses joies et ses peines. victoires en cross scolaire où elle affichait déjà de belles dispositions. Linda jouait plutôt au handball à cette époque. Elle a même obtenu un titre national dans cette discipline avant d aller exprimer son potentiel athlétique sur le double tour de piste. Farouchement contre le dopage, elle revient sur l épisode qui l a privé d une belle séquence d émotion aux championnats d Europe en salle disputés à Paris en mars J ai terminé 4 ème sur le 800 m. La gagnante, une Russe, a été contrôlée positive après coup et déchue de son titre. J ai récupéré officiellement la troisième place mais cela n a plus du tout la même saveur. J aurais préféré faire un tour de piste avec le drapeau français sur les épaules. Dans vos pratiques, surtout n allez pas dans le dopage, conseille-t-elle aux jeunes collégiens. Son témoignage s inscrit dans un partenariat avec le Conseil général du Doubs qui soutient actuellement cinq sportifs. Grâce à ses résultats, Linda Marguet a passé deux ans à l I.N.S.E.P. en vue de décrocher une sélection olympique à Londres. Elle a d ailleurs échoué à une seconde près. En athlétisme, la loi du chrono est impitoyable. Au cours de cette expérience parisienne, elle s est astreinte Linda Marguet arrête sa carrière sportive. Elle a choisi de reprendre une formation pour devenir infirmière. 28 heures de sport par semaine. aux exigences du sport de très haut niveau. Deux entraînements quotidiens, soit en moyenne 28 heures de sport par semaine. Les collégiens la regardaient avec envie quand elle leur parlait de la sieste pratiquement obligatoire et des stages et les compétitions à l étranger. Ils frissonnaient en découvrant les séances de cryothérapie qui consistent à rester quelques minutes dans des salles refroidies à - 40 C, - 60 C et C. Cette méthode favoriserait la récupération des sportifs. J ai peu pratiqué car je trouvais cela trop éprouvant, explique la championne qui n échappait pas au bain à 8 C. Le rêve olympique impose des sacrifices. Une vie de recluse avec beaucoup de sommeil, une alimentation équilibrée, des entraînements du lundi au dimanche, très peu de sorties festives. Ces contraintes expliquent en partie pourquoi Linda Marguet a préféré mettre un terme à sa carrière. À 29 ans, elle aurait pu prolonger jusqu aux J.O. de Rio en Le demi-fond est une discipline très usante. Je ne voulais plus courir contre des athlètes suspectées de dopage. Aujourd hui, j ai envie de réaliser d autres projets professionnels et familiaux, concède celle qui est actuellement étudiante à l école d infirmière de Besançon. EN BREF Réaction Nommé dans l article Imbroglio autour d un passage piétonnier du numéro précédent de La Presse Pontissalienne, Gabriel Zammarchi tenait à apporter quelques précisions. Dans cet article, vous ne citez qu un seul nom : le mien et vous laissez à supposer que je suis un privilégié propriétaire d une villa, alors que suis simplement membre du Conseil Syndical d une résidence riveraine de studios en copropriété, et que j agis dans cette affaire en tant que représentant de tous les riverains concernés tient-il à préciser.

11 PONTARLIER La Presse Pontissalienne n Décembre PONTARLIER E n choisissant Pontarlier sa ville natale pour présenter son premier one-man-show, Vivien Pianet n a pas choisi la facilité. Je voulais revenir aux sources même si cela comporte une part de risque. Ce spectacle constitue pour moi un vrai challenge explique le comédien qui vit et travaille désormais sur Une comédie loufoque Vivien Pianet seul en scène Il s était promis de monter un spectacle solo à son trentième anniversaire. Promesse tenue pour ce grand timide qui a trouvé matière à s épanouir dans le théâtre. Avec Petit Cabotinage, le comédien pontissalien se lance dans son premier oneman-show. Besançon. Toujours dans le milieu de l animation qu il affectionne tout particulièrement car cela lui permet entre autres de continuer à faire du théâtre. Le public pontissalien va donc le découvrir dans un nouveau registre. Le pitch de son spectacle Petit cabotinage nous convie à partager un repas familial vu sous l œil d un enfant de 12 ans. Une comédie légère, très loufoque où Vivien Pianet qui interprète une dizaine de personnages met en lumière les travers de la vie quotidienne. Il s attelle à l écriture de son projet depuis plusieurs années. J avais envie de monter un spectacle solo avec l intention de le présenter quand j aurai 30 ans. L échéance arrive cette année. Je ne peux plus reculer, poursuit celui qui a déjà organisé de nombreuses soirées cabarets, que ce soit dans les M.J.C. ou les centres de vacances où il a travaillé. L animateur-comédien a déjà une longue expérience théâtrale à son actif. Ce grand timide est tombé dans la marmite au collège. Déclic. Pour moi, c était une révélation de voir que je pouvais interpréter des personnages. Je ne me sens bien que dans le théâtre. L adolescent pontissalien va enrichir sa pratique artistique en fréquentant assidûment la maison de quartier la plus proche de chez lui, à savoir celle des Longs Traits. Un lieu auquel il reste très attaché. J ai grandi dans un environnement familial engagé dans la vie associative pontissalienne. Cette forme d éducation populaire et culturelle n est certainement pas étrangère à son orientation professionnelle dans l animation. Vivien Pianet a joué et joue encore dans diverses troupes locales comme l Orphéon, les Mascarons, la Sarbacane Théâtre. Comme beaucoup d autres, il apprécie la densité et la qualité du paysage culturel du Haut-Doubs. Une chance pour l attractivité de notre territoire qui n est peut-être pas toujours reconnue à sa juste valeur. Mais ceci est un autre débat. En relevant le défi du seul en scène, Vivien Pianet tenait aussi à rompre avec ses habitudes. Repartir sur de nouvelles bases, se mettre un peu en danger pour progresser, innover. Aussi a-t-il sollicité les talents d Odile Rousselet dans la mise en scène et d Alexandre Ninic dans les éclairages de Petit Cabotinage. C est compliqué de tout gérer : l écriture, la salle, la communication, les finitions. Il n est pas forcément mort de trac à l idée de monter sur scène ou, du moins ne le ressent-il pas encore sous cette forme. J ai une énorme envie de jouer, conclut le comédien prêt à proposer son spectacle ailleurs si le public pontissalien le conforte dans cette perspective. F.C. Petit Cabotinage - Théâtre du Lavoir - Samedi 15 décembre à 20h30 - Dimanche 16 décembre à 18 h

12 12 PONTARLIER La Presse Pontissalienne n Décembre 2012 AMÉNAGEMENT Le sujet a été remis sur le tapis lors de la dernière réunion des comités inter-quartiers organisée le 8 novembre à la salle Morand. Pour ceux qui viennent de la rue des Granges, c est devenu une vraie galère d accéder à la Rocade pour se rendre au rond-point du tennis. Le temps d attente n en finit pas de s allonger et pas seulement aux heures de pointe. Il faut pratiquement forcer le passage avec tous les risques que cela comporte sur le plan de la sécurité routière. Tout le monde semble conscient du problème. À se demander pourquoi on ne fait pas un rond-point. Cette option s impose assez naturellement. C est une Circulation intra-muros Quel aménagement pour le carrefour du pont des Granges? L augmentation du trafic sur la R.N. 57 pose également des problèmes de circulation dans la traversée de Pontarlier et tout particulièrement à la jonction avec la rue des Granges. SPORT Le terrain est réputé pollué. solution parmi d autres qu on étudie depuis plusieurs années, concède Daniel Defrasne, l adjoint pontissalien qui s en est expliqué à la salle Morand. Mais transformer ce carrefour en rond-point s avère plus complexe qu il n y paraît. La configuration des lieux pose des difficultés sur le plan de la faisabilité technique. Tout aménagement en lien avec la rocade, donc la R.N. 57 implique l accord de la D.I.R.-Est en charge de l exploitation des routes nationales. Le giratoire empiéterait sur du foncier appartenant à R.F.F. Il faudrait supprimer un dénivelé d un mètre environ sur ce terrain réputé pollué et qui nécessiterait probablement un traitement, poursuit l élu. Combien ça coûte? Qui paiera? Pour corser le tout, le projet supposerait aussi de reprendre du terrain privé Il espère devenir professionnel Un pur produit du Haut-Doubs. Formé au vélo-club de Pontarlier, révélé ensuite à Morteau-Montbenoît puis expatrié à Bourg Ain Cyclisme, Clément Dornier passe une nouvelle vitesse dans sa carrière de cycliste amateur. Le jeune homme de 21 ans intègre l équipe Maca Loca Scott, formation Suisse de 17 éléments basée à Soleure. Clément est le seul Français de la formation mais il retrouvera Yves et Alexandre Mercier, deux Suisses avec qui il a porté les couleurs de Morteau : Pour une fois, ce sera mois l étranger dit-il. À Morteau, il s entraînait avec des compères néo-zélandais. Après une année 2012 en demi-teinte au niveau première catégorie (le plus haut niveau amateur), Clément prend une nouvelle route avec cette équipe qui lui permettra de participer à des courses en Italie et peut-être croiser Danilo Di Luca, vainqueur du Giro en J ai envoyé mon C.V. à cette équipe dirigée par un directeur sportif qui était un ancien coureur professionnel. C est un autre monde Je n avais plus envie de faire de courses à la saucisse (sic) avoue le garçon qui se fixe deux ans avant de Le carrefour s apparente à une vraie galère pour les automobilistes. SPORT Grand écart à Pontarlier Gym du côté de Doras. Des études, des négociations en perspective pour un rondpoint qui n améliorera pas non plus la résorption des bouchons à l heure du retour des frontaliers. Ce serait plutôt l inverse. Les services de la ville étudient d autres alternatives comme un autre rond-point qui serait réalisé à la hauteur de la jonction entre la rocade et la rue du docteur Grenier. Tout comme on pourrait aussi envisager de supprimer cette traversée de rocade en obligeant les conducteurs à pousser jusqu aux ronds-points de la gare ou du tennis. Clément, le frontalier du cyclisme À 21 ans, le cycliste pontissalien Clément Dornier signe dans une équipe suisse avec laquelle il participera à des épreuves professionnelles. Une nouvelle route s ouvre à lui. De l Indonésie à la Suisse. Le cycliste pontissalien Clément Dornier signe dans l équipe suisse Maca Loca Scott. (photo William Donnarel). signer professionnel. Pour l instant, Clément reste à Pontarlier, sa ville natale, où il travaille. Salarié dans un magasin de sport situé à Doubs, il bénéficie d un emploi du temps adapté lui permettant d enchaîner les heures et les kilomètres. L année dernière, en raison du froid, il est arrivé avec km de moins comparé aux autres années. Il espère une météo plus clémente : Lorsqu il fait froid, je prends ma voiture et je me rends à Yverdon ou Lausanne pour rouler au bord du lac. Il y a quasiment 6 degrés de différence dit le puncheur. Ses premières courses se dérouleront en février. Il participera au Tour de Franche-Comté ou au Tour du Jura. L appréhension de se retrouver avec des cyclistes plus aguerris ne semble pas lui faire peur : En participant en juin dernier à une course U.C.I. en Indonésie, j ai pris conscience du niveau avoue le jeune homme. En se frottant aux meilleurs, il espère passer un cap et parvenir au top français en profitant de la structure helvète composée d un directeur sportif, de deux masseurs et de mécaniciens. Bonne route. Nouveau président et nouvelles ambitions pour Pontarlier Gym Fort de 700 adhérents, le club gymnique de Pontarlier se structure en recrutant un troisième entraîneur diplômé. Il souhaite développer son équipe compétition avec Louis Michelot en chef de file. Après 80 années passées à former les jeunes gymnastes de Pontarlier et des environs, Pontarlier Gym engage en 2012 une nouvelle ère. Celledu renouveau. En octobre, l assemblée générale a nommé un nouveau bureau, lequel a élu un nouveau président à la tête de la structure associative qui utilise le gymnase situé derrière la piscine. Thierry Barth, ancien gymnaste et père de trois filles inscrites au club, a repris les rênes de l association gérée durant 19 ans par Claude Debrand qui n a pas souhaité pour des raisons personnelles poursuivre l aventure. Pontarlier Gym travaillera dans la continuité, même si le renouveau a été entrevu dès septembre avec l accueil de deux nouvelles salariées, Amélie Chabenat, en charge du secteur compétition, et Jordane Principe, chargée du secteur animation. Créé en 1932, Pontarlier Gym forme 700 adhérents et 28 bénévoles s occupent de la partie technique et 35 de l organisation des compétitions pour un budget total de euros. La salle prêtée par la Ville dispose de tous les éléments nécessaires pour pratiquer les 6 agrès. Nous avons bénéficié de la création d une fosse (coût de euros) par la municipalité explique Laurent Moredelet, responsable technique. 70 compétiteurs s entraînent jusqu à cinq fois par semaine pendant que d autres découvrent ce sport à l instar du groupe bout de chou, baby gym, ou du groupe initiation. Fer de lance du club, Louis Michelot (10 ans) fait partie des meilleurs gymnastes français de sa catégorie. Il pourrait intégrer l année prochaine le Pôle espoir de Lyon regroupant les talents français. Une belle vitrine pour Pontarlier Gym qui n oublie pas pour autant ceux qui débutent. Il gardera sa licence chez nous. Faire de la gym 25 heures par semaine, c est ce qu il souhaite dit son entraîneur qui le met dans les meilleures dispositions pour qu il réussisse son intégration. Grâce à la renommée du club, les jeunes gymnastes peuvent bénéficier d horaires adaptés lorsqu ils sont au collège Aubrac, aux Augustins ou au lycée Toussaint-Louverture. Les mardis, jeudis, vendredis dès 15 heures, les élèves viennent répéter les exercices. Tous espèrent briller les 26 et 27 janvier lors du championnat départemental puis les 9 et 10 mars lors du championnat régional qui se dérouleront au gymnase de Pontarlier. En attendant, les gymnastes du groupe initiation auront l occasion de dévoiler leur talent aux parents le 22 décembre, date de l arbre de Noël. Laurent Mordelet, responsable technique à Pontarlier Gym, entraîne la partie compétition. En arrière-plan : Simon Pailloux, Corentin Bourgeois, Julien Vuilleret.

13 PONTARLIER La Presse Pontissalienne n Décembre ÉVÉNEMENT Déjà plus de visiteurs Mon grand-oncle, ce grand peintre L exposition André Roz à la chapelle des Annonciades connaît un succès retentissant et amplement mérité aux yeux de son petit-neveu Alain Pélissier. Racines familiales. Le Pontarlier des années trente. Les organisateurs ont visé juste avec cette rétrospective qui a attiré plus de visiteurs en trois semaines. Il en vient de partout. De Suisse, Besançon, Dijon, indique-ton à l accueil. Les locaux multiplient les visites. La densité des œuvres présentées, l agencement original et particulièrement agréable, la saison peutêtre expliquent cette affluence record. Sans oublier le libre accès qui renforce forcément l attractivité de cette exposition. La dernière exposition consacrée à André Roz remonte à 1987 qui célébrait l année de sa naissance, explique Alain Pélissier, trop jeune pour avoir connu son grand-oncle décédé en 1946 à Paris. Le petit-neveu a grandi dans l univers artistique d André Roz dont les tableaux ornaient les murs de son appartement. André Roz et son épouse Adrienne Griffon ont eu le malheur de perdre leur fille unique très jeune. Ils considéraient un peu leur nièce Monique, ma mère, comme leur fille adoptive. Ils lui ont inculqué le goût des belles choses. Alain Pélissier a volontiers accepté de prêter une trentaine d œuvres pour l exposition qui en rassemble 75 au total. Rares sont les occasions de pouvoir admirer un si large éventail du talent d André Roz. Le titre de l exposition, Lumineuses mélancolies, sonne juste en découvrant cette propension de l artiste à figer des paysages au sortir de l hiver avec quelques tâches de neige éparses, ces champs ternes et ses sapins bleu-gris. Il appréciait tout particulièrement cette atmosphère de fin de neige, confirme Alain Pélissier. Formé à l école Boulle et élève à l académie Jullian, André Roz a fait les tranchées d où il est revenu éprouvé. C est d ailleurs cette santé fragile qui l oblige à venir vivre en 1920 à Pontarlier où son épouse Adrienne Griffon André Roz appréciait tout particulièrement cette atmosphère de fin de neige, souligne Alain Pélissier, son petit-neveu qui a prêté une trentaine de toiles pour l exposition. a repris un commerce familial de vin. Il peut dès lors se consacrer pleinement à la peinture de son nouveau pays, le Haut- Doubs. On retrouve dans ses toiles le Pontarlier des années trente. Cette vision très personnelle plaît aux visiteurs qui découvrent la ville sous des angles inédits qui n ont jamais été photographiés. On retrouve dans pratiquement tous ses tableaux quelques touches très colorées. André Roz participe en 1924 à la création du salon des Annonciades. Son talent déborde largement du cadre régional. Il sera plusieurs fois récompensé au salon des artistes français, à l exposition internationale de Paris en 1937, à Genève et à Lausanne. Ses voyages en Italie, en Suisse lui permettront de diversifier sa palette créative. Paysagiste dans l âme, il peint aussi des scènes de genre, des bûcherons, des marchands. Peu de portraits. Il aimait la matière, se souciait peu des détails de visages. Cette peinture tout en suggestion confirme l artiste dans son art. Après la chapelle des Annonciades, l exposition se prolonge au musée du 7 décembre au 3 mars. À voir. EN BREF Doudous Atelier création et customisation de doudous pour les enfants proposé par la médiathèque de Pontarlier tout au long du mois de décembre dans le cadre du Marché de Noël. À la médiathèque de 10h30 à 12 h. Accès libre. À partir de 3 ans. Rens Exposition Mercredi 12 décembre à la M.F.R. de Pontarlier, exposition consacrée à la lutte contre le tourisme sexuel organisée par la section B.T.S. de la Familiale Rurale de Pontarlier. Ce genre de tourisme est le troisième commerce illégal dans le monde. Entrée libre de 14 h à 17 h. Rens Ski La saison de ski est lancée. Les premiers fondus de glisse et plus précisément de ski de fond ont pu profiter de l ouverture du site du Larmont. Une piste de 5 km a été tracée. Pour s assurer de l enneigement et de l ouverture des pistes : (rubrique sports). Je compose et paye ma commande 1 2 sur gomcdo.fr ou sur mon smartphone (sur les applications McDonald s France pour iphone et Androïd TM *). 3 Je me rends au restaurant et scanne mon QR code ou entre mon numéro de commande sur la borne. Je récupère ma commande au comptoir easy order.

14 14 PONTARLIER La Presse Pontissalienne n Décembre 2012 INSOLITE Des pompons rouges à Pontarlier Les gars de la marine Le Haut-Doubs abrite encore une petite colonie de matelots qui apprécient de se retrouver et de participer à la promotion des métiers de la marine. HISTOIRE A bonne école Plus très jeunes et plus très nombreux, ces marins du Haut-Doubs dont les effectifs s amenuisent depuis la fin du service militaire obligatoire. L Amicale des marins et marins anciens combattants (A.M.M.A.C.) compte aujourd hui une vingtaine de membres. Cette association existe depuis Elle a été créée par des anciens militaires qui ont servi dans la marine et qui voulaient se retrouver. Les plus âgés comme René Barré et Jean Lacroix font d ailleurs partie des membres fondateurs, explique Serge Laurence, le président de la structure. L A.M.M.A.C. de Pontarlier et du Haut- Doubs participe aux cérémonies à caractère patriotique et aux enterrements de toutes les sections d anciens combattants avec l accord des familles. On organise un thé dansant annuel. Le prochain se tiendra le 5 février 2013 à l Espace Pourny, précise Jacques Ferry, porte-drapeau et viceprésident. Les marins participent aussi au loto préparé avec les autres sections patriotiques. Quelques soirées et d autres animations internes agrémentent l ambiance. La vie de l Amicale a été marquée ce printemps par la réception de la seconde promotion des candidats à la Préparation Militaire Marine. Ils étaient une quarantaine à défiler lors de la commémoration du 8 mai à Pontarlier. Un bail que la Grande rue n avait pas vu passer des pompons rouges officiels. Cette P.M.M. était en sommeil depuis une bonne vingtaine d années avant d être réactivée en Elle rassemble des jeunes de 16 à 23 ans intéressés par la marine. Ils suivent une formation tous les week-ends de septembre à mai puis sont embarqués sur un navire de guerre pendant une semaine. Les personnes intéressées par ces métiers peuvent toujours venir Quand j étais petit pompier Pontarlier fut parmi les premières casernes à avoir une section de jeunes sapeurs-pompiers. Séquence rétro. Les premières écoles de pompiers ont vu le jour en Saône-et-Loire. Le concept a ensuite essaimé rapidement jusque dans le Haut-Doubs où s est formée la section des élèves sapeurs pontissaliens (E.S.P.) en La première année, on était huit, pratiquement tous des fils de pompiers, se souvient Christian Pourny. À l époque, on pouvait incorporer dès huit ans cette section encadrée initialement par Gustave Pourny, Georges Oberlin et René Ponchon. Les petits pompiers disposaient d un uniforme et d une tenue de sport. Le programme hebdomadaire comprenait des cours de gymnastique et de l instruction dispensée le jeudi après-midi. Présence obligatoire bien sûr. La rigueur était de mise et la discipline aussi. Le moindre faux pas et c était quelques heures de retenue le dimanche. On nous donnait à recopier des pages du Règlement d Instruction et de Manœuvre. On allait aussi chercher chez la Margot rue Jeanne d Arc le casse-croûte de l équipe de permanence, se souvient Jacques Pourcelot, pompier toujours en service. Certains parents inscrivaient leurs enfants pour qu on leur inculque quelques règles de bonne conduite et d obéissance. Chaque jeune sapeur avait son bulletin de note. Ce n était pas non plus une école de redressement. La formule connaissait un certain succès. La section s est vite étoffée pour accueillir jusqu à 70 éléments. Il y avait également une clique, ce qui faisait un ensemble paré pour voyager et se donner en spectacle. Parallèlement à l acquisition des bases du métier, aux cérémonies patriotiques, les jeunes de l E.S.P. participaient à de nombreux congrès où ils se mesuraient avec d autres sections. On faisait souvent des démonstrations de gymnastique. Pontarlier avait quelques spécialités comme le passage dans les cercles de feu et les pyramides d hommes qui clôturaient le spectacle. Pour beaucoup de jeunes Pontissaliens, c était autant d occasions inespérées de découvrir du pays. Pas mal ont rempilé. Sur 562 petits pompiers recensés depuis la création de la section, 45 sont encore pompiers volontaires ou professionnels à Pontarlier. D autres vivent ailleurs mais continuent à servir le corps des sapeurspompiers. Plusieurs sont entrés aux pompiers de Paris. Certains ont suivi de jolis parcours à l image de Christian Pourny ou de RichardAguié, l actuel chef d État-major de zone à Metz.Avec le temps, l école est devenue une section de Jeunes Sapeurs Pompiers accessible aux filles et aux garçons de 12 à 16 ans. Les générations passent, l esprit demeure. F.C. se renseigner aux permanences tenues une fois par mois aux salles Saint-Pierre par la marine, poursuit Jacques Farry, sans oublier de signaler l existence d une classe spécialisée marine au lycée Jouffroy-d Abbans de Baume-les-Dames. La marine a connu son heure de gloire à Pontarlier au début des années soixantedix quand Edgar Faure présidait aux destinées de la ville. Nombre de jeunes Pontissaliens ont alors bénéficié d un coup de pouce du commandant Pagnot pour effectuer leur service à bord de la Jeanne d Arc. Le chef de cabinet d Edgar Faure qui avait servi sur ce navireécole avait conservé des relations a priori efficaces. La plupart de ces appelés jouaient de la musique notamment chez les Gars Le service à bord de la Jeanne d Arc. de Joux. À l époque, la Jeanne d Arc était considérée comme un embarquement de choix, note Jean-Pierre Montandon qui a sillonné les mers à bord d un des navires le plus célèbres de la flotte française. Ce bâtiment embarquait 860 hommes, notamment des élèves-officiers. La marine, c est aussi des escales de légende plutôt joyeuses et qui resteront chargées de mystères. Au fait, le pompon rouge, qu elle est son utilité? Selon certains, il permettait jadis aux marins de ne pas se blesser au crâne en passant dans les entreponts exigus aux baux très bas. D autres y voient une simple fantaisie voire un porte-bonheur. Et les rayures de la marinière, à quoi correspondent-elles? Au nombre de victoires napoléoniennes. Tous les marins, qu ils soient militaires ou de la marine marchande, sont les bienvenus dans notre section, conclut le président. F.C. DICOM de Morteau à Pontarlier Une quarantaine de jeunes matelots ont participé au défilé du 8 mai à Pontarlier. Grossiste-distributeur en TV et électroménager depuis 1994 à Morteau, DICOM vient d ouvrir une agence à Pontarlier. L électroménager de qualité au meilleur prix qu internet. D ICOM se développe. L enseigne présente depuis bientôt vingt ans à Morteau vient d ouvrir une agence à Pontarlier pour ses nombreux clients, leur apportant une appréciable solution de proximité. DICOM reste plus que jamais fidèle aux quatre principes qui ont fait sa réputation : le prix, la qualité, le service après-vente et le suivi. DICOM distribue toutes les marques d électroménager à des prix aussi intéressants que sur Internet et ce, en matériel neuf uniquement. Publi-information DICOM étant grossiste-distributeur, il ne distribue que du matériel neuf et actuel. En plus, tous les clients de DICOM bénéficient d une garantie de deux ans, ou plus selon votre choix. Ainsi qu un service après-vente sérieux et de qualité, puisque de proximité. DICOM s engage aussi à suivre de près les commandes, les marques, la qualité des produits et le S.A.V. Que vous soyez revendeur ou particulier, vous pouvez bénéficier de tarifs spécifiques DICOM. Aussi intéressant qu internet! Avant de venir chez DICOM, au préalable, faites le choix de votre matériel. Soit par Internet, soit par un autre moyen de votre convenance Puis allez directement avec la référence exacte du matériel désiré. DICOM se met en rapport avec la marque de votre choix ou le prestataire de celle-ci. DICOM vous donne, le lendemain, votre tarif préférentiel ainsi que le délai réel prévu par la marque. C est aussi simple que cela d avoir la qualité, le sérieux et des prix spécifiques DICOM. La toute première promotion de petits pompiers pontissaliens lors du congrès du Russey en DICOM Morteau 45, rue de la Louhière Ouverture aux particuliers du lundi au vendredi de 16 h à 19 h (Face aux Cloches Obertino) DICOM Pontarlier 20, rue Eiffel Ouverture aux particuliers du mardi au vendredi de 13h30 à 18 h 30 et le samedi de 10 h 30 à 18 h NON-STOP (À coté de Burdin-Bossert)

15 La Presse Pontissalienne n Décembre 2012 PONTARLIER ET ENVIRONS 15 ENTREPRISES Quelle conjoncture pour l industrie comtoise? Haut-Doubs : c est la guerre de la main-d œuvre D après une étude réalisée par l Union des industries et de la métallurgie de Franche-Comté, les industries maintiennent leur activité mais les carnets de commande n excèdent pas six mois. Pour nos entreprises, la concurrence suisse est à double tranchant. des Industries et des métiers de la métallurgie (U.I.M.M.) de L Union Franche-Comté casse une idée reçue selon laquelle ce secteur d activité représentant salariés et entreprises péricliterait en Franche- Comté. On est loin de la déprime de D après une étude réalisée auprès de ses adhérents, l U.I.M.M. est arrivée à une synthèse détaillée. 253 entreprises représentant salariés ont été interrogées sur divers points comme l évolution de leur chiffre d affaires en 2011 comparé à Les résultats en 2011 sont bons commente Étienne Boyer, le président de l U.I.M.M. : 47 % d entre elles confirment avoir eu une croissance soutenue, 22 % une croissance faible, 13 % une stagnation, 10 % un recul faible et 8 % un recul important. Les avis sont davantage partagés pour le premier semestre 2012 avec 25 % qui confirment avoir eu une croissance soutenue et 17 % qui prétendent avoir connu un recul important. Le second semestre 2012 est un peu moins bon avec seulement 10 % des entreprises avec croissance soutenue et 35 % avec baisse d activité. Nous avons effectivement senti un tassement. Le chômage partiel touche davantage d entreprises mais il permet de garder les compétences témoigne le président de l Union, qui représente également le Doubs. Nerf de la guerre, la trésorerie ne semble pas être un élément préoccupant : 84 % Pas de problème de trésorerie. des sondés avouent ne pas avoir de difficultés de trésorerie à court terme et 93 % disent ne pas rencontrer de problèmes avec les établissements bancaires. Le grand problème pour l industrie : C est une maind œuvre qualifiée que nous ne trouvons pas. témoigne Jean- Luc Quivogne, président de la fédération de Haute-Saône. Dans la région, 170 contrats d apprentissage étaient proposés. Seulement 100 ont trouvé preneur à la rentrée de septembre. C est encore plus vrai pour le secteur du Haut-Doubs avec la concurrence suisse : En terme de main-d œuvre, c est la guerre relate le président du Doubs bien conscient qu il est difficile de se mettre à niveau. Le coût horaire travaillé est le même mais les salariés suisses travaillent 41 heures C est est un concurrent mais aussi un client témoigne Étienne Boyer qui souhaiterait que des modalités sur la formation des élèves soient négociées. La Région Franche- Comté est en négociation avec nos voisins et ses cantons pour créer un organisme de formation commun. Points de tension : qui finance? À quelle hauteur? La métallurgie devra recruter en France personnes par an et les salaires y sont intéressants dit un chef d entreprise. Les patrons ont un souhait : que les jeunes apprennent à connaître les métiers. Objectif : casser cette image du travail à la Zola en accueillant notamment les conseillers d orientation dans leurs entreprises qui sont trop souvent déconnectés de la réalité dit l Union. En terme d emploi, 69 % des sociétés sondées disent avoir besoin en personnel pour le second semestre mais le recul est annoncé plus important pour la fin 2012 que le début, preuve de la fragilité du secteur concurrencé en Europe et dans le reste du monde. Si seulement 14 % des industries franc-comtoises envisagent d avoir recours au chômage partiel, elles sont seulement 4 % à avoir mis en place des procédures de licenciement. Si l avenir s inscrit en pointillé en terme de commandes, l U.I.M.M. voit d un bon œil les annonces du gouvernement : On traîne le problème de compétitivité comme un boulet. Il faut s attaquer à ce sujet dit le président. En plus de la Suisse, les chefs d entreprise ne pouvaient manquer la comparaison avec l Allemagne : Lorsqu en France une entreprise achète une Le président de l U.I.M.M. du Doubs voit la Suisse comme un pourvoyeur d activité et un consommateur de maind œuvre voiture de société neuve, elle paye la taxe de voiture neuve alors qu en Allemagne au bout de trois années, elle ne coûte plus rien, ce qui est bien différent de la France. Autre point crucial à travailler : les marges et l innovation. En 40 années à la tête de l entreprise, je n ai touché qu une fois aux dividendes. Tout le reste est investi confie Jean- François Parrot, de l U.I.M.M. du Jura. Chacune des organisations départementales a son propre fonctionnement et sa propre convention collective. Loin de la crise de 2008, l industrie régionale a retrouvé de la vigueur mais l équilibre demeure fragile. E.Ch. INVESTISSEUR : Plus que quelques jours pour profiter de la loi Scellier T2 clé en main dans bâtiment neuf labellisé certifié B.B.C. Garage. Frais de notaires réduits. Éligible loi Scellier 2012 Studio de m² exposé sud dans bâtiment certifié B.B.C avec garage. Éligible loi Scellier 2012 Appartement en duplex de 85 m² avec locataire. Balcon surplombant le Doubs. Charpente, toîture et façade neuves. VENDU Réalisez vos rêves en aménageant selon vos goûts et vos besoins cette surface brute de 97 m². Investisseurs, déduisez tous vos travaux de vos revenus fonciers. Dans un bâtiment rénové récemment, T2 de 62 m 2 exposé sud avec terrasse de 40 m 2. Cave. Location en cours, rentabilité assurée. Murs commerciaux, activité de restauration avec bail en cours, au cœur de Pontarlier. Murs commerciaux avec vitrine. Rue de la République à Pontarlier, avec bailleur. 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16 16 PONTARLIER ET ENVIRONS La Presse Pontissalienne n Décembre 2012 SOCIÉTÉ Les associations en difficulté Personnes âgées : la dépendance en questions D ici huit ans, le nombre de personnes âgées dépendantes devrait passer de à en Franche-Comté. Il faudrait créer entre et emplois à temps plein pour répondre aux futurs besoins. Pendant ce temps-là, des structures de services à la personne ferment Plusieurs structures de services à domicile traversent de grandes difficultés actuellement. C est le cas notamment dans le Haut-Doubs de l association Gardénia. La structure qui possède une antenne sur le Haut- GRANGES-NARBOZ Doubs où travaillent plusieurs dizaines de salariés avait été placée en redressement judiciaire le 24 janvier dernier, après avoir accumulé la bagatelle de euros de dettes. Le 27 novembre, le tribunal de Montbéliard où elle Profession feuillagiste La nature pour jardin décoratif La société Provert est spécialisée dans la collecte de végétaux naturels sauvages qui sont ensuite commercialisés à des fins décoratives. Toute une organisation. Ramasser des pives de pins, du lierre, des mousses, des branchages semble à la portée de tous. Dans certaines régions du sud de la France, cette activité constitue une source de revenus complémentaires pour de nombreux retraités. La chose se complique rapidement dès qu il s agit d exercer à plein-temps. Frédéric Duval n était pas du tout programmé pour se lancer dans cette profession de feuillagiste. J ai travaillé en Suisse comme sommelier, explique ce Pontissalien œnologue de formation. Là, j ai sympathisé avec un Français qui a fait toute sa formation horticole en Suisse et qui s est spécialisé dans la fourniture de végétaux sauvages auprès des fleuristes. Il me disait toujours qu il éprouvait de grosses difficultés à s approvisionner en Suisse à cause d une réglementation très écologique. De quoi suggérer en quelque sorte un partenariat franco-suisse. Plutôt enclin à relever ce genre de défi, Frédéric Duval monte la société Provert en Au départ, on faisait des centaines de kilos de lierre puis on a élargi la gamme, explique le feuillagiste qui a pris aussi son autonomie. Installé aujourd hui dans la zone d activité des Granges-Narboz, il emploie deux salariés permanents et sollicite également de façon occasionnelle des cueilleurs ramasseurs. La petite équipe passe la moitié de son temps dans la nature à collecter toutes sortes de sous-produits forestiers frais ou secs. Le territoire d intervention est vaste. Il s étend du Haut-Doubs au Languedoc-Roussillon. On va chercher dans le sud des végétaux spécifiques comme du buis, des genévriers et des bois brûlés qu on blanchit ensuite. Les zones de ramassage varient en fonction des saisons et des ressources des milieux. Provert va par exemple ramasser du gui jusque dans la plaine de la Saône. Idem pour le houx particulièrement abondant sur les hauteurs du Beaujolais. On fonctionne toujours en accord avec les propriétaires et dans le respect des zones et des plantes protégées, insiste le feuillagiste. Certains se posent beaucoup moins de questions. Après la collecte, vient le temps du conditionnement. Au dépôt des Granges-Narboz, tout est stocké, pesé, nettoyé, calibré. Frédéric Duval approvisionne chaque semaine en végétaux naturels frais ou secs des grossistes suisses. S il approvisionne les fleuristes locaux, Frédéric Duval a choisi de fonctionner en priorité sur la Suisse, soit 85 % de son activité. On peut le comprendre. Il livre sa marchandise chaque semaine chez plusieurs grossistes ou sur des bourses aux fleurs où se réunissent les producteurs. Pour corser la chose, il cible le marché suisse-allemand où les gens sont très friands de décoration, un peu comme en Alsace. La rentabilité est au rendez-vous sous réserve de répondre aux exigences de qualité. On doit être irréprochable sur ce point. Quand ils demandent des branches de 25 cm, ce n est pas 15 ou 35 cm. On travaille avec certains opérateurs qui sont spécialisés dans la décoration des grands hôtels suisses. De là à voir une pive de pin du Larmont orner la table de nuit d un palace genevois, il n y a qu un pas. Avec les voyages, la collecte au grand air, les produit naturels, le métier a ses bons côtés. Sauf que les transports, ça coûte cher. La pluie, le froid font aussi partie du quotidien du feuillagiste. On s endurcit et il n y a rien de meilleur à la santé, sourit Frédéric Duval qui a trouvé chaussure à son pied et qui souhaite rester dans une dynamique artisanale. C est le gage de qualité qui me convient. INFOS : Le nombre de personnes âgées dépendantes ne va cesser de croître. a son siège a confirmé les difficultés et a prononcé le 30 novembre la liquidation judiciaire. Et sur les 183 salariés, seulement 95 ont été proposés pour être repris par une ou plusieurs associations intervenant sur le secteur, dont l A.D.M.R. pour le Haut-Doubs selon la C.G.T. Franche-Comté qui suit de près ce dossier. Le risque était donc d aboutir à plus de 90 suppressions d emplois. A.A.D., une autre structure, privée cette fois, voit également sa situation se dégrader. Elle comptait plus de 160 salariés en 2011, son effectif a chuté à 127 salariés et huit nouveaux licenciements économiques sont annoncés ajoute la C.G.T. Tous ces problèmes engendrent un fort mécontentement, de la souffrance, une rotation de personnel importante, mais aussi de l insatisfaction auprès des usagers nombreux étant des personnes âgées dépendantes. Ce constat, alarmant sur le plan de l emploi, va pourtant à contresens des besoins en matière de services à domicile. Selon une étude de l I.N.S.E.E. parue fin novembre, il serait nécessaire de créer à emplois supplémentaires en équivalents temps plein dans les huit prochaines années, soit un quart de plus qu aujourd hui. D ici 2030, la population franccomtoise âgée de 60 ans et plus devrait augmenter fortement, de + 35 % et six fois plus rapidement que la population globale. Actuellement, personnes sont en situation de dépendance en Franche-Comté, elles devraient atteindre les d ici 2020, dont personnes lourdement dépendantes. À ce jour, de ces personnes dépendantes vivent à leur domicile, soit deux tiers des dépendants. Dans tous les cas de figure, les projections des statisticiens font état d un besoin en personnel qui augmenterait donc de 25 % d ici Alors comment expliquer de ce fait les grandes difficultés que traversent les structures d aide à domicile? Une des explications à ce problème d emploi, c est selon les syndicats le manque de cadre et de pilotage du dispositif d aide à la personne. Il ne faut pas laisser faire n importe qui et n importe quoi dans ce domaine d activité. On a prévu d interpeller le Conseil général sur cette question informe Michel Faivre-Picon. Une journée de mobilisation est prévue le 21 décembre devant le Conseil général du Doubs. En toile de fond, c est le statut du travail à domicile qui est en jeu, un statut jugé précaire et mal rémunéré. J.-F.H. C est Noël à Besançon AU CŒUR DU CENTRE HISTORIQUE Marché de Noël PLACE DE LA RÉVOLUTION 30 novembre > 24 décembre Marché de Noël des métiers d art PLACE PASTEUR 30 novembre > 24 décembre Marché de Noël solidaire 5 décembre > 16 décembre Noël à Battant 30 novembre > 24 décembre

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18 18 PONTARLIER ET ENVIRONS CONSOMMATION Le comté au sommet de sa forme Avec tonnes vendues au cours des 12 derniers mois, le fleuron des A.O.P. fromagères bat tous les records. La victoire d un modèle économique où chacun s y retrouve et même quelques moutons noirs. Les ventes de comté ont progressé de 6 % au cours des douze derniers mois. L a crise n a nullement impacté les ventes de comté en progression de 6 % depuis un an sans que son prix ne soit révisé à la baisse. Étonnante croissance dans un marché des fromages plutôt en stagnation. On récolte les fruits d une politique basée depuis très longtemps sur la maîtrise des volumes et de la qualité. Les tonnages ont évolué de 50 % en 20 ans, apprécie Lionel Petite, l affineur également responsable de la commission économique au C.I.G.C. Comment expliquer cette santé insolente? L authenticité d un fromage qui a su préserver une certaine indépendance. Grâce aux efforts de chacun, le comté bénéficie aujourd hui d une très forte notoriété. Il est désormais plus connu que le roquefort. Une des raisons du succès repose sur la maîtrise collective des volumes avec une progression volontairement limitée, contrôlée, sans jamais renier sur la qualité à tous les stades, du lait à la Un fabrication en passant par l affinage. Tout le positionnement monde a investi et tout le monde en profite. Philippe Jeanningros, producteur et président de la fruitière du Chalet à Pontarlier estime du comté aussi que cette réussite valide des orientations agricoles assez perspicaces. C est un pari sur le sur l avenir engagé depuis une bonne quinzaine d années en faisant le choix de l installation. chinois. marché On a des fermes plus petites qu ailleurs. Ici, un exploitant s en sort avec une trentaine de laitières. On a des contraintes mais elles s avèrent gagnantes. Parfois décrié, le cahier des charges du comté est la clef de voûte qui en garantit l authenticité. D où l importance de le faire respecter. Tous les maillons de la filière tirent bénéficie de cette prospérité. En cinq ans, le prix du lait versé aux producteurs a progressé de 26 % pour avoisiner aujourd hui 450 euros les litres. Cela conforte l avenir de l agriculture de montagne qui se démarque ainsi franchement des zones en lait standard. Ces revenus confortables ont permis de moderniser les exploitations. Ils favorisent aussi le rajeunissement de la population agricole. Au Chalet de Pontarlier, la moyenne d âge se situait entre 50 et 55 ans il y a 10 ans. Les deux tiers des sociétaires sont partis en retraite. Aujourd hui, c est l inverse, il y a plus de jeunes de 25 à 35 ans que de vieux. La politique d installation et les prix ont permis de sauver des petites coopératives comme la nôtre. À mon sens, le dynamisme d une coop repose plus sur sa jeunesse que sur ses équipements, estime Philippe Jeanningros. La réussite est là. Sa pérennité impose beaucoup d autodiscipline. On a encore des marges de progression en valorisant par exemple mieux le comté à déguster à l apéritif ou dans le registre ingrédient de cuisine. Vis-à-vis de l export, on doit amorcer un positionnement du comté sur le marché chinois, suggère Lionel Petite. Ce succès inquiète un peu Claude Vermot-Desroches, le président de l interprofession du comté qui voit se profiler un phénomène pernicieux avec le développement des produits à plaques rouges. Ces pâtes pressées cuites jouent sur la confusion avec le comté A.O.P. Il s en produit aussi bien dans les petits ateliers que dans les grosses structures. On espère que la répression des fraudes sera capable de nous accompagner pour lutter contre ces imitations. Pour moi, c est suicidaire.

19 P U B L I - I N F O R M A T I O N CHAUFFER PLUS EN CONSOMMANT MOINS L hiver est là, il est temps de faire le plein de granulés de bois. Choisissez les granulés certifiés Din Plus, qui ont le meilleur rendement. Ils sont produits par la société Haut-Doubs Pellets à Levier et distribués en exclusivité par l entreprise Europellets de Vennes. Michel Gaudillère et Sophie Tattu de la société Europellets, Gilles Denizet, directeur de l entreprise Haut-Doubs Pellets à Levier, spécialisée dans la production de granulés bois, devant le système de séchage de la matière première. Europellets livre ses clients en moins de 48 heures. Elle s approvisionne auprès de la société Haut-Doubs Pellets. Les sacs de 15 kg de granulés de bois sont produits sur le site de Levier. Haut-Doubs Pellets à Levier, et Europellets à Vennes, sont deux entreprises qui travaillent main dans la main pour garantir aux propriétaires de poêles (ou de chaudière) à granulés de bois une qualité constante de combustible. La première est spécialisée dans la fabrication de pellets tandis que la seconde les distribue en exclusivité, en sac ou en vrac, à travers toute la région ainsi qu en Suisse voisine. Les granulés fabriqués sur le site de Levier, entièrement dédié à cette activité, sont d une qualité supérieure à ceux que l on trouve sur le marché. Ils sont certifiés Din Plus insiste Gilles Denizet, directeur de l entreprise Haut-Doubs Pellets qui emploie 12 personnes et produit tonnes de granulés chaque année. Cette norme, plus exigeante que la norme N.F., signifie que ces pellets fabriqués à partir de résineux ont un fort pouvoir calorifique, et que les conditions de séchage sont telles que leur combustion est totale ou presque. Il ne reste pratiquement pas de cendres, ce qui limite l entretien du poêle, qui n'est pas attaqué par la corrosion. C est un gain pour l usager qui chauffe plus et tout en consommant moins de combustible remarque Sophie Tattu de la société Europellets, la seule société franc-comtoise à être spécialisée dans la distribution de ces LA CERTIFICATION DIN PLUS. granulés de bois. Depuis cinq ans, elle investit dans du matériel (camion avec pesée embarquée par exemple, ou camion dédié au transport de granulés en sac) afin d offrir à ses clients, particuliers et collectivités, la livraison la plus qualitative possible. Pour les cas les plus urgents, nous engageons à livrer nos clients entre 24 et 48 heures pour du vrac. Nous livrons également les sacs à domicile. Pour cela, nous avons investi dans du matériel qui nous permet d être très compétitifs note Michel Gaudillère, co-gérant de l entreprise familiale Europellets. En se fournissant exclusivement à l usine de Levier, le distributeur parvient à garantir à ses clients une qualité constante du granulé, avec en plus une traçabilité totale du produit de fabrication française écologique. Nous n ajoutons pas de liant dans la fabrication des granulés. Ils sont 100 % naturels précise Gilles Denizet. Si, en théorie, pour produire des pellets il suffit de comprimer de la sciure, en pratique le procédé de fabrication est beaucoup plus complexe. Tout est dans l art du séchage. Il faut déshydrater la matière première afin de fabriquer des granulés dont l hygrométrie est constante, inférieure à 10 %. Nous avons un suivi qualité au sein de notre usine. Toutes les deux heures, on prélève des granulés afin de vérifier si nous respectons les critères de la norme Din Plus conclut Gilles Denizet. C est parce qu ils sont animés par la même exigence de la qualité qu Europellets et Haut-Doubs Pellets ont renforcé leur coopération. Le bénéfice est pour le client qui peut obtenir sur un simple appel téléphonique des granulés à fort pouvoir calorifique, à un prix compétitif, livrés dans les meilleures conditions. DEVIS GRATUIT PAR INTERNET EUROPELLETS 4, rue Sainte-Colombe VENNES Tél. : Fax : Toute l équipe d Europellets présente ses meilleurs vœux pour l année 2013 à l ensemble de ses clients!

20 20 PONTARLIER ET ENVIRONS La Presse Pontissalienne n Décembre 2012 HÔPITAL L établissement a été baptisé Bienvenue au centre hospitalier intercommunal de la Haute Comté C est le nouveau nom de baptême de l hôpital de Pontarlier qui forme désormais, avec les hôpitaux de Mouthe, de Nozeroy et avec l E.H.P.A.D. de Levier, une structure intercommunale. La directrice quittera ses fonctions en fin d année. La directrice générale Gaëlle Fonlupt quittera ses fonctions à la fin de l année. P lusieurs noms ont été proposés avant que les quatre élus ne tranchent définitivement (Patrick Genre pour Pontarlier, Jean-Marie Saillard pour Mouthe, Claude Muyard pour Nozeroy et Albert Jeannin pour Levier) : l hôpital Edgar Faure, l hôpital Pierre Bichet, l hôpital du Mont d Or, l hôpital transjurassien... Finalement, tout le monde s est mis d accord sur la nouvelle appellation : il faut désormais parler du centre hospitalier de la Haute Comté. Un nom qui a au moins le mérite d être fédérateur sur le plan géographique. Si ce nom regroupe les quatre structures, les centres périphériques n en perdent pas pour autant leur nom. Pour Mouthe, on parlera désormais du site René Salins du C.H.I. de la Haute Comté, pour Levier du site Fernand Michaud et pour Nozeroy, du site Sainte-Barbe. Mais tous désormais ont été regroupés autour du centre hospitalier de Pontarlier, sous la même bannière administrative. L idée de ce nouveau nom est de créer un véritable trait d union entre les quatre structures qui sont désormais regroupées avec cette fusion administrative effective depuis octobre. Cette fusion a été justement faite pour pérenniser les quatre sites et améliorer l offre de soins indique Gaëlle Fonlupt, la directrice générale du C.H.I. Concrètement, cette récente fusion inspirée par les soucis d économie globale voulue par l Agence régionale de santé (A.R.S.), permet de mutualiser les moyens administratifs et logistiques, afin de remettre la quasi-totalité des moyens que l on a au service de soins précise la directrice. L A.R.S. estime en effet qu un établissement de santé peut assurer son avenir, à partir de 600 lits. Le nouveau C.H.I. totalise un peu plus de 700 lits (251 lits de médecine à Pontarlier, 252 lits à l E.H.P.A.D. de Doubs, 70 à Mouthe, 63 bientôt à Nozeroy, 49 à Levier et quelques lits Le centre hospitalier intercommunal s appelle désormais C.H.I. de la Haute Comté. Pour pérenniser les quatre sites. de soins infirmiers à domicile). Des projets naîtront de cette fusion entre les quatre établissements, comme par exemple la mise en place de la télémédecine entre le site de Mouthe et celui de Pontarlier, bientôt opérationnelle. La naissance du C.H.I. s est accompagnée de quelques ajustements sur le plan du personnel, certains étant passés d un site à un autre, mais n a abouti à aucune suppression de postes. Quand quelqu un souhaite changer de site, c est toujours sur la base du volontariat. Ce principe ne changera pas termine Gaëlle Fonlupt qui conclut avec cette fusion un des derniers actes de son passage à Pontarlier. Elle quittera ses fonctions en fin d année pour des raisons familiales. Un directeur par intérim la remplacera dès janvier avant la nomination d un successeur officiel. J.-F.H. > Idée originale : Déjà plus de utilisateurs des chèques Grand Pontarlier Ces chèques s offrent pour toutes les occasions : Noël, Fête des mères et des pères, anniversaire, naissance, mariage, récompense aux collaborateurs Un cadeau pour faire plaisir à tous les budgets > Simplicité d utilisation : Coupures de 10 ou 15 + de 120 partenaires acceptant les chèques (liste disponible sur le site Identifiables par un autocollant chez les partenaires. > Où les acheter : POUR LES PARTICULIERS : Office de Tourisme 14 rue de la Gare Pontarlier Tél. : POUR LES PROFESSIONNELS : Grand Pontarlier 56 rue de la République Pontarlier Tél. : commercegrandpontarlier@yahoo.fr

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