Générateur Photovoltaïque à Réfraction Interne
|
|
- Noëlle Faubert
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Rev. Energ. Ren. : Valorisation (999) 65-7 Générateur Photovoltaïque à Réfraction Interne F. Benyarou, N. Bibi Triki, A. Zerga et B. Benyoucef Département de Physique, Faculté des Sciences, Université Abou-Bakr Belkaïd, B.P. 9, Tlemcen Résumé - Le générateur photovoltaïque à réfraction interne a une durée de fonctionnement restreinte et une énergie produite importante. Le coût de l'énergie produite dépend du temps de fonctionnement et de la concentration moyenne journalière. L étude menée consiste à l élaboration d un programme général d analyse des dispositifs optiques à réfraction interne. La simulation des rayons permet de préciser la forme et les dimensions du concentrateur. L analyse tridimensionnelle permet la caractérisation et la détermination d un compromis entre le champ et la concentration. Le générateur sphèro-pyramidal étudié donne une durée de fonctionnement restreinte et une énergie produite importante à coût intéressant. Abstract - The photovoltaic generator with internal refraction has one restricted operation life and an important produced energy. The cost of produced energy depends on the operating time and the daily average concentration. The undertaken study consists with the development of a general program for the analysis of the optical devices with internal refraction. The simulation of the rays makes it possible to specify the shape and dimensions of the concentrator. The three-dimensional analysis allows the characterisation and the determination of a compromise between the field and the concentration. The studied spheropyramidal generator gives one restricted operation life and an important produced energy to interesting cost. Mots clés: Générateur photovoltaïque - Sphéro - pyramidal - Concentrateur - Réfraction interne.. INTRODUCTION Pour une durée de fonctionnement journalière restriente et une énergie produite importante, l utilisation d un système photovoltaïque plan ou à concentration conditionne le coût de l énergie produite. L éfficacité de conversion impose une réduction de surface de cellules (système plan) et un abondant des accéssoires permettant le suivi du soleil et le refroidissement de cellules (système watt-concentré). Le générateur sphèro-pyramidal répond à ces exigences et acquière des propriétés requises et des qualités potentielles prométeuses.. CONCENTRATEUR Le concentrateur sphèro pyramidale utilise le principe de la réflexion totale interne pour concentrer la lumière réfractée. Il est composé d un étage ayant la forme d une calotte sphérique de rayon R et d un étage de forme pyramidale tronqué au sommet et servant de guide de lumière. Ce dernier de hauteur H a un angle au sommet de α. Le concentrateur est en plexiglass, matériaux de faible absorption (. %/cm) et de transmission intense (9 %). Fig. : Concentrateur sphèro pyramidal 65
2 66 F. Benyarou et al. Par ailleurs, le plexiglass présente un indice de réfraction (n =.49), une faible densité (.8 g/cm 3 ), une extrême limpidité, une grande facilité de fabrication (uage, moulage,.) et une grande résistance aux agents atmosphériques. En raison de ses propriétés optiques et surtout de son coût, le plexiglass convient mieux aux dispositifs optiques utilisant la réfraction internen []. Dans l approximation de Gauss, ce système est conçu de façon que tous les rayons parallèles se concentrent au voiage du sommet de la pyramide, situé à une distance n R / (n - ) de la face d entrée. 3. MODÉLISATION ET SIMULATION Considérons un dioptre Σ qui sépare deux milieux homogènes d indice n et n (n <n ) et soit N le vecteur unitaire de la normale au point d incidence I ayant les composantes (N, N, N 3 ). Un rayon incident R I au point I Σ de vecteur unitaire U et de composantes ( α, β, γ ) se réfracte en un rayon I I de vecteur unitaire U et de composantes α, β, ). L expression vectorielle des lois de Snell-Descartes est : [] ( γ n U n U = W. N avec W = n cos( θr ) n cos( θ) θ étant l angle d incidence et θ r l angle de réfraction (ou de réflexion). Dans le cas d une réflexion, n et n seront remplacés par l indice du milieu ou s effectue la réflexion et θ r sera supérieure à π / par conséquent W sera négatif. Dans un milieu d indice n (n > n ), un rayon incident subit la réflexion totale interne si les deux conditions suivantes sont vérifiées simultanément : n > n et > θc θ avec θ = Arc( n / n ) θ c étant l angle limite de réfraction interne. Soient h la hauteur du soleil et a son azimut, les cous directeur du rayon incident sont : α ( h) cos( a) ; β ( h) ( a) ; γ ( h) = cos = cos = L équation du rayon incident au point I de composantes (X, Y, Z ) est déterminée par : X X Y Y Z Z = = α β γ Les angles d incidence θ et de réfraction θ r sont obtenus par : [3] θ = Arccos( α N β N γ ) et θ = Arc[ n.( θ) / n ] N3 Les composantes du rayon réfracté et son équation sont déterminées par : α β γ = n n α β γ W n N N N 3 ; r c X X Y Y Z Z = = α β γ Si ce rayon subit une autre réflexion (ou réfraction) sur un nouveau dioptre, nous déterminons le nouveau point d incidence en résolvant le système d équation englobant l équation du rayon et l équation du dioptre, puis nous répéterons la même procédure jusqu à sa sortie. Ces calculs sont relatifs à un seul rayon et en un seul point d incidence. Afin de balayer toute la face d entrée, les rayons solaires seront alors simulés d une manière itérative. Le trajet optique (D) en fonction des coordonnées des points de réflexions totales internes (X N, Y N, Z N ) et du nombre N de réflexion est donné par : N D = N= [( X N X N ) ( YN YN ) ( ZN ZN ) ] La propagation de la lumière dans le concentrateur provoque une atténuation de la lumière par transmission, par absorption et par les réflexions multiples. L intensité de sortie (I S ) d un rayon incident (I ) est régie par la loi de Beer-Lambert : ad ( R)( R ) I. e N I S = ρ ρ = coefficient moyen de réflexion interne et a = coefficient d absorption du matériau, R et R' sont respectivement les coefficients de réflexion sur les faces d entrée et de sortie :
3 JNVER : Générateur Photovoltaïque à Réfraction Interne 67 θ N et N ( θ r θ) ( θ θ) ( θ θ) tg ( ) r R = et tg r θ rθ tg R = tg ( θn θn ) ( θ θ ) N N ( θ θ ) ( ) N N θn θn θ sont les angles d incidence et de réfraction sur la face de sortie. Le rapport I S /I est appelé concentration locale, la connaissance de cette dernière par simulation point par point permet d évaluer l efficacité du concentrateur. Il permet aussi de déterminer la répartition de l intensité de sortie à différentes valeurs d angles d incidences (Fig. ). Fig. : Simulation des rayons et répartition de l intensité sur la tache de sortie 4. CHAMP DU CONCENTRATEUR La loi de réfraction au point d incidence I donne : θ = Arc[ n.( θ )] avec θ = θ ( N ) α Arc( X / R) r r N En repérant par rapport à l axe optique OZ, l angle d incidence θ est : θ = θ Arc( X / R) = Arc[ n.( θr )] Arc( X / R) Pour qu un rayon atteint la face de sortie, le principe de la réflexion totale interne impose : ( / n) θ N Arccos et que θ θ max défini par : θ max = Arc n. Arccos n X R ( N ) α Arc Arc X R La symétrie par rapport à l axe optique donne le champ du concentrateur : E = θ max, max θ est pratiquement indépendant du point d incidence, mais dépend fortement du demi angle au sommet de la pyramide ( α ). Le nombre de réflexion totale (N) dépend du rayon de courbure (R) et de la hauteur du concentrateur. Ce champ maximum ne tient pas compte des rayons qui subissent des réflexions internes sur la face d entrée et qui peuvent contribuer à la concentration. Par conséquent, l ouverture du champ est mieux présentée par la simulation des rayons. Nous déterminons l ouverture du champ en chaque point de la face d entrée et à différente valeur de H par procédé d itérations. Exemple: pour n =.49, R = 3.5 cm, H = 9. cm et α = 9.5, nous obtenons E = 4, soit un temps de fonctionnement de h 36 mn. Des faisceaux très fins situés au voiage de θ = 6.74 et θ = 58. sont redressés par la face d entrée et récupérés par la face de sortie (Fig. 3). La durée de fonctionnement d un concentrateur sphèro pyramidale est liée au champ maximum. Elle est une fonction croissante de H (Fig.3) et elle prend sa valeur minimale pour H = n.r / (n-).
4 68 F. Benyarou et al. 5. CONCENTRATION DE RAYONNEMENT La concentration de rayonnement (C R ) dépend de la concentration géométrique (C) et de l efficacité du concentrateur ( η ) par la relation : C R = η C La concentration géométrique pour des incidences parallèles faisant un angle θ avec l axe optique est : [ α Arc( ( α) )] ( 3R H) tg α S πr C = cosθ =. cosθ s 4 avec S = surface d entrée et s = surface de sortie. Fig. 3: Concentration géométrique et concentration locale La concentration géométrique prend sa valeur maximale à θ =. Pour H > R, elle varie très peu pendant la durée de fonctionnement ( θ < θ max ). Elle augmente avec la hauteur H et tend vers sa valeur maximale à H = 3R (Fig. 3). Exemple: pour R = 3.5 cm, α = 9.5, H = 9. cm et s = cm ; pour θ = nous obtenons C = 3. et pour θ = θ max nous obtenons C = 9.5 La conception du concentrateur impose une valeur minimale au rayon de la sphère (R > H/3). La valeur maximale de α est déterminée par : tg( α ) = R / ( H R) Comme θ max dépend de H, et que C max dépend de cette dernière, nous procédons par itération pour obtenir l efficacité optique à chaque point d incidence et à chaque angle θ et déterminer la concentration de rayonnement C R πr = η.c = [ α Arc( ( α) )] ( 3R H) tg α 4. cosθ L équation ci-dessus ne donne qu une valeur moyenne, elle ne permet pas la représentation de la concentration de rayonnement sur la face de sortie. Les surfaces sphériques, par leur caustique et leur aberration ont une répartition de concentration locale non uniforme. A l aide d itération, nous pouvons déterminer la répartition de la concentration (Fig. 3) et la tâche de sortie. La concentration de rayonnement est déterminée en faisant la moyenne sur toute la face de sortie des valeurs obtenue par mm. Le concentrateur utilise une grande partie de rayonnement diffus, soit une concentration d environ : C D = E.C R /8. 6. CONCEPTION DU CONCENTRATEUR Il s agit de déterminer les dimensions du concentrateur pour avoir un compromis entre le champ et la concentration avec des valeurs élevées tout en gardant un certain degré d hétérogénéité de la tâche de sortie [4], ce dernier ne doit pas dépasser 5 %. Le programme de simulation tridimensionnelle des rayons permet le dimensionnement et la répartition de l éclairement à la sortie du concentrateur. Rayon de courbure Pour un angle α et une hauteur H donnée, augmenter le rayon de courbure revient à élargir la tâche de sortie, ceci provoque une diminution de la concentration et une augmentation du champ maximum. Afin de minimiser
5 JNVER : Générateur Photovoltaïque à Réfraction Interne 69 le coût de matière, le rayon de courbure devra être choisi de façon que : R >> (n - ) H / n. Le rayon R est pris égal à la demi hauteur du concentrateur pour éviter une grande variation d éclairement à la sortie. R sera alors déterminé par le programme de simulation des rayons Hauteur L augmentation de la hauteur H du concentrateur conduit à une élévation de la concentration et à une diminution du champ maximum. Pour des valeurs élevées de H, la différence d éclairement ponctuel à la sortie est supérieur à 5 %. Afin d éviter un écart important d éclairement sur les photopiles, nous déterminons la hauteur du concentrateur par le programme de simulation des rayons en balayant tout la face d'entrée. Cette dernière condition est respectée pour H < R. Angle α Afin de diminuer la surface des photopiles, le demi angle au sommet de la pyramide est choisi de façon que cette dernière soit à l intérieur de la caustique[5]. Soit R c le rayon de la caustique à incidence normale, l angle α alors donné par : tg( α ) = R c /( 3H R). L angle α dépend du rayon de courbure R et de la hauteur H du concentrateur, il est déterminé par le programme de simulation des rayons en fonction de la concentration et du champ désiré. 7. GÉNÉRATEUR SPHÈRO PYRAMIDAL L assemblage d un module élémentaire peut être réalisé par un moule regroupant plusieurs concentrateurs, les cellules photovoltaïques sont plaquées alors contre les faces de sorties des concentrateurs et connectées en série. L ensemble peut être introduit dans un bac rigide avec ailettes permettant une dissipation de la chaleur et un refroidissement des cellules par convection naturelle. Le générateur sphèro pyramidale est constitué par un assemblage regroupant deux ou plusieurs modules. La connexion série-parallèle des modules est fonction de la puissance désirée. Ce générateur est orienté face au sud selon les normes d orientation d un capteur plan fixe recevant un éclairement maximum. L équation caractéristique d un générateur composé de N S modules en série (constitué chacun par n cellules en série ) et N p modules en parallèle est : q ( V RSeI) AKTnNS V RSeI I = NpIph NpI e Rpe NS NS avec R Se = n R S et R pe = n R p N p N P R se et R pe sont les résistances séries et parallèles équivalentes du système. R S et R P sont les résistances séries et parallèles d une cellule. 8. RÉSULTATS EXPÉRIMENTAUX Pour une durée de fonctionnement journalière moyenne de h et une concentration moyenne de soleils, le programme de simulation a donné les dimensions suivantes du concentrateur : R = 3.5 cm, α = 9.5, H = 9. cm et s = cm. Un prototype a été réalisé au Laboratoire d Analyse et d Architecture des Systèmes (LAAS Toulouse). Une expérience préliminaire à l aide d un laser hélium-néon de longueur d onde λ =.63 µm montre que le nombre de réflexions sur les plans latéraux ne dépasse pas l unité lorsque l angle θ <. Au delà de, certain faisceaux lumineux subissent plusieurs réflexions totales dont à sur la face d entrée avant d atteindre les photopiles (Fig. 4). La variation de la concentration du rayonnement direct sur une journée présente un maximum principal et deux maxima secondaires. Le maximum principal est situé au voiage de θ = et à une concentration moyenne de l ordre de 9.5. Les deux maxima secondaires sont situés autour de θ =.5 et correspondent à une concentration moyenne de 7 (Fig. 4). Pour une concentration supérieur à l unité, ce concentrateur a un temps de fonctionnement de l ordre de 4h 3mn. Ce temps est de l ordre d une heure pour des concentrations comprises entre 8 et 9.5, ce qui correspond à -7.5 < θ < 7.5. La concentration chute brusquement des qu'on dépasse ces limites. Ces derniers sont inférieures à celles trouvées en théorie car les dispersions et les états de surfaces ne favorisent pas les réflexions totales internes.
6 7 F. Benyarou et al. La valeur moyenne de la concentration journalière est de l ordre C Rmoy = 8., pour le rayonnement direct et environ C D = 3 pour le rayonnement diffus. Les mesures de l efficacité optique du concentrateur η en fonction de l angle d incidence sont les suivantes: θ η 65% 63% 55% 5% 6% 5% 5% Ces mesures sont relativement faibles à celles trouvées en théorie. La différence entre η théorique et η mesuré est de % à %, dues essentiellement aux pertes diverses. En simulation, nous avons supposé un contact cellule concentrateur parfait, un polissage homogène (de. µ m), et un éclairement uniforme sur les cellules. La dispersion et la précision du pointage peuvent influencer ces résultats expérimentaux Fig. 4: Simulation expérimentale et variation de la concentration du rayonnement sur une journée 9. CONCLUSION L étude menée est principalement fondée sur le tracé tridimensionnel des rayons solaires et la répartition de l éclairement sur les photopiles. Les paramètres physique donnant un compromis entre le champs et la concentration ont permis le dimensionnement du concentrateur. La simulation des rayons a donné une analyse fine de conception et de modélisation des concentrateurs à réfraction interne. Les générateurs sphèro pyramidaux présentent un coût intéressant du watt produit et leur degré d intégration dans les générateurs photovoltaïques peut être élevé avec les techniques d assemblages robotisées. REFERENCES [] I.R. Edmonds and I.R. Cowling, The Design and Performance of Ideal Solar Concentrators, Solar Energy, Vol. 3, N 6, pp , 983. [] W.T. Welford and R. Winston, The Optics of Nonimaging Concentrators, Academic Press. [3] F. Benyarou, Simulation de Rayons Solaires dans un Concentrateur, 3 ième Séminaire National sur l Energie Solaire, Tlemcen, 989. [4] M. Chegaar, Effet d Eclairement non Uniforme sur les Générateurs Photovoltaïques, Thèse de Magister, 99. [5] W.B. Elmer, The Optical Design of Reflectors, Ed. John Wiley & Sons.
Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière
Seconde / P4 Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière 1/ EXPLORATION DE L UNIVERS Dans notre environnement quotidien, les dimensions, les distances sont à l échelle humaine : quelques mètres,
Plus en détailChapitre 6 La lumière des étoiles Physique
Chapitre 6 La lumière des étoiles Physique Introduction : On ne peut ni aller sur les étoiles, ni envoyer directement des sondes pour les analyser, en revanche on les voit, ce qui signifie qu'on reçoit
Plus en détailEP 2 290 703 A1 (19) (11) EP 2 290 703 A1 (12) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN. (43) Date de publication: 02.03.2011 Bulletin 2011/09
(19) (12) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN (11) EP 2 290 703 A1 (43) Date de publication: 02.03.2011 Bulletin 2011/09 (1) Int Cl.: H01L 31/02 (2006.01) (21) Numéro de dépôt: 008786. (22) Date de dépôt: 24.08.20
Plus en détailG.P. DNS02 Septembre 2012. Réfraction...1 I.Préliminaires...1 II.Première partie...1 III.Deuxième partie...3. Réfraction
DNS Sujet Réfraction...1 I.Préliminaires...1 II.Première partie...1 III.Deuxième partie...3 Réfraction I. Préliminaires 1. Rappeler la valeur et l'unité de la perméabilité magnétique du vide µ 0. Donner
Plus en détailLe Soleil. Structure, données astronomiques, insolation.
Le Soleil Structure, données astronomiques, insolation. Le Soleil, une formidable centrale à Fusion Nucléaire Le Soleil a pris naissance au sein d un nuage d hydrogène de composition relative en moles
Plus en détailOPTIQUE GEOMETRIQUE POLYCOPIE DE COURS
OPTIQUE GEOMETRIQUE POLYCOPIE DE COURS PR. MUSTAPHA ABARKAN EDITION 014-015 Université Sidi Mohamed Ben Abdallah de Fès - Faculté Polydisciplinaire de Taza Département Mathématiques, Physique et Informatique
Plus en détailLa Recherche du Point Optimum de Fonctionnement d un Générateur Photovoltaïque en Utilisant les Réseaux NEURO-FLOUS
Rev. Energ. Ren. : Chemss 2000 39-44 La Recherche du Point Optimum de Fonctionnement d un Générateur Photovoltaïque en Utilisant les Réseaux NEURO-FLOUS D.K. Mohamed, A. Midoun et F. Safia Département
Plus en détailSARM: Simulation of Absorption Refrigeration Machine
Revue des Energies Renouvelables Vol. 11 N 4 (2008) 587 594 SARM: Simulation of Absorption Refrigeration Machine S. Kherris 1*, M. Makhlouf 1 et A. Asnoun 2 1 Laboratoire des Matériaux et des Systèmes
Plus en détailModule HVAC - fonctionnalités
Module HVAC - fonctionnalités Modèle de radiation : DO = Discrete Ordinates On peut considérer l échauffement de solides semi transparents causé par le rayonnement absorbé par le solide. On peut également
Plus en détailUniversité Bordeaux 1 MIS 103 OPTIQUE GÉOMÉTRIQUE
Université Bordeaux 1 MIS 103 OPTIQUE GÉOMÉTRIQUE Année 2006 2007 Table des matières 1 Les grands principes de l optique géométrique 1 1 Principe de Fermat............................... 1 2 Rayons lumineux.
Plus en détailPHYSIQUE-CHIMIE. Partie I - Spectrophotomètre à réseau
PHYSIQUE-CHIMIE L absorption des radiations lumineuses par la matière dans le domaine s étendant du proche ultraviolet au très proche infrarouge a beaucoup d applications en analyse chimique quantitative
Plus en détailEXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points)
BAC S 2011 LIBAN http://labolycee.org EXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points) Les parties A et B sont indépendantes. A : Étude du fonctionnement d un spectrophotomètre
Plus en détailChapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :
Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur
Plus en détailTD1 PROPAGATION DANS UN MILIEU PRESENTANT UN GRADIENT D'INDICE
TD1 PROPAGATION DANS UN MILIEU PRESENTANT UN GRADIENT D'INDICE Exercice en classe EXERCICE 1 : La fibre à gradient d indice On considère la propagation d une onde électromagnétique dans un milieu diélectrique
Plus en détailSujet. calculatrice: autorisée durée: 4 heures
DS SCIENCES PHYSIQUES MATHSPÉ calculatrice: autorisée durée: 4 heures Sujet Spectrophotomètre à réseau...2 I.Loi de Beer et Lambert... 2 II.Diffraction par une, puis par deux fentes rectangulaires... 3
Plus en détailSujet. calculatrice: autorisée durée: 4 heures
DS SCIENCES PHYSIQUES MATHSPÉ calculatrice: autorisée durée: 4 heures Sujet Approche d'un projecteur de diapositives...2 I.Questions préliminaires...2 A.Lentille divergente...2 B.Lentille convergente et
Plus en détailManuel d'utilisation de la maquette
Manuel d'utilisation de la maquette PANNEAU SOLAIRE AUTO-PILOTE Enseignement au lycée Article Code Panneau solaire auto-piloté 14740 Document non contractuel L'énergie solaire L'énergie solaire est l'énergie
Plus en détailPolissage des Miroirs d Advanced Virgo : un nouveau défi. Les solutions envisagées
Polissage des Miroirs d Advanced Virgo : un nouveau défi Les solutions envisagées Laurent PINARD Responsable Technique Laboratoire des Matériaux Avancés - Lyon 1 Plan de l exposé Introduction Virgo, les
Plus en détailDIFFRACTion des ondes
DIFFRACTion des ondes I DIFFRACTION DES ONDES PAR LA CUVE À ONDES Lorsqu'une onde plane traverse un trou, elle se transforme en onde circulaire. On dit que l'onde plane est diffractée par le trou. Ce phénomène
Plus en détailChapitre 2 : Systèmes radio mobiles et concepts cellulaires
Chapitre 2 : Systèmes radio mobiles et concepts cellulaires Systèmes cellulaires Réseaux cellulaires analogiques de 1ère génération : AMPS (USA), NMT(Scandinavie), TACS (RU)... Réseaux numériques de 2ème
Plus en détailPHYSIQUE 2 - Épreuve écrite
PHYSIQUE - Épreuve écrite WARIN André I. Remarques générales Le sujet de physique de la session 010 comprenait une partie A sur l optique et une partie B sur l électromagnétisme. - La partie A, à caractère
Plus en détailMesure de la dépense énergétique
Mesure de la dépense énergétique Bioénergétique L énergie existe sous différentes formes : calorifique, mécanique, électrique, chimique, rayonnante, nucléaire. La bioénergétique est la branche de la biologie
Plus en détailSystème de sécurité de périmètre INTREPID
TM Système de sécurité de périmètre INTREPID La nouvelle génération de systèmes de sécurité de périmètre MicroPoint Cable combine la technologie brevetée de Southwest Microwave, la puissance d un micro
Plus en détailJean-Marc Schaffner Ateliers SCHAFFNER. Laure Delaporte ConstruirAcier. Jérémy Trouart Union des Métalliers
Jean-Marc Schaffner Ateliers SCHAFFNER Laure Delaporte ConstruirAcier Jérémy Trouart Union des Métalliers Jean-Marc SCHAFFNER des Ateliers SCHAFFNER chef de file du GT4 Jérémy TROUART de l Union des Métalliers
Plus en détailPRODUIRE DES SIGNAUX 1 : LES ONDES ELECTROMAGNETIQUES, SUPPORT DE CHOIX POUR TRANSMETTRE DES INFORMATIONS
PRODUIRE DES SIGNAUX 1 : LES ONDES ELECTROMAGNETIQUES, SUPPORT DE CHOIX POUR TRANSMETTRE DES INFORMATIONS Matériel : Un GBF Un haut-parleur Un microphone avec adaptateur fiche banane Une DEL Une résistance
Plus en détailStockage de chaleur solaire par sorption : Analyse et contrôle du système à partir de sa simulation dynamique
Stockage de chaleur solaire par sorption : Analyse et contrôle du système à partir de sa simulation dynamique Kokouvi Edem N TSOUKPOE 1, Nolwenn LE PIERRÈS 1*, Lingai LUO 1 1 LOCIE, CNRS FRE3220-Université
Plus en détailPerformances énergétiques de capteurs solaires hybrides PV-T pour la production d eau chaude sanitaire.
Performances énergétiques de capteurs solaires hybrides PV-T pour la production d eau chaude sanitaire. Patrick DUPEYRAT 1,2*, Yu BAI 3,4, Gérald KWIATKOWSKI 5, Gilles FRAISSE 3 Christophe MENEZO 2,3 et
Plus en détail2.0 MegaWattBlock pour parcs solaires
The better electric. 391 MWc puissance photovoltaïque construite par BELECTRIC 2011. BELECTRIC est le leader mondial de l étude, la fourniture et la réalisation (EPC) de systèmes photovoltaïques selon
Plus en détailSur le grossissement des divers appareils pour la mesure des angles par la réflexion d un faisceau lumineux sur un miroir mobile
Sur le grossissement des divers appareils pour la mesure des angles par la réflexion d un faisceau lumineux sur un miroir mobile W. Lermantoff To cite this version: W. Lermantoff. Sur le grossissement
Plus en détailQ6 : Comment calcule t-on l intensité sonore à partir du niveau d intensité?
EXERCICE 1 : QUESTION DE COURS Q1 : Qu est ce qu une onde progressive? Q2 : Qu est ce qu une onde mécanique? Q3 : Qu elle est la condition pour qu une onde soit diffractée? Q4 : Quelles sont les différentes
Plus en détailDÉVERSEMENT ÉLASTIQUE D UNE POUTRE À SECTION BI-SYMÉTRIQUE SOUMISE À DES MOMENTS D EXTRÉMITÉ ET UNE CHARGE RÉPARTIE OU CONCENTRÉE
Revue Construction étallique Référence DÉVERSEENT ÉLASTIQUE D UNE POUTRE À SECTION BI-SYÉTRIQUE SOUISE À DES OENTS D EXTRÉITÉ ET UNE CHARGE RÉPARTIE OU CONCENTRÉE par Y. GALÉA 1 1. INTRODUCTION Que ce
Plus en détailEmmanuel.rousseau@institutoptique.fr
E. Rousseau, J-J Greffet Institut d optique Graduate School S. Volz LIMMS, UMI CNRS University of Tokyo, EM2C A. Siria, J. Chevrier Institut Néel-CNRS Grenoble F. Comin ESRF Grenoble Emmanuel.rousseau@institutoptique.fr
Plus en détailCAP CAMION A ASSISTANCE PNEUMATIQUE
Séminaire mi parcours Stock-e 2010 CAP CAMION A ASSISTANCE PNEUMATIQUE Iyad Balloul Renault Trucks - iyad.balloul@volvo.com Eric Bideaux INSA Lyon - eric.bideaux@insa-lyon.fr Marc Michard LMFA - Marc.Michard@ec-lyon.fr
Plus en détailRDP : Voir ou conduire
1S Thème : Observer RDP : Voir ou conduire DESCRIPTIF DE SUJET DESTINE AU PROFESSEUR Objectif Compétences exigibles du B.O. Initier les élèves de première S à la démarche de résolution de problème telle
Plus en détailAtelier : L énergie nucléaire en Astrophysique
Atelier : L énergie nucléaire en Astrophysique Elisabeth Vangioni Institut d Astrophysique de Paris Fleurance, 8 Août 2005 Une calculatrice, une règle et du papier quadrillé sont nécessaires au bon fonctionnement
Plus en détailÉPREUVE COMMUNE DE TIPE 2008 - Partie D. TITRE : Comment s affranchir de la limite de la diffraction en microscopie optique?
ÉPREUVE COMMUNE DE TIPE 2008 - Partie D TITRE : Comment s affranchir de la limite de la diffraction en microscopie optique? Temps de préparation :...2 h 15 minutes Temps de présentation devant le jury
Plus en détailModélisation 3D par le modèle de turbulence k-ε standard de la position de la tête sur la force de résistance rencontrée par les nageurs.
Modélisation 3D par le modèle de turbulence k-ε standard de la position de la tête sur la force de résistance rencontrée par les nageurs. H. ZAÏDI a, S. FOHANNO a, R. TAÏAR b, G. POLIDORI a a Laboratoire
Plus en détailUn spectromètre à fibre plus précis, plus résistant, plus pratique Concept et logiciel innovants
& INNOVATION 2014 NO DRIVER! Logiciel embarqué Un spectromètre à fibre plus précis, plus résistant, plus pratique Concept et logiciel innovants contact@ovio-optics.com www.ovio-optics.com Spectromètre
Plus en détailETUDE DES PERFORMANCES D UN SYSTEME EOLIEN. APPLICATION POUR DES SITES ALGERIENS
èmes Journées Internationales de Thermique ETUDE DES PERFORMANES D UN SYSTEME EOLIEN. APPLIATION POUR DES SITES ALGERIENS Rachid MAOUEDJ*, Souad BOUSALEM** et Boumedien BENYOUEF ** * Unité de Recherche
Plus en détailChapitre 0 Introduction à la cinématique
Chapitre 0 Introduction à la cinématique Plan Vitesse, accélération Coordonnées polaires Exercices corrigés Vitesse, Accélération La cinématique est l étude du mouvement Elle suppose donc l existence à
Plus en détailChapitre 22 : (Cours) Numérisation, transmission, et stockage de l information
Chapitre 22 : (Cours) Numérisation, transmission, et stockage de l information I. Nature du signal I.1. Définition Un signal est la représentation physique d une information (température, pression, absorbance,
Plus en détailNotions de base sur l énergie solaire photovoltaïque
I- Présentation Notions de base sur l énergie solaire photovoltaïque L énergie solaire photovoltaïque est une forme d énergie renouvelable. Elle permet de produire de l électricité par transformation d
Plus en détailApplication à l astrophysique ACTIVITE
Application à l astrophysique Seconde ACTIVITE I ) But : Le but de l activité est de donner quelques exemples d'utilisations pratiques de l analyse spectrale permettant de connaître un peu mieux les étoiles.
Plus en détailApports thermiques avec collecteurs solaires pour de l eau chaude sanitaire dans la Maison de retraite Korian Pontlieue
Projet de recherche EPA-F4 éhabilitations des Etablissements pour Personnes Agées et Facteur 4 Apports thermiques avec collecteurs solaires pour de l eau chaude sanitaire dans la Maison de retraite Korian
Plus en détailLes moyens d observations en astronomie & astrophysique
Les moyens d observations en astronomie & astrophysique Unité d Enseignement Libre Université de Nice- Sophia Antipolis F. Millour PAGE WEB DU COURS : www.oca.eu/fmillour cf le cours de Pierre Léna : «L
Plus en détailChapitre 1 Cinématique du point matériel
Chapitre 1 Cinématique du point matériel 7 1.1. Introduction 1.1.1. Domaine d étude Le programme de mécanique de math sup se limite à l étude de la mécanique classique. Sont exclus : la relativité et la
Plus en détailQUELLE FIBRE UTILISER EN FONCTION DE MES APPLICATIONS. OM1, OM2 ou OM3, QUELLE EST LA FIBRE QU IL ME FAUT POUR MON INSTALLATION?
QUELLE FIBRE UTILISER EN FONCTION DE MES APPLICATIONS LE MATCH µm VS 62,5 µm Dans les années 70, les premières fibres optiques de télécommunications avaient un coeur de µm : ces dernières ont été remplacées
Plus en détailInteractions des rayonnements avec la matière
UE3-1 : Biophysique Chapitre 2 : Interactions des rayonnements avec la matière Professeur Jean-Philippe VUILLEZ Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.
Plus en détailCours IV Mise en orbite
Introduction au vol spatial Cours IV Mise en orbite If you don t know where you re going, you ll probably end up somewhere else. Yogi Berra, NY Yankees catcher v1.2.8 by-sa Olivier Cleynen Introduction
Plus en détailQUELQUES ACTIVITES RELATIVES A LA PARTIE A Propagation d une onde ; onde progressive. Comment installer le format de compression divx?
Lycée Bi h t QUELQUES ACTIVITES RELATIVES A LA PARTIE A Propagation d une onde ; onde progressive Il semble nécessaire d utiliser des fichiers images, de grande taille généralement, aussi, nous proposons
Plus en détailSUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION)
Terminale S CHIMIE TP n 2b (correction) 1 SUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION) Objectifs : Déterminer l évolution de la vitesse de réaction par une méthode physique. Relier l absorbance
Plus en détailLa spectrophotométrie
Chapitre 2 Document de cours La spectrophotométrie 1 Comment interpréter la couleur d une solution? 1.1 Décomposition de la lumière blanche En 1666, Isaac Newton réalise une expérience cruciale sur la
Plus en détailSpectrophotomètre double faisceau modèle 6800
Spectrophotomètre double faisceau modèle 6800 Spectrophotomètre double faisceau modèle 6800 Double faisceau avec optiques parfaitement stables. Bande passante 1,5 nm. Logiciel de navigation Jenway Flight
Plus en détailContribution à la conception par la simulation en électronique de puissance : application à l onduleur basse tension
Contribution à la conception par la simulation en électronique de puissance : application à l onduleur basse tension Cyril BUTTAY CEGELY VALEO 30 novembre 2004 Cyril BUTTAY Contribution à la conception
Plus en détailEkoconstruct / Catalogue 2014. ek construct
Ekoconstruct / Catalogue 2014 ek construct 1 Nos engagements Nos engagements Une entreprise familiale avec un savoir faire Une société tournée vers le développement durable Une construction rapide et personnalisée
Plus en détailÉclairage naturel L5C 2009/2010. Aurore BONNET
Éclairage naturel L5C 2009/2010 Aurore BONNET Introduction : Les 2 aspects de l éclairage naturel : Introduction : Les 2 aspects de l éclairage naturel : l ensoleillement et l éclairage diffus L ENSOLEILLEMENT
Plus en détailMESURE ET PRECISION. Il est clair que si le voltmètre mesure bien la tension U aux bornes de R, l ampèremètre, lui, mesure. R mes. mes. .
MESURE ET PRECISIO La détermination de la valeur d une grandeur G à partir des mesures expérimentales de grandeurs a et b dont elle dépend n a vraiment de sens que si elle est accompagnée de la précision
Plus en détailInfluence de la géométrie du conducteur sur la température dans un poste sous enveloppe métallique
SYMPOSIUM DE GENIE ELECTRIQUE (SGE 14) : EF-EPF-MGE 2014, 8-10 JUILLET 2014, ENS CACHAN, FRANCE Influence de la géométrie du conducteur sur la dans un poste sous enveloppe métallique Nesrine REBZANI 1,2,3,
Plus en détailSDLV120 - Absorption d'une onde de compression dans un barreau élastique
Titre : SDLV120 - Absorption d'une onde de compression dan[...] Date : 09/11/2011 Page : 1/9 SDLV120 - Absorption d'une onde de compression dans un barreau élastique Résumé On teste les éléments paraxiaux
Plus en détailSéquence 9. Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière
Séquence 9 Consignes de travail Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière Travaillez les cours d application de physique. Travaillez les exercices
Plus en détailLes bases de l optique
Vision to Educate Les 10 pages essentielles Edition 2014 Introduction Edito Si résumer le métier d opticien dans un livret de 12 pages n est pas possible, nous avons essayé dans ce document d apporter
Plus en détailChamp électromagnétique?
Qu est-ce qu un Champ électromagnétique? Alain Azoulay Consultant, www.radiocem.com 3 décembre 2013. 1 Définition trouvée à l article 2 de la Directive «champs électromagnétiques» : des champs électriques
Plus en détailL analyse d images regroupe plusieurs disciplines que l on classe en deux catégories :
La vision nous permet de percevoir et d interpreter le monde qui nous entoure. La vision artificielle a pour but de reproduire certaines fonctionnalités de la vision humaine au travers de l analyse d images.
Plus en détailMesures de PAR. Densité de flux de photons utiles pour la photosynthèse
Densité de flux de photons utiles pour la photosynthèse Le rayonnement lumineux joue un rôle critique dans le processus biologique et chimique de la vie sur terre. Il intervient notamment dans sur les
Plus en détailpka D UN INDICATEUR COLORE
TP SPETROPHOTOMETRIE Lycée F.BUISSON PTSI pka D UN INDIATEUR OLORE ) Principes de la spectrophotométrie La spectrophotométrie est une technique d analyse qualitative et quantitative, de substances absorbant
Plus en détailI - Quelques propriétés des étoiles à neutrons
Formation Interuniversitaire de Physique Option de L3 Ecole Normale Supérieure de Paris Astrophysique Patrick Hennebelle François Levrier Sixième TD 14 avril 2015 Les étoiles dont la masse initiale est
Plus en détailRapport de stage. Première année de master Calcul Scientifique et Mathématiques de l information UFR Mathématiques et Informatique (STRASBOURG)
Rapport de stage Première année de master Calcul Scientifique et Mathématiques de l information UFR Mathématiques et Informatique (STRASBOURG) Étude de la température autour d une diode laser Approche
Plus en détailEtude expérimentale d un cuiseur solaire de type boîte à trois réflecteurs plans et une surface d ouverture inclinée
Revue des Energies Renouvelables Vol. 10 N 1 (2007) 31 38 Etude expérimentale d un cuiseur solaire de type boîte à trois réflecteurs plans et une surface d ouverture inclinée A. Harmim *, M. Boukar et
Plus en détailPHYSIQUE Discipline fondamentale
Examen suisse de maturité Directives 2003-2006 DS.11 Physique DF PHYSIQUE Discipline fondamentale Par l'étude de la physique en discipline fondamentale, le candidat comprend des phénomènes naturels et
Plus en détail1 Problème 1 : L avion solaire autonome (durée 1h)
Problèmes IPhO 2012 1 NOM : PRENOM : LYCEE : 1 Problème 1 : L avion solaire autonome (durée 1h) Nous souhaitons dans ce problème aborder quelques aspects de la conception d un avion solaire autonome. Les
Plus en détail(aq) sont colorées et donnent à la solution cette teinte violette, assimilable au magenta.»
Chapitre 5 / TP 1 : Contrôle qualité de l'eau de Dakin par dosage par étalonnage à l'aide d'un spectrophotomètre Objectif : Vous devez vérifier la concentration massique d'un désinfectant, l'eau de Dakin.
Plus en détailMonitoring continu et gestion optimale des performances énergétiques des bâtiments
Monitoring continu et gestion optimale des performances énergétiques des bâtiments Alexandre Nassiopoulos et al. Journée d inauguration de Sense-City, 23/03/2015 Croissance de la demande énergétique et
Plus en détailEtude Expérimentale d un Echangeur Thermique en Polypropylène Application au Conditionnement des Aquariums
Rev. Energ. Ren. : Journées de Thermique (2001) 103-108 Etude Expérimentale d un Echangeur Thermique en Polypropylène Application au Conditionnement des Aquariums M. Hazami, C. Kerkeni, A. Farhat, S. Kooli,
Plus en détailÉPREUVE COMMUNE DE TIPE - PARTIE D. Mesures sur les fibres optiques
ÉPREUVE COMMUNE DE TIPE - PARTIE D TITRE : Mesures sur les fibres optiques 0 Temps de préparation :... h 5 minutes Temps de présentation devant le jury :.0 minutes Entretien avec le jury :..0 minutes GUIDE
Plus en détaildocument proposé sur le site «Sciences Physiques en BTS» : http://nicole.cortial.net BTS AVA 2015
BT V 2015 (envoyé par Frédéric COTTI - Professeur d Electrotechnique au Lycée Régional La Floride Marseille) Document 1 - Etiquette énergie Partie 1 : Voiture à faible consommation - Une étiquette pour
Plus en détailQuelleestlavaleurdel intensitéiaupointm?
Optique Ondulatoire Plan du cours [1] Aspect ondulatoire de la lumière [2] Interférences à deux ondes [3] Division du front d onde [4] Division d amplitude [5] Diffraction [6] Polarisation [7] Interférences
Plus en détail$SSOLFDWLRQGXNULJHDJHSRXUOD FDOLEUDWLRQPRWHXU
$SSOLFDWLRQGXNULJHDJHSRXUOD FDOLEUDWLRQPRWHXU Fabien FIGUERES fabien.figueres@mpsa.com 0RWVFOpV : Krigeage, plans d expériences space-filling, points de validations, calibration moteur. 5pVXPp Dans le
Plus en détailSIMULATION HYBRIDE EN TEMPOREL D UNE CHAMBRE REVERBERANTE
SIMULATION HYBRIDE EN TEMPOREL D UNE CHAMBRE REVERBERANTE Sébastien LALLECHERE - Pierre BONNET - Fatou DIOUF - Françoise PALADIAN LASMEA / UMR6602, 24 avenue des landais, 63177 Aubière pierre.bonnet@lasmea.univ-bpclermont.fr
Plus en détailMonitoring et suivi du comportement des chaussées
Monitoring et suivi du comportement des chaussées Pierre Hornych Juliette Blanc IFSTTAR - LAMES 1/xx MONITORING ET SUIVI DU COMPORTEMENT DES CHAUSSÉES DÉVELOPPEMENTS RÉCENTS ET PERSPECTIVES Introduction
Plus en détailTP 3 diffusion à travers une membrane
TP 3 diffusion à travers une membrane CONSIGNES DE SÉCURITÉ Ce TP nécessite la manipulation de liquides pouvant tacher les vêtements. Le port de la blouse est fortement conseillé. Les essuie tout en papier
Plus en détailEfficacité énergétique des logements à haute performance énergétique, HPE : Application au site de Béchar
Revue des Energies Renouvelables Vol. 15 N 2 (2012) 357-364 Efficacité énergétique des logements à haute performance énergétique, HPE : Application au site de Béchar S. Sami-Mécheri 1*, D. Semmar 2 et
Plus en détailCollimateur universel de réglage laser
Collimateur universel de réglage laser Manuel de l utilisateur Réf. WG-840 Mise à jour 27.08.2013 En projetant un rayon laser dans l axe du canon de votre arme à feu, ce collimateur universel de réglage
Plus en détailChapitre 7. Circuits Magnétiques et Inductance. 7.1 Introduction. 7.1.1 Production d un champ magnétique
Chapitre 7 Circuits Magnétiques et Inductance 7.1 Introduction 7.1.1 Production d un champ magnétique Si on considère un conducteur cylindrique droit dans lequel circule un courant I (figure 7.1). Ce courant
Plus en détailKIT SOLAIRE EVOLUTIF DE BASE
PARALLELE ENERGIE KIT SOLAIRE EVOLUTIF DE BASE Ce kit solaire est un système solaire facile à utiliser. Il s agit d un «générateur solaire» qui convertit la lumière du soleil en électricité, et qui peut
Plus en détailUMG 20CM. UMG 20CM Appareil de surveillance des circuits de distribution avec 20 entrées et RCM. Analyse d harmoniques RCM. Gestion d alarmes.
RCM Analyse d harmoniques Gestion d alarmes 02 Logiciel d analyse GridVis 20 entrées courant UMG 20CM Appareil de surveillance des circuits de distribution avec 20 entrées et RCM Interface / Communikation
Plus en détailCarte des Vents de l Algérie - Résultats Préliminaires -
Rev. Energ. Ren. : Valorisation (1999) 209-214 Carte des Vents de l Algérie - Résultats Préliminaires - Laboratoire dévaluation du Potentiel Energétique, Centre de Développement des Energies Renouvelables
Plus en détailEquation LIDAR : exp 2 Equation RADAR :
Contexte scientifique Systèmes LIDAR/RADAR Equation LIDAR : exp Equation RADAR : p (r) : puissance rétrodiffusée r : altitude ou profondeur. C : constante instrumentale. β : coefficient de rétrodiffusion
Plus en détailÉNERGIE : DÉFINITIONS ET PRINCIPES
DÉFINITION DE L ÉNERGIE FORMES D ÉNERGIE LES GRANDS PRINCIPES DE L ÉNERGIE DÉCLINAISONS DE L ÉNERGIE RENDEMENT ET EFFICACITÉ DÉFINITION DE L ÉNERGIE L énergie (du grec : force en action) est ce qui permet
Plus en détailComment mettre les mirages en boite?
Comment mettre les mirages en boite? 2009 2010 Une idée tordue BRASSEUR Paul DELAYE Cécile QUERTINMONT Joelle Lycée Hoche, Versailles http://apelh.free.fr Résumé Nous nous sommes intéressés au phénomène
Plus en détailSynthèse d'images I. Venceslas BIRI IGM Université de Marne La
Synthèse d'images I Venceslas BIRI IGM Université de Marne La La synthèse d'images II. Rendu & Affichage 1. Introduction Venceslas BIRI IGM Université de Marne La Introduction Objectif Réaliser une image
Plus en détailCalcul des pertes de pression et dimensionnement des conduits de ventilation
Calcul des pertes de pression et dimensionnement des conduits de ventilation Applications résidentielles Christophe Delmotte, ir Laboratoire Qualité de l Air et Ventilation CSTC - Centre Scientifique et
Plus en détailObjectifs pédagogiques : spectrophotomètre Décrire les procédures d entretien d un spectrophotomètre Savoir changer l ampoule d un
CHAPITRE 6 : LE SPECTROPHOTOMETRE Objectifs pédagogiques : Citer les principaux éléments d un dun spectrophotomètre Décrire les procédures d entretien d un spectrophotomètre p Savoir changer l ampoule
Plus en détailPrécision d un résultat et calculs d incertitudes
Précision d un résultat et calculs d incertitudes PSI* 2012-2013 Lycée Chaptal 3 Table des matières Table des matières 1. Présentation d un résultat numérique................................ 4 1.1 Notations.........................................................
Plus en détailLe four solaire modèle BISS
Réchou Léopold 1 ère S-SVT Touchard Léo Tanghe Maxime Le four solaire modèle BISS Comment tout est mis en œuvre dans un four solaire pour atteindre une température optimale? Lycée Jacques de Vaucanson
Plus en détailDURÉE DU JOUR EN FONCTION DE LA DATE ET DE LA LATITUDE
DURÉE DU JUR E FCTI DE LA DATE ET DE LA LATITUDE ous allons nous intéresser à la durée du jour, prise ici dans le sens de période d éclairement par le Soleil dans une journée de 4 h, en un lieu donné de
Plus en détailALARME DOMESTIQUE FILAIRE
ALARME DOMESTIQUE FILAIRE DOSSIER RESSOURCES Académie de LYON BAC Pro Électrotechnique, Énergie, Équipements Communicants Page 1 sur 15 SOMMAIRE Introduction... page 3/15 Le sous-système : maquette alarme
Plus en détail1,2,3 SOLEIL EN AVANT PREMIERE
CONFERENCE DERBI 1,2,3 SOLEIL EN AVANT PREMIERE 1er SYSTEME SOLAIRE COMBINE La climatisation Le chauffage L eau chaude sanitaire HISTORIQUE Fin 2003 : Lancement du projet Début 2005 : 1er prototype opérationnel
Plus en détailÉtude d un système solaire thermique : Effet de l orientation des panneaux solaires
Étude d un système solaire thermique : Effet de l orientation des panneaux solaires Saoussen Khalfallaoui, Dominique Seguin, Moulay Ahmed Adelghani-Idrissi LSPC Université de Rouen IUT 8 Rue Lavoisier
Plus en détailProblèmes sur le chapitre 5
Problèmes sur le chapitre 5 (Version du 13 janvier 2015 (10h38)) 501 Le calcul des réactions d appui dans les problèmes schématisés ci-dessous est-il possible par les équations de la statique Si oui, écrire
Plus en détail