Mouzaoui Sabrina Année universitaire
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- Nicole François
- il y a 8 ans
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1 Rapport de Stage Stage d observation en I.M.E Mouzaoui Sabrina Année universitaire Sous la direction de Mme Stéphanie Caillies, Maître de conférences Sous la tutelle de Mme Danielle Delmas, psychologue
2 Sommaire 1. Présentation du lieu de stage Projet de stage Bilan de stage Ce qui a pu être réalisé Ce qui n a pas pu être réalisé et pourquoi? Aspects professionnels non appréhendés pendant le stage Réflexions personnelles Conclusion ANNEXES
3 1. Présentation du lieu de stage J ai réalisé mon stage à l Institut Médico-Educatif (I.M.E) «Les Sapins» à Rocroi, dans les Ardennes, sous le tutorat de la psychologue Danielle Delmas. Ce stage s est fait sur une durée de 25 demi-journées s étalant sur 7 semaines. L établissement accueille environ 75 enfants, adolescents et jeunes adultes de 6 à 20 ans sur décision de la Commission Départementale de l Education Spéciale (C. D. E. S.), et entre régulièrement en collaboration avec le SESSAD (Service d Education Spécialisée et de Soins à Domicile) et l I.M.Pro qui se situent dans la même enceinte. L I.M.E «Les Sapins» possède une situation privilégiée au cœur de la nature, en lisière de la forêt ardennaise. 1 Les équipes enseignantes, éducatives, médicales et paramédicales œuvrent en collaboration avec les parents au bien-être et à l épanouissement de tous ceux qui fréquentent l établissement. Cet I.M.E s axe sur un maximum d aspects de prise en charge afin de répondre de façon adaptée aux besoins de chacun. Concernant «l éducatif», il va permettre à l enfant la mise en valeur de ses potentialités, dans l établissement mais aussi dans son cadre familial, social et plus tard professionnel. Au carrefour des prises en charge plus spécialisées, «l éducatif» se doit de suivre le développement global de chacun en l harmonisant et l adaptant aux besoins, aux souhaits, aux capacités et aux exigences de la personne et de son environnement. L ouverture sur l extérieur, sous toutes ses formes, est un souci et une des priorités de cet établissement. La participation aux différentes manifestations culturelles, économiques ou de loisirs, l implication dans la vie et l animation des villages permettent aux uns et aux autres de garder en permanence le contact avec la réalité. C est à leur rythme qu enfants, adolescents et jeunes adultes se préparent avec le soutien et l accompagnement de l Equipe éducative à progresser vers un maximum d autonomie et de responsabilité. Les différents séjours amènent le jeune à se situer dans un contexte différent et favorisent la découverte de régions, de personnes et d activités nouvelles. L éloignement du milieu familial pendant 10 ou 15 jours permet à chacun de trouver des repères nouveaux et de préparer de façon progressive et suivie le départ du foyer familial, une fois adulte. Concernant «le scolaire», chaque jeune bénéficie d une prise en charge en fonction de ses besoins, lesquels sont définis par un bilan complet de ses compétences, aptitudes et potentialités, dès son arrivée. A partir de son constat, il s établit un projet pédagogique 1 Annexe N 1 2
4 individualisé en complémentarité avec les autres prises en charge. L amplitude et la variété des objectifs proposés s étalent de la maternelle jusqu à des activités préparatoires à l insertion professionnelle. Les pédagogues spécialisés de l établissement, en proposant des situations concrètes et variées, s efforcent de pratiquer une pédagogie valorisante pour remettre l élève dans une dynamique de réussite. La mise en œuvre de cette pédagogie nécessite de la part de tous, une grande souplesse : emploi du temps adapté (durée), interactivités entre les groupes, travail en petits groupes. Les supports de travail sont variés et tiennent compte du vécu de l enfant, de ses demandes et de ses besoins. Les deux axes primordiaux restent l acquisition de la lecture et de l écriture et l usage des mathématiques au service de la vie quotidienne sans toutefois négliger l éveil culturel et artistique (découverte du monde, arts plastiques, musique, ). Quant aux soins, ils sont prodigués en complémentarité de l action scolaire et éducative. Le projet des soins s inscrit tout naturellement dans la prise en charge institutionnelle et fait partie intégrante du projet individuel de l enfant. Tous les enfants orientés en I. M. E. ou en I. M. Pro le sont du fait de l existence d une souffrance dont l intensité et l expression peuvent être variables et variées. Ceci justifie une prise en charge spécifique pour chacun. Celle-ci est élaborée puis construite autour du projet individuel de soins. Elle travaille en coordination avec les différents intervenants du soin extérieur à l établissement (dentiste, orthoptiste, ophtalmologiste, ). De nombreux intervenants entrent en jeu dans la prise en charge et chacun a un rôle bien précis. Le médecin psychiatre est responsable de l équipe de soins. Il articule le projet institutionnel et est le garant du projet thérapeutique individuel. Il assure des entretiens thérapeutiques auprès des enfants et reçoit les familles. Le médecin généraliste effectue les bilans de médecine scolaire et supervise les soins organiques durant l année. L infirmière participe à la mise en place du dossier et du suivi médical de chaque enfant, elle est en relation avec les médecins de l établissement et avec la famille. Les psychologues vont permettre à l enfant d exprimer ses difficultés et de redonner un sens à son histoire. La psychomotricienne, grâce à des techniques axées sur le corps, va essayer d agir sur les fonctions mentales, comportementales et psychiques perturbées du jeune, en tenant compte, constamment de la dimension relationnelle. L orthophoniste intervient lorsque l enfant présente des troubles du langage oral et écrit et va tenter de lui faire découvrir le plaisir de la communication. L art-thérapeute, à travers l atelier, créé un lieu, un espace et un temps où chacun, par le biais de différentes techniques (peinture, poterie, musique ) peut s exprimer librement et retrouver une image de soi revalorisée et valorisante. 3
5 Tableau 1 : Personnel de l I.M.E «Les Sapins» Equipes Intervenants Direction Un directeur d établissement Un médecin psychiatre Un médecin généraliste Equipes médicale, paramédicale Une infirmière et rééducation Deux psychologues Un orthophoniste Une psychomotricienne Equipe enseignante Cinq enseignants de l Education Nationale Un éducateur chef Sept éducateurs Un éducateur sportif Equipe éducative et technique Quatre éducateurs techniques Une conseillère en économie sociale et familiale Un documentaliste informatique Une secrétaire générale Secrétariat Une secrétaire pédagogique Une assistante de convivialité Comptabilité Deux comptables Un chef de cuisine Restauration Trois agents Services Quatre employées de collectivité Un responsable du service Service technique Trois agents 2. Projet de stage Mon projet de stage est né de prime abord, par mon envie de travailler auprès d enfants. De plus, j ai choisi un I.M.E afin de découvrir le quotidien d un psychologue confronté quotidiennement au monde du handicap mental et afin de pouvoir également côtoyer des adolescents. J avais également pour ambition de découvrir dans quelle mesure la 4
6 collaboration pluridisciplinaire peut avoir un impact bénéfique sur la prise en charge de chaque enfant, chaque adolescent et chaque jeune adulte qui fréquente l établissement. Je souhaitais pouvoir avoir accès à cette population présentant un handicap mental afin de tester mes limites, de tester mes capacités d adaptation, de tester ma capacité à passer outre le handicap de l autre, de tester ma capacité à contenir mes émotions face à la souffrance d autrui, de tester mon objectivité ainsi que mon sens de l observation et de l analyse. J ai choisi un Institut Médico-Educatif pour pouvoir découvrir le fonctionnement de ce type d établissement et de voir quelle est la place du psychologue dans tout ce fonctionnement : quel rôle joue-t-il dans la prise en charge, quelles sont les relations instaurées avec la famille et avec les enfants, les adolescents ou les jeunes adultes et comment sont-elles instaurées. Un de mes objectifs principal était de pouvoir mener un entretien et d en tirer mes propres conclusions sur la base de mes connaissances actuelles en psychologie. Je souhaitais également pouvoir assister à un entretien mené par la psychologue qui m encadrait, d abord avec un enfant et/ou un adolescent mais également un entretien avec une famille. Je désirais également pouvoir acquérir de nouvelles connaissances et acquérir une certaine expérience du métier et des obligations qui se cachent derrière le titre de psychologue en institut spécialisé. Un autre de mes objectifs consistait à pouvoir suivre un dossier qui impliquait des décisions de justice (audiences, témoignages de psychologues, ). Mon but ultime était de découvrir si la profession de psychologue exerçant en institut spécialisé me conviendrait en tant que future profession. 3. Bilan de stage 3.1. Ce qui a pu être réalisé Lors de mon stage, j ai pu remplir la majorité de mes objectifs et j ai également acquis de nouvelles connaissances sur le métier de psychologue, et plus particulièrement sur le métier de psychologue en I.M.E. Tout d abord, mon objectif d être confronté à une population d enfants mais également d adolescents présentant un handicap mental a été rempli. En effet, j ai notamment passé toute une après-midi avec cinq enfants de 6 à 8 ans présentant une déficience intellectuelle sévère se répercutant sur leur langage, qui est parfois difficilement descriptible. Cependant, la confrontation à cette difficulté d articulation m a permis d acquérir une certaine expérience de «décodage». J ai également fait une ballade d une heure avec la psychologue Danielle Delmas en charge de trois enfants hyperactifs de 9 et 10 ans. Cette promenade fut difficile car j ai eu beaucoup de difficulté à adapter mon 5
7 comportement face à ces trois enfants qui avaient quelques comportements agressifs envers moi. Par exemple, un des trois garçons faisait mine de vouloir me jeter des cailloux ou levait la main sur moi Bien qu il n ait pas donné suite à ces gestes, je me suis senti mal à l aise face à ces enfants. Concernant les adolescents, j ai eu de nombreuses occasions de les côtoyer lors de réunions de groupe dont l intitulé est «Vie affective et sexuelle dans le handicap». Lors de ces séances, la psychologue (Danielle Delmas), l infirmière (Lysiane Kebir) et une conseillère ESF (conseillère en Economie Sociale et Familiale) tentaient de faire passer à ces adolescents, un maximum d informations concernant la vie sexuelle et affective : «peut-on se mettre nu devant les autres?» ; «Pourquoi on n a pas le droit de faire ça?» ; «Comment sont faits les filles et les garçons?» ; «A quoi ça sert un zizi?» ; etc. 2 Il convient de préciser que les termes utilisés par les professionnels étaient accessibles à ces échantillons d adolescents de 17 à 20 ans souffrant de handicap mental sévère. Ces échantillons étaient composés notamment de trisomiques et de déficients intellectuels présentant une certaine diversité dans les troubles présentés. Ces réunions m ont appris comment il convenait de s adresser à un adolescent handicapé mental, quels sont les mots ou les termes qui sont les plus adaptés pour s adresser à cette population De plus, cela m a permis de faire l expérience du groupe, de la discussion de groupe, des échanges, etc. J ai également pu observer la façon dont les professionnels interagissaient entre eux lors de ces réunions et quel était leur rôle respectif. Concernant mon objectif de découvrir dans quelle mesure la collaboration pluridisciplinaire peut avoir un impact bénéfique sur la prise en charge de chaque enfant, chaque adolescent et chaque jeune adulte qui fréquente l établissement, celui-ci a pu être rempli en partie car je n ai pu assister qu à une seule réunion pluridisciplinaire en raison de mon emploi du temps incompatible avec celui de la psychologue concernant ces réunions. La contrainte du transport y participait également. De plus, cette réunion ne concernait pas l I.M.E : elle concernait le SESSAD. Cette réunion m a cependant permis de voir comment ce déroule ce genre de réunion à laquelle une psychiatre, une psychologue et des éducateurs spécialisés ont participé. A travers ce stage, j ai également pu tester mes limites d adaptation au monde du handicap. Je pense que l acceptation de côtoyer le handicap est un processus qui demande un peu de temps. Ce temps permet notamment de laisser les préjugés de côté et de tenir compte essentiellement de la personne et non pas de son handicap. Je trouve cela très enrichissant et 2 Il s agit d exemples repris des réunions auxquelles j ai pu assister. 6
8 profitable pour la vie quotidienne ainsi que pour ma future profession même si elle ne se déroule pas dans une institution spécialisée. Lors de mes jours de stage, j ai pu réaliser trois entretiens avec une enfant de 7 ans, un préadolescent de 13 ans et une adolescente de 17 ans. J ai donc pu réaliser une anamnèse pour chacun et interpréter mes observations afin de rédiger un bilan pour la psychologue dans le but d avoir un retour sur la façon dont il faut procéder. Dans l ensemble, les conclusions de la psychologue étaient positives et nous avons repris ensemble les éléments pour lesquels je semblais encore avoir des lacunes. Lors des entretiens que j ai eu la chance de faire, j ai été confronté à trois histoires très différentes mais également très pénibles, très rudes, ces histoires étant très souvent la cause principale des troubles présentés par ces enfants et adolescents. Je dois avouer qu il m a été difficile d entendre l histoire de D., une adolescente ayant subit des sévices corporels par ses parents biologiques lorsqu elle avait 5 ans. Ses parents biologiques étant en prison depuis plusieurs années, elle vit avec ses parents adoptifs et sa sœur jumelle qui a également subit des sévices. Cette adolescente souffre d une carence affective importante ayant entraînée des difficultés d apprentissage qui fait qu à 17 ans, elle ne sait toujours pas lire ni écrire, même si des progrès ont été faits. Lorsque j ai entendu cette histoire, j ai eu beaucoup de difficulté à ne pas exprimer d émotions. J ai eu notamment des difficultés à maîtriser l expression de mon visage. J ai d ailleurs été surprise de ses confessions alors qu elle ne me connaissait pas du tout. J ai donc par la suite pu m exercer dans la maîtrise de mes émotions même si cela reste difficile : je pense que cette maîtrise des émotions nécessite beaucoup d expérience dans la profession. De plus, j ai pu développer un peu plus mon sens de l observation et de l analyse et j ai pu m exercer à la rédaction de bilan. Lors de mon stage, j ai également pu me consacrer quelques heures à la lecture de dossiers psychologiques et d articles psychologiques traitant des problématiques administratives et pratique de la psychologie en institution spécialisée. De plus, j ai eu l occasion de regarder le détail des épreuves de la Wechsler Intelligence Scale for Children (WISC) et de la Wechsler Adult Intelligence Scale (WAIS) et Mme Delmas, la psychologue en charge de mon stage, m a expliciter la manière dont il convenait de coter les épreuves de la WISC jusqu à aboutir au QI de l enfant dont il était question Ce qui n a pas pu être réalisé et pourquoi? Cependant, certains de mes objectifs n ont pas pu aboutir pour des raisons diverses et variées. En effet, je n ai pu assister à aucun entretien individuel réalisé par la psychologue, 7
9 notamment parce qu elle prenait en charge des enfants très dissipés, qu il faut souvent recadrés, ou des enfants faisant preuve d une certaine inhibition ou encore des enfants ayant vécus une histoire très difficile et qui ont beaucoup de difficultés à en parler, surtout en présence d un inconnu. Etant donné que ces enfants ne me connaissaient pas, il était difficile d assister à ces entretiens. De plus, lors de mes jours de stage, la psychologue n avait pas de famille en entretien donc je n ai pas pu faire l expérience de ces situations d entretien familial ainsi que des situations de compte-rendu aux familles. Concernant mon objectif de pouvoir suivre un dossier nécessitant l intervention de la justice, celui-ci n a pas pu aboutir tout simplement parce qu il n y avait pas de dossier de ce type en cours à l I.M.E. J ai cependant pu lire certains dossiers qui traitaient de problématique nécessitant un passage au tribunal. Il s agissait de dossier datant de plusieurs années et mon maître de stage (Mme Danielle Delmas) m a indiqué que la plupart des enfants présents à l I.M.E actuellement y sont depuis de nombreuses années et qu il n y a que peu de nouvelles admissions depuis quelques années. Tous les objectifs non atteints que j ai cités précédemment n ont pas pu l être principalement à cause de contraintes tels que l emploi du temps de la psychologue qui participait à beaucoup de formations (sur l autisme, par exemple). Nos disponibilités respectives ainsi que la contrainte de transport ont également beaucoup jouées, notamment sur le fait que je n ai pu assister qu à une seule réunion pluridisciplinaire. N ayant pas de voiture et le stage ayant lieu dans un I.M.E situé à 1h30 de Reims, j ai du faire en fonction des horaires de train et des disponibilités de ma famille pour pouvoir m emmener jusqu à l institut. Pour finir, mon implication dans les réunions de groupe portant sur «la vie sexuelle et affective dans le handicap» était moindre. Des limites personnelles, notamment de gène, de mal-être, m ont empêché d intervenir lors de ces séances. Je ne me sentais pas à ma place car je pensais n avoir aucun rôle à jouer dans ces réunions déjà en charge de trois professionnelles (psychologue, infirmière, conseillère ESF) Aspects professionnels non appréhendés pendant le stage Concernant les aspects professionnels non appréhendés, ils concernent notamment les bilans. En effet, mis à part la rédaction de compte-rendu, je n ai pas pu réaliser de compterendu oral, notamment au niveau des familles. De plus, j ai pu assister à une réunion pluridisciplinaire sans pour autant pouvoir y participer. Dès lors, je n ai pas pu avoir de retour 8
10 par rapport aux entretiens que j ai eu l occasion de mener auprès d une enfant, d un préadolescent et d une adolescente. Je n ai pas eu l occasion de communiquer mon point de vue à d autres personnes hormis la psychologue en charge de mon travail. Cependant, ceci peut s expliquer par des contraintes d ordre pratique et par le manque d intérêt professionnel concernant le suivi particulier des enfants que j ai pu rencontrer. Etant donné que je n ai pas pu participer à une réunion pluridisciplinaire concernant ces cas cliniques, voilà pourquoi je n ai pas pu en discuter avec les différents intervenants. Comme je l ai indiqué, j ai quand même exprimé mon point de vue sur ces enfants auprès de la psychologue Danielle Delmas, ce qui n était pas sans intérêt pour moi puisqu elle a confirmé toutes mes conclusions concernant les trois cas dont je fus en charge. De plus, je pense ne pas avoir été suffisamment confronté à l aspect émotionnel largement impliqué dans la profession de psychologue. Ceci peut s expliquer notamment par le fait que ce stage n était qu un stage d observation. Dès lors, je n ai pu être confronté qu à très peu de pratique et donc à peu élément susceptibles de provoquer des réactions émotionnelles intenses en réponse à des patients en grande difficulté. Un autre aspect que je n ai pas pu aborder concerne l utilisation de tests d évaluation. En effet, mis à part des évaluations de quotient intellectuel réalisées lors des bilans d admission à l institut, aucun test n est utilisé à l I.M.E par la psychologue Réflexions personnelles Je pense que la pratique d un psychologue en Institut Médico Educatif est très spécifique. Dans le monde du handicap, le psychologue ne va pas permettre de «guérir». Son bureau semble être celui où les enfants et les adolescents peuvent discuter de tout sans se sentir juger, sans se sentir différent. Les psychologues en I.M.E. sont essentiellement des psychologues d orientation clinique, les autres orientations telles que la neuropsychologie ne semblerait avoir aucun intérêt dans le suivi et la prise en charge des enfants et adolescents de l I.M.E. Les outils cliniques sont très peu nombreux et très peu utilisés à l I.M.E de Rocroi. Les seuls outils d évaluation utilisés étant la Wechsler Intelligence Scale for Children (WISC) pour les enfants de 6 ans à 16 ans et 11 mois et la Wechsler Adult Intelligence Scale (WAIS) pour les adolescents et les adultes (à partir de 16 ans). Les outils cliniques tels que le test de Rorschach n est pas utilisé alors qu il pourrait avoir un intérêt pour évaluer si les adolescents, 9
11 notamment, vont être capables de s intégrer socialement, s il n y a aucun risque pour eux et/ou pour la société, etc. Lors de mon stage, j ai pu être largement confronté au secret professionnel partagé et j y ai également été impliqué sur un certain nombre de cas pris en charge par la psychologue qui m a pris en stage. J ai trouvé cela très intéressant et très enrichissant d un point de vue professionnel. En effet, j ai constaté l importance de la communication entre les différents professionnels de l I.M.E. pour une prise en charge optimale de chacun des enfants et adolescents qui en ont besoin. De plus, je pense que le secret partagé est beaucoup plus facile à «supporter» d un point de vue personnel, que le secret professionnel à proprement parler. En I.M.E., je pense qu il s agit d une qualité essentielle de pouvoir partager son point de vue et ses conclusions dans un but commun. Le concept d accès aux dossiers présenté dans le code de déontologie est également très utilisé en I.M.E. Les dossiers sont classés et accessibles à tout le personnel de l institut et même à des tiers. J ai moi-même eu accès à certains dossiers qui m ont permis de me familiariser avec la rédaction de bilans ainsi qu avec la création d un dossier d admission en I.M.E. (comptes-rendus de psychiatres, de psychologues, d infirmières, d orthophonistes, de psychomotriciens, d art-thérapeutes, ). Concernant la durée du stage, je pense que 100 heures ne suffisent pas à observer et à appréhender toutes les facettes du métier de psychologue, quelque soit l organisme dans lequel il exerce. En effet, l aspect pratique du métier, entre autres, n est pas facilement abordable avant un certain temps d observation et de familiarisation aux différentes situations auxquelles un psychologue est souvent confronté. 4. Conclusion De manière générale, l'équipe m'a bien accueillie et a été disponible pour répondre à mes questions. A la lumière des éléments qui m ont été fournis au travers de ce stage en I.M.E, je me suis rendu compte que l orientation clinique de la psychologie et que le monde du handicap mental ne correspondaient pas à mes attentes concernant la branche dans laquelle je souhaiterais exercer le métier de psychologue. Cependant, j ai été conforté dans ma position consistant à travailler auprès d une population d enfants et d adolescents. Dès lors, un de mes objectifs futurs est donc de me tourner vers un organisme différent en charge d enfants comme par exemple un Centre Médico Psychologique (C.M.P.) ou un Centre Médico Psycho- Pédagogique (C.M.P.P.). Je souhaiterais avoir accès à une nouvelle population d enfants qui 10
12 présentent notamment des troubles neuropsychologiques particuliers tels que les troubles du langage écrit et/ou oral. Les troubles psychosociaux pourraient également beaucoup m intéresser car ils sont souvent la cause des troubles du langage chez l enfant. Un stage auprès d un conseiller d orientation psychologue pourrait être enrichissant en termes d intervention auprès d adolescents et me fournirait encore une nouvelle approche du métier de psychologue. Lors d un stage futur, je souhaiterais également avoir accès à différents tests neuropsychologiques, voire même pouvoir en utiliser avec un enfant. Je pense notamment à la NEPSY, au K-ABC, etc. C est pourquoi un stage auprès d un neuropsychologue en milieu hospitalier me conviendrait également. Enfin, j envisage, dans un futur stage, de découvrir le métier de psychologue scolaire, toujours dans l optique d utiliser un certain nombre de tests, notamment des tests portant sur le dépistage des troubles du langage oral et/ou écrit qui m intéressent tout particulièrement. Tous ces objectifs futurs devraient préciser, à chaque fois un peu plus, quelle branche, quel organisme et quel type d intervention me correspondraient le plus pour ma vie professionnelle future et cela même si j ai déjà une certaine idée de l orientation qui me conviendrait. Pour conclure, l enseignement principal que je retiens de ce stage en Institut Médico- Educatif est l indispensable exploitation des principes de base (respect, écoute, communication, objectivité, patience ) et la nécessité pour le psychologue d adapter son travail en fonction des milieux et des personnes qui sont à sa charge. Je retiens également l importance très marquée des échanges pluridisciplinaires pour la prise en charge optimale de chaque patient. Enfin, je retiens que le métier de psychologue dans un établissement accueillant des personnes (enfants, adolescents, jeunes adultes) présentant un handicap mental (léger ou sévère) est très particulier et nécessite des compétences particulières touchant notamment au caractère du psychologue et à sa capacité de gérer des situations qui ne sont pas fréquentes dans la vie quotidienne et dont on ne fait pas souvent l expérience avant d y être réellement confronté. 11
13 ANNEXES Annexe N 1 12
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