EHPAD Magneville - Projet d Etablissement 2012/2016 EHPAD JOURDAN. Le Ferrage MAGNEVILLE. Tel : Fax :
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- Hélène Roussel
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1 EHPAD JOURDAN Le Ferrage MAGNEVILLE Tel : Fax :
2 EHPAD JOURDAN Le Ferrage MAGNEVILLE Tel : Fax : LE PROJET D ETABLISSEMENT Adopté en Conseil d Administration le 19 septembre
3 I. INTRODUCTION : La Maison de retraite Jourdan est un E.H.P.A.D. (Etablissement d hébergement pour Personnes Agées Dépendantes) depuis le 27 décembre Ce qualificatif d E.H.P.A.D. lui confère un certain nombre d obligations au titre desquelles figurent essentiellement trois obligations : celle d être un établissement médicalisé ayant des personnels infirmier et aide-soignant salariés, compétents pour prendre en charge des personnes dépendantes. celle de s engager dans une démarche qualité. celle d avoir un projet d établissement comprenant des objectifs sur cinq ans. L établissement renouvelle sa convention tripartite le 1 er janvier 2012 et doit se fixer de nouveaux objectifs à réaliser entre 2012 et 2016, parmi lesquels figurent ceux inscrits dans le présent document dénommé «projet d établissement». Le projet d établissement est obligatoire. Il est prévu par l article L311-8 du code de l action sociale et des familles : «Pour chaque établissement ou service social ou médico-social, il est élaboré un projet d établissement ou de service, qui définit ses objectifs, notamment en matière de coordination, de coopération et d évaluation des activités et de la qualité des prestations, ainsi que ses modalités d organisation et de fonctionnement. Ce projet est établi pour une durée maximale de cinq ans après consultation du conseil de la vie sociale ou, le cas échéant, après mise en œuvre d une autre forme de participation.» Le Projet d établissement de l E.H.P.A.D. Jourdan comprend les points suivants : - la philosophie de l établissement - la population accueillie - l engagement de l établissement dans une démarche qualité - le projet social de l établissement - les relations de l établissement avec l extérieur - le projet de restructuration de l E.H.P.A.D. 3
4 I. LA PHILOSOPHIE DE L ETABLISSEMENT : L éthique de l établissement est fondée sur l engagement de la direction et de l ensemble du personnel titulaire, stagiaire et contractuel, tout grade confondu, de respecter les résidents accueillis et d avoir une attitude adaptée, basée sur le concept de l «Humanitude» développé par l Institut Gineste Marescotti. Ce comportement du personnel consiste à avoir une attitude professionnelle spécifique qui valorise le résident comme un être humain à part entière, digne d un grand respect. Le personnel de l établissement va suivre cette formation à l «Humanitude» à partir de septembre 2011 et l ensemble du personnel aura été formé en Il s agit d un élément fort de ce nouveau projet d établissement car le personnel va adopter une nouvelle philosophie de prise en charge qui va modifier sa pratique professionnelle. Fondamentalement, cette philosophie n est pas éloignée de celle qui imprégnait l ancien projet d établissement car on reste toujours dans la même notion de respect du résident, de recherche de son bien-être physique et moral. En revanche, le personnel va changer sa façon de travailler et se professionnaliser davantage avec cette méthode : le personnel va apprendre à entrer en relation avec tous les résidents et en particulier avec ceux avec lesquels il est plus difficile d avoir un contact et de leur prodiguer des soins. L éthique que la direction souhaite mettre en place dans ce nouveau projet d établissement est basée sur l engagement de l ensemble du personnel à réaliser les cinq principes suivants : 1. Respecter les droits fondamentaux de la personne âgée énoncés dans la charte des droits et libertés de la personne âgée dépendante malgré les diverses contraintes rencontrées : contraintes de la vie en collectivité, contraintes liées à la dépendance de la personne, contraintes liées à l environnement familiale de la personne. Cet engagement est essentiel car il en va du respect de la dignité du résident. Cette charte rappelle la liberté d aller et venir du résident, le droit au libre choix de son mode de vie, le droit à l information, le droit à une vie sociale. L entrée en institution ne doit pas conduire le résident à perdre son pouvoir de décision, sa capacité à être acteur de sa propre vie : son avis est fondamental concernant ce qu il souhaite manger, la façon dont il veut être habillé, le rythme des toilettes, la participation à des ateliers. 4
5 Le résident ne doit pas s adapter à l institution mais c est l institution qui doit s adapter à lui dans la limite que cette adaptation ne porte pas atteinte au bien-être des autres résidents. Le respect des droits fondamentaux des résidents doit être ancré dans l esprit de toute l équipe et se matérialiser par la recherche systématique du consentement du résident pour toutes les décisions qui le concernent. 2. Privilégier le maintien de l autonomie du résident malgré les contraintes d organisation du travail. Il est essentiel que les capacités du résident soient mises en avant, maintenues, voire développées. L entrée en institution ne doit pas conduire le résident à perdre ses capacités physiques et cognitives. Il faut savoir aider, assister le résident dans la réalisation des actes quotidiens de la vie sans se substituer à lui. Le résident doit être stimulé dans tous les actes de la vie quotidienne auxquels il doit participer le plus possible : il doit être acteur de sa toilette, de son habillage, de sa prise de repas et le personnel n est là que pour l accompagner et ne doit surtout pas faire à sa place. Cela implique que l institution s adapte : par exemple, il faut pouvoir proposer des couverts ergonomiques pour les résidents atteints d une déficience physique mais également proposer des repas qui peuvent être mangés à la main, pour les résidents atteints de troubles neurologique qui font qu ils ne savent plus utiliser leurs couverts. 3. Respecter le rythme de vie des résidents et privilégier le sommeil du résident la nuit et le matin malgré les habitudes d organisation du travail. La méthode Gineste Marescotti développera des outils organisationnels pour permettre la réalisation de ce principe. Certaines toilettes et soins d hygiène seront organisés l après-midi pour permettre aux résidents qui le souhaitent de dormir plus longtemps le matin. 4. Respecter les habitudes de vie des résidents et offrir une prise en charge la plus individualisée possible malgré les contraintes d organisation du travail. Chaque résident a droit à un projet de prise en charge individualisé qui tient compte de ses habitudes de vie antérieures, de ses goûts, de ses appétences, et de ses capacités actuelles. 5
6 Ce document est essentiel. Le résident ou sa famille participe à son élaboration. Il est partagé par l ensemble de l équipe qui l évalue régulièrement et l adapte, avec l accord du résident en fonction de l évolution de ses capacités et de ses envies. 5. Rechercher sans cesse le plaisir du résident : «donner envie d avoir envie» et développer le lien social entre le résident et son environnement. Ce dernier principe est un élément fort de ce nouveau projet d établissement. C est le plaisir du résident qui doit être le moteur de l action de chaque professionnel et non la volonté de réaliser les soins qui donnent bonne conscience aux soignants. Il faut que le plaisir du résident soit au cœur des préoccupations des soignants pour que les résidents aient plaisir à vivre dans notre établissement. Il faut lutter contre l isolement des résidents et les aider à nouer des liens avec les autres résidents, privilégier les relations familiales. Les groupes de paroles, les ateliers bricolages, les jeux sont autant de moyens de développer le lien social. Le personnel doit avoir conscience de l importance du lien social dans la prise en charge du résident. L animation est souvent relayée au second plan, et passe toujours après les soins d hygiène et l entretien des locaux alors qu elle est primordiale et qu elle donne parfois plus de sens à la vie des résidents que le fait de les aider à se laver ou de nettoyer leur chambre. L intégration de l animation dans le rôle du soignant est une révolution nécessaire dans l établissement et qui est ainsi inscrite dans le projet d établissement. II. LA POPULATION ACCUEILLIE : L E.H.P.A.D. Jourdan accueille depuis longtemps une population rurale originaire de Magneville et de ses communes limitrophes ainsi que des habitants de la commune de Bricquebec ou d autres communes situées dans le canton de Bricquebec. L établissement comporte trente lits ce qui est très peu et rend l établissement complètement atypique et souvent qualifié de «structure familiale». Cette petite taille de structure est une réalité dont il faut tenir 6
7 compte dans le projet d établissement. C est à la fois un atout et une faiblesse : c est un atout parce qu à leur arrivée, les résidents ne se sentent pas perdus, ils repèrent vite l ensemble du personnel et les autres résidents, ils se sentent plus vite intégrés et respectés dans leur individualité. C est un inconvénient parce que la moindre dépense est répartie sur trente résidents et a donc immédiatement un impact sur les frais de séjour. La population accueillie est marquée par trois phénomènes : - C est une population qui apprécie la nature, les espaces verts, les animaux et pour laquelle l environnement de l établissement est tout à fait approprié. - C est une population qui est imprégnée par la solidarité familiale encore très développée dans ce milieu rural où nombreux sont les enfants qui s investissent dans l accompagnement de leur parent et maintiennent un lien très fort. Il y a donc de nombreuses visites des familles au sein de l établissement et de nombreux départs des résidents en famille le weekend. - C est une population qui est majoritairement atteinte de troubles cognitifs et comportementaux, ce qui pose des difficultés de cohabitation entre résidents. Actuellement, sur trente résidents hébergés à l E.H.P.A.D. Jourdan, on en dénombre treize diagnostiqués Alzheimer ou démence apparentée. Malgré cette difficulté, l établissement a fait le choix de ne pas sectoriser les résidents en fonction de leur pathologie et de ne pas avoir recours à un secteur fermé. La liberté de circulation au sein de la structure a été priorisée et ce sont les accès au jardin extérieur qui ont été sécurisés. III. L ENGAGEMENT DE L ETABLISSEMENT DANS UNE DEMARCHE QUALITE La direction de l établissement s engage à impulser une démarche qualité basée sur le respect des droits fondamentaux du résident et la recherche du maintien de son autonomie. 7
8 La méthodologie de cette démarche a été la suivante : - Faire une autoévaluation de l existant par un comité de pilotage composé de membres du personnel et de la direction à partir de l outil Angélique. Le comité de pilotage s est réuni le 22 mars 2011 et a rempli en sous groupes le questionnaire ANGELIQUE puis les réponses ont été validées par l ensemble des membres du comité de pilotage. - Recueillir l avis des résidents et des familles par des enquêtes de satisfaction. Une enquête destinée aux résidents a été distribuée au mois d avril et une élève infirmière en stage a aidé les résidents qui le souhaitaient à y répondre. Une autre enquête de satisfaction destinée aux familles leur a été adressée par courrier au mois d avril Faire ressortir de ces trois outils des points forts et des points faibles. - Proposer des objectifs d amélioration des points faibles de façon générale dans le projet d établissement, sachant que chaque objectif sera repris dans le projet de vie pour les objectifs hôteliers et dans le projet de soin pour les objectifs de soin, de façon plus détaillée en précisant notamment les moyens nécessaires à la réalisation de l objectif, l échéance fixée et la personne «référente» pour mettre en place l objectif. - Evaluer chaque année la réalisation des objectifs en faisant, dans le cadre du compte administratif, un point sur les engagements fixés dans la convention tripartite. - Le bilan : 1. Les prestations hôtelières : Les points forts de l établissement sont les suivants : - l accueil du résident au moment de son entrée. - la qualité de la nourriture, la présentation des plats et le service en salle à manger. Un certain nombre de points faibles doivent être améliorés : - l inconfort de certaines chambres de résidents : toutes les chambres du bâtiment A en pierre, soit au total 17 lits et une chambre du bâtiment B ne correspondent pas aux exigences règlementaires actuelles car elles sont de dimension insuffisantes et ne disposent pas de salle de bain individuelle accessible aux personnes à mobilité réduite avec douche adaptée. - l inadaptation de certains locaux techniques aux normes d hygiène actuelles : la cuisine et la blanchisserie. - L absence d animateur pour accompagner les résidents en journée et leur proposer des activités et notamment des sorties à l extérieur. 8
9 Les objectifs fixés : EHPAD Magneville - Projet d Etablissement Construire un nouveau bâtiment de 13 lits en 2011/2012 et rénover l ancien bâtiment pour n avoir que des chambres individuelles conformes aux exigences réglementaires. Obtenir une labellisation PASA pour offrir une prise en charge de meilleure qualité aux résidents atteints de la maladie d Alzheimer avec un personnel présent à leur côté en journée pour les stimuler et leur proposer des ateliers. Améliorer la sécurité des résidents la nuit en doublant l effectif de nuit et en le professionnalisant avec la présence d un aide-soignant. Développer la socialisation des résidents en maintenant l intervention des bénévoles dans l établissement, en développant la présence d un animateur professionnel pour proposer des ateliers divers mais également en développant la culture d animation parmi le personnel soignant. Le point fort du précédent projet de vie était de développer une culture hôtelière dans l établissement, le défi du nouveau projet de vie sera d acquérir une culture d animation et de professionnaliser encore l accompagnement des résidents. 2. Les prestations de soins : Le projet de soins va être repris en fin d année 2011 avec un organisme extérieur chargé d accompagner le personnel dans sa réflexion d amélioration des soins. L intégration du concept de l Humanitude va entrainer une modification des pratiques professionnelles au niveau des soins. IV. LE PROJET SOCIAL DE L ETABLISSEMENT : Il est important de noter que c est au personnel qu il revient d appliquer le projet d établissement car c est lui qui effectue les charges hôtelières et qui dispense les soins. Le personnel est donc au coeur du dispositif de prise en charge et la qualité des prestations passe par lui. 9
10 La qualité du travail du personnel dépend essentiellement des deux éléments suivants : 1. Un personnel «professionnel»: La formation de l ensemble du personnel au concept de l Humanitude va accroître la professionnalisation du personnel déjà développée par la direction. Le personnel se voit ainsi déjà proposer différentes formations dans le cadre de la formation continue. Par ailleurs, la formation qualifiante est priorisée à chaque création de poste d aide-soignant. 2. Un personnel en effectif suffisant : La petite taille de l établissement limite les créations de postes mais il est indispensable que dans les cinq prochaines années, il y ait : - un doublement de l effectif de nuit pour assurer la sécurité des résidents et du personnel de nuit. - Un renfort de l équipe de jour pour faire face à la construction d un nouveau bâtiment et à l augmentation de la surface au sol. V. LES RELATIONS AVEC L EXTERIEUR : L établissement doit poursuivre son ouverture sur l extérieur. La direction se fixe plusieurs objectifs dans ce domaine : 1. Communiquer davantage par écrit avec certaines familles des résidents : L établissement doit favoriser le maintien des liens familiaux du résident qui sont essentiels au bien-être des résidents et doit créer une relation de confiance avec la famille. La communication avec les familles est très inégale en fonction de l état de santé du résident et du moment des visites des familles. Il faut développer la communication écrite avec les familles des résidents quand ils viennent à des moments où il n y a pas l infirmière coordinatrice et quand leurs parents ne s expriment plus. 10
11 2. Développer l animation par des personnes extérieures : L établissement bénéfice actuellement de l intervention de bénévoles extérieurs et de professionnels. La direction souhaite le maintien de l intervention des bénévoles des Associations ALAMRM et VMEH et le développement des interventions de professionnels : actuellement, seule l Association SIEL BLEU intervenait pour proposer une séance de gymnastique hebdomadaire aux résidents. A compter de septembre 2011, une artiste peintre proposera un atelier peinture mensuel. 3. S inscrire dans un réseau de santé La direction travaille sur le partenariat nécessaire avec des établissements de santé et des conventions ont été récemment revues avec le CH Pasteur et le CHS du Bon Sauveur de PICAUVILLE. Un véritable partenariat est crée avec le CHS de PICAUVILLE dont une équipe d infirmiers psychiatriques intervient toutes les semaines pour suivre des résidents atteints de troubles psychiatriques et pour animer, en collaboration avec des professionnels de l E.H.P.A.D. un groupe de paroles. 4. Fusionner avec l EHPAD des Lices de St Sauveur le Vicomte : L établissement vient d être autorisé en juin 2011 à aliéner les biens immobiliers issus du legs Jourdan afin d autofinancer une partie des travaux nécessaires à la mise en conformité de l établissement aux exigences réglementaires. Cette autorisation du juge permet le financement des travaux qui visent à assurer la pérennité de l établissement. Cependant, si l adéquation des locaux à la réglementation est un gage de pérennité de la structure, le montant des prix de journée à l issu des travaux peut être prohibitif. C est pourquoi, il est prévu qu à l issue de la réalisation des travaux de restructuration, et notamment pour limiter l impact des charges financières et d amortissement sur les prix de journée, l EHPAD Jourdan fusionne avec l EHPAD des Lices afin de ne former qu une seule entité juridique qui répartit ses dépenses sur l ensemble des lits. La fusion des deux établissements peut être raisonnablement envisagée au 1 er janvier 2014 et il convient de préparer au mieux ce changement, en particulier auprès du personnel qui exprime des craintes sur le sujet. 11
12 VI. LES LOCAUX DE L E.H.P.A.D. : EHPAD Magneville - Projet d Etablissement La construction d un nouveau bâtiment de 13 lits doit commencer en juillet Elle sera suivie de travaux de restructuration du bâtiment le plus ancien avec la réhabilitation de quatre chambres et l aménagement de divers locaux, administratifs, techniques et de soin. Une discussion est en cours avec les autorités de tutelle pour obtenir une extension de cinq lits et construire un bâtiment neuf de dix huit lits au lieu de treize afin de lisser l impact des travaux sur les tarifs hébergement et dépendance à la charge des résidents et des familles. Une réflexion est en cours sur le fait d intégrer les exigences architecturales prévues à l article 16 du plan Alzheimer pour pouvoir obtenir une labellisation PASA du nouveau bâtiment et avoir ainsi une réponse adaptée à l accueil de résidents atteints de la maladie Alzheimer ou de démence apparentée. 12
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