d experience les dossiers de BATI METIERS

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "d experience les dossiers de BATI METIERS"

Transcription

1 les dossiers de BATI METIERS LA REVUE DES BÂTISSEURS MARS 2015 DOSSIER DEUX ANS APRÈS SA GÉNÉRALISATION À TOUS LES BÂTIMENTS NEUFS, QUEL PREMIER BILAN TIRER DE LA NOUVELLE RÉGLEMENTATION THERMIQUE RT 2012 retours d experience EXTRAIT DE BÂTIMÉTIERS N 38

2 RT 2012 retours d expérience DOSSIER RT 2012 Deux ans après sa généralisation à tous les bâtiments neufs, quel premier bilan tirer de la RT 2012? Si l ensemble des acteurs de la construction saluent un grand pas en avant sur le plan technique et une meilleure coordination pour atteindre les exigences de performance globale, la RT 2012 nécessitait quelques adaptations. Celles-ci sont entrées en vigueur le 1 er janvier BÂTIMÉTIERS J MARS 2015

3 DOSSIER RÉALISÉ EN PARTENARIAT AVEC La RT 2012 fait partie des avancées majeures dans le domaine de l efficacité énergétique et de la promotion des énergies renouvelables, pour avoir généralisé depuis le 1 er janvier 2013 la construction de bâtiments à basse consommation. Le gain énergétique issu du changement de réglementation entre la RT 2005 et la RT 2012 est aussi important que celui des quatre réglementations thermiques successives depuis La RT 2012 repose sur une obligation de résultat, à partir d un raisonnement sur la performance globale du bâtiment, qui se traduit dans une étude thermique obligatoire à initier dès le dépôt du permis de construire. Rappelons que quatre grandes exigences doivent être respectées : la consommation en énergie primaire du bâtiment ou CEP (50 kwh/m 2 S RT /an en moyenne), le coefficient Bbio (besoins climatiques), la température intérieure conventionnelle (TIC) et la perméabilité à l air (0,6 m 3 /h/m 2 de déperdition au maximum en maison individuelle et 1 m 3 /h/m 2 au maximum en bâtiment collectif). Un contrôle renforcé par rapport à la RT 2005 a par ailleurs été instauré. Il repose sur deux attestations de conformité à fournir au moment du dépôt du permis de construire et à l achèvement des travaux. Cette nouvelle réglementation thermique représente une véritable évolution et impose un changement culturel important pour l ensemble des acteurs de la filière : entreprises artisanales et PME, maîtres d œuvre et architectes, équipes de conception, assureurs, contrôleurs techniques et bien sûr maîtres d ouvrage. ÉTANCHÉITÉ À L AIR DE L ENVELOPPE : LE BOND EN AVANT Pour les artisans et entreprises du bâtiment, le défi le plus important de la RT 2012 est l étanchéité à l air de l enveloppe, qui dépend directement de la qualité de mise en œuvre et de la gestion des interfaces métiers. Rappelons qu en résidentiel, la perméabilité à l air doit être obligatoirement mesurée à l achèvement des travaux par un opérateur qualifié et indépendant et ne doit pas dépasser une valeur plafond. La réussite dépend de l application méticuleuse des prescriptions techniques décrites dans les marchés et du respect des règles de l art. «Depuis la nou- Le fait de rendre l étude thermique réglementaire a créé un marché avec de nombreux intervenants qui se sont décrétés thermiciens sans en avoir nécessairement les compétences. Il suffit aujourd hui d acheter un logiciel certifié par le CSTB et de suivre une formation à son utilisation pour calculer velle réglementation, nous mettons en œuvre des maçonneries plus isolantes, comme la brique ou le béton cellulaire, ainsi que des rupteurs thermiques au niveau des dalles et des planchers, ce qui permet de supprimer au moins 90 % des ponts thermiques, témoigne Julien Allais, dirigeant de l entreprise de maçonnerie de l Acheneau implantée à Rouans (Loire-Atlantique). Nous portons une attention particulière au traitement des points singuliers et nous réalisons des bandes de redressement au niveau des murs pour obtenir une intégration optimale des menuiseries.» Le changement est encore plus important pour les corps d état techniques, car la quête de l étanchéité à l air impose un traitement systématique de toutes les réservations dans les parois extérieures (traversées de gaines, canalisations, etc.). Chaque percée dans l enveloppe doit être soigneusement traitée et les boîtiers électriques scellés et étanches. Deux ans après l entrée en vigueur de la RT 2012, les artisans sont aujourd hui sensibilisés à cette problématique et aptes techniquement à relever le défi. Pour le maître d ouvrage ou le constructeur de maison individuelle, il s agit d une nouvelle façon de construire. «La clé de la réussite, c est d organiser des réunions de concertation avec les artisans, pour planifier une bonne gestion des interfaces. En cela, la RT 2012 est un grand pas en avant, car elle nous oblige à travailler ensemble de façon solidaire, se félicite Laurent Garbage, gérant de Jean Bordes Construction, constructeur de maisons individuelles à Mont-de-Marsan (Landes). Avec pour conséquence de diviser par quatre la consommation des bâtiments par rapport à la RT 2005!» C est l un des progrès majeurs de la nouvelle réglementation : la mesure de la perméabilité à l air est une petite révolution, qui valorise la qualité du travail des professionnels, de la première brique jusqu à la livraison de la maison. INTÉGRER LES EXIGENCES NOUVELLES Les professionnels de la construction ont dû s adapter à ces exigences nouvelles. «La RT 2012 nous oblige à un gros effort de formation sur des matériaux ou des produits nouveaux ; c est un investissement important en temps et en argent, argumente Julien Allais. Nous devons aussi savoir lire une étude thermique, ce qui à l origine n est pas notre métier. Au final, la mise en œuvre de cette réglementation exige du maçon plus de compétences, plus de main d œuvre et plus de temps, mais sans pouvoir répercuter ces exigences sur notre coût de construction.» Ces compétences nouvelles, Suite page 6 FRANCK DELAHAYE THERMICIEN, bureau d études bâti énergies à tosse, landes REMISE EN CAUSE DU ROLE DE PRESCRIPTEUR les coefficients Bbio, CEP et TIC. Dès lors, on assiste aujourd hui à une inversion des rôles : ce n est plus le bureau d études qui prescrit le type d enveloppe et les systèmes énergétiques, mais le particulier qui demande de faire en sorte, via le logiciel certifié, que les solutions qu il souhaite soient paramétrées pour «passer». En l absence de conception véritable, le logiciel peut valider des solutions incohérentes que les artisans doivent mettre en œuvre et dont ils peuvent ensuite être tenus pour responsables. Étant donné le peu de contrôle et la rareté des sanctions, cette dérive semble appelée à se développer. MARS 2015 J BÂTIMÉTIERS 3

4 DOSSIER RT 2012 LES ACTEURS DE LA RT 2012 ET LEURS OBLIGATIONS YOANN CONTE CONSTRUCTEUR de maisons individuelles à carcassonne, aude CERTAINES DIFFICULTES D APPLICATION ET UN MANQUE DE CONTROLES Certifiés Certibat en rénovation et construisant des maisons BBC depuis plusieurs années, nous étions très bien préparés au passage à la RT Mais son application n a pas été si simple, en raison notamment de la modification des moteurs de calcul, qui nous a obligés à revoir l isolation et les équipements de nos projets de maisons de plus de 110 m 2. Nous rencontrons aussi des difficultés pour orienter nos maisons «plein sud», ce qui n est pas possible sur certains périmètres régis par les Architectes des bâtiments de France ou quand les apports solaires sont insuffisants en raison de l ombre des mitoyens sur des terrains trop exigus. Sur certains projets, il est très difficile de respecter la RT Mais le plus problématique est que cette réglementation est vécue comme «subie» par nos clients, qui oublient le progrès qu elle représente et sont obnubilés par le prix de leur maison. En conséquence, beaucoup de particuliers peuvent faire construire par des acteurs peu scrupuleux ou des auto-entrepreneurs qui fournissent un coefficient Bbio au rabais et ne respectent pas l ensemble des exigences de la réglementation. Il en résulte une concurrence déloyale entre, d une part, les maîtres d ouvrage et constructeurs de maisons individuelles qui ont une obligation juridique de résultat et de conformité et, d autre part, des particuliers construisant pour euxmêmes sans connaissance précise des règles à respecter. 4 BÂTIMÉTIERS J MARS 2015

5 RÉALISÉ EN PARTENARIAT AVEC MAXIME CHADEVILLE BUREAU D ÉTUDES manexi à boulogne-billancourt, hauts-de-seine 80 À 90 % DES TESTS FINAUX DE PERMEABILITE CONFORMES Lors des tests de perméabilité à l air que nous réalisons en immeubles collectifs comme en maisons individuelles, nous constatons que les entreprises et les artisans sont aujourd hui au fait de la problématique et compétents pour y faire face. Cependant, les tests intermédiaires au moment du clos/couvert ne sont satisfaisants que dans la moitié des cas en raison de problèmes récurrents : maçonneries non étanches, défauts dans le béton, joints de menuiseries extérieures défectueux, pénétrations mal calfeutrées de gaines et de réseaux dans les planchers Dans ce cas, nous constatons la non-conformité, nous en recherchons la cause et nous faisons des recommandations, comme la pose d une membrane d étanchéité en toiture. Le résultat est favorable, puisque dans 80 à 90 % des cas, le test final de perméabilité est conforme. Mais il faut parfois mettre en œuvre des solutions de secours joints silicone par exemple peu satisfaisantes. Le mieux est donc de privilégier un test en cours de chantier, afin de prendre des mesures correctives le plus en amont possible. MARS 2015 J BÂTIMÉTIERS 5

6 DOSSIER RT 2012 Suite de la page 3 relatives aux matériaux, aux équipements techniques, à leur dimensionnement, à la gestion des interfaces et à l organisation du chantier, sont au cœur des modules 5.1 et 5.2 du dispositif de formation FEEBat, spécialement conçus pour accompagner les entreprises et les artisans. L application de la RT 2012 peut aussi être rendue ardue quand les prescriptions de l étude thermique sont en contradiction avec les règles de l art. Par exemple, un isolant sous dalle de 20 cm d épaisseur sans compressibilité au béton permet de répondre à la réglementation thermique, mais crée un risque de sinistre par tassement. Autre difficulté rencontrée, la RT 2012 peut parfois être en contradiction avec d autres réglementations, notamment sismiques. Ainsi, les rupteurs thermiques au niveau des planchers suppriment les ponts thermiques, mais ne sont pas systématiquement autorisés en zone sismique : l entreprise serait-elle couverte en cas de sinistre? Autre écueil, certaines exigences de la RT 2012 sont parfois techniquement inapplicables à certains projets ou génèrent des surcoûts considérables pouvant dissuader les maîtres d ouvrage de concrétiser leurs projets. Dans ce sens, la RT 2012 nécessitait quelques adaptations qui ont été officialisées par deux arrêtés récents. Le premier, publié le 11 décembre 2014, remplace la SHON RT par la S RT, qui devient la surface thermique de référence pour le calcul de la consommation (CEP), le mode de calcul restant quasiment inchangé. En outre, les bâtiments neufs dont la surface thermique S RT et la surface de plancher Sp sont inférieures à 50 m 2, ainsi que les extensions surélévations ou additions aux bâtiments existants de même surface ne sont plus soumis à la RT 2012, mais doivent simplement respecter les exigences de la réglementation des bâtiments existants dite «élément par élément» (arrêté du 3 mai 2007). Pour les extensions dont la surface est comprise entre 50 et 100 m 2, une partie seulement des exigences de la RT 2012 s applique, le test de perméabilité à l air et le recours aux énergies renouvelables ne sont par exemple plus obligatoires. La RT 2012 s applique en revanche dans son intégralité pour les extensions dont la S RT est supérieure à 100 m 2. Autre point d assouplissement, la règle imposant, pour les bâtiments d habitation, une surface des baies vitrées d au moins 1/6 e de la surface habitable a été adaptée, en particulier pour les bâtiments ayant peu de surface de façade et pour lesquels cette exigence était difficilement applicable. Toutes les mesures de ce premier arrêté sont entrées en application le 1 er janvier En «Depuis la nouvelle réglementation, nous mettons en œuvre des maçonneries plus isolantes, comme la brique ou le béton cellulaire, ainsi que des rupteurs thermiques au niveau des dalles et des planchers, ce qui permet de supprimer au moins 90 % des ponts thermiques.» JULIEN ALLAIS MAÇONNERIE DE L ACHENEAU, ROUANS (LOIRE- ATLANTIQUE) «La clé de la réussite, c est d organiser des réunions de concertation avec les artisans, pour planifier une bonne gestion des interfaces. En cela, la RT2012 est un grand pas en avant, car elle nous oblige à travailler ensemble de façon solidaire.» LAURENT GARBAGE JEAN BORDES CONSTRUCTION, MONT-DE-MARSAN (LANDES) JOËL HARDOUIN ÉLECTRICIEN PLOMBIER-CHAUFFAGISTE à beauvoir-sur-mer, vendée LA DIFFICULTE EST DE VENDRE DES INSTALLATIONS CONFORMES A LA RT 2012 Nous savons aujourd hui comment concevoir et mettre en œuvre des équipements techniques conformes à la RT 2012 : certains procédés de chauffage sont clairement exclus, mais on trouve facilement des solutions en associant une pompe à chaleur avec des EnR, notamment du solaire thermique en toiture pour la production d eau chaude. L une des limites de cette réglementation est qu elle favorise les maisons en forme de cube, au détriment des architectures plus élaborées, complexes à mettre en conformité. Mais le plus ardu est de vendre ces solutions : la réglementation sismique, puis la RT 2012 ont généré un renchérissement de la construction de 30 à 40 % dans un contexte économique déprimé, ce qui fait que les particuliers n ont plus les moyens de construire. Censée faire progresser le bâti, la RT 2012 est finalement un facteur de baisse d activité pour les artisans, d autant plus que certains acteurs du marché, qui ne respectent pas les exigences réglementaires, captent une partie des chantiers en cassant les prix. 6 BÂTIMÉTIERS J MARS 2015

7 RÉALISÉ EN PARTENARIAT AVEC LA RT 2012 EN 72 FICHES Réalisées à la demande de la FFB, ces fiches recto/ verso présentent des solutionstypes permettant d'atteindre les exigences de la RT 2012, de façon simple et efficace pour le secteur résidentiel individuel et collectif. Elles décrivent des associations enveloppe/ équipements techniques adaptées, en fonction de la typologie des bâtiments et des huit zones climatiques. Ces fiches permettent en outre de démontrer qu'il n'y a pas de solution unique pour respecter la RT Toutes les filières constructives peuvent trouver leur place avec diverses solutions pour la ventilation ou le chauffage des locaux. Plus spécifiquement pour les exemples en logement collectif, elles démontrent aussi que l objectif des 50kWh/m2.an, prévu initialement au 1er janvier 2015, aurait conduit les maîtres d ouvrage à un investissement plus conséquent et probablement rédhibitoire. Le report a donc été très bien perçu par les acteurs professionnels. Fiches téléchargeables sur fr, espace Adhérent, rubrique Dossiers/ Technique-Environnement/ Performance énergétique des bâtiments). vertu du second arrêté, publié le 19 décembre 2014, la dérogation à 57,5 kwh/(m 2.an) pour la consommation conventionnelle d énergie en résidentiel collectif est reportée au 31 décembre D autre part, la validation de la démarche qualité pour les constructeurs de maisons individuelles qui permet notamment de vérifier le respect de l exigence de la perméabilité à l air de la RT 2012 en contrôlant un échantillonnage du bâti ne relève plus des services de l État, mais d un organisme certifié par le Comité français d accréditation (Cofrac) ou équivalent ayant signé une convention avec l État. Cette dernière disposition s appliquera au 1 er juillet Exigence essentielle de la RT 2012, la perméabilité à l air de l enveloppe peut cependant provoquer un risque de dégradation de la qualité de l air intérieur, par exemple par accumulation de polluants issus de certains éléments de mobilier ou de décoration contenant des COV (composés organiques volatils), et exige ainsi une attention particulière dans la conception et dans la mise en œuvre des systèmes de ventilation. L entretien de ces systèmes sera par ailleurs tout aussi important. Deux ans après son entrée en vigueur, la RT 2012 est reconnue par tous les acteurs comme un grand progrès pour la construction, mais dont l application est pénalisée par un contexte économique difficile. «Quand nous faisions du BBC il y a quelques années, les particuliers étaient réceptifs à la qualité du bâti et aux moyens d optimiser la consommation de leur logement, mais aujourd hui ils sont exclusivement focalisés sur le prix, regrette Laurent Garbage. Les obstacles que nous rencontrons sont essentiellement économiques.» Sans possibilité de répercuter les nouvelles exigences sur le coût de leurs bâtiments, les acteurs de la construction sont aujourd hui lancés dans une optimisation de leur politique d achat, dans une rationalisation des projets et dans une quête de la meilleure alchimie possible entre l enveloppe et les équipements techniques. Il faudra néanmoins trouver des solutions pour continuer à réduire les consommations énergétiques et répondre aux futures exigences du bâtiment à énergie positive, à l horizon J POUR EN SAVOIR PLUS FFB-DAT (Direction des affaires techniques), tél. : Brochure L essentiel de la RT 2012 pour les entreprises du bâtiment, publiée par la FFB en avril 2013, ainsi que les fiches Exemples de solutions techniques, récemment actualisées, sont consultables et téléchargeables sur espace Adhérent OLIVIER PINART CLOISONS SÈCHES, PLAFONDS ET ISOLATION sarl poirier, groupe opi, à cavan, côtes-d armor L ETANCHEITE A L AIR RESTE UN DEFI Nous constatons que les maîtres d œuvre et les maîtres d ouvrage sont loin d être au fait de toutes les exigences de la RT 2012, en particulier la nécessité de faire une étude thermique. Dans un contexte économique difficile, ils veulent construire vite en réduisant les coûts et s en remettent souvent aux compétences des entreprises, qui sont elles-mêmes variables. Il arrive par exemple que l électricien ou le plombier découpent notre pare-vapeur pour faire passer des fourreaux, car ils pensent encore que la responsabilité de l étanchéité à l air repose uniquement sur celui qui pose la membrane, alors qu elle est collective. Nous devons donc régulièrement corriger les prescriptions (épaisseurs des isolants), mais aussi les procédures de mise en œuvre. Certains confrères se contentent de poser un simple pare-pluie avec du ruban adhésif au lieu d un vrai pare-vapeur ; ils n ont eu aucune formation à cette technique et ne respectent pas les règles de l art. Si la RT 2012 est un grand progrès pour le bâti, sa mise en œuvre reste encore aléatoire. MARS 2015 J BÂTIMÉTIERS 7

8 CONSTRUIRE OU RÉNOVER nous sommes à vos côtés V. LELOUP LA FFB : 32 MÉTIERS AU SERVICE DES ENTREPRISES AGENCEMENT Chambre française de l agencement (FFB Agencement) - Tél. : CARRELAGE-MOSAÏQUE Union nationale des entrepreneurs céramistes du bâtiment (UNECB-FFB) - Tél. : CHARPENTE - MENUISERIE - PARQUETS Union des métiers du bois (UMB-FFB) Tél. : CONSTRUCTION IMMOBILIÈRE Union des constructeurs immobiliers de la FFB (UCI-FFB) Tél. : CONSTRUCTION MÉTALLIQUE Syndicat de la construction métallique de France (SCMF-FFB) Tél. : COUVERTURE - PLOMBERIE Union nationale des chambres syndicales de couverture et de plomberie de France (UNCP-FFB) Tél. : DÉMOLITION Syndicat national des entreprises de démolition (SNED-FFB) Tél. : ÉCHAFAUDAGE Syndicat français de l échafaudage, du coffrage et de l étaiement (FFB Échafaudage) - Tél. : ENDUITS DE FAÇADE Union nationale des entrepreneurs d enduits de façade (UNEEF-FFB) Tél. : ENTREPRISES GÉNÉRALES Entreprises générales de France-BTP (EGF.BTP) Tél. : ÉTANCHÉITÉ Chambre syndicale française de l étanchéité (CSFE-FFB) Tél. : FERMETURE ET PROTECTION SOLAIRE Syndicat national de la fermeture, de la protection solaire et des professions associées (FFB Fermeture et Store) Tél. : GÉNIE CLIMATIQUE Union des entreprises de génie climatique et énergétique de France (UECF-FFB) Tél. : GESTION DE L ÉNERGIE Syndicat national de l exploitation climatique et de la maintenance (SNEC) Tél. : INSTALLATION ÉLECTRIQUE Fédération française des entreprises de génie électrique et énergétique (FFIE-FFB) Tél. : ISOLATION Syndicat national de l isolation (SNI-FFB) - Tél. : JOINTS ET FAÇADES Syndicat français des joints et façades (SFJF-FFB) - Tél. : MAÇONNERIE - GROS ŒUVRE Union de la maçonnerie et du gros œuvre (UMGO-FFB) Tél. : MENUISERIE ALUMIN IUM Syndicat national de la construction des fenêtres, façades et activités associées (SNFA-FFB) Tél. : MÉTALLERIE Union des métalliers (FFB Métallerie) Tél. : MONTAGE LEVAGE Union du montage levage (FFB Montage Levage) Tél. : MULTISERVICE IMMOBILIER Syndicat professionnel des entreprises de multiservice immobilier et de facilities management (SYPEMI) - Tél. : FINITIONS Union professionnelle des métiers de la finition (UPMF-FFB) Tél. : PHOTOVOLTAÏQUE Groupement des métiers du photovoltaïque (GMPV-FFB) Tél. : PLÂTRE - ISOLATION Union des métiers du plâtre et de l isolation (UMPI-FFB) Tél. : PROTECTION INCENDIE Groupement des installateurs et mainteneurs de systèmes de sécurité incendie (GIMSSI-FFB) Tél. : RECYCLAGE Syndicat des recycleurs du BTP (SRBTP) - Tél. : SOLS INDUSTRIELS Union nationale des entrepreneurs de sols industriels (UNESI-FFB) Tél. : SOLS - RÉSINES Syndicat français des métiers de la résine (SFMR-FFB) - Tél. : THERMIQUE INDUSTRIELLE Syndicat national des entrepreneurs et constructeurs en thermique industrielle - fours et cheminées (SNECTI) - Tél. : TRAVAUX EN HAUTEUR Syndicat français des entrepreneurs de travaux en hauteur (SFETH) Tél. : VERRE - MIROITERIE Fédération française des professionnels du verre (FFPV-FFB) Tél. :

La mise en œuvre BBC. Formation pour entreprises IBSE

La mise en œuvre BBC. Formation pour entreprises IBSE La mise en œuvre BBC Formation pour entreprises IBSE 2 Les labels Maison bioclimatique Maison conçue pour bénéficier de tous les avantages du climat et du terrain ainsi que de la végétation environnante.

Plus en détail

le 06 Octobre 2010 Opportunité Nouveau métier

le 06 Octobre 2010 Opportunité Nouveau métier Étanchéitéàl air le 06 Octobre 2010 Opportunité Nouveau métier Les rencontres du Groupe PROTEC - CONFERENCE Qui sommes nous? Bureau de mesure et contrôle de la perméabilité à l air Formations en Infiltrométrie

Plus en détail

Maison Modèle BIG BOX Altersmith

Maison Modèle BIG BOX Altersmith Maison Modèle BIG BOX Altersmith SOLUTIONS D ENVELOPPE & DE SYSTÈMES PERFORMANCES RT 2005 & LABELS I. Présentation de la maison BIG BOX - T3...2 II. Enveloppes...3 1. Présentation de l enveloppe...3 2.

Plus en détail

Etanchéité à l air dans la construction bois. Marc DELORME Inter Forêt-Bois 42

Etanchéité à l air dans la construction bois. Marc DELORME Inter Forêt-Bois 42 Etanchéité à l air dans la construction bois Marc DELORME Inter Forêt-Bois 42 Pourquoi des bâtiments étanches à l air? Ne pas confondre : étanchéité à l air et confinement Une bonne étanchéité à l air

Plus en détail

Comprendre la réglementation thermique 2012 (RT2012)

Comprendre la réglementation thermique 2012 (RT2012) Comprendre la réglementation thermique 2012 (RT2012) Sommaire 1 Un engagement fort du Grenelle de l environnement 1 Calendrier et champ d application 2 Les nouveautés 3 Les exigences 9 Les quatre niveaux

Plus en détail

guide immobilier Tout savoir pour se loger ou investir

guide immobilier Tout savoir pour se loger ou investir guide immobilier Tout savoir pour se loger ou investir Vous achetez pour vous loger Vous recherchez votre futur domicile? Appartement, maison, neuf ou ancien... Quel que soit le type de bien ou de surface,

Plus en détail

Plancher chauffant avec revêtement de sol

Plancher chauffant avec revêtement de sol Équipements E.2 1/6 Plancher chauffant avec revêtement de sol Domaine d application Cette fiche vise à établir les principales interfaces au niveau des planchers chauffants, à eau chaude ou électriques,

Plus en détail

«RGE» travaux Liste des qualifications, certifications et parcours de formation par domaine de travaux. Date d édition : 1 septembre 2014

«RGE» travaux Liste des qualifications, certifications et parcours de formation par domaine de travaux. Date d édition : 1 septembre 2014 «RGE» travaux Liste des qualifications, certifications et parcours de formation par domaine de travaux Ce document présente : Date d édition : 1 septembre 2014 Les qualifications et certifications «RGE»

Plus en détail

Mieux connaître le secteur du bâtiment

Mieux connaître le secteur du bâtiment iche d animation Compétence B3 Mieux connaître le secteur du bâtiment Objectif Permettre aux élèves de découvrir la diversité des métiers du bâtiment et les caractéristiques de ce secteur. Matériel nécessaire

Plus en détail

Etude et amélioration du comportement thermique d une habitation

Etude et amélioration du comportement thermique d une habitation Etude et amélioration du comportement thermique d une habitation menée avec ARCHIWIZARD Contexte de l étude Mr et Mme LE LOUSTIC viennent d acquérir une maison se situant à Hennebont (56). Peu de travaux

Plus en détail

«RGE» travaux Liste des qualifications et certifications par domaine de travaux. Date d édition : Janvier 2014

«RGE» travaux Liste des qualifications et certifications par domaine de travaux. Date d édition : Janvier 2014 «RGE» travaux Liste des qualifications et certifications par domaine de travaux Date d édition : Janvier 2014 Ce document présente la liste des qualifications et certifications«rge» classées par domaine

Plus en détail

Retours d expériences: le suivi de bureaux. Christophe Schmauch Pierrick Nussbaumer CETE de l Est

Retours d expériences: le suivi de bureaux. Christophe Schmauch Pierrick Nussbaumer CETE de l Est Retours d expériences: le suivi de bureaux Christophe Schmauch Pierrick Nussbaumer CETE de l Est Sommaire 2 L opération étudiée Visite de chantier Instrumentation Explication des consommations Analyse

Plus en détail

ASSURE 1- NATURE DE L ENTREPRISE : EURL SARL SA ETS ENTREPRISE MR AUTRE NOM DE L ENTREPRISE : NOM ET PRENOM DU GERANT :

ASSURE 1- NATURE DE L ENTREPRISE : EURL SARL SA ETS ENTREPRISE MR AUTRE NOM DE L ENTREPRISE : NOM ET PRENOM DU GERANT : Proposition d Assurance Responsabilité Civile et décennale des Entreprises de Construction A retourner par Fax au 04 37 24 52 79 ou par mail à narjisse.boughanemi@entrepreneursdelacite.org Tél : 04 37

Plus en détail

Bâtiments bois à basse consommation d énergie. L étanchéité à l air. Auvergne Promobois Jean-Pierre Mathé chargé de mission construction bois

Bâtiments bois à basse consommation d énergie. L étanchéité à l air. Auvergne Promobois Jean-Pierre Mathé chargé de mission construction bois Auvergne Promobois Jean-Pierre Mathé chargé de mission construction bois Objectifs Performance thermique Pérennité du bâtiment Performance acoustique Protection incendie Santé Confort d été Confort ressenti

Plus en détail

T. BONNARDOT 17/12/2010

T. BONNARDOT 17/12/2010 CYTHELIA Conseil & Expertise La Maison ZEN 350, route de la traverse 73 000 MONTAGNOLE Tel +33 (0) 4 79 25 31 75 www.cythelia.fr SARL au capital de 140 000 - RCS Chambéry B 393 290 937 - APE 7219 Z RT

Plus en détail

«RGE» travaux Liste des qualifications et certifications par domaine de travaux 16/01/2014

«RGE» travaux Liste des qualifications et certifications par domaine de travaux 16/01/2014 «RGE» travaux Liste des qualifications et certifications par domaine de travaux 16/01/2014 Ce document présente la liste des qualifications et certifications «RGE» classées par domaine de travaux liés

Plus en détail

PLOMBIERS CHAUFFAGISTES ECO ARTISAN

PLOMBIERS CHAUFFAGISTES ECO ARTISAN PLOMBIERS CHAUFFAGISTES Le monde change, votre métier aussi. Aujourd hui vos clients n ont qu un mot à la bouche : ECONOMIES D ENERGIE. Écoutez-les! Pour la performance environnementale et économique de

Plus en détail

fioul domestique La rénovation thermique des immeubles collectifs

fioul domestique La rénovation thermique des immeubles collectifs fioul domestique La rénovation thermique des immeubles collectifs Fiche conseil Édition décembre 212 Sommaire P 2 : Obligations P 3 : Démarches volontaires P 4 : Les points clés d une rénovation réussie

Plus en détail

CHARPENTIER / CHARPENTIÈRE

CHARPENTIER / CHARPENTIÈRE CHARPENTIER / CHARPENTIÈRE de nouvelles exigences... Le respect de l'environnement est désormais au cœur de tous les métiers du bâtiment. Chaque professionnel-le doit maîtriser les nouvelles normes et

Plus en détail

De La Terre Au Soleil

De La Terre Au Soleil De La Terre Au Soleil Atelier d Architecture S. Anwoir Architecte Les motivations Respect environnemental et investissement à long terme: Participation au développement durable (protéger notre environnement,

Plus en détail

Questionnaire auto-entrepreneur Assuré

Questionnaire auto-entrepreneur Assuré 1. Nom de à assurer : Questionnaire auto-entrepreneur Assuré Nom, prénom du gérant : 2. Adresse de : Voie : Code Postal : Commune : Tél. : Fax : E-mail : 3. Date de création : 4. Numéro de SIREN : ou création

Plus en détail

DE RENOVATION? GUIDE DES AIDES FINANCIÈRES 2015 VOUS AVEZ UN PROJET. Confort amélioré Economies d'énergie Patrimoine valorisé

DE RENOVATION? GUIDE DES AIDES FINANCIÈRES 2015 VOUS AVEZ UN PROJET. Confort amélioré Economies d'énergie Patrimoine valorisé VOUS AVEZ UN PROJET DE RENOVATION? GUIDE DES AIDES FINANCIÈRES 2015 EDITION 2015 avec la mention RGE et le CITE Confort amélioré Economies d'énergie Patrimoine valorisé SOMMAIRE ECO PTZ P.2 CREDIT D IMPÔT

Plus en détail

Toitures et charpentes

Toitures et charpentes Toitures et charpentes 1/7 Toiture-terrasse Domaine d application Cette fiche vise à établir les principales interfaces au niveau des toitures-terrasses, accessibles ou non. Les ouvrages considérés sont

Plus en détail

L HABITAT. Technologie 5ème

L HABITAT. Technologie 5ème L HABITAT LES FONCTIONS CLORE: air, eau RESISTER: poids propre, charges d exploitation, charges climatiques (neige, vent) ISOLER: thermique, acoustique CHAUFFER l hiver RAFFRAICHIR l été PROCURER: hygiène,

Plus en détail

Travaux d amélioration de la performance énergétique dans les bâtiments existants (2007-2009)

Travaux d amélioration de la performance énergétique dans les bâtiments existants (2007-2009) Travaux d amélioration de la performance énergétique dans les bâtiments existants (2007-2009) Marché de l entretien-amélioration des bâtiments en 2007 Commissariat général au développement durable - Service

Plus en détail

Le financement du projet

Le financement du projet Le financement du projet Comment financer mon projet? 14 Votre budget doit faire l objet d une étude approfondie. Pour vous aider à établir votre plan de financement, faites appel à l Association Départementale

Plus en détail

Soumise à l effet du vent, à la différence

Soumise à l effet du vent, à la différence CVC N 871 NOV./DÉC. 2011 13 PROFESSION ÉTUDE Infiltrométrie Vers un résultat d étanchéité à l air des bâtiments La réglementation thermique 2012 impose un niveau élevé d étanchéité à l air des nouveaux

Plus en détail

Questionnaire. Date d effet souhaitée : Nom de l entreprise à assurer : Nom et prénom du gérant : Adresse de l entreprise : Tél.

Questionnaire. Date d effet souhaitée : Nom de l entreprise à assurer : Nom et prénom du gérant : Adresse de l entreprise : Tél. Questionnaire Questionnaire RC & DECENNALE Merci de bien vouloir nous retourner le questionnaire dûment complété et signé par: mail : contact@assurei.fr fax : 05.35.54.12.03 ou par courrier. Date d effet

Plus en détail

L opération étudiée : le SDEF

L opération étudiée : le SDEF L opération étudiée : le SDEF Situation géographique 29 Landivisiau Finistére Zone H2a Altitude : 34 m Acteurs de l opération Maitrise d ouvrage Maître d œuvre / Architecte BET Thermique SDEF Atelier 3

Plus en détail

J O U R N E E S G EOT H E R M I E EN R E G I O N C E N T R E

J O U R N E E S G EOT H E R M I E EN R E G I O N C E N T R E J O U R N E E S G EOT H E R M I E EN R E G I O N C E N T R E De l estimation des besoins / critères et exemple Février 2012 Présentation : Jérôme DIOT Directeur Technique EGIS Centre Ouest 1 Sommaire Conception

Plus en détail

ISOLER LA TOITURE INCLINÉE

ISOLER LA TOITURE INCLINÉE Lisez aussi : Fiche 1 INTRODUCTION + Fiche 2 MAÎTRISER L ÉTANCHÉITÉ ET PROTÉGER L ISOLANT + Fiche 10 AMÉLIORER LA VENTILATION RÉNOVER POUR CONSOMMER MOINS D ÉNERGIE : GUIDE PRATIQUE ISOLER LA TOITURE INCLINÉE

Plus en détail

Chantier I.F.P.E.C. / Lille. Trophées de la Construction Bois 2009 CNDB Nord BAT Région Nord Pas de calais Picardie U.E.F.E.D.R.

Chantier I.F.P.E.C. / Lille. Trophées de la Construction Bois 2009 CNDB Nord BAT Région Nord Pas de calais Picardie U.E.F.E.D.R. Chantier I.F.P.E.C. / Lille Trophées de la Construction Bois 2009 CNDB Nord BAT Région Nord Pas de calais Picardie U.E.F.E.D.R. Présentation du Projet Extension d un bâtiment tertiaire existant sur 4 niveaux

Plus en détail

Impôts 2015. TVA à 5,5% ou 10% - Travaux dans les logements de plus de 2 ans. particuliers. professionnels du bâtiment

Impôts 2015. TVA à 5,5% ou 10% - Travaux dans les logements de plus de 2 ans. particuliers. professionnels du bâtiment Impôts 2015 TVA à 5,5% ou 10% - Travaux dans les logements de plus de 2 ans particuliers professionnels du bâtiment travaux relevant des taux réduits attestation Les principaux taux de TVA depuis le 1er

Plus en détail

La réglementation thermique 2012

La réglementation thermique 2012 «Questions d actualité!» 18/03/2011 La réglementation thermique 2012 Maria PEAN ADIL 91 Quentin HOFFER - Essonne info énergie/cg91 Maison départementale de l habitat 1 boulevard de l Ecoute-s il-pleut

Plus en détail

FÉDÉRATION FRANÇAISE DU BÂTIMENT - YVELINES 29-78150 LE CHESNAY

FÉDÉRATION FRANÇAISE DU BÂTIMENT - YVELINES 29-78150 LE CHESNAY Dossier d adhésion FÉDÉRATION FRANÇAISE DU BÂTIMENT - YVELINES 29 avenue Debasseux - 78150 LE CHESNAY Tél : 01 39 54 23 69 - Fax : 01 39 55 67 34 Email : attalb@d78.ffbatiment.fr www.d78.ffbatiment.fr

Plus en détail

Avec SAMSE et ses partenaires. Cetii. Les valeurs à connaitre

Avec SAMSE et ses partenaires. Cetii. Les valeurs à connaitre Coordination du lot transversal d étanchéité à l air : l ingénierie concourante Quelques astuces chantier : Chaque interface entre les lots ou interruption de la continuité d étanchéité, doivent être recueillis

Plus en détail

Technicien - Expert en performance thermique de bâtiments neufs ou existants

Technicien - Expert en performance thermique de bâtiments neufs ou existants PARCOURS COMPLET DE PROFESSIONNALISATION Technicien - Expert en performance thermique de bâtiments neufs ou existants proposer un ensemble de prestations liées à l amélioration de la performance thermique

Plus en détail

Le nouvel immeuble du groupe BEI : Climat interne et environnement

Le nouvel immeuble du groupe BEI : Climat interne et environnement Le nouvel immeuble du groupe BEI : Climat interne et environnement Conçu et équipé pour s adapter aux méthodes de travail et aux exigences de communications des nouvelles technologies, le nouvel immeuble

Plus en détail

Cours de Structures en béton

Cours de Structures en béton Cours de Structures en béton Chapitre 12 DETAILS DE CONSTRUCTION Section 12.3 Les murs 12.3.1 Le mur extérieur en béton armé 12.3.2 Le mur extérieur en maçonnerie traditionnelle 12.3.3 Le mur extérieur

Plus en détail

Les 9, 10 et 11 octobre 2014

Les 9, 10 et 11 octobre 2014 Les 9, 10 et 11 octobre 2014 PREPARER SA VISITE AUX «COULISSES DU BATIMENT» Sommaire 1. QU EST CE QUE LE BATIMENT?... 3 Qu entend on concrètement par «Bâtiment»? Erreur! Signet non défini. Bâtiment ou

Plus en détail

La Règue Verte 54 logements THPE à structure béton et enveloppe à ossature bois

La Règue Verte 54 logements THPE à structure béton et enveloppe à ossature bois Forum Bois Construction Beaune 2011 La Règue verte - 54 logements THPE à structure béton et enveloppe à ossature bois B. Dayraut 1 La Règue Verte 54 logements THPE à structure béton et enveloppe à ossature

Plus en détail

Le magazine des professionnels du Bâtiment et des Travaux Publics. Documentation média 2013

Le magazine des professionnels du Bâtiment et des Travaux Publics. Documentation média 2013 Le magazine des professionnels du Bâtiment et des Travaux Publics Documentation média 2013 Profil Public cible Bureaux d architectes, d ingénieurs, de géomètres Entreprises de construction, de génie civil

Plus en détail

Groupements d entreprises offre globale: retours d expériences

Groupements d entreprises offre globale: retours d expériences Groupements d entreprises offre globale: retours d expériences NORDBAT 2012 Qu est ce qu un groupement permanent d entreprises d offre globale? - Notion de groupement permanent Un certain nombre d entreprises

Plus en détail

Les règles d or de la. con struction écologique. Rénover l habitat. écologique économique climatiquement. en énergie sain durable

Les règles d or de la. con struction écologique. Rénover l habitat. écologique économique climatiquement. en énergie sain durable Les règles d or de la con struction écologique Rénover l habitat écologique économique climatiquement neutre peu gourmand en énergie sain durable Le Centre suisse d études pour la rationalisation de la

Plus en détail

Loi de finances pour 2015 Aides à la rénovation énergétique des bâtiments

Loi de finances pour 2015 Aides à la rénovation énergétique des bâtiments Janvier 2015 Loi de finances pour 2015 Aides à la rénovation énergétique des bâtiments (CITE, TVA à taux réduit, Eco-PTZ) INTRODUCTION La loi de finances pour 2015 introduit un certain nombre de mesures

Plus en détail

«Photographie statistique» des entreprises parisiennes engagées dans le secteur de la construction en 2008 et 2009

«Photographie statistique» des entreprises parisiennes engagées dans le secteur de la construction en 2008 et 2009 «Photographie statistique» des entreprises parisiennes engagées dans le secteur de la construction en 2008 et 2009 Septembre 2009 Introduction Le Greffe du tribunal de commerce de Paris a réalisé à la

Plus en détail

Jean-Yves RICHARD ADEME

Jean-Yves RICHARD ADEME «Matériau de structure,isolant et biocombustible, le bois, une matière au service de la construction durable» - le 12 janvier 2009 Les enjeux environnementaux du bâtiment Jean-Yves RICHARD ADEME Le réchauffement

Plus en détail

Déroulement de la certification PEB de votre bâtiment

Déroulement de la certification PEB de votre bâtiment Déroulement de la certification PEB de votre bâtiment La certification énergétique de votre habitation se déroulera en 2 étapes : 1) la visite de votre habitation et le relevé de ses caractéristiques ;

Plus en détail

Libre-Service de l agence ISOPAR Garges-lès-Gonesse

Libre-Service de l agence ISOPAR Garges-lès-Gonesse Libre-Service de l agence ISOPAR Garges-lès-Gonesse 60 Tarif Public H.T. (réservé aux professionnels) Verre cellulaire FOAMGLAS T4+ FOAMGLAS S3 FOAMGLAS F FOAMGLAS TAPERED FOAMGLAS BOARD PANNEAU READY

Plus en détail

Bâtiment PLÂTRIER- PLAQUISTE

Bâtiment PLÂTRIER- PLAQUISTE Bâtiment PLÂTRIER- PLAQUISTE PLÂTRIER- PLAQUISTE Le plâtrier-plaquiste réalise plafonds, plafonds suspendus et cloisons. Il assure également l isolation thermique et acoustique et la protection contre

Plus en détail

Organiser, plannifier

Organiser, plannifier Dossier HABITAT - Organiser, plannifier Organiser, plannifier 010-011 Les métiers et l organisation Situation de départ : Les travaux de la maison vont commencer, qui doit intervenir en premier, comment

Plus en détail

Nouvel immeuble de bureaux pour la C.U.B - Groupe FAYAT

Nouvel immeuble de bureaux pour la C.U.B - Groupe FAYAT COMPTE RENDU DE VISITE ECOLE CENTRALE PARIS Nouvel immeuble de bureaux pour la C.U.B - Groupe FAYAT Introduction Pour la dernière journée de notre voyage d intégration, nous avons été accueillis le vendredi

Plus en détail

MEDIACOM 3 Immeuble de bureaux à Saint-Denis. JOURDA Architectes Paris

MEDIACOM 3 Immeuble de bureaux à Saint-Denis. JOURDA Architectes Paris MEDIACOM 3 Immeuble de bureaux à Saint-Denis Densifier la ville Construire un volume compact, et un maximum de plateaux afin de densifier la ville. Remplir l objectif de densification et de valorisation

Plus en détail

Ossature - Poteaux-poutres

Ossature - Poteaux-poutres Construction Bois Ossature - Poteaux-poutres 2015 Construction de clos-couverts isolés en ossature bois ou système poteaux-poutres Pionnier de la construction bois dans l Ain, ELCC intègre toutes les compétences

Plus en détail

en rénovation habitat Qualifications et certifications RGE Comprendre

en rénovation habitat Qualifications et certifications RGE Comprendre Qualifications et certifications RGE en rénovation Les qualifications et certifications RGE éligibles pour vos travaux de rénovation énergétique en métropole Le recours a un professionnel RGE est obligatoire

Plus en détail

QUESTIONNAIRE ASSURANCE RESPONSABILITE CIVILE DECENNALE et PROFESSIONNELLE DES ENTREPRISES DE CONSTRUCTION

QUESTIONNAIRE ASSURANCE RESPONSABILITE CIVILE DECENNALE et PROFESSIONNELLE DES ENTREPRISES DE CONSTRUCTION SARL F L O V A L 32 Rue des Folles pensées 62380 BLEQUIN 09 71 30 95 50 03 21 93 11 97 Assurances@floval.eu www.floval.eu Siret 513 837 229 00022 Ape 6622 z QUESTIONNAIRE ASSURANCE RESPONSABILITE CIVILE

Plus en détail

Les étapes d un dossier MOB dans l entreprise

Les étapes d un dossier MOB dans l entreprise Les étapes d un dossier MOB dans l entreprise 1 Les étapes d un dossier MOB au bureau d études: 1. La réalisation du devis 2. Passage en commande du dossier 3. La demande d éléments 4. Le plan d implantation

Plus en détail

Besoin et offre de formation dans les métiers du Bâtiment en lien avec le Grenelle de l Environnement

Besoin et offre de formation dans les métiers du Bâtiment en lien avec le Grenelle de l Environnement Phase 2: Analyse du besoin des entreprises Besoin et offre de formation dans les métiers du Bâtiment en lien avec le Grenelle de l Environnement Les plus fortes demandes en «Construction durable» Estimation

Plus en détail

N 5 SUPERSTRUCTURE. Enveloppe Seconde œuvre. Arezou MONSHIZADE MOBat

N 5 SUPERSTRUCTURE. Enveloppe Seconde œuvre. Arezou MONSHIZADE MOBat N 5 SUPERSTRUCTURE Enveloppe Seconde œuvre Arezou MONSHIZADE MOBat SUPERSTRUCTURE: Eléments constructifs SUPERSTRUCTURE Murs et baies Plancher Toiture Couverture +Seconde oeuvre INFRASTRUCTURE Sol Semelles

Plus en détail

Mur Hybride, bien plus qu un simple mur

Mur Hybride, bien plus qu un simple mur Mur Hybride, bien plus qu un simple mur Correction des ponts thermiques Maçonnerie de type a RT 2012 Mur Hybride R = 1,45 Pose rapide Porotherm GF R20 Th+ Mur Hybride énergie économie écologie émotion

Plus en détail

LOT 04 PLOMBERIE SANITAIRES

LOT 04 PLOMBERIE SANITAIRES LOT 04 PLOMBERIE SANITAIRES page 1 1 CLAUSES ET PRESCRIPTIONS GENERALES 1.1 OBJET DE LA NOTICE Le présent CCTP concerne la description des travaux du lot PLOMBERIE SANITAIRES pour la construction des nouvelles

Plus en détail

Maison QUATRE FAçades

Maison QUATRE FAçades Maison QUATRE FAçades Bruxelles Lieu : Woluwé-Saint-Lambert Typologie : Maison quatre façades DATE DE CONSTRUCTION : 1945-1946 DATE DE RENOVATION : 2008 -... Surface chauffee : 147 m² BESOIN DE CHAUFFAGE

Plus en détail

ISOLANTS EN FIBRES DE BOIS SyLvAcTIS. En isolation, le progrès c est aussi de savoir s inspirer de la nature. Entreprise certifiée

ISOLANTS EN FIBRES DE BOIS SyLvAcTIS. En isolation, le progrès c est aussi de savoir s inspirer de la nature. Entreprise certifiée En isolation, le progrès c est aussi de savoir s inspirer de la nature. ISOLANTS EN FIBRES DE BOIS SyLvAcTIS Entreprise certifiée PEFC/10-31-2030 PROMOUVOIR LA GESTION DURABLE DE LA FORÊT UNE ISOLATION

Plus en détail

Bâtiment SERRURIER- MÉTALLIER

Bâtiment SERRURIER- MÉTALLIER Bâtiment SERRURIER- MÉTALLIER SERRURIER- MÉTALLIER Le serrurier-métallier travaille tout type de construction métallique : serrurerie, rampe d escalier, porte, fenêtre, véranda, pont, passerelle, pylône...

Plus en détail

QUESTIONNAIRE ASSURANCE RESPONSABILITE CIVILE DECENNALE DES ENTREPRISES DE CONSTRUCTION

QUESTIONNAIRE ASSURANCE RESPONSABILITE CIVILE DECENNALE DES ENTREPRISES DE CONSTRUCTION Coordonnées du courtier 360 Courtage Nom :.. Adresse :.. CP :..Ville :.. N tel :... E-mail :.. N ORIAS :. QUESTIONNAIRE ASSURANCE RESPONSABILITE CIVILE DECENNALE DES ENTREPRISES DE CONSTRUCTION Date d

Plus en détail

La rénovation énergétique des logements collectifs à chauffage collectif. Performance et potentiel des systèmes de chauffage à eau chaude

La rénovation énergétique des logements collectifs à chauffage collectif. Performance et potentiel des systèmes de chauffage à eau chaude La rénovation énergétique des logements collectifs à chauffage collectif Performance et potentiel des systèmes de chauffage à eau chaude Étude 2011 La rénovation énergétique des logements collectifs à

Plus en détail

de faible capacité (inférieure ou égale à 75 litres) doivent être certifiés et porter la marque NF électricité performance.

de faible capacité (inférieure ou égale à 75 litres) doivent être certifiés et porter la marque NF électricité performance. 9.5. PRODUCTION D EAU CHAUDE sanitaire Les équipements doivent être dimensionnés au plus juste en fonction du projet et une étude de faisabilité doit être réalisée pour les bâtiments collectifs d habitation

Plus en détail

Construire sa maison avec la RT 2012

Construire sa maison avec la RT 2012 L habitat Construire sa maison avec la RT 2012 AGIR! Maîtriser les opérations et la réglementation thermique pour mener à bien un projet de construction Édition : février 2015 sommaire glossaire introduction

Plus en détail

6150, 6166 Route 112, Ascot Corner, Qc., J0B 1A0

6150, 6166 Route 112, Ascot Corner, Qc., J0B 1A0 6150, 6166 Route 112, Ascot Corner, Qc., J0B 1A0 Les renseignements qui sont au dossier sont issus de documents appartenant au propriétaire vendeur. Le propriétaire vendeur atteste la conformité des données

Plus en détail

TRAVAUX DE PLOMBERIE SOMMAIRE

TRAVAUX DE PLOMBERIE SOMMAIRE TRAVAUX DE PLOMBERIE SOMMAIRE LE MARCHÉ DES TRAVAUX DE PLOMBERIE... 2 LA RÉGLEMENTATION DES TRAVAUX DE PLOMBERIE... 5 L'ACTIVITÉ DES TRAVAUX DE PLOMBERIE... 8 LES POINTS DE VIGILEANCE DES TRAVAUX DE PLOMBERIE...

Plus en détail

Version 1. Demandeur de l étude : VM - BETON SERVICES 51 Boulevard des Marchandises 85260 L'HERBERGEMENT. Auteur * Approbateur Vérificateur(s)

Version 1. Demandeur de l étude : VM - BETON SERVICES 51 Boulevard des Marchandises 85260 L'HERBERGEMENT. Auteur * Approbateur Vérificateur(s) Département Enveloppe et Revêtements Division HygroThermique des Ouvrages N affaire : 12-007 Le 10 avril 2012 Réf. DER/HTO 2012-093-BB/LS CALCUL DES COEFFICIENTS DE TRANSMISSION SURFACIQUE UP ET DES COEFFICIENTS

Plus en détail

guide lot CVC Points de vigilance à l usage des conducteurs de travaux EG ENTREPRISES GÉNÉRALES DE FRANCE BTP

guide lot CVC Points de vigilance à l usage des conducteurs de travaux EG ENTREPRISES GÉNÉRALES DE FRANCE BTP ENTREPRISES GÉNÉRALES DE FRANCE BTP guide Points de vigilance à l usage des conducteurs de travaux EG lot CVC Avant-propos AVANT-PROPOS CHAUFFAGE... 1 CLIMATISATION... 2 GESTION TECHNIQUE CENTRALISÉE 3

Plus en détail

solutions et confort d été Inertie thermique Logements Paris École de chimie Bibliothèque et archives municipales Montpellier p.

solutions et confort d été Inertie thermique Logements Paris École de chimie Bibliothèque et archives municipales Montpellier p. solutions B É T O N Inertie thermique et confort d été UNE TROP FORTE CHALEUR À L INTÉRIEUR D UNE HABITATION EST UN Logements Paris FACTEUR D INCONFORT IMPORTANT.SI CELA EST SOUVENT VÉCU COMME UNE FATALITÉ,

Plus en détail

OFFRE DE SERVICE. Référence : GA/NT/P.180613593

OFFRE DE SERVICE. Référence : GA/NT/P.180613593 Etudes & Contrôles thermiques 38, avenue du Midi - 91760 ITTEVILLE Tél. : 01 69 90 86 10 - Fax : 01 69 90 91 59 Adresse postale: BP 70017-91610- BALLANCOURT E-mail : bet.ecic@wanadoo.fr - Site : www.bet-ecic.fr

Plus en détail

prêt bonifié pour la rénovation énergétique des logements

prêt bonifié pour la rénovation énergétique des logements environnement prêt bonifié pour la rénovation énergétique des logements Un crédit vous engage et doit être remboursé. Vérifiez vos capacités de remboursement avant de vous engager RENOV LR, le prêt bonifié

Plus en détail

Financez vos travaux d économies d énergie : l éco-prêt à taux zéro

Financez vos travaux d économies d énergie : l éco-prêt à taux zéro Financez vos travaux d économies d énergie : l éco-prêt à taux zéro Financez vos économies d énergie l éco-prêt à taux zéro SOMMAIRE Écoutez vos envies d économies d énergie............ 3 Un éco-prêt à

Plus en détail

Aide à l'application EN-1 Part maximale d'énergies non renouvelables dans les bâtiments à construire Edition janvier 2009

Aide à l'application EN-1 Part maximale d'énergies non renouvelables dans les bâtiments à construire Edition janvier 2009 Aide à l'application EN-1 Part maximale d'énergies non renouvelables dans les bâtiments à construire Contenu et but Cette aide à l application traite des exigences à respecter concernant la part maximale

Plus en détail

Dalle Activ Kerkstoel Activation du noyau de béton

Dalle Activ Kerkstoel Activation du noyau de béton Dalle Activ Kerkstoel Activation du noyau de béton Basé sur l expérience, piloté par l innovation L activation du noyau de béton : un système bien conçu, économe et durable. Construire selon ce principe,

Plus en détail

CHAUFFAGE RADIANT RÉCHAUFFER LA MAISON AVEC UN PLANCHER CHAUFFANT. www.rehau.com. Construction Automobile Industrie

CHAUFFAGE RADIANT RÉCHAUFFER LA MAISON AVEC UN PLANCHER CHAUFFANT. www.rehau.com. Construction Automobile Industrie CHAUFFAGE RADIANT RÉCHAUFFER LA MAISON AVEC UN PLANCHER CHAUFFANT www.rehau.com Construction Automobile Industrie DÉCOUVREZ LE CONFORT Votre maison est un refuge où vous pouvez relaxer, bâtir des souvenirs

Plus en détail

Un mode opératoire unique : le 5D Process

Un mode opératoire unique : le 5D Process Un mode opératoire unique : le 5D Process Le groupe OSSABOIS s appuie depuis 28 ans sur un mode constructif basé sur la préfabrication des murs et des charpentes en atelier. Les murs sortent en effet de

Plus en détail

Acoustique et thermique

Acoustique et thermique Chapitre 3 Acoustique et thermique 1. Préambule 2. Étude de systèmes constructifs 29 Chapitre 3 Acoustique et thermique 1. Préambule Les bonnes solutions thermiques n améliorent pas forcément l acoustique!

Plus en détail

Bulletin trimestriel de conjoncture n 59

Bulletin trimestriel de conjoncture n 59 Bulletin trimestriel de conjoncture n 59 2 ème trimestre 2013 Repli accentué au 2 ème trimestre (-2%) du volume de travaux d entretienrénovation de logements Cette baisse d activité correspond à une baisse

Plus en détail

Choisir un professionnel compétent

Choisir un professionnel compétent L habitat Choisir un professionnel compétent COMPRENDRE Pour des bâtiments économes en énergie Édition : février 2015 sommaire glossaire introduction Faites appel à des professionnels compétents... 3 Des

Plus en détail

Construction en bottes de paille

Construction en bottes de paille Construction en bottes de paille Performance technique, économique et écologique Construction en bottes de paille Performant : Super isolant, R = 6 (équivalent à 25 cm de laine de verre dernière génération)

Plus en détail

PREPARER SA VISITE AUX «COULISSES DU BATIMENT» Livret destiné aux collégiens et lycéens visitant les chantiers et ateliers

PREPARER SA VISITE AUX «COULISSES DU BATIMENT» Livret destiné aux collégiens et lycéens visitant les chantiers et ateliers PREPARER SA VISITE AUX «COULISSES DU BATIMENT» Livret destiné aux collégiens et lycéens visitant les chantiers et ateliers Rendez-vous le 11 octobre 2012 pour visiter le chantier GROUPE SCOLAIRE ILOT DE

Plus en détail

IMMEUBLES COLLECTIFS DE LOGEMENTS CONSTRUITS ENTRE 1949 ET 1974

IMMEUBLES COLLECTIFS DE LOGEMENTS CONSTRUITS ENTRE 1949 ET 1974 DÉPARTEMENT ÉNERGIE SANTÉ ENVIRONNEMENT Division Energie Pôle Performance Energétique des bâtiments DÉPARTEMENT ECONOMIE ET SCIENCES HUMAINES Laboratoire Services Process Innovations ESE/DE/PEB-12.039RR

Plus en détail

REFERENTIEL POUR L ATTRIBUTION DE LA MENTION RGE :

REFERENTIEL POUR L ATTRIBUTION DE LA MENTION RGE : REFERENTIEL POUR L ATTRIBUTION DE LA MENTION RGE : RECONNU GARANT DE L ENVIRONNEMENT Date de mise en application : 20/02/2014 QUALIFELEC RE/0010 indice A 1 SOMMAIRE 1. DOMAINE D APPLICATION... 4 1.1 Objet...

Plus en détail

Réglementation et attestations thermique

Réglementation et attestations thermique Réglementation et attestations thermique Réunions d échanges ADS des 25 novembre et 2 décembre 2014 DDT 38 - SLC- QC 1 réglementation thermique attestations -... 1 la réglementation thermique 2 les attestations

Plus en détail

Questionnaire Assurance Responsabilité Civile Professionnelle des entreprises de construction

Questionnaire Assurance Responsabilité Civile Professionnelle des entreprises de construction Questionnaire Assurance Responsabilité Civile Professionnelle des entreprises de construction 1 INFORMATIONS GENERALES Effectuez-vous l une des activités suivantes? Désamiantage Travaux spéciaux Pisciniste

Plus en détail

QUESTIONNAIRE ASSURANCE RESPONSABILITE CIVILE PROFESSIONNELLE ET DECENNALE CONTRACTANTS GENERAUX

QUESTIONNAIRE ASSURANCE RESPONSABILITE CIVILE PROFESSIONNELLE ET DECENNALE CONTRACTANTS GENERAUX QUESTIONNAIRE ASSURANCE RESPONSABILITE CIVILE PROFESSIONNELLE ET DECENNALE CONTRACTANTS GENERAUX 1 RENSEIGNEMENTS GENERAUX Merci de compléter ce document en lettres capitales Date d effet souhaitée : /

Plus en détail

Séminaire sur le bâtiment durale en Haute- Normandie

Séminaire sur le bâtiment durale en Haute- Normandie Séminaire sur le bâtiment durale en Haute- Synthèse de l étude prospective sur les besoins d adaptation structurelle de la filière du bâtiment à la mise en œuvre du Grenelle de l Environnement à l Horizon

Plus en détail

habitat RÉNOVATION Quelles qualifications et certifications RGE pour quels travaux? Comprendre

habitat RÉNOVATION Quelles qualifications et certifications RGE pour quels travaux? Comprendre Comprendre RÉNOVATION Quelles qualifications et certifications RGE pour quels travaux? Mise à jour le 15 juin 2015 Près de 40 000 professionnels qualifiés RGE en métropole Les propriétaires, locataires,

Plus en détail

D 4.5 : MONITORING AND EVALUATION REPORT FOR MOUNTEE PILOTS

D 4.5 : MONITORING AND EVALUATION REPORT FOR MOUNTEE PILOTS mountee: Energy efficient and sustainable building in European municipalities in mountain regions IEE/11/007/SI2.615937 D 4.5 : MONITORING AND EVALUATION REPORT FOR MOUNTEE PILOTS Nom du projet-pilote

Plus en détail

Cahier des charges relatif à la certification et re-certification des diagnostiqueurs

Cahier des charges relatif à la certification et re-certification des diagnostiqueurs Région Martinique Cahier des charges relatif à la certification et re-certification des diagnostiqueurs Version définitive - septembre 2013 1 Sommaire 1 OBJET DU DOCUMENT... 3 2 RAPPEL DES TEXTES APPLICABLES...

Plus en détail

Guide d utilisation. Partie VIII - Module DPE

Guide d utilisation. Partie VIII - Module DPE Guide d utilisation Partie VIII - Module DPE Sommaire 1 OBJET DU DIAGNOSTIC... 4 1.1 Préambule... 4 1.2 Définitions... 5 1.3 Applications... 6 1.3.1 Définition... 6 1.3.2 Index des types de DPE... 6 1.3.3

Plus en détail

Décrets, arrêtés, circulaires

Décrets, arrêtés, circulaires Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE L ÉCOLOGIE, DE L ÉNERGIE, DU DÉVELOPPEMENT DURABLE ET DE L AMÉNAGEMENT DU TERRITOIRE Arrêté du 13 juin 2008 relatif à la performance énergétique

Plus en détail

Aide à la mise en œuvre. Isolation des murs. par l extérieur

Aide à la mise en œuvre. Isolation des murs. par l extérieur Aide à la mise en œuvre Isolation des murs par l extérieur Protecteur Sain Ecologique 3 lettres synonymes de bien-être Telle pourrait être la définition du sigle PSE, mais ses atouts sont loin de se limiter

Plus en détail

Bureau d Etudes Façades & Nacelles

Bureau d Etudes Façades & Nacelles Bureau d Etudes Façades & Nacelles Présentation de notre BET Conseil & Assistance auprès des Maitres d Ouvrages, Promoteurs, Architectes Conception d installations permanentes de nettoyage Notes de calculs

Plus en détail

NOTICE DE RENSEIGNEMENTS CONCERNANT LES ETABLISSEMENTS RELEVANT DU CODE DU TRAVAIL

NOTICE DE RENSEIGNEMENTS CONCERNANT LES ETABLISSEMENTS RELEVANT DU CODE DU TRAVAIL 1 NOTICE DE RENSEIGNEMENTS CONCERNANT LES ETABLISSEMENTS RELEVANT DU CODE DU TRAVAIL NOM DE L ETABLISSEMENT : Atelier 1 menuiserie, Ateliers 2, 3 et 4 non connu à ce jour NATURE DE L EXPLOITATION : Ateliers

Plus en détail

I.RÉNOV Saint-Gille-Croix-de-Vie (85) Le marché de la rénovation vu par Jocelyn Merceron, Président Directeur Général

I.RÉNOV Saint-Gille-Croix-de-Vie (85) Le marché de la rénovation vu par Jocelyn Merceron, Président Directeur Général Les acteurs de la rénovation globale certifiée NF Maison Rénovée livrent leur vision du marché Contact presse : Le Bonheur estt dans la Com - Ingrid Launay LD : 01 43 83 53 32 email : launay@bcomrp.com

Plus en détail