«Les organismes transgéniques en production industrielle (agroalimentaire, pharmaceutique )»
|
|
- Gabriel Chevalier
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 «Les organismes transgéniques en production industrielle (agroalimentaire, pharmaceutique )» Introduction : Quentin I Comment crée-t-on les organismes transgéniques? Quentin II Quelles sont les utilisations de ces organismes en production industrielle? Axelle (1.2.3) Manon (4.5) Conclusion : Manon Introduction. (QUENTIN) Un organisme transgénique est aussi plus couramment appelé un Organisme Génétiquement Modifié (OGM). Il s agit d un être vivant (animal, végétal, micro-organisme) dont l information génétique contenue dans ses cellules a été modifiée par génie génétique. En effet, les techniques du génie génétique permettent d intervenir directement sur la molécule d ADN (Acide Désoxyribonucléique). Ainsi, les biologistes peuvent sélectionner les gènes à transférer d un organisme à un autre. La barrière des espèces est ainsi franchie. Par exemple, un gène humain a été ajouté à une lignée de maïs, ce qui entraîne la sécrétion, par le maïs, d'anticorps humains destinés à adhérer aux cellules tumorales et à les tuer. Cela protège donc le maïs de maladies auxquelles il n aurait pas survécu s il n avait pas eu ce gène humain. Par cet exemple, nous venons d annoncer le plan de notre exposé : - comment crée-t-on un OGM? - comment sont-ils utilisés dans l industrie?
2 I Comment crée-t-on un organisme transgénique? (QUENTIN) Pour pouvoir créer une plante génétiquement modifiée, on doit en premier lieu identifier un caractère intéressant d un organisme «donneur» (humain, bactérie, plante ) que l on veut intégrer dans l organisme «receveur». Ensuite, on isole le gène d intérêt en le séparant du reste d information génétique à l aide d enzymes de restriction. On peut ensuite intégrer le gène dans une construction génétique. Celle-ci est ensuite multipliée afin de disposer d'une quantité suffisante d'adn pour son introduction dans les cellules du nouvel organisme que l on veut former. On procède ensuite à la TRANSGÉNÈSE. Il s agit en fait de transférer le gène dans une cellule. Il existe trois techniques séparées en deux parties : - Transfert direct : o la biolistique : il s agit de la projection d'adn dans les cellules de la plante. On utilise un canon à particules qui projette dans les cellules des microparticules d or ou de tungstène enrobées d'adn. On force ainsi la membrane des cellules végétales et fait directement passer le gène d intérêt dans la cellule ; o l électroporation : c est l'introduction d'adn dans des protoplastes, c est-à-dire des cellules végétales sans paroi, par action d'un agent chimique ou d'un champ électrique. - Transformation biologique : Cette technique utilise une bactérie du sol, l agrobacterium, qui a la propriété de réaliser naturellement la transformation génétique d'une plante, afin de la parasiter. Ainsi, une construction génétique introduite dans la bactérie sera transférée dans la plante et intégrée à son génome. C'est la technique la plus couramment utilisée. On utilise aussi la transgénèse chez les animaux. La micro-injection de gènes est la méthode la plus utilisée et la plus convaincante. Chez la souris et d'autres mammifères (lapin, porc, mouton, chèvre, vache), il est possible d'injecter directement une solution contenant de l'adn dans un ovule fécondé, à l'aide d'une micropipette, sous contrôle microscopique. L'injection a lieu dans l'un des deux noyaux fournis par les cellules sexuelles mâle et femelle, juste avant qu ils ne fusionnent. L'embryon est ensuite transplanté dans l'utérus d'une femelle. Par cette méthode, 10 à 30% des nouveau-nés descendants intègrent le gène au sein de leur patrimoine génétique.
3 II Quelles sont les utilisations de ces organismes en production industrielle? (AXELLE) On retrouve les organismes transgéniques dans quatre domaines principaux : - l agriculture, - l alimentation, - la santé, - l industrie. 1 ) Tout d abord dans l agriculture. (AXELLE) De nombreux travaux de génie génétique concernent l'introduction de gènes de résistance aux herbicides ou aux insectes, et dans une moindre mesure, à certains virus et maladies. Associées à un usage raisonné d'herbicides et de pesticides, ces plantes transgéniques vont améliorer l'efficacité de l'agriculture, tout en respectant encore mieux l'environnement. On les retrouve dans certains pays émergents tels que l Inde qui a entreprit sa Révolution Verte pour pourvoir à ses besoins en nourriture. Par exemple, la bactérie Bacillus thuringiensis est une mine d or de gènes concernant la résistance aux insectes. Plusieurs recherches ont ainsi abouti à la création de plants de tabac, de pomme de terre, de coton, de tomate et de maïs résistants à des insectes grâce à cette source de gènes. Dans le cas du maïs, un parasite, la pyrale, cause très souvent la perte de champs de maïs. Et bien, cette bactérie possède un gène qui permet dans les cellules du maïs, la production d'une protéine qui se transforme en toxine dans le tube digestif de la pyrale. Chez les autres animaux et chez l'homme, cette protéine est simplement digérée sans aucun effet toxique. 2 ) Au niveau de l alimentation (AXELLE) Il s'agit de modifier la composition d'une plante afin de lui apporter des avantages nutritionnels et gustatifs ou de lui conférer de nouvelles caractéristiques qui permettent de diversifier les débouchés. En effet, pour l alimentation des animaux, les recherches scientifiques vont dans le sens d'un développement de plantes permettant un meilleur rendement nutritionnel. Concernant l'alimentation humaine, des travaux sont menés pour diminuer les propriétés allergènes du riz et du soja. Pour obtenir ce résultat, on cherche à introduire dans la plante un gène modifié qui
4 empêche la synthèse de la protéine allergisante. Mais du côté des consommateurs français, les OGM ne sont pas très bien acceptés voire pas du tout. En effet, on ne sait toujours pas quels effets, s il y en a, les OGM ont sur l organisme. Ils sont donc beaucoup contestés. Ce sont les résultats les plus avancés concernant la qualité alimentaire. Sur le melon et sur la tomate, on a pu obtenir des variétés transgéniques à maturation retardée. Ces fruits peuvent être récoltés à un stade de maturation plus avancé, donc être plus savoureux. D'autre part, il en résulte une meilleure conservation et une aptitude au transport améliorée, réduisant les pertes. 3 ) Pour la santé maintenant (AXELLE et MANON) AXELLE Génétiquement modifiées, des plantes de tabac, de maïs, ou de pomme de terre peuvent produire des molécules thérapeutiques ou des vaccins. Ainsi on peut créer de nouveaux vaccins pour guérir des maladies auparavant incurables. Aujourd hui, on retrouve une technique très répandue dans l industrie pharmaceutique qui est la culture de cellules «en milieu confiné». On identifie la séquence de l ADN humain qui permet de fabriquer une protéine intéressante que l on introduit dans des bactéries, des levures ou des cellules animales. On les place ensuite en culture. L organisme va ainsi fabriquer le composé avec sa mécanique cellulaire. Il faut ensuite le purifier pour l utiliser sous une forme facilement administrable. On fabrique de cette manière de nombreux produits et médicaments tels que l insuline. Ces molécules n auraient pu être produites par d autres procédés. MANON On compte un autre exemple d OGM utilisés comme médicament : la thérapie génique. Ici, on modifie directement les gènes de l être humain. On retrouve des personnes dont un gène est défectueux. Une copie fonctionnelle de ce gène leur est fournit à l aide d un virus rendu inoffensif. Effectivement, il change directement le matériel génétique à l intérieur d une cellule par celui qu il possède. Cette technique, très prometteuse, est actuellement sur le banc d essai. Malheureusement, les résultats se font attendre. Le premier succès a été obtenu en France sur les bébés-bulles. Ces nouveau-nés ont un système immunitaire déficient voire inexistant. Mais des complications graves sont apparues sur l un des enfants et cela a obligé l arrêt des essais. 4 ) L utilisation de la transgénèse dans les industries. (MANON)
5 Dans l industrie en général, il y a aussi des exemples d utilisation des OGM. On trouve par exemple des forêts de peupliers et d eucalyptus transgéniques. En effet, la lignine est l un des principaux constituants de la paroi des cellules du bois. Elle joue un rôle important dans les fonctions de soutien, de conduction et de défense contre l'attaque des champignons et des insectes. La lignine est, en revanche, indésirable dans l'industrie papetière. Effectivement, pour obtenir un papier blanc de bonne qualité, les lignines doivent être dégradées, afin de libérer la cellulose, principal composant du papier. Son élimination durant la production de pâte à papier nécessite l'utilisation de produits chimiques chers et polluants ainsi que la consommation d'une grande quantité d'eau. C est pour cette raison que des arbres transgéniques avec un taux de lignine beaucoup moins important ont été créés par génie génétique. Les matières plastiques et les huiles industrielles sont un autre exemple. Effectivement, elles sont synthétisées à partir de matières premières fossiles, comme le pétrole, qui sont des ressources limitées. Les recherches scientifiques s orientent donc vers de nouvelles ressources renouvelables. Parmi ces recherches, on trouve celle destinée à la création d un colza transgénique ayant un taux élevé en acide gras pour la production de lubrifiants ou de matières plastiques. 5 ) Voici un autre exemple d utilisation de la transgénèse. (MANON) Certains animaux, en l occurrence des poissons, ont été génétiquement modifiés. Surnommés les «premiers OGM de compagnie» ou «Frankenfish», les Glofish sont des petits poissons zébrés auxquels les scientifiques ont introduit dans leur génome un gène de la protéine d'une méduse conférant des couleurs rouge, vert et orange. Le glofish devait auparavant servir d indicateur de toxines car il devenait fluorescent au contact de celles-ci dans son environnement. Mais il reste désormais toujours fluorescent après re-modification et sera vendu au grand public. Conclusion (MANON) Les OGM sont un domaine de recherches depuis maintenant une vingtaine d années. En effet, les surfaces cultivées d OGM étaient inexistantes en Elles avoisinent en 2007 les 114 millions d'hectares, soit plus de 7% du milliard et demi d'hectares de terres cultivées. Pourtant très contrôlés, les organismes transgéniques n en sont qu à leurs débuts et de nombreuses organisations protestent contre eux. En effet, on ne sait pas s il peut y avoir des effets néfastes sur l homme ou la nature. Mais leur but est pourtant de protéger la nature quitte à la modifier et de réduire
6 l utilisation des matières fossiles, de pesticides et autres produits polluants. LEXIQUE! (A MARQUER AU TABLEAU) Génie génétique : C est l ensemble des outils et des techniques de la biologie moléculaire permettant, de manière contrôlée, l'étude et la modification des gènes : leur isolement, leur clonage, leur découpage, etc. Transgénèse : Il s agit de la technique servant à introduire un gène étranger (transgène) dans le génome d'un organisme, en vue d'obtenir un organisme génétiquement modifié. Protoplaste : Les protoplastes sont des cellules végétales sans paroi. Comme elles n'ont plus de paroi, ces cellules sont utilisées pour l'introduction de matériel génétique étranger. Agrobactérium : La bactérie Agrobacterium possède naturellement la capacité de reprogrammer des plantes en introduisant ses propres gènes. Cette bactérie est donc utilisée pour modifier génétiquement nombre de plantes.
Les OGM. 5 décembre 2008. Nicole Mounier
Les OGM 5 décembre 2008 Nicole Mounier Université Claude Bernard Lyon 1 CGMC, bâtiment Gregor Mendel 43, boulevard du 11 Novembre 1918 69622 Villeurbanne Cedex OGM Organismes Génétiquement Modifiés Transfert
Plus en détailLes débouchés des diplômés de L LMD Sciences de la Nature et de la Vie
Les débouchés des diplômés de L LMD Sciences de la Nature et de la Vie Pour quel métier vous êtes fait? Des doutes sur ta formation actuelle : faut-il poursuivre? Vous avez une idée de métier mais est-ce
Plus en détail«L énergie la moins chère et la moins polluante est celle qu on ne consomme pas»
Énergie «L énergie la moins chère et la moins polluante est celle qu on ne consomme pas» La première fonction de l agriculture est la valorisation de l énergie solaire en énergie alimentaire par la photosynthèse.
Plus en détail12. À chacun son point de vue
12. À chacun son point de vue Secondaire, cycle 1 Durée : 60 min. L agriculture est en crise partout sur la planète. Alors que certains louent les bénéfices de l agriculture conventionnelle moderne, d
Plus en détailJEUNE CONSEIL DE MONTRÉAL
JEUNE CONSEIL DE MONTRÉAL XXVII e Édition Règlement n o 2014-02 : Règlement sur le développement des toits verts et l agriculture urbaine PRÉSENTATION Présenté par M. Charles Marois, membre du comité exécutif,
Plus en détailDr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires
Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires I. Introduction II. Les microscopes 1. Le microscope optique 2. Le microscope à fluorescence 3. Le microscope confocal 4. Le microscope électronique
Plus en détailLA MITOSE CUEEP - USTL DÉPARTEMENT SCIENCES BAHIJA DELATTRE
Biologie LA MITOSE CUEEP - USTL DÉPARTEMENT SCIENCES BAHIJA DELATTRE Février 2006 I. L'INTRODUCTION Chaque cellule d'un organisme supérieur provient de la multiplication d'une cellule préexistante (cellule
Plus en détail«Cette action contribue au PNNS». À CHÂTEAU THIERRY
«Cette action contribue au PNNS». «IL FAIT BIO À CHÂTEAU THIERRY A Chateau Thierry, la Municipalité souhaite développer les produits BIO et issus de filières de proximité dans les menus de la restauration
Plus en détailToxicité à long-terme d un herbicide Roundup et d un maïs modifié génétiquement pour tolérer le Roundup
A l attention de toutes les personnes qui se méfient des jugements de valeur fussent-ils émis par des scientifiques- et qui préfèrent capter les informations à leur source pour s en faire une opinion personnelle.
Plus en détailCHAPITRE 8 PRODUCTION ALIMENTAIRE ET ENVIRONNEMENT
CHAPITRE 8 PRODUCTION ALIMENTAIRE ET ENVIRONNEMENT 1 Relations alimentaires entre les êtres vivants 1 1 Les chaines alimentaires. Une chaine alimentaire est constituée par une succession d êtres vivants
Plus en détailMYCOTOXINES : changements règlementaires et analytiques
MYCOTOXINES : changements règlementaires et analytiques E. MARENGUE ( LDA22 ) et S. HULOT ( IDAC ) PLAN 1) La problématique 2) Les évolutions règlementaires 3) L échantillonnage : étape clé 4) Les techniques
Plus en détailLes méthodes de luttes : De la protection «systématique» à la Protection Intégrée (P.B.I.)
Les méthodes de luttes : De la protection «systématique» à la Protection Intégrée (P.B.I.) Protection Biologique Intégrée Lutte phytosanitaire De la lutte «systématique» à la lutte raisonnée La lutte «systématique»
Plus en détailLe BTS Sciences et Technologies des Aliments (STA)
BTS Le BTS Sciences et Technologies s Aliments (STA) Qu est ce que l agroalimentaire? Définition: L'agroalimentaire désigne l'ensemble s activités transformation s produits l'agriculture stinés à l'alimentation
Plus en détailPLAN BIO MIDI-PYRENEES 2014-2020, UN PLAN SANS AMBITION
PLAN BIO MIDI-PYRENEES 2014-2020, UN PLAN SANS AMBITION Pourquoi les élu-es EELV au Conseil Régional ne voteront pas le Plan Bio Midi-Pyrénées 2014-2020 en l état? Plan Bio Midi-Pyrénées, un plan sans
Plus en détailComment utilisons-nous notre argent?
Comment utilisons-nous notre argent? L'alimentation et le logement constituent les deux dépenses les plus importantes des ménages antillo-guyanais. C'est pour leur logement que les ménages dépensent le
Plus en détailGranulés anti-limaces : pas sans risques!
Granulés anti-limaces : pas sans risques! Conseils pratiques pour une utilisation et un stockage corrects et sans danger pour vos animaux domestiques Comment utiliser et stocker sans danger les granulés
Plus en détailFiche technique. Comment lutter contre les nématodes parasites des cultures maraichères par la solarisation?
Institut National de la Recherche Agronomique du Niger Réseau National des Chambres d'agriculture du Niger Fiche technique RECA Réseau National des Chambres N d Agriculture du Niger iger Comment lutter
Plus en détailCONGRES REGIONAL CTA/ ATPS DE LA JEUNESSE EN AFRIQUE
CONGRES REGIONAL CTA/ ATPS DE LA JEUNESSE EN AFRIQUE Exploiter le Potentiel de la Science, de la Technologie et de l Innovation dans les chaînes Agro-alimentaires en Afrique : Créer emplois et richesse
Plus en détailQualités nutritives des salades. DOSSIER SPéCIAL BIO F R C magazine FéVRIER 2010 N O 25. Quand la météo s en mêle
DOSSIER SPéCIAL BIO F R C magazine FéVRIER 2010 N O 25 Laitues d hiver Moins de pe Les laitues pommées bio se révèlent exemptes de pesticides. Plus «Bonne nouvelle: toutes les salades sont conformes et
Plus en détailPour une meilleure santé
Pour une meilleure santé LA CONSOMMATION QUOTIDIENNE DE VIANDE APPORTE DES GRAISSES SATURÉES. => AUGMENTATION TAUX DE CHOLESTÉROL ET MALADIES CARDIO-VASCULAIRES. => RISQUE DE SURPOIDS ET D'OBÉSITÉ. LES
Plus en détailACTIONS ET POLITIQUES SUR L'INVESTISSEMENT DANS L'AGRICULTURE
ACTIONS ET POLITIQUES SUR L'INVESTISSEMENT DANS L'AGRICULTURE 1. Les investissements doivent contribuer à et être compatibles avec la réalisation progressive du droit à une alimentation suffisante et nutritive
Plus en détailSpécialisation 3A AgroSup Dijon IAA Microbiologie Industrielle et Biotechnologie (MIB)
Spécialisation 3A AgroSup Dijon IAA Microbiologie Industrielle et Biotechnologie (MIB) Responsable : Jean-François Cavin (Pr. Microbiologie Biotechnologie) Tel 03 80 77 40 72, Fax 03 80 77 23 84 jf.cavin@agrosupdijon.fr
Plus en détailCritères pour les méthodes de quantification des résidus potentiellement allergéniques de protéines de collage dans le vin (OIV-Oeno 427-2010)
Méthode OIV- -MA-AS315-23 Type de méthode : critères Critères pour les méthodes de quantification des résidus potentiellement allergéniques de protéines de collage (OIV-Oeno 427-2010) 1 Définitions des
Plus en détailComment utiliser les graines de soja à la cuisine
Comment utiliser les graines de soja à la cuisine Auteur : Renate Schemp Box 90612 Luanshya Zambie Traduction : SECAAR Service Chrétien d Appui à l Animation Rurale 06 BP 2037 Abidjan 06 Côte d Ivoire
Plus en détailAVANT-PROPOS. Directeur de la Division de la statistique de la FAO
AVANT-PROPOS L Annuaire statistique de la FAO fournit une sélection d indicateurs par pays sur l alimentation et l agriculture. Les données proviennent de FAOSTAT, la base de données statistique de l Organisation
Plus en détailL étude du professeur Séralini sur le maïs OGM va être évaluée
L étude du professeur Séralini sur le maïs OGM va être évaluée Le professeur Gilles Eric Séralini a présenté jeudi 20 septembre, lors d une conférence de presse avec la députée européenne Corinne Lepage,
Plus en détailPROTECTION DE PRODUITS EN IG
PROTECTION DE PRODUITS EN IG Ousman ABDOU Ingénieur Agrométéorologue Expert de l Agriculture en IG Point focal IG/OAPI Direction Générale de l Agriculture Tel: (00227) 90 34 09 28 Email: ous_ab@yahoo.fr
Plus en détailPOLITIQUE DE BIOSÉCURITÉ
Date d entrée en vigueur: Mai 2006 Remplace/amende: VRS-52/s/o Origine: Vice-rectorat aux services Numéro de référence: VPS-52 DÉFINITION Une substance biologique dangereuse se définit comme un organisme
Plus en détailATELIER SANTE PREVENTION N 2 : L ALIMENTATION
ATELIER SANTE PREVENTION N 2 : L ALIMENTATION Mardi 24 janvier 2012 au Centre de Formation Multimétiers de REIGNAC L objectif de cet atelier sur la santé est de guider chacun vers une alimentation plus
Plus en détailRépublique de Côte d Ivoire NOTE D INFORMATION UN INSTRUMENT PROFESSIONNEL AU CŒUR DU DEVELOPPEMENT AGRICOLE ET DES FILIERES DE PRODUCTION
République de Côte d Ivoire NOTE D INFORMATION UN INSTRUMENT PROFESSIONNEL AU CŒUR DU DEVELOPPEMENT AGRICOLE ET DES FILIERES DE PRODUCTION Investir pour le futur Anticiper - Innover 01 BP 3726 ABIDJAN
Plus en détailBesoins de recherche et de transfert en agriculture biologique Horizon 2016
Besoins de recherche et de transfert en agriculture biologique Horizon 2016 Comité agriculture biologique du Centre de référence en agriculture et agroalimentaire du Québec (CAAQ) Octobre 2012 mise à jour
Plus en détailANCRÉ PAR NOS RESSOURCES
ANCRÉ PAR NOS RESSOURCES VOUS VOULEZ DIVERSIFIER VOS ACTIVITÉS? VOUS DÉSIREZ UN APPROVISIONNEMENT GARANTI POUR VOTRE ENTREPRISE? DÉVELOPPER DE PLUS GRANDS MARCHÉS ET DISCUSTER DIRECTEMENT AVEC LES CONSOMMATEURS?
Plus en détail1 www.agrobiosciences.org
Intervention. 4èmes Rencontres Alimentation, Agriculture & Société. Déc 2003. «Alimentation et prévention du cancer : quelle vérité?» Par Denis Corpet (1). Directeur de l équipe "Aliment et Cancer" de
Plus en détailPesticides. agricoles Moins et Mieux. Cahier d auto- évaluation
Pesticides agricoles Moins et Mieux Cahier spécifique Cahier d auto- évaluation Maïs sucré 1 re ÉDITION (2004) : Coordination et réalisation : Marie-Hélène April Raymond-Marie Duchesne Stratégie phytosanitaire
Plus en détail6 NOVEMBRE 2003. - Arrêté du Gouvernement wallon relatif à l'octroi d'aides à l'agriculture Biologique
6 NOVEMBRE 2003. - Arrêté du Gouvernement wallon relatif à l'octroi d'aides à l'agriculture Biologique Le Gouvernement wallon, Vu la loi du 28 mars 1975 relative au commerce des produits de l'agriculture,
Plus en détailNouveaux produits antiparasitaires aux extraits naturels pour chiens et chats.
Nouveaux produits antiparasitaires aux extraits naturels pour chiens et chats. - VETOFORM - Laboratoire DAZONT Contact presse Johann Fourmond / Marie Gesrel Agence RELEASE PRESSE Tel : 02 99 65 05 47 Port
Plus en détailL EAU POTABLE : COMMENT LA PRÉSERVER Bien que l eau soit une ressource renouvelable, il ne faut pas pour autant la gaspiller. Les Québécois sont les
L EAU POTABLE : COMMENT LA PRÉSERVER Bien que l eau soit une ressource renouvelable, il ne faut pas pour autant la gaspiller. Les Québécois sont les deuxièmes plus grands consommateurs d eau potable, juste
Plus en détailÉCOLES NORMALES SUPÉRIEURES ÉCOLE NATIONALE DES PONTS ET CHAUSSÉES CONCOURS D ADMISSION SESSION 2013 FILIÈRE BCPST COMPOSITION DE BIOLOGIE
ÉCOLES NORMALES SUPÉRIEURES ÉCOLE NATIONALE DES PONTS ET CHAUSSÉES CONCOURS D ADMISSION SESSION 2013 FILIÈRE BCPST COMPOSITION DE BIOLOGIE Épreuve commune aux ENS de Cachan, Lyon, Paris et de l ENPC Durée
Plus en détailAnnexe III du Protocole au Traité sur l'antarctique, relatif à la protection de l'environnement Elimination et gestion des déchets
Annexe III du Protocole au Traité sur l'antarctique, relatif à la protection de l'environnement Elimination et gestion des déchets ARTICLE 1 OBLIGATIONS GENERALES 1. La présente Annexe s'applique aux activités
Plus en détailLes objectifs du règlement sur l utilisation des engrais et des pesticides sont de :
GUIDE EXPLICATIF POUR LES CITOYENS RÈGLEMENT SUR L UTILISATION DES ENGRAIS ET DES PESTICIDES Les objectifs du règlement sur l utilisation des engrais et des pesticides sont de : Réduire l apport par ruissellement
Plus en détail2. Les auxiliaires de culture
III- Maîtriser les ravageurs et les adventices 2. Les auxiliaires de culture Insectes Le principe de la lutte biologique est la régulation des populations de ravageurs de culture par l utilisation de leurs
Plus en détailPermet plus de souplesse au niveau du raisonnement de la lutte contre les organismes nuisibles
Atelier Biocontrôle Matthieu BENOIT Chambre régionale d agriculture de Normandie - arboriculture Action pilotée par le ministère chargé de l'agriculture, avec l appui financier de l Office national de
Plus en détailAide à la planification des actions locales
Aide à la planification des actions locales FAVORISEZ LA NATURE www.cocci-logique.ch Des relations publiques ciblées La Fondation suisse pour la pratique environnementale Pusch mène en 2012 et 2013, en
Plus en détailLISTE V AU PROTOCOLE A MAROC. Description des produits
LISTE V AU PROTOCOLE A MAROC 04.03 Babeurre, lait et crème caillés, yoghourt, képhir et autres laits et crèmes fermentés ou acidifiés, même concentrés ou additionnés de sucre ou d'autres édulcorants ou
Plus en détailUn peu d histoire. Lutte biologique. Que retirer de l expérience des producteurs de légumes de serre?
Lutte biologique ------------------------------ Un peu d histoire ------------------------- Que retirer de l expérience des producteurs de légumes de serre? Par : ANDRÉ CARRIER, agronome, M. Sc. Conseiller
Plus en détailMonitoring e-commerce et médias sociaux
1 Monitoring e-commerce et médias sociaux Un projet pilote de la DG Animaux, Végétaux et Alimentation Philippe Mortier Directeur général 2 Que pensez-vous du e- commerce? 3 Nous connaissons aujourd hui
Plus en détailEnvironnement, économie, société : le maïs sur tous les fronts
Environnement, économie, société : le maïs sur tous les fronts Millions t 3 000 2 500 2 000 1 500 1 000 La demande en grains va augmenter avec la population 500 MAÏS : +76% 0 2000 2010 2015 2020 2030 RIZ
Plus en détailRégime hypotoxique : aliments autorisé et/ou recommandés ainsi que ceux à éviter
Régime hypotoxique : aliments autorisé et/ou recommandés ainsi que ceux à éviter N.B.: Ne pas tenir compte des avertissements concernant des traces de noix, etc, à moins d être allergique précisément à
Plus en détailDOSSIER DE PRESSE. Organisateur. Contact. Carolina Cardoso cardoso@bee- life.eu Chargée de communication + 32 (0)10 47 34 16 + 32 496 87 46 85
DOSSIER DE PRESSE Organisateur CARI asbl Place Croix du Sud, 4 1348 Louvain la Neuve +32 (0)10 47 34 16 www.cari.be Contact Carolina Cardoso cardoso@bee- life.eu Chargée de communication + 32 (0)10 47
Plus en détailLa lettre électronique du service économie agricole de l'essonne n 3 juillet 2012
La lettre électronique du service économie agricole de l'essonne n 3 juillet 2012 Cette lettre du service d'économie agricole (SEA) de la DDT de l'essonne est gratuite. Elle peut librement être recopiée
Plus en détailThème sélection génétique des plantes hybridation et génie génétique
Thème sélection génétique des plantes hybridation et génie génétique Exemple d activité : recenser, extraire et exploiter des informations afin de comprendre les caractéristiques et les limites de la modification
Plus en détailM 1412. Secrétariat du Grand Conseil
Secrétariat du Grand Conseil M 1412 Proposition présentée par les députés: M mes et MM. Nelly Guichard, Luc Barthassat, Claude Blanc, Hubert Dethurens, Henri Duvillard, Pierre Marti, Etienne Membrez, Michel
Plus en détailUniversity of Tokyo Graduate School of Agricultural and Life Sciences et. Kanagawa Academy of Science and Technology
COMMUNIQUÉ DE PRESSE le 25 mars 2014 Une étude conjointe menée par University of Tokyo Graduate School of Agricultural and Life Sciences et Kanagawa Academy of Science and Technology suggère que le sirop
Plus en détailCellules procaryotes Service histologie Pr.k.mebarek
Cellules procaryotes Service histologie Pr.k.mebarek I) Les cellules procaryotes II) Les cellules eucaryotes o 1) Caractéristiques générales des cellules eucaryotes o 2) Organisation des cellules eucaryotes
Plus en détailCENTRE DE RECHERCHE EN SCIENCES ANIMALES DE DESCHAMBAULT. Plan HACCP bœuf qualité plus pour les bovins de boucherie
CENTRE DE RECHERCHE EN SCIENCES ANIMALES DE DESCHAMBAULT Plan HACCP bœuf qualité plus pour les bovins de boucherie Voici le Programme de salubrité des aliments à la ferme pour le bœuf- Bœuf Qualité Plus-
Plus en détail& Que choisir. favoriser le bien-être
Label Rouge & Agriculture Biologique Que choisir pour favoriser le bien-être des animaux? Un guide des tiné au consommateur Protection mondiale des animaux de ferme Ce petit guide a pour objectif d aider
Plus en détailLa Bio pour quoi faire? Une vision du monde de la Bio et quelques perspectives
La Bio pour quoi faire? Une vision du monde de la Bio et quelques perspectives Juin 2012 Lionel FRANCOIS Sommaire La Bio, pourquoi? La Bio c est quoi? La situation de la Bio Les acteurs du Bio Le paysan
Plus en détailLes potagers Neerstalle
Les potagers Neerstalle Une initiative de Marc COOLS, Échevin de l Environnement et des Propriétés communales, avec le soutien du Collège des Bourgmestre et Échevins d Uccle Une action menée par le Service
Plus en détailPage 1/6 - Lutte biologique contre les organismes nuisibles à l'agriculture
25/04/2006 - Par Bernard Pintureau, Chercheur INRA Lutte biologique contre les organismes nuisibles à l'agriculture Les plantes cultivées subiraient entre 20 et 40 % de pertes avant récolte, dues à des
Plus en détailPARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME. Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement
PARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement I- Les microbes dans notre environnement Qu est-ce qu un microbe? Où se trouvent-ils?
Plus en détailAVIS adopté par le Conseil économique et social au cours de sa séance du 7 juillet 1999... I - 1
III SOMMAIRE Pages AVIS adopté par le Conseil économique et social au cours de sa séance du 7 juillet 1999... I - 1 INTRODUCTION...3 TITRE I - LA FRANCE FACE AU DÉFI DES BIOTECHNOLOGIES : APPROCHE GÉNÉRALE...5
Plus en détailTD de Biochimie 4 : Coloration.
TD de Biochimie 4 : Coloration. Synthèse de l expérience 2 Les questions posées durant l expérience 2 Exposé sur les méthodes de coloration des molécules : Générique Spécifique Autres Questions Pourquoi
Plus en détailHaute-Normandie. Livret jeune public
Haute-Normandie Livret jeune public 1 RENDEZ-VOUS AUX JARDINS Du vendredi 0 mai au dimanche 1er juin a lieu la 1e édition «Renz vous aux jardins»! Cette gran fête t invite à visiter les plus beaux jardins
Plus en détailPour en savoir plus : www.commercequitable.org
Des centaines de millions de personnes sur la planète travaillent dans des conditions extrêmement précaires et pour des salaires dérisoires pour cultiver ou fabriquer des matières premières et des biens,
Plus en détailAgri-stabilité GUIDE DE DÉCLARATION DES UNITÉS PRODUCTIVES 2012
Ce guide contient toutes les informations nécessaires pour déclarer vos unités productives pour l année de participation 2012. Guide de déclaration des unités productives...p. 3 Liste des unités productives...p.
Plus en détailLes aliments qui guerissent
pomme Protège le abricot artichaut Aide la avocat banane Protège le fève betterave Contrôle la bleuet Le aliments qui guerissent Les aliments qui guerissent Contrôle la Combat la diarrhée capacité des
Plus en détailAnnexe 1. Glossaire... 19 Annexe 2. Éléments de gestion de la PFQ de produit GM dans le grain... 22
Projet de politique nationale sur la gestion de la présence de faibles quantités de cultures génétiquement modifiées dans les importations et son cadre de mise en œuvre connexe Septembre 2012 Table des
Plus en détailA-ESSE s.p.a. FICHE DE SÉCURITÉ
A-ESSE s.p.a. USINE OXYDES de ZINC FICHE DE SÉCURITÉ Oxyde de zinc 1. IDENTIFICATION DU PRODUIT CHIMIQUE ET DE LA SOCIÉTÉ NOM DU PRODUIT: DÉNOMINATION COMMUNE, COMMERCIALE ET SYNONYMES: UTILISATION DE
Plus en détailRincez à l'eau froide. Ensuite, lavez immédiatement avec une lessive.
Betterave rouge Rincez à l'eau froide. Ensuite, lavez immédiatement avec une lessive. Bière Boue/Terre Rincez à l'eau froide puis procédez à un lavage normal avec une lessive. Epongez la tache avec du
Plus en détailLe secteur agroalimentaire en Provence-Alpes-Côte d Azur
Le secteur agroalimentaire en Provence-Alpes-Côte d Azur Panorama élaboré à partir d une étude Ernst & Young pour la MDER mai 2004 Sommaire Organisation de la filière en PACA p. 3 Chiffres clés p. 4 Productions
Plus en détailRÉSULTATS DE L OBSERVATOIRE TECHNICO-ÉCONOMIQUE DU RAD Synthèse 2011 - Exercice comptable 2010
Les essentiels du Réseau agriculture durable RÉSULTATS DE L OBSERVATOIRE TECHNICO-ÉCONOMIQUE DU Synthèse 2011 - Exercice comptable 2010 Réseau d information comptable agricole du Ministère de l Agriculture,
Plus en détailLes vers de nos compagnons
Les vers de nos compagnons Il se peut que votre animal de compagnie soit contaminé par des vers sans que vous ne vous en rendiez compte. Près d'un animal de compagnie sur deux (chat et chien) est porteur
Plus en détailTout sur le sucre Octobre 2012
1 2 Tout sur le sucre Par Jérémy Anso Extrait 3 Disclaimer A lire 4 Vous êtes en train de lire un extrait du futur guide «Tout sur le sucre» qui sera disponible sur le site à partir du 31 octobre. Ce petit
Plus en détailRecettes maison contre les ravageurs et les maladies par M. Jean-Claude Vigor
Recettes maison contre les ravageurs et les maladies par M. Jean-Claude Vigor MISE EN GARDE : Les recettes de pesticides «maison» présentées ci-dessous (destinées à un usage domestique) sont données à
Plus en détailStratégie du Développement du Gouvernorat de Béja
et de la Planification Stratégie du Développement du Gouvernorat de Béja Entrer 1 Sommaire I - Ressources II - Opportunités III - Filières Economiques 2 I - Ressources oressources naturelles: Des terres
Plus en détailUnivers Vivant Révision. Notions STE
Univers Vivant Révision Notions STE Chap. 13) L Écologie 1) a) Qu est-ce que l empreinte écologique? L empreinte écologique correspond à la surface terrestre et aquatique totale nécessaire à un individu,
Plus en détailTPE. En quoi l'agriculture biologique est-elle éco-responsable?
TPE En quoi l'agriculture biologique est-elle éco-responsable? Aline Jugé Margot Loreau Laurie Robert Sommaire I) Différences entre agriculture biologique et conventionnelle a) Les méthodes b) Les prix
Plus en détailPREVENTION ASV. Partie réalisée par Aurélys ANTOINE. Le 09/05/2015
PREVENTION ASV Partie réalisée par Le 09/05/2015 Atelier n 2 : Parasites et intoxication Principaux parasites de l été: - Les puces : c est quoi? - Les tiques : c est quoi? - Les aoutats : c est quoi?
Plus en détailPRODUITS MORTELS LES PESTICIDES DANS LE COTON
Pe s t i c i d e A c t i o n N e t w o r k U K PRODUITS MORTELS LES PESTICIDES DANS LE COTON Résumé exécutif et Recommendations 5 St Peter s St London N1 8JD Royaume Uni t: +44 (0)20 7359 0440 f: +44 (0)20
Plus en détail«Agir rend heureux» POUR DES ACHATS RESPECTUEUX DE L ENVIRONNEMENT, DES FEMMES ET DES HOMMES, GOODPLANET VOUS INFORME ET CASINO VOUS DONNE LE CHOIX!
«Agir rend heureux» Yann Arthus-Bertrand FONDATEUR DE LA FONDATION GOODPLANET POUR DES ACHATS RESPECTUEUX DE L ENVIRONNEMENT, DES FEMMES ET DES HOMMES, GOODPLANET VOUS INFORME ET CASINO VOUS DONNE LE CHOIX!
Plus en détailL eau c est la vie! À l origine était l eau... La planète bleue. Les propriétés de l eau. L homme et l eau. ... et l eau invita la vie.
1 L eau c est la vie! À l origine était l eau... Lors du refroidissement de la terre, qui était une boule de feu à sa création, les nuages qui l entouraient ont déversé leur eau, formant les mers et les
Plus en détail1st International Workshop on Harmonization of GMO Detection and Analysis in the Middle East and North Africa (MENA) Region
Université Mentouri Constantine 1st International Workshop on Harmonization of GMO Detection and Analysis in the Middle East and North Africa (MENA) Region Dead Sea, Jordan, 4-5 June 2012. 1 Les OGMen
Plus en détailL agriculture luxembourgeoise en chiffres 2013
L agriculture luxembourgeoise en chiffres 2013 (données disponibles au 1 ier avril 2013) MINISTERE DE L AGRICULTURE, DE LA VITICULTURE ET DU DEVELOPPEMENT RURAL SERVICE D ECONOMIE RURALE L agriculture
Plus en détailAssiette mini. 600 SMIC 1 plafond
Social : La protection sociale 1- L affiliation au régime non salarié agricole J exerce une activité agricole < 5 ha J assure la direction de l entreprise (ou 1/8 SMI) J en tire des revenus professionnels
Plus en détailL OAN aussi diversifié que le canton de Berne
L OAN aussi diversifié que le canton de Berne Direction de l économie publique du canton de Berne OAN Office de l agriculture et de la nature Vision Mission La conception et la mise en réseau de l agriculture,
Plus en détailDirection régionale de l'alimentation, de l'agriculture et de la forêt Les actions du PNA concernant l'alimentation des plus démunis 20 novembre 2012
Direction régionale de l'alimentation, de l'agriculture et de la forêt Les actions du PNA concernant l'alimentation des plus démunis 20 novembre 2012 Le PNA Loi de Modernisation de l'agriculture et de
Plus en détailPrésentation des animations Aux Goûts du Jour
Présentation des animations Aux Goûts du Jour AUX GOÛTS DU JOUR est une association nationale d éducation alimentaire. Objectifs * Aider les enfants et les adultes à retrouver le plaisir de Bien manger.
Plus en détailLa notion de croissance (végétale) en sixième et en première S.
La notion de croissance (végétale) en sixième et en première S. Activité proposée : La notion de croissance est abordée en classe de 6 ème et elle est traitée en première S. Montrez sur cet exemple qu
Plus en détailFiche 23 D où viennent les produits de mon petit déjeuner?
Fiche 23 D où viennent les produits de mon petit déjeuner? Au fur et à mesure de l histoire de l alimentation, la provenance des produits que nous mangeons s est diversifiée. Aujourd hui, nous mangeons
Plus en détailDéfinition des variables présentées dans le RICA
Les termes en gras italique sont définis par ailleurs dans le lexique. Les termes en italique désignent des variables explicitement recueillies dans le Rica. A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V
Plus en détailESSAIS AU CHAMP PLURIANNUELS DE MAIS GENETIQUEMENT MODIFIE EXPRIMANT UNE LIPASE GASTRIQUE POUR DES APPLICATIONS MEDICALES
DEMANDE D AUTORISATION AUPRES DU MINISTERE DE L AGRICULTURE, DE L ALIMENTATION, DE LA PECHE ET DES AFFAIRES RURALES ESSAIS AU CHAMP PLURIANNUELS DE MAIS GENETIQUEMENT MODIFIE EXPRIMANT UNE LIPASE GASTRIQUE
Plus en détailLes formations en cycle ingénieur
Les formations en cycle ingénieur Eau, environnement, aménagement Ce domaine forme des ingénieurs capables d'explorer et d'organiser l'espace (surface et sous-sol), d'exploiter durablement les ressources
Plus en détailUne espèce exotique envahissante: Le Roseau commun. ou Phragmites australis
Une espèce exotique envahissante: Le Roseau commun ou Phragmites australis Indigène vs exotique Il y a deux sous-espèces de Phragmites australis, L indigène: n envahit pas le milieu, cohabite avec les
Plus en détailMieux connaitre votre enfant
Mieux connaitre votre enfant Ce questionnaire me permettra de mieux connaitre votre enfant et ainsi de favoriser son intégration au service de garde. Il m aidera également à m assurer de répondre adéquatement
Plus en détailCanada Province de Québec Ville de Sainte-Marguerite-du-Lac-Masson
Canada Province de Québec Ville de Sainte-Marguerite-du-Lac-Masson RÈGLEMENT # 72-2013 Règlement concernant l utilisation des pesticides et des engrais sur le territoire de la Ville de Sainte- Marguerite-du-Lac-Masson.
Plus en détailBibliothèque Royale Albert 1er
Bibliothèque Royale Albert 1er Description du projet Ce projet a pour but de valoriser des espaces plats et inutilisés (toit, terrasse ou autre) par la création de potagers écologique (sans pesticide,
Plus en détail16. Si j étais agriculteur : histoire dont vous êtes le héros
16. Si j étais agriculteur : histoire dont vous êtes le héros Secondaire, cycle 2 Durée : 60 min. Grâce cette activité les élèves découvrent et comparent les différentes réalités sociales et économiques
Plus en détailGeoffroy Ménard, agr.
Geoffroy Ménard, agr. Photo: IGA Projet réalisé dans le cadre du Programme d appui à la mise en marché des produits biologiques (volet 1) du Ministère de l'agriculture, des Pêcheries et de l'alimentation
Plus en détailUn expérience pluridisciplinaire de l intensification écologique en Agriculture Familiale
Le développement du semis-direct sous couverture végétale pour les agriculteurs des exploitations familiales des biomes Cerrados (2005-2009) et Amazonia (2008-2013) Un expérience pluridisciplinaire de
Plus en détailAnne Patault Conseillère Régionale de Bretagne en charge des OGM
Pour une agriculture «sans OGM» - la stratégie de la Bretagne au sein du réseau des Régions Libres d OGM (European GM-Free Regions Network), - les actions en direction de ses filières Anne Patault Conseillère
Plus en détail