Aperçu cinématographique en Suisse

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Aperçu cinématographique en Suisse"

Transcription

1 Aperçu cinématographique en Suisse Neuchâtel, 2004

2 Introduction Le paysage cinématographique suisse évolue et, grâce à la nouvelle loi sur le cinéma, des données sont dorénavant disponibles, et il est aujourd hui possible de faire une analyse pertinente et globale de la situation du cinéma en Suisse. A travers les trois grands thèmes que sont la fréquentation, l exploitation et la distribution, nous pouvons porter un regard sur les films et le monde du cinéma en Suisse. Ce coup de projecteur met en évidence les évolutions majeures de ces dernières années et les faits les plus marquants. Il s agit par exemple du développement des cinémas multisalles et leur impact notable sur la fréquentation des spectateurs, fréquentation qui est évidemment aussi tributaire de l offre des films proposés. Sauf cas expressément mentionnés, toutes les analyses réalisées ne prennent pas en considération les données des cinémas «Open Air», des festivals, des ciné-clubs ainsi que tout ce qui concerne les films pornographiques. 2

3 La fréquentation cinématographique La fréquentation des cinémas en Suisse, mesurée ici par le nombre de spectateurs payants, a globalement augmenté ces dix dernières années. Elle oscille annuellement dans une fourchette de 15 à 19 millions de spectateurs. Le pic observé en 2002 est dû à une concentration inhabituelle de sorties de films à succès populaires comme «Harry Potter», «Le Seigneur des Anneaux», «007 Meurt un autre jour», et bien d autres encore. En comparaison, les chiffres sur la fréquentation dans les pays de l Union Européenne (UE) suivent d ailleurs une évolution similaire. Figure 1: Spectateurs dans les salles de cinéma en Suisse et comparaison avec l Union Européenne, UE 15, en millions de spectateurs CH, en millions de spectateurs UE 15 CH Source pour les chiffres de l UE: Observatoire Européen de l Audiovisuel 3

4 Les Romands vont plus souvent au cinéma Si l on décompose la fréquentation cinématographique par régions linguistiques, et que l on évalue la fréquentation annuelle moyenne par habitant (le rapport entre le nombre de spectateurs payants et la population résidante), on constate une nette différence entre les régions. Dans l ordre, l assiduité à la fréquentation des salles de cinémas est la plus élevée en Romandie, puis en Suisse alémanique, et enfin en Suisse italienne. Figure 2: Fréquentation annuelle moyenne entre régions linguistiques, de 1998 à ,5 Fréquentation annuelle moyenne 3,0 2,5 2,0 1,5 1, Suisse romande Moyenne Suisse Suisse alémanique Suisse italienne 4

5 La sortie simultanée de films à succès, associée à l implantation de complexes cinématographiques, a un impact positif direct sur la fréquentation des salles Comme le montre le pic de l année 2002, la concentration de sorties de films à succès joue un rôle très important sur la fluctuation plus ou moins forte de la fréquentation des salles, liant clairement l offre filmographique à l affluence du public. Un autre facteur pouvant être évalué dans le contexte des fluctuations de la fréquentation est l implantation d un complexe multisalles. On constate que l ouverture d un complexe, au détriment parfois de la fermeture de cinémas individuels, a un effet significatif et direct sur l augmentation du nombre de spectateurs. Ce phénomène est évidemment limité à un périmètre précis, à savoir la région cinématographique concernée. Une région cinématographique est constituée par une ou plusieurs villes (ou agglomérations), dont les établissements cinématographiques existants sont en concurrence directe pour un même bassin de population. 5

6 Un exemple qui illustre bien ce phénomène: l ouverture d un multiplexe à Schaffhouse. A la fin de l année 2000, un multiplexe de 8 salles s est ouvert dans la région cinématographique de Schaffhouse. L effet est net et quasi immédiat: la fréquentation a augmenté d un facteur 3! Si l on met ces chiffres en perspective avec la population du canton de Schaffhouse, qui est de l ordre de personnes résidantes, on se rend compte que l impact d un multiplexe va bien au-delà des frontières de sa région cinématographique, voire même de son canton dans un cas comme celui-ci. Figure 3: Impact sur la fréquentation: exemple de l implantation d un complexe multisalles Spectateurs (en milliers) Région cinématographique de Schaffhouse

7 L exploitation cinématographique L évolution des infrastructures cinématographiques suisses de ces dix dernières années montre clairement une tendance au regroupement des salles de cinéma. Cela se manifeste par la construction de nouveaux établissements multisalles, ou par la rénovation, l adaptation ou l extension d établissements déjà existants. La concentration qui en résulte crée de nouveaux pôles d attraction cinématographiques, la plupart du temps installés en périphérie des centres urbains. L augmentation du nombre de salles et de fauteuils est avant tout liée au phénomène des complexes multisalles Au cours des années 1993 à 2003, le nombre d établissements cinématographiques est passé de 302 à 326 (+8 %), le nombre de salles de cinéma de 402 à 529 (+ 31,6 %), alors que le nombre de fauteuils variait lui de à (+15 %). On distingue deux grandes phases dans la courbe d évolution du nombre de places. La première phase ( ) voit l apparition de 18 nouvelles salles individuelles dans une quinzaine de villes en Suisse alémanique. La deuxième phase ( ), correspond à la construction successive de quatre multiplexes. Un complexe cinématographique est un établissement regroupant de deux à sept salles de cinéma sur un même site. Un multiplexe cinématographique est un établissement regroupant au moins huit salles de cinéma sur un même site. 7

8 Figure 4: Les infrastructures d exploitation cinématographiques en Suisse de 1993 à Cinémas Salles Fauteuils Cinémas Salles Fauteuils La tendance est à la concentration: regroupement des salles en complexes et multiplexes Si le nombre de salles (et dans une moindre mesure le nombre de fauteuils) a augmenté bien plus vite que le nombre de cinémas, c est parce que la tendance d exploitation cinématographique est très fortement orientée vers la construction d établissements multisalles. En dix ans, la part des salles contenue dans les grands complexes (cinq salles et plus) a doublé en passant de 10% à 21,3% du total. Les salles individuelles n ont plus la faveur des exploitants, elles ont régressé de 62,3% à 46,5% du parc installé. 8

9 Figure 5: Répartition des salles dans les divers types d établissements cinématographiques (1993 et 2003) En 1993, établissements comprenant: 5 salles et plus 10,0% 2 à 4 salles 27,7% Une salle 62,3 % En 2003, établissements comprenant: 5 salles et plus 21,3% Une salle 46,5 % 2 à 4 salles 32,2% 9

10 Figure 6: Salles dans les divers types d établissements cinématographiques de 1993 à 2003 Etablissements comprenant Nombre de salles Une salle 2 à 4 salles 5 salles et plus Cinémas Open Air: un phénomène en pleine expansion La période estivale est généralement considérée comme la «saison creuse» du cinéma. Il faudrait plutôt dire «était», car un phénomène nouveau et d importance vient contredire cette affirmation: le cinéma «Open Air». En effet, la multiplication de l offre de ce genre de cinéma est devenue depuis quelques années une véritable institution. Les spectateurs disposent ainsi d une alternative intéressante aux salles obscures durant l été. 10

11 Figure 7: Comparaison du nombre d Open Air en Suisse entre 1996 et 2003, par région linguistique Nombre d Open Air Suisse alémanique Suisse romande Suisse italienne Si, en 1996, on comptait 18 Open Air pour toute la Suisse, leur nombre a littéralement explosé sept ans plus tard, puisqu on en dénombre pas moins de 89 en De plus, ce phénomène est avant tout visible en Suisse alémanique et, dans une moindre mesure, en Romandie. La situation au Tessin est quelque peu différente car probablement influencée par le Festival du film de Locarno qui n est pas considéré comme un Open Air. L Open Air désigne un «cinéma à ciel ouvert». C est une infrastructure cinématographique temporaire, dont l exploitation n a lieu, en général, que sur une courte période estivale. Il s agit dans la très grande majorité des cas d exploitations commerciales. En Suisse, elle n est pas prise en compte dans les statistiques officielles de fréquentation. 11

12 La distribution cinématographique Si le film américain est bien majoritaire en Suisse en terme de parts de marché, cela n est pas vraiment dû à une prédominance de productions «made in USA», mais plutôt à une disponibilité écrasante de copies de films. Les exploitants de salles, surtout des salles moyennes et petites, bénéficiant ainsi d une offre plus large pour ce genre de films, auront tendance à les privilégier dans leur programmation. Ceci aura dès lors un impact sur la fréquentation. Une offre diversifiée, mais avec une prédominance de films américains Le nombre de nouveaux films à l affiche en Suisse est en augmenta tion sur les dix dernières années, avec une brusque accélération à partir de l année Il a presque doublé en 2003 par rapport à Les films suisses ont aussi très bien profité de cette tendance, leur part de marché a été multipliée par plus de trois (de 2,9% à 9,8%), et le nombre de films projetés par plus de six sur la même période (de 6 à 38). 12

13 Nombre de films en première vision selon leur origine, de 1993 à 2003 CH US UE 15 Autres pays Total des films en première vision Par contre, on constate une baisse régulière et constante (c.f. figure 8), de la part des films d origine américaine, qui passe de 56,6% à 33,7%, au profit essentiellement des films d origine européenne, qui eux passent de 33,2% à 42,7%. Les films originaires d autres pays du monde augmentent aussi de manière significative en nombre et en proportion du total. L origine d un film, sa nationalité, résulte des certificats délivrés par les instances cinématographiques des pays concernés. En cas de co-production, la nationalité est attribuée au pays majoritaire en termes de participation financière. 13

14 Figure 8: Films en première vision par année, de 1993 à 2003, parts selon l origine 100% 80% 60% 2,9 7,3 33,2 6,2 6,7 33,5 5,9 8,9 35,4 8,3 7,9 38,1 12,0 11,6 37,5 10,9 7,9 42,4 7,2 7,5 43,1 6,2 10,6 40,9 7,8 11,8 43,2 11,0 11,2 43,0 9,8 13,9 42,7 40% 20% 56,6 53,6 49,8 45,7 38,9 38,7 42,2 42,3 37,3 34,8 33,7 0% CH Autres pays UE 15 US En 2003, le nombre de films exploités (premières visions et films de reprise) est de En analysant de plus près cet ensemble (c.f. figure 9), on constate que la plus grande part, soit 41,4%, est constituée de films européens. Les films américains représentant quant à eux moins d un tiers, soit 31,2%, de l ensemble des films projetés en Suisse. L ensemble des films exploités sur une année comprend les films de première vision et les films de reprise. Le film de première vision est celui dont la sortie sur les écrans a lieu dans l année. Le film de reprise est un film ayant déjà été projeté dans une année antérieure. 14

15 A ce niveau aussi les films suisses font un résultat satisfaisant car ils représentent 12,4% du total des films projetés. Par rapport aux autres origines, c est la catégorie avec le plus grand nombre de reprises de films projetés. Figure 9: Films exploités en 2003 (en nombre et % du total), répartis par pays d origine Autres pays, 214; 15,0% US, 446; 31,2% CH, 178; 12,4% UE 15, 592; 41,4% Total des films exploités en 2003:

16 La prédominance des films américains: ou quand le succès est lié à l offre En terme de fréquentation, les films d origine américaine ont attiré, en 2003, 63% du total des spectateurs. Depuis 1987, première année pour laquelle nous disposons de données détaillées, on constate que le marché suisse est dominé par la production américaine dans une fourchette de 60 à 79% de la fréquentation annuelle totale. Figure 10: Répartition des spectateurs en 2003, selon le pays d origine des films Autres pays, ; 11% CH, ; 6% US, ; 63% UE 15, ; 20% 16

17 Mais on ne peut plus aujourd hui faire un simple lien entre le nombre de films et la fréquentation comme cela aurait pu être le cas il y a encore quelques années. En 2003, le rapport du nombre de copies sur le nombre de films est supérieur à 13 pour les USA, mais inférieur à 6 pour les autres pays. Rapport nombre de copies / nombre de films exploités en suisse en 2003 Films exploités Copies Rapport copies/ films CH ,28 US ,22 EU ,26 Autres pays ,17 Total ,07 Comme 58,3% des copies en 2003 sont le fait de films américains, la pénétration du marché par ces derniers s explique dès lors aisément. 17

18 Figure 11: Nombre de films exploités, de copies et de spectateurs en 2003, par pays d origine des films 100% 80% 12,5 15,0 5,8 11,0 24,9 5,9 10,6 20,2 60% 41,4 40% 58,3 63,3 20% 31,2 0% Films exploités Copies Fréquentation CH Autres pays EU 15 US Il est évident que la disponibilité d un grand nombre de copies n est pas le seul critère qui explique cette prédominance du cinéma américain: les budgets marketing, les actions promotionnelles, la planification des sorties ainsi que le genre de films, sont autant de facteurs qualitatifs et quantitatifs expliquant cette situation. 18

19 Informations complémentaires: Observatoire Européen de l Audiovisuel, annuaires Cinéma Vidéo, ProCinéma, «Facts & Figures», Jumping on the Island, Seminar Documentation. Swiss Seminar on Support Systems and Tendencies in the European Film Business. March 18/ 9, BIBE / London Economics (1994): White Book of the European Exhibition Industry. Volumes I and II. European Cinema Yearbook 2003 Edition, 100 Years of Cinema Exploitation in Switzerland A Historical Profile. MEDIA Salles. OFS (2004): Panorama cinématographique suisse en 2003 Etude sur l exploitation, la distribution et la fréquentation, Neuchâtel (à paraître) 19

20 Renseignements: Office fédéral de la statistique (OFS) Section politique, culture et médias Umberto Tedeschi, tél.: Danièle Riem-Wacker, tél.: Commandes: N o de commande: , gratuit Tél.: , order@bfs.admin.ch Fax: Internet

Modification de l ordonnance concernant l octroi d allégements fiscaux en application de la politique régionale

Modification de l ordonnance concernant l octroi d allégements fiscaux en application de la politique régionale Annexe 2: questionnaire pour la procédure de consultation Modification de l ordonnance concernant l octroi d allégements fiscaux en application de la politique régionale Questionnaire pour la procédure

Plus en détail

VRAC 21 avril 2007 - Visite au cinéma Casino de Cossonay

VRAC 21 avril 2007 - Visite au cinéma Casino de Cossonay VRAC 21 avril 2007 - Visite au cinéma Casino de Cossonay Un siècle! Par décision du Conseil municipal le 24 février 1896, quelques conseillers communaux de Cossonay fondent, avec le médecin et le pharmacien

Plus en détail

GUIDE PRATIQUE déplacements professionnels temporaires en France et à l étranger

GUIDE PRATIQUE déplacements professionnels temporaires en France et à l étranger GUIDE PRATIQUE déplacements professionnels temporaires en France et à l étranger SOMMAIRE GUIDE PRATIQUE déplacements professionnels temporaires en France et à l étranger o o o o o o o o o o o o

Plus en détail

Prénom NOM Rue du Lac 11 1000 Lausanne Numéro de portable Adresse Email

Prénom NOM Rue du Lac 11 1000 Lausanne Numéro de portable Adresse Email Prénom NOM Rue du Lac 11 1000 Lausanne Numéro de portable Adresse Email Employé de commerce EXPERIENCES Date ou Durée Employé de commerce Gestion des commandes de clients Réception des téléphones Répondre

Plus en détail

Rapport annuel sur «l école bouge» année scolaire 2012/13

Rapport annuel sur «l école bouge» année scolaire 2012/13 «l école bouge»: rapport annuel de l année scolaire 2012/13 20/03/2014 Rapport annuel sur «l école bouge» année scolaire 2012/13 Structures d accueil de jour 1. Aperçu de l année scolaire 2012/13 Contexte

Plus en détail

Internet dans les ménages en Suisse

Internet dans les ménages en Suisse 16 Culture, médias, société de l information, sport 1239-1000 Internet dans les ménages en Suisse Résultats de l enquête Omnibus TIC 2010 Neuchâtel, 2012 La série «Statistique de la Suisse» publiée par

Plus en détail

N 107. Le dandysme. 31 Finance L'immobilier dos au mur. 55 STRATéGIES La formation continue. économie. 84 INVITé DU MOIS Yvan arpa.

N 107. Le dandysme. 31 Finance L'immobilier dos au mur. 55 STRATéGIES La formation continue. économie. 84 INVITé DU MOIS Yvan arpa. mars 2013 N 107 31 Finance L'immobilier dos au mur 75 culture(s) Le dandysme 55 STRATéGIES La formation continue 84 INVITé DU MOIS Yvan arpa économie sport : du business à la performance 8 CHf SOMMAIRE

Plus en détail

Collège d autorisation et de contrôle. Avis n 02/2011

Collège d autorisation et de contrôle. Avis n 02/2011 Collège d autorisation et de contrôle Avis n 02/2011 Première évaluation de la Recommandation du 24 juin 2010 relative à la mise en valeur des œuvres européennes et de la Communauté française dans les

Plus en détail

0.443.917.2. Accord entre la Confédération suisse et le Royaume de Belgique sur les relations cinématographiques

0.443.917.2. Accord entre la Confédération suisse et le Royaume de Belgique sur les relations cinématographiques Texte original 0.443.917.2 Accord entre la Confédération suisse et le Royaume de Belgique sur les relations cinématographiques (Accord de coproduction entre la Suisse et la Belgique) Conclu le 9 janvier

Plus en détail

TP Service HTTP Serveur Apache Linux Debian

TP Service HTTP Serveur Apache Linux Debian Compte rendu de Raphaël Boublil TP Service HTTP Serveur Apache Linux Debian Tout au long du tp, nous redémarrons le service apache constamment pour que les fi de configuration se remettent à jour - /etc/init.d/apache2

Plus en détail

L EMPLOI INTERMITTENT DANS LE SPECTACLE AU COURS DE L ANNÉE 2013

L EMPLOI INTERMITTENT DANS LE SPECTACLE AU COURS DE L ANNÉE 2013 Février 2015 - N 15.004 L EMPLOI INTERMITTENT DANS LE SPECTACLE AU COURS DE L ANNÉE 2013 En résumé : En 2013, l emploi intermittent du spectacle concerne 254 000 salariés, 111 000 employeurs relevant du

Plus en détail

Qui fait quoi sur internet?

Qui fait quoi sur internet? Ans Note d éducation permanente de l ASBL Fondation Travail-Université (FTU) N 2015 8, avril 2015 www.ftu.be/ep Qui fait quoi sur internet? Analyse des inégalités sociales dans l utilisation d internet

Plus en détail

4. L assurance maladie

4. L assurance maladie L ASSURANCE MALADIE 73 4. L assurance maladie Comme l assurance maladie est obligatoire, toute personne domiciliée en Suisse doit être convenablement couverte. C est actuellement le cas, avec un très large

Plus en détail

Disparités entre les cantons dans tous les domaines examinés

Disparités entre les cantons dans tous les domaines examinés Office fédéral de la statistique Bundesamt für Statistik Ufficio federale di statistica Uffizi federal da statistica Swiss Federal Statistical Office EMBARGO: 02.05.2005, 11:00 COMMUNIQUÉ DE PRESSE MEDIENMITTEILUNG

Plus en détail

Chapitre 3 : Les étapes de la consolidation

Chapitre 3 : Les étapes de la consolidation Chapitre 3 : Les étapes de la consolidation I - Les étapes du processus de consolidation II - La détermination du pourcentage d'intérêts (PDI) III - Organisation et techniques comptables de la consolidation

Plus en détail

La diffusion des technologies de l information et de la communication dans la société française

La diffusion des technologies de l information et de la communication dans la société française La diffusion des technologies de l information et de la communication dans la société française Étude réalisée par le Centre de Recherche pour l'étude et l'observation des Conditions de Vie (CREDOC) pour

Plus en détail

Participation des habitants et contrats de ville Quels enjeux? Quelle mise en oeuvre?

Participation des habitants et contrats de ville Quels enjeux? Quelle mise en oeuvre? Participation des habitants et contrats de ville Quels enjeux? Quelle mise en oeuvre? Note réalisée par l Observatoire Régional de l Intégration et de la Ville (ORIV) septembre 2014 Eléments de contexte

Plus en détail

LE CURSUS ACADEMIQUE

LE CURSUS ACADEMIQUE PRESENTATION L Institut d études scéniques, audiovisuelles et cinématographiques (IESAV) est un établissement rattaché à la Faculté des lettres et des sciences humaines de l Université Saint-Joseph de

Plus en détail

ANALYSE MARQUE NESPRESSO. La marque aux publicités stars. Digimind. Logiciels de veille, e-réputation et social media monitoring 1

ANALYSE MARQUE NESPRESSO. La marque aux publicités stars. Digimind. Logiciels de veille, e-réputation et social media monitoring 1 ANALYSE MARQUE NESPRESSO La marque aux publicités stars Digimind. Logiciels de veille, e-réputation et social media monitoring 1 Nespresso : une publicité qui crée l événement Le 29 octobre, la marque

Plus en détail

Modèle de phases FlexWork: Sondage des entreprises et administrations suisses sur la flexibilité géographique et temporelle du travail

Modèle de phases FlexWork: Sondage des entreprises et administrations suisses sur la flexibilité géographique et temporelle du travail Institut de recherche et de développement coopératifs ifk Modèle de phases FlexWork: Sondage des entreprises et administrations suisses sur la flexibilité géographique et temporelle du travail Auteurs/Auteure:

Plus en détail

Sondage SEMO 2011/2012 : Résultats

Sondage SEMO 2011/2012 : Résultats Département fédéral de l économie, de la formation et de la recherche DEFR Secrétariat d'etat à l'économie SECO Marché du travail / Assurance-chômage Mesures du marché du travail Markus Weber 07.06.2013

Plus en détail

L IMPACT DE LA MUTUALISATION SUR LES RESSOURCES HUMAINES

L IMPACT DE LA MUTUALISATION SUR LES RESSOURCES HUMAINES ANNEXES L ISTE DES ANNEXES ANNEXE I : ANNEXE II : ANNEXE III : ANNEXE IV : ÉVOLUTION DES DEPENSES DES COMMUNES ET DES EPCI DE 2006 A 2013 OUTILS JURIDIQUES DE MUTUALISATION A DISPOSITION DES ACTEURS LOCAUX

Plus en détail

Préparation d une maturité avec mention bilingue français-allemand ou français-anglais

Préparation d une maturité avec mention bilingue français-allemand ou français-anglais Préparation d une maturité avec mention bilingue français-allemand ou français-anglais Dans les écoles de maturité des gymnases du canton de Vaud Edition 2014 Département de la formation, de la jeunesse

Plus en détail

Réserve Internationale de Ciel Etoilé du Pic du Midi. Informations et chiffres essentiels

Réserve Internationale de Ciel Etoilé du Pic du Midi. Informations et chiffres essentiels Réserve Internationale de Ciel Etoilé du Pic du Midi Informations et chiffres essentiels 2014 La Réserve Internationale de Ciel Etoilé du Pic du Midi Informations et chiffres essentiels Initié en 2009

Plus en détail

QUELS ÉCRANS UTILISENT LES 13-24 ANS ET POUR QUELS USAGES?

QUELS ÉCRANS UTILISENT LES 13-24 ANS ET POUR QUELS USAGES? QUELS ÉCRANS UTILISENT LES 13-24 ANS ET POUR QUELS USAGES? Colloque «Les écrans et les jeunes : quelle place, quelle offre, quelles évolutions?» 9 décembre 2014 Direction des études et de la prospective

Plus en détail

Apprentissage tout au long de la vie et formation continue Etat des lieux de la diversité des indicateurs internationaux et sélection de résultats

Apprentissage tout au long de la vie et formation continue Etat des lieux de la diversité des indicateurs internationaux et sélection de résultats Apprentissage tout au long de la vie et formation continue Etat des lieux de la diversité des indicateurs internationaux et sélection de résultats Département fédéral de l intérieur DFI Office fédéral

Plus en détail

L externalisation des activités bancaires en France et en Europe

L externalisation des activités bancaires en France et en Europe ÉTUDES L externalisation des activités bancaires en France et en Europe Si l externalisation des activités (outsourcing) est un phénomène courant au sein des entreprises non financières en Europe, comme

Plus en détail

8ème Congrès suisse de pédagogie spécialisée 2013

8ème Congrès suisse de pédagogie spécialisée 2013 8ème Congrès suisse de pédagogie spécialisée 2013 Pour un meilleur échange entre chercheuses et chercheurs en Suisse : Réseau Recherche en pédagogie spécialisée et banque de données de la recherche du

Plus en détail

Profession Culture Langue. Invitation Conférence ASCI 2015. Genève, 22.09.15, 14h00 17h45

Profession Culture Langue. Invitation Conférence ASCI 2015. Genève, 22.09.15, 14h00 17h45 Invitation Conférence ASCI 2015 Genève, 22.09.15, 14h00 17h45 Profession Culture Langue La communication interne et intégrée : comment maîtriser les langues pour surmonter les barrières culturelles et

Plus en détail

Panorama des formations post-baccalauréat en Transport et Logistique

Panorama des formations post-baccalauréat en Transport et Logistique Panorama des formations post-baccalauréat en Transport et Logistique AFITL - 3 mai 2006 L objectif poursuivi Offrir aux membres de l AFITL (ou à quiconque se promène sur son site Internet) un recensement

Plus en détail

STATUTS DE L ASSOCIATION FAÎTIÈRE

STATUTS DE L ASSOCIATION FAÎTIÈRE STATUTS DE L ASSOCIATION FAÎTIÈRE Valables à partir du 1 er janvier 2008 Légende des abréviations ASMP ASD AGC ARD CC CCA CR FFMP WS NOS NWS RFJM ZS Association Suisse de la musique populaire (Association

Plus en détail

Canada-Inde Profil et perspective

Canada-Inde Profil et perspective Canada-Inde Profil et perspective Mars 2009 0 L Inde et le Canada : un bref profil Vancouver Calgary Montréal Toronto INDE 3 287 263 km² 1,12 milliard 1 181 milliards $US 1 051 $US Source : Fiche d information

Plus en détail

Règlement : Compétition du Film d Entreprise du Festival des Étoiles & des Ailes.

Règlement : Compétition du Film d Entreprise du Festival des Étoiles & des Ailes. Des Étoiles et des Ailes 2015 1 Table des matières Article 1 Nature du Festival 2 Article 2 Catégories de film en compétition 2 Article 3 Qui peut participer? 3 Article 4 Modalite s d inscription a la

Plus en détail

Régionalisation des régimes de perturbations et implications pour l aménagement dans un contexte de changement climatique

Régionalisation des régimes de perturbations et implications pour l aménagement dans un contexte de changement climatique Régionalisation des régimes de perturbations et implications pour l aménagement dans un contexte de changement climatique Sylvie Gauthier, Chercheuse scientifique, successions forestières RNCan-SCF-CFL

Plus en détail

Indicateur : population présente tout au long de l année dans les départements littoraux métropolitains

Indicateur : population présente tout au long de l année dans les départements littoraux métropolitains Indicateur : population présente tout au long de l année dans les départements littoraux métropolitains Contexte Les communes littorales métropolitaines hébergent plus de 6 millions d habitants et ont

Plus en détail

Contribution des industries créatives

Contribution des industries créatives RÉSUMÉ - Septembre 2014 Contribution des industries créatives à l économie de l UE en termes de PIB et d emploi Évolution 2008-2011 2 Contribution des industries créatives à l économie de l UE en termes

Plus en détail

NetObserver Europe. Parmi les principaux enseignements, nous retiendrons notamment que :

NetObserver Europe. Parmi les principaux enseignements, nous retiendrons notamment que : NetObserver Europe TOUT SAVOIR SUR LES INTERNAUTES Communiqué de presse Paris, Mars 2008 Enseignements de la 16 ème vague de l étude NetObserver Europe : Des différences sensibles entre générations d internautes

Plus en détail

HEAD Genève V Département Cinéma Cycle MA Guide l'étudiant 2011-2012. Cycle master

HEAD Genève V Département Cinéma Cycle MA Guide l'étudiant 2011-2012. Cycle master Cycle master Cinéma Master en réalisation cinématographique 4 semestres (120 ECTS) Depuis 2006, l école participe au master en réalisation cinématographique mis en place au travers du Réseau Cinéma CH.

Plus en détail

Bulletin Officiel de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes

Bulletin Officiel de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes Bulletin Officiel de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes N 2 bis du 2 avril 2009 C2008-77 / Lettre du ministre de l économie, de l industrie et de l emploi du 28 octobre

Plus en détail

Cantons et villes dans le système statistique suisse

Cantons et villes dans le système statistique suisse Gian Antonio Paravicini Bagliani Président de la conférence des offices régionaux de statistique de la Suisse CORSTAT Cantons et villes dans le système statistique suisse La fonction statistique s'est

Plus en détail

Management Chapitre 4 La Stratégie I) La notion de stratégie A) Caractéristiques

Management Chapitre 4 La Stratégie I) La notion de stratégie A) Caractéristiques L Management Chapitre 4 La I) La notion de stratégie A) Caractéristiques 1) Définition a stratégie : consiste pour une entreprise, à se fixer des objectifs à long terme et à se donner les moyens de les

Plus en détail

Tarif commun 3a 2008 2016

Tarif commun 3a 2008 2016 ProLitteris Société suisse de droits d auteur pour l art littéraire et plastique SSA Société Suisse des Auteurs SUISA Société suisse pour les droits des auteurs d œuvres musicales SUISSIMAGE Société suisse

Plus en détail

Loterie Romande. financier

Loterie Romande. financier 2011 Rapport financier Société de la Loterie de la Suisse Romande 13, rue Marterey Case postale 6744 1002 Lausanne CH Tél. + 41 21 348 13 13 Fax + 41 21 348 13 14 info@loro.ch www.loro.ch Sommaire Bilan

Plus en détail

P RO - enfance. Plateforme Romande pour l accueil de l enfance

P RO - enfance. Plateforme Romande pour l accueil de l enfance P RO - enfance Plateforme Romande pour l accueil de l enfance Rapport de la phase d analyse 1. Résumé Le présent document contient la description du déroulement et des résultats de la phase d analyse des

Plus en détail

Réglementés d électricité

Réglementés d électricité Fin des Tarifs Réglementés d électricité Bienvenue dans un monde nouveau 7 RepÈres pour vous y retrouver sommaire 1 2 3 4 5 6 7 Quels sont les sites concernés par la fin des tarifs? 1 Q uels sont les sites

Plus en détail

MONITEUR DE LA BRANCHE INDUSTRIE MEM. Avril 2014

MONITEUR DE LA BRANCHE INDUSTRIE MEM. Avril 2014 MONITEUR DE LA BRANCHE INDUSTRIE Avril 2014 Éditeur BAKBASEL Rédaction Florian Zainhofer Esteban Lanter Max Künnemann Adresse BAK Basel Economics AG Güterstrasse 82 CH-4053 Basel T +41 61 279 97 00 F +41

Plus en détail

Le crédit fournisseur est plus populaire que jamais Les entreprises paient leurs factures avec un retard moyen de 19,5 jours

Le crédit fournisseur est plus populaire que jamais Les entreprises paient leurs factures avec un retard moyen de 19,5 jours Statistiques relatives aux pratiques de paiement: Statistiques relatives aux pratiques Les de paiement: performances Les performances des des Éditeur: Dun & Bradstreet (Schweiz) AG Grossmattstrasse 9 892

Plus en détail

VÉHICULES MEUBLES CONTAINERS 100% FRIGORIFIQUE. www.petitforestier.com

VÉHICULES MEUBLES CONTAINERS 100% FRIGORIFIQUE. www.petitforestier.com VÉHICULES MEUBLES CONTAINERS 100% FRIGORIFIQUE www.petitforestier.com PETIT FORESTIER S OCCUPE DE TOUT! Pour votre véhicule frigorifique, en location courte, moyenne ou longue durée, Petit Forestier vous

Plus en détail

ŒUVRE D ART INTERACTIVE POUR UN MUR VIDÉO AU 150, RUE ELGIN, OTTAWA (ONTARIO) DEMANDE DE PROPOSITIONS

ŒUVRE D ART INTERACTIVE POUR UN MUR VIDÉO AU 150, RUE ELGIN, OTTAWA (ONTARIO) DEMANDE DE PROPOSITIONS ŒUVRE D ART INTERACTIVE POUR UN MUR VIDÉO AU 150, RUE ELGIN, OTTAWA (ONTARIO) DEMANDE DE PROPOSITIONS LE CONSEIL DES ARTS DU CANADA ŒUVRE D ART INTERACTIVE POUR UN MUR VIDÉO AU 150, RUE ELGIN, OTTAWA (ONTARIO)

Plus en détail

Conférence Ecoconception

Conférence Ecoconception Conférence Ecoconception Bâtiment, Eau, Industrie, Energie : Quel impact de la Directive Ecoconception sur les pompes, les moteurs et les compresseurs? Que se passe-t-il au delà de nos frontières européennes?

Plus en détail

Les entreprises paient avec un retard de 19,3 jours la morale de paiement en berne à cause de l effet domino

Les entreprises paient avec un retard de 19,3 jours la morale de paiement en berne à cause de l effet domino Statistiques des comportements de paiement: le comporte Statistiques des comportements ment de paiement: de paiement le comportement des de entreprises en Suisse 4 ème trimestre et perspectives 2009 Editeur:

Plus en détail

Encaissement moyen du distributeur sur une entrée en salle de cinéma (1998-2007)

Encaissement moyen du distributeur sur une entrée en salle de cinéma (1998-2007) Encaissement moyen du distributeur sur une entrée en salle de cinéma (1998-2007) Avril 2009 Centre national de la cinématographie Direction des études, des statistiques et de la prospective 12, rue de

Plus en détail

Ministère des Affaires étrangères et européennes

Ministère des Affaires étrangères et européennes Ministère des Affaires étrangères et européennes Direction de la coopération culturelle et du français Regards VI, DVD 1 Culture Réalisation Isabelle Barrière, Thomas Sorin (CAVILAM) Rédaction Thomas Sorin

Plus en détail

Executive Summary. Résultats clés: Performance globale au 19/05/2015 :

Executive Summary. Résultats clés: Performance globale au 19/05/2015 : Executive Summary Vue d'ensemble de la campagne : Margouillaprod est une société de production de films institutionnels et publicitaires, elle propose des prestations de film pour des évènements tels que

Plus en détail

Étude sur la compétitivité des administrations cantonales

Étude sur la compétitivité des administrations cantonales Étude sur la compétitivité des administrations cantonales réalisée pour les Chambres de commerce latines Avril 2015 2 1. Descriptif de la recherche Contexte et méthodologie 3 La 7 ème vague de l étude

Plus en détail

RESPONS. Info Mail 3 Janvier 2015 RESPONS SHURP ENSEMBLE. Lettre d information de l étude RESPONS

RESPONS. Info Mail 3 Janvier 2015 RESPONS SHURP ENSEMBLE. Lettre d information de l étude RESPONS RESPONS RESPONS RESidents Perspectives Of Living in Nursing Homes in Switzerland est un projet du Domaine santé de la Haute école spécialisée bernoise. RESPONS étudie la qualité des soins du point de vue

Plus en détail

Conjoncture Filière cheval N 17 Novembre 2014

Conjoncture Filière cheval N 17 Novembre 2014 Conjoncture Filière cheval N 17 Novembre 214 L élevage Galop : reprise de la production en 214 Trot : légère baisse de la production en 214, comme en 213 Selle : après trois années de baisse sévère, le

Plus en détail

Jämes Ménétrey Diffusion http://cdm-it.epfl.ch COLLEGE DU MANAGEMENT DE LA TECHNOLOGIE. +4121 693 03 03 cdm-it.support@epfl.ch http://cdm-it.epfl.

Jämes Ménétrey Diffusion http://cdm-it.epfl.ch COLLEGE DU MANAGEMENT DE LA TECHNOLOGIE. +4121 693 03 03 cdm-it.support@epfl.ch http://cdm-it.epfl. COLLEGE DU MANAGEMENT DE LA TECHNOLOGIE EPFL CDM-IT ODY 2 18 Bat. Odyssea Station 5 CH 1015 Lausanne Téléphone : E-mail : Site web : +4121 693 03 03 cdm-it.support@epfl.ch http://cdm-it.epfl.ch Titre de

Plus en détail

La Réunion, terre d images et de tournages

La Réunion, terre d images et de tournages TOP RÉSA 2011 / 20-23 SEPTEMBRE 2011 À PARIS www.regionreunion.com La Réunion, terre d images et de tournages LA RÉUNION AU PATRIMOINE MONDIAL DE L HUMANITÉ cirques, pitons, remparts Terre d images Terre

Plus en détail

4.04 Etat au 1 er janvier 2013

4.04 Etat au 1 er janvier 2013 4.04 Etat au 1 er janvier 2013 Rentes d invalidité de l'ai Généralités 1 Les personnes assurées qui, du fait d une atteinte à la santé, sont totalement ou partiellement empêchées de travailler ou d accomplir

Plus en détail

MASTER RECHERCHE CINEMA : APPROCHES INTERCULTURELLES

MASTER RECHERCHE CINEMA : APPROCHES INTERCULTURELLES MASTER RECHERCHE CINEMA : APPROCHES INTERCULTURELLES Mention : Arts Spécialité : Cinéma et audiovisuel, approches interculturelles du cinéma Contacts Composante : UFR Humanités Contact(s) administratif(s)

Plus en détail

Communiqué de presse Mardi 12 décembre 2006

Communiqué de presse Mardi 12 décembre 2006 Communiqué de presse Mardi 12 décembre 2006 RESULTATS ANNUELS 2006 Chiffre d affaires en hausse de 5,6% : première année de croissance depuis 4 ans Résultat net positif à 5 M vs 3 M en 2005 2006 : une

Plus en détail

Photographie statistique des accidents de travail, des accidents de trajet et des maladies professionnelles en France selon le sexe entre 2001 et 2012

Photographie statistique des accidents de travail, des accidents de trajet et des maladies professionnelles en France selon le sexe entre 2001 et 2012 Photographie statistique des accidents de travail, des accidents de trajet et des maladies professionnelles en France selon le sexe entre 2001 et 2012 Des tendances d évolution différenciées pour les femmes

Plus en détail

Bologne à l EPFL. Réforme de Bologne Implications pour l EPFL. Prof. Dominique Bonvin, Doyen Bachelor-Master

Bologne à l EPFL. Réforme de Bologne Implications pour l EPFL. Prof. Dominique Bonvin, Doyen Bachelor-Master Bologne à l EPFL Réforme de Bologne Implications pour l EPFL Prof. Dominique Bonvin, Doyen Bachelor-Master EPFL Quelques chiffres 6 600 Etudiants, 23% femmes, 38% étrangers, 109 nationalités 1 400 Doctorants

Plus en détail

Les métiers de la banque et des assurances

Les métiers de la banque et des assurances 18 juin 2015 Les métiers de la banque et des assurances Auteure : Itto BEN HADDOU-MOUSSET 1. Un secteur en mutation depuis les années 1980 L Ile-de-France est la région qui abrite les effectifs bancaires

Plus en détail

À PROPOS DE TALEND...

À PROPOS DE TALEND... WHITE PAPER Table des matières Résultats de l enquête... 4 Stratégie d entreprise Big Data... 5 Intégration des Big Data... 8 Les défis liés à la mise en œuvre des Big Data... 10 Les technologies pour

Plus en détail

Utilisation des portables en classe, des problèmes et des solutions.

Utilisation des portables en classe, des problèmes et des solutions. Utilisation des portables en classe, des problèmes et des solutions. Ces quelques lignes ne rendent pas compte d une expérimentation organisée à priori mais d un changement de pratique qui demeure en évolution.

Plus en détail

Une étude de différentes analyses réalisées par le BIT

Une étude de différentes analyses réalisées par le BIT Association internationale de la sécurité sociale Quinzième Conférence internationale des actuaires et statisticiens de la sécurité sociale Helsinki, Finlande, 23-25 mai 2007 Comparaison des hypothèses

Plus en détail

Les PME sont une composanteimportante du commerce extérieur suisse

Les PME sont une composanteimportante du commerce extérieur suisse Éclairage Les PME sont une composanteimportante du commerce extérieur suisse Au coursdes deux dernières décennies, l intégration de l économie suisse au reste de la planète s estquasiment accrue chaque

Plus en détail

Tangible Experience. 1. Pésentation et historique. 2. Considérations techniques et débouchés.

Tangible Experience. 1. Pésentation et historique. 2. Considérations techniques et débouchés. Tangible Experience 1. Pésentation et historique. 2. Considérations techniques et débouchés. 1. PRESENTATION Pour une première présentation générale du projet, prière de vous référer au document joint

Plus en détail

LES RETOMBÉES ÉCONOMIQUES DE LA PÊCHE DE LOISIRS DANS LE SECTEUR DU LAC DU BOURGET. Restitution - 13 octobre 2014

LES RETOMBÉES ÉCONOMIQUES DE LA PÊCHE DE LOISIRS DANS LE SECTEUR DU LAC DU BOURGET. Restitution - 13 octobre 2014 LES RETOMBÉES ÉCONOMIQUES DE LA PÊCHE DE LOISIRS DANS LE SECTEUR DU LAC DU BOURGET Restitution - 13 octobre 2014 ATTENTION Ne pas cumuler! LE DISPOSITIF D ÉTUDE Evaluer la contribution à l économie locale

Plus en détail

Coût des opérations bancaires

Coût des opérations bancaires Bureau de la consommation Coût des opérations bancaires Coût des opérations bancaires On peut obtenir cette publication sur demande en médias substituts. Communiquer avec le Centre de diffusion de l information

Plus en détail

MINISTÈRE DU TRAVAIL, DES RELATIONS SOCIALES, DE LA FAMILLE, DE LA SOLIDARITÉ ET DE LA VILLE CONVENTIONS COLLECTIVES. Convention collective nationale

MINISTÈRE DU TRAVAIL, DES RELATIONS SOCIALES, DE LA FAMILLE, DE LA SOLIDARITÉ ET DE LA VILLE CONVENTIONS COLLECTIVES. Convention collective nationale MINISTÈRE DU TRAVAIL, DES RELATIONS SOCIALES, DE LA FAMILLE, DE LA SOLIDARITÉ ET DE LA VILLE CONVENTIONS COLLECTIVES Brochure n o 3054 Convention collective nationale IDCC : 925. DISTRIBUTION ET COMMERCE

Plus en détail

Cet article s attache tout d abord

Cet article s attache tout d abord Méthodes internationales pour comparer l éducation et l équité Comparaison entre pays des coûts de l éducation : des sources de financement aux dépenses Luc Brière Marguerite Rudolf Bureau du compte de

Plus en détail

Dossier d inscription

Dossier d inscription Dossier d inscription (A rendre au plus tard le 15 mai 2015) Le dossier comprend les pièces suivantes : Fiche d inscription Autorisation parentale pour les mineurs Fiche descriptive du court métrage Autorisations

Plus en détail

La diffusion des technologies de l information et de la communication dans la société française

La diffusion des technologies de l information et de la communication dans la société française La diffusion des technologies de l information et de la communication dans la société française Étude réalisée par le Centre de Recherche pour l'étude et l'observation des Conditions de Vie (CREDOC) pour

Plus en détail

Bourse Binding de la Fondation suisse d études

Bourse Binding de la Fondation suisse d études Univers Suisse Bourse Binding de la Fondation suisse d études Dossier de candidature Veuillez présenter les documents dans l ordre et en suivant de manière stricte le modèle fourni. Nous vous sommes reconnaissants

Plus en détail

Pour le Développement d une Relation Durable avec nos Clients

Pour le Développement d une Relation Durable avec nos Clients Pour le Développement d une Relation Durable avec nos Clients Prestation de Certification CERTIFICATION-D D-Indice 7 Applicable le 09//009 CERTIFICATION D Indice 7 Page /7 GLOBAL sas 8, rue du séminaire

Plus en détail

Groupe Cornèr Banque. Vos valeurs, nos valeurs.

Groupe Cornèr Banque. Vos valeurs, nos valeurs. Groupe Cornèr Banque Vos valeurs, nos valeurs. Groupe Cornèr Banque 2 Marché suisse 3 Marché international 4 Private Banking 5 Crédits et Commercial 6 Cornèrcard 7 Markets 8 Intermédiaires Financiers

Plus en détail

Tableau de bord des communautés de l Estrie DEUXIÈME ÉDITION INDICATEURS DÉMOGRAPHIQUES ET SOCIOÉCONOMIQUES

Tableau de bord des communautés de l Estrie DEUXIÈME ÉDITION INDICATEURS DÉMOGRAPHIQUES ET SOCIOÉCONOMIQUES Tableau de bord des communautés de l Estrie DEUXIÈME ÉDITION INDICATEURS DÉMOGRAPHIQUES ET SOCIOÉCONOMIQUES Communauté locale de la Vallée de la Missisquoi Nord MRC de Memphrémagog Ce que les chiffres

Plus en détail

Inventaire Symptomatique de la Dépression et du Trouble Affectif Saisonnier Auto-évaluation (IDTAS-AE)

Inventaire Symptomatique de la Dépression et du Trouble Affectif Saisonnier Auto-évaluation (IDTAS-AE) Inventaire Symptomatique de la Dépression et du Trouble Affectif Saisonnier Auto-évaluation (IDTAS-AE) Ce questionnaire vous aidera à juger si vous devez consulter un clinicien pour votre dépression, si

Plus en détail

La finance, facteur d inégalités

La finance, facteur d inégalités La finance, facteur d inégalités Olivier GODECHOT Cette étude montre que, contrairement aux idées reçues, les PDG et des superstars du sport ou du divertissement ne sont pas les premiers responsables de

Plus en détail

Un guide du trading des Options Binaires, étape par étape. www.cedarfinance.com

Un guide du trading des Options Binaires, étape par étape. www.cedarfinance.com Un guide du trading des Options Binaires, étape par étape www.cedarfinance.com Index 3 Les meilleures raisons pour commencer le trading d Options Binaires 4 Les Options Binaires: Histoire 5 Comment réaliser

Plus en détail

Institut Informatique de gestion. Communication en situation de crise

Institut Informatique de gestion. Communication en situation de crise Institut Informatique de gestion Communication en situation de crise 1 Contexte Je ne suis pas un professionnel de la communication Méthode empirique, basée sur l(es) expérience(s) Je suis actif dans un

Plus en détail

Si vous avez déjà accès à une application fédérale comme par exemple «Tax-On-Web», vous ne devez plus vous authentifier sur votre profil en ligne.

Si vous avez déjà accès à une application fédérale comme par exemple «Tax-On-Web», vous ne devez plus vous authentifier sur votre profil en ligne. 1 Introduction Ce manuel est destiné à vous aider, en tant qu utilisateur du «Private Search, à accéder à l application ainsi qu à créer une unité d établissement pour une ASBL ou une entreprise noncommerciale

Plus en détail

CliniPACS : distribution sécurisée d'images DICOM en réseau local hospitalier

CliniPACS : distribution sécurisée d'images DICOM en réseau local hospitalier CliniPACS : distribution sécurisée d'images DICOM en réseau local hospitalier P. PUECH, JF. LAHAYE, JC. FANTONI [2], L. LEMAITRE CHRU de Lille [1] Plateau commun d Imagerie médicale - Hôpital Claude Huriez

Plus en détail

Pourquoi disposer d un site Internet mobile n est qu un début

Pourquoi disposer d un site Internet mobile n est qu un début Edition Spéciale 2 Intelligence Applied 1 Avoir un site «responsive design» ou adapté aux mobiles constitue un grand pas en avant. Il ne doit cependant pas être considéré comme le substitut à une véritable

Plus en détail

BOURSES À LA CRÉATION

BOURSES À LA CRÉATION ARTES, LE MEILLEUR CHOIX POUR LES AUTEURS BOURSES À LA CRÉATION RELATIONS MEMBRES SECTEUR AUDIOVISUEL OCTOBRE 2013 PRÉAMBULE Cinéma, télévision, vidéo, multimédia autant de moyens de communication permettant

Plus en détail

L économie de la télévision de rattrapage

L économie de la télévision de rattrapage L économie de la télévision de rattrapage Medianalyses Scholè Marketing Sommaire I. SYNTHESE... 4 A. Le succès d audience de la télévision de rattrapage... 5 1. Environ un tiers de la population concernée...

Plus en détail

www.mareemoderne.com Comment participer?

www.mareemoderne.com Comment participer? www.mareemoderne.com Comment participer? Date limite d inscription : Vous avez jusqu au : 25 juillet 2014 pour nous envoyer votre film accompagné de la fiche d inscription au concours. Comment participer?

Plus en détail

RESULTATS D ENQUÊTE: LES SALAIRES DES DIPLÔMÉS DE L EPFL

RESULTATS D ENQUÊTE: LES SALAIRES DES DIPLÔMÉS DE L EPFL RESULTATS D ENQUÊTE: LES SALAIRES DES DIPLÔMÉS DE L EPFL Pendant l été 2013, l EPFL Alumni a réalisé une enquête portant sur les parcours professionnels des diplômés de l EPFL (Diplôme, Master et/ou Doctorat),

Plus en détail

Transposition de l article 8 de la directive européenne 2012/27 relative à l efficacité énergétique

Transposition de l article 8 de la directive européenne 2012/27 relative à l efficacité énergétique Pollutec 2013 Atelier ATEE AUDIT ENERGETIQUE EN ENTREPRISE Transposition de l article 8 de la directive européenne 2012/27 relative à l efficacité énergétique Laurent Cadiou DGEC/SCEE Bureau Économies

Plus en détail

Sommaire. Rentabilité du retour d une franchise de baseball de la Ligue majeure de baseball à Montréal (les «Expos»)

Sommaire. Rentabilité du retour d une franchise de baseball de la Ligue majeure de baseball à Montréal (les «Expos») Sommaire Rentabilité du retour d une franchise de baseball de la Ligue majeure de baseball à Montréal (les «Expos») Novembre 2013 Table des matières 1. CONTEXTE ET OBJECTIFS... 3 2. MÉTHODES DE RECHERCHE...

Plus en détail

L autopartage en trace directe : quelle alternative à la voiture particulière?

L autopartage en trace directe : quelle alternative à la voiture particulière? L autopartage en trace directe : quelle alternative à la particulière? Résultats de la première enquête sur l impact d un service d autopartage en trace directe (le cas d Autolib ) Cette étude réalisée

Plus en détail

ANALYSE CAMPAGNE HOLIDEA FEED

ANALYSE CAMPAGNE HOLIDEA FEED ANALYSE CAMPAGNE HOLIDEA FEED Offre Campagne Paques Online travel agency CONTENU INTRODUCTION ANALYSE DE LA CAMPAGNE TOTALE : Analyse IMAGE 1 Analyse IMAGE 2 CONCLUSIONS Optimizations possible 8 campagnes

Plus en détail

Téléfilm Canada. Du cinéma au téléphone cellulaire

Téléfilm Canada. Du cinéma au téléphone cellulaire Téléfilm Canada Du cinéma au téléphone cellulaire Téléfilm Canada Pourquoi sommes-nous ici aujourd hui? Pour vous donner un compte rendu de ma première année comme directeur général de Téléfilm Canada

Plus en détail

2.2.4. La courbe en J et la condition de Marshall-Lerner

2.2.4. La courbe en J et la condition de Marshall-Lerner 224 file:///fichiers/enseignement/site%20web/impression/rmi/fiches/rmi224... 2.2.4. La courbe en J et la condition de Marshall-Lerner Introduction Paragraphe au format pdf L'exemple de l'italie comme les

Plus en détail

ANNEXE 2 : CHARTE DE COMMUNICATION

ANNEXE 2 : CHARTE DE COMMUNICATION ANNEXE 2 : CHARTE DE COMMUNICATION L Editeur respecte les lois et règlements en vigueur, le cas échéant les recommandations d instances telles que celles du Conseil Supérieur de l Audiovisuel, de l Autorité

Plus en détail

Gildas Malassinet-Tannou www.icarart.com PEINTURE DE LUMIÈRE INSTALLATION INTERACTIVE

Gildas Malassinet-Tannou www.icarart.com PEINTURE DE LUMIÈRE INSTALLATION INTERACTIVE = PEINTURE DE LUMIÈRE INSTALLATION INTERACTIVE Pablo Picasso à l origine Pablo Picasso est l un des premiers artistes à réaliser, dans les années 1950, des œuvres de peintures de lumière, avec le photographe

Plus en détail