6. PHONETIQUE ARTICULATOIRE

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1 e nos t de la 6. PHONETIQUE ARTICULATOIRE 6.1. PHONETIQUE ARTICULATOIRE, ORTHOPHONIE ET LlNGUISTIQUE La phonetique articulatoire s'occupe, comme la phoneticue physiologique, de la phase de production du son, Mais alors que la phonetique physiologique etudie I'anatomie et la physiologie de I'appareil phonateur, la phonetique articulatoire se donne pour tache de decrire et de c1asser les sons du langage sur la base du jeu des organes phonateurs au cours de l'ernission sonore (cf.1.3.). C'est la tacon traditionnelle, et la plus repandue, de decrire et de c1asser les sons en phonet ique. Mais ce travail peut se faire selon d'autres criteres. On peut, par exempie, decrire et c1asser les sons du langage d'apres leur structure acoustique (ct. par exemple ce qui a ete dit au de la double opposition compact -diffus et graveaigu). On peut aussi decrire et c1asser les sons en vertu de leur fonction distinctive -ou, plus qeneralernent, en vertu de leur fonction communicative: nous avons vu que c'etatt ta Ie role de la phonologie (1.4.). On se souviendra cependant que cette analyse phonolog ique doit normalement preceder I'analyse phonetique (1.4.), et que les unites phoniques qui seront etudiees dans ce chapitre ont ete prealablernent deqaqees et definies sur la base de leur fonction. On n'oubliera pas non plus la signification acoustique et auditive des gestes articulatoires dont il va etre question, tout en gardant presente ai'esprit la prudence dont il convient de faire preuve dans Ie domaine des correlations entre traits acoustiques et traits articulatoires (cf ). Toutefois, ce cours de phonetique etant oriente vers I'orthophonie (Iogopedie, prononciation, diction), d'une part, et vers la linguistique (Iinguistiques synchronique et diachronique, dialectologie) d'autre part, il apparait plus profitable d'insister sur Ie cote de la phonation plutot que sur Ie cote de I'audition. Et, ici, la phonation equivaut a I'articulation Mode et point d'articulation Du point de vue articulatoire, on decrit et on c1asse les sons du langage selon Ie mode d'articulation et selon Ie point (ou la zone) d'articulation. UNE INTRODUCTION A LA PHONETIQUE- 97

2 Figure 34: phonation et art iculation I rnacholre fixe ou _ i maxillaire superieure ~ / '. > ' - - fosse nasale "<, r >", <: : ~. palais dur,/.. ~ ~:: <:'"( ' ~ ~"~' " ----' > :, ~ <; ~;.:..... {_..tr:~. \. ~i " I ' ~ ~,.' -_ _... I In~ isl v es L ~_.i->...-, ~.i->.':'oil~ dujlalals I superleures I ~~.'..>: -, In CI S~V~ ;. -:=..." ". ~~.- luette 4- C p. 0 1 _. 1- ; ~.'1 5- L inferieures -- ~,- _ -,....-., " c _-- --~,-.-:. :_, '-, ~:t /. pa roi pharyngale : langue ~ - - ) _~ \ ' ' ~ machoire mobile ou ~_ {,: \»>:~... ~ ~ a r y n~ maxillaire inferieur ' _\ Le mode d'articulation On desiqne par Ie mode d'articulation la tacon, la man iere, Ie cc mode» selon lequelle courant d'air qui vient des poumons se dirige vers l'exterieur ; il peut, en effet, etre Le c traits de ditterentes tacons : infer au c 1- Expire ou inspire. Le courant d'air est utilise au cours de I'expiration ou de «l'ins larti piretion» (ou aspiration). Limmense rnajo rite des sons de toutes les langues sont SUPE articules en expirant. On parle ve rs Ie dehors et non vers Ie dedans. Seuls les bucc clics sont plut6t articules en inspirant.p Dans ce qui va suivre, il ne sera question pho i que des sons produ its au cou rs de I'expiration. hau ' 2- Sourd (ou non voise) ou sonore (ou voise), Au niveau des cordes vocales, une (cer vela autre ditferenciation est possible, suivant que Ie son est produ it ai'aide de vibra (Iaq tions laryngiennes : Ie son est alors dit sonore (sont sonores to utes les voyelles non chuchotees, et certaines consonnes, comme Ib, d, g, v, z; ml, etc.) ; ou suivant que Ie son est produit sans participation des cordes vocales - Ie son est alors dit sourd (sont sourdes ce rtaines consonnes, comme /p, t, k, t, s/, etc. ). On dit indifterernrnent sonore ou voise, sourd ou non voise. 3- Oral ou nasal. En arrivant dans Ie pharynx buccal, I'air peut suivre deu x chemins diff8rents : soit Ie voile du palais, en s'appuyant contre la paroi pharyngale, term e l'entree des tosses nasales, et on obtient alors un son de type oral (par exemple la, i, p, b, vi ; soit Ie voile du pala is, en s'abaiss ant, ouv re Ie passage des tos ses nasales: da ns ce cas, I'air s'echappe a la tois par la bouche et par Ie nez : I'articulation est dite nasale (voyelle nasale s'il y a ouverture buccale : la, E, 61; consonne nasale s'il y a termeture buccale : /rn, n/. 6.2 cete Aim rap: ner est On I'au entr pas sor 98 - U NE INTRODUCTION A LA PHONETIQUE

3 4- Constrictif (ou fricatif) ou occlusif. En outre Ie conduit vocal peut offrir ai'air un passage soit libre (c'est Ie cas des voyelles pour I'articulation desquelles aucun organe ne fait obstacle au passage de l'air ) : soit rt9treci (c'est Ie cas de certaines consonnes, comme If, v, s, zl par exemple, pour lesquelles Ie passage de l'air est retreci par une constriction du conduit vocal) ; soit momentenement terme completement (c'est Ie cas de certaines consonnes, comme Ip, b, k, gl par exemple, pour laquelle Ie passage de I'air est terrne par une occlusion rnornentanee du conduit vocal). 5- Labiallse ou non labiallse, Au moment de franch ir les levres. Ie son peut encore connaitre un autre traitement: suivant que les levres se projettent en avant et s'arrondissent de rnaniere a creer Ie 4 e resonateur dont il a ete question en 5.3. : Ie son est dit teb ielise ou arrondi (exemple : lu, y/) ; ou suivant que les levres restent neutres (exemple : la/) ou s'et lrent (exemple: Iii) : Ie son est dit alors delebielise, ou non teblslis«, ou non arrondi Le point d'articulation Ie re Le point de rapprochement ou de contact ent re la pa rtie mobile (langue ou levre lnterieure) et la partie fixe (levre superieure, dents ou palais) de I'appareil phonateur au cours de l'ernission sonore est appele Ie point d'articulation du son. Ainsi, pour 5 I'articulation du It! francais, la pointe de la langue vient s'appuyer contre les incis ives nt superieures : Ie point d'articulation est dit apicodental ; c'est a cet endroit du canal s buccal qu 'est realises I'occlusion du passage de I'air. Pour plus de precision, les n phoneticiens ont delirnite dans la bouche des zones articulatoires. On distingue, en haut, sur Ie plafond de la bouche, les zones labiale, dentale, elveoleire, palatale (cette dernlere se subdivise en regions prepetetete, mediopetetete et postpalatale), velaire, uvulaire et pharyngale; et en bas, sur la langue, les zones apicale, dorsale (Iaquelle se subdivise en regions predorsele, mediodorsete et postdorsale), et radicale. et Ainsi, en combinant la region de la partie fixe et la region de la part ie mobile qui se on rapprochent ou entrent en contact au cours de l'ernission d'un son, on peut determi. 1. ner avec precision Ie point d'articulation de ce son (exemple : ItI est apicodental ; l si est predorsoalveclaire, Ikl est dorsovelaire, etc.) ns On notera encore que les levres peuvent soit fermer, en s'appuyant I'une contre ies I'autre, Ie canal buccal (dans Ie cas de Ip, b, rn/, Ie point d'art iculation se trouvant entre les deu x levres, on dit qu 'on a affaire a un son de type bilab ia~, soit retrecir Ie,.. 'on ne passage de I'air, en combinaison avec les incisives superieures (If! et Ivl sont des sons de type labiodenta~. 54 U NE INTRODUCTION A LA PHONETIQUE- 99

4 Figure 35 : Les zones ou points articulatoires (avec les adjectifs correspondants) Inez (avec tosses I, :Dans,Ie diaqrarnrne ci ~ dess o u~, legere, nasales}: nasal 1 ment et.re gauche - droite atin d augmen ~--_-,--'_---!I, "_ ter sa lisibilite, on identifie avec une ligne I," _... -., ' ; continue les zones articulatoires du desi '-'- sus, fixes ; la langue, mobile, en gris clair ; 1 "!r ~alai,s ~dur) ; palatal Ie reste.en pointille. ~ Ir--- '- I - d- - - '...(pre, medlo et postpalatal), -~- I I a veo es es...1 j ' avec la langue I Idents; alveolaire ' I, 1 entre les dents ', ~ '-- " /.. t ', r~.. "<, l / supeneures e :--..! voile du palais ; "'-...~::~~~- - -.~ ~. interieures ; 1 1 velaire! incisives ~.~ interdental ~'. dental: / O 't cont,re Ievre / 10 ' -"',, luette; ',.. supeneure ; \ ', uvulaire bilabial.., :,./ _, " - I ~ v ~e ~ f ~r i eu ;;--~#~ - -.~~_ ,...., (~-..., -" I ~vre inf ~ r i e u re {~... ' '\'' \ \...<, L: 1,,!, contre incisives ".. ~ ", \ ', ' rac ln~ de la 1 superieures :, "', \ \ /' langue, radical labiodental / \.r: '.. \ I pharynx ; levres ; labial \ -, pharyngal '"' ~.. \ ' '\.",, ' \ I,Quand I'air s'echappe"par,i "-. ' dos de Ia langue; i Ii les cotes de la langue, :i pointe de ~a i dorsal (pre, metiio I il comme pour Ie III, II langue ; apical I et postdorsal) I II I'adjectit est lateral Ii 6.3.VOYELLES ET CONSONNES Ainsi, en combinant ces deux criteres d'analyse, mode et point d'articulation, il est possible de defini r et de classer articulatoirement tous les sons que peuvent realiser les langues huma ines. Pour plus de cornmooite, on distingue qeneralernent entre voyelles et consonnes. Nous avons vu que, du point de vue acoustique (3.5.2.), les conso nnes sont percues comme de rapides changements dans la rnelodie du discours (transitions de formants), tandis que les voyelles sont percues comme des portions melodiques stables ; on se rappellera aussi que les consonnes sont ordinairement accornpaqnees de bruit (d'explosion ou de friction ). Toutefois, il a aussi ete dit qu'on ne trouve pas, dans I'onde sonore, des segments distincts dont chacun correspondrait a l'un des sons de la parole:!'onde sonore est un phenomena continu ; et on se souviendra que I'identification d'une consonne met en jeu au moins deux elements acoustiques separes dans Ie temps : une «tache» occlus ive (ou une zone brouillee revelant la friction)55et deux formants vocaliques. La veritable unite acoustique est la syllabe (cf ) ; il en resulte que la distinction entre voyelles et consonnes perd un peu de sa nettete phonetlqua." U NE INTRODUCTION A LA PHONETIOUE

5 Du point de vue articulatoire, on a dit que les voyelles compo rtaient toujours des vibrations des cordes vocales (a condition qu'elles ne soient pas chuchotees) et un passage libre de I'air (aucun organe ne fait obstacle au passag e de I'air venant de la glotte) tandis que les consonn es pouva ient ou non s'accompagner de vibrations glottales, et qu'elles etaient ernises avec un passage de I'air soit retreci, soit ferme rnomentanernent. Sans doute, si on pousse I'analyse assez loin, la distinction paraitelle moins claire : elle est nette pour lal par opposition a Ip/, mais beaucoup moins nette pour Iii par opposit ion a Ij/, Ie Iii de lit et Ie Ijl de pied. Dans lier, on entend la lettre i prononcee par les uns Iii et par les autres Ij/, sans que cela nuise ala comprehension Ie plus souvent. Ces deux sons apparaissent en effet tres proches du point de vue articulatoire comme du point de vue acoustique ou auditif : phonetiquernent, ii n'y a quere que la duree qui varie, longue pour la voyelle Iii, breve pour la semiconsonne (ou semi-voyelle ) Ij/Y De lacon un peu difterente, les liquides, et parfois les nasales ou les tncat tves." peuvent-elles paraitre phonetiquement proches des voyelles.>? De meme que I'onde sonore est, acoustiquement, un phenomena continu, ii y a, entre la consonn e la plus Ierrnee et la voyelle la plus ouverte, un continuum articulatoire dans lequel la distinction entre voyelles et consonnes perd, une fois encore, un peu de nettete. On se souvient que la division des sons du langage en voyelles et consonne s remonte en fait aux gramma iriens grecs (1.2.), dont les deux grandes categories de sons, celie des voyelle s et celie des consonne s, se sont perpetuee s jusqu'a nos jours par l'interrnediaire des gramma iriens latins. A la condit ion d'en connaitre les limites, on peut conserver cette distinction traditionnelle en phonetique parce que, d'une part, elle rend compte de certains faits evidents (Ia differences acoustique, auditive et articulatoire qui separe lal de Ip/), et parce que, d'autre part, elle est pratique d'un point de vue rnethodoloqique, notamment pedaqoq ique. Enfin, elle est tout a fait pertinente en phonolog ie. Nous examinerons donc success ivement les consonn es et les voyelles. Figure 36: Les consonnes et les semiconsonn es selon I'alphabet phonetique international (API) I I! I I 6 labial dental -tirlabiai-: -iabi; :-- -dentai-fcacumi nal : dental P b m ~ IT) Itn d t cl 'l I 1 b ; I l r r G G Pi3 la _ t l _fy$i ire3 _ pharyngal pre : media- : past velaire : uvu la ire oalatal : oalata l : oalatal : r r ~ f3 f V s Z ~ { S 3 v ~ <; S I ~ e s o w,y v I ~ j w,1s t' t d' j c i".r I. J k' g' k g q G!? I} N larynga! ~ 8 RoR R.R R X Y X 'c:i n c:; h R U NE INTRODUCTION A LA PHONETIQUE- 101

6 Sur ce tableau des consonnes et semiconsonnes, les sourdes (ou non voisees) apparaissent sur fond blanc, les sono res (ou voisees ) sur fond grise : 60 1 : occlusif 2 : nasal 3 : lateral fricat if 4 : lateral spirant 5 : a plusieurs battements 6 : a un seul battement 7 : fricat if 8: interdental 9: semiconsonnes Les consonnes Suivant Ie critere de mode d'articulation qui concerne Ie comportement du conduit vocal al'eqard du passage de I'air venant des poumons, on divise les consonnes en trois grandes categories: 1) les occlusives, qui comprennent une occlusion ; 2) les constrictives, qui supposent une constriction (retrecissernent) du conduit vocal ; et 3) les mi-occ!usives, qui representent une sorte de combinaison entre Ie type occlusif et Ie type constrictif Les occlusives I. Les phases de I'articulation des consonnes Les occlusives sont ainsi nornrnees parce que la phase caracte ristique, et la seule phase constante, de leur production, est une occlus ion, une fermeture complete, du conduit vocal. En fait, une occlus ive comprend d'ordinaire trois phases: la catastase (mise en place des organes) ; la tenue (tension plus ou moins prolonqee des muscles ) ; et la metestese (deplacernent des orcanes)." Par exemple, pour I'articulation du /p/, la catastase consiste en la fermeture du conduit vocal par I'accolement des levres, la tenue consiste dans la tension musculaire et la poussee intrabuccale de l'air qui peuvent se prolonger autant que dure I'occlusion, et la metastase consiste en la brusque ouverture des levres qui met fin a I'occlusion : I'air s'echappe de la bouche en produisant un leger bruit d'explosion do au choc de la colonne d'air expire contre I'air exterieur (d'ou I'appellation d'explosive parfois utilisee au lieu d'occlusive). Cette appellation ne sera pas retenue ici, car elle est de nature auditive et non de nature articulatoire ; en outre, I'appellation d'explosive s'applique plus precisement aune autre division des consonnes, dont nous allons parler dans un instant UNE INTRODUCTION A LA PHONETIOUE

7 Seule la phase de tenue, I'occlusion, est constante. En effet, dans lampal (une dame ggsse), la catastase manque, puisque la position necessaire des organes est irnpliquee dans I'articulation du m ; et dans lapmal (tu tapes mal), la rnetastase fait detaut, car ii est tout a fait exceptionnel qu'on rouvre les levres entre Ie Ipl et Ie Iml de cet enonce, au moins au nord de la Loire. On notera que, dans ce dernier cas, Ie bruit de I'explosion fait detaut. Ce qui permet cependant d'identifier la consonne, c'est Ie bruit produ it par la fermeture des levres au cours de la catastase, qui interrompt brusquement la sortie de I'air phonatoire ; il s'agit d'un bruit d 'implosion d'ou Ie nom d'implosif que I'on donne ace [p] sans rnetastase, par opposition aux [p] «norrnau x», qui sont dits explosifs. Ainsi, si ta seule phase constante d'une occlusive est la tenue, on n'oubliera cependant pas que, du point de vue auditif, cette phase est muette et inaudible ; Ie bruit qui seul ici permet d'identifier la consonne est produit soit dans la premiere phase (consonne implosive), soit dans la troisierne phase (consonne explosive). La tenue peut etre prolonqee ; elle implique en principe une triple occlusion: la glotte est terrnee herrnetiquernent, Ie voile du palais est reteve et ferme l'entree des tosses nasales et -s'il s'agit par exemple d'une bilabiale-ies levres s'accolent I'une contre I'autre (d'autres organes s'il s'agit d'une dentale, d'une velaire, etc.). Ains i, I'air enferme dans la cavite buccale, isole par cette triple occlusion se comprime peu a peu jusqu 'a la rnetastase, si elle a lieu. Par contre, la catastase et la metastase, phases pendant lesquelles se produit Ie bruit de la consonne, ne peuvent etre prolonqees : elles sont caracterisees par leur brievete, d'ou I'appellation de momentenees qui est encore don nee aux occlusives, par opposition aux constrictives, dans lesquelles Ie retrecissernent du conduit vocal permet de prolonger l'ecoulernent de I'air indefiniment : et c'est pourquoi on appelle aussi lesdites constrictives des continues. II. Sourdes et sonores ; orales et nasales Suivant Ie mode d'articulation, les occlusives se repartissent en sourdes et sonores d'une part, et en orales et nasales d'autre part. 1 - Sourdes ou sonores. La difference entre sourdes et sonores prend place dans la phase de tenue qui, dans Ie cas des sono res, s'accompagne de vibrat ions glottales. Alors que, pendant la tenue des occlusives sourdes, les cordes vocales ferment hermetiouernent la glotte, il n'y a pas de fermeture herrnetique lors de la tenue des occlusives sonores : les cordes vocales se rapprochent et entrent en vibration. II en results que pendant la tenue des sonores, I'air vib rant s'accumule dans la cavite buccale, elle-meme herrnetiquernent close par I'occlusion, et que, par consequent, la tenue d'une sonore ne peut pas etre prolonqee comme celie d'une sourde. A part cela, Ie mecanisme articulatoire des sourdes et des sonores est Ie meme. On notera cependant que I'implosion et I'explos ion des sonores sont beaucoup moins fortes que celles des sourdes. Cela tient au fait que, les cordes vocales etant en activite, une partie de l'enerqie necessaire a la realisation de I'occlusion a ete consacree a leur vibration. II en results que les occlusives sourdes sont des fortes, et les occlusives sonores des douces. Cette distinction entre les fortes et les douces a son U NE INTRODUCTION A LA PHONETIOUE- 103

8 importance parce qu'il existe certaines langues, comme I'allemand par exemple, qui possedent des occlusives sourdes douces: Ie b de I'allemand Baden, «bain», est sourd (pas de vibrations des cordes vocales) mais doux (occlusion comparable a celie des sonores du point de vue de l'enerqie articulatoire). On notera aussi que Ie b du mot francais robe dans l'enonce une robe courte s'assourdit par assimilation (ct. phonetique combinatoire, 5.6.) : toutefois, ce «b sourd n'est pas un p, car il conserve Ie caractere de douce des occlusives sonores.f II faut encore retenir que les occlusives sourdes presentent 2 types : Ie type aspire et Ie type non aspire. 63 Le Ipl francais est du type non aspire, tandis que Ie Ipl allemand ou anglais initial est du type aspire. Les deux types, du point de vue auditif, sont bien distincts, I'occlusive aspires etant caracterisee par un bruit de souffle ([h]) qui prend place entre I'explosion et la voyelle suivante, souffle absent dans I'occlusive non aspiree : comparer les It! du francais temps et de I'anglais time. Ceci tient ace que I'occlusive non aspiree comporte une occlusion a glotte Ierrnee, tandis que l'occlusive aspires comporte une occlusion a glotte ouverte : il faut donc un certain temps pour que les cordes vocales s'accolent pour la voyelle qui suit, et I'air qui s'echappe pendant ce temps s'entend comme un souffle Orales ou nasales. Une consonne est dite nasale lorsqu 'elle est articulee avec Ie voile du palais cetache de la paroi pharyngale et abaisse vers Ie dos de la langue. II en resulte que Ie passage de l'air par les fosses nasales est ouvert. Les occlusives nasales correspondent assez exactement a des occlusives non nasales (orales), mais les organes qui forment I'occlusion buccale sont presses moins fortement l'un contre I'autre et, d'autre part, la poussee d'air que les organes subissent est beaucoup moindre, puisque I'air s'echappe librement par Ie nez. Ainsi, les occlus ives nasales presentent cette particularite de comporter a la fois une occlusion (au niveau du conduit buccal ) et un passage libre (au niveau des fosses nasales ) : ce dernier trait explique leur grande sonorite (ct. traces oscillographiques ; et Ie fait qu'elles appartiennent a la cateqorie des sonantes de l'indoeuropeen), Normalement, les consonnes nasales sont sonores, mais elles peuvent s'assourdir par assimilation (cf. Ie b de robe courte), comme dans prisme ou communisme par exemple, ou Ie non voisement du lsi peut entrainer celui du Im/. 3 - Gerninees ou longues. On fera encore une distinction entre les qeminees et les longues. L.:occlusive geminee est en fait une occlusive double : on la rencontre dans /appa/ (ne tape pas), ou Ie premier pest implosif et Ie second p explosif : la tenue du second Ipl vient se greffer sur la tenue du premier Ip/ : les deux Ipl sont incomplets (Ie premier n'a pas de rnetastase, Ie second n'a pas de catastase) ; mais il ne leur manque rien d'essentiel, puisqu 'ils presentent tous deux la seule phase constante qui est la tenue. 65 Si I'occlusive geminee donne ainsi I'impression d'une dualite, I'occlusive longue, par contre, donne I'impression d'une unite: il s'agit bien d'une seule consonne, mais dont la tenue a ete prolonqee : on la rencontre en francais, sous I'effet de I'accent d'insistance, dans cet enfant est imposs ibte t c'est epouventeblel c'est abominable! par exemple. Le rnerne raisonnement vaut dans Ie cas d'une constr ictive, pour laquelle Ie mecanisme est identique, mutatis mutandis: c'est e!!rayantf c'est a!!reux! c'est horrible! etc. (cf.6.2.) UNE INTRODUCTION A LA PHONETIOUE

9 ; 1 III. Les occlusives selon Ie point d'articulation a o.' et ld Le point d'articulation permet de distinguer des occlusives : 1 - bilabiales: francais Ipl (sourd), Ibl (sonore), Iml (nasal) ; l'occluslon est bilabiale, la langue est en position neutre. 2 - apicodentales: francais ItI (sourd), Idl (sonore), Inl (nasal) : les levres sont en trouvertes; la pointe de la langue forme I'occlusion en prenant contact avec les inci sives superieures, les bords lateraux s'appuyant contre toute la ranqee des dents superieures. ) n Je J ps :::>e ec Je. es 5 1. un, a- ~ a u ' er 'es es cf. ' on On notera cependant que les occlusives dites dentales connaissent diverses varie tes, Ainsi, la pointe de la langue peut reculer son point d'articulation et s'appuyer contre les alveoles des incisives superieures : Ie It! est dit alors epicoetveoteire (c'est Ie ItI anglais par exemple, du moins si on ne tient pas compte du souffle). La pointe de la langue peut reculer davantage encore: on parle dans ce cas de It! prepalatal, cacuminal (parce que la langue touche Ie sommet de la voute palatale), cerebral (parce que Ie sommet de la voute palatale semble proche du cerveau) ou retroflexe (parce que la pointe de la langue est flech ie vers l'arriere pour atteindre Ie sommet de la voute palatale), voire postpalatal. :lu N. B. On peut aussi realiser un ItI qui n'est pas apical: la pointe de la langue est appuye contre les incisives interieures et c'est alors la partie anterieure de la langue qui realise I'occlusion au niveau des alveoles des incisives superieures, Cette articulation rapproche la dentale de la prepalatale, «palatalisee» ou rnouillee. 3 - dorsopalatales: francais populaire et dialectal Icl (cingjlieme, core.jjens, EJjenne) pour la sourde, francais populaire I I (Were, Dieu, mabie,) pour la sonore, francais 1[11 (gn6ie, agneau, campagne) pour lamasale (on dit aussi n rnouille), les levres sont en trouvertes ; la pointe de la langue s'appuie contre les incisives lnterieures : la partie predorsale de la langue forme I'occlusion en prenant contact avec la region prepalatale. Cette prononciation de la dentale ou des dentales est courante dans plusieurs langues ; en francais, ou on la rencontre, elle marque parfois une certaine affectation. res ans ; du ; lie Les dorsopalatales sont souvent instables : tres moulllees, elles tendent a s'affriquer, 'an c'est-a-dire a se term iner dans un bruit de friction, dorsopalatal donc chuintant, de, est plus en plus audible, que la graphie francaise rend habituellement par tch pour la swe sourde, dj pour la sonore : «Tchins! V'la Eicnenne ; nom di Dju! c'est bien I'djable...»..on ;?:fet iest 4 - dorsovelaires : IkJ, Igl, 111 francais qui, gui, cou, godt, ping-pong, camping; anglais key, gear, comb, good, finger, song, allemand Kuh, bringen, lang. On range sous I'appellation de dorsoveieires les occlusives dont I'occlusion est real ises par Ie dos de la langue appuye contre la voute palatine, Ie lieu de I'occlusion pouvant en fait aller de la region prepalatale a la region velaire, et etant determine par la nature de la i:rlc -ant I UNE INTRODUCTION A LA PHONETIOUE- 105

10 voyelle qui precede ou qui suit. En franca is par exemple, Ie IkJ de qui est anterlorise sous I'influence du Iii, tand is que Ie Ikl de cou est velarise. On notera que Ie franca is connait surtout Ie son 1f]1 dans des mots d'emprunt comme camping, smoking, etc. 5 - uvulaires: sourde Iql et sonore IG/ : surtout en arabe c1assique ; dans beaucoup de dialectes arabes modernes et contemporains, ces sons ont souvent evolue vers d'autres, changeant soit de point, soit de mode articulatoire. 6 - I'occlusive laryngale: I '/arabe 'amza ; attaque vocalique dure en allemand: Achtung, Verein (dit aussi coup de glotte). Locclusion est torrnee par les cordes vocales. Appliquees etroiternent I'une contre I'autre, elles se separent brutalement : I'explosion est produite par leur brusque ecarternent et la bouttee d'air qui en jaillit d'un coup. Les cordes vocales ne vibrent donc pas, et I'occlusion laryngale est necessairement sourde. On peut I'entendre en francais devant la voyelle accentuee initiale, par exemple sous Ie coup de l'ernotion : Attention! II marque auss i l'insistance, et la diction pedaqoqique ou excessivement soignee : en Wallonie, ou dans certa in parler public, il se repand comme caracteristique d'une prononciation surveillee. Locclusive laryngale ou coup de glotte tend a se multiplier dans Ie francais actuel pour marquer I'insistance ou la nettete : en pays lieqaois, il represents I'hypercorrectisme Ie plus courant de «I'h aspiree» du wallon ou du francais reqional Les constrictives (ou encore fricatives, cf. 6.3 ci-dessus) a) Les constrictives sont ainsi appelees parce qu'elles sont caracterisees, au cours de leur tenue, par un resserrement (constriction) du conduit vocal au point d'articulation. Ce resserrement a pour consequence un retrecissernent du passage de I'air, qui produit donc un bruit de friction ou de fr61ement en s'echappant par l'etroite ouverture que lui menage Ie conduit vocal (d'ou, du point de vue auditif, I'appellation de fricatives qui leur est aussi donnee). Le mecanisme articulatoire des constrictives est comparable acelui des occlus ives en ce qu'il prese nts les trois phases, catastase, tenue et rnetastase, Mais, contrairement a ce qui se passe pour les occlusives, c'est surtout la tenue des constrictions qui est audible: du point de vue audit if, c'est la tenue du son qui I'identifie Ie plus ici. En effet, alors que la tenue des occlusives se fait en vase c1os, la tenue des constrictives se fait dans un vase aetroite ouverture. Lair, cornprirne plus ou moins fortement, sort d'une rnaniere cont inue (d'ou I'appellation de continues s'opposant a celie de momentenees pour les occlusives), mais avec une certaine difficulte, par l'etroit passage que lui livrent les organes phonateurs au point d'articulation. Par cont re, la catastase et la rnetastase sont ici apeine audibles, parce que la premiere n'aboutit pas a une fermeture mais a un simple retrecissernent, et que la seconde ne rompt aucune barriere UNE INTRODUCTION A LA PHONETIQUE

11 b) Comme pour les occlusives, on distinguera des constrictives sourdes (exemple : lsi dans race) et sonores (par exemple Izl dans rose), des constrictives qerninees (lassa/ : une tasse sale) et longues (c 'est ssordide I). c) Selon Ie mode d'articulation encore, il y a lieu de repartir les constrictives en trois classes: celie des meaienee, comme Is, z, r/, pour lesquelles I'air phonatoire suit en ligne droite la ligne medians de la bouche, tandis que les cotes de la langue forment un barrage contre les molaires pour l'ernpecher de s'echapper lateralernent ; celie des tetereies. III et ses variantes, pour lesquelles la langue barre en un certain point la ligne medians du canal buccal, l'air phonatoire s'echappe sur les cotes de la langue, unilateralernent ou la plupart du temps bilateralernent, Dans la classe des rnedianes, on distinguera les medienes continues (friction continue, par exemple lsi ) des medienes a battements pour lesquelles la langue ou la luette entre par intervalles - «par batternents» - en contact soit avec Ie palais, soit avec la langue; les medianes a battements sont dites aussi vibrantes (exemples: Irl apical ou route et IRI postvetaire ou uvulaire, grasseye, ou encore, s'il est plus doux et plus court, spirant ou parisien). d) Selon Ie point d'articulation, il y a lieu de distinguer de nombreuses varietes de constrictives: tous les points d'articulation possibles, depuis les levres jusqu'aux cordes vocales, ont leurs constrictives sourdes et sonores. Constrictives medlanes continues 1 - bilabiales: sourde: I~/, en japonais par exemple: hugu ou fugu, et sonore: I ~/, en espagnol par exemple saber, ver. Le souffle passe entre les levres rapprochees de maniere a ne laisser entre elles qu 'une fente etroite. Ces deux constrictives cor respondent aux occlusives Ipl et Ibl, et on les appelle aussi IfI et Iv! bilabial; ce sont des sons assez instables qui evoluent souvent en labiodentales. 2 - labiodentales: en francais par exemple les sourde et sonore IfI et Iv/. La levre interleure prend contact avec les incisives superieures de maniere alaisser une fente horizontale ou des ouvertures verticales (entre les dents) tres etroites. 3 - apicodentales: sourde : espagnol cinco, anglais thin ; sonores : espagnol lado, anglais then. La pointe de la langue s'avance entre les incisives superieures et interieures, et l'air passe entre la pointe de la langue et les incisives superieures (d'ou I'appellation d'interdentales qui leur est aussi appliquee). 4 - predorsoalveolaires : en francais par exemple lsi et Iz/, de cedre, zebre. Du point de vue auditif, on les appelle sift/antes; l'air passe par un canal tres etroit, forme par la parie anterieure de la langue qui, disposes en forme de qouttiere, se rapproche des alveoles des incisives superieures ; les levres sont ouvertes en fente horizontale et les commissures leqerernent ecartees ; en francais, la pointe de la langue s'appuie derriere les incisives inferieures (ct. Ie zezaiement). UNE INTRODUCTION A LA PHONETIOUE- 107

12 apicoprepalatates : en francais par exemple lsi et 13/, de champ et gens. Du point de vue auditit, on les appelle chuintantes; la pointe de la langue se rapproche de la partie anterieure du palais et se creuse largement en son centre. On notera que ces deux constrictives sourde et sonore chuintantes impliquent, du moins en francats, une labialisation, c'est-a-dire que les levres se projettent nettement en avant (il s'agit ici d'un fait de mode articulatoire): il en results que I'air passe successivement par trois chambres de resonance: 1 entre Ie dos de la langue et Ie palais, 2 entre Ie dessous de la pointe de la langue et les dents, et 3 entre les incisives et les levres, dont la reunion est necessaire pour un timbre francais parfait (cf. Ie chetintement)." 6 - dorsopalatales: sourde: Ig/, par exemple en allemand mich, Milch, Madchen, chinois xi «ouest», xiexie, «merci», xianzai, «rnaintenant»,69 et Ij/, sonore : par exempie en francais : yeux, ou en allemand: ja. La sourde est aussi dite en allemand Ich Laut; la sonore est dite yod d'apres Ie nom hebreu de la lettre correspondante a ce son. La sourde se rencontre aussi en japonais : nno. «homme» ; la sonore en espagnol (fiera) en italien (viene), en anglais (you), en danois, en grec moderne: 'a)'lo~, ha(gj])j(os, «saint», nava)'lotll~, Pana(gh)yotis, «Toussaint», etc. 7 - dorsopalatale labialisee : notamment en francais huit, lui, puis, nuit, et en chinois yue, «flote», xue, «etude». La langue est disposes a peu pres comme pour Ie Ij/, mais les levres se projettent en avant: Ie son est iabianse (mode d'articulation) ; il est sonore, mais il peut s'assourdir partiellement au contact d'une consonne sourde, cornme dans puis, cuit. 8 a - dorsovelalres : sourdes: Ixl et sonores: Iyl, par exemple en flamand echt, acht, macht; geel, gaan, goed (ou en espagnol luego, liegar, lieg6). II ne faut pas confondre ces sons avec les suivants. Ici, il convient de distinguer phonetiquernent la prononciation «flamande» de la prononciation «neerlandaise».7 En flamand, on a bien des dorsovelaires, sourdes et sonores comme indrque ici ; en neerlandals officiel, ABN ou Algemeen Beschaafd Nederlands, ces deux sons ont fusionne en un seul, la postdorso-uvulaire sourde IX/: voir ci-dessous. Les dorsovelaires se rencontrent egalement dans d'autres langues et dialectes: notamment dans de nombreux dialectes hispano-arnertcains, refletant I'ancienne prononciation espagnole : Mexico, Mexicali; Tijuana, Guadalajara,. Ces sons tendent cependant souvent a evoluer, so it vers i'arnuissernent, en passant par Ie Ihl ou non, soit vers Ie renforcement, c'est-a-dire vers la suivante (8b). 8 b - postdorso-uvulaires: sourde : lxi, par exemple en espagnol jab6n, pejero, ajo (en espagnol, on appelle ce son la jota: ce mot vient de l'hebreu yod), en allemand ach I, machen, Aachen (en allemand, ce son s'appelle Ach-Laut; cf. Ich-Laut ci-dessus), en neerlandals gaan, goed, geen, en russe, en arabe, en chinois, etc. La sonore I RI existe en grec, en danois, en arabe, etc. Le phoneme Irl francais, autrefois roule, comme en italien et en espagnol (ou en russe, etc.), aujourd'hui qrasseye ou spirant (voir ci-dessous, constrictives medianes a battements, 2-3), rejoint les deux variantes, sourde et sonore, de la fricative postdorso-uvulaire UNE INTRODUCTION A LA PHONETIQUE

13 9 - dorsovelaire Iabialisee : par exemple en francais Iwl : oui, oie, Louis. La langue a une position proche de celie du l ui et les levres se projettent en avant: Ie son est lablalise ; normalement sonore, il peut s'assourdir partiellement au contact d'une consonne sourde, comme dans toi, soi; ce son se rencontre aussi en anglais (will, walk), en arabe, et dans de tres nombreuses langues. 10- pharyngales: il n'y a pas d'occlusion possible dans Ie pharyn x, mais un resserrement, do notamment au recul de I'arriere de la langue, permet deux fricatives pharyngales, sourde Iftl et I H/, qu'on trouve comme phonemes en arabe classique. Ces sons existent eqalernent dans plusieurs cultures, ou, un peu comme les c1ics, ils ne jouent pas de role linguistique : en franca is, quand on «bronche. (d'ou I'expression sans broncher pour exprimer I'absence de toute reaction, rnerne discreternent audible, et sans Ie moindre mouvement du visaqe )." ou quand on «rontle», on produit en realite des pharyngales laryngales: h (anglais perhaps, hit, hand, allemand Hund, hoch, Hobeit, dites aussi «aspiration» ou «h aspire te)» ; elles impliquent un resserrement des cordes vocales ; pour I'articulation des sonores, il semble que la glotte interligamenteuse soit terrnee et en vibration, et la glotte intercartilagineuse ouverte : c'est la que passe Ie souffle en produisant un bruit de frolement. En francais, on rencontre la sourde dans la prononciation emphatique d'un mot comme haine par exemple ; on la trouve aussi en franca is regional et en wallon (voir ci-dessus a propos de I'occlusive glottale ou coup de glotte). Canstrictives rnedianes abattements Cette c1asse de constrictives comporte les differents types de ttt. On les appelle aussi des vibrantes parce que, qeneralernent, elles comportent une vibration soit de la pointe de la langue, soit de la luette. Ceci est independant des vibrations des cordes vocales, qui peuvent ou non etre presentes. 1 -/rl apical au roule : la pointe de la langue est rapprochee des alveoles des incisives superieures ;en passant, Ie souffle expiratoire la met en vibration, ce qui l'arnene par intervalles en contact avec Ie palais : il y a donc une serie d'occlusions tres breves, separees par de petits elements vocal iques, les cordes vocales etant ordinairement en vibration (sauf en contact avec des sourdes ou a la finale absolue ) ; cet I rl est dit aussi r «roule (d'avant ou anterieur )». C'est la forme primitive du Irl des langues indoeuropeennes semble -t-il, celie du grec et du latin, notamment. II est encore en usage dans la province trancaise d'oil (Bourgogne, Wallonie) ou d'oc (Rouergue) ; elle est souvent la norme dans les langues romanes: espagnol, portugais, italien, roumain, etc., rnalqre des variations dialectales ou regionales parfois tres importantes en faveur d'autres formes de Ir/ ; c'est aussi Ie [r] du slave, de plusieurs langues germaniques, etc.). II comporte generalement plusieurs battements, mais on rencontre une variete aun seul battement : c'est Ie Irl qu'on appelle «frappe» [ r] ; ct. espagnol pero, «rnais» (a distinguer phonologiquement de perro, «chien»). U NE INTRODUCTION A LA PHONETIQUE - 109

14 2 - I RI velaire ou uvulaire: dit aussi I RI «route (d'arriere ou posterieur) ", realise par des vibrations de l'arriere du voile du pala is ou de la luette ; ici, ce n'est plus la pointe de la langue, mais l'arriere du voile ou la luette qui vibre et qui forme des contacts repetes avec la partie dorsale ou postdorsale de la langue: il s'agit de battements plutot chaotiques ou de frictions ineqales et «rapeuses» : auss i appell e-t-on souvent cet I R/, sourd ou sonore (dans les memes conte xtes phoniques que Ie Irl route d'avant) Ie I RI qrasseye. Ceci n'ernpeche normalement pas Ie voile du palais d'etre releve et de fermer l'entree des fosses nasales, mais si I'envi ronnement de cet IRI est fait de voyelles nasales, il peut s'abaisser. Dans plusieurs langues, notamment en Europe (allemand, neerlandais. langues nordiques, portugais a I'initiale de mot, italien du nord ), comme en francais et peut-etre en partie au moins sur son model e, Ie I RI velaire ou uvulaire tend a se substituer a I'ancien Irl apical. En francais, il va meme souvent desorrnais au-dela: voir ci-dessus A.8b et ci-dessous spirant ou «parisien»: Ie point ou la zone articulato ire est normalement Ie rnerne ou la meme que pour Ie precedent mais Ie mode est different. Le «roulement» ou les battements sont rernplaces par une friction legere et requlie re ; l'air passe sans faire vibrer la luette comme dans Ie «rontlernent» du I RI qrasseye ou du bruit de «bronchernent» et en produ isant un bruit de frottement tres dou x et relativement peu audibl e. Cet 181 se repand de plus en plus en franca is: on Ie rencontre en particulier dans sa forme la plus etheree (presque imperceptible pour les non francophones, et d'ailleu rs amine entierernent dans les creoles et beaucoup de paries francophones d'afrique) dans la succession voyelle + r + consonne (exemple : fermer, verser, etc.). On notera que ce r n'est plus une vibrante, une constrictive a battements, et qu'en toute rigueu r, il faudrait la faire figurer dans la classe des constrictives rnedianes (on en parle ici pour des raisons de cornmod ite, d'histoire et de graphie : voir ci-dessus A.8 b). Constrictives laterales continues Cette c1assede constrictives, les tetereles, comporte les ditterents types de III. On les appelle aussi liquides, terme herite des grammairiens de l'antiquite et qui fait allusion au fait que, pour leur articulation, l'air s'echappe plus ou moins librement, «a la rnanlere d'un liquide» ; c'est auss i une appellation de nature auditive. De toute tacon, elle laisse adesirer en ce sens precis que les liquides ne sont en rien «liquides» (et ne laissent pas davantage passer de salive qu'une autre consonne... pas plus que les mouillees, d'ailleurs), mais on la conserve par tradition et parce qu'elle est souvent utile, tant en pedaqoqie que dans la phonologie de nombreuses langues : Ie tout est de savoir exactement de quoi on parle et ne pas se laisser entrainer par Ie mot. (Ainsi peut -on douter que les liquides puissent suqqerer cette valeur en poes ie.) On notera surtout qu'en phonologie I'appellation de liquides s'applique aussi parfois au Ir/. Des lors, en phonetique, on preterera, pour les varietes de III, Ie nom de latera les. Pour I'articulation des laterates, I'organe articulant (qeneralernent la pointe de la langue ), entre en contact avec Ie point d'art iculation (dents, alveoles ou region prepalatale ). II y a donc occlusion (ct. It, d, n/), mais cette occlusion n'a lieu qu'au milieu du canal buccal, et I'air s'echappe des deu x cotes (parfois d'un seul cote ) du lieu d'articulation ; de la vient Ie nom phonetiquernent juste, precis et sur de laterales, lise U NE INTRODUCTION A LA PHONETIQUE

15 produit en effet un faible bruit do ala friction du courant d'air contre les bords laterau x de la langue. C'est ce bruit qui, en particulier au contact des voyelles environnantes, peut de fait suqqerer un bruit d'ecoulernent (Iiquide). Normalement sonores, les III peuvent s'assourdir en combinaison avec des sourdes (francais plat), ou ordinairement ala finale apres une occlusive sourde (francais souple, debacle ) : ct. les Ir/. 1 - aolcoalveolalre : c'est Ie type francais : la pointe de la langue se masse contre les alveoles des dents superieures, au meme endroit donc que pour Ie In/. Si on alterne les III et les InI, on sent tres bien Ie mouvement de fermeture complete que font les deux cotes de la langue pour Ie In/,72 tandis qu'ils s'abaissent et s'ouvrent pour laisser passer I'air lateralement pour Ie III. Ce type de III, appele souvent par les orthophonistes I clair, est celui qu 'on recommande dans toutes les positions phonologiques pour Ie I francais, et qui s'observe dans la plupart des langues pour les III en debut de syllabe (voir Ie suivant). 2 - apicodental: dit aussi I sombre, dur, ou (labioj velarise (ces dernieres appellations se fondent sur I'aspect auditif), ou enco re I slave (bien qu'il ne soit pas propr es aux langues slaves : polonais, russe, etc., et surtout qu'on rencontre dans ces langues des III qui ne sont pas de cette nature ). Le francais a connu autrefois un tel 1/ velar ise, qui a ensu ite evolue en Iwl, par suite de la perte de I'articulation apicale : les bels chevalz sont devenus les beaux chevaux, desorrnais prononce lie bo hvo/. Dans de nombreu x dialectes franca is, dont Ie wallon, la meme tendance joue a nouveau en fin de syllabe, et chez nous de nombreuses personnes prononcent Helie! T'a pas cent balles?! avec un IfI. On observe des 1/ apicodentaux requl iers en fin de syllabe dans de nombreuses langues : c'est notamment Ie cas en neerlandais et en anglais (comparer lip et pill, loop et pool, lap et pal ; et noter Ie parallelisrne entre chevalz chevaux et walk, falk, desorrnais prononces Iwook, fook/), mais c'est une tendance universelle et on la rencontre meme dans de nombreux dialectes romans, espagnols par exemple : «Que tal? " 3 - apicoprepalatal ou dorsopalatal : la pointe de la langue s'appuie contre les incisives inferteures : Ie dos de la langue s'articule contre Ie palais dur, comme si Ie III etait lrnrnediaternent suivi de ou plutot ccarticule avec yod: d'ou Ie symbole Ilj/. Cette coart iculation existe dans de nombreuses langues, dont la plupart des langues slaves (ct.2 ci-dessus), mais aussi en italien, figlio, aglio, tagliatelle, moglie, en espagnol, calle, taller, etc.. Le franca is connaissait enco re naquere ce type, dit aussi I mouille.. il l'a rernplace aujourd'hui par yod (exemple : mouiller, billard, brouillard, gaillard). II arrive que certaines personnes qui ont du mal adistinguer souiller de soulier pronon cent indistinctement un Iljl apicoprepalatal, un yod ou une sequence Ilj/ Les mi-occlusives ou ettriquees Les mi-occlusives representent une sorte de combinaison entre Ie type occlusif et Ie type constrictif (l'occlusion et la constriction ayant Ie plus souvent Ie meme lieu d'articulation). II s'agit toujours d'une occlusive dont I'explos ion breve est rernplacee par une friction plus ou moins longue et audible comme telle, par exemple dans I'allemand Ipf, ts/ : Pfund, Pferd.. Zeit, Zahn, ou encore Idz, d3, tsi dans I'italien anzi, U NE INTRODUCTION A LA PHONETIQU E- 111

16 mezzo, grazie; gente, oggi, maggiore ; cento, cetcio, Puccini, ItSI dans I'espagnol ocho, mucha, hecho, ItSI dans I'anglais chip, chop, church, chicken, etc. La mi-occlusive se presente comme la combinaison, dans la meme emission de voix et dans la meme articulation, de I'occlusive et de sa constr ictive homorganique, c'esta-dire situee au rnerne point articulato ire. Ce qui peut la distinguer de la simple sequence occlusive - fricative correspondante, sinon vraiment homorganique, c'est qu 'elle sarticule d'un me me mouvement, et s'entend comme une unite ; acoustiquement, la mi-occlusive sera des lors normalement plus courte que la sequence correspondante. Ainsi, Ie francais Ce chien ales patt(es) sales, Is hye a Ie pat sail comporte une articulation cornbinee It + sl qui sera normalement plus longue que la mi-occlusive Itsl du russe tsar ou de I'italien razza, I' rattsa/,73 puisque cette derniere est articulee d'un seul mouvement. Celui-ci contient deux phases: une phase occlusive, suivie d'une phase constr ictive, mais avec maintien du merne lieu d'articu lation, et dans une seule syllabe, alors que It + sl represents deux articulations suecessives et distinctes (avec deplacernent plus net du lieu d'articulation) et ordinairement dans deux syllabes ditterentes. On distinguera les mi-occlusives : 1 - predorso-alveolalres : Itsl pour la sourde ; Idzl pour la sonore ; voir aussi cidessous, 2 et apico-prepalatales : ItSI pour la sourde ; Id31 pour la sonore." On notera que Ie francais connait les groupes It + s/, It + SI et Id + z/, Id + 31articules dans une rnerne syllabe dans quelques mots d'emprunt : tsar, tse-tse, Ozoungarie et match, jazz,. Meme dans ces cas, contrairement a ce qui se passe pour les vraies mi-occlusives de I'italien, de I'espagnol ou de I'anglais par exemple, ou les sequences occlusionaffrication constituent de veritables unites articulatoires, Ie francais de France remplace la mi-occlus ive par la succession occlusive + constrict ive. En revanche, dans Ie francais regional de Wallonie, ces memes sequences graphiques et peut-etre phonologiques constituent phonetiquernent des mi-occlusives : ceci est du, bien sur, a I'influence du substrat wallon. II existe pourtant, dans deux groupes de parlers francais, de vraies mi-occlusives sifflantes, Its, dz/. Dans les creoles et en quebecois, peut-etre sous la dependance originelle de patois de I'ouest de la France, les t, d devant i et u s'affriquent en Its, dz/ : creole mauricien tire, tigre, dur, duree, par exemple, sont prononces tsirer, tsigre, dzir, dzire ; Ie quebecois «Ou'est-ce que tu dis? Un petit digestif?» est prononce Icas tsu dze? Un ptse dz(e)jestsef? ; dorsovelaires : IkXI pour la sourde ; Igyl pour la sonore. Dans les langues germaniques, I'ancien/k! indo-europeen est passe par une etape IkXI, avant de se resoudre en Ih/, de tacon parallele a l'evoluticn des autres occlusives sourdes Ip > pf > fl (grec, latin TC O U ~, pous, PEDEM, cc pied», allemand Fu~, neerlandais voet, anglais foot) et It > ts > SI (latin TENUEM, «tenu», anglais thin) : cf. les mots grec et latin Kapbta, cardia, CORDEM, «cceur» face aux mots allemand Hart, neerlandais hart, anglais heart, etc U NE INTRODUCTION A LA PHONETIOUE

17 9nol Ces deu x mi-occlusives sont particullerernent instables. Parado xalement, on trouve dans Ie francais contemporain les sequences occlusive - fricative correspondantes, creux, croche.. grand, gris puisque, on l'a vu ei-dessus A 8b et B 2 et 3, Ie Irl latin et francais classique est devenu au 1g e siecle une fricative dorsovelaire ou uvu laire dans la plupart des parlers d'oll. La nature tres visiblement successive des deux consonnes les protege sans doute iei de l'evolution vers Ie lx, gl et vers Ih/. Apparemment, c'est plutot iei la fricative de la fin plutot que I'occlusive du debut de la sequence qui tend a s'arnulr. Voiei done un exemple inattendu de I'explication par la phonologie d'un traitement phonetique etonnant. voix est sec est 1 t e :. sea Ie gue cette nase rt ICU A titre indicatit, les 17 ou 18 consonnes trenceises Figure 37 : sue alre labiales dentales palatales velalres sourdes p t k i occlusives sonores b d 9 sourdes S [x] constrictives sonores z 3 ~ nasales n l' ( ~ ) Sl ci- Iiquides t=m On peut c1asser comme represents ci-dessus les consonnes trancaises contempo raines, a condition de preciser deu x choses : 1. II s'agit d'un c1assement «phonoloqique» propre au francais actuel ; des lors, par exemple, on regroupe sous I'appellation de labiales les bilabiales Ip, bl et les labiodentales If, vi, qui permet tout autant d'expliquer des alternances morphologiques du francais contemporain que de comprendre l'evolution des sons du latin au francais." D'autres regroupements de ce types apparaissent dans Ie tableau sans qu 'il so it necessaire de les commenter ici, puisqu'ils sont de nature phonologique et non pas phonetique. D'autre part, les sons [Xl et [~] sent en francais deu x allophones du meme phoneme Ir/. Etc. 2. On peut classer les consonnes du francais selon d'autres criteres phonologiques. Ainsi, en s'eloiqnant enco re un peu davantage de la realite phonetique, on peut observer en francais des alternances de type cnevre - caprin, echepper - rescape, jambe - gambette ou gambade, etc. II devient ainsi phonologiquement con cevable de regrouper Ik! et ch, Igl et 13/ : ue Ie erne ZZ.. sives sionrem dans -erre sur,?s siforigi. dz/ :. dzir, once ir maiudre grec, ; t t > stole, etc. U NE INTRODUCTION A LA PHONETIQUE- 113

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