Pathologie respiratoire en élevage bovin
|
|
- Marie-Madeleine Cartier
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Pathologie respiratoire en élevage bovin La meilleure solution pour éviter les problèmes respiratoires et leur cortège de frais de soins, de présence de non valeurs économiques, de bons d équarrissage et autres désagréments, est la prévention des troubles respiratoires. La prévention passe par quelques points essentiels : Bonne distribution du colostrum lors de la naissance du veau Bonne maitrise de l ambiance du bâtiment Bon équilibre nutritionnel, en quantité et en qualité Si ces trois points sont respectés, tout ira bien ; si un ou plusieurs de ces points ne sont pas ou ne peuvent pas être respectés, il faudra compléter les mesures mises en place par une prévention médicale, en général par la mise en place d un programme de vaccination. Dans quelques rares situations particulières, il faudra avoir recours à une antibioprévention, à raisonner avec votre vétérinaire.
2 PREVENTION DES TROUBLES RESPIRATOIRES EN ELEVAGE BOVIN : La protection des jeunes veaux En matière de vaccination contre les pathologies respiratoires, aucun vaccin ne protègera jamais contre toutes les maladies ; il faut donc adopter une stratégie globale basée sur le logement des animaux (ventilation, confort des animaux), la qualité de leur alimentation (qui débute dans le ventre de la mère, en fin de gestation), une vaccination avec des valences judicieusement choisies, une surveillance bi quotidienne des animaux, et une réactivité sans faille de l éleveur. Toutes ces conditions réunies doivent effacer les pertes d animaux ou les retards de croissance liés aux troubles respiratoires. Les jeunes veaux ont besoin d une protection efficace contre les maladies respiratoires durant la période de stabulation hivernale. 67% des jeunes veaux en moyenne sont touchés par une maladie respiratoire avant l âge de 3 mois (étude Pfizer). La stratégie vaccinale à adopter doit viser en priorité les pathologies respiratoires dont la cause est virale. En effet, lors d apparition de pathologie de ce type, on ne peut que limiter les dégâts, les médicaments étant peu efficaces sur les virus ; il faut donc vacciner absolument contre les maladies virales (RS - P.I.3 - formes respiratoires du BVD). On peut éventuellement compléter cette protection avec une vaccination contre les pasteurelloses. Parallèlement, il faut avoir à portée de main un antibiotique large spectre et un antiinflammatoire longue durée afin de pouvoir intervenir rapidement si nécessaire. En effet, si une vaccination efficace contre les virus est mise en place, les veaux ne peuvent plus être victimes que d affections bactériennes (pasteurellose, mycoplasmose, etc.) qui guérissent rapidement (nette amélioration en 24 heures) avec un antibiotique approprié et une intervention rapide.
3 Les plans de protection proposés sont les suivants : Rispoval intra nasal(vaccination contre RS et P.I.3) A utiliser en cas de troubles respiratoires apparaissant avant l âge de 6 semaines. Dès le mois de septembre, commencer à vacciner les veaux, afin d avoir un bon «tapis» immunitaire à l arrivée de la mauvaise saison. Procéder par paquet de 5 veaux, le plus jeunes ayant au moins 9 jours. Flacon de 5 doses ou 25 doses; une dose = 2 ml, à administrer par voie intra nasale dès la première semaine d âge. Rispoval IntraNasal procure aux jeunes veaux une protection PRECOCE et RAPIDE contre les virus RS et PI3. Une administration est possible dès 9 jours d âge avec une immunité qui se met en place en 5 jours contre le RS et en 10 jours contre PI3 et qui dure au minimum 12 semaines. Le protocole ci-dessous est à mettre en place lorsque les problèmes respiratoires n apparaissent que la première année de vie. En cas de problème la seconde année il est conseillé de réaliser un protocole avec le vaccin Rispoval 3. Ce protocole doit bien sûr être associé à l amélioration des conditions d ambiance et d alimentation si elles ne sont pas satisfaisantes. La mise en place de protocoles de vaccination, en plus des mesures générales préconisées plus haut, diminue très significativement l usage des antibiotiques en évitant les épisodes pathologiques souvent récurrents pendant la mauvaise saison.
4 De plus, l usage des antibiotiques en cas de pathologie respiratoire, n est pas toujours d un effet spectaculaire et bien souvent laissera quelques cadavres et quelques animaux qualifiés de «non-valeur économique» sur son passage. Les protocoles de vaccination possibles sont les suivants : Veaux nés en début d hiver : Vaccination dès le mois de septembre Protection jusqu à la mise à l herbe Une administration dès 9 jours Rappel à 3 mois Veaux nés en fin d hiver : A partir de janvier Protection jusqu à la mise à l herbe Une administration unique dès 9 jours D autres protocoles sont possibles et d autres vaccins sont disponibles ; consulter votre vétérinaire.
5
6 Rispoval III (prévention contre RS, P.I.3 et valences respiratoires BVD) A utiliser si on ne constate pas de troubles respiratoires avant l âge de 6 semaines. Flacon de 5 doses ; une dose = 4 ml, à injecter par voie intramusculaire à partir de l âge de 3 semaines. Procéder à une injection de rappel un mois après la première administration. Bovilis Bovigrip (prévention contre RS, P.I.3 et Mannheimia haemolytica) A utiliser si on ne constate pas de troubles respiratoires avant l âge de 6 semaines. Flacon de 10 doses ; une dose = 5 ml, à injecter par voie sous cutanée à partir de l âge de 3 semaines. Procéder à une injection de rappel un mois après la première administration. Surveiller les animaux matin et soir et prendre immédiatement la température de tout animal suspect. En cas d échec de ce plan de prévention, avertir rapidement le vétérinaire ; en cas de mort d un ou plusieurs animaux, faire procéder impérativement à l autopsie d au moins un cadavre.
7 PREVENTION DES TROUBLES RESPIRATOIRES EN ELEVAGE BOVIN : La protection des broutards à l entrée en atelier d engraissement Les généralités sont les mêmes que celles indiquées pour les veaux (voir le chapitre précédent) Plan de protection proposé : Dès l entrée en atelier d engraissement (avant si possible), procéder à un déparasitage des broutards En principe, la vaccination ne doit être faite que 8 jours après le déparasitage, un parasitisme trop important empêche le système immunitaire d élaborer la protection initiée par la vaccination. Pendant la mauvaise saison ou en cas de transport long et stressant, distribuer dès l arrivée et pendant à jours un aliment appétant, suffisamment riche en fibres, auquel on mélange aspirine et propylène glycol en proportion adaptée au poids des broutards. On peut remplacer ou compléter cette cure par une injection d antibiotique longue durée à titre préventif, effectuée dès l arrivée des animaux ; le choix de cet antibiotique est à déterminer avec votre vétérinaire. Toutes ces conditions étant respectées, on peut alors procéder à la vaccination : RISPOVAL III : (vaccination contre RS, P.I.3 et valences respiratoires de BVD) Flacon de 5 doses ; une dose = 4 ml, à injecter par voie intramusculaire. Procéder à une injection de rappel un mois après la première injection. Mise en place de l immunité (=protection) environ 4 semaines après la première injection.
8 Ou : Bovilis Bovigrip (prévention contre RS, P.I.3 et Mannheimia haemolytica) Flacon de 10 doses ; une dose = 5 ml, à injecter par voie sous cutanée à partir de l âge de 3 semaines. Procéder à une injection de rappel un mois après la première injection. Mise en place de l immunité (=protection) environ 4 semaines après la première injection. Ou : RISPOVAL INTRA NASAL : (vaccination d urgence contre RS et P.I.3) Flacon de 5 doses ou 25 doses ; une dose = 2 ml à administrer par voie intra nasale. En cas d arrivée de broutards en mauvaise saison après un transport stressant, l administration intra nasale d une dose de RISPOVAL INTRA NASAL le jour de l arrivée offre une protection environ 6 jours après l administration (protection limitée à quelques semaines et qui ne dispense pas du protocole injectable) En cas d atelier recevant des animaux non indemnes en IBR, une vaccination IBR est indispensable. On peut éventuellement compléter cette protection avec une vaccination contre les pasteurelloses. Plan de protection «express» : Ce plan est réservé aux ateliers d engraissement ne disposant pas d une main d œuvre suffisante pour procéder à la mise en place d une prévention comme indiqué précédemment. On commettra donc quelques entorses aux bonnes pratiques, mais le résultat sera nettement meilleur que si l on applique un plan de prévention que partiellement par manque de temps ou de bras (ce qui revient à peu près au même!) Dans le plan précédent, il y a une manipulation des animaux à l arrivée (déparasitage, antibio prévention éventuelle), puis 8 jours plus tard (vaccination) puis 4 semaines plus tard (rappel).
9 Le plan «express» appliqué à son niveau de protection le plus élevé, pour les ateliers à haut risque respiratoire, ne comporte qu une prise en main des broutards le jour de l arrivée puis une deuxième manipulation un mois plus tard, pour une protection valable de 6 mois. A l arrivée : Déparasitage. Vaccin Rispoval intra nasal : protection acquise en 8 jours, efficace 3 mois. Vaccin Rispoval 3 : protection acquise en 3 à 4 semaines ; rappel nécessaire pour obtenir une protection de 6 mois. Vaccin IBR (intra nasal possible : protection acquise 4 jours après administration, pour une durée de 6 mois) pour les broutards d origine non indemnes. Antibioprévention avec une molécule longue durée. Trois à quatre semaines plus tard : Vaccin Rispoval 3 : rappel pour une protection de 6 mois. Vaccin IBR : rappel si le premier vaccin était fait par voie injectable. J0 J1 J2 (= arrivée des broutards) J21àJ30 Injection AB longue action Rispoval Intra Nasal Rispoval 3 IBR Marker Live Intra Nasal Aspirine dans la ration Déparasitage interne/externe Aspirine Aspirine Rappel RISPOVAL 3
10 Détail des durées de protection couvertes par le programme : J0 J1 J2 J3 J4 J5 J6 J7 J14 J21 J90 J200 IBR intra nasal ANTIBIOTIQUE LONGUE ACTION Rispoval intra nasal Rispoval 3 aspirine Rappel Le coût du programme complet, déparasitage inclus, est estimé entre 50 et 60 HT par broutard, c'est-à-dire environ 3% du prix de vente du taurillon fini. Un épisode respiratoire sévère en atelier d engraissement fait régulièrement 4 à 5 % de morts, auxquels on ajoute ceux qui végèterons jusqu à l abattage, à l occasion duquel ils ont une forte probabilité d être saisis. Le coût des soins lors d un épisode pathologique est au moins égal à celui de la prévention qu on aurait dû mettre en place.. Faites vos calculs. Rouler en voiture sans assurance peut bien se passer pendant plusieurs années, mais le jour où l accident arrive, ça fait très mal! La surveillance en atelier d engraissement. En période à risque de troubles respiratoires (saison, météo, transport, stress divers, etc.), l observation scrupuleuse des animaux en atelier d engraissement est indispensable matin et soir. En effet, lors d apparition de certaines pathologies (mycoplasmose par exemple), l évolution de la maladie est tellement rapide qu une seule observation par jour ne suffit pas : si l animal malade est repéré et soigné rapidement, il a toutes les chances de guérir ; sinon, c est l issue fatale ou l évolution vers la non-valeur économique.
11 Premier exemple : Observation des animaux le matin à 8 heures Début de la maladie (premiers signes visibles) vers 10 h le matin Repérage et soins le lendemain vers 8 heures Résultat : 22 heures de passées depuis le début de la maladie! Deuxième exemple : Observation des animaux le matin à 8 heures et le soir à 18 heures Début de la maladie (premiers signes visibles) vers 10 h le matin Repérage et soins le soir vers 18 heures Résultat : 8 heures de passées depuis le début de la maladie! Différence entre les deux exemples : 14 heures pendant lesquelles la maladie progresse et provoque des dégâts irréversibles ; en effet, les médicaments stoppent la maladie mais ne réparent pas les dégâts bien installés, et en 14 heures de temps, ils ont tout loisir de s installer, ou de provoquer la mort. Un doute sur un animal? Prise de température! Perte de temps? Oui, parfois, mais combien d animaux sauvés! Posologies et délais d attente des produits vétérinaires cités : consulter l ordonnance accompagnant la délivrance du produit.
12 Pour la vaccination, prendre les précautions habituelles : - respecter la chaîne du froid - utiliser impérativement un vaccin entamé au plus tard dans les 4 heures - utiliser des seringues et aiguilles à usage unique. - ne vacciner que des animaux en bonne santé. - En cas d utilisation de pistolets automatiques, il est interdit de les rincer avec un produit désinfectant ; il faut utiliser de l eau chaude, puis de l eau minérale (absence de produits désinfectants) pour rincer abondamment le matériel avant de le laisser sécher.
13 TROUBLES RESPIRATOIRES EN ELEVAGE BOVIN : conduite à tenir Avant toute chose, il est impératif de prendre la température du bovin présentant des troubles respiratoires. Moins de 39 : il ne s agit pas d une pneumonie, consulter un vétérinaire. Plus de 39 : il s agit fort probablement d une pneumonie Traitement à mettre en œuvre sur l animal présentant des signes de pneumonie : Utiliser de préférence des médicaments «longue action» car un bovin atteint de pneumonie doit être stressé et manipulé le moins possible sous peine d aggraver sa détresse respiratoire. Injection d un antibiotique longue action : Le choix de l antibiotique se fera en concertation avec le vétérinaire
14 Injection d un anti-inflammatoire longue action : Associer systématiquement un anti-inflammatoire afin de faire baisser la température le plus vite possible et de limiter les séquelles (hépatisation des lobes pulmonaires, adhérences à la plèvre, etc.). - TOLFINE : durée d action de 48 heures suite à une injection sous cutanée. Ou - FINADYNE injectable: durée d action de 30 à 48 heures suite à une injection intra musculaire. Ou - RIMADYL : durée d action d environ 70 heures suite à une injection sous cutanée. Ou - METACAM : durée d action d environ 70 heures suite à une injection sous cutanée. Plusieurs autres anti-inflammatoires sont efficaces sur les problèmes pulmonaires d origine bactérienne. Il existe à présent une forme «Pour On» de FINADYNE : il s agit de FINADYNE Trans Dermal : application sans stress par épandage cutané sur le dos de l animal. Injection d un diurétique associé à la cortisone: En cas de détresse respiratoire importante (œdème du poumon, animaux gardant la gueule ouverte, tirant la langue et «cherchant l air»), associer en plus une injection de DIURIZONE (à éviter sur femelles gestantes de plus de 4 mois) Conduite à tenir sur le restant du lot : Prendre la température des autres animaux ; si plus de 10% du reste du lot monte à plus de 39 5, procéder à la mise sous antibiotique de l ensemble du lot. Dans ce cas, l injection d anti-inflammatoires n est pas forcément nécessaire si les animaux ne présentent pas de symptômes trop graves (appétit conservé). Si la température du reste du lot est inférieure à 39 5, on se contente de surveiller les animaux deux fois par jour et éventuellement on distribuera de l ASPIRINE en mélange sur la nourriture.
15 Evolution de la maladie : BOVILAB Laboratoire d analyses Si le malade va nettement mieux le lendemain, l agent responsable de la pneumonie est probablement une bactérie (pasteurelles, mycoplasmes, etc.). Si l amélioration n est pas nette en 24 heures, l agent responsable de la pneumonie est probablement un virus (RS, P.I.3, I.B.R. etc.) et il sera plus prudent à l avenir de vacciner les animaux avant l apparition de la maladie (voir les différents protocoles de vaccination contre les maladies respiratoires). Avertissement L information contenue dans ce texte est uniquement éditée dans un but d information générale ; l auteur a pris toutes les mesures disponibles pour vérifier la précision et l exactitude de ces informations. Avant d utiliser les informations contenues dans ce texte, il est de votre responsabilité de faire vérifier par un professionnel compétent l adéquation entre la situation se présentant à vous et le conseil indiqué. L auteur ne pourra pas être tenu pour responsable de l utilisation ni de l usage de ces informations. Toutes les marques déposées ou noms de produits cités dans cet ouvrage appartiennent à leurs propriétaires respectifs ; nous ne sommes en aucun cas les représentants de ces marques, ni de leur produits. Alors que certaines recommandations peuvent être faites ou sont faites, il appartient au lecteur de se faire sa propre opinion sur les produits évoqués. L auteur ne peut être tenu pour responsable par rapport à l usage des produits cités dans ce document.
Un veau atteint de troubles respiratoires
LES MALADIES RESPIRATOIRES DES VEAUX SOUS LA : PLUTOT QUE D AVOIR A LES GUÉRIR, IL VAUT BEAUCOUP MIEUX LES PRÉVENIR EN APPLIQUANT QUELQUES RÈGLES D ELEVAGE SIMPLES ET DE BON SENS Les maladies respiratoires
Plus en détailAUTOUR DE LA MISE BAS
AUTOUR DE LA MISE BAS Un vêlage ou un agnelage est une des périodes les plus importantes dans la conduite d un élevage. De sa réussite dépendra l entrée d argent quelques mois plus tard. Il est donc impératif
Plus en détailBREVES DU GDS 85. ont plutôt tendance
Editorial BREVES DU GDS 85 N 29 - NOVEMBRE 2010 Ne pas confondre le PSE et le SPE (Support Personnalisé d Epidémiosurveillance), ce dernier mis en place avec le GTV (Groupement Technique Vétérinaire) et
Plus en détailLa lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002.
Le diagnostic de la tuberculose bovine La lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002. 1. Tuberculination Dans la première phase d une infection de tuberculose bovine (Mycobacterium
Plus en détailLe séchage en grange du foin à l énergie solaire PAR MICHEL CARRIER AGR. CLUB LAIT BIO VALACTA
Le séchage en grange du foin à l énergie solaire PAR MICHEL CARRIER AGR. CLUB LAIT BIO VALACTA Séchage du foin en grange Séchage en grange Technique originaire des zones de montagnes Suisse Autriche Jura
Plus en détailProduire avec de l'herbe Du sol à l'animal
GUIDE PRATIQUE DE L'ÉLEVEUR Produire avec de l'herbe Du sol à l'animal avril 2011 BRETAGNE PAYS DE LA LOIRE SOMMAIRE Paroles d éleveurs 4 Quelle place donner à l herbe Le choix d un système fourrager 8
Plus en détailTuberculose bovine. Situation actuelle
Tuberculose bovine Situation actuelle 21 mai 2013 Dr G. Peduto Vétérinaire cantonal Service de la consommation et des affaires vétérinaires 1 Tuberculose bovine La Suisse est indemne depuis 1959 Dernier
Plus en détailCENTRE DE RECHERCHE EN SCIENCES ANIMALES DE DESCHAMBAULT. Plan HACCP bœuf qualité plus pour les bovins de boucherie
CENTRE DE RECHERCHE EN SCIENCES ANIMALES DE DESCHAMBAULT Plan HACCP bœuf qualité plus pour les bovins de boucherie Voici le Programme de salubrité des aliments à la ferme pour le bœuf- Bœuf Qualité Plus-
Plus en détailRéférentiel Officine
Référentiel Officine Inscrire la formation dans la réalité et les besoins de la pharmacie d officine de demain - Ce référentiel décrit dans le cadre des missions et des activités du pharmacien d officine
Plus en détailSemaine Sécurité des patients «Le mystère de la chambre des erreurs!»
Semaine Sécurité des patients «Le mystère de la chambre des erreurs!» Vous avez été X à prendre le risque d entrer dans notre chambre des erreurs, à présent découvrez les erreurs ou risques potentiels
Plus en détailIl est bien établi que le réseau d eau hospitalier peut
Les micro-organismes de l eau impliqués dans les infections nosocomiales Depuis 2001 chez Pall, en charge de l information scientifique et réglementaire dans les domaines d applications couverts par la
Plus en détailConventions de calcul pour la réalisation des cas types en agriculture biologique
Conventions de calcul pour la réalisation des cas types en agriculture biologique Conjoncture retenue pour la construction des cas-types Prix de la viande bovine Conjoncture 1 er trimestre 2012 Prix des
Plus en détailÉTUDE SUR L EFFICACITÉ DES PNEUS D HIVER EN ÉTÉ RÉALISÉE PAR CAA-QUÉBEC
ÉTUDE SUR L EFFICACITÉ DES PNEUS D HIVER EN ÉTÉ RÉALISÉE PAR CAA-QUÉBEC SEPTEMBRE 2008 1. Introduction L étude avait pour but de comparer avec le plus de précision possible l efficacité des pneus d hiver
Plus en détailSemaine Sécurité des patients
Bienvenue dans le «mystère de la chambre des erreurs»! Découvrez le tableau de synthèse des réponses du matériel nécessaire à la mise en place de la chambre des erreurs ainsi que les réponses attendues
Plus en détailInsulinothérapie et diabète de type 1
Insulinothérapie et diabète de type 1 Introduction: la molécule d insuline L instauration de l insulinothérapie Dispositif d administration de l insuline Les propriétés de l insuline Insuline et schémas
Plus en détailMesures préventives suggérées afin d éviter une infestation dans l établissement
MESURES DE PRÉVENTION POUR LES ÉTABLISSEMENTS OFFRANT DE L HÉBERGEMENT Les travailleurs œuvrant dans les établissements de santé ou communautaire offrant de l hébergement sont susceptibles d être confrontés
Plus en détailPas de plat de remplacement. Menu standard. Consultation de la Diététicienne proposée. Plat de substitution réalisé par l U.C.P..
Catégorie s 1 2 3 4 Chers collègues de l ANDEV, je vous transmets un extrait du rapport soumis aux élus municipaux de la Ville d Evreux sur la problématique de l accueil des enfants présentant des allergies
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détail& BONNES POSTURES TMS TROUBLES MUSCULO-SQUELETTIQUES. Le guide. Guide offert par la MNT
A5-MNTrefonte.indd 1 28/07/2011 08:28:01 & BONNES S TMS TROUBLES MUSCULO-SQUELETTIQUES Le guide Guide offert par la MNT A5-MNTrefonte.indd 2 28/07/2011 08:28:02 SOULEVER UN OBJET LOURD OU UNE PERSONNE
Plus en détail& Que choisir. favoriser le bien-être
Label Rouge & Agriculture Biologique Que choisir pour favoriser le bien-être des animaux? Un guide des tiné au consommateur Protection mondiale des animaux de ferme Ce petit guide a pour objectif d aider
Plus en détailUN VEAU PAR VACHE ET PAR AN
RÉSEAUX D ÉLEVAGE POUR LE CONSEIL ET LA PROSPECTIVE COLLECTION THÉMA UN VEAU PAR VACHE ET PAR AN Pour les éleveurs allaitants dont la principale activité est de faire naître des veaux, il est primordial
Plus en détailInventaire Symptomatique de la Dépression et du Trouble Affectif Saisonnier Auto-évaluation (IDTAS-AE)
Inventaire Symptomatique de la Dépression et du Trouble Affectif Saisonnier Auto-évaluation (IDTAS-AE) Ce questionnaire vous aidera à juger si vous devez consulter un clinicien pour votre dépression, si
Plus en détailFIPROTEC, PIPETTES CONTRE PUCES ET TIQUES :
FIPROTEC, PIPETTES CONTRE PUCES ET TIQUES : FIPROTEC 50 MG SOLUTION SPOT-ON POUR CHAT Composition :Une pipette de 0,50 ml contient 50 mg de Fipronil. Indications d utilisation : Chez les chats : - Traitement
Plus en détailConseils aux patients* Lutter activement. *pour les patients ayant subi une opération de remplacement de la hanche ou du genou
Conseils aux patients* Lutter activement contre la thrombose *pour les patients ayant subi une opération de remplacement de la hanche ou du genou 2 Mentions légales Directeur de la publication : Bayer
Plus en détailContrat d insémination 2015
Centre de reproduction équine du Petit Hautier 2 Route de Paris 76220 Ménerval Tél : 02 32 89 07 11 Port : 06 88 83 60 20 www.petithautier.fr Email: doc.chollet@orange.fr Contrat d insémination 2015 Entre
Plus en détailQU EST-CE QUE LA PROPHYLAXIE?
QU EST-CE QUE LA PROPHYLAXIE? TABLES DES MATIÈRES Publié par la Fédération mondiale de l hémophilie (FMH) Fédération mondiale de l hémophilie, 2014 La FMH encourage la traduction et la redistribution de
Plus en détaildroits des malades et fin de vie
DOCUMENT à CONSERVER ET À EMPORTER si VOUS êtes HOSPITALISé droits des malades et fin de vie La loi Leonetti Le respect de la personne Le rôle de votre médecin L accès aux soins palliatifs Photo couverture
Plus en détailTout sur les nouvelles cotations des perfusions
Tout sur les nouvelles cotations des perfusions L arrêté de modification du livre III de la liste des actes et prestations relatif aux perfusions est paru au Journal officiel du 30 septembre 2014. Dans
Plus en détailHUMI-BLOCK - TOUPRET
FICHE DE DONNEES DE SECURITE Révision antérieure : (Selon l annexe II du Règlement REACH de l UE 1907/2006) Mise à jour : 19 janvier 2010 Version : 1 HUMI-BLOCK - TOUPRET 1-IDENTIFICATION DU PRODUIT ET
Plus en détailSorgho grain sucrier ensilage L assurance sécheresses
Sorgho grain sucrier ensilage L assurance sécheresses Sorgho grain sucrier Itinéraire cultural Type de sol et préparation avant semis Le sorgho grain sucrier est relativement peu exigeant par rapport au
Plus en détailDÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE
DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement Disponible
Plus en détailGestion de la crise sanitaire grippe A
Gestion de la crise sanitaire grippe A Sommaire de la présentation Nature du risque lié au virus A H1N1 Plan gouvernemental de pandémie grippale Mesures de protection Historique de la grippe La grippe
Plus en détailLA RESPONSABILITÉ DU RADIOLOGUE Point de vue de l avocat
JFR 2007 LA RESPONSABILITÉ DU RADIOLOGUE Point de vue de l avocat Xavier Heymans Avocat à la Cour de Bordeaux www.heymans-avocat.com INTRODUCTION Rejet de la fatalité Socialisation du risque Responsabilisation
Plus en détailVOUS et VOTRE NOUVEAU TRAITEMENT anticoagulant Eliquis, Pradaxa, Xarelto
VOUS et VOTRE NOUVEAU TRAITEMENT anticoagulant Eliquis, Pradaxa, Xarelto Carnet-conseils appartenant à :.... Adresse :......................... Tel :............................ Médecin Généraliste : Adresse
Plus en détailProtéger. son animal. la gamme FRONTLINE. grâce à la gamme. Contre les puces et les tiques. Efficace plusieurs semaines (1) Résistant à la pluie,
la gamme Frontline Contre les puces et les tiques Efficace plusieurs semaines (1) Résistant à la pluie, aux bains et aux shampooings (2) Protéger son animal grâce à la gamme FRONTLINE La gamme FRONTLINE
Plus en détailOrganisation des bâtiments dans les grands troupeaux 5 exemples d organisation spatiale en Europe
Organisation des bâtiments dans les grands troupeaux 5 exemples d organisation spatiale en Europe Avril 2009 FICHES TECHNIQUES Auteur : Jacques CHARLERY Pôle Herbivores Chambres d agriculture de Bretagne
Plus en détailVaccinations - Rédaction Dr BOUTON
20-14 Vaccinations - Rédaction Dr BOUTON Chaque personnel navigant est responsable de la mise à jour des ses vaccins. 1 - VACCINATION OBLIGATOIRE La vaccination contre la fièvre jaune (vaccination anti-amarile)
Plus en détailRestauration collective. quelques aspects réglementaires
Restauration collective quelques aspects réglementaires JL Fumery Marseille, 17 mai 2005 1 La restauration collective n est pas vraiment un concept nouveau de la préhistoire au moyen-âge quelles que soient
Plus en détailFiche de données de sécurité Selon l Ochim (ordonn. produits chim.) du18.05.2005, paragr.3
Nr. Article- Produit : 48785 Page: Page 1 En cas d urgence appeler le Centre Suisse d information toxicologique, Freiestr. 16, 8032 Zürich; Tél. des Urgences: ( jour et nuit) 145 ou +41 (0)44 251 51 51.
Plus en détailL APS ET LE DIABETE. Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie.
1. Qu est-ce que le diabète? L APS ET LE DIABETE Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie. Cette hyperglycémie est avérée si à 2 reprises
Plus en détailSamedi 23 Mai 2015 Marché des animaux de la ferme & ferme pédagogique
Samedi 23 Mai 2015 Marché des animaux de la ferme & ferme pédagogique REGLEMENT GENERAL Le Clos du Verger organise cette année les Champêtreries a Jasseron le 23 Mai 2015. Au programme : Marché des animaux
Plus en détailSignalement et gestion des infections respiratoires aiguës (IRA) et des gastroentérites aiguës (GEA) 19 juin 2014
Signalement et gestion des infections respiratoires aiguës (IRA) et des gastroentérites aiguës (GEA) 19 juin 2014 Nadège Caillere, Cire Océan Indien Dr Joao Simoes, Cellule de veille, d alerte et de gestion
Plus en détailSOINS DE PRATIQUE COURANTE. Prélèvement aseptique cutané ou de sécrétions muqueuses, prélèvement de selles
NOMENCLATURE GENERALE DES ACTES PROFESSIONNELS INFIRMIERS (Arrêté du 25 mars 1993) (Arrêté du 21 avril 1994) (Arrêté du 1er mars 1999) (Arrêté du 8 Décembre 1999) (Arrêté du 12 Octobre 2000) (Arrêté du
Plus en détailLe point sur l IBR. la lutte les statuts. Manuel pratique à l attention des éleveurs. élever, produire, transformer... l Arsia vous accompagne!
Le point sur l IBR Manuel pratique à l attention des éleveurs la maladie la lutte les statuts élever, produire, transformer... l Arsia vous accompagne! Manuel pratique à l attention des éleveurs - décembre
Plus en détailVoyage en Chine au mois de Novembre 2013
Voyage en Chine au mois de Novembre 2013 Note importante!! : Lors de la remise de vos documents, veuillez vérifier soigneusement les noms, dates de départ etc. S il y a une erreur, veuillez SVP nous en
Plus en détailNOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR. Immukine 100 microgrammes/0,5 ml solution injectable (Interféron gamma-1b recombinant humain)
NOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR Immukine 100 microgrammes/0,5 ml solution injectable (Interféron gamma-1b recombinant humain) Veuillez lire attentivement l'intégralité de cette notice avant d'utiliser
Plus en détailDISTRIBUTION DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR VOIE ORALE PAR L INFIRMIERE : RISQUE DE NON PRISE DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR LE PATIENT
INSTITUT DE FORMATION DES CADRES DE SANTE ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS ACTIVITE PROFESSIONNELLE N 8 : LE CADRE GERE LES RISQUES CONCERNANT LES PRESTATIONS, LES CONDITIONS DE TRAVAIL DES PERSONNELS,
Plus en détailAVEZ-VOUS PENSÉ À L ALIMENTATION À LA DÉROBÉE?
AVEZ-VOUS PENSÉ À L ALIMENTATION À LA DÉROBÉE? Traduit de: PRODUCERS MIGHT WANT TO CONSIDER CREEP FEEDING Auteur: Stephen B. Blezinger, Ph.D., PAS (Copyright 2015 Dr. Stephen B. Blezinger) Adapté en français
Plus en détailEpidémiologie appliquée aux sciences vétérinaires DES DAOA DES - DEA
Epidémiologie appliquée aux sciences vétérinaires DES DAOA DES - DEA Claude SAEGERMAN Département des maladies infectieuses et parasitaires, Service d épidémiologie et analyse de risques appliquées aux
Plus en détailPaquet hygiène : Le règlement 852/2004 relatif à l hygiène des denrées alimentaires
Paquet hygiène : Le règlement 852/2004 relatif à l hygiène des denrées alimentaires Applicable au 1 er janvier 2006 Objectif : Etablit les règles générales en matière d hygiène, est directement applicable
Plus en détailLa formation dans tous ses états. Programme et méthode de formation continue sur la
La formation dans tous ses états Programme et méthode de formation continue sur la «Préparation des médicaments anticancéreux» Répond à (Art R 950-4 al 1 du Code du Travail) Par qui, Comment et Pourquoi.
Plus en détailLe VIH et votre foie
Le VIH et votre foie Le VIH et votre foie Que dois-je savoir au sujet de mon foie? Votre foie joue un rôle incroyablement important. Il filtre votre sang en éliminant les substances nocives (toxiques)
Plus en détailAVIS. Complément d étude. Objet : Réf. : CWEDD/06/AV.1565. Liège, le 23 octobre 2006
AVIS Réf. : CWEDD/06/AV.1565 Liège, le 23 octobre 2006 Objet : Demande de permis unique relative à la régularisation d une porcherie d engraissement de 3.500 porcs et d une étable de 30 bovins à Kettenis
Plus en détailANNEXE IIIB NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR
Dénomination du médicament ANNEXE IIIB NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR LYSOPAÏNE MAUX DE GORGE AMBROXOL CITRON 20 mg SANS SUCRE, pastille édulcorée au sorbitol et au sucralose. Chlorhydrate d ambroxol
Plus en détailThérapeutique anti-vhc et travail maritime. O. Farret HIA Bégin
Thérapeutique anti-vhc et travail maritime O. Farret HIA Bégin Introduction «L hépatite C est une maladie le plus souvent mineure, mais potentiellement cancérigène, qu on peut ne pas traiter et surveiller
Plus en détailFiche documentaire FAIRE LES PRODUITS D USAGE DOMESTIQUE SANS DANGER POUR L AIR
Fiche documentaire FAIRE LES PRODUITS D USAGE DOMESTIQUE SANS DANGER POUR L AIR Les produits d usage domestique comprennent les produits de nettoyage (p. ex., les nettoie-vitres et les produits de nettoyage
Plus en détailDiplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences
Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,
Plus en détailBonnes vacances! Je voyage avec mon chien ou mon chat
Mémento pour réussir son voyage: Je m informe à temps auprès du pays de destination ou auprès de mon vétérinaire: s agit-il d un pays où la rage urbaine existe? Identification? Je prépare mon retour en
Plus en détailDéfibrillation et Grand Public. Méd-Cl JAN Didier Médecin chef Méd-Cne PIVERT Pascaline
Défibrillation et Grand Public Méd-Cl JAN Didier Médecin chef Méd-Cne PIVERT Pascaline Quelques chiffres (1) 50 à 60 000 décès en France par mort subite dont la moitié font suite à l apparition d une tachycardie
Plus en détailFiche technique n 1 : le logement construction des boxes.
Bâtiments d élevage : Pourquoi? Aspects climatiques : Fiche technique n 1 : le logement construction des boxes. - le porc est sensible aux brusques changements du climat, - surexposition au soleil : déshydratation
Plus en détailMC1-F www.primo-elektro.be
NOTICE D UTILISATION CAFETIÈRE MUG ISOTHERME www.primo-elektro.be WWW.PRIMO-ELEKTRO.BE 2 WWW.PRIMO-ELEKTRO.BE Lisez toutes les instructions Conservez-les pour consultation ultérieure 1. CONDITIONS DE GARANTIE
Plus en détailLa reconnaissez- vous?
La reconnaissez- vous? Qu est ce qu une puce? C est un insecte piqueur sans ailes de couleur brune mesurant quelques millimètres et ayant la capacité de sauter 30 fois sa longueur. L espèce Cténocephalidès
Plus en détailMaladies neuromusculaires
Ministère de la Santé et des Solidarités Direction Générale de la Santé Informations et conseils Maladies neuromusculaires Lisez attentivement ce document et conservez-le soigneusement avec la carte de
Plus en détailVOTRE EAU CHAUDE ELECTRIQUE
G U I D E VOTRE EAU CHAUDE ELECTRIQUE SICAE Une réduction d'impôts peut être obtenue (sous certaines conditions) lors du remplacement de votre chauffe-eau électrique. Renseignez-vous auprès du Centre des
Plus en détailDémence et fin de vie chez la personne âgée
Démence et fin de vie chez la personne âgée Dr C le Provost Gériatre C.H.B.A Vannes Dr M Michel Gériatre C.H.U Rennes Démence et fin de vie Sujet grave: la mort la «de mens» = être privé de son esprit
Plus en détailOui, les noix sont grasses, mais elles sont aussi bourrées de vitamines, de minéraux, de fibres et de protéines! Quant à son gras, principalement monoinsaturé, il est bon pour le coeur. Et, combiné à l'action
Plus en détailInsuffisance cardiaque
Insuffisance cardiaque Connaître son évolution pour mieux la vivre Guide d accompagnement destiné au patient et ses proches Table des matières L évolution habituelle de l insuffisance cardiaque 5 Quelles
Plus en détailAbattage du bétail dans des conditions satisfaisant au bien-être animal. Regulatory Essentials Specialists, Inc. 1
Abattage du bétail dans des conditions satisfaisant au bien-être animal 1 Les cases, les couloirs et les rampes d acc accès doivent être maintenus en bon état. Ils ne doivent pas contenir d objets coupants
Plus en détailQUESTIONNAIRE SUR LA SANTE RESPIRATOIRE ET ALLERGIQUE DES ECOLIERS ET LEUR ENVIRONNEMENT SCOLAIRE
Santé et pollution intérieure dans les écoles : Réseau d observation en Europe QUESTIONNAIRE SUR LA SANTE RESPIRATOIRE ET ALLERGIQUE DES ECOLIERS ET LEUR ENVIRONNEMENT SCOLAIRE A compléter par les enfants
Plus en détailGUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG
GUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG Version 1.0 1 Avant-propos Ce guide de bonnes pratiques a été préparé pour fournir des informations concernant la collecte
Plus en détailMoyens de production. Engrais
Engrais Moyens de production Lors de la campagne 2012-2013, les tonnages d engrais livrés diminuent de près de 17% en et représentent à peine plus de 1% des livraisons françaises. Cette évolution est principalement
Plus en détailLa maladie de Still de l adulte
La maladie de Still de l adulte Syndrome de Wissler-Fanconi La maladie Le diagnostic Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur Cette fiche est destinée
Plus en détailFeuille d instructions destinée aux agents quant à la façon de remplir le questionnaire médical VacanSanté
Feuille d instructions destinée aux agents quant à la façon de remplir le questionnaire médical VacanSanté Conseils pratiques : > Nous voulons que votre client puisse remplir le questionnaire médical sans
Plus en détailFORMATION OBLIGATOIRE A L HYGIENE ALIMENTAIRE
FORMATION OBLIGATOIRE A L HYGIENE ALIMENTAIRE REFERENTIEL DE CAPACITE DE L OPERATEUR EN RESTAURATION COMMERCIALE (annexe II de l arrêté du 5 octobre 2011) Conseils d utilisation: Vous pouvez suivre la
Plus en détailHTA et grossesse. Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice
HTA et grossesse Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice Définition HTA gravidique: Après 20 SA Systole> 140mmHg et/ou Diastole>90mmHg A 2 reprises séparées de plus de 6 heures Résolutive
Plus en détailNote technique. Consommation électrique d'un poêle à granulés à émission directe
Note technique Consommation électrique d'un poêle à granulés à émission directe Version / Date Version 1.0 du 06/02/2012 Auteur David Chénier 2012, Amoès SAS. Toute utilisation, reproduction intégrale
Plus en détailLa prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant Vivre avec un trouble dépressif Septembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin
Plus en détailAPRES VOTRE CHIRURGIE THORACIQUE OU VOTRE PNEUMOTHORAX
Hôpital Privé d Antony APRES VOTRE CHIRURGIE THORACIQUE OU VOTRE PNEUMOTHORAX Livret d information Hôpital Privé d Antony OPC/KINE/297 Page 1 sur 6 Intervenants Rédigé par : Nom Profession Le Visa C.DUPUY
Plus en détailIntrants médicamenteux en agriculture et en santé : les écosystèmes microbiens sont-ils un problème ou une solution?
Les Rencontres de l Inra au Salon de l agriculture Intrants médicamenteux en agriculture et en santé : les écosystèmes microbiens sont-ils un problème ou une solution? Lundi 23 février 2015 Programme 14h30
Plus en détailTitre : «CYCLISME ET DIABETE DE TYPE 1» Auteur(s) : Docteur Karim BELAID. Catégorie : Médecine du Sport - Diaporama, 20 vues.
Titre : «CYCLISME ET DIABETE DE TYPE 1» Auteur(s) : Docteur Karim BELAID Catégorie : Médecine du Sport - Diaporama, 20 vues. Date de présentation : 2014 Lieu : Roubaix. Mis à disponibilité sur le site
Plus en détailHygiène Bucco Dentaire en EHPAD. 1 ère Réunion du groupe de travail régional «Espace Le Bien Vieillir» Angers Le 19 Janvier 2012
Hygiène Bucco Dentaire en EHPAD 1 ère Réunion du groupe de travail régional «Espace Le Bien Vieillir» Angers Le 19 Janvier 2012 Pourquoi un groupe régional Hygiène Bucco dentaire en EHPAD ARLIN Pays de
Plus en détailJe voyage avec mon chien ou mon chat. Conseils pratiques sur le site spécifique de l OVF www.animalenvoyage.ch
Je voyage avec mon chien ou mon chat Conseils pratiques sur le site spécifique de l OVF www.animalenvoyage.ch 2 Je m informe à temps 5 Je protège mon animal contre la rage 8 Je (ne) ramène (pas) un animal
Plus en détail«Je suis diabétique» Informations sur la prise en charge d enfants diabétiques à l école. Pour les parents et les enseignants
«Je suis diabétique» Informations sur la prise en charge d enfants diabétiques à l école Pour les parents et les enseignants C est parti! Compréhensible et compacte: par le biais de cette brochure, parents
Plus en détailLe guide du bon usage des médicaments
Le guide du bon usage des médicaments Les médicaments sont là pour vous aider mais......ils ont parfois du mal à vivre ensemble. Votre médecin et votre pharmacien peuvent adapter votre traitement pour
Plus en détailExemple de Projet d Accueil Individualisé ELEVE CONCERNE
Exemple de Projet d Accueil Individualisé Circulaire projet d accueil n 2003-135 du 08/09/2003 (Bulletin Officiel n 34 du 18/9/2003) Circulaire restauration scolaire n 2001-118 du 25/06/2001(BO Spécial
Plus en détailLe traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence
Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Dominique GENDREL Necker-Enfants Malades Traiter en urgence en présence de trophozoïtes Plus de 80% des paludismes d importation en
Plus en détailANNEXE I RÉSUMÉ DES CARACTÉRISTIQUES DU PRODUIT
ANNEXE I RÉSUMÉ DES CARACTÉRISTIQUES DU PRODUIT 1 1. DÉNOMINATION DU MÉDICAMENT VÉTÉRINAIRE Equip WNV - émulsion injectable pour chevaux 2. COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE Chaque dose de 1 ml contient:
Plus en détailSPECIAL FINANCEMENT DE L AGRICULTURE
SPECIAL FINANCEMENT DE L AGRICULTURE L installation, la mise aux normes, le renouvellement d un matériel, ou tout autre investissement sont autant de situations ou d évènements qui nécessitent des besoins
Plus en détailSinitres Responsabilité Civile Professionnelle déclarés. Rapport protection juridique
2012 Sinitres Responsabilité Civile Professionnelle déclarés Rapport protection juridique NO - http://www.risque-medical.fr/protection-juridique/rapport-2012/pdfexport-10 NO - http://www.risque-medical.fr/protection-juridique/rapport-2012/pdfexport-19
Plus en détailPRENOM NOM DE L ENTREPRISE DATE DU STAGE METIER
NOM DATE DU STAGE METIER PRENOM NOM DE L ENTREPRISE L ENTREPRISE L ENTREPRISE Dates du stage :... Nom de l entreprise :.. Adresse de l entreprise :...... Que fait-on dans cette entreprise?. Combien de
Plus en détailAGREGATION DE BIOCHIMIE GENIE BIOLOGIQUE
AGREGATION DE BIOCHIMIE GENIE BIOLOGIQUE CONCOURS EXTERNE Session 2005 TRAVAUX PRATIQUES DE BIOCHIMIE PHYSIOLOGIE ALCOOL ET FOIE L éthanol, psychotrope puissant, est absorbé passivement dans l intestin
Plus en détailIntroduction. Les articles de la presse spécialisée tendent à nous laisser penser que c est en effet le cas :
Introduction Le CRM se porte-t-il si mal? Les articles de la presse spécialisée tendent à nous laisser penser que c est en effet le cas : «75 % de projets non aboutis» «La déception du CRM» «Le CRM : des
Plus en détailCertaines situations de trafic peuvent-elles provoquer un risque accru d hypoglycémie?
P a g e 1 Comment savoir que vous présentez une hypoglycémie? La plupart des personnes diabétiques sentent rapidement lorsque leur taux de glycémie est trop bas (inférieur à 60 mg/dl). Les premiers symptômes
Plus en détailles cinq étapes pour calculer les jours d avance
À retenir l expérience, acquise grâce à ces outils, permet également une bonne évaluation de la ressource disponible. une fois les mesures réalisées, la quantité d herbe disponible pour le lot se calcule
Plus en détailMegaStore Manager ... Simulation de gestion d un hypermarché. Manuel du Participant
MegaStore Manager Simulation de gestion d un hypermarché.......... Manuel du Participant 1. Introduction 1.1. La simulation de gestion Vous allez participer à une simulation de gestion. Cette activité
Plus en détailParasites externes du chat et du chien
Parasites externes du chat et du chien Identification, prévention et traitement Les tiques Les tiques transmettent des maladies parfois mortelles. La prévention est la meilleure arme. 1 - Où les trouve-t-on?
Plus en détailLa raison d être des systèmes d information
La raison d être des systèmes d information 23 ème Séminaire en sciences pharmaceutiques Pourrait-on vivre sans? 1 Enjeux Processus de soins très complexes et fortement basés sur la fiabilité humaine Suivi
Plus en détailDOSSIER MEDICAL (à faire remplir obligatoirement par le Médecin et à retourner accompagné du Dossier administratif au Centre Addictologie d Arzeliers)
DOSSIER MEDICAL (à faire remplir obligatoirement par le Médecin et à retourner accompagné du Dossier administratif au Centre Addictologie d Arzeliers) Chère Consœur, Cher Confrère, Ces renseignements médicaux
Plus en détailProtégeons-nous ensemble!
Grippe saisonnière. Protégeons-nous ensemble! Informations importantes pour vous et votre famille. www.sevaccinercontrelagrippe.ch www.ofsp.admin.ch B C Qu est-ce que la grippe saisonnière et quels en
Plus en détail