RECHERCHE ACTION EN MILIEU REEL DANS LE CADRE DE LA MISE EN ŒUVRE DU PICOFA LES SAVOIRS FAIRE PAYSANS EN MATIERE DE GESTION DES RESSOURCES NATURELLES

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1 RECHERCHE ACTION EN MILIEU REEL DANS LE CADRE DE LA MISE EN ŒUVRE DU PICOFA LES SAVOIRS FAIRE PAYSANS EN MATIERE DE GESTION DES RESSOURCES NATURELLES Le volet Recherche-Action du Programme d Investissement Communautaire en Fertilité Agricole (PICOFA) est assuré par le Consortium d instituts dont l INERA est le chef de file. Dans la mise en œuvre, le Consortium travaille à valoriser autant que possible la valeur ajoutée technique ou institutionnelle que chaque membre peut faire valoir. Comme dans toute intervention, la mise en route du volet recherche-action a commencé par des études de base : ce sont des études exploratoires de l état des lieux des connaissances des différents acteurs sur la gestion des terroirs de la zone du projet, des MARP thématiques qui sont complètement exécutés ; une revue bibliographique sur les interactions eau - substances nutritives et les phosphates naturels. I. Stratégies d occupation des terres Les objectifs de production paysans sont de deux ordres : la sécurité alimentaire et les revenus monétaires substantiels. Les agriculteurs (toute genre) produisent prioritairement pour les besoins en alimentation et ce sont les excédents qui peuvent être commercialisés. Des productions, ce sont les productions céréalières vivrières qui occupent les importantes superficies aussi bien chez les hommes, les femmes que chez les jeunes. Ce sont le sorgho blanc, le mil, le maïs. En plus des céréales traditionnelles, sont réalisées des cultures de consommation courantes telles que les légumes (gombo, oseille, soja), les oléagineux (arachide, sésame), et les protéagineux (niébé, voandzou) qui contribuent à l amélioration des mets du ménage. Ces dernières cultures sont plus importantes chez les femmes L autre objectif de production est la recherche d un revenu substantiel. Excepté le coton, la culture de rente par excellence, les cultures à visée commerciale sont secondaires car n occupant que des superficies relativement plus petites que les champs de cultures vivrières. Ces cultures diffèrent selon le genre. Les zones de culture sont constituées des champs de

2 case, des champs de village et des champs de brousse situés sur les hautes terres et dans les bas-fonds. Au niveau des ménages, il existe des champs collectifs et des champs individuels tenus par les femmes et les jeunes mariés ou non encore mariés. Les champs de case sont entièrement gérés par les chefs de ménages (hommes) et également les champs collectifs dans le village ou en brousse. II. Savoirs faire dans la gestion de la fertilité agricole L activité d amélioration de la fertilité des sols est plus observée au niveau des champs de case des villages. Ces champs bénéficient des ordures ménagères et des déchets d animaux. Le maïs, le tabac, le sorgho, le mil, le gombo, qui sont les cultures diversement précieuses, sont affectés à ces terres. Les champs de brousse bénéficient quelquefois des aménagements et du parcage des animaux en retour ou en partance de transhumance. L emploi des engrais chimiques reste encore limité aux seuls producteurs de coton grâce au soutien de la société cotonnière du Gourma (SOCOMA). La culture du coton constitue un bon précédent cultural du maïs. Cette situation permet un développement historique de la maïsiculture ; en témoigne le nombre élevé de variétés de maïs dans la sous zone cotonnière comme la Tapoa. Une classification préférentielle des pratiques de gestion de la fertilité des terres a été faite par les hommes, les femmes et les jeunes. III. Stratégies de gestion des animaux La conduite du troupeau se fait par des bergers. Les troupeaux sont conduits individuellement aux pâturages et il n existe pas de décision commune entre les bergers pour une gestion rationnelle et communautaire des parcours. Il existe deux (02) types de transhumance afin de minimiser le déficit fourrager pendant la saison sèche. Les revenus issus de la vente des animaux sont utilisés différemment en fonction du genre. Le choix de l animal (bovin ou ovin) à vendre est fonction du problème à résoudre. Pour les éleveurs peulhs, les revenus issus de la vente de bovins sont utilisés pour l achat de céréales, l aliment bétail, la résolution de problèmes sociaux (santé, fiançailles.) Pour les ventes de petits ruminants, les revenus servent à résoudre des problèmes ponctuels comme les baptêmes et les fêtes. Les revenus issus de la vente du lait appartiennent aux

3 femmes peulhs. Chez les gourmantchés ou les mossi, la traite et la gestion du lait sont assurées par les bergers, installés généralement à l écart des concessions. Quant aux femmes peulhs, leurs revenus sont affectés à l achat de bijoux, aux visites à la famille (voyages) et à l achat de reproductrices. Pour les gourmantchés ou les mossi, les revenus servent à résoudre des problèmes sociaux, aux constructions de maisons et à l achat de reproducteurs. IV. Savoirs faire en agroforesterie Les arbres utilitaires sont toujours épargnés dans les parcelles cultivées pour leurs valeurs nutritives, sanitaires et fertilisantes. Il en est ainsi du karité (Boussambou) dont les fruits sont utilisés comme aliment et l écorce comme médicament. Produits forestiers non ligneux Les produits forestiers non ligneux (PFNL) sont repartis selon des espèces précises et selon deux objectifs destinés à l alimentation et à la pharmacopée. Pour l alimentation, les parties utilisées sont essentiellement les feuilles, les fruits, les fleurs et quelquefois l écorce. Dans certains villages des sous zones Centre, Sud et Est où la pression foncière due à l accroissement démographique et à l interdiction de défriches dans les zones forestières, les propriétaires terriens mènent des stratégies d occupation maximale des terres. V. Perceptions paysannes de l intégration agriculture/élevage/foresterie Les producteurs dans leurs stratégies recherchent un équilibre durable entre la production des trois activités agro-sylvo-pastorales. Les bénéfices réciproques entre agriculture, élevage et foresterie sont : - l élevage fournit des animaux de trait à l agriculture pour la culture attelée et le transport ; - l élevage fournit de la fumure organique pour l amendement des champs ; - la vente d animaux permet de payer du matériel agricole ; - la vente d animaux permet de payer des salariés agricoles ; - la foresterie permet la fertilisation du sol agricole par les feuilles et le bois mort ; - les arbres de la forêt favorisent la pluviométrie ; - la forêt fournit des produits de la pharmacopée pour la santé humaine et animale ; - les résidus de récolte constituent de l aliment pour le bétail ; - la vente des récoltes permet d acheter des animaux ;

4 - les feuilles des arbres, l herbe et l eau dans la forêt favorisent l élevage ; - la vente des animaux permet de se soigner ; - les oiseaux de la forêt sont nourris par les cultures céréalières. Les femmes en font une des principales raisons de ne pouvoir étendre leur champ. Les cultures telles que le soja, l arachide, le voandzou et le niébé, généralement semées vers fin juin et début juillet sont favorables aux femmes. La période de fin octobre novembre est marquée d intenses activités de récoltes des céréales, du coton et début des activités de contre saison (maraîchage). La gestion des sols au niveau ménage varie énormément selon le genre et le niveau d équipement. C est ainsi que la plupart des jeunes affectent intentionnellement les plus grandes superficies aux cultures commerciales (coton, maїs ). Les vieux préfèrent les cultures vivrières. Les femmes sont sur de petites superficies où elles cultivent généralement du niébé, arachide, voandzou, soja, gombo juste pour l alimentation et le petit commerce. Les superficies croissent avec le niveau d équipement. VI. Les facteurs socio-économiques d acceptabilité des innovations La perception paysannes des contraintes des productions agro-sylvo-pastorales et des facteurs socio-économiques et culturels d acceptabilité des innovations sont une émanation de la réflexion sur une question fondamentale : Quel est le problème central des communautés villageoises dans les terroirs? La réponse résultante commune est que le problème fondamental est la pauvreté, mais depuis quand la population a senti la pauvreté? En somme et partant de la perception collective (paysanne), c est à partir de la baisse de rendement des cultures qui n est autre qu une conséquence de la baise de fertilité des sols, sur lesquels reposent toutes les productions agro-sylvo-pastorales. Les hommes et les femmes ont reconnu qu autrefois, les rendements étaient meilleurs. Ce serait cette baisse de fertilité qui est à la base de la tendance actuelle à une diminution de la productivité. Les producteurs ont reconnu que les productions ont diminué à causes de la baisse de rendement des cultures. Ce qui requière une intégration agriculture/élevage (fosses fumières et résidus de récolte et la pratique d agroforesterie. Les opportunités de marché existent pour la diversification de la production agricole destinée à des créneaux commerciaux.

5 C est fort de cette conscience collective et des préoccupations exprimées en focus group genre que les recommandations suivantes ont été élaborées dans le cadre du volet recherche-action du PICOFA

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