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1 Résistance aux antibiotiques et poulet Les Producteurs de poulet du Canada (PPC) appuient l emploi judicieux des antibiotiques qui ont été approuvés par la Direction des médicaments vétérinaires de Santé Canada pour veiller à la salubrité des aliments, à la santé et au bien-être des animaux. L utilisation d antibiotiques dans le cadre de la production de poulet a pour but de traiter la volaille, de réduire les maladies et de réduire les risques potentiels à la salubrité des aliments. Les antibiotiques font partie intégrante de la salubrité du produit destiné aux consommateurs, car seule la volaille en santé entre dans la chaîne alimentaire destinée à la consommation. La confiance des consommateurs est primordiale à la réussite de notre industrie. Tout emploi non judicieux d antibiotiques s avérerait inacceptable. Alors que la lchez le bétail et de leurs répercussions sur la santé des humains, les PPC ont compris depuis longtemps les préoccupations des consommateurs. Par conséquent, l utilisation d agents antimicrobiens et la résistance à ces agents constituent une priorité des PPC depuis plusieurs années, qui ont d ailleurs mis en œuvre un plan d action en cinq points pour aborder ces enjeux.

2 Plan en cinq points des Producteurs de poulet du Canada 1. Les PPC ont mis en œuvre un Programme d assurance de la salubrité des aliments à la ferme pour normaliser les pratiques de production afin d assurer la salubrité des aliments à la ferme En 1998, les producteurs de poulet ont mis en œuvre un Programme d assurance de la salubrité des aliments à la ferme (PASAF) pour normaliser les pratiques de production afin d assurer la salubrité des aliments à la ferme, en vertu duquel tous les exploitants subissent un audit annuel. Le PASAF renferme des exigences sur l utilisation d antibiotiques ainsi que sur la consignation et les rapports obligatoires relatifs à l utilisation d antimicrobiens. Le rapport de la fiche d élevage est envoyé à l usine de transformation trois à quatre jours avant la date de transformation, puis de nouveau le jour de la transformation à des fins d examen par un vétérinaire de l Agence canadienne d inspection des aliments (ACIA). L ACIA examine et surveille ainsi l emploi d antibiotiques sur les fermes d élevage de poulet canadiennes. Les vétérinaires de l ACIA vérifient ces rapports pour déterminer si les antibiotiques ont été utilisés conformément à leur usage prévu ou sur prescription d un vétérinaire et s ils ont été administrés selon la posologie, pour l application appropriée. Parallèlement, l ACIA veille au respect des délais d attente appropriés des médicaments. Si un troupeau ne répond pas à ces exigences, il ne peut être mis sur le marché. 2. Les PPC travaillent en collaboration avec les responsables du Programme intégré canadien de surveillance de la résistance antimicrobienne (PICRA) de l Agence de la santé publique du Canada pour exécuter une surveillance Le gouvernement du Canada, par l intermédiaire du PICRA, effectue une surveillance de la résistance antimicrobienne, dans le commerce au détail et les usines de transformation, depuis Cette surveillance représente une évaluation tierce et crédible de la résistance antimicrobienne; ce sont ces rapports qui devraient être évalués pour déterminer toute recommandation stratégique éventuelle. Pour faire ressortir davantage les causes sources de la résistance antimicrobienne, les PPC ont travaillé en collaboration avec le PICRA et ont terminé un nouveau protocole relatif à un programme de surveillance à la ferme qui supervisera les niveaux d emploi d antibiotiques et de résistance aux antibiotiques à même les exploitations. La première étape de ce programme de surveillance est un projet pilote financé par les PPC, en collaboration avec Ministère de l Agriculture, de l Alimentation et des Affaires rurales de l Ontario (MAAAO) et l Agence de santé publique du Canada, à l Université de Guelph. Ce projet, qui est opérationnel à l heure actuelle, teste les protocoles et examine les enjeux de résistance antimicrobienne de la production conventionnelle et sans antibiotiques. 2 Résistance aux antibiotiques et poulet

3 3. Les PPC participent activement au financement de la recherche portant sur la résistance aux agents antimicrobiens et aux solutions de rechange à l utilisation d antibiotiques Les PPC orientent le financement de la volaille par l intermédiaire du Conseil de recherches avicoles du Canada. Ces dernières années, l industrie de la volaille a investi plus de 1,4 million de dollars et a obtenu des fonds de contrepartie à hauteur de plus de 5,1 millions de dollars. Cela représente près de la moitié de tout le financement de recherche. 4. Les PPC ont créé un groupe de travail composé d intervenants de l industrie en vue d examiner les façons de réduire l utilisation des antibiotiques Créé lors d une réunion d intervenants de l industrie en septembre 2010, le comité de l industrie a recours à l expertise de l industrie et du gouvernement pour faire de la recherche et proposer des options et des recommandations sur la réduction de l utilisation d antimicrobien dans la production de poulet. Les experts de l industrie, du gouvernement et du monde universitaire participeront à une telle consultation pour déterminer les politiques éventuelles d utilisation d agents antimicrobiens et la résistance à ces agents. 5. Les PPC informent les consommateurs sur la manipulation et la cuisson salubres du poulet Chacun a un rôle à jouer. Le gouvernement supervise les pratiques de l industrie par des règlements et des inspections; les éleveurs s assurent que le produit est salubre et sain avant de l envoyer à l usine de transformation; les transformateurs veillent à ce qu il soit livré ainsi aux consommateurs, par l entremise de la restauration ou du commerce au détail; et les consommateurs sont le dernier maillon de la chaîne de salubrité des aliments. Depuis des années, nous entendons dire que le poulet doit être manipulé et cuit adéquatement en raison des bactéries. De tels messages sont éprouvés et véridiques, et ils continuent de trouver écho. La cuisson tue les bactéries, rendant ainsi inactive toute résistance aux antimicrobiens. Le poulet doit être cuit jusqu à une température interne de 74 C (165 F), pour les morceaux, et de 85 C (185 F) pour un poulet entier. Résistance aux antibiotiques et poulet 3

4 Rétroaction récente des consommateurs Mythes La couverture récente de la question de l utilisation d antibiotiques dans la production de poulet s est avérée trompeuse et sensationnaliste. En raison de cette couverture, certains consommateurs ont gardé l impression que : tous les supermicrobes proviennent de l agriculture, plus particulièrement du poulet; toute résistance aux antibiotiques, chez le poulet, découle de l utilisation d antibiotiques pendant la durée de vie du poulet; toutes les bactéries repérées sont résistantes aux antibiotiques; le gouvernement exerce peu ou pas de contrôle sur l approbation et la surveillance des médicaments; la méthode de l Union européenne (UE), qui consiste à bannir les antibiotiques, est la solution; l utilisation de médicaments, dans le secteur de la volaille, est endémique et non contrôlée. Les éléments suivants doivent être parfaitement compris : 1. L utilisation d antibiotiques est judicieuse L industrie du poulet utilise les antibiotiques de façon judicieuse. Dans la vaste majorité des cas, la production de poulet n utilise d antibiotiques que sur prescription d un vétérinaire. Près de 95 % des aliments sont achetés auprès de provenderies et tout antibiotique incorporé aux aliments doit respecter le Recueil des notices sur les substances médicatrices de l ACIA ou être prescrit par un vétérinaire. Si des antibiotiques sont utilisés dans les aliments, ce sont généralement des antibiotiques de catégorie IV pour la plupart il s agit d une catégorie d antibiotiques qui ne sont pas administrés aux humains et qui n ont pas d incidence sur la santé humaine. 2. L industrie du poulet rapporte toute utilisation d antibiotiques En vertu du Manuel des méthodes de l hygiène des viandes (chapitre 19, alinéa 3.4.2) de l ACIA, les producteurs de poulet sont tenus de remplir une «fiche d information sur le troupeau» qui indique en détail tous les antibiotiques utilisés pour traiter les maladies et les antibiotiques utilisés dans les aliments au cours des deux dernières semaines. Cette fiche est envoyée à l usine de transformation trois à quatre jours avant la date de transformation, puis de nouveau le jour de la transformation à des fins d examen par le vétérinaire de l ACIA. L ACIA examine et surveille ainsi l emploi d antibiotiques sur les fermes d élevage de poulet canadiennes. Les producteurs de volaille sont les seuls producteurs de produits de base au Canada obligés de remplir et d envoyer cette information aux vétérinaires de l ACIA travaillant dans les usines de transformation. 4 Résistance aux antibiotiques et poulet

5 Les bactéries résistantes qu on trouve dans les produits de poulet ne proviennent pas toutes des antibiotiques administrés aux poulets 3. Le gouvernement applique des mesures de contrôle strictes à l approbation des antibiotiques et surveille l emploi d antibiotiques dans la production de poulet Santé Canada, par l intermédiaire de la Direction des médicaments vétérinaires, est responsable de l évaluation, de l approbation et de la supervision des antibiotiques vétérinaires. Santé Canada détermine quels produits antibiotiques sont à la disposition du secteur de la production de bétail. L ACIA participe à la surveillance des résidus antimicrobiens et est responsable de surveiller l utilisation d antimicrobiens et les délais d attente, en ayant recours à ses vétérinaires, dans les usines de transformation fédérales. Le règlement fédéral (Manuel des méthodes de l hygiène des viandes de l ACIA, chapitre 19, alinéa 3.4.2) oblige les producteurs de poulet à rapporter tout antibiotique utilisé pour chaque troupeau avant la transformation de la volaille. Les vétérinaires de l ACIA vérifient ces rapports pour déterminer si les antibiotiques ont été utilisés conformément à leur usage prévu ou sur prescription d un vétérinaire et s ils ont été administrés selon la posologie, pour l application appropriée. Si un produit ne répond pas à ces exigences, il ne peut être mis sur le marché. L Agence de santé publique du Canada, par l intermédiaire du PICRA qui en vigueur depuis 2002, assure la surveillance de la transformation et des commerces au détail pour évaluer les tendances en matière de résistance aux antimicrobiens. Les rapports du PICRA sont utilisés par l industrie et le gouvernement pour guider la politique de santé publique. 4. Les bactéries résistantes qu on trouve dans les produits de poulet ne proviennent pas toutes des antibiotiques administrés aux poulets Il est incorrect de penser que les bactéries résistantes qu on trouve chez le poulet proviennent de l utilisation d antimicrobiens à la ferme. Il est intéressant de voir que certains résultats de tests cités récemment prouvent que l hypothèse ci-dessus est impossible ces tests ont montré une résistance à des antibiotiques qui ne sont pas utilisés pour la production de volaille au Canada, et certains échantillons étaient résistants à plus d antibiotiques que ceux administrés à un troupeau de poulet. La vérité, c est qu il existe de nombreuses autres sources de bactéries résistantes aux antimicrobiens; elles sont endémiques de par le monde. De plus, les bactéries ont des résistances inhérentes et préexistantes qui n ont rien à voir avec l utilisation d antibiotiques. Par exemple, dans un épisode diffusé récemment, une étude a montré que la salmonelle et l E. Coli étaient résistants à l érythromycine en réalité, la salmonelle et l E. Coli en soi sont résistants à tout antibiotique macrolide, une famille d antibiotiques qui comprend l érythromycine. Cette résistance n a absolument rien à voir avec l utilisation de médicaments. Cet exemple est également vrai pour d autres antibiotiques ayant fait l objet de tests relatifs à l E. Coli et à la campylobactérie. En réalité, il n existe que très peu d antimicrobiens efficaces contre toutes les bactéries, particulièrement les bactéries entériques gram négatif comme la salmonelle et l E. Coli. C est pourquoi toutes les données sur la résistance doivent être interprétées convenablement pour être utiles. Résistance aux antibiotiques et poulet 5

6 5. L approche adoptée par l Union européenne n a pas été une réussite totale L UE n a pas banni l utilisation des antibiotiques. Grâce à une succession d interdictions, l UE a mis en œuvre un principe de précaution et banni la majorité des antibiotiques utilisés dans les aliments destinés à l élevage du bétail. Le gouvernement du Canada et l industrie de la volaille ont observé l UE avec grande attention. Bien que cette approche ait réduit la quantité totale de médicaments utilisés, cela a eu pour effet de retirer d anciens médicaments qui étaient peu ou pas utilisés pour la médecine humaine. L aspect négatif du cas de l UE est l augmentation importante de la quantité d antibiotiques utilisés pour traiter les animaux malades, et ceux qui sont utilisés sont associés de plus près à la médecine humaine, particulièrement les fluoroquinolones et les macrolides. Cela constitue un risque. Lorsqu on se préoccupe vraiment de la santé publique, le résultat souhaité ne peut être de mettre en œuvre une interdiction qui augmenterait l utilisation d antibiotiques d importance humaine. 6. Les bactéries ne sont pas toutes pathogènes pour les humains Les bactéries pathogènes pour les humains sont des bactéries capables de causer des maladies chez les humains. Les bactéries ne sont pas toutes pathogènes. Il existe des milliers de souches de salmonelle, et seulement certaines sont pathogènes pour les humains. Certaines études mises en avant récemment sont sans fondement, car elles ont fait état des niveaux totaux de salmonelle, d E. Coli et de campylobactérie sans réussir à exposer davantage combien de bactéries étaient pathogènes pour les humains par rapport à celles qui ne causent pas de maladie chez l homme. 6 Résistance aux antibiotiques et poulet

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