Les jeunes s engagent, mais font-ils du bénévolat?

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1 Les jeunes s engagent, mais font-ils du bénévolat? André Thibault Professeur associé, Département d études en loisir, culture et tourisme, Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR) Julie Fortier Professeure, Département d études en loisir, culture et tourisme, UQTR Patrice Albertus Professionnel de recherche, Laboratoire en loisir et vie communautaire, UQTR Au fil des changements sociaux, culturels, religieux, politiques et générationnels, le bénévolat, forme particulière de liens sociaux et de services, se transforme, tout comme les aspirations des bénévoles. La jeunesse 1 est généralement aux premières loges de la transformation de l action bénévole. Le Laboratoire en loisir et vie communautaire de l Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR) a mené deux enquêtes 2 qui ont permis de cerner la vision que les jeunes ont de l action bénévole. Cet article en présente les principales conclusions. L action bénévole des jeunes : réalité culturelle en mouvance Il existe un consensus théorique autour de la notion de bénévolat. Celui-ci repose sur l idée d engagement et de don libre et gratuit. Ainsi, le bénévole choisit librement la cause pour laquelle il s engage ; il donne son temps, ses énergies, ses compétences et sa passion, et n en retire pas de bénéfice financier ; il œuvre généralement au sein d une organisation. D après l étude commandée par le Réseau québécois de l action bénévole (RABQ), en particulier celle menée sur les groupes témoins 3, les jeunes ont affirmé que, lorsqu ils se lançaient dans une action bénévole, ils recherchaient l épanouissement personnel et l autonomie plutôt qu un engagement à long terme trop encadré. («Ne touchez pas à ma liberté!») Cette position, déjà soulignée dans d autres études, démontre une tendance à un bénévolat de missions plus que de structures. Le corpus examiné durant l étude du RABQ met également en évidence la perception que les jeunes ont du bénévolat. Pour eux, cette notion est souvent teintée d idéologie et d une orthodoxie dictée par la religion. En outre, elle est souvent marquée par les archétypes de la génération précédente. En effet, les bénévoles plus âgés que nous avons sondés voient leur Lorsque les jeunes se lancent dans une action bénévole, ils recherchent l épanouissement personnel plutôt qu un engagement à long terme. engagement comme un don «corps et âme» de soi. Cette représentation est notamment issue des croyances et des devoirs religieux. Pour leur part, les jeunes ne perçoivent pas le 374 Que bec *.indd /11/08 09:24:50

2 Société civile Lors de la Marche du Club 2/3, en mai 2008, plus de jeunes se sont rassemblés dans les rues de Montréal pour affirmer leur solidarité avec les plus démunis de ce monde. bénévolat comme une obligation morale, mais comme un geste humain et social. A contrario, les jeunes ne se donnent pas : ils s engagent et agissent sans nécessairement se conformer. Le vocabulaire qu ils utilisent témoigne d ailleurs des nouvelles formes que prend le bénévolat : engagement, implication, action politique, aide internationale ou responsabilité sont des mots qu ils utilisent fréquemment. Dès lors, trois dimensions émergent de leur action bénévole. Leur engagement est 1) un acte volontaire qui ne fait l objet d aucune rémunération ; 2) un acte d échange avec les autres individus et collectivités et 3) un acte socialement et politiquement connoté, pratiqué et valorisé. Ce don de temps, de compétences et d énergies est vu par les jeunes comme un investissement individuel et social qui se matérialise davantage au sein de la société civile qu au sein d institutions. Qu il œuvre de façon individuelle, collective (au sein d un groupe, d une communauté géographique ou d intérêt, dans un mouvement social ou politique) ou dans un cadre corporatif (délégation ou projet d entreprise), le jeune a à cœur le développement et l organisation de la société civile. Les jeunes et l action bénévole au Québec Quelles sont les motivations personnelles ou collectives des jeunes quand ils s engagent dans une action bénévole? Dans quels types d actions s engagent-ils? Quelle est la nature de leur don et de leur contre-don? Quel sens social les jeunes attachent-ils au bénévolat? Les chercheurs du projet RABQ ont tenté de répondre à ces questions sur la base des discussions qui ont eu lieu dans les groupes témoins. Il existe trois principaux types d action bénévole 4. Le premier est axé sur l offre de services et le soutien aux institutions. Il se rapproche 375 Que bec *.indd /11/08 09:24:50

3 L état du Québec 2009 du service volontaire encadré : «Je fais du bénévolat à l hôpital ou avec la Croix-Rouge.» Ce type de bénévolat puise sa motivation dans l aide à autrui et complète l action de l État. Le deuxième répond au besoin des institutions et des groupes de citoyens de la société civile qui, en dehors de l État, se rendent des services et s entraident par des actions généralement humanitaires. On s engage, par exemple, dans des clubs et des associations qui rendent service à leurs membres, comme une association étudiante. Enfin, le troisième type d action bénévole est axé sur le développement autonome et sur l initiative citoyenne dans des domaines où la cause s intéresse davantage à la collectivité qu à la relation d aide aux personnes. Dans ce cas, le bénévole est autant un acteur qu un «donneur». Ici, par exemple, les jeunes s impliquent dans une ligue sportive comme arbitres ou entraîneurs ou dans le comité organisateur d un festival. Le bénévolat des jeunes est bien pluriel, puisqu ils agissent dans la plupart des champs d intervention. Cependant, au regard des discussions dans les groupes témoins, il apparaît que la société civile constitue le terrain d action privilégié des jeunes. Cela confirme les études en psychologie et en psychologie sociale selon lesquelles les jeunes sont moins intégrés dans les institutions publiques et choisissent de faire leurs premiers pas dans un monde qu ils contrôlent ou qu ils considèrent moins contraignant. C est là une piste majeure pour l élaboration des politiques et des attitudes à l égard des jeunes. Cette piste nous amène à la seconde étude, qui s est intéressée aux conditions optimales de mobilisation, d accueil et de soutien à l engagement bénévole des jeunes de 15 à 19 ans dans le secteur des loisirs en Montérégie. Vers un but commun des jeunes et des organisations? Le tableau apporte un éclairage sur les besoins des jeunes et la place qu ils désirent occuper dans les organismes ainsi que sur la percep- Tableau 1 Besoins des jeunes et place qu ils voudraient occuper dans la gouvernance des organismes Ce que veulent les jeunes Jeunes (N =206) Rang (sur 8) Moyenne sur 4 Organismes (N = 30) Rang (sur 8) Moyenne sur 4 Pouvoir émettre et réaliser mes idées et mes projets (1) 3,2 (1) 3,5 Avoir la possibilité de faire des choix dans mes tâches (2) 3,1 (4) 3,3 Avoir la liberté d explorer de nouveaux domaines (3) 3,1 (3) 3,4 Avoir une réelle flexibilité dans mes horaires (4) 3,1 (7) 3,1 Collaborer à l élaboration, à l amélioration et à la gestion des programmes qui me sont destinés (5) 3,0 (2) 3,4 Gérer un budget de façon autonome (6) 2,8 (8) 2,6 Être étroitement associé au fonctionnement de l organisme Obtenir un siège au conseil d administration de l organisme (7) 2,7 (6) 3,1 (8) 2,5 (5) 3,1 Échelle : 1 = Tout à fait en désaccord ; 2 = Plutôt en désaccord ; 3 = Plutôt en accord ; 4 = Tout à fait en accord Source : C. Froment-Prévosto et J. Fortier, Que bec *.indd /11/08 09:24:50

4 Société civile tion des représentants des organisations qui accueil lent les bénévoles sur ces aspects. Ce tableau permet donc de confronter les réponses des jeunes et des responsables d organismes par une comparaison des moyennes accordées de part et d autre aux différents énoncés. Nous avons inscrit entre parenthèses le rang de chacun des énoncés afin de favoriser la comparaison. Les jeunes veulent émettre leurs idées et réaliser leurs projets. Ils manifestent le désir de choisir leurs responsabilités et d explorer de nouveaux domaines à travers leur expérience de bénévolat. Ils cherchent une certaine flexibilité dans leurs tâches et leur horaire, des besoins auxquels les responsables d organismes accordent moins d importance. Ces résultats marquent une continuité avec la principale contrainte, soit le manque de temps, et les motivations des jeunes, qui, selon cette étude, désirent vivre de nouvelles expériences et avoir de l autonomie dans leur action. Comment soutenir l engagement des jeunes? Ces deux études montrent également que les jeunes n ont pas une perception très précise du bénévolat. Selon les échanges qui ont eu lieu lors des groupes de discussion, cet univers leur semble étranger ; ils questionnent même l usage du mot bénévolat. Les jeunes sont impliqués, engagés et citoyens, mais, selon eux, ce qu ils font ne s appelle pas nécessairement du bénévolat, un terme qui leur paraît connoté et appartenir à une autre génération. Faudrait-il alors plutôt parler d engagement social et citoyen? L ensemble des informations recueillies dans le cadre de l étude sur les jeunes de la Montérégie a permis de dégager quelques pistes susceptibles d éclairer les politiques et les mesures qui visent à soutenir l engagement des jeunes : considérer les jeunes davantage comme des partenaires que comme une «maind œuvre» ; travailler en partenariat et en réseau plus qu en hiérarchie ; œuvrer dans un esprit d interdépendance pour partager les ressources, l information et les compétences ; faire participer les jeunes en amont des décisions et mettre en valeur leur participation dans la mission ou la vision des organisations ; reconnaître et valoriser les jeunes, augmenter la crédibilité de leur action ; mettre en place des lieux et des activités de communication entre les jeunes et les adultes pour échanger idées et expériences ; favoriser l acquisition de compétences en leadership, en communication, en financement et en mobilisation ; transmettre une information claire et accessible sur les actions et les organisations auxquelles les jeunes peuvent participer ; faciliter des stages qui offrent la possibilité de faire des expériences et de se former au bénévolat. Des citoyens actifs dans une société civile renforcée Le changement de génération (les babyboomers prenant leur retraite) et l ampleur des changements sociaux, économiques et de gouvernance remodèlent l engagement bénévole et citoyen. Il est des causes, nées il y a plusieurs années, qui peuvent paraître obsolètes aux yeux des jeunes, des formes de gouvernance qui leur semblent La société civile constitue le terrain d action privilégié des jeunes. étouffantes et une conception du bénévolat qui leur est étrangère parce qu enracinée dans des valeurs inconnues. Quand ils s engagent pleinement dans un bénévolat, les jeunes le vivent comme un échange plus que comme un don sans retour. Ils voient dans leur action une occasion de connaissance et d appropriation de leur 377 Que bec *.indd /11/08 09:24:50

5 L état du Québec 2009 communauté et ils attendent en retour respect, reconnaissance et capacité (pouvoir et compétences) d agir. Ils veulent se sentir utiles, réussir et avoir du plaisir. Les gestionnaires et les bénévoles des organisations établies ne peuvent plus les tenir pour acquis. Développer le bénévolat des jeunes, c est promouvoir des causes, offrir des lieux, des moyens d agir et un environnement qui répondent aux conditions proposées plus haut, dont un milieu social, un espace ouvert de rencontre, de création et d erreur. C est aussi recon naître le caractère parfois éphémère, informel et en construction du bénévolat des jeunes. C est enfin reconnaître que les générations distinctes engendrent un bénévolat distinct. Références Froment-Prévosto, Cathy et Julie Fortier, Ne marcher ni devant, ni derrière, mais aux côtés des jeunes, Rapport de recherche, Imagine Canada, Thibault, André, Julie Fortier et Patrice Albertus, Rendre compte et soutenir l action bénévole des jeunes, Rapport de recherche, Réseaux canadiens de recherche en politiques publiques, Thibault, André, Julie Fortier et Patrice Albertus, Rendre compte du mouvement bénévole au Québec. Créateur de liens autant que de biens et de services, Rapport de recherche, Réseau de l action bénévole du Québec, Notes 1. La jeunesse correspond ici aux personnes âgées de 15 à 35 ans (étude RABQ) et aux personnes âgées de 15 à 19 ans (étude Montérégie). 2. Commandée par le Réseau québécois de l action bénévole (RABQ) et commanditée par le Secrétariat à l action communautaire autonome et aux initiatives sociales (SACAIS), la première étude a pour but de situer, de comprendre et de soutenir la réalité québécoise en matière d action bénévole générale et multisectorielle. Elle procède par une revue large de la littérature et par l analyse des propos recueillis lors des groupes témoins. Voir André Thibault, Julie Fortier et Patrice Albertus, Rendre compte et soutenir l action bénévole des jeunes, Rapport de recherche, Réseaux canadiens de recherche en politiques publiques, La seconde étude, subventionnée par Imagine Canada et menée par Loisir et sport Montérégie et le Laboratoire en loisir et vie communautaire, s est intéressée aux conditions optimales de mobilisation, d accueil et de soutien à l engagement bénévole des jeunes de la Montérégie dans le secteur du loisir. Deux questionnaires ont été élaborés : l un s adresse aux jeunes de 15 à 19 ans et l autre, aux organisations. Voir Cathy Froment-Prévosto et Julie Fortier, Ne marcher ni devant ni derrière, mais aux côtés des jeunes, Rapport de recherche, Imagine Canada, Une enquête a été menée auprès de 16 secteurs regroupés au sein du RABQ, dont celui des jeunes. Quatre-vingt-dix personnes, réparties entre 16 groupes témoins, ont été interrogées. Chacun des groupes a abordé de façon générale la question du bénévolat des jeunes. Deux groupes en particulier, dont un réunissant les membres de la Table de concertation des Forums jeunesse régionaux du Québec et un autre regroupant huit jeunes engagés bénévolement, ont approfondi la dimension jeunesse de l action bénévole. Les résultats présentés dans cet article constituent le reflet des discussions «à propos des jeunes» qui ont eu lieu avec ces deux groupes. L étude était de type qualitatif et a privilégié la méthode d analyse de contenu. 4. Les thèmes ou facteurs de regroupement des organismes se fondent sur une similarité du mandat et des tâches ou services, sur des idéologies communes ou sur leur histoire (santé, charité, communautaire). 378 Que bec *.indd /11/08 09:24:51

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