Les différents systèmes de circulation des fluides

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Les différents systèmes de circulation des fluides"

Transcription

1 Les différents systèmes de circulation des fluides Système sanguin veineux et artériel (sang) Globules rouges Globules blancs Système immunitaire (lymphe) Globules blancs Ces deux systèmes communiquent entre eux.

2 Ganglions Organes amygdales ganglion thymus coeur rate réseau lymphatique moelle osseuse

3 Schéma d une cellule MEMBRANE RECEPTEURS NOYAU PROGRAMME ADN CHROMOSOMES CYTOPLASME VIRUS

4 Les Cellules du Système Immunitaire Les macrophages et les cellules dendritiques Les cellules (ou lymphocytes) T T4 (ou CD4) T8 (ou CD8) Les cellules (ou lymphocytes) B

5 Antigène (bactérie, parasite, virus ) cellule dendritique macrophage Cellule infectée CD8 CD4 Réponse cellulaire immédiate Réponse humorale différée B Anticorps spécifique

6 cellule dendritique macrophage VIH Antigène = VIH CD8 Cellule infectée CD4 B Anticorps spécifique du VIH

7 cellule dendritique macrophage Cellule infectée CD8 CD4 Récepteur CD4 Co-récepteur B Anticorps Mort des CD4 spécifiques du VIH

8 Histoire naturelle de l infection à VIH Contamination Primo-infection Contrôle par le système immunitaire Perte progressive des lymphocytes CD4 Phase asymptomatique Débordement du système immunitaire Phase SIDA 3 à 8 semaines Jusqu à 12 ans 2 à 4 ans

9 La réplication virale est intense 10 Milliards de virus fabriqués par jour 10 Milliards de virus que le système immunitaire devrait éliminer par jour Un cycle viral = 24h LE VIRUS NE DORT PAS!

10 Pourquoi y a-t-il progression vers la maladie? le virus se réplique et devient de plus en plus pathogène VIRUS IMMUNITE le système immunitaire perd sa capacité à réagir contre le VIH perte des CD4 anti-vih désorganisation du système immunitaire VIRUS IMMUNITE

11 Quand modifier l histoire naturelle de l infection à VIH avec un traitement? Charge virale CD4 Primo-infection Phase asymptomatique Phase SIDA Contamination

12 Ex : modifier l histoire naturelle de l infection au stade SIDA Charge virale CD4 Primo-infection Phase asymptomatique Phase SIDA Contamination

13 Organisation de la particule virale

14 Le cycle de réplication du VIH

15 1 ère étape : l entrée du VIH dans la cellule 1 Inhibiteur de co-récepteur Inhibiteur de fusion

16 Inhibiteurs de la 1ère étape Inhibiteur de la fixation au co-récepteur Maraviroc (AMM européenne) Inhibiteur de la fusion Fuzeon (T20)

17 2 ème étape : la transcription inverse 2 RT

18 Inhibiteurs de la 2ème étape : Inhibiteurs de la Reverse Transcriptase (RT) inhibiteurs nucléosidiques INRT ou «nucs» Formes simples Rétrovir (AZT, 1987) Epivir Emtriva Videx Zérit Ziagen Formes combinées Kivexa (Ziagen+Epivir) Combivir (Rétrovir+Epivir) Trizivir (Rétrovir+Epivir+Ziagen) Truvada (Emtriva+Viread) inhibiteurs non nucléosidiques INNRT«nonnucs» Viramune Sustiva En cours d autorisation Atripla (Truvada + sustiva) inhibiteurs nucléotidiques INtRT Viread

19 3 ème étape : l intégration du virus dans l ADN cellulaire 3

20 Inhibiteurs de la 3ème étape : intégration Inhibiteurs de l intégrase Isenstress (disponible en ATU)

21 4 ème étape : la synthèse de nouveaux virus 4

22 5 ème étape : la sortie des nouveaux virus 5 Protease

23 Inhibiteurs de la 5ème étape : maturation de la particule virale Inhibiteurs de la protéase (depuis 1996) Norvir Crixivan Invirase/Fortovase Kalétra Reyataz Aptivus Prezista Telzir (Viracept : interrompu en juin 2007)

24 Contexte thérapeutique Avant 1996: vivre avec le VIH et avec le SIDA Depuis l arrivée des trithérapies : vivre avec le VIH et avec les traitements bénéfice thérapeutique l espérance de vie est comparable à celle de la population générale si les lymphocytes CD4 sont maintenus au dessus de 500/mm 3 impact très variable sur le quotidien des personnes

25 Les personnes traitées en France 80 % des patients suivis sont sous traitement 65 % des patients traités sont en succès virologique et immunologique prolongé CD4 > 200 / mm3 CV < 500 copies/ml 35 % des patients traités ont une charge virale détectable Adhésion insuffisante au traitement Résistance Problèmes pharmacologiques 4 % des patients sont en échec thérapeutique sévère La moitié des patients ayant une indication de traitement ne sont vus qu à un stade avancé (CD4 < 200/mm3 ou SIDA). Souvent des migrants et des personnes en situation de précarité.

26 Recommandations pour l initiation d un traitement Recommandations établies tous les deux ans par un collectif d experts. A côté des différentes spécialités médicales, présence des associations de patients dans le groupe d experts et dans les groupes de travail. Dernier en date : rapport Yéni 2006 Quand le patient est prêt!!!

27 Quand proposer un traitement anti-rétroviral? Recommandé dans tous les cas quand lymphocytes CD4 < 200/mm 3 ou patients symptomatiques. Traitement des maladies opportunistes. Envisager la mise au traitement dès que la valeur plancher de 350 CD4/mm3 est atteinte. La valeur de la charge virale plasmatique doit être prise en compte quand elle est > copies/ml quand les CD4 sont entre 200 et 350/mm3. L évolution des valeurs de la CV et des CD4 doit être prise en compte. Une décision ne doit être prise que sur 2 examens successifs. Lymphocytes CD4 > 350/ mm 3 Non recommandé sauf cas particuliers.

28 Les antirétroviraux 4 familles de molécules Les inhibiteurs d entrée et de fusion Les inhibiteurs de la Reverse Transcriptase Les inhibiteurs de l Intégrase Les inhibiteurs de la Protéase

29 La mise sur le marché des médicaments Découverte dans le tube à essai Administration à l animal Phase I, premières administrations chez l homme (quelques dizaines de patients) Phase II, on cherche la dose la plus efficace et la mieux tolérée (une centaine de patients) Phase III, on compare le nouveau médicament au traitement de référence (un millier de patients)

30 Plan de développement Production industrielle Préclinique Phase I Phase II Phase III AMM

31 Médicaments: quelle disponibilité? AMM Autorisation de Mise sur le Marché (EMEA et Afssaps) ATU Autorisation Temporaire d Utilisation, accordée par l Afssaps ATU nominative fin des phases II ATU de cohorte en cours des phases III

32 Plan de développement Production industrielle Préclinique Phase I Phase II ATU nominative Phase III ATU de cohorte AMM

33 De la conception à la commercialisation des molécules nos revendications Essais in vitro Essais chez l animal Phase I/II chez l homme Phase III / Phase IIIb Autorisation temporaire d utilisation (ATU) nominative ou de cohorte Autorisation de mise sur le marché (AMM) Phase IV ou études de cohorte

34

35

36 Quel traitement proposer? OBJECTIF PRINCIPAL: Obtenir et maintenir, une charge virale plasmatique indétectable et des lymphocytes T CD4 au dessus de 500/mm 3. Au moins une TRIthérapie: 2INRT et un IP, 2INRT et un INNRT, 3 INRT UN TRAITEMENT SIMPLE! Pour les patients avec des CD4< 200, IP recommandé, voir 2IP Pas de bithérapie! LE CHOIX DU PREMIER TRAITEMENT EST ESSENTIEL!

37 Les limites des traitements actuels Les traitements ne fonctionnent pas pour tous L échappement / non réponse 65% de patients bien contrôlés 35% «intermédiaires» 4% en échec sévère La toxicité des traitements L absence de guérison

38 Le virus mute... le virus mute à chaque cycle de réplication les mutants ne sont sélectionnés que si ils trouvent un avantage réplicatif par rapport à un virus non mutant virus sauvage mutant 1 mutant 2 mutant 3

39 Que deviennent les virus mutants? mutant 1 Mutant 1 apparait naturellement pas viables donc disparaissent au profit du virus sauvage mutant 2 Mutant 2 apparait naturellement viables permettent au virus de rentrer dans de plus en plus de lymphocytes CD4 sera retenu à terme

40 Que deviennent les virus mutants? mutant 3 Mutant 3 peut survenir si persistance de la réplication virale présence d une pression de sélection due à un traitement non optimal Il s agit d un mutant de résistance à un traitement Deviendra majoritaire PAS DE MUTATION SI PAS DE REPLICATION!

41 Probabilité de résistance L échappement viral est lié à un traitement sub-optimal Pas de traitement Pas de résistance Traitement sub-optimal Risque élevé de résistance Traitement optimal Pas de résistance Risque individuel Efficacité du traitement Risque de santé publique

42 L échec virologique corrèle à la non -observance D après Paterson et al., % ECHEC >95% <70% % OBSERVANCE

43 Que sait-on de l observance? La majorité des patients ne sont pas toujours observants à 100% : l observance évolue avec le temps L observance n est pas prédictible avant un traitement Le vécu des traitements est le principal facteur explicatif de l observance L intervention peut améliorer l observance

44 Facteurs associés à l efficacité des multithérapies Bonne observance +++ Ne pas avoir déjà été traité par des ARV Absence d interactions médicamenteuses défavorables Ex : personnes en substitution CD4 élevés à l initiation du traitement (>350) CV basse à l initiation du traitement (< ) Autres (bio-disponibilité des médicaments) TOUJOURS VERIFIER OBSERVANCE ET PARFOIS DOSAGE APRES INITIATION (bio-disponibilité)

45 Concentration des ARV dans le sang Interactions des médicaments dans le sang Anti-rétroviraux + médicament Z Niveau minimum de toxicité du médicament Prise des anti-rétroviraux seuls Anti-rétroviraux + médicament Y Niveau minimum d efficacité du médicament Temps

46 Les besoins Des molécules de sauvetage pour les patients en échec sévère nouvelles molécules nouvelles classes nouvelles cibles Des stratégies thérapeutiques nouvelles pour les autres moins de toxicité guérison arrêt des traitements

47 Le futur de la prise en charge Souci de stratégies à long terme en tenant compte de l absence d éradication virale, des problèmes d observance et de tolérance Immunothérapies non spécifiques (augmenter tous les CD4) spécifiques (restaurer les CD4 spécifiques du VIH) Interruptions thérapeutiques sauvetage Et la vaccination?

48 Les limites des traitements actuels Les traitements ne fonctionnent pas pour tous La toxicité des traitements Avant les multithérapies: vivre avec le VIH/SIDA au temps des multithérapies : vivre avec le VIH et le traitement L absence de guérison

49 Difficultés des traitements Pour les personnes en succès Effets indésirables Qualité de vie (affective et sociale) Contraintes des prises Absence de guérison Pour les personnes en échappement Maladie Risque de décès, surtout si échec sévère

50 Effets indésirables Effets indésirables tangibles à court terme et à long terme Symptômes ressentis par les patients Effets indésirables négligés (fatigue, troubles osseux, sexuels, accidents cardio-vasculaires) Peu de solutions thérapeutiques actuelles Peu de prise en compte médicale. Rôle des associations de soutien.

51 Fréquence et évolution des symptômes ressentis 94% des patients montrent au moins un symptôme à un mois fatigue : 63% diarrhées : 51% nausées : 46% ballonnements : 43% Le nombre d effets déclarés baisse significativement entre 1 et 4 mois.

52 % n=277 modification aspect physique Amaigrissement jambes Amaigrissement joues Amaigrissement fesses Amaigrissement bras Augmentation ventre Augmentation veines Augmentation poitrine Bosse nuque 76% des patients déclarent au moins un symptôme lié aux lipodystrophies au bout de 20 mois de traitement

53 Contraintes des prises schémas horaires complexes - Tendance à la simplification routinisation impact sur la vie quotidienne approvisionnement en médicaments renvoi permanent à la maladie

54 Raisons associées à une médiocre qualité de vie Vie affective, vie sexuelle impact des effets indésirables absence de prise en compte par le corps médical impact sur les prises de risque Vie quotidienne impact sur la vie sociale Impact sur la vie professionnelle

55 Les revendications sur la qualité de vie (1) Au niveau de la recherche des essais après mise sur le marché (phase IV) qui prennent en compte la QDV dans leurs objectifs la bonne qualité de vie ne se résume pas à des traitements en 1 prise par jour! de vraies études observationnelles pour étudier les effets indésirables (pas des pubs déguisées) des recherches pour comprendre et traiter les effets indésirables

56 Les revendications sur la QDV (2) Au niveau des prescripteurs Prise en compte des effets perçus et négligés Au niveau de l acceptation par la société prise en charge de la lipoatrophie, des lipodystrophies (stigmates) prise en charge des médicaments pour la prévention et le soin des effets indésirables de l écoute active de la solidarité

57 Les revendications sur la QDV (3) Ne pas oublier les patients en échappement ou en échec sévère Développement coordonné de plusieurs nouvelles molécules Mise à disposition accélérée pour les patients qui en ont le plus besoin

58 Les limites des traitements actuels Les traitements ne fonctionnent pas pour tous L échappement / non réponse 65% de patients bien contrôlés 35% «intermédiaires» 4% en échec sévère La toxicité des traitements L absence de guérison

59 Pourquoi les multithérapies ne guérissent pas? Le virus peut subsister et se répliquer faiblement dans des sanctuaires. L échec thérapeutique

60 Réservoirs / Sanctuaires Une charge virale plasmatique indétectable ne signifie pas la non présence du virus dans l organisme. Le virus persiste dans l organisme même en présence d un traitement optimal. On parle alors de réplication virale persistante résiduelle. Le virus est localisé dans des réservoirs (ou sanctuaires) Ex : ganglions du système immunitaire, sperme La présence de cette réplication résiduelle dans les réservoirs, contrôlée par les ARV, n est pas prédictive du succès ou de l échec des traitements. Les médicaments pénétrant ces sanctuaires ne sont pas d actualité

61 Pourquoi les multithérapies ne guérissent pas? Le virus peut subsister et se répliquer faiblement dans des sanctuaires. L échec thérapeutique Echec virologique Echec immunologique Echec immuno-virologique Echec clinique

62 Echec virologique Evaluer la durée et l intensité Evaluer l observance Evaluer l histoire thérapeutique Evaluer la résistance Evaluer les concentrations plasmatiques

63 Echec immunologique L immunité spécifique contre le VIH n est pas rétablie malgré une réponse immunitaire efficace : vaccin thérapeutique?

64 Des nouvelles stratégies Interruptions thérapeutiques En échec virologique perte des mutations pour initialiser un autre traitement efficace En succès virologique sur un désir ou une demande de la personne, négocié avec le prescripteur pour réduire l exposition aux molécules Les interruptions «sauvages» (du fait du patient)

65 Dépistage : le contexte français Un dépistage institutionnel par les collectivités locales (CIDAG), l hôpital et les laboratoires de ville (avec une prescription du médecin) Une grande proportion de personnes dépistées trop tardivement, en particulier chez les migrants Le système de dépistage actuel n entraîne pas une obligation de soins Contre-exemple : dépistage de la syphillis qui entraîne une obligation de soins Le dépistage est volontaire et éclairé, à l initiative des personnes ou sur propositions «systématiques»

66 Caractéristiques actuelles du dépistage Acte médical (il s agit d un diagnostic) Dépistage ni systématique, ni obligatoire sauf dons de sang, organes etc Légalement, consentement et information avant et après le test Dépistage systématiquement proposé: Examen prénatal Incarcération Autres : interventions chirurgicales

67 La démarche de dépistage en fonction de l évolution de l infection Contamination Primo-infection Phase asymptomatique Phase SIDA Risque 1/20 à 1/50 Risque 1/1000 à 1/10000 Risque 1/200 Diagnostic précoce Diagnostic de routine Diagnostic tardif

68 Les marqueurs du diagnostic de l infection à VIH Ag p24 AC CV 7 jours = fenêtre virologique 21 jours = fenêtre sérologique 7 jours fenêtre virologique

69 Les tests de dépistage actuels Les tests directs : tests de 1ère intention devant une suspicion de primo-infection Mesure de la charge virale (CV) Mesure de l antigénémie p24 (Ag p24) Ce ne sont pas des tests de routine ni de dépistage Fenêtre virologique Les tests indirects : tests de 1ère intention pour des risques antérieurs Détection des anticorps (AC) = test ELISA C est le test de routine et de dépistage : - très sensible, fiable, très facile à faire, peu onéreux - doit être effectué par 2 ELISAs de marques différentes - tout ELISA positif doit être confirmé par Western Blot - fenêtre sérologique

70 Les symptômes d une primo-infection Plus de la moitié des personnes contaminées par le VIH ont des symptômes qui apparaissent 1 à 8 semaines après la contamination : Syndrome grippal : fièvre, ganglions au cou, sous les bras, fatigue, courbatures, douleurs musculaires, maux de tête Boutons ou plaques rouges sur le torse, le cou Petites plaies ou irritations sur le sexe, l anus, la bouche Ces symptômes diminuent puis disparaissent Mais on peut aussi n avoir aucun symptôme du tout, ou ne pas les percevoir, après une contamination.

71 Indication devant une suspicion de primo-infection Tests sérologiques : pas les mieux adaptés Elisa douteux ou négatif Western blot incomplet Tests virologiques : les plus adaptés Antigénémie p24 positive (de 16 à 26j) Charge virale positive (à partir de 7-12j)

72 Récapitulatif après un risque 0-48h maximum: traitement d urgence! COREVIH (ex CISIH) ou Urgences 48h à 1 mois : tests sérologiques et virologiques (CIDAG, hôpital, laboratoire de ville) Après 2 mois : tests sérologiques de routine Le diagnostic de non-infection ne se pose que par la sérologie à deux mois

73 Discordance entre tests sérologiques et virologiques Anticorps + Virus + Personne Infectée par le VIH - Nouveau-né non infecté né de mère séro+ - Primo-infection Personne non-infectée

74 Les limites de l offre de dépistage L offre n a pas évolué depuis Elle ne répond plus forcément aux demandes et besoins des personnes les plus concernées (Gays, Migrants). Les freins au dépistage À la fois d ordre technique horaires d ouverture des CIDAG et des services hospitaliers, éloignement géographique À la fois dans le vécu du dépistage Incohérence du discours face au délai pour le dépistage Attitude des équipes lors des démarches de dépistage à répétition Délai du rendu des résultats trop long et donc anxiogène

75 Elargissements envisagés de l offre de dépistage Améliorer l existant Assouplir le dispositif Dépistage hors les murs des CIDAG et des hôpitaux Adaptation des horaires d ouverture (soirée, week end ) Améliorer les délais de rendu des résultats Partenariat avec les associations (démarche communautaire)

76 Elargissements envisagés de l offre de dépistage Innover Expérimenter les tests de dépistage rapides A l initiative des associations : promouvoir une démarche communautaire Modalités : En partenariat au sein des CIDAG Dans nos locaux ou dans des lieux communautaires

Prise en charge du. Dr FERNANE.Arezki Hôpital André Grégoire Montreuil

Prise en charge du. Dr FERNANE.Arezki Hôpital André Grégoire Montreuil Prise en charge du nouveau-né de mère m HIV Dr FERNANE.Arezki Hôpital André Grégoire Montreuil GROSSESSE Chez une femme infecté par le VIH,la grossesse est a risque = prise en charge multidisciplinaire

Plus en détail

Infection VIH et Grossesse Rédigée par : Laurichesse Hélène, C Jacomet

Infection VIH et Grossesse Rédigée par : Laurichesse Hélène, C Jacomet Procédure qualité : «VIH et grossesse» Page 1 sur 6 CHU de Clermont-Ferrand Service de Gynécologie-obstétrique Pôle Gynécologie-Obstétrique biologie de la reproduction Procédure médicale Infection VIH

Plus en détail

Pathologie VIH. Service maladies infectieuses Archet 1. Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013

Pathologie VIH. Service maladies infectieuses Archet 1. Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013 Pathologie VIH Service maladies infectieuses Archet 1 Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013 Les traitements antirétroviraux Sont classés en 5 familles selon leur mode

Plus en détail

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86 LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT

Plus en détail

Prophylaxie infectieuse après exposition professionnelle

Prophylaxie infectieuse après exposition professionnelle 1 Prophylaxie infectieuse après exposition professionnelle Introduction Le personnel soignant est régulièrement confronté au risque de contamination par le virus de l immunodéficience humaine (VIH) mais

Plus en détail

HEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas

HEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas HEPATITES VIRALES 22/09/09 Mme Daumas Infectieux Introduction I. Hépatite aigu II. Hépatite chronique III. Les différents types d hépatites A. Hépatite A 1. Prévention de la transmission 2. Vaccination

Plus en détail

Leucémies de l enfant et de l adolescent

Leucémies de l enfant et de l adolescent Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE

Plus en détail

Diagnostic des Hépatites virales B et C. P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux

Diagnostic des Hépatites virales B et C. P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux Diagnostic des Hépatites virales B et C P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux Diagnostic VHC Dépistage: pourquoi? Maladie fréquente (Ac anti VHC chez 0,84% de la population soit 367 055

Plus en détail

Avis 6 novembre 2013

Avis 6 novembre 2013 COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 6 novembre 2013 ISENTRESS, comprimé à croquer 25 mg Flacon de 60 comprimés (CIP : 3400926992408) ISENTRESS, comprimé à croquer sécable 100 mg Flacon de 60 comprimés (CIP

Plus en détail

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION. 10 octobre 2001

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION. 10 octobre 2001 COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION 10 octobre 2001 VIRAFERONPEG 50 µg 80 µg 100 µg 120 µg 150 µg, poudre et solvant pour solution injectable B/1 B/4 Laboratoires SCHERING PLOUGH Peginterféron

Plus en détail

L hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015

L hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015 L hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015 Objectifs de la présentation Décrire l évolution clinique et la prise en charge d

Plus en détail

ACTUALITES THERAPEUTIQUES. Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012

ACTUALITES THERAPEUTIQUES. Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012 ACTUALITES THERAPEUTIQUES Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012 Traitement de fond Objectifs: Réduire le nombre de poussées Arrêter ou freiner la progression du handicap Les traitements disponibles

Plus en détail

LES ACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL Prise en charge & Prévention

LES ACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL Prise en charge & Prévention LES ACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL Prise en charge & Prévention Evaluation du risque après AEV Selon le type d'accident Virus Percutanée Cutanéomuqueux Morsure VHB 2 à 40% >HCV>VIH Documentée VHC

Plus en détail

Résistance du VIH-1 aux antirétroviraux dans les compartiments anatomiques et cellulaires

Résistance du VIH-1 aux antirétroviraux dans les compartiments anatomiques et cellulaires Résistance du VIH-1 aux antirétroviraux dans les compartiments anatomiques et cellulaires Jade GHOSN Laboratoire de Virologie CHU Necker-Enfants Malades EA MRT 3620 Paris 5 Réservoirs anatomiques du VIH:

Plus en détail

L investigation chez la personne infectée par le VIH

L investigation chez la personne infectée par le VIH P O U R Q U O I P A R L E R D U V I H E N 2 0 0 4? 2 L investigation chez la personne infectée par le VIH quand et comment utiliser les différents tests de laboratoire? par Harold Dion Paul, un homme de

Plus en détail

Que faire devant un résultat positif, négatif ou indéterminé? Elisabeth Bouvet Atelier IGRA VIH JNI Tours 13 Juin 2012

Que faire devant un résultat positif, négatif ou indéterminé? Elisabeth Bouvet Atelier IGRA VIH JNI Tours 13 Juin 2012 Que faire devant un résultat positif, négatif ou indéterminé? Elisabeth Bouvet Atelier IGRA VIH JNI Tours 13 Juin 2012 Conclusions provisoires rapport du HCSP juillet 2011 Valeur prédictive positive des

Plus en détail

Hépatite chronique B Moyens thérapeutiques

Hépatite chronique B Moyens thérapeutiques Hépatite chronique B Moyens thérapeutiques Dr Olfa BAHRI Laboratoire de Virologie Clinique Institut Pasteur de Tunis INTRODUCTION Plus de 300. 10 6 porteurs chroniques de VHB dans le monde Hépatite chronique

Plus en détail

Bonne lecture!! et si vous souhaitez consulter le document de l AFEF dans son intégralité, c est ici

Bonne lecture!! et si vous souhaitez consulter le document de l AFEF dans son intégralité, c est ici Un résumé des recommandations éditées par l AFEF le 1 er juin 2015 Les recommandations de l AFEF vont plus loin que celles de l EASL. Le Pr Victor De Lédinghen, du CHU de Bordeaux, et secrétaire général

Plus en détail

Cours de Mme Ollivier. Le 17.12.2008

Cours de Mme Ollivier. Le 17.12.2008 Pharmacologie de la pathologie VIH : Les anti-rétroviraux Rôle infirmier dans la prise en charge du patient sous ARTV : éducation, prévention et gestion des effets secondaires Cours de Mme Ollivier Le

Plus en détail

Transfusions sanguines, greffes et transplantations

Transfusions sanguines, greffes et transplantations Transfusions sanguines, greffes et transplantations Chiffres clés en 2008 La greffe d organes est pratiquée depuis plus de 50 ans. 4 620 malades ont été greffés. 1 563 personnes ont été prélevées. 222

Plus en détail

LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B

LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B Actualisation février 2009 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication

Plus en détail

Marseille 25 octobre 2012 Accompagnement du traitement chez les co-infectés VHC-VIH en pratique

Marseille 25 octobre 2012 Accompagnement du traitement chez les co-infectés VHC-VIH en pratique Marseille 25 octobre 2012 Accompagnement du traitement chez les co-infectés VHC-VIH en pratique Dominique Larrey Service d Hépatogastroenterologie et transplantation Hôpital Saint Eloi CHU Montpellier

Plus en détail

Implication des Corevih dans l arrivée des ADVIH: Expérience du Corevih LCA

Implication des Corevih dans l arrivée des ADVIH: Expérience du Corevih LCA Implication des Corevih dans l arrivée des ADVIH: Expérience du Corevih LCA Réunion Icône 2015 STRASBOURG Laurence Boyer - PH -SMIT- CHU Nancy Contexte Plan VIH/Sida/IST- 2010/14: Augmenter le dépistage:

Plus en détail

Détection et prise en charge de la résistance aux antirétroviraux

Détection et prise en charge de la résistance aux antirétroviraux Détection et prise en charge de la résistance aux antirétroviraux Jean Ruelle, PhD AIDS Reference Laboratory, UCLouvain, Bruxelles Corata 2011, Namur, 10 juin 2011 Laboratoires de référence SIDA (Belgique)

Plus en détail

www.aidsmap.com Les effets secondaires Français Première édition 2009

www.aidsmap.com Les effets secondaires Français Première édition 2009 www.aidsmap.com Les effets secondaires Français Première édition 2009 Remerciements Ecrit par Michael Carter Première édition française 2009 Adaptée de la première édition anglaise 2009 Remerciements à

Plus en détail

Août 2010. a thérapie. antirétrovirale. pour les adultes infectés par le VIH. Guide pour les professionnels de la santé du Québec

Août 2010. a thérapie. antirétrovirale. pour les adultes infectés par le VIH. Guide pour les professionnels de la santé du Québec Août 2010 a thérapie antirétrovirale pour les adultes infectés par le VIH Guide pour les professionnels de la santé du Québec Août 2010 a thérapie antirétrovirale pour les adultes infectés par le VIH

Plus en détail

Prise en charge thérapeutique des personnes infectées par le VIH

Prise en charge thérapeutique des personnes infectées par le VIH Prise en charge thérapeutique des personnes infectées par le VIH 2004 Prise en charge thérapeutique des personnes infectées par le VIH Rapport 2004 Recommandations du groupe d experts Sous la direction

Plus en détail

LE MALI L HÔPITAL GABRIEL TOURE L HÔPITAL DU POINT G INTRODUCTION 2 INTRODUCTION 1 DISPENSATION DES ARV DANS LES HÔPITAUX DU POINT G ET GABRIEL TOURE

LE MALI L HÔPITAL GABRIEL TOURE L HÔPITAL DU POINT G INTRODUCTION 2 INTRODUCTION 1 DISPENSATION DES ARV DANS LES HÔPITAUX DU POINT G ET GABRIEL TOURE DISPENSATION DES ARV DANS LES HÔPITAUX DU POINT G ET GABRIEL TOURE KALLE A.D A (1), BENGALY L (2)., KONE D ( 1), COULIBALY S.M (2). DIAKITE A.S. (2) DIAMOUTENE A (2) (1) Service de Pharmacie Hôpital Gabriel

Plus en détail

Le VIH et votre apparence physique

Le VIH et votre apparence physique Le VIH et votre apparence physique Le VIH et votre apparence physique Les personnes séropositives subissent-elles souvent des changements de l apparence physique? Il est difficile de dire avec exactitude

Plus en détail

Mme BORGHI Monique Infirmière ETP Mme ALEXIS Françoise Hopital Archet I Infectiologie/Virologie Clinique

Mme BORGHI Monique Infirmière ETP Mme ALEXIS Françoise Hopital Archet I Infectiologie/Virologie Clinique Mme BORGHI Monique Infirmière ETP Mme ALEXIS Françoise Hopital Archet I Infectiologie/Virologie Clinique Une hépatite est une inflammation du foie causée soit par des substances toxiques (médicaments,

Plus en détail

FICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION

FICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION FICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION Madame, Monsieur, Si votre état de santé nécessite une transfusion sanguine, ce document est destiné à vous informer sur les avantages et les risques de la transfusion,

Plus en détail

1 ère manche Questions fermées

1 ère manche Questions fermées Quiz VIH 2011 1 ère manche Questions fermées Crips Ile-de-France / Mise à jour : août 2015 Thème : Dépistage Un test VIH négatif indique toujours que la personne qui a fait le test n est pas contaminée

Plus en détail

Perspectives en sciences sociales et santé publique. Bernard Taverne (CRCF/IRD)

Perspectives en sciences sociales et santé publique. Bernard Taverne (CRCF/IRD) Perspectives en sciences sociales et santé publique Bernard Taverne (CRCF/IRD) Journée scientifique ANRS, Dakar 25 juin 2010 Le devenir des patients au delà d un processus de recherche clinique, Organisation

Plus en détail

Infection par le VIH/sida et travail

Infection par le VIH/sida et travail Documents publiés dans la collection VIH-sida du ministère de la Santé et de la Protection sociale : COLLECTION VIH/SIDA Sida-MST (maladies sexuellement transmissibles) Transmission - Diagnostic/dépistage

Plus en détail

QUESTIONS FREQUEMMENT POSEES AUX EXPERTS DU SERVICE TELEPHONE VERT SIDA (800861061) ISTITUTO SUPERIORE DI SANITA

QUESTIONS FREQUEMMENT POSEES AUX EXPERTS DU SERVICE TELEPHONE VERT SIDA (800861061) ISTITUTO SUPERIORE DI SANITA QUESTIONS FREQUEMMENT POSEES AUX EXPERTS DU SERVICE TELEPHONE VERT SIDA (800861061) ISTITUTO SUPERIORE DI SANITA INFORMATIONS SUR LE TEST DE DEPISTAGE Q. Quels examens médicaux doit-on faire pour détecter

Plus en détail

Hépatite = inflammation du foie. Pr Bronowicki CHU Nancy - 17.11.2011 Conférence mensuelle - section de Forbach

Hépatite = inflammation du foie. Pr Bronowicki CHU Nancy - 17.11.2011 Conférence mensuelle - section de Forbach Hépatite = inflammation du foie Pr Bronowicki CHU Nancy - 17.11.2011 Conférence mensuelle - section de Forbach 1 Hépatites virales chroniques 2 Histoire naturelle Hépatite aiguë Guérison Hépatite chronique

Plus en détail

Les médicaments anti-vih

Les médicaments anti-vih Les médicaments anti-vih 2012 Deuxième édition In collaboration with: Remerciements Edité par Keith Alcorn, Selina Corkery et Greta Hughson Deuxième édition française: 2012 Adaptée de la onzième édition

Plus en détail

TITRE : On est tous séropositif!

TITRE : On est tous séropositif! PRÉPARER UNE «SITUATION COMPLEXE DISCIPLINAIRE», SITUATION D APPRENTISSAGE ET/OU D ÉVALUATION TITRE : On est tous séropositif! classe : 3 ème durée : 30 min I - Choisir des objectifs dans les textes officiels.

Plus en détail

Le VIH et votre foie

Le VIH et votre foie Le VIH et votre foie Le VIH et votre foie Que dois-je savoir au sujet de mon foie? Votre foie joue un rôle incroyablement important. Il filtre votre sang en éliminant les substances nocives (toxiques)

Plus en détail

Actualités sur le Virus de l'hépatite C

Actualités sur le Virus de l'hépatite C CBP CHRU Lille Actualités sur le Virus de l'hépatite C 2.0 ANNE GOFFARD UNIVERSITÉ LILLE 2 DROIT ET SANTÉ FACULTÉ DES SCIENCES PHARMACEUTIQUES ET BIOLOGIQUES DE LILLE 2012 Table des matières I - Épidémiologie

Plus en détail

VIRUS DE L'IMMUNODEFICIENCE HUMAINE (HIV)

VIRUS DE L'IMMUNODEFICIENCE HUMAINE (HIV) VIRUS DE L'IMMUNODEFICIENCE HUMAINE (HIV) En 1999, dans le monde, plus de 33 millions de sujets dont 43% de femmes étaient infectés par le virus de l'immunodéficience humaine ou HIV. L'épidémie progresse

Plus en détail

Hépatite B. Le virus Structure et caractéristiques 07/02/2013

Hépatite B. Le virus Structure et caractéristiques 07/02/2013 Hépatite B Le virus Structure et caractéristiques o o o Famille des Hepadnaviridae Genre orthohepadnavirus Enveloppé, capside icosaédrique, 42 nm 1 Le virus Structure et caractéristiques En microscopie

Plus en détail

Lettre à l éditeur. Résistance du VIH aux Antirétroviraux : Quoi de neuf au Mali? Quelles. perspectives?

Lettre à l éditeur. Résistance du VIH aux Antirétroviraux : Quoi de neuf au Mali? Quelles. perspectives? Lettre à l éditeur Résistance du VIH aux Antirétroviraux : Quoi de neuf au Mali? Quelles perspectives? HIV Antiretroviral Drug Resistance: What s new in Mali? What is the future? Maiga AI 1,2, Sangare

Plus en détail

Sommaire de la séquence 8

Sommaire de la séquence 8 Sommaire de la séquence 8 Nous avons découvert dans la séquence 7 que les micro-organismes sont présents partout dans notre environnement et qu à la faveur d une lésion, ils sont capables de franchir nos

Plus en détail

Apport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses

Apport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses Apport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses M-H H BESSIERES,, S. CASSAING, A. BERRY, R. FABRE, J-F.. MAGNAVAL Service de Parasitologie-Mycologie Diagnostic biologique d une d parasitose

Plus en détail

Hépatite C, les nouveaux traitements

Hépatite C, les nouveaux traitements Hépatite C, les nouveaux traitements Dr Ghassan Riachi CHU de Rouen QDN 2014 Revue de presse p L hépatite C est une maladie curable Peginterferon + DAAs 2011 Standard Interferon 1991 + Ribavirin 1998 2001

Plus en détail

Lymphome non hodgkinien

Lymphome non hodgkinien Lymphome non hodgkinien Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca LYMPHOME NON HODGKINIEN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du cancer presque

Plus en détail

Compliance (syn. Adhérence - Observance) IFMT-MS-Sémin.Médict.Nov.05 1

Compliance (syn. Adhérence - Observance) IFMT-MS-Sémin.Médict.Nov.05 1 Compliance (syn. Adhérence - Observance) IFMT-MS-Sémin.Médict.Nov.05 1 Qu est ce que la compliance? Une maladie a été diagnostiquée Le diagnostic est correct Le traitement a été bien indiqué, bien choisi,

Plus en détail

Guide. VIH / sida comment en parler?

Guide. VIH / sida comment en parler? Guide VIH / sida comment en parler? Edition 2013 30 millions de morts. Trente ans que le sida demeure une maladie à part. A part parce qu elle a bouleversé les liens qui unissaient la recherche fondamentale

Plus en détail

Maladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin

Maladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin Maladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca MALADIE DE HODGKIN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du

Plus en détail

La lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002.

La lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002. Le diagnostic de la tuberculose bovine La lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002. 1. Tuberculination Dans la première phase d une infection de tuberculose bovine (Mycobacterium

Plus en détail

Christian TREPO, MD, PhD

Christian TREPO, MD, PhD PEG INTERFERON MONOTHERAPI E Christian TREPO, MD, PhD Unmet medical needs in chronic HBV infection Inhibition of viral replication Normalisation of ALT Improvement in liver necroinflammation Improvement

Plus en détail

WHA63.12 Disponibilité, innocuité et qualité des produits sanguins 4,5

WHA63.12 Disponibilité, innocuité et qualité des produits sanguins 4,5 WHA63/200/REC/ WHA63.2 Disponibilité, innocuité et qualité des produits sanguins... 9 WHA63.2 Disponibilité, innocuité et qualité des produits sanguins 4,5 La Soixante-Troisième Assemblée mondiale de la

Plus en détail

Des déficiences présentes

Des déficiences présentes Des déficiences présentes Comment se fait-il que dans certains cas, le système immunitaire ne fonctionne pas convenablement? Problèmes : 1. Pourquoi certains enfants sont-ils mis sous bulle plastique?

Plus en détail

Journée Mondiale des Hépatites

Journée Mondiale des Hépatites 2 Bulletin d information de REVIH-STS Réseau de Santé VIH - Hépatites - Toxicomanies en Savoie Journée Mondiale des Hépatites Sommaire Edito / Pôle hépatites.p.1 Education thérapeutique / Nutrition...p.2

Plus en détail

Tuberculose bovine. Situation actuelle

Tuberculose bovine. Situation actuelle Tuberculose bovine Situation actuelle 21 mai 2013 Dr G. Peduto Vétérinaire cantonal Service de la consommation et des affaires vétérinaires 1 Tuberculose bovine La Suisse est indemne depuis 1959 Dernier

Plus en détail

Le VIH et votre cœur

Le VIH et votre cœur Le VIH et votre cœur Le VIH et votre cœur Que dois-je savoir au sujet de mon cœur? Les maladies cardiovasculaires représentent une des cause les plus courante de décès, elles incluent: les maladies coronariennes,

Plus en détail

GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE

GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les

Plus en détail

Médicaments anti-vih. 2015 Troisième édition. In collaboration with:

Médicaments anti-vih. 2015 Troisième édition. In collaboration with: Médicaments anti-vih 2015 Troisième édition In collaboration with: Remerciements Edité par Greta Hughson Troisième édition française 2015 Adaptée de la 13ème édition anglaise 2015 Remerciements à Sylvie

Plus en détail

MALI MEDICAL. Echec virologique aux antirétroviraux

MALI MEDICAL. Echec virologique aux antirétroviraux ETUDE DE DEUX CAS D ECHEC VIROLOGIQUE AUX ANTIRETROVIRAUX A L INSTITUT D HYGIENE SOCIALE (IHS) DE DAKAR Study of two cases of virological failure of the antiretroviral in the Institute of Social Hygiene(ISH)

Plus en détail

Liste des principales abréviations

Liste des principales abréviations 2014-2019 2 Liste des principales abréviations ART CRS DMG DPG FSF HSH IST LGBTQI MAS NONOPEP OPEP PMTCT PrEP PVVIH SIDA TasP TPE VIH Thérapie antirétrovirale Centres de référence Sida Dossier médical

Plus en détail

Essais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009

Essais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009 17 èmes Journées des Statisticiens des Centres de Lutte contre le Cancer 4 ème Conférence Francophone d Epidémiologie Clinique Essais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009 Q Picat, N

Plus en détail

Le Livre des Infections Sexuellement Transmissibles

Le Livre des Infections Sexuellement Transmissibles Le Livre des Infections Sexuellement Transmissibles sommaire Qu est-ce qu une IST? p. 5 La blennorragie gonococcique p. 7 La chlamydiose p. 8 L hépatite B p. 9 L herpès génital p. 10 Les mycoplasmes et

Plus en détail

Infection à CMV et allogreffe de cellules souches hématopoïétiques : Expérience du Centre National de Greffe de Moelle Osseuse, Tunis.

Infection à CMV et allogreffe de cellules souches hématopoïétiques : Expérience du Centre National de Greffe de Moelle Osseuse, Tunis. Infection à CMV et allogreffe de cellules souches hématopoïétiques : Expérience du Centre National de Greffe de Moelle Osseuse, Tunis. Tarek Ben Othman Congrès de la STPI, 24 avril 2009 Plan Introduction

Plus en détail

Restitution de l 'atelier 1 Protocoles thérapeutiques et aspects médicaux de la PTME

Restitution de l 'atelier 1 Protocoles thérapeutiques et aspects médicaux de la PTME Restitution de l 'atelier 1 Protocoles thérapeutiques et aspects médicaux de la PTME Modérateur : Dr Didier Koumavi Ekouevi INSERM U-897, Université Bordeaux Segalen, PACCI, Abidjan et Université de Lomé

Plus en détail

Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT

Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT ANAMACaP Association Nationale des Malades du Cancer de la Prostate 17, bis Avenue Poincaré. 57400 SARREBOURG Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT Place des nouvelles techniques d imagerie

Plus en détail

Normes canadiennes pour la lutte antituberculeuse

Normes canadiennes pour la lutte antituberculeuse Normes canadiennes pour la lutte antituberculeuse 7 ième édition Chapitre 10 : La tuberculose et le virus de l immunodéficience humaine Normes canadiennes pour la lutte antituberculeuse, 7 ième édition

Plus en détail

L ANGINE. A Epidémiologie :

L ANGINE. A Epidémiologie : L ANGINE L angine est une inflammation aiguë des amygdales d origine essentiellement virale, et secondairement bactérienne. C est les streptocoque ß hémolytique du groupe A, qui est l agent responsable

Plus en détail

Lecture historique et prospective du rôle de la barrière génétique

Lecture historique et prospective du rôle de la barrière génétique Lecture historique et prospective du rôle de la barrière génétique Clotilde Allavena NANTES Symposium JANSSEN JNI 2011, Toulouse Jusqu en 1996, la montée en puissance Bithérapie 2 NUCs Trithérapie 2 NUCs

Plus en détail

Le don de moelle osseuse :

Le don de moelle osseuse : DON DE MOELLE OSSEUSE Le don de moelle osseuse : se décider aujourd hui, s engager pour longtemps LA MOELLE OSSEUSE ET SA GREFFE La moelle osseuse C est le tissu mou dans le centre du corps des os qui

Plus en détail

I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE

I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais

Plus en détail

CRIXIVAN 400mg. Indinavir, IDV. IP inhibiteurs de la protéase

CRIXIVAN 400mg. Indinavir, IDV. IP inhibiteurs de la protéase CRIXIVAN 400mg Indinavir, IDV IP inhibiteurs de la protéase Info-médicaments anti-vih en LSQ Octobre 2011 Français : LSQ : Il faut prendre 2 comprimés de Crixivan à jeun d avoir mangé aux 8 heures (trois

Plus en détail

Charges virales basses sous traitement: définition impact virologique. Laurence Bocket Virologie CHRU de Lille

Charges virales basses sous traitement: définition impact virologique. Laurence Bocket Virologie CHRU de Lille XVIIe Journée Régionale de Pathologie Infectieuse 12 octobre 2010 Charges virales basses sous traitement: définition impact virologique Laurence Bocket Virologie CHRU de Lille conflits d intérêts subventions,

Plus en détail

Projet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer

Projet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer DOCUMENT D INFORMATION POUR LES PROFESSIONNELS Projet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer Septembre 2009 DÉFINITION ET OBJECTIF Dès lors qu ils expriment un projet de

Plus en détail

des banques pour la recherche

des banques pour la recherche ADN, cellules, tissus... des banques pour la recherche FÉVRIER 2009 Les banques d échantillons de matériel biologique (tissus, cellules, ADN ), appelées biobanques, mettent à disposition des chercheurs

Plus en détail

GUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE. La prise en charge des leucémies aiguës de l adulte

GUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE. La prise en charge des leucémies aiguës de l adulte GUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE La prise en charge des leucémies aiguës de l adulte Mars 2012 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour faciliter la discussion sur

Plus en détail

Hépatite C une maladie silencieuse..

Hépatite C une maladie silencieuse.. Hépatite C une maladie silencieuse.. F. Bally Centre de Maladies Infectieuses et Epidémiologie Institut Central des Hôpitaux Valaisans Histoire Années 70 Hépatite non-a-non-b = hépatite post-transfusionelle

Plus en détail

La drépanocytose. Sikkelcelziekte (Frans)

La drépanocytose. Sikkelcelziekte (Frans) La drépanocytose Sikkelcelziekte (Frans) Qu est-ce que la drépanocytose? La drépanocytose est une maladie causée par un changement héréditaire du pigment rouge dans les globules rouges : l hémoglobine.

Plus en détail

Arthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes

Arthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes Arthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes G Borgherini 1, A Gouix 1, F Paganin 1, A Jossaume 1, L Cotte 2, C Arvin-Berod 1, A Michault

Plus en détail

Ézin Jocelyn Come Alex AK.AKPO

Ézin Jocelyn Come Alex AK.AKPO Ézin Jocelyn Come Alex AK.AKPO LES DETERMINANTS DE L'OBSERVANCE A LA TRITHERAPIE ANTIRÉTROVIRALE CHEZ LES PATIENTS INFECTÉS PAR LE VIH A COTONOU, BENIN Mémoire présenté à la Faculté des études supérieures

Plus en détail

Co-infection HVB HVC CO-infection VIH HVB et HVC

Co-infection HVB HVC CO-infection VIH HVB et HVC Co-infection HVB HVC CO-infection VIH HVB et HVC Abdelfattah CHAKIB Faculté de médecine et de pharmacie de Casablanca Service des maladies infectieuses, CHU Ibn Rochd 06 61 42 91 64 afchakib@gmail.com

Plus en détail

Dépistage de l infection par le VIH en France

Dépistage de l infection par le VIH en France RECOMMANDATIONS EN SANTÉ PUBLIQUE Dépistage de l infection par le VIH en France Stratégies et dispositif de dépistage ARGUMENTAIRE Octobre 2009 Document non soumis à relecture typographique Avec la participation

Plus en détail

Le test de dépistage qui a été pratiqué à la

Le test de dépistage qui a été pratiqué à la élever CommenT UN enfant ayant une drépanocytose Q Le test de dépistage qui a été pratiqué à la maternité vient de révéler que votre bébé est atteint de drépanocytose. Aujourd hui, votre enfant va bien,

Plus en détail

Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve

Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Différentes

Plus en détail

Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste. Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil

Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste. Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil Le Diagnostic Objectif de la démarche diagnostique Diagnostic de SPONDYLARTHROPATHIE

Plus en détail

Guide du parcours de soins Titre ACTES ET PRESTATIONS AFFECTION DE LONGUE DURÉE. Hépatite chronique B

Guide du parcours de soins Titre ACTES ET PRESTATIONS AFFECTION DE LONGUE DURÉE. Hépatite chronique B Guide du parcours de soins Titre ACTES ET PRESTATIONS AFFECTION DE LONGUE DURÉE Hépatite chronique B Février 2015 Ce document est téléchargeable sur : www.has-sante.fr Haute Autorité de Santé Service des

Plus en détail

IMMUNOLOGIE. La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T. Informations scientifiques

IMMUNOLOGIE. La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T. Informations scientifiques IMMUNOLOGIE La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T Informations scientifiques L infection par le VIH entraîne des réactions immunitaires de l organisme qui se traduisent par la production

Plus en détail

Le guide du bon usage des médicaments

Le guide du bon usage des médicaments Le guide du bon usage des médicaments Les médicaments sont là pour vous aider mais......ils ont parfois du mal à vivre ensemble. Votre médecin et votre pharmacien peuvent adapter votre traitement pour

Plus en détail

Seuils d'indétectabilité chez les patients traités par ARV le point du vue du clinicien

Seuils d'indétectabilité chez les patients traités par ARV le point du vue du clinicien 14 15 octobre 2010 Seuils d'indétectabilité chez les patients traités par ARV le point du vue du clinicien Bruno Hoen 1 Plan de la discussion Quelle(s) définition(s)? Quelle réalité épidémiologique? Quelle

Plus en détail

L INSUFFISANCE CARDIAQUE

L INSUFFISANCE CARDIAQUE L INSUFFISANCE CARDIAQUE EXISTE-T-IL DES TRAITEMENTS À BASE DE CELLULES SOUCHES POUR L INSUFFISANCE CARDIAQUE? Bien qu aucun traitement à base de cellules souches pour l insuffisance cardiaque n ait encore

Plus en détail

Information au patient

Information au patient Information au patient Hôpital de jour médico-chirurgical Je vais subir une intervention chirurgicale en hôpital de jour, cela signifie que l intervention et le retour à domicile s effectueront le même

Plus en détail

Les hépatites virales chroniques B et C

Les hépatites virales chroniques B et C Les hépatites virales chroniques B et C www.aqodad.ma Service d hépato-gastroentérologie CHU HASSAN II; Fès 6èmes journées médicales d Al Hoceima; Le 28 09 2013 1 Introduction Problème majeur de santé

Plus en détail

GUIDE DU DONNEUR. Protection santé SERVICE DU SANG

GUIDE DU DONNEUR. Protection santé SERVICE DU SANG GUIDE DU DONNEUR Protection santé SERVICE DU SANG Introduction 2 Pourquoi donner un peu de Sang? Avant toute chose, les dons de sang, de plasma ou de plaquettes contribuent à sauver des vies humaines.

Plus en détail

Devenir des soignants non-répondeurs à la vaccination anti-vhb. Dominique Abiteboul - GERES Jean-François Gehanno Michel Branger

Devenir des soignants non-répondeurs à la vaccination anti-vhb. Dominique Abiteboul - GERES Jean-François Gehanno Michel Branger Devenir des soignants non-répondeurs à la vaccination anti-vhb Dominique Abiteboul - GERES Jean-François Gehanno Michel Branger Contexte Hépatite B = risque professionnel pour les soignants Passé futur

Plus en détail

L adhésion au traitement: les clés du succès

L adhésion au traitement: les clés du succès L adhésion au traitement: les clés du succès Dr Marie P. Schneider, pharmacienne Policlinique Médicale Universitaire Lausanne CHUV avril 005 Mme W.M. 970 Patiente d origine angolaise, en Suisse depuis

Plus en détail

Rendre les résultats d un test VIH, communiquer les messages pour refaire le test et fournir un conseil à l adulte

Rendre les résultats d un test VIH, communiquer les messages pour refaire le test et fournir un conseil à l adulte Rendre les résultats d un test VIH, communiquer les messages pour refaire le test et fournir un conseil à l adulte Il est prévu que les recommandations contenues dans ce document resteront valables jusqu

Plus en détail

Traitements de l hépatite B

Traitements de l hépatite B Traitements de l hépatite B S Matheron Service des maladies infectieuses et tropicales A Hôpital Bichat-Claude Bernard Virus de l hépatite B: histoire naturelle Contage Hépatite aigüe 70% asymptomatique

Plus en détail

Le psoriasis est une maladie qui touche environ 2 à 3 % de la population et qui se

Le psoriasis est une maladie qui touche environ 2 à 3 % de la population et qui se Le psoriasis est une maladie fréquente Le psoriasis est une maladie qui touche environ 2 à 3 % de la population et qui se traduit le plus souvent par des plaques rouges sur la peau, légèrement surélevées

Plus en détail

Z I G U I N C H O R SITUATION ECONOMIQUE ET SOCIALE REGIONALE 2013. Service Régional de la Statistique et de la Démographie de Ziguinchor

Z I G U I N C H O R SITUATION ECONOMIQUE ET SOCIALE REGIONALE 2013. Service Régional de la Statistique et de la Démographie de Ziguinchor Z I G U I N C H O R REPUBLIQUE DU SENEGAL Un Peuple Un But Une Foi ------------------ MINISTERE DE L ECONOMIE, DES FINANCES ET DU PLAN ------------------ AGENCE NATIONALE DE LA STATISTIQUE ET DE LA DEMOGRAPHIE

Plus en détail