Tableau de bord de l industrie française
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- Marie-Josèphe Vachon
- il y a 7 ans
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1 Tableau de bord de l industrie française Février 13 Document réalisé par Coe-Rexecode Groupe des Fédérations Industrielles - 55 av. Bosquet Paris Cedex 7 - Tél Fax gfi@gfi.asso.fr Coe-Rexecode - 9 avenue Hoche 758 Paris - Tél Fax
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3 Production et commandes industrielles 16 Production industrielle - (5=1 moyenne mobile sur 3 mois) Source : INSEE 1 94 Tableau de bord 88 de l industrie française 8 (y compris énergie et agroalimentaire) 76 Tendances (1973-1).8% 7 Pages Production et commandes industrielles Echanges extérieurs et consommation de produits industriels Facteurs de production Prix et trésorerie Opinion sur les carnets de commandes - (soldes d'opinion centrés réduits) Source : INSEE 3 Performances comparées (industrie hors agroalimentaire) Tendances comparées de la production Commandes totales Facteurs de la compétitivité - Prix Commandes étrangères Parts de marché de chaque pays dans les exportations mondiales Position des produits français sur les marchés extérieurs GFI - Coe-Rexecode - Tableau de bord de l industrie française - février 13 page 1-3
4 Tendances Production et commandes industrielles 16 1 Production industrielle - (5=1 moyenne mobile sur 3 mois) Source : INSEE (y compris énergie et agroalimentaire) (1973-1).8% Opinion sur les carnets de commandes - (soldes d'opinion centrés réduits) Source : INSEE (industrie hors agroalimentaire) Commandes totales Commandes étrangères page GFI - Coe-Rexecode - Tableau de bord de l industrie française - février 13
5 Tendances Production et commandes industrielles L activité industrielle s est contractée en 1. Le mouvement de recul, débuté à l été 11, s est accentué. Au quatrième trimestre, la production industrielle a baissé de 7, % l an par rapport au trimestre précédent et de 3 % par rapport à la même période en 11. Elle est inférieure de 5 % en décembre 1 au regard de son point haut atteint en février 11 (en moyenne mobile sur trois mois) et n est plus qu à 5 % du point bas enregistré au printemps 9. Sur l ensemble de l année 1, la production industrielle a reculé de, % par rapport à Indice de la production industrielle (1) (5=1) La contraction de la production a concerné toutes les branches. Le recul de la production de l industrie des biens d équipement, entamé depuis le printemps 11 s est poursuivi. En 1, la production de la branche a reculé de,3 % par rapport à 11. La contraction de l industrie des matériels de transport est plus prononcée. Elle est ressortie à près de 4 % en 1 en lien avec la forte baisse de la production de l industrie automobile. Celle-ci a reculé de 1 % en 1 et de,5 % depuis février 11. L activité industrielle resterait dégradée au cours des prochains mois malgré une légère amélioration du climat des affaires. Selon la dernière enquête par l INSEE réalisée en février 13, l indicateur synthétique du climat des affaires est en hausse. Il demeure toutefois nettement inférieur à sa moyenne de longue période. L appréciation des industriels quant à l évolution des stocks de produits finis s améliore et leur niveau est jugé un peu inférieur à la moyenne de long terme. Enfin, les opinions sur les carnets de commandes, globaux et étrangers, ont cessé de se dégrader mais les carnets restent jugés très peu fournis. n (1) y compris énergie et agroalimentaire Opinion sur les carnets de commandes () (soldes d'opinion centrés réduits) Commandes totales Commandes étrangères -3 () industrie hors agroalimentaire GFI - Coe-Rexecode - Tableau de bord de l industrie française - février 13 page 3
6 Tendances Echanges extérieurs et consommation de produits industriels 4 Commerce extérieur - (milliards d'euros - moyenne mobile sur 3 mois) Source : DGDDI Exportations Importations Produits industriels (hors énergie, y compris IAA) Exclusion des DOM TOM du champ des échanges extérieurs à partir de Achats de produits manufacturés par les ménages - (volume - mrd d'euros, prix chaînés de 5) Source : INSEE (1978-1) 1.7% page 4 GFI - Coe-Rexecode - Tableau de bord de l industrie française - février 13
7 Tendances Echanges extérieurs et consommation de produits industriels Les exportations ont été résilientes tout au long de l année 1. Elles demeurent le principal moteur de l activité industrielle. Malgré un «passage à vide» au cours du dernier trimestre, les ventes françaises à l étranger exprimées en euros courants sont restées sur des niveaux élevés. Au total, sur l ensemble de l année 1, elles ont inscrit un nouveau record à 454 milliards d euros, en hausse 5 % par rapport à celui de 11. Les exportations de produits de matériels de transport se sont nettement redressées au cours de la seconde moitié de l année (+8, % en 1). Celles de produits d équipement mécanique, électrique, électronique et informatique ont connu une légère correction à la baisse après avoir atteint un record au deuxième trimestre (+3, % en 1). Les importations ont également atteint un nouveau record à 488 milliards d euros en 1. Par rapport à 11, elles ont progressé de,4 %. La progression des importations étant moins forte que celle des exportations, le solde déficitaire des échanges de produits industriels s est réduit à 34 milliards d euros après le record de 44 milliards d euros atteint en 11. Le taux de couverture des importations de produits industriels par les exportations s est redressé à 93 % en moyenne en 1 contre 91 % en moyenne en Commerce extérieur industriel (*) (milliards d'euros - mm3) Exportations Importations (*) produits industriels (hors énergie, y compris IAA) Achats de produits manufacturés par les ménages (volume - mrd d'euros, prix chaînés de 5) Les dépenses de consommation des ménages en biens manufacturés, exprimées en volume, restent sur une tendance baissière depuis leur point record atteint en début 11. Elles se sont stabilisées depuis l été. Au total, sur l ensemble de 1, elles ont reculé de,8 % par rapport à l année précédente. Ce recul s explique par la baisse des ventes de textilecuir (-3,3 %) mais surtout de celle des ventes de véhicules particuliers (-4,4 %). n GFI - Coe-Rexecode - Tableau de bord de l industrie française - février 13 page 5
8 Tendances Facteurs de production 3. Emploi salarié dans l'industrie - (glissement annuel - %) Source : Ministère de l'emploi (hors intérim) Taux d'utilisation des capacités de production dans l'industrie manufacturière (%) Source : INSEE 85 8 (moy. 76-1) 85.3% Importations de biens d'équipement * (milliards d'euros) Source : DGDDI * équipements mécaniques, matériel électrique, électronique et informatique.6 Exclusion des DOM TOM du champ des échanges extérieurs à partir de page 6 GFI - Coe-Rexecode - Tableau de bord de l industrie française - février 13
9 Tendances Facteurs de production Une contraction de l emploi dans l industrie a débuté à l été 11. Elle se poursuit. Elle s est même amplifiée en lien avec l affaiblissement de l activité. Au quatrième trimestre, l emploi salarié dans l industrie a reculé de 1,6 % l an après un recul de,7 % l an au trimestre précédent. Sur l ensemble de l année, il est en baisse de près de 3 % par rapport à 11, soit 4 postes perdus au total. L emploi intérimaire a marqué son cinquième recul consécutif au troisième trimestre 1, à -3,6 % l an (dernière donnée disponible). Depuis le point haut atteint au deuxième trimestre 11, l industrie a perdu 5 7 postes intérimaires. Selon les industriels interrogés par l INSEE en janvier 13, le recul d effectifs se prolongerait mais sans s amplifier au cours des prochains mois Emploi salarié dans l'industrie (*) (glissement annuel - %) (*) hors intérim Taux d'utilisation des capacités de production dans l'industrie Selon les chefs d entreprises du secteur de l industrie manufacturière interrogés en janvier 13, l investissement dans le secteur a augmenté de % en 1, en hausse d un point par rapport à leur prévision d octobre 1. Cette progression reflète principalement celle de l investissement estimé dans le secteur des matériels de transport (13 %) et en particulier dans le secteur automobile ( %). En revanche, l investissement dans l industrie d équipements électriques, électroniques, informatiques et machines a reculé de 9 % en 1. Les statistiques du commerce extérieur confirment cette estimation. Les importations de biens d équipement en euros courants ont baissé de 1,3 % en 1. Les industriels prévoient une baisse de leurs investissements au premier semestre 13 par rapport au second semestre 1. Le problème de surcapacités de production paraît s accentuer et inciterait à la prudence. En effet, le taux d utilisation des capacités de production dans l industrie poursuit son mouvement de recul entamé au deuxième trimestre 11. Au premier trimestre 13, il a retrouvé son plus bas niveau atteint à l automne 1. n (%) Difficultés de recrutement dans l'industrie manufacturière (% des entreprises) GFI - Coe-Rexecode - Tableau de bord de l industrie française - février 13 page 7
10 Tendances Prix - Trésorerie 6 Perspectives personnelles de prix - (soldes d'opinion - %) Source : INSEE Excédent brut d'exploitation de l'industrie manufacturière (en milliards d'euros courants, au taux annuel) - Source : INSEE page 8 GFI - Coe-Rexecode - Tableau de bord de l industrie française - février 13
11 Tendances Prix, trésorerie, résultats d exploitation Les prix à la production de l industrie sur le marché français ont progressé en 1 pour la troisième année consécutive. Le rythme de hausse s est toutefois nettement modéré. Il a été de, % en 1 après avoir été de 5,9 % en 11. Cette modération de la hausse des prix reflète principalement celle de la hausse des prix des produits de la cokéfaction et du raffinage (1, % en 1 après 7,8 % en 11) et des produits alimentaires (3,1 % en 1 contre 5,9 % en 11). Hors alimentation et énergie, les prix ont progressé à un rythme relativement stable. En 1, les prix à la production des biens d équipement ont augmenté de 1,4 % contre 1,5 % en 11. Ceux des biens de matériels de transport ont progressé au même rythme observé en 11, à 1 % Prix à la production dans l'industrie (industrie manuf., variation sur 1 an) Marché intérieur La modération de la hausse des prix à la production s explique en grande partie par celle de la hausse des prix des matières premières en euros. Au dernier trimestre 1, le cours du baril de Brent en euros a progressé de 6 % sur un an contre 9,4 % au troisième trimestre et plus de 3 % en moyenne en 11. L appréciation actuelle de l euro vis-à-vis du dollar vient tempérer la remontée des prix des matières premières. Malgré un redressement pour la première fois depuis le premier trimestre 11, l excédent brut d exploitation reste faible et les difficultés de trésorerie dans l industrie s accentuent. Selon l enquête de l INSEE du mois de janvier 13, la proportion d entreprises de l industrie manufacturière qui rencontrent des difficultés de trésorerie a vivement augmenté au quatrième trimestre par rapport au trimestre précédent. Cette observation est en cohérence avec la montée très rapide du nombre de demandes de délais pour le recouvrement des cotisations URSSAF relevée par l ACOSS. n Difficultés de trésorerie (% des entreprises industrielles) Source : INSEE GFI - Coe-Rexecode - Tableau de bord de l industrie française - février 13 page 9
12 Performances comparées Production et commandes à l'industrie 1 Indices comparés de production industrielle - (base 1 en 5) Source : instituts nationaux de statistiques France / Union Européenne France / Etats-Unis France / Japon Enquête sur les carnets de commandes globaux (soldes d'opinion centrés réduits) Source : Direction générale des affaires économiques et financières - Comm. européenne - France Zone Euro Royaume-Uni Italie Allemagne -6 page 1 GFI - Coe-Rexecode - Tableau de bord de l industrie française - février 13
13 Performances comparées Tendances comparées de la production La France, un des pays les plus «résilients» face à la crise de la dette souveraine en 11, a connu une contraction de son activité industrielle relativement équivalente à celle de l ensemble de la zone euro en 1. La production industrielle française a reculé de, % sur l ensemble de l exercice passé. Le recul de la production industrielle de la zone euro est ressorti à,3 %. L activité industrielle allemande s en est mieux sortie avec une légère baisse de,7 % malgré une nette contraction enregistrée au dernier trimestre de l année (-11,4 % l an). La contraction de la production industrielle est en revanche plus profonde en Espagne et en Italie (à -5,9 % et -6,5 % respectivement). La production espagnole a atteint, en fin d année, son plus bas niveau observé depuis vingt ans tout comme celle du Royaume Uni. Cette dernière a reculé de,3 % en 1. La contraction de l activité industrielle ne concerne que l Europe. Aux Etats-Unis, la production industrielle a progressé de 4 % en 1 tandis que dans les pays émergents comme en Asie, elle est en hausse de 7 %. La crise de la zone euro paraît connaitre un répit. Le climat européen des affaires s améliore légèrement mais reste encore très dégradé selon la dernière enquête de conjoncture réalisée en janvier 13 par la Commission européenne. Les industriels français ainsi qu italiens et espagnols sont parmi les plus pessimistes en zone euro, notamment quant à leur appréciation de leurs carnets de commandes globaux. De son côté, l indice de confiance des industriels allemands s est redressé depuis novembre mais reste négatif pour le dixième mois consécutif, ce qui n est pas arrivé depuis la crise de 8-9. n Indices comparés de production industrielle (% 8=1) France / UE France / USA Enquête sur les carnets de commandes globaux (soldes d'opinion centrés réduits) France Zone Euro Royaume-Uni Italie Allemagne Source : Instituts nationaux de statistiques GFI - Coe-Rexecode - Tableau de bord de l industrie française - février 13 page 11
14 Performances comparées Facteurs de la compétitivité - Prix Ecart de prix à la consommation - (France=1) Source : Coe-Rexecode Etats-Unis Japon Allemagne Royaume-Uni Taux de change effectif de l'euro - (1997=1) Source : Coe-Rexecode Réel Nominal 6 page 1 GFI - Coe-Rexecode - Tableau de bord de l industrie française - février 13
15 Performances comparées Facteurs de la compétitivité Alors que le «stress» financier liée à la crise de la dette souveraine s est atténué, les initiatives monétaires dans le monde notamment au Japon ont pesé sur l euro. Son mouvement d appréciation, entamé en août 1, s est amplifié. En termes nominal ou réel, le taux de change effectif de l euro a retrouvé son niveau observé à l automne 11. En particulier, vis-à-vis du dollar, l euro s est apprécié de 7,3 % depuis son point bas de juillet 1 et mi février 13, retrouvant ses niveaux atteints en début d année 1. La monnaie unique s est appréciée de 9 % contre la livre sterling sur la même période. Surtout, elle évolue sur des niveaux record vis-à-vis du yen japonais (+7 % depuis juillet 1). L appréciation de l euro pèse sur la compétitivité de la zone, d autant plus que la hausse des coûts salariaux horaires s est à nouveau accélérée. Selon les estimations d Eurostat en décembre 1, le coût horaire total de la main d œuvre dans l industrie de la zone euro a progressé de 3, % sur un an au troisième trimestre après,1 % et,8 % aux premier et deuxième trimestres respectivement. L accélération des coûts horaires est marquée dans l industrie belge (+3,3 %) mais surtout allemande (+4,8 %). En revanche, elle s est modérée en France à, % sur un an contre,9 % et,3 % lors des deux premiers trimestres de l année. Aux Etats-Unis, la hausse des coûts salariaux est ressortie à 4,7 % sur un an au dernier trimestre de l année 1 après,8 % au troisième trimestre Coût salarial horaire en euros Industrie manufacturière Zone euro * Belgique Allemagne France Pays-Bas Italie Royaume-Uni Espagne (**) Zone euro à 11 en, à 13 en 4 et à 17 depuis 8 Source : Eurostat Taux de change effectif de l'euro (1997=1) L Allemagne remplace la France à la deuxième position dans le trio de tête au niveau du coût horaire de la main d œuvre de l industrie. Le coût horaire français ressort désormais à 36,6 euros au troisième trimestre contre 36,9 euros en Allemagne. La moyenne de la zone euro est de 3,6 euros. n Réel Nominal GFI - Coe-Rexecode - Tableau de bord de l industrie française - février 13 page 13
16 Performances comparées Part de marché en valeur dans les exportations mondiales* (%) 16 Etats-Unis 15 Allemagne Japon Zone Euro France Royaume-Uni Italie Autres pays de la zone euro Pays-Bas Belgique Espagne * 41 principaux pays exportateurs Source : douanes nationales (calcul Coe-Rexecode) page 14 GFI - Coe-Rexecode - Tableau de bord de l industrie française - février 13
17 Performances comparées Parts de marché de chaque pays dans les exportations mondiales La perte de compétitivité en lien avec l appréciation de l euro a pesé sur les exportations de la zone. Après un redressement durant l été, la part de marché des pays de la zone euro dans les exportations mondiales s est de nouveau orientée à la baisse. Au total, depuis son point haut atteint en 7, cette part ne cesse de reculer. En moyenne sur l année 1, les exportations totales des 17 pays de la zone représentent 31 % des exportations totales des 41 principaux pays exportateurs dans le monde. Le poids était ressorti à 3,5 % en 11 et 36,7 % en 7. La part des exportations de la France s est légèrement réduite à 4 % en moyenne en 1 (contre 4,1 % en 11). Le recul de la part de marché de l Allemagne est de même ampleur (9,8 % contre 1, % en 11) de sorte que le rapport des exportations françaises aux exportations allemandes est resté stable en 1 à 4,4 % comme en 11. La baisse des parts de marché détenues par les pays de la zone euro a pour contrepartie la remontée de la part des exportations américaines et asiatiques. La part des exportations américaines dans les exportations mondiales a augmenté à 1,7 % en 1 contre 1,3 % en 11. Celle des exportations des dix principaux pays de l Asie émergente a progressé de plus d un point à près de 33 % en Part des exportations de chaque pays dans les exportations de la zone euro (en % des exportations de la zone euro) Allemagne France Italie Le recul de la part des exportations françaises dans les exportations totales de la zone euro, entamé depuis octobre 11, s est interrompu en mars 1. Cette part s est légèrement redressée au cours des quatre derniers mois de l année. Au total, sur l ensemble de l année, elle est restée stable à un niveau bas de 1,7 % comme en 11. La même observation peut être faite pour les exportations allemandes, italiennes et espagnoles. Leur part dans les exportations totales de la zone est ressortie respectivement à 31,6 %, 11, % et 6,4 % en moyenne en 1, un niveau relativement équivalent à ceux observés l année précédente. n Espagne Belgique Pays-Bas Source : douanes nationales GFI - Coe-Rexecode - Tableau de bord de l industrie française - février 13 page 15
18 Performances comparées Part des produits français dans les importations totales... 1 de l'union Européenne à 15 (6,4% *) Union européenne à 15 (6,4% *) Allemagne, Italie, Pays-Bas, Belgique, Royaume-Uni, Espagne (53,8% *) 6 3 des Etats-Unis (6,8% *) 1 du Japon (1,5% *) 1 4 de sept pays d'amérique latine (1,6% *) 3 Brésil, Colombie, Pérou, Venezuela, Chili, Argentine, Mexique 1 6 des pays d'europe centrale et orientale + Russie (6,3% *) de 1 pays d'asie émergente*** (6,3% *) Chine, Inde, Indonésie, Philippines, Corée du Sud, Hong-Kong, Taïwan, Singapour, Thaïlande, Malaisie.7 * Poids de chaque zone dans les exportations françaises Source : douanes nationales (calcul Coe-Rexecode) Entre parenthèses : poids de chaque zone dans les exportations françaises en 6 page 16 GFI - Coe-Rexecode - Tableau de bord de l industrie française - février 13
19 Performances comparées Position des produits français sur les marchés extérieurs Le taux de pénétration des produits français sur les principaux marchés développés est resté relativement stable en 1 par rapport à 11. Le poids des exportations des produits français dans les importations des six grands marchés de l Union européenne est faible en comparaison de ceux enregistrés au début des années. En 1, il est ressorti à 6, % en 1 comme en 11. La part des exportations de la France dans les importations américaines et japonaises est restée inchangée depuis 1 à 1,5 % et 1,1 % respectivement. Sur les marchés émergents, la tendance est également à la stabilisation. Le taux de pénétration des exportations françaises dans les importations des pays d Europe centrale et orientale est estimé à 4,1 % en 1 contre 4 % en 11. La part des importations en provenance de France dans les importations totales des dix principaux pays d Asie émergente est passée de 1,1 % en 11 à 1, % en 1. Celle des importations en provenance de France dans les importations totales des pays d Amérique latine s est réduite de 1,6 % en 11 à 1,5 % en 1. L appréciation de l euro contre la plupart des devises émergentes en moyenne pourrait freiner une franche progression des gains de parts de marché des produits français dans les zones émergentes où la croissance de l activité demeure robuste. n Part des exportations françaises dans les importations... de l'union Européenne à 15 des Etats-Unis du Japon (6,4% *) (6,8% *) (1,5%) de sept pays d'amérique Latine ** (1,6% *) des pays de l'est (PECO + Russie) (6,3% *) des pays d'asie en développement rapide **.8 (6,3% *) * Poids de chaque zone dans les exportations françaises ** Brésil, Colombie, Pérou, Venezuela, Chili, Argentine, Mexique Chine, Inde, Indonésie, Philippines, Corée du Sud, Hong-Kong, Taïwan, Singapour, Thaïlande, Malaisie GFI - Coe-Rexecode - Tableau de bord de l industrie française - février 13 page 17
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