Tableau de bord de l industrie française

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Tableau de bord de l industrie française"

Transcription

1 Tableau de bord de l industrie française Février 13 Document réalisé par Coe-Rexecode Groupe des Fédérations Industrielles - 55 av. Bosquet Paris Cedex 7 - Tél Fax gfi@gfi.asso.fr Coe-Rexecode - 9 avenue Hoche 758 Paris - Tél Fax

2

3 Production et commandes industrielles 16 Production industrielle - (5=1 moyenne mobile sur 3 mois) Source : INSEE 1 94 Tableau de bord 88 de l industrie française 8 (y compris énergie et agroalimentaire) 76 Tendances (1973-1).8% 7 Pages Production et commandes industrielles Echanges extérieurs et consommation de produits industriels Facteurs de production Prix et trésorerie Opinion sur les carnets de commandes - (soldes d'opinion centrés réduits) Source : INSEE 3 Performances comparées (industrie hors agroalimentaire) Tendances comparées de la production Commandes totales Facteurs de la compétitivité - Prix Commandes étrangères Parts de marché de chaque pays dans les exportations mondiales Position des produits français sur les marchés extérieurs GFI - Coe-Rexecode - Tableau de bord de l industrie française - février 13 page 1-3

4 Tendances Production et commandes industrielles 16 1 Production industrielle - (5=1 moyenne mobile sur 3 mois) Source : INSEE (y compris énergie et agroalimentaire) (1973-1).8% Opinion sur les carnets de commandes - (soldes d'opinion centrés réduits) Source : INSEE (industrie hors agroalimentaire) Commandes totales Commandes étrangères page GFI - Coe-Rexecode - Tableau de bord de l industrie française - février 13

5 Tendances Production et commandes industrielles L activité industrielle s est contractée en 1. Le mouvement de recul, débuté à l été 11, s est accentué. Au quatrième trimestre, la production industrielle a baissé de 7, % l an par rapport au trimestre précédent et de 3 % par rapport à la même période en 11. Elle est inférieure de 5 % en décembre 1 au regard de son point haut atteint en février 11 (en moyenne mobile sur trois mois) et n est plus qu à 5 % du point bas enregistré au printemps 9. Sur l ensemble de l année 1, la production industrielle a reculé de, % par rapport à Indice de la production industrielle (1) (5=1) La contraction de la production a concerné toutes les branches. Le recul de la production de l industrie des biens d équipement, entamé depuis le printemps 11 s est poursuivi. En 1, la production de la branche a reculé de,3 % par rapport à 11. La contraction de l industrie des matériels de transport est plus prononcée. Elle est ressortie à près de 4 % en 1 en lien avec la forte baisse de la production de l industrie automobile. Celle-ci a reculé de 1 % en 1 et de,5 % depuis février 11. L activité industrielle resterait dégradée au cours des prochains mois malgré une légère amélioration du climat des affaires. Selon la dernière enquête par l INSEE réalisée en février 13, l indicateur synthétique du climat des affaires est en hausse. Il demeure toutefois nettement inférieur à sa moyenne de longue période. L appréciation des industriels quant à l évolution des stocks de produits finis s améliore et leur niveau est jugé un peu inférieur à la moyenne de long terme. Enfin, les opinions sur les carnets de commandes, globaux et étrangers, ont cessé de se dégrader mais les carnets restent jugés très peu fournis. n (1) y compris énergie et agroalimentaire Opinion sur les carnets de commandes () (soldes d'opinion centrés réduits) Commandes totales Commandes étrangères -3 () industrie hors agroalimentaire GFI - Coe-Rexecode - Tableau de bord de l industrie française - février 13 page 3

6 Tendances Echanges extérieurs et consommation de produits industriels 4 Commerce extérieur - (milliards d'euros - moyenne mobile sur 3 mois) Source : DGDDI Exportations Importations Produits industriels (hors énergie, y compris IAA) Exclusion des DOM TOM du champ des échanges extérieurs à partir de Achats de produits manufacturés par les ménages - (volume - mrd d'euros, prix chaînés de 5) Source : INSEE (1978-1) 1.7% page 4 GFI - Coe-Rexecode - Tableau de bord de l industrie française - février 13

7 Tendances Echanges extérieurs et consommation de produits industriels Les exportations ont été résilientes tout au long de l année 1. Elles demeurent le principal moteur de l activité industrielle. Malgré un «passage à vide» au cours du dernier trimestre, les ventes françaises à l étranger exprimées en euros courants sont restées sur des niveaux élevés. Au total, sur l ensemble de l année 1, elles ont inscrit un nouveau record à 454 milliards d euros, en hausse 5 % par rapport à celui de 11. Les exportations de produits de matériels de transport se sont nettement redressées au cours de la seconde moitié de l année (+8, % en 1). Celles de produits d équipement mécanique, électrique, électronique et informatique ont connu une légère correction à la baisse après avoir atteint un record au deuxième trimestre (+3, % en 1). Les importations ont également atteint un nouveau record à 488 milliards d euros en 1. Par rapport à 11, elles ont progressé de,4 %. La progression des importations étant moins forte que celle des exportations, le solde déficitaire des échanges de produits industriels s est réduit à 34 milliards d euros après le record de 44 milliards d euros atteint en 11. Le taux de couverture des importations de produits industriels par les exportations s est redressé à 93 % en moyenne en 1 contre 91 % en moyenne en Commerce extérieur industriel (*) (milliards d'euros - mm3) Exportations Importations (*) produits industriels (hors énergie, y compris IAA) Achats de produits manufacturés par les ménages (volume - mrd d'euros, prix chaînés de 5) Les dépenses de consommation des ménages en biens manufacturés, exprimées en volume, restent sur une tendance baissière depuis leur point record atteint en début 11. Elles se sont stabilisées depuis l été. Au total, sur l ensemble de 1, elles ont reculé de,8 % par rapport à l année précédente. Ce recul s explique par la baisse des ventes de textilecuir (-3,3 %) mais surtout de celle des ventes de véhicules particuliers (-4,4 %). n GFI - Coe-Rexecode - Tableau de bord de l industrie française - février 13 page 5

8 Tendances Facteurs de production 3. Emploi salarié dans l'industrie - (glissement annuel - %) Source : Ministère de l'emploi (hors intérim) Taux d'utilisation des capacités de production dans l'industrie manufacturière (%) Source : INSEE 85 8 (moy. 76-1) 85.3% Importations de biens d'équipement * (milliards d'euros) Source : DGDDI * équipements mécaniques, matériel électrique, électronique et informatique.6 Exclusion des DOM TOM du champ des échanges extérieurs à partir de page 6 GFI - Coe-Rexecode - Tableau de bord de l industrie française - février 13

9 Tendances Facteurs de production Une contraction de l emploi dans l industrie a débuté à l été 11. Elle se poursuit. Elle s est même amplifiée en lien avec l affaiblissement de l activité. Au quatrième trimestre, l emploi salarié dans l industrie a reculé de 1,6 % l an après un recul de,7 % l an au trimestre précédent. Sur l ensemble de l année, il est en baisse de près de 3 % par rapport à 11, soit 4 postes perdus au total. L emploi intérimaire a marqué son cinquième recul consécutif au troisième trimestre 1, à -3,6 % l an (dernière donnée disponible). Depuis le point haut atteint au deuxième trimestre 11, l industrie a perdu 5 7 postes intérimaires. Selon les industriels interrogés par l INSEE en janvier 13, le recul d effectifs se prolongerait mais sans s amplifier au cours des prochains mois Emploi salarié dans l'industrie (*) (glissement annuel - %) (*) hors intérim Taux d'utilisation des capacités de production dans l'industrie Selon les chefs d entreprises du secteur de l industrie manufacturière interrogés en janvier 13, l investissement dans le secteur a augmenté de % en 1, en hausse d un point par rapport à leur prévision d octobre 1. Cette progression reflète principalement celle de l investissement estimé dans le secteur des matériels de transport (13 %) et en particulier dans le secteur automobile ( %). En revanche, l investissement dans l industrie d équipements électriques, électroniques, informatiques et machines a reculé de 9 % en 1. Les statistiques du commerce extérieur confirment cette estimation. Les importations de biens d équipement en euros courants ont baissé de 1,3 % en 1. Les industriels prévoient une baisse de leurs investissements au premier semestre 13 par rapport au second semestre 1. Le problème de surcapacités de production paraît s accentuer et inciterait à la prudence. En effet, le taux d utilisation des capacités de production dans l industrie poursuit son mouvement de recul entamé au deuxième trimestre 11. Au premier trimestre 13, il a retrouvé son plus bas niveau atteint à l automne 1. n (%) Difficultés de recrutement dans l'industrie manufacturière (% des entreprises) GFI - Coe-Rexecode - Tableau de bord de l industrie française - février 13 page 7

10 Tendances Prix - Trésorerie 6 Perspectives personnelles de prix - (soldes d'opinion - %) Source : INSEE Excédent brut d'exploitation de l'industrie manufacturière (en milliards d'euros courants, au taux annuel) - Source : INSEE page 8 GFI - Coe-Rexecode - Tableau de bord de l industrie française - février 13

11 Tendances Prix, trésorerie, résultats d exploitation Les prix à la production de l industrie sur le marché français ont progressé en 1 pour la troisième année consécutive. Le rythme de hausse s est toutefois nettement modéré. Il a été de, % en 1 après avoir été de 5,9 % en 11. Cette modération de la hausse des prix reflète principalement celle de la hausse des prix des produits de la cokéfaction et du raffinage (1, % en 1 après 7,8 % en 11) et des produits alimentaires (3,1 % en 1 contre 5,9 % en 11). Hors alimentation et énergie, les prix ont progressé à un rythme relativement stable. En 1, les prix à la production des biens d équipement ont augmenté de 1,4 % contre 1,5 % en 11. Ceux des biens de matériels de transport ont progressé au même rythme observé en 11, à 1 % Prix à la production dans l'industrie (industrie manuf., variation sur 1 an) Marché intérieur La modération de la hausse des prix à la production s explique en grande partie par celle de la hausse des prix des matières premières en euros. Au dernier trimestre 1, le cours du baril de Brent en euros a progressé de 6 % sur un an contre 9,4 % au troisième trimestre et plus de 3 % en moyenne en 11. L appréciation actuelle de l euro vis-à-vis du dollar vient tempérer la remontée des prix des matières premières. Malgré un redressement pour la première fois depuis le premier trimestre 11, l excédent brut d exploitation reste faible et les difficultés de trésorerie dans l industrie s accentuent. Selon l enquête de l INSEE du mois de janvier 13, la proportion d entreprises de l industrie manufacturière qui rencontrent des difficultés de trésorerie a vivement augmenté au quatrième trimestre par rapport au trimestre précédent. Cette observation est en cohérence avec la montée très rapide du nombre de demandes de délais pour le recouvrement des cotisations URSSAF relevée par l ACOSS. n Difficultés de trésorerie (% des entreprises industrielles) Source : INSEE GFI - Coe-Rexecode - Tableau de bord de l industrie française - février 13 page 9

12 Performances comparées Production et commandes à l'industrie 1 Indices comparés de production industrielle - (base 1 en 5) Source : instituts nationaux de statistiques France / Union Européenne France / Etats-Unis France / Japon Enquête sur les carnets de commandes globaux (soldes d'opinion centrés réduits) Source : Direction générale des affaires économiques et financières - Comm. européenne - France Zone Euro Royaume-Uni Italie Allemagne -6 page 1 GFI - Coe-Rexecode - Tableau de bord de l industrie française - février 13

13 Performances comparées Tendances comparées de la production La France, un des pays les plus «résilients» face à la crise de la dette souveraine en 11, a connu une contraction de son activité industrielle relativement équivalente à celle de l ensemble de la zone euro en 1. La production industrielle française a reculé de, % sur l ensemble de l exercice passé. Le recul de la production industrielle de la zone euro est ressorti à,3 %. L activité industrielle allemande s en est mieux sortie avec une légère baisse de,7 % malgré une nette contraction enregistrée au dernier trimestre de l année (-11,4 % l an). La contraction de la production industrielle est en revanche plus profonde en Espagne et en Italie (à -5,9 % et -6,5 % respectivement). La production espagnole a atteint, en fin d année, son plus bas niveau observé depuis vingt ans tout comme celle du Royaume Uni. Cette dernière a reculé de,3 % en 1. La contraction de l activité industrielle ne concerne que l Europe. Aux Etats-Unis, la production industrielle a progressé de 4 % en 1 tandis que dans les pays émergents comme en Asie, elle est en hausse de 7 %. La crise de la zone euro paraît connaitre un répit. Le climat européen des affaires s améliore légèrement mais reste encore très dégradé selon la dernière enquête de conjoncture réalisée en janvier 13 par la Commission européenne. Les industriels français ainsi qu italiens et espagnols sont parmi les plus pessimistes en zone euro, notamment quant à leur appréciation de leurs carnets de commandes globaux. De son côté, l indice de confiance des industriels allemands s est redressé depuis novembre mais reste négatif pour le dixième mois consécutif, ce qui n est pas arrivé depuis la crise de 8-9. n Indices comparés de production industrielle (% 8=1) France / UE France / USA Enquête sur les carnets de commandes globaux (soldes d'opinion centrés réduits) France Zone Euro Royaume-Uni Italie Allemagne Source : Instituts nationaux de statistiques GFI - Coe-Rexecode - Tableau de bord de l industrie française - février 13 page 11

14 Performances comparées Facteurs de la compétitivité - Prix Ecart de prix à la consommation - (France=1) Source : Coe-Rexecode Etats-Unis Japon Allemagne Royaume-Uni Taux de change effectif de l'euro - (1997=1) Source : Coe-Rexecode Réel Nominal 6 page 1 GFI - Coe-Rexecode - Tableau de bord de l industrie française - février 13

15 Performances comparées Facteurs de la compétitivité Alors que le «stress» financier liée à la crise de la dette souveraine s est atténué, les initiatives monétaires dans le monde notamment au Japon ont pesé sur l euro. Son mouvement d appréciation, entamé en août 1, s est amplifié. En termes nominal ou réel, le taux de change effectif de l euro a retrouvé son niveau observé à l automne 11. En particulier, vis-à-vis du dollar, l euro s est apprécié de 7,3 % depuis son point bas de juillet 1 et mi février 13, retrouvant ses niveaux atteints en début d année 1. La monnaie unique s est appréciée de 9 % contre la livre sterling sur la même période. Surtout, elle évolue sur des niveaux record vis-à-vis du yen japonais (+7 % depuis juillet 1). L appréciation de l euro pèse sur la compétitivité de la zone, d autant plus que la hausse des coûts salariaux horaires s est à nouveau accélérée. Selon les estimations d Eurostat en décembre 1, le coût horaire total de la main d œuvre dans l industrie de la zone euro a progressé de 3, % sur un an au troisième trimestre après,1 % et,8 % aux premier et deuxième trimestres respectivement. L accélération des coûts horaires est marquée dans l industrie belge (+3,3 %) mais surtout allemande (+4,8 %). En revanche, elle s est modérée en France à, % sur un an contre,9 % et,3 % lors des deux premiers trimestres de l année. Aux Etats-Unis, la hausse des coûts salariaux est ressortie à 4,7 % sur un an au dernier trimestre de l année 1 après,8 % au troisième trimestre Coût salarial horaire en euros Industrie manufacturière Zone euro * Belgique Allemagne France Pays-Bas Italie Royaume-Uni Espagne (**) Zone euro à 11 en, à 13 en 4 et à 17 depuis 8 Source : Eurostat Taux de change effectif de l'euro (1997=1) L Allemagne remplace la France à la deuxième position dans le trio de tête au niveau du coût horaire de la main d œuvre de l industrie. Le coût horaire français ressort désormais à 36,6 euros au troisième trimestre contre 36,9 euros en Allemagne. La moyenne de la zone euro est de 3,6 euros. n Réel Nominal GFI - Coe-Rexecode - Tableau de bord de l industrie française - février 13 page 13

16 Performances comparées Part de marché en valeur dans les exportations mondiales* (%) 16 Etats-Unis 15 Allemagne Japon Zone Euro France Royaume-Uni Italie Autres pays de la zone euro Pays-Bas Belgique Espagne * 41 principaux pays exportateurs Source : douanes nationales (calcul Coe-Rexecode) page 14 GFI - Coe-Rexecode - Tableau de bord de l industrie française - février 13

17 Performances comparées Parts de marché de chaque pays dans les exportations mondiales La perte de compétitivité en lien avec l appréciation de l euro a pesé sur les exportations de la zone. Après un redressement durant l été, la part de marché des pays de la zone euro dans les exportations mondiales s est de nouveau orientée à la baisse. Au total, depuis son point haut atteint en 7, cette part ne cesse de reculer. En moyenne sur l année 1, les exportations totales des 17 pays de la zone représentent 31 % des exportations totales des 41 principaux pays exportateurs dans le monde. Le poids était ressorti à 3,5 % en 11 et 36,7 % en 7. La part des exportations de la France s est légèrement réduite à 4 % en moyenne en 1 (contre 4,1 % en 11). Le recul de la part de marché de l Allemagne est de même ampleur (9,8 % contre 1, % en 11) de sorte que le rapport des exportations françaises aux exportations allemandes est resté stable en 1 à 4,4 % comme en 11. La baisse des parts de marché détenues par les pays de la zone euro a pour contrepartie la remontée de la part des exportations américaines et asiatiques. La part des exportations américaines dans les exportations mondiales a augmenté à 1,7 % en 1 contre 1,3 % en 11. Celle des exportations des dix principaux pays de l Asie émergente a progressé de plus d un point à près de 33 % en Part des exportations de chaque pays dans les exportations de la zone euro (en % des exportations de la zone euro) Allemagne France Italie Le recul de la part des exportations françaises dans les exportations totales de la zone euro, entamé depuis octobre 11, s est interrompu en mars 1. Cette part s est légèrement redressée au cours des quatre derniers mois de l année. Au total, sur l ensemble de l année, elle est restée stable à un niveau bas de 1,7 % comme en 11. La même observation peut être faite pour les exportations allemandes, italiennes et espagnoles. Leur part dans les exportations totales de la zone est ressortie respectivement à 31,6 %, 11, % et 6,4 % en moyenne en 1, un niveau relativement équivalent à ceux observés l année précédente. n Espagne Belgique Pays-Bas Source : douanes nationales GFI - Coe-Rexecode - Tableau de bord de l industrie française - février 13 page 15

18 Performances comparées Part des produits français dans les importations totales... 1 de l'union Européenne à 15 (6,4% *) Union européenne à 15 (6,4% *) Allemagne, Italie, Pays-Bas, Belgique, Royaume-Uni, Espagne (53,8% *) 6 3 des Etats-Unis (6,8% *) 1 du Japon (1,5% *) 1 4 de sept pays d'amérique latine (1,6% *) 3 Brésil, Colombie, Pérou, Venezuela, Chili, Argentine, Mexique 1 6 des pays d'europe centrale et orientale + Russie (6,3% *) de 1 pays d'asie émergente*** (6,3% *) Chine, Inde, Indonésie, Philippines, Corée du Sud, Hong-Kong, Taïwan, Singapour, Thaïlande, Malaisie.7 * Poids de chaque zone dans les exportations françaises Source : douanes nationales (calcul Coe-Rexecode) Entre parenthèses : poids de chaque zone dans les exportations françaises en 6 page 16 GFI - Coe-Rexecode - Tableau de bord de l industrie française - février 13

19 Performances comparées Position des produits français sur les marchés extérieurs Le taux de pénétration des produits français sur les principaux marchés développés est resté relativement stable en 1 par rapport à 11. Le poids des exportations des produits français dans les importations des six grands marchés de l Union européenne est faible en comparaison de ceux enregistrés au début des années. En 1, il est ressorti à 6, % en 1 comme en 11. La part des exportations de la France dans les importations américaines et japonaises est restée inchangée depuis 1 à 1,5 % et 1,1 % respectivement. Sur les marchés émergents, la tendance est également à la stabilisation. Le taux de pénétration des exportations françaises dans les importations des pays d Europe centrale et orientale est estimé à 4,1 % en 1 contre 4 % en 11. La part des importations en provenance de France dans les importations totales des dix principaux pays d Asie émergente est passée de 1,1 % en 11 à 1, % en 1. Celle des importations en provenance de France dans les importations totales des pays d Amérique latine s est réduite de 1,6 % en 11 à 1,5 % en 1. L appréciation de l euro contre la plupart des devises émergentes en moyenne pourrait freiner une franche progression des gains de parts de marché des produits français dans les zones émergentes où la croissance de l activité demeure robuste. n Part des exportations françaises dans les importations... de l'union Européenne à 15 des Etats-Unis du Japon (6,4% *) (6,8% *) (1,5%) de sept pays d'amérique Latine ** (1,6% *) des pays de l'est (PECO + Russie) (6,3% *) des pays d'asie en développement rapide **.8 (6,3% *) * Poids de chaque zone dans les exportations françaises ** Brésil, Colombie, Pérou, Venezuela, Chili, Argentine, Mexique Chine, Inde, Indonésie, Philippines, Corée du Sud, Hong-Kong, Taïwan, Singapour, Thaïlande, Malaisie GFI - Coe-Rexecode - Tableau de bord de l industrie française - février 13 page 17

Eco-Fiche BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1

Eco-Fiche BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1 Eco-Fiche Janvier 2013 BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1 Retour sur l année 2012 : l atonie En 2012, le Produit Intérieur Brut (PIB) s est élevé à 1 802,1 milliards d euros, soit

Plus en détail

LE COMMERCE EXTÉRIEUR CHINOIS DEPUIS LA CRISE: QUEL RÉÉQUILIBRAGE?

LE COMMERCE EXTÉRIEUR CHINOIS DEPUIS LA CRISE: QUEL RÉÉQUILIBRAGE? LE COMMERCE EXTÉRIEUR CHINOIS DEPUIS LA CRISE: QUEL RÉÉQUILIBRAGE? Françoise Lemoine & Deniz Ünal CEPII Quel impact de l expansion chinoise sur l économie mondiale? Rencontres économiques, 18 septembre

Plus en détail

à la Consommation dans le monde à fin 2012

à la Consommation dans le monde à fin 2012 Le Crédit à la Consommation dans le monde à fin 2012 Introduction Pour la 5 ème année consécutive, le Panorama du Crédit Conso de Crédit Agricole Consumer Finance publie son étude annuelle sur l état du

Plus en détail

Croissance plus lente dans les pays émergents, accélération progressive dans les pays avancés

Croissance plus lente dans les pays émergents, accélération progressive dans les pays avancés POUR DIFFUSION : À Washington : 9h00, le 9 juillet 2015 STRICTEMENT CONFIDENTIEL JUSQU À DIFFUSION Croissance plus lente dans les pays émergents, accélération progressive dans les pays avancés La croissance

Plus en détail

Les perspectives économiques

Les perspectives économiques Les perspectives économiques Les petits-déjeuners du maire Chambre de commerce d Ottawa / Ottawa Business Journal Ottawa (Ontario) Le 27 avril 2012 Mark Carney Mark Carney Gouverneur Ordre du jour Trois

Plus en détail

L Épargne des chinois

L Épargne des chinois L Épargne des chinois (Patrick ARTUS Johanna MELKA) Colloque Cirem-Cepii-Groupama AM 29 septembre 25 Indicateurs de «qualité de vie» en Chine 199 1995 2 22 23 Nombre d'écoles par 1 habitants 9,1 7,82 6,48

Plus en détail

LES BRIC: AU DELÀ DES TURBULENCES. Françoise Lemoine, Deniz Ünal Conférence-débat CEPII, L économie mondiale 2014, Paris, 11 septembre 2013

LES BRIC: AU DELÀ DES TURBULENCES. Françoise Lemoine, Deniz Ünal Conférence-débat CEPII, L économie mondiale 2014, Paris, 11 septembre 2013 LES BRIC: AU DELÀ DES TURBULENCES 1. Facteurs structurels du ralentissement de la croissance dans les BRIC 2. Interdépendances commerciales entre les BRIC et le reste du monde Françoise Lemoine, Deniz

Plus en détail

Baromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique

Baromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique BANQUE NATIONALE DE BELGIQUE ENQUETES SUR LA CONJONCTURE Baromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique Janvier 212 1 1 - -1-1 -2-2 -3-3 22 23 24 2 26 27 28 29 21 211 212 Série dessaisonalisée

Plus en détail

BASE DE DONNEES - MONDE

BASE DE DONNEES - MONDE BASE DE DONNEES - MONDE SOMMAIRE Partie I Monnaies Partie II Epargne/Finances Partie III Démographie Partie IV Finances publiques Partie V Matières premières Partie I - Monnaies Cours de change euro/dollar

Plus en détail

Baromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique

Baromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique BANQUE NATIONALE DE BELGIQUE ENQUETES SUR LA CONJONCTURE Baromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique Janvier 211 15 1 5-5 -1-15 -2 - -3-35 21 22 23 24 26 27 28 29 21 211 Série dessaisonalisée

Plus en détail

Les difficultés économiques actuelles devraient demeurer contenues à moins que les tensions financières s amplifient

Les difficultés économiques actuelles devraient demeurer contenues à moins que les tensions financières s amplifient PRÉSENTATION ÉCONOMIQUE ET FINANCIÈRE Association des économistes québécois de l Outaouais 5 à 7 sur la conjoncture économique 3 avril Les difficultés économiques actuelles devraient demeurer contenues

Plus en détail

Le nouvel indice de taux de change effectif du dollar canadien

Le nouvel indice de taux de change effectif du dollar canadien Le nouvel indice de taux de change effectif du dollar canadien Janone Ong, département des Marchés financiers La Banque du Canada a créé un nouvel indice de taux de change effectif du dollar canadien,

Plus en détail

Les perspectives mondiales, les déséquilibres internationaux et le Canada : un point de vue du FMI

Les perspectives mondiales, les déséquilibres internationaux et le Canada : un point de vue du FMI Présentation à l Association des économistes québécois Le 19 mai 25 Les perspectives mondiales, les déséquilibres internationaux et le Canada : un point de vue du FMI Kevin G. Lynch Administrateur Fonds

Plus en détail

Très légère hausse de la confiance des chefs d entreprise en février

Très légère hausse de la confiance des chefs d entreprise en février 25-2-24 29-5-26 Liens: NBB.Stat Information générale Enquête mensuelle de conjoncture auprès des entreprises - février 25 Très légère hausse de la confiance des chefs d entreprise en février Le baromètre

Plus en détail

À Pékin (heure de Pékin) : 11h00, 20 janvier 2015 À Washington (heure de Washington) : 22h00, 19 janvier 2015 JUSQU À PUBLICATION. Courants contraires

À Pékin (heure de Pékin) : 11h00, 20 janvier 2015 À Washington (heure de Washington) : 22h00, 19 janvier 2015 JUSQU À PUBLICATION. Courants contraires POUR DIFFUSION : À Pékin (heure de Pékin) : 11h00, 20 janvier 2015 À Washington (heure de Washington) : 22h00, 19 janvier 2015 STRICTEMENT CONFIDENTIEL JUSQU À PUBLICATION Courants contraires La baisse

Plus en détail

Croissance à crédit. Vladimir Borgy *

Croissance à crédit. Vladimir Borgy * Croissance à crédit Vladimir Borgy * p. 5-15 L économie mondiale a connu en 2004 une conjoncture exceptionnelle, la croissance annuelle au rythme de 5 % est la plus forte enregistrée depuis 1976 et résulte

Plus en détail

SITUATION FINANCIÈRE DE L ASSURANCE CHÔMAGE

SITUATION FINANCIÈRE DE L ASSURANCE CHÔMAGE SITUATION FINANCIÈRE DE L ASSURANCE CHÔMAGE pour l année 2014 Janvier 2014 1/12 Situation financière de l Assurance chômage pour l année 2014 14 janvier 2014 Cette note présente la prévision de la situation

Plus en détail

Pourquoi la croissance du commerce international s est-elle essoufflée? Beaucoup d espoir repose sur la libéralisation des échanges commerciaux

Pourquoi la croissance du commerce international s est-elle essoufflée? Beaucoup d espoir repose sur la libéralisation des échanges commerciaux 7 avril Pourquoi la croissance du commerce international s est-elle essoufflée? Beaucoup d espoir repose sur la libéralisation des échanges commerciaux La crise de 9 a eu des conséquences néfastes pour

Plus en détail

Investissements et R & D

Investissements et R & D Investissements et R & D Faits marquants en 2008-2009 - L investissement de l industrie manufacturière marque le pas en 2008 et se contracte fortement en 2009 - Très fort recul de l utilisation des capacités

Plus en détail

Perspectives économiques 2013-2014

Perspectives économiques 2013-2014 Carlos Leitao Économiste en chef Courriel : LeitaoC@vmbl.ca Twitter : @vmbleconomie Perspectives économiques 2013-2014 L amélioration de l économie atténuée par l incertitude politique Prix du pétrole:

Plus en détail

Les Journées Régionales de la Création & Reprise d Entreprise 8 ème ÉDITION

Les Journées Régionales de la Création & Reprise d Entreprise 8 ème ÉDITION Les Journées Régionales de la Création & Reprise d Entreprise 8 ème ÉDITION S.M.A.R.T. Production 2004-2005 - Tous droits de reproduction réservés. Par les mêmes organisateurs : 40 ateliers gratuits sur

Plus en détail

COMMUNIQUÉ DE PRESSE

COMMUNIQUÉ DE PRESSE COMMUNIQUÉ DE PRESSE Chiffre d affaires du 3 ème trimestre et des 9 premiers mois 2013 16 octobre 2013 Croissance organique des 9 premiers mois : +5,5% Tendances solides dans l ensemble du Groupe Impact

Plus en détail

L année touristique 2014 démarre de façon positive pour Paris avec un taux d occupation des hôtels de 72,5 % en progression de 0,6 point en janvier.

L année touristique 2014 démarre de façon positive pour Paris avec un taux d occupation des hôtels de 72,5 % en progression de 0,6 point en janvier. L année touristique 2014 démarre de façon positive pour Paris avec un taux d occupation des hôtels de 72,5 % en progression de 0,6 point en janvier. Sommaire Synthèse 1 Arrivées hôtelières par pays 2 Nuitées

Plus en détail

RAPPORT ANNUEL DE LA BANQUE DE FRANCE

RAPPORT ANNUEL DE LA BANQUE DE FRANCE 2014 RAPPORT ANNUEL DE LA BANQUE DE FRANCE Rapport adressé à Monsieur le Président de la République et au Parlement par Christian Noyer, gouverneur Sommaire La Banque de France a fait appel à des métiers

Plus en détail

Chiffre d affaires du premier trimestre 2015

Chiffre d affaires du premier trimestre 2015 Chiffre d affaires du premier trimestre 2015 Chiffre d affaires : 286,6 millions d euros, croissance organique de +4,0% Flux de trésorerie disponible : 31,9 millions d euros, en progression de +10,4% Croissance

Plus en détail

BILAN ÉCONOMIQUE PRÊT-À-PORTER FÉMININ 1 ER SEMESTRE 2014

BILAN ÉCONOMIQUE PRÊT-À-PORTER FÉMININ 1 ER SEMESTRE 2014 BILAN ÉCONOMIQUE PRÊT-À-PORTER FÉMININ 1 ER SEMESTRE 2014 INTERVENANTS Daniel Wertel, Président de la Fédération Française du Prêt à Porter Féminin François-Marie Grau, Secrétaire Général de la Fédération

Plus en détail

Présentation Macro-économique. Mai 2013

Présentation Macro-économique. Mai 2013 Présentation Macro-économique Mai 2013 1 Rendement réel des grandes catégories d actifs Janvier 2013 : le «sans risque» n était pas une option, il l est moins que jamais Rendement réel instantané 2,68%

Plus en détail

Baromètre Responsabilité Sociale et Environnementale du Secteur Automobile

Baromètre Responsabilité Sociale et Environnementale du Secteur Automobile Baromètre Responsabilité Sociale et Environnementale du Secteur Automobile TNS Automotive PRINCIPAUX RESULTATS Contacts TNS Sofres: Muriel GOFFARD 01 40 92 27 47 muriel.goffard@tns-sofres.com Définir la

Plus en détail

Analyse prospective des marchés à l export, par secteur et par pays

Analyse prospective des marchés à l export, par secteur et par pays Analyse prospective des marchés à l export, par secteur et par pays Octobre 2012 RESULTATS DE L ANALYSE DES COUPLES PAYS/SECTEURS PORTEURS EN FAVEUR DU COMMERCE EXTERIEUR DE LA FRANCE SOMMAIRE Résumé 2

Plus en détail

L élaboration de ce dossier a été coordonnée par le Pôle commerce extérieur de la Direction générale du Trésor, avec les contributions des

L élaboration de ce dossier a été coordonnée par le Pôle commerce extérieur de la Direction générale du Trésor, avec les contributions des L élaboration de ce dossier a été coordonnée par le Pôle commerce extérieur de la Direction générale du Trésor, avec les contributions des sous-directions Diagnostic et prévisions, Financement international

Plus en détail

Le creusement des inégalités touche plus particulièrement les jeunes et les pauvres

Le creusement des inégalités touche plus particulièrement les jeunes et les pauvres LE POINT SUR LES INÉGALITÉS DE REVENU Le creusement des inégalités touche plus particulièrement les jeunes et les pauvres Résultats issus de la Base de données de l OCDE sur la distribution des revenus

Plus en détail

Atlas économique de Paris 2013 du greffe du tribunal de commerce de Paris

Atlas économique de Paris 2013 du greffe du tribunal de commerce de Paris Atlas économique de Paris 213 du greffe du tribunal de commerce de Paris Sommaire INTRODUCTION... 3 PARTIE 1 PARIS DANS SA GLOBALITÉ... 4 GÉOGRAPHIE DES ENTREPRISES PARISIENNES... 5 DENSITÉ DES ENTREPRISES

Plus en détail

Le RMB chinois comme monnaie de mesure internationale : causes, conditions

Le RMB chinois comme monnaie de mesure internationale : causes, conditions 27 novembre 213 N 5 Le RMB chinois comme monnaie de mesure internationale : causes, conditions La Chine semble vouloir développer le poids du RMB comme monnaie internationale, aussi bien financière que

Plus en détail

MARCHÉ IMMOBILIER DE BUREAUX

MARCHÉ IMMOBILIER DE BUREAUX MARCHÉ IMMOBILIER DE BUREAUX PERSPECTIVES CONJONCTURE ÉCONOMIQUE LE MARCHÉ DES BUREAUX EN ILE-DE-FRANCE 1 er Semestre 212 PERSPECTIVES Un contexte de marché favorable aux utilisateurs La crise financière

Plus en détail

Le marché informatique en France 2011 et tendances 2012

Le marché informatique en France 2011 et tendances 2012 Le marché informatique en France 2011 et tendances 2012 Juin 2012 Sextant Expertise 27, Boulevard des Italiens 75002 Paris Tél. : 01 40 26 47 38 www.sextant-expertise.fr Société inscrite à l ordre des

Plus en détail

La confiance des chefs d entreprise continue de se renforcer en mai

La confiance des chefs d entreprise continue de se renforcer en mai 25-5-27 29-5-26 Liens: NBB.Stat Information générale Enquête mensuelle de conjoncture auprès des entreprises - mai 25 La confiance des chefs d entreprise continue de se renforcer en mai Le baromètre de

Plus en détail

Observatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord trimestriel 2 ème Trimestre 2014

Observatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord trimestriel 2 ème Trimestre 2014 Observatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord trimestriel 2 ème Trimestre 2014 I. L ensemble des marchés I.1. L environnement des marchés : les conditions de

Plus en détail

- Introduction : la globalisation commerciale d hier et d aujourd hui

- Introduction : la globalisation commerciale d hier et d aujourd hui Plan du cours : - Introduction : la globalisation commerciale d hier et d aujourd hui - I. Les théories du commerce international - les avantages comparatifs (Ricardo) - les dotations de facteurs (HOS)

Plus en détail

DIVERSITÉ CULTURELLE JOURS FÉRIÉS Pour en savoir Plus, veuillez vous adresser à :

DIVERSITÉ CULTURELLE JOURS FÉRIÉS Pour en savoir Plus, veuillez vous adresser à : Le Manitoba en bref Le Manitoba : Province du Canada depuis 1870. Manitoba signifie «lieu où vit l Esprit» dans les langues des peuples autochtones de la province. Chef politique : Premier ministre (Greg

Plus en détail

ECONOMIE. DATE: 16 Juin 2011

ECONOMIE. DATE: 16 Juin 2011 BACCALAUREAT EUROPEEN 2011 ECONOMIE DATE: 16 Juin 2011 DUREE DE L'EPREUVE : 3 heures (180 minutes) MATERIEL AUTORISE Calculatrice non programmable et non graphique REMARQUES PARTICULIERES Les candidats

Plus en détail

COMMUNIQUÉ DE PRESSE

COMMUNIQUÉ DE PRESSE COMMUNIQUÉ DE PRESSE La croissance mondiale des investissements publicitaires se poursuit : les achats publicitaires devraient croître de 4,8% en 2012. Un chiffre en légère progression par rapport aux

Plus en détail

Annexe - Balance des paiements et équilibre macro-économique

Annexe - Balance des paiements et équilibre macro-économique Annexe - Balance des paiements et équilibre macro-économique Les échanges de marchandises (biens et services), de titres et de monnaie d un pays avec l étranger sont enregistrés dans un document comptable

Plus en détail

Table des matières. Principaux indicateurs macro-économiques. 1

Table des matières. Principaux indicateurs macro-économiques. 1 Tableau de bord des indicateurs macro-économiques mai 2015 Table des matières Présentation générale Principaux indicateurs macro-économiques. 1 Comptes et agrégats de la nation.... 2 Valeur ajoutée réelle

Plus en détail

Point d actualité. Conseil Economique, Social & Environnemental Régional. Séance plénière 2 février 2015

Point d actualité. Conseil Economique, Social & Environnemental Régional. Séance plénière 2 février 2015 Conseil Economique, Social & Environnemental Régional Point d actualité Séance plénière 2 février 2015 Rapporteur général : Jean-Jacques FRANCOIS, au nom du Comité de Conjoncture CONTEXTE GÉNÉRAL A la

Plus en détail

mai COMMENTAIRE DE MARCHÉ

mai COMMENTAIRE DE MARCHÉ mai 2014 COMMENTAIRE DE MARCHÉ SOMMAIRE Introduction 2 En bref 3 INTRODUCTION L heure semble au découplage entre les Etats-Unis et l Europe. Alors que de l autre côté de l Atlantique, certains plaident

Plus en détail

Base de données sur l'économie mondiale Alix de Saint Vaulry *

Base de données sur l'économie mondiale Alix de Saint Vaulry * Base de données sur l'économie mondiale Alix de Saint Vaulry * 1) Base de données 2) Sources et définitions * Alix de Saint Vaulry est économiste au CEPII, responsable de la production de la base de données

Plus en détail

Quel est le temps de travail des enseignants?

Quel est le temps de travail des enseignants? Quel est le temps de travail des enseignants? Dans les établissements publics, les enseignants donnent, en moyenne et par an, 779 heures de cours dans l enseignement primaire, 701 heures de cours dans

Plus en détail

L immobilier de bureaux en Europe 2010 : une parenthèse dans la crise

L immobilier de bureaux en Europe 2010 : une parenthèse dans la crise ÉTUDE EN BREF Octobre 2011 L immobilier de bureaux en Europe 2010 : une parenthèse dans la crise Pour les investisseurs, l Europe de l immobilier de bureaux n est pas celle qui est délimitée par les accords

Plus en détail

LA RÉDUCTION DU TEMPS DE TRAVAIL : UNE COMPARAISON DE LA POLITIQUE DES «35 HEURES» AVEC LES POLITIQUES D AUTRES PAYS MEMBRES DE L OCDE

LA RÉDUCTION DU TEMPS DE TRAVAIL : UNE COMPARAISON DE LA POLITIQUE DES «35 HEURES» AVEC LES POLITIQUES D AUTRES PAYS MEMBRES DE L OCDE LA RÉDUCTION DU TEMPS DE TRAVAIL : UNE COMPARAISON DE LA POLITIQUE DES «35 HEURES» AVEC LES POLITIQUES D AUTRES PAYS MEMBRES DE L OCDE par John P. Martin, Martine Durand et Anne Saint-Martin* Audition

Plus en détail

COMMUNIQUÉ DE PRESSE. Enquête triennale sur le marché des changes et le marché des produits dérivés: résultats pour la Belgique.

COMMUNIQUÉ DE PRESSE. Enquête triennale sur le marché des changes et le marché des produits dérivés: résultats pour la Belgique. Bruxelles, le 25 septembre 2007. COMMUNIQUÉ DE PRESSE Enquête triennale sur le marché des changes et le marché des produits dérivés: résultats pour la Belgique. En avril 2007, cinquante-quatre banques

Plus en détail

Observatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord mensuel. Janvier 2015

Observatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord mensuel. Janvier 2015 Observatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord mensuel Janvier 2015 Avertissement : les indicateurs mensuels repris dans le «Tableau de bord» ne deviennent définitifs

Plus en détail

REGARDS CROISES ELITES / GRAND PUBLIC SUR LA FRANCE DANS LA MONDIALISATION

REGARDS CROISES ELITES / GRAND PUBLIC SUR LA FRANCE DANS LA MONDIALISATION REGARDS CROISES ELITES / GRAND PUBLIC SUR LA FRANCE DANS LA MONDIALISATION Juillet 2008 2, rue de Choiseul CS 70215 75086 Paris Cedex 02 Tél. : (33) 01 44 94 59 10 Fax : (33) 01 44 94 40 01 www.csa.eu

Plus en détail

Boussole. Divergence des indicateurs avancés. Actions - bon marché ou trop chères? Marchés boursiers - tout dépend du point de vue!

Boussole. Divergence des indicateurs avancés. Actions - bon marché ou trop chères? Marchés boursiers - tout dépend du point de vue! Boussole Juin 2015 Divergence des indicateurs avancés Actions - bon marché ou trop chères? Marchés boursiers - tout dépend du point de vue! Les règles du placement financier - Partie III Votre patrimoine,

Plus en détail

2015 et l investissement en actions : la prise de risque est-elle justifiée?

2015 et l investissement en actions : la prise de risque est-elle justifiée? Flash Stratégie Janvier 2015 2015 et l investissement en actions : la prise de risque est-elle justifiée? Jean Borjeix Paris, le 20 janvier 2015 Dans ce document nous allons tout d abord rapprocher nos

Plus en détail

Quelle part de leur richesse nationale les pays consacrent-ils à l éducation?

Quelle part de leur richesse nationale les pays consacrent-ils à l éducation? Indicateur Quelle part de leur richesse nationale les pays consacrent-ils à l éducation? En 2008, les pays de l OCDE ont consacré 6.1 % de leur PIB cumulé au financement de leurs établissements d enseignement.

Plus en détail

Un climat des affaires conforté

Un climat des affaires conforté JUILLET 2015 Un climat des affaires conforté Même si une part toujours importante de TPE/PME enregistre un recul du chiffre d affaires, le bilan du 2 e trimestre marque une amélioration sensible, confirmée

Plus en détail

Un climat des affaires incertain

Un climat des affaires incertain AVRIL 2015 Un climat des affaires incertain Au premier trimestre, 39 % des TPE-PME rhônalpines ont observé une baisse de chiffre d affaires par rapport à la même période de 2014 et seulement 24 % une hausse.

Plus en détail

Principaux partenaires commerciaux de l UE, 2002-2014 (Part dans le total des échanges de biens extra-ue, sur la base de la valeur commerciale)

Principaux partenaires commerciaux de l UE, 2002-2014 (Part dans le total des échanges de biens extra-ue, sur la base de la valeur commerciale) 55/2015-27 mars 2015 Commerce international de biens en 2014 Principaux partenaires commerciaux de l UE en 2014: les États-Unis pour les exportations, la Chine pour les importations Le commerce entre États

Plus en détail

ANTICIPATIONS HEBDO. 16 Février 2015. L'élément clé durant la semaine du 9 Février 2015

ANTICIPATIONS HEBDO. 16 Février 2015. L'élément clé durant la semaine du 9 Février 2015 Direction de la Recherche Economique Auteur : Philippe Waechter L'élément clé durant la semaine du 9 Février 2015 Le premier point cette semaine porte sur la croissance modérée de la zone Euro au dernier

Plus en détail

rapport CCE 2015-1250

rapport CCE 2015-1250 rapport CCE 2015-1250 La conjoncture économique dans la distribution Avril 2015 CCE 2015-1250 Rapport sur la conjoncture économique dans la distribution Avril 2015 Personnes de contact Gautier Gérome

Plus en détail

ANANTA PATRIMOINE PRESENTATION

ANANTA PATRIMOINE PRESENTATION ANANTA PATRIMOINE PRESENTATION ANNEE 2011 1 ANANTA PATRIMOINE S.A. (Genève) est une société de gestion affiliée à l O.A.R.G. (Organisme d Autorégulation des Gérants de patrimoine) sous le numéro d agrément

Plus en détail

Nouvelle Classification Europerformance. Règles de mapping - Ancien schéma versus nouveau schéma

Nouvelle Classification Europerformance. Règles de mapping - Ancien schéma versus nouveau schéma Nouvelle Classification Europerformance Règles de mapping - Ancien schéma versus nouveau schéma ANCIENNE CLASSIFICATION EUROPERFORMANCE NOUVELLE CLASSIFICATION EUROPERFORMANCE Famille Trésorerie Tresorerie

Plus en détail

MONITEUR DE LA BRANCHE INDUSTRIE MEM. Avril 2014

MONITEUR DE LA BRANCHE INDUSTRIE MEM. Avril 2014 MONITEUR DE LA BRANCHE INDUSTRIE Avril 2014 Éditeur BAKBASEL Rédaction Florian Zainhofer Esteban Lanter Max Künnemann Adresse BAK Basel Economics AG Güterstrasse 82 CH-4053 Basel T +41 61 279 97 00 F +41

Plus en détail

ROBERT WALTERS ENQUÊTE CANDIDATS 2015. www.robertwalters.fr CHIFFRES CLÉS

ROBERT WALTERS ENQUÊTE CANDIDATS 2015. www.robertwalters.fr CHIFFRES CLÉS ROBERT WALTERS ENQUÊTE CANDIDATS 2015 Pour mieux comprendre les attentes des candidats, Robert Walters référence mondiale du recrutement spécialisé a diffusé une enquête au début de l année 2015, auprès

Plus en détail

La dette des ménages canadiens demeure très élevée

La dette des ménages canadiens demeure très élevée 12 septembre 2014 La dette des ménages canadiens demeure très élevée Faits saillants États Unis : accélération bienvenue des ventes au détail. Forte hausse du crédit à la consommation en juillet aux États

Plus en détail

AVANT-PROPOS. Fonds monétaire international Avril 2012 ii

AVANT-PROPOS. Fonds monétaire international Avril 2012 ii AVANT-PROPOS Peu après la publication de l édition de septembre 11 des Perspectives de l économie mondiale, la zone euro a dû faire face à une autre crise grave. Les craintes des marchés concernant la

Plus en détail

La publication, au second

La publication, au second Les entreprises industrielles françaises de plus en plus impliquées dans les NTIC Malgré l adoption accélérée des différents outils des nouvelles technologies de l information et de la communication (NTIC)

Plus en détail

Activités et résultats 2011

Activités et résultats 2011 Activités et résultats rci en bref RCI Banque est la captive financière de l Alliance Renault Nissan et assure à ce titre le financement des ventes des marques Renault, Renault Samsung Motors (RSM), Dacia,

Plus en détail

BAROMETRE DE CONJONCTURE DE L HEBERGEMENT D ENTREPRISES

BAROMETRE DE CONJONCTURE DE L HEBERGEMENT D ENTREPRISES 1 er et 2 ème trimestres 2010 Note semestrielle N 1 BAROMETRE DE CONJONCTURE DE L HEBERGEMENT D ENTREPRISES 1. CHIFFRE D AFFAIRES TOTAL DES CENTRES D AFFAIRES Chiffre d affaires total / surface totale

Plus en détail

Un certain décalage. Perspectives 1999-2000 pour l économie mondiale * Revue de l OFCE n 69 / avril 1999

Un certain décalage. Perspectives 1999-2000 pour l économie mondiale * Revue de l OFCE n 69 / avril 1999 Un certain décalage Revue de l OFCE n 69 / avril 1999 Perspectives 1999-2000 pour l économie mondiale * L'année 1998 aura été marquée par une nette bascule entre les pays industriels qui ont bénéficié

Plus en détail

LA SOCIETE DE PARTICIPATIONS FINANCIERES «LA SOPARFI»

LA SOCIETE DE PARTICIPATIONS FINANCIERES «LA SOPARFI» LA SOCIETE DE PARTICIPATIONS FINANCIERES «LA SOPARFI» La SOPARFI n'est pas régie par une loi spécifique, mais se définit comme une société de capitaux luxembourgeoise soumise à une fiscalité tant directe

Plus en détail

Wali. Directeur général. commissaire Du gouvernement. conseil. M. Abdellatif JOUAHRI. M. Abdellatif FAOUZI. M. Le Wali. M. Le Directeur Général

Wali. Directeur général. commissaire Du gouvernement. conseil. M. Abdellatif JOUAHRI. M. Abdellatif FAOUZI. M. Le Wali. M. Le Directeur Général EXERCICE 2014 Wali M. Abdellatif JOUAHRI Directeur général M. Abdellatif FAOUZI commissaire Du gouvernement conseil M. Le Wali M. Le Directeur Général M. Abdellatif BELMADANI M. Mohammed BENAMOUR Mme

Plus en détail

La révision des indices du cours du franc suisse, nominaux et réels, pondérés par les exportations

La révision des indices du cours du franc suisse, nominaux et réels, pondérés par les exportations La révision des indices du cours du franc suisse, nominaux et réels, pondérés par les exportations par Robert Fluri et Robert Müller, Direction de la statistique, Banque nationale suisse, Zurich BNS 42

Plus en détail

Comité de Bâle sur le contrôle bancaire. Rapport intérimaire sur la mise en œuvre du cadre réglementaire de Bâle

Comité de Bâle sur le contrôle bancaire. Rapport intérimaire sur la mise en œuvre du cadre réglementaire de Bâle Comité de Bâle sur le contrôle bancaire Rapport intérimaire sur la mise en œuvre du cadre réglementaire de Bâle Octobre 2013 Le présent document est traduit de l anglais. En cas de doute ou d ambiguïté,

Plus en détail

Chiffre d'affaires par ligne de services

Chiffre d'affaires par ligne de services Troisième trimestre 2010 des revenus: EUR 1.210 millions Réservez au projet de loi: 90%, même par rapport au troisième trimestre 2009, 2010 Cash Flow Opérationnel s'élève à EUR 83 millions dans les neuf

Plus en détail

GESTION, ADMINISTRATION

GESTION, ADMINISTRATION GESTION, ADMINISTRATION A vec 73 5 emplois et 9,8 % des actifs, les métiers de la gestion et de l administration des entreprises constituent le troisième domaine professionnel dans la région, un rang identique

Plus en détail

Les questions relatives aux finances publiques, longtemps réservées aux spécialistes, sont

Les questions relatives aux finances publiques, longtemps réservées aux spécialistes, sont CHAPITRE 1 LES FACTEURS STRUCTURELS DE LA HAUSSE DE L ENDETTEMENT PUBLIC DANS LES PAYS AVANCÉS Les questions relatives aux finances publiques, longtemps réservées aux spécialistes, sont revenues au cœur

Plus en détail

Dépenses nationales totales 3.0 3.4 2.3

Dépenses nationales totales 3.0 3.4 2.3 Chiffres clés pour l'économie belge Pourcentages de variation en volume - sauf indications contraires Dépenses de consommation finale des particuliers 2.0 2.6 1.4 Dépenses de consommation finale des pouvoirs

Plus en détail

CAMPAGNE ANNUELLE DES EPARGNES ACQUISES

CAMPAGNE ANNUELLE DES EPARGNES ACQUISES Direction Épargne et Clientèle Patrimoniale Date de diffusion : 26 janvier 2015 N 422 CAMPAGNE ANNUELLE DES EPARGNES ACQUISES Dans une démarche d accompagnement auprès de vos clients, plusieurs communications

Plus en détail

Royaume du Maroc. La masse salariale et ses impacts sur les équilibres économiques et financiers

Royaume du Maroc. La masse salariale et ses impacts sur les équilibres économiques et financiers Royaume du Maroc La masse salariale et ses impacts sur les équilibres économiques et financiers Table des Matières 1. Données sur la masse salariale...2 1.1. Importance de la masse salariale...2 1.2. Aggravation

Plus en détail

Quel est le "bon" système de Bretton-Woods?

Quel est le bon système de Bretton-Woods? aoűt 9 - N 359 Quel est le "bon" système de Bretton-Woods? Le Système Monétaire International de Bretton-Woods "normal" est un système où le pays dont la monnaie s'affaiblit doit passer à une politique

Plus en détail

DORVAL FLEXIBLE MONDE

DORVAL FLEXIBLE MONDE DORVAL FLEXIBLE MONDE Rapport de gestion 2014 Catégorie : Diversifié International/Gestion flexible Objectif de gestion : L objectif de gestion consiste à participer à la hausse des marchés de taux et

Plus en détail

LE BAROMÈTRE DE L ÉCONOMIE RÉGIONALE PAR L ORDRE DES EXPERTS-COMPTABLES, RÉGION MONTPELLIER SEPTEMBRE 2012 N 4. www.objectif-lr.

LE BAROMÈTRE DE L ÉCONOMIE RÉGIONALE PAR L ORDRE DES EXPERTS-COMPTABLES, RÉGION MONTPELLIER SEPTEMBRE 2012 N 4. www.objectif-lr. SEPTEMBRE 2012 N 4 4 LE BAROMÈTRE DE L ÉCONOMIE RÉGIONALE PAR L ORDRE DES EXPERTS-COMPTABLES, RÉGION MONTPELLIER - Photos : Nicolas Bouzou, Peter Allan - 09/2012 EN PARTENARIAT AVEC www.objectif-lr.com

Plus en détail

WP Board No. 934/03. 7 mai 2003 Original : anglais. Comité exécutif 21 23 mai 2003 Londres, Angleterre

WP Board No. 934/03. 7 mai 2003 Original : anglais. Comité exécutif 21 23 mai 2003 Londres, Angleterre WP Board No. 934/03 International Coffee Organization Organización Internacional del Café Organização Internacional do Café Organisation Internationale du Café 7 mai 2003 Original : anglais Comité exécutif

Plus en détail

A PLUS FINANCE FONDS DE FONDS

A PLUS FINANCE FONDS DE FONDS FINANCE FONDS DE FONDS A PLUS DYNAMIQUE A PLUS PATRIMOINE A PLUS TALENTS A PLUS OBLIGATIONS RAPPORT DE AU 30-06-2015 COMMENTAIRE DE 1 er SEMESTRE 2015 Le premier semestre 2015 a été caractérisé par le

Plus en détail

Distribution préliminaire Octobre 2012

Distribution préliminaire Octobre 2012 Études économiques et financières Distribution préliminaire Octobre 1 Avant-propos et Résumé analytique des Perspectives de l économie mondiale Fonds monétaire international Perspectives de l économie

Plus en détail

BANQUE CENTRALE DE TUNISIE DETTE EXTERIEURE DE LA TUNISIE 2011

BANQUE CENTRALE DE TUNISIE DETTE EXTERIEURE DE LA TUNISIE 2011 البنك المركزي التونسي BANQUE CENTRALE DE TUNISIE DETTE EXTERIEURE DE LA TUNISIE 2011 DECEMBRE 2012 DETTE EXTERIEURE DE LA TUNISIE 2011 DECEMBRE 2012 SOMMAIRE Pages Introduction... 5 Endettement extérieur

Plus en détail

Étiquette des rencontres d affaires en pays étranger Guide des références sur Internet

Étiquette des rencontres d affaires en pays étranger Guide des références sur Internet Étiquette des rencontres d affaires en pays étranger Guide des références sur Internet à l intention des entreprises des secteurs de l agroalimentaire et des fruits de mer de la C.-B. Sa Majesté la Reine

Plus en détail

L économie mondiale en 2008 : du ralentissement àlarécession

L économie mondiale en 2008 : du ralentissement àlarécession L économie mondiale en 2008 : du ralentissement àlarécession Olivier Redoulès* En 2008, l économie mondiale a basculé dans la récession. La crise financière a débuté en 2007 aux États-Unis sur le marché

Plus en détail

Septembre 2013. Baromètre bancaire 2013 L évolution conjoncturelle des banques en Suisse

Septembre 2013. Baromètre bancaire 2013 L évolution conjoncturelle des banques en Suisse Septembre 2013 Baromètre bancaire 2013 L évolution conjoncturelle des banques en Suisse Baromètre bancaire 2013 Executive summary 3 1 Evolution économique globale 1.1 Economie internationale 1.2 Suisse

Plus en détail

Actifs des fonds de pension et des fonds de réserve publics

Actifs des fonds de pension et des fonds de réserve publics Extrait de : Panorama des pensions 2013 Les indicateurs de l'ocde et du G20 Accéder à cette publication : http://dx.doi.org/10.1787/pension_glance-2013-fr Actifs des fonds de pension et des fonds de réserve

Plus en détail

QUEL RÔLE POUR LE FMI DANS LE NOUVEL ORDRE ÉCONOMIQUE MONDIAL?

QUEL RÔLE POUR LE FMI DANS LE NOUVEL ORDRE ÉCONOMIQUE MONDIAL? QUEL RÔLE POUR LE FMI DANS LE NOUVEL ORDRE ÉCONOMIQUE MONDIAL? Clément ANNE, clem.anne@hotmail.fr Doctorant, Ecole d Economie de Clermont-Ferrand, CERDI 18/03/2015, Assises Régionales de l économie EN

Plus en détail

LE COMITÉ D INVESTISSEMENT DE LA GESTION PRIVÉE

LE COMITÉ D INVESTISSEMENT DE LA GESTION PRIVÉE DE LA GESTION PRIVÉE COMPTE RENDU DAVID DESOLNEUX DIRECTEUR DE LA GESTION SCÉNARIO ÉCONOMIQUE ACTIVITÉS La croissance économique redémarre, portée par les pays développés. Aux Etats-Unis, après une croissance

Plus en détail

Monnaie, banques, assurances

Monnaie, banques, assurances Monnaie, banques, assurances Panorama La politique monétaire de la Banque nationale suisse en 2013 En 2013, la croissance de l économie mondiale est demeurée faible et fragile. En Europe, les signes d

Plus en détail

La situation financière des SNF françaises Quelques éléments de diagnostic élaborés à partir des comptes nationaux

La situation financière des SNF françaises Quelques éléments de diagnostic élaborés à partir des comptes nationaux La situation financière des SNF françaises Quelques éléments de diagnostic élaborés à partir des comptes nationaux 21 novembre 2014 Gilbert Cette 1. Définitions et sources Valeur ajoutée aux coûts des

Plus en détail

Les marchés du travail dans la crise *

Les marchés du travail dans la crise * ÉTUDE SPÉCIALE Les marchés du travail dans la crise * OFCE, Centre de recherche en économie de Sciences Po Département analyse et prévision * Ont contribué à cette étude spéciale : Marion Cochard, Gérard

Plus en détail

Rapport intermédiaire de la Banque nationale suisse au 30 juin 2010

Rapport intermédiaire de la Banque nationale suisse au 30 juin 2010 Communication Case postale, CH-8022 Zurich Téléphone +41 44 631 31 11 Fax +41 44 631 39 10 Zurich, le 13 août 2010 Rapport intermédiaire de la Banque nationale suisse au 30 juin 2010 La Banque nationale

Plus en détail