Fiche 25 Qu est-ce qu un OGM?

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Fiche 25 Qu est-ce qu un OGM?"

Transcription

1 Fiche 25 Qu est-ce qu un OGM? Les Organismes Génétiquement Modifiés (OGM) posent une vraie question de société. Améliorer la santé, produire plus pour nourrir les pays pauvres sont des arguments louables, mais quels risques les OGM peuvent-ils faire courir à notre santé, notre environnement? Niveau : Cycle 3 (8-11 ans) Lycée (15-18 ans) Temps d activité : 1 heure Collège (11-14 ans) Résumé : Après avoir recueilli les représentations des enfants, des élèves sur les OGM, ils sont invités à associer une carte d un aliment de base à un type d OGM Objectifs : - découvrir ce que sont les OGM - découvrir les questions qu ils soulèvent Activité précédente : Activité suivante : Fiche 26 Pour ou contre les OGM? Matériel : - cartes en annexe (annexe 1) - lexique (annexe 2) Préparation : Imprimer les cartes en respectant les rectoverso Déroulement : Etape 1 : Recueil des représentations Avant de commencer les activités autour des OGM, il est intéressant de faire un point sur les connaissances et les représentations des participants autour des OGM. Quelques questions peuvent être posées : - Qu est-ce qu un OGM? - A quoi peuvent servir les OGM? - Les OGM peuvent-ils offrir des avantages? Ont-ils des inconvénients? - Qui est a priori contre, et qui est a priori pour? Etape 2 : Jeu de cartes «A quoi servent les OGM?» - Donner à chaque participant ou à chaque groupe un jeu de cartes. - Demander d associer une carte d un aliment à un type d OGM. Il peut s aider de l indice au dos de la carte OGM et du lexique en annexe. - Une fois chaque association faite, lire les réponses au dos de chaque carte aliment. Elles devraient vous permettre d engager une discussion autour des OGM. Prolongements : Sur le site voir en image la technique de fabrication d un ogm.

2 Ressources : : Dossier d'archives audiovisuelles de l'ina qui aborde les grandes étapes de la génétique, de la découverte de la structure de l'adn, aux applications plus récentes comme les OGM ou encore le clonage. Des dossiers succints sur l'adn, les OGM et le clonage ainsi qu'une sélection de sites pour approfondir le sujet. : Dossier de l'assemblée nationale pour les jeunes sur les organismes génétiquement modifiés (OGM) : A quoi servent les OGM? Quels sont les risques? Quels sont les acteurs de ce débat? Quel est le rôle des pouvoirs publics? Animation didactique sur la fabrication d'un OGM. : Un projet du lycée Charles de Gaulle à Dijon où les élèves ont réalisé des applications multimédias téléchargeables sur le site. L un concerne les OGM et le Développement Durable. Le Monde Selon Monsanto Marie-Monique Robin Film ou DVD Cultivons La Terre film du Rés OGM ou Site du WWF sur les OGM : The Future of food Deborah Koons Lyli Film 1h20, 2004 : un film sur l histoire et la technologie du génie génétique, qui aborde les risques sanitaires et environnementaux, mais aussi les questions éthiques que posent les brevets et le contrôle de l alimentation par quelques entreprises.

3

4 TOMATES Fiche 25 Annexe 1 (recto 1) Qu est-ce qu un OGM? MAIS COLZA RIZ TABAC SAUMON PORC SOJA

5 Fiche 25 Annexe 1 (verso 1) Réponse : Produire des matières premières en réduisant la pollution Le génome du colza a reçu un gène permettant la production d un plastique naturel et biodégradable. La culture de cet OGM (toujours au stade expérimental) permettrait une production de matière plastique plus facile et plus rentable. Mais la culture d une espèce habituellement destinée à l alimentation, devenue impropre à la consommation après manipulation génétique, pose un problème majeur. Par manque de traçabilité, une confusion pourrait se produire entre le colza destiné à la consommation et le colza producteur de plastique. Un autre risque est envisagé : celui de la transmission non contrôlée (par croisement) du transgène du colza utilisé pour l industrie à des pieds de colza non transgéniques cultivés sur des champs voisins pour l alimentation. Réponse : Permettre l élevage dans des conditions climatiques extrêmes Ce saumon résistant au froid, présente un intérêt économique. Il est au stade expérimental et n est pas commercialisé, de même que tous les autres animaux génétiquement modifiés. Outre un risque de dégradation des qualités nutritionnelles et gustatives de l aliment, l introduction d une espèce plus compétitive dans l écosystème aquatique pourrait provoquer l appauvrissement de la biodiversité des espèces en modifiant l équilibre des populations de poissons et de la chaîne alimentaire océanique. Réponse : Améliorer le rendement agricole en limitant l emploi d insecticides L utilisation du maïs Bt limite l emploi de produits chimiques nuisibles à l environnement et toxiques pour les agriculteurs. Sur le plan économique, on améliore les rendements agricoles. Mais cette plante produisant cette nouvelle molécule, à savoir un pesticide d origine bactérienne n est-elle pas toxique pour l homme? N y a t il pas également des risques pour l environnement, tels que l effet néfaste du pesticide sur d autres insectes, la transmission non contrôlée du transgène à des plantes sauvages situées à proximité des cultures OGM ou à des bactéries du sol entraînant des dommages écologiques sur la faune et la flore.. Réponse : Produire des protéines thérapeutiques L hémoglobine, protéine transportant l oxygène dans le sang, est utilisée dans les transfusions sanguines, nécessaires par exemple, après certaines interventions chirurgicales. Pour pallier l insuffisance de dons de sang, il a été ajouté à ce tabac transgénique, un gène d origine humaine permettant la production d hémoglobine par les cellules du tabac. L hémoglobine est extraite des feuilles de cette plante cultivée en grande quantité, puis purifiée. Cet OGM est toujours au stade expérimental. Mais la molécule ainsi produite par un organisme végétal est-elle toujours fonctionnel dans l organisme humain? N y a t il pas de risques d incompatibilité ou de rejet de cette molécule? Réponse : Améliorer la conservation des aliments La tomate «Flav Savr» a été commercialisée aux Etats- Unis dès Grâce à une manipulation génétique, le mûrissement de cette tomate est ralenti ce qui a pour conséquence d allonger sa durée de conservation et de ralentir la perte de ses qualités nutritionnelles. Outre d éventuels risques sanitaires, tels que la toxicité ou le caractère allergène pour l homme d un aliment dont la composition a été modifiée, ces tomates ont une consistance très ferme et une qualité gustative inférieure. PORC Réponse : Améliorer les propriétés nutritives pour pallier des carences Il s agit du «Golden Rice» (riz doré). Ce riz a été génétiquement modifié de façon à ce qu il produise une grande quantité de vitamine A. Ceci permettrait de pallier les carences en cette vitamine dans les pays asiatiques, grand consommateurs de riz. Cependant, la firme qui a mis au point cet OGM, a utilisé des variétés de riz «inférieures», que personne ne souhaite cultiver en Asie. De plus, il faut envisager un risque de modification de la qualité gustative de cet aliment. Réponse : Résister à un herbicide Les agriculteurs cultivent ce soja résistant à un herbicide ; ils utilisent ce dernier pour éliminer les mauvaises herbes envahissant les champs de soja. Celui-ci reste indemne après le traitement. Les rendements en soja sont donc améliorés. Ce soja est cultivé et commercialisé aux Etats-Unis, au Canada et en Argentine (ils représentent 46% des surfaces de culture de soja dans le monde). Mais les firmes agro-chimiques développant une plante résistante spécifiquement à l herbicide qu elles commercialisent, ne créent-elles pas un monopole sur l ensemble de la chaîne de production agricole? Réponse : Améliorer les quantités de viande produite Grâce aux hormones de croissance, l élevage de porcs transgéniques permettrait un meilleur rendement en quantité de viande produite. Mais qu en est-il des qualités nutritionnelles et gustatives et des effets éventuels de cette hormone de croissance sur l organisme du consommateur? Comme tous les animaux transgéniques, ce porc n est pas commercialisé.

6 Fiche 25 Annexe 1 (recto 2) Produire des matières premières en réduisant la pollution Améliorer le rendement agricole en limitant l emploi d insecticides Améliorer la conservation des aliments Permettre l élevage dans des conditions climatiques extrêmes Produire des protéines thérapeutiques Améliorer les propriétés nutritives pour pallier des carences Résister à un herbicide Améliorer les quantités de viande produite

7 Fiche 25 Annexe 1 (verso 2) L amélioration de la durée de conservation des aliments après leur récolte est aujourd hui envisagée par le biais de la création d OGM. C est le cas de cette plante, cultivée pour son fruit, très consommée. c Un des buts du génie génétique est effectivement l amélioration de l alimentation humaine et donc des conditions de vie des populations de certains pays (des pays en voie de développement en particulier). Ainsi, en Asie une forte proportion de la population souffre de troubles de la vision (la cornée devient opaque) par manque de vitamine A dans l alimentation traditionnelle. Certaines manipulations génétiques ont été effectuées pour rendre des plantes cultivées résistantes aux insectes. Cette céréale de grande dimension de la famille des graminées, a été transformée avec un gène d intérêt lui permettant de produire un pesticide naturel. Certaines protéines dites thérapeuthiques, utilisées pour les traitements médicaux, sont difficiles à obtenir par synthèse (techniques industrielles lourdes voire polluantes) ou ne peuvent être obtenues que par don de produits du corps humain (quantités inférieures aux besoins réels). Pour remédier à cela, des OGM contenant un gène d intérêt dont l expression aboutit à une protéine thérapeutique, sont créés. C est le cas de cette plante utilisée dans la recherche en biologie végétale, mais qui est plus connue pour la consommation non alimentaire qui en est faite. La production de matières premières recourt habituellement à des processus industriels lourds et polluants. Ces procédés pourraient être remplacés par l utilisation d OGM capables de produire naturellement des substances d intérêt industriel. Des expériences ont été menées avec une plante à fleurs jaunes. A l origine, cette plante est utilisée pour l alimentation du bétail et la production d huile. Un des objectifs attendus est l augmentation des rendements, grâce à des espèces génétiquement modifiées de façon à ce qu elles soient très peu sensibles aux conditions environnementales, comme le climat par exemple. C est le cas de cet animal vivant à l état sauvage dans son milieu naturel mais dont l élevage est aujourd hui très répandu pour répondre à la forte augmentation de la demande des consommateurs. Le gène d intérêt vient d une bactérie. Il permet la production d une protéine insensible à Les hormones de croissance permettent une bonne croissance des animaux ainsi que le développement de leur masse musculaire. En augmentant les quantités d hormones de croissance, la taille des animaux est plus importante, et les rendements des élevages sont meilleurs. C est le cas pour cette espèce d omnivore très répandue dans le monde. Cet herbicide, commercialisé par un grand groupe agro-chimique américain, est à base de glyphosate, une molécule qui inhibe une protéine présente chez les végétaux et très importante pour leur développement. Ce même groupe agro-chimique a développé un OGM résistant à cet herbicide à partir d une plante d intérêt agricole, très utilisée dans l alimentation animale.

8 Fiche 25 Annexe 2 Qu est ce qu un OG M? : vocabulaire ADN Molécule biologique essentielle des cellules vivantes dont elle constitue le patrimoine génétique. Présent chez tous les organismes (animaux, végétaux, champignons) et presque tous les micro-organismes, l ADN détermine leur développement, leur organisation et l ensemble des caractères. Allergène Substance à laquelle un individu est hypersensible, après un second contact avec celle-ci. L allergie se traduit au niveau clinique entre autre par de l asthme, le rhume des foins, l eczéma Bactérie Organisme microscopique unicellulaire n appartenant ni au règne animal ni au règne végétal. Les bactéries prolifèrent partout dans le Monde et sont présentes dans tous les milieux, aérien, terrestre et aquatique. Biodiversité La biodiversité ou diversité biologique est la diversité du vivant. Elle peut être définie à trois niveaux différents. La plus connue est la variété des espèces dans un milieu donné. Mais la variété de la vie sur Terre se situe également au niveau du patrimoine génétique au sein d une même espèce et au niveau de la variété des écosystèmes. Dissémination Dispersion naturelle des graines de plantes. Ce terme est également utilisé pour parler de l éventuelle transmission non contrôlée du transgène d une plante génétiquement modifiée à des plantes sauvages situées à proximité des cultures OGM, par croisement. Le risque de transmission vers d autres espèces végétales est envisageable, car les croisements entre espèces différentes peuvent se produire chez les plantes. Ecosystème Ensemble des organismes vivants (végétaux, animaux, micro-organismes) interagissant entre eux et avec leur environnement, dans un milieu naturel spécifique (forêt, lac, champ, océan, etc.) Gène Fragment d ADN permettant la synthèse d une protéine et l établissement d un caractère. Les gènes transmettent les caractères héréditaires au travers des générations. Gène d intérêt (ou transgène) Gène étranger qui permet l apparition d un caractère recherché (présentant un intérêt pour une application biotechnologique). Ce gène est isolé à partir d un organisme donneur puis intégré par transgénèse au patrimoine génétique d un autre organisme, dit receveur. L organisme receveur est ainsi génétiquement modifié. OGM (Organisme Génétiquement Modifié) Organisme vivant dont on a modifié le matériel génétique par introduction d un ou plusieurs gènes étrangers afin de lui conférer une ou des caractéristiques nouvelles transmissibles à la descendance. Pesticide Produit chimique permettant de détruire les parasites animaux (des insectes en particulier) ou végétaux s attaquant aux plantes cultivées. Protéine Composé biologique essentiel. Les protéines sont notre constituant et assurent de nombreuses fonctions dans l organisme : la communication (la testostérone ), le transport (l hémoglobine ), le soutien (le collagène ), etc. Les protéines résultent de l expression de gènes.

9 Qualité nutritionnelle Composition en nutriments (glucides, lipides, protéines, minéraux et vitamines) d un aliment. Les nutriments sont indispensables au bon développement et au maintien de la santé des organismes. La qualité gustative (ou organoleptique) d un aliment détermine les saveurs de cet aliment. Sauvage On qualifie de sauvage une espèce végétale ou animale, qui n a pas été modifiée génétiquement, ce qui permet de la distinguer d un OGM obtenu à partir de cette même espèce. Traçabilité Possibilité de retrouver pour un produit donné l indication de toutes les étapes de sa fabrication ainsi que la provenance de tous les composants. Cette traçabilité est indiquée par un étiquetage des produits. Transgène Gène d intérêt transmis à l espèce receveuse par transgenèse. Transgénèse Action d introduire par génie génétique, un gène étranger, dit transgène, et de le faire fonctionner dans un être vivant. Transmission non contrôlée Voir dissémination.

12. À chacun son point de vue

12. À chacun son point de vue 12. À chacun son point de vue Secondaire, cycle 1 Durée : 60 min. L agriculture est en crise partout sur la planète. Alors que certains louent les bénéfices de l agriculture conventionnelle moderne, d

Plus en détail

Thème sélection génétique des plantes hybridation et génie génétique

Thème sélection génétique des plantes hybridation et génie génétique Thème sélection génétique des plantes hybridation et génie génétique Exemple d activité : recenser, extraire et exploiter des informations afin de comprendre les caractéristiques et les limites de la modification

Plus en détail

Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme

Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme 1. EXTRAITS REFERENTIELS DU BO Partie du programme : Fonctionnement de l organisme et besoin

Plus en détail

CHAPITRE 8 PRODUCTION ALIMENTAIRE ET ENVIRONNEMENT

CHAPITRE 8 PRODUCTION ALIMENTAIRE ET ENVIRONNEMENT CHAPITRE 8 PRODUCTION ALIMENTAIRE ET ENVIRONNEMENT 1 Relations alimentaires entre les êtres vivants 1 1 Les chaines alimentaires. Une chaine alimentaire est constituée par une succession d êtres vivants

Plus en détail

Les OGM. 5 décembre 2008. Nicole Mounier

Les OGM. 5 décembre 2008. Nicole Mounier Les OGM 5 décembre 2008 Nicole Mounier Université Claude Bernard Lyon 1 CGMC, bâtiment Gregor Mendel 43, boulevard du 11 Novembre 1918 69622 Villeurbanne Cedex OGM Organismes Génétiquement Modifiés Transfert

Plus en détail

«Cette action contribue au PNNS». À CHÂTEAU THIERRY

«Cette action contribue au PNNS». À CHÂTEAU THIERRY «Cette action contribue au PNNS». «IL FAIT BIO À CHÂTEAU THIERRY A Chateau Thierry, la Municipalité souhaite développer les produits BIO et issus de filières de proximité dans les menus de la restauration

Plus en détail

NOP: Organic System Plan (OSP) / EOS: Description de l Unité Information et documents requis

NOP: Organic System Plan (OSP) / EOS: Description de l Unité Information et documents requis TITRE NOP: Organic System Plan (OSP) / EOS: Description de l Unité Information et documents requis Selon le règlement NOP de l USDA 205.406(a), un opérateur certifié doit transmettre chaque année à son

Plus en détail

LE MONITORING DE LA BIODIVERSITE EN SUISSE. Hervé LETHIER, EMC2I

LE MONITORING DE LA BIODIVERSITE EN SUISSE. Hervé LETHIER, EMC2I LE MONITORING DE LA BIODIVERSITE EN SUISSE Hervé LETHIER, EMC2I INTRODUCTION OBJECTIFS L INSTRUMENT LES INDICATEURS UN PREMIER BILAN INTRODUCTION OBJECTIF De simples inventaires spécialisés et ciblés Combler

Plus en détail

«L énergie la moins chère et la moins polluante est celle qu on ne consomme pas»

«L énergie la moins chère et la moins polluante est celle qu on ne consomme pas» Énergie «L énergie la moins chère et la moins polluante est celle qu on ne consomme pas» La première fonction de l agriculture est la valorisation de l énergie solaire en énergie alimentaire par la photosynthèse.

Plus en détail

Compléments ments alimentaires Les règles du jeu - SCL / Strasbourg-Illkirch 14 octobre 2011

Compléments ments alimentaires Les règles du jeu - SCL / Strasbourg-Illkirch 14 octobre 2011 Compléments ments alimentaires Les règles du jeu - SCL / Strasbourg-Illkirch 14 octobre 2011 Bureau 4A : Nutrition & Information sur les denrées alimentaires Novel Food, Adjonction V&M, SBNP Compléments

Plus en détail

GUIDE D UTILISATION DES PRODUITS DE MAÏS

GUIDE D UTILISATION DES PRODUITS DE MAÏS GUIDE D UTILISATION DES PRODUITS DE MAÏS Refuge Advanced MC SmartStax MC Herculex MC ÉDITION CANADIENNE Le présent guide d utilisation du produit (le guide) établit les exigences pour la culture des hybrides

Plus en détail

DOSSIER DE PRESSE. Organisateur. Contact. Carolina Cardoso cardoso@bee- life.eu Chargée de communication + 32 (0)10 47 34 16 + 32 496 87 46 85

DOSSIER DE PRESSE. Organisateur. Contact. Carolina Cardoso cardoso@bee- life.eu Chargée de communication + 32 (0)10 47 34 16 + 32 496 87 46 85 DOSSIER DE PRESSE Organisateur CARI asbl Place Croix du Sud, 4 1348 Louvain la Neuve +32 (0)10 47 34 16 www.cari.be Contact Carolina Cardoso cardoso@bee- life.eu Chargée de communication + 32 (0)10 47

Plus en détail

ATELIER SANTE PREVENTION N 2 : L ALIMENTATION

ATELIER SANTE PREVENTION N 2 : L ALIMENTATION ATELIER SANTE PREVENTION N 2 : L ALIMENTATION Mardi 24 janvier 2012 au Centre de Formation Multimétiers de REIGNAC L objectif de cet atelier sur la santé est de guider chacun vers une alimentation plus

Plus en détail

JEUNE CONSEIL DE MONTRÉAL

JEUNE CONSEIL DE MONTRÉAL JEUNE CONSEIL DE MONTRÉAL XXVII e Édition Règlement n o 2014-02 : Règlement sur le développement des toits verts et l agriculture urbaine PRÉSENTATION Présenté par M. Charles Marois, membre du comité exécutif,

Plus en détail

D où viennent nos semences. Visite virtuelle d un site de production de semences de maïs Monsanto

D où viennent nos semences. Visite virtuelle d un site de production de semences de maïs Monsanto D où viennent nos semences Visite virtuelle d un site de production de semences de maïs Monsanto Monsanto a pour objectif de permettre aux agriculteurs de petites et grandes exploitations de produire davantage

Plus en détail

AVIS adopté par le Conseil économique et social au cours de sa séance du 7 juillet 1999... I - 1

AVIS adopté par le Conseil économique et social au cours de sa séance du 7 juillet 1999... I - 1 III SOMMAIRE Pages AVIS adopté par le Conseil économique et social au cours de sa séance du 7 juillet 1999... I - 1 INTRODUCTION...3 TITRE I - LA FRANCE FACE AU DÉFI DES BIOTECHNOLOGIES : APPROCHE GÉNÉRALE...5

Plus en détail

Les futures techniques de lutte contre les punaises de lit Taz Stuart 204.292.8444 tdts@tdts.ca

Les futures techniques de lutte contre les punaises de lit Taz Stuart 204.292.8444 tdts@tdts.ca Les futures techniques de lutte contre les punaises de lit Taz Stuart 204.292.8444 tdts@tdts.ca Phéromones d alarme. En phase de recherche. Aldéhydes 4-oxo-hexénal et 4-oxo-octénal chez les punaises de

Plus en détail

Normes internationales pour les mesures phytosanitaires (NIMPs)

Normes internationales pour les mesures phytosanitaires (NIMPs) 105 Annexe 3 Normes internationales pour les mesures phytosanitaires (NIMPs) On trouvera ci-après une description succincte des NIMP adoptées. Le texte intégral des NIMP peut être consulté sur le Site

Plus en détail

Toxicité à long-terme d un herbicide Roundup et d un maïs modifié génétiquement pour tolérer le Roundup

Toxicité à long-terme d un herbicide Roundup et d un maïs modifié génétiquement pour tolérer le Roundup A l attention de toutes les personnes qui se méfient des jugements de valeur fussent-ils émis par des scientifiques- et qui préfèrent capter les informations à leur source pour s en faire une opinion personnelle.

Plus en détail

GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE

GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les

Plus en détail

Un expérience pluridisciplinaire de l intensification écologique en Agriculture Familiale

Un expérience pluridisciplinaire de l intensification écologique en Agriculture Familiale Le développement du semis-direct sous couverture végétale pour les agriculteurs des exploitations familiales des biomes Cerrados (2005-2009) et Amazonia (2008-2013) Un expérience pluridisciplinaire de

Plus en détail

Annexe 1. Glossaire... 19 Annexe 2. Éléments de gestion de la PFQ de produit GM dans le grain... 22

Annexe 1. Glossaire... 19 Annexe 2. Éléments de gestion de la PFQ de produit GM dans le grain... 22 Projet de politique nationale sur la gestion de la présence de faibles quantités de cultures génétiquement modifiées dans les importations et son cadre de mise en œuvre connexe Septembre 2012 Table des

Plus en détail

Tâche : Comparer l étiquette de produits alimentaires afin de connaître leur valeur nutritive.

Tâche : Comparer l étiquette de produits alimentaires afin de connaître leur valeur nutritive. 13 aliments pour une bonne santé Valeurs nutritives Grande compétence A Rechercher et utiliser de l information Groupe de tâches A2 : Interpréter des documents Grande compétence C Comprendre et utiliser

Plus en détail

La Bio pour quoi faire? Une vision du monde de la Bio et quelques perspectives

La Bio pour quoi faire? Une vision du monde de la Bio et quelques perspectives La Bio pour quoi faire? Une vision du monde de la Bio et quelques perspectives Juin 2012 Lionel FRANCOIS Sommaire La Bio, pourquoi? La Bio c est quoi? La situation de la Bio Les acteurs du Bio Le paysan

Plus en détail

AVANT-PROPOS. Directeur de la Division de la statistique de la FAO

AVANT-PROPOS. Directeur de la Division de la statistique de la FAO AVANT-PROPOS L Annuaire statistique de la FAO fournit une sélection d indicateurs par pays sur l alimentation et l agriculture. Les données proviennent de FAOSTAT, la base de données statistique de l Organisation

Plus en détail

Conférence technique internationale de la FAO

Conférence technique internationale de la FAO Décembre 2009 ABDC-10/7.2 F Conférence technique internationale de la FAO Biotechnologies agricoles dans les pays en développement: choix et perspectives pour les cultures, les forêts, l élevage, les pêches

Plus en détail

Comment utiliser les graines de soja à la cuisine

Comment utiliser les graines de soja à la cuisine Comment utiliser les graines de soja à la cuisine Auteur : Renate Schemp Box 90612 Luanshya Zambie Traduction : SECAAR Service Chrétien d Appui à l Animation Rurale 06 BP 2037 Abidjan 06 Côte d Ivoire

Plus en détail

«QUI SOMMES-NOUS? AUJOURD HUI, NOUS SOMMES UNE ENTREPRISE COMPOSÉE DE NOMBREUX AMOUREUX DES ANIMAUX...»

«QUI SOMMES-NOUS? AUJOURD HUI, NOUS SOMMES UNE ENTREPRISE COMPOSÉE DE NOMBREUX AMOUREUX DES ANIMAUX...» «QUI SOMMES-NOUS? AUJOURD HUI, NOUS SOMMES UNE ENTREPRISE COMPOSÉE DE NOMBREUX AMOUREUX DES ANIMAUX...» Pier Giovanni Capellino Fondateur et Président d Almo Nature 1 DOSSIER PRESSE TABLE DES MATIÈRES

Plus en détail

Environnement, économie, société : le maïs sur tous les fronts

Environnement, économie, société : le maïs sur tous les fronts Environnement, économie, société : le maïs sur tous les fronts Millions t 3 000 2 500 2 000 1 500 1 000 La demande en grains va augmenter avec la population 500 MAÏS : +76% 0 2000 2010 2015 2020 2030 RIZ

Plus en détail

PRODUITS MORTELS LES PESTICIDES DANS LE COTON

PRODUITS MORTELS LES PESTICIDES DANS LE COTON Pe s t i c i d e A c t i o n N e t w o r k U K PRODUITS MORTELS LES PESTICIDES DANS LE COTON Résumé exécutif et Recommendations 5 St Peter s St London N1 8JD Royaume Uni t: +44 (0)20 7359 0440 f: +44 (0)20

Plus en détail

Sciences de la vie et de la Terre

Sciences de la vie et de la Terre Sciences de la vie et de la Terre Thème 2 B Enjeux planétaires contemporains - La plante domestiquée Table des matières 1 : La plante cultivée : le Maïs...Erreur! Signet non défini. 2 : Les variétés de

Plus en détail

Qualités nutritives des salades. DOSSIER SPéCIAL BIO F R C magazine FéVRIER 2010 N O 25. Quand la météo s en mêle

Qualités nutritives des salades. DOSSIER SPéCIAL BIO F R C magazine FéVRIER 2010 N O 25. Quand la météo s en mêle DOSSIER SPéCIAL BIO F R C magazine FéVRIER 2010 N O 25 Laitues d hiver Moins de pe Les laitues pommées bio se révèlent exemptes de pesticides. Plus «Bonne nouvelle: toutes les salades sont conformes et

Plus en détail

Jeu de l ingénierie écologique. mémo du joueur

Jeu de l ingénierie écologique. mémo du joueur Jeu de l ingénierie écologique mémo du joueur Contexte Qu est-ce que l ingénierie écologique? L ingénierie écologique peut être définie par une action par et/ou pour le vivant. Plus précisément, le vivant

Plus en détail

Besoins de recherche et de transfert en agriculture biologique Horizon 2016

Besoins de recherche et de transfert en agriculture biologique Horizon 2016 Besoins de recherche et de transfert en agriculture biologique Horizon 2016 Comité agriculture biologique du Centre de référence en agriculture et agroalimentaire du Québec (CAAQ) Octobre 2012 mise à jour

Plus en détail

Aspartame ou stévia: le duel

Aspartame ou stévia: le duel Nutri sciences Aspartame ou stévia: le duel L aspartame fait peur, le stévia rassure. L un sort des laboratoires et a une connotation artificielle, l autre est issu des champs de Stevia et cultive une

Plus en détail

Treize mesures pour une agriculture écologique. Document de position des Verts suisses

Treize mesures pour une agriculture écologique. Document de position des Verts suisses Treize mesures pour une agriculture écologique Document de position des Verts suisses Adopté par l assemblée des délégué-e-s du 19 septembre 2009 Selon l article 104 de la Constitution fédérale, l agriculture

Plus en détail

Assemblée Générale ASSOCIATION DES MAIRES RURAUX DU PUY-de-DÔME. La nouvelle règlementation Nutrition pour les cantines scolaires

Assemblée Générale ASSOCIATION DES MAIRES RURAUX DU PUY-de-DÔME. La nouvelle règlementation Nutrition pour les cantines scolaires Assemblée Générale ASSOCIATION DES MAIRES RURAUX DU PUY-de-DÔME Vendredi 9 Décembre 2011 Pontaumur La nouvelle règlementation Nutrition pour les cantines scolaires Emilie CHANSEAUME Lucile AUMOINE Céline

Plus en détail

2.0 Interprétation des cotes d évaluation des risques relatifs aux produits

2.0 Interprétation des cotes d évaluation des risques relatifs aux produits 2.0 Interprétation des cotes d évaluation des risques relatifs aux produits L interprétation des cotes attribuées dans le cadre des évaluations des risques relatifs aux produits décrite plus loin repose

Plus en détail

Enjeux et Perspectives de la composante «Environnement Santé» du Plan d Action de l Initiative Environnement du NEPAD

Enjeux et Perspectives de la composante «Environnement Santé» du Plan d Action de l Initiative Environnement du NEPAD PRÉSENTATION POWER POINT Enjeux et Perspectives de la composante «Environnement Santé» du Plan d Action de l Initiative Environnement du NEPAD Cheikh FOFANA, Assistant au Secrétaire Exécutif, Secrétariat

Plus en détail

L EAU POTABLE : COMMENT LA PRÉSERVER Bien que l eau soit une ressource renouvelable, il ne faut pas pour autant la gaspiller. Les Québécois sont les

L EAU POTABLE : COMMENT LA PRÉSERVER Bien que l eau soit une ressource renouvelable, il ne faut pas pour autant la gaspiller. Les Québécois sont les L EAU POTABLE : COMMENT LA PRÉSERVER Bien que l eau soit une ressource renouvelable, il ne faut pas pour autant la gaspiller. Les Québécois sont les deuxièmes plus grands consommateurs d eau potable, juste

Plus en détail

TP N 3 La composition chimique du vivant

TP N 3 La composition chimique du vivant Thème 1 : La Terre dans l'univers, la vie et l'évolution du vivant : une planète habitée Chapitre II : La nature du vivant TP N 3 La composition chimique du vivant Les conditions qui règnent sur terre

Plus en détail

1st International Workshop on Harmonization of GMO Detection and Analysis in the Middle East and North Africa (MENA) Region

1st International Workshop on Harmonization of GMO Detection and Analysis in the Middle East and North Africa (MENA) Region Université Mentouri Constantine 1st International Workshop on Harmonization of GMO Detection and Analysis in the Middle East and North Africa (MENA) Region Dead Sea, Jordan, 4-5 June 2012. 1 Les OGMen

Plus en détail

Cahier des bonnes pratiques pour un nettoyage écologique des locaux du Conseil Général de la Gironde

Cahier des bonnes pratiques pour un nettoyage écologique des locaux du Conseil Général de la Gironde Le Conseil Général ménage votre santé! Cahier des bonnes pratiques pour un nettoyage écologique des locaux du Conseil Général de la Gironde Sommaire 1. Pourquoi créer ce cahier pratique du nettoyage écologique?

Plus en détail

Une espèce exotique envahissante: Le Roseau commun. ou Phragmites australis

Une espèce exotique envahissante: Le Roseau commun. ou Phragmites australis Une espèce exotique envahissante: Le Roseau commun ou Phragmites australis Indigène vs exotique Il y a deux sous-espèces de Phragmites australis, L indigène: n envahit pas le milieu, cohabite avec les

Plus en détail

Swisscanto (CH) Equity Fund Green Invest

Swisscanto (CH) Equity Fund Green Invest Swisscanto (CH) Equity Fund Green Invest Profil Développement durable Etat: août 2012 1 Le fonds a été contrôlé par le Comité pour un développement durable et satisfait les critères d attribution du label

Plus en détail

JUIN 2012 DÉCEMBRE 2008. L étiquetage des denrées alimentaires. L information des consommateurs,

JUIN 2012 DÉCEMBRE 2008. L étiquetage des denrées alimentaires. L information des consommateurs, JUIN 2012 DÉCEMBRE 2008 INFO RÉGLEMENTATION info L étiquetage des denrées alimentaires L information des consommateurs, focus sur le règlement européen INCO L e règlement européen n 1169/2011 (ci-après

Plus en détail

Tableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline

Tableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline Tableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline (Valeur énergétique : 38 kcal/10 g) Composition nutritionnelle Composition pour 10 g Rôle Protéines (végétales) 55 à 70 % Construction

Plus en détail

MYCOTOXINES : changements règlementaires et analytiques

MYCOTOXINES : changements règlementaires et analytiques MYCOTOXINES : changements règlementaires et analytiques E. MARENGUE ( LDA22 ) et S. HULOT ( IDAC ) PLAN 1) La problématique 2) Les évolutions règlementaires 3) L échantillonnage : étape clé 4) Les techniques

Plus en détail

4. Notice d utilisation

4. Notice d utilisation Clauses techniques pour une prise en compte de la réduction de l utilisation des produits phytopharmaceutiques dans les marchés publics d entretien et de conception des espaces publics Mars 2012 Action

Plus en détail

Prix Pierre Potier L innovation en chimie au bénéfice de l environnement

Prix Pierre Potier L innovation en chimie au bénéfice de l environnement Prix Pierre Potier L innovation en chimie au bénéfice de l environnement A l initiative de François Loos Ministre délégué à l Industrie Page 1 Prix Pierre Potier L innovation en chimie au bénéfice de l

Plus en détail

* Extraits d'un entretien effectué dans le Karyassa 'supres de membres d'un clan Tamashek, les Kel Taddak. Document présenté par Etienne Le Roy.

* Extraits d'un entretien effectué dans le Karyassa 'supres de membres d'un clan Tamashek, les Kel Taddak. Document présenté par Etienne Le Roy. (< Le chez soi pour nous, c'est l'eau 11 Cet entretien a été réalisé chez les Tamashek par J.-M. Yung le 30 novembre 1988, et traduit U au pied de la dune n. Il nous a impressionné. Le choix des extraits

Plus en détail

au concept de «développement durable» Pour une éducation ouverte sur le monde

au concept de «développement durable» Pour une éducation ouverte sur le monde Fiche prolongement 6 Du lien entre environnement et développement au concept de «développement durable» Pour une éducation ouverte sur le monde 20% de la population mondiale consomme 87 % des ressources

Plus en détail

Les débouchés des diplômés de L LMD Sciences de la Nature et de la Vie

Les débouchés des diplômés de L LMD Sciences de la Nature et de la Vie Les débouchés des diplômés de L LMD Sciences de la Nature et de la Vie Pour quel métier vous êtes fait? Des doutes sur ta formation actuelle : faut-il poursuivre? Vous avez une idée de métier mais est-ce

Plus en détail

Master professionnel aliments, microbiologie, assurance qualité

Master professionnel aliments, microbiologie, assurance qualité Master professionnel aliments, microbiologie, assurance qualité OBJEIFS Parcours Microbiologie appliquée à l agro-alimentaire et l agro-environnement La spécialité a pour but de former des cadres de haut

Plus en détail

République de Côte d Ivoire NOTE D INFORMATION UN INSTRUMENT PROFESSIONNEL AU CŒUR DU DEVELOPPEMENT AGRICOLE ET DES FILIERES DE PRODUCTION

République de Côte d Ivoire NOTE D INFORMATION UN INSTRUMENT PROFESSIONNEL AU CŒUR DU DEVELOPPEMENT AGRICOLE ET DES FILIERES DE PRODUCTION République de Côte d Ivoire NOTE D INFORMATION UN INSTRUMENT PROFESSIONNEL AU CŒUR DU DEVELOPPEMENT AGRICOLE ET DES FILIERES DE PRODUCTION Investir pour le futur Anticiper - Innover 01 BP 3726 ABIDJAN

Plus en détail

«Agir rend heureux» POUR DES ACHATS RESPECTUEUX DE L ENVIRONNEMENT, DES FEMMES ET DES HOMMES, GOODPLANET VOUS INFORME ET CASINO VOUS DONNE LE CHOIX!

«Agir rend heureux» POUR DES ACHATS RESPECTUEUX DE L ENVIRONNEMENT, DES FEMMES ET DES HOMMES, GOODPLANET VOUS INFORME ET CASINO VOUS DONNE LE CHOIX! «Agir rend heureux» Yann Arthus-Bertrand FONDATEUR DE LA FONDATION GOODPLANET POUR DES ACHATS RESPECTUEUX DE L ENVIRONNEMENT, DES FEMMES ET DES HOMMES, GOODPLANET VOUS INFORME ET CASINO VOUS DONNE LE CHOIX!

Plus en détail

FORMATION OBLIGATOIRE A L HYGIENE ALIMENTAIRE

FORMATION OBLIGATOIRE A L HYGIENE ALIMENTAIRE FORMATION OBLIGATOIRE A L HYGIENE ALIMENTAIRE REFERENTIEL DE CAPACITE DE L OPERATEUR EN RESTAURATION COMMERCIALE (annexe II de l arrêté du 5 octobre 2011) Conseils d utilisation: Vous pouvez suivre la

Plus en détail

Les objectifs du règlement sur l utilisation des engrais et des pesticides sont de :

Les objectifs du règlement sur l utilisation des engrais et des pesticides sont de : GUIDE EXPLICATIF POUR LES CITOYENS RÈGLEMENT SUR L UTILISATION DES ENGRAIS ET DES PESTICIDES Les objectifs du règlement sur l utilisation des engrais et des pesticides sont de : Réduire l apport par ruissellement

Plus en détail

Le but de la radioprotection est d empêcher ou de réduire les LES PRINCIPES DE LA RADIOPROTECTION

Le but de la radioprotection est d empêcher ou de réduire les LES PRINCIPES DE LA RADIOPROTECTION LES PRINCIPES DE LA RADIOPROTECTION TOUT PUBLIC 1. Source de rayonnements ionisants 2. Les différents rayonnements ionisants et leur capacité à traverser le corps humain 3. Ecran de protection absorbant

Plus en détail

MONTELIMAR ENERGIE POSITIVE

MONTELIMAR ENERGIE POSITIVE STRATEGIE DEVELOPPEMENT DURABLE 2014/2020 document interne MONTELIMAR ENERGIE POSITIVE p.1/11 BIODIVERSITE & ENERGIE 2 ATOUTS FORTS POUR REPONDRE AUX ATTENTES DES MONTILIENS EN MATIERE DE DEVELOPPEMENT

Plus en détail

lire les Étiquettes et trouver les sucres cachés

lire les Étiquettes et trouver les sucres cachés lire les Étiquettes et trouver les sucres cachés Objectif : Sensibiliser les élèves à ce qui se trouve dans leur nourriture et les aider à se méfi er des sucres cachés. Matériel Feuille à imprimer : Chaîne

Plus en détail

Le VIH et votre foie

Le VIH et votre foie Le VIH et votre foie Le VIH et votre foie Que dois-je savoir au sujet de mon foie? Votre foie joue un rôle incroyablement important. Il filtre votre sang en éliminant les substances nocives (toxiques)

Plus en détail

Un peu d histoire. Lutte biologique. Que retirer de l expérience des producteurs de légumes de serre?

Un peu d histoire. Lutte biologique. Que retirer de l expérience des producteurs de légumes de serre? Lutte biologique ------------------------------ Un peu d histoire ------------------------- Que retirer de l expérience des producteurs de légumes de serre? Par : ANDRÉ CARRIER, agronome, M. Sc. Conseiller

Plus en détail

RÉSULTATS DE L OBSERVATOIRE TECHNICO-ÉCONOMIQUE DU RAD Synthèse 2011 - Exercice comptable 2010

RÉSULTATS DE L OBSERVATOIRE TECHNICO-ÉCONOMIQUE DU RAD Synthèse 2011 - Exercice comptable 2010 Les essentiels du Réseau agriculture durable RÉSULTATS DE L OBSERVATOIRE TECHNICO-ÉCONOMIQUE DU Synthèse 2011 - Exercice comptable 2010 Réseau d information comptable agricole du Ministère de l Agriculture,

Plus en détail

Petit conservatoire dans un jardin des Collines du Paradis

Petit conservatoire dans un jardin des Collines du Paradis Petit conservatoire dans un jardin des Collines du Paradis L espace d un an suffit pour constater la richesse et la diversité des populations d insectes qui prospectent dans le moindre carré de jardin.

Plus en détail

Pour une meilleure santé

Pour une meilleure santé Pour une meilleure santé LA CONSOMMATION QUOTIDIENNE DE VIANDE APPORTE DES GRAISSES SATURÉES. => AUGMENTATION TAUX DE CHOLESTÉROL ET MALADIES CARDIO-VASCULAIRES. => RISQUE DE SURPOIDS ET D'OBÉSITÉ. LES

Plus en détail

Fiche technique n 1 : le logement construction des boxes.

Fiche technique n 1 : le logement construction des boxes. Bâtiments d élevage : Pourquoi? Aspects climatiques : Fiche technique n 1 : le logement construction des boxes. - le porc est sensible aux brusques changements du climat, - surexposition au soleil : déshydratation

Plus en détail

AVIS D APPEL A CANDIDATURE POUR LE RECRUTEMENT DES MEMBRES DU COMITE SCIENTIFIQUE DE L AGENCE BENINOISE DE SECURITE SANITAIRE DES ALIMENTS (ABSSA)

AVIS D APPEL A CANDIDATURE POUR LE RECRUTEMENT DES MEMBRES DU COMITE SCIENTIFIQUE DE L AGENCE BENINOISE DE SECURITE SANITAIRE DES ALIMENTS (ABSSA) REPUBLIQUE DU BENIN FRATERNITE JUSTICE TRAVAIL MINISTERE DE L AGRICULTURE, DE L ELEVAGE ET DE LA PECHE SECRETARIAT GENERAL DU MINISTERE AGENCE BENINOISE DE SECURITE SANITAIRE DES ALIMENTS (ABSSA) 01 BP

Plus en détail

Utilisation de produits sains et sûrs Mise en oeuvre de procédures strictes et rigoureuses

Utilisation de produits sains et sûrs Mise en oeuvre de procédures strictes et rigoureuses INTRODUCTION H.A.C.C.P. ou A.R.M.P.C. L Analyse des risques et maîtrise des points critique La nouvelle réglementation en matière d hygiène (ar. 09 mai 1995 et ar. 29 septembre 1997) oblige les responsables

Plus en détail

Les principaux thèmes liés à cette cause sont :

Les principaux thèmes liés à cette cause sont : S engager pour l environnement Les hommes sont dépendants de leur environnement : c est leur lieu de vie. C est pourquoi lutter contre la pollution et le gaspillage est important. La défense de l environnement,

Plus en détail

CENTRE DE RECHERCHE EN SCIENCES ANIMALES DE DESCHAMBAULT. Plan HACCP bœuf qualité plus pour les bovins de boucherie

CENTRE DE RECHERCHE EN SCIENCES ANIMALES DE DESCHAMBAULT. Plan HACCP bœuf qualité plus pour les bovins de boucherie CENTRE DE RECHERCHE EN SCIENCES ANIMALES DE DESCHAMBAULT Plan HACCP bœuf qualité plus pour les bovins de boucherie Voici le Programme de salubrité des aliments à la ferme pour le bœuf- Bœuf Qualité Plus-

Plus en détail

Devenez point de chute d une ferme du réseau québécois d agriculture soutenue par la communauté (ASC)

Devenez point de chute d une ferme du réseau québécois d agriculture soutenue par la communauté (ASC) GUIDE À L INTENTION DES ORGANISATIONS Devenez point de chute d une ferme du réseau québécois d agriculture soutenue par la communauté (ASC) Pour des paniers de légumes locaux et sains, directement livrés

Plus en détail

Enterprise Europe Network, CCI de Lyon Contact : Catherine Jamon-Servel Tél : 04 72 40 57 46 Mail : jamon@lyon.cci.fr www.lyon.cci.

Enterprise Europe Network, CCI de Lyon Contact : Catherine Jamon-Servel Tél : 04 72 40 57 46 Mail : jamon@lyon.cci.fr www.lyon.cci. FICHE PRATIQUE LES PRODUITS BIOCIDES Enterprise Europe Network, CCI de Lyon Contact : Catherine Jamon-Servel Tél : 04 72 40 57 46 Mail : jamon@lyon.cci.fr www.lyon.cci.fr/een La Chambre de commerce et

Plus en détail

RESOLUTION OIV-VITI 469-2012 GUIDE D APPLICATION DU SYSTÈME HACCP (HAZARD ANALYSIS AND CRITICAL CONTROL POINTS) A LA VITICULTURE DE L OIV

RESOLUTION OIV-VITI 469-2012 GUIDE D APPLICATION DU SYSTÈME HACCP (HAZARD ANALYSIS AND CRITICAL CONTROL POINTS) A LA VITICULTURE DE L OIV RESOLUTION OIV-VITI 469-2012 GUIDE D APPLICATION DU SYSTÈME HACCP (HAZARD ANALYSIS AND CRITICAL CONTROL POINTS) A LA VITICULTURE DE L OIV L ASSEMBLÉE GÉNÉRALE, Suivant la proposition de la Commission I

Plus en détail

Plan de Maîtrise Sanitaire ALPA CONSULT NORD REPRODUCTION INTERDITE

Plan de Maîtrise Sanitaire ALPA CONSULT NORD REPRODUCTION INTERDITE Plan de Maîtrise Sanitaire SOMMAIRE A) Généralités 1- Historique du Plan de Maîtrise Sanitaire (PMS) 2- Réglementation alimentaire B) Les Bonnes Pratiques d Hygiène 1- Le personnel 2- La maintenance 3-

Plus en détail

CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES

CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES FOURNITURE ET LIVRAISON DE REPAS EN LIAISON FROIDE DESTINES AU SERVICE DE LA RESTAURATION SCOLAIRE DE LA COMMUNE DE SEMBLANÇAY N MARCHE : CANT.2009 CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES Personne

Plus en détail

Qui sont-ils? Pedro. Tamacha. 9 En quantité, Tamacha mange suffisamment, mais son alimentation n est pas satisfaisante en qualité.

Qui sont-ils? Pedro. Tamacha. 9 En quantité, Tamacha mange suffisamment, mais son alimentation n est pas satisfaisante en qualité. Pedro Tamacha 9 Normalement, Pedro devrait consommer 3 100 kcal/jour pour être en bonne santé et avoir une activité normale, il lui manque 800 calories. 9 Son régime alimentaire est composé de riz, pommes

Plus en détail

Les méthodes de luttes : De la protection «systématique» à la Protection Intégrée (P.B.I.)

Les méthodes de luttes : De la protection «systématique» à la Protection Intégrée (P.B.I.) Les méthodes de luttes : De la protection «systématique» à la Protection Intégrée (P.B.I.) Protection Biologique Intégrée Lutte phytosanitaire De la lutte «systématique» à la lutte raisonnée La lutte «systématique»

Plus en détail

UTILISATION CONTEMPORAINE DU CHEVAL DE TRAIT

UTILISATION CONTEMPORAINE DU CHEVAL DE TRAIT Le cheval, UTILISATION CONTEMPORAINE DU CHEVAL DE TRAIT un moteur d insertion écologique, durable, économique, créatif... Une énergie renouvelable. Un brin d Histoire... Les années de Gloire et le déclin.

Plus en détail

Liste des matières enseignées

Liste des matières enseignées Liste des matières enseignées Domaine : Sciences de la Nature et de la Vie Filière : Biologie Parcours : Tronc Commun Semestre1 VHG Coefficient Cours TD/TP Crédits/s. unité crédits U.E fondamental : 13

Plus en détail

RAID PIEGES ANTI-FOURMIS x 2 1/5 Date de création/révision: 25/10/1998 FICHE DE DONNEES DE SECURITE NON CLASSE

RAID PIEGES ANTI-FOURMIS x 2 1/5 Date de création/révision: 25/10/1998 FICHE DE DONNEES DE SECURITE NON CLASSE RAID PIEGES ANTI-FOURMIS x 2 1/5 RAISON SOCIALE JOHNSONDIVERSEY FICHE DE DONNEES DE SECURITE RISQUES SPECIFIQUES NON CLASSE 1 IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE - NOM DU PRODUIT RAID PIEGES ANTI-FOURMIS

Plus en détail

Projet Fish & Catering Sector (Mise à jour du 13/10/08)

Projet Fish & Catering Sector (Mise à jour du 13/10/08) Projet Fish & Catering Sector (Mise à jour du 13/10/08) Une initiative conjointe de : En association avec : A. Introduction de la notion «d alimentation durable» en restauration collective. La notion «d

Plus en détail

PROTECTION DE PRODUITS EN IG

PROTECTION DE PRODUITS EN IG PROTECTION DE PRODUITS EN IG Ousman ABDOU Ingénieur Agrométéorologue Expert de l Agriculture en IG Point focal IG/OAPI Direction Générale de l Agriculture Tel: (00227) 90 34 09 28 Email: ous_ab@yahoo.fr

Plus en détail

Allégations relatives à la teneur nutritive

Allégations relatives à la teneur nutritive Allégations relatives à la teneur nutritive Mots utilisés dans les allégations relatives à la teneur nutritive Ce que le mot signifie Exemples Sans Faible Réduit Source de Léger Une quantité insignifiante

Plus en détail

CONFÉRENCE. Grande culture biologique et semis direct. Les essais Rodale. Conférence présentée au cégep de Victoriaville, le 28 février 2013

CONFÉRENCE. Grande culture biologique et semis direct. Les essais Rodale. Conférence présentée au cégep de Victoriaville, le 28 février 2013 Club CDA CONFÉRENCE Grande culture biologique et semis direct Les essais Rodale Conférence présentée au cégep de Victoriaville, le 28 février 2013 Projet 12-INNO2-04 Jeff Moyer1, Denis La France 2, Fin

Plus en détail

LISTE V AU PROTOCOLE A MAROC. Description des produits

LISTE V AU PROTOCOLE A MAROC. Description des produits LISTE V AU PROTOCOLE A MAROC 04.03 Babeurre, lait et crème caillés, yoghourt, képhir et autres laits et crèmes fermentés ou acidifiés, même concentrés ou additionnés de sucre ou d'autres édulcorants ou

Plus en détail

Le VIH et votre cœur

Le VIH et votre cœur Le VIH et votre cœur Le VIH et votre cœur Que dois-je savoir au sujet de mon cœur? Les maladies cardiovasculaires représentent une des cause les plus courante de décès, elles incluent: les maladies coronariennes,

Plus en détail

LES JARDINIERS DU CHEF

LES JARDINIERS DU CHEF Propriétaires : Pierre-André Daignault et Nathalie Roy Les Jardiniers du Chef est une ferme maraîchère et serricole familiale établie depuis 1994. L acquisition d une haute réputation auprès des meilleures

Plus en détail

Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve

Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Différentes

Plus en détail

Ressources pour l école élémentaire

Ressources pour l école élémentaire Ressources pour l école élémentaire éduscol Découverte du monde Progressions pour le cours préparatoire et le cours élémentaire première année Ces documents peuvent être utilisés et modifiés librement

Plus en détail

SKW. Les enzymes dans la technologie des détergents. Schweizerischer Kosmetikund Waschmittelverband

SKW. Les enzymes dans la technologie des détergents. Schweizerischer Kosmetikund Waschmittelverband SKW Schweizerischer Kosmetikund Waschmittelverband Association suisse des cosmétiques et des détergents The Swiss Cosmetic and Detergent Association Les enzymes dans la technologie des détergents Les enzymes

Plus en détail

PAC. ce qui change. vraiment

PAC. ce qui change. vraiment PAC 2014 2020 ce qui change vraiment Dotée d un budget préservé de l ordre de 9,1 milliards par an, la nouvelle pac entrera pleinement en application en 2015 et sera le cadre commun de l agriculture européenne

Plus en détail

Le compost. Un petit écosystème au jardin

Le compost. Un petit écosystème au jardin Le compost Un petit écosystème au jardin En utilisant du compost au jardin, nous rendons les matières organiques produites par le jardin ou par notre alimentation, à l écosystème naturel. Ainsi l écosystème

Plus en détail

La production de Semences potagères

La production de Semences potagères La production de Semences potagères Intérêts de l autoproduction de semences Les producteurs qui se lancent dans leur propre production de semences le font pour diverses raisons. Maintien d une biodiversité

Plus en détail

Hygiène alimentaire en restauration collective

Hygiène alimentaire en restauration collective 1 2 3 4 5 6 7 Catalogue 2011 Audit, conseil et formation Hygiène alimentaire en restauration collective Laboratoire Départemental de la Côte-d'Or Sommaire 1 2 3 4 5 6 7 Sensibilisation à l hygiène alimentaire

Plus en détail

Canada Province de Québec Ville de Sainte-Marguerite-du-Lac-Masson

Canada Province de Québec Ville de Sainte-Marguerite-du-Lac-Masson Canada Province de Québec Ville de Sainte-Marguerite-du-Lac-Masson RÈGLEMENT # 72-2013 Règlement concernant l utilisation des pesticides et des engrais sur le territoire de la Ville de Sainte- Marguerite-du-Lac-Masson.

Plus en détail

Formulaire d'adhésion PEFC

Formulaire d'adhésion PEFC Formulaire d'adhésion PEFC Acte d'engagement du propriétaire dans la démarche de certification par portage proposée par la Coopérative Provence Forêt I Présentation La certification PEFC doit permettre

Plus en détail

Hygiène alimentaire en restauration collective

Hygiène alimentaire en restauration collective Catalogue de formations 2012 Audit, conseil et formation Hygiène alimentaire en restauration collective Laboratoire Départemental de la Côte-d'Or 1 2 3 4 5 6 7 8 Sommaire Sensibilisation à l hygiène alimentaire

Plus en détail

HERBIER NUMERIQUE COLLABORATIF DE MAURICE. enseignants des établissements à programme français de Maurice

HERBIER NUMERIQUE COLLABORATIF DE MAURICE. enseignants des établissements à programme français de Maurice HERBIER NUMERIQUE COLLABORATIF DE MAURICE par et pour les élèves et les par et pour les élèves et les enseignants des établissements à programme français de Maurice Un herbier numérique collaboratif? Une

Plus en détail

Extraction Assistée par Ultrasons

Extraction Assistée par Ultrasons Extraction Assistée par Ultrasons Extraction par ultrasons au laboratoire Deux types d équipements à ultrasons sont couramment utilisés dans le laboratoire. Le premier est le bain de nettoyage à ultrasons

Plus en détail