Chapitre 4 Bandes d énergie, semi-conducteurs
|
|
- Louise Chabot
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Chapitre 4 Bandes d énergie, semi-conducteurs 1
2 Sommaire I. Semi-conducteurs 1. Conduction dans les solides 2. Constitution et structure 3. Couleurs des semi-conducteurs 4. Dopage des semi-conducteurs II. Approche d Hoffmann des bandes d énergie 1. Systèmes moléculaires étendus 2. Approche d Hoffmann : la vue du chimiste 3. Influence de la nature et du recouvrement des orbitales 4. Exemple du platinocyanure 2
3 Conductivité dans les solides : s / (W -1 m -1 ) Métaux Ag,Cu Fe Bi Composés d insertion du graphite Cristaux organiques conducteurs Semiconducteurs Ge Si Polyacétylènes dopés Isolants verre Polyacétylène Colorants organiques diamant quartz Polyéthylène Polystyrène, téflon 3 Plus de 20 ordres de grandeur!
4 1. Bandes d énergie Bande de conduction Métal Bande de valence Isolant ou Semi-conducteur Théorie des bandes : 1928 Sommerfeld, Bloch Le mouvement des électrons est affecté par le potentiel électrique des atomes fixés dans la structure périodique du métal. L état d énergie des électrons dans la matière est quantifié : seules certaines énergies sont accessibles 4
5 Electron libre Energie cinétique : k E 2m Electron dans un cristal + terme d'énergie potentielle (potentiel électrostatique Diagramme énergie/vecteur d onde k des ions du cristal) La parabole correspondant à l'électron libre est «brisée» au niveau des valeurs de k correspondant au cristal, certaines énergies deviennent inaccessibles 5 bandes interdites
6 Bandes d énergie de quelques semi-conducteurs usuels Dépendent des directions cristallographiques Ge Si GaAs 6
7 Le comportement est dominé par ce qui se passe en haut de la bande de valence et en bas de la bande de conduction Diagrammes simplifiés : Énergie E g Métal Semiconducteur Isolant selon la taille du gap E g 7
8 2. Constitution et structure III IV V VI VII B C N O F I II Al Si P S Cl Cu Zn Ga Ge As Se Br Ag Cd In Sn Sb Te I Au Hg Tl Pb Pb Po At Si, Ge Composés 1:1 isoélectroniques du groupe IV Alliages ternaires (ou plus) ex Ga x In 1-x P ex GaAs, InP, CdSe En moyenne 4 électrons de valence par atome couche de valence pleine semi-conduction possible 8
9 Deux réseaux cfc interpénétrés C, C ou As, Ga Structure Diamant : même motif pour les 2 réseaux (C, Si, Ge) Zinc-blende (GaAs, InP, ) : chacun des atomes possède son réseau 9
10 E g (ev) dépend de la composition chimique : Groupe IV C diamant 5.47 rayon Si 1.12 Ge 0.66 Eg Sn métal Composés I-VII Composés II-VI Composés III-V LiF LiCl ZnS 3.8 AlP AlAs N NaF NaCl ZnSe ZnTe AlSb GaN Ga P NaBr 7.5 CdS 2.6 GaP 2.3 KF KCl CdSe CdTe GaAs GaSb As KBr 7.5 InP 1.3 KI 5.8 InAs InSb Liaison plus courte gap plus grand 10
11 3. Couleur des semi-conducteurs Matériau Couleur E g /ev C(diamant) Incolore 5.4 ZnS Incolore 3.8 CdS Jaune 2.6 HgS Rouge 2.1 CdSe Noir 1.6 GaAs Noir 1.4 Cristaux mixtes de CdS (jaune) et CdSe (noir) Si Noir 1.1 formant une solution solide Couleur due à l absorption des photons d énergie > Eg : BC BV E g visible si 2 Eg 3eV 11
12 Absorbance BC Moléculaire états discrets (HOMO-LUMO) BV E g E=hc/l absorbée E g Seuil d absorption Diagramme colorimétrique E g /ev l g l (nm) ZnS CdS HgS CdSe 12 Spectre d absorption Solide = continuum d énergie
13 Peut être coloré même si le gap est grand Le Hope (the French Blue) diamant naturel exposé à New-York C diamant : E g = 5.4 ev BC Bore : accepteur BV E g =5.4eV 0.4eV Diamants synthétiques Diamant + B (accepteur) bleu Diamant + N (donneur) jaune 13
14 4. Dopage des semi-conducteurs 4.1 Semi-conducteur intrinsèque n densité d électrons = p densité de trous (cm -3 ) n = p = n i trou libre électron libre Si Si A 0 K, silicium isolant A 300 K, Si semi-conducteur 14
15 Energie Génération de paires électron-trou Population d électrons libres en fonction de l énergie électron Bande de conduction Génération thermique d une paire électron-trou Recombinaison Bande interdite E g =1.12 ev pour Si trou Bande de valence Population de trous libres en fonction de l énergie Génération thermique et recombinaison de paires électronstrous conduisent à un équilibre à température ambiante 15
16 Probabilité d'occupation par un électron d'un niveau d'énergie E à la température T : fonction de FERMI-DIRAC P ( E, T ) ( EE ) / 1 1 e f k B T T=0 Tk E f niveau de Fermi A T=300K, k B T 0.025eV (k B T/e = U T potentiel thermique) A 0 K, P(E)=1 Tous les états d énergie au-dessous du niveau de Fermi E f sont occupés, au-dessus ils sont vides Niveau d énergie à E f + 3k B T : probabilité de 5% d être occupé 16
17 Energie Concentration des porteurs libres intrinsèques Nb d'électrons dans une tranche de n N c En Ep Densité d états dn 2D( E) P( E, T) de 2 places disponibles dans chaque niveau exp( E kt n ) Bande de conduction E Fi niveau de Fermi Ec BV E v E f E c BC Energie Electrons libres et trous apparaissent en quantités égales Ec-Ev = E = Eg p N v Bande de valence E exp( kt p ) Ev Nb de porteurs intrinsèques : n 2 i n. p N V N C E exp kt ( N N 4,8.10 T c v 3/ 2 pour le silicium)
18 Remarque : La largeur de bande interdite dépend aussi de la température E g ( T) E g 2 T (0) T Gap en ev pour quelques semi-conducteurs classiques : Ge Si GaAs E g (0)(eV) (mev/k) (K) ,5 1 0,5 0 GaAs Si Ge T (K) 300 K 0 K C Ge Si SiC GaAs GaP GaSb InSb InAs InP
19 19 Exercices 1. Montrer que pour un semi-conducteur intrinsèque, le niveau de Fermi se trouve au milieu de la bande interdite. 1 Nv Réponse : Intrinsèque n=p E ( E E ktln ) f c v 2 Nc 1 Nc Nv E ( E E ) f c v 2 2. Comment varie-t-il quand la densité des porteurs augmente dans la bande de conduction? Nc Réponse : E f Ec ktln n Quand n augmente, E f se rapproche de E c 3. Calculer la densité de porteurs de charge pour le silicium à 300K, 240K. Conclusion? Eg Réponse : ni n. p (4,8.10 ) T exp kbt A 300K n i 10 ni 10 / m ni 10 / cm 7 3 A 240K n i 3, / cm n i conductivité quand T k B = J/K
20 T=240 K Résistivité r=1/s Ge P ( E) ( EE )/ k 1 e 1 f B T T Energie thermique Plus d électrons passent le gap s 20
21 La conductivité varie différemment pour les métaux et les semiconducteurs en fonction de la température métal s E E f BC BV Niveau de Fermi E semiconducteur T T s Métaux T Mouvement thermique des atomes du réseau gêne le déplacement des électrons Ordres de grandeur très différents : métal : 1 e - de conduction par atome 21
22 Silicium à 300 K n i ~ cm -3 Combien d atomes effectivement ionisés? d=2.33 g/cm 3 M=28.1 g/mol N= d/mn = atomes/cm % sont ionisés Difficile de contrôler la pureté à plus de 1/10 12 atomes (salles blanches) Silicium intrinsèque : applications pratiques limitées Dopage par des atomes étrangers 22
23 4.2. Semi-conducteur dopé (extrinsèque) pur BV BC E v E f E c Type n BV BC BC niveau donneur BV E f BC Type p BV BC BV niveau accepteur E f Energie 23
24 a. Silicium dopé n III IV V B C N Al Si P Ga Ge As Si Si Si Si + Si Si Si Si électron libre atome de la colonne V (ionisé) Une très faible énergie (~ 40 mev << 1.12 ev) suffit à libérer le 5 ème électron qui retrouve «libre» dans la bande de conduction. Ces porteurs de charge dominent les propriétés de conduction 24
25 Energie N D atomes donneurs libèrent n = N d électrons libres. Concentrations en électrons et trous libres liées par une loi d action de masse : np = n i 2 n i = cm -3 AN: N d = n = cm -3, alors p = 100 cm -3 à T= 300 K Electrons = porteurs majoritaires, trous = porteurs minoritaires n N d Bande de conduction Ec En EFn EFi E F vers E C 25 p Bande de valence n N 2 i d Ev E k n B TLn N n d i
26 b. Silicium dopé p On injecte des atomes possédant 3 électrons de valence (colonne III) III IV V B C N Al Si P Ga Ge As Si Si Si Si - Si Si Si Si trou libre atome de la colonne III L atome trivalent crée un trou libre dans le cristal de silicium, et reste sous forme ionisée dans le cristal 26
27 Energie N a atomes accepteurs libèrent p = N a trous libres. n p = n i 2 Si N a = p = cm -3, alors n = 10 4 cm -3 à T = 300 K Trous = porteurs majoritaires, électrons = porteurs minoritaires n 2 i n N a Bande de conduction Ec Ep EFi EFp E F vers E V Bande de valence Ev 27 p N a E k p B TLn N n i a
28 c. Analogie avec les solutions aqueuses Création et recombinaison de paires électron-trou s apparente à l équilibre d auto-ionisation de l eau : K e = [H + ] [OH - ] n i2 = p n De même que dans l eau on module le ph en introduisant un acide ou une base, on peut ajuster les valeurs relatives de n et p, nombre de porteurs mobiles, en introduisant les impuretés dopantes Semi-conducteurs extrinsèques Type n : concentration e- > trous Type p : concentration trous > e- 28
29 4.3. Jonction p-n trous majoritaires électrons minoritaires p n p p N a n N 2 i a Silicium p Silicium n n n p n N d n N 2 i d électrons majoritaires trous minoritaires Diffusion d électrons libres vers Si p E Si p Si n Si p Si n Diffusion de trous libres vers Si n W 0 Diffusion des porteurs barrière de potentiel V F 29 E 0 et W 0 (zone de charge d espace)
30 a. Schéma de bandes en court-circuit Alignement des E F à l équilibre : V E e BC E E fp BV E p E n E fn Zone p N Ep kbtln n i a Zone n E k n B TLn N n d i E En Ep kbt NaN Potentiel de jonction V Ln 2 e e e n i d 30 AN : calculer le potentiel de jonction à 300K pour une jonction p-n telle que N a =10 16 cm -3 et N d = cm -3 Réponse : V 0. 76V
31 La zone de charge d espace (ZCE) est désertée par les porteurs majoritaires Zone de déplétion Zone neutre p x p E r Zone neutre n x n x 0 Répartition des charges Champ électrique x p x p - E + x n x n x x r de dx en a en d 0 r r Barrière de potentiel x p x n V x dv E dx 31
32 32 1. Montrer que la zone de déplétion s étend plus du côté le moins dopé Exercices r dx d r E Côté p ) ( ) ( E p r a x x en x ) ( ) ( E n r d x x en x On intègre entre x p et +x n : Côté n En x=0 ) ( ) ( ) ( E n r d p r a x en x en 0 n d p a x N x N Réponse : 2. En déduire l expression de W 0 en fonction de N a, N d, et V F. Réponse : p x n x W 0 d a a n N N N W x 0 d a d p N N N W x 0 d a a r d N N N en W W V E max ) ( d a r N N e V W AN Silicium : W m m F Si / et x E W 0
33 b. Jonction p-n en court-circuit Zone neutre p trous libres W0 ZCE Zone neutre n électrons libres I=0 E 0 Equilibre entre deux courants opposés : BC V Courant dû aux porteurs majoritaires qui sautent la barrière V F BV E f V E g Courant I s dû aux minoritaires, entretenu par génération thermique de paires électron-trou. I s I exp 0 V F U T 33
34 Appliquons une tension V a >0 c. Jonction p-n polarisée en direct W W 0 E direct <E 0 De nombreux électrons peuvent désormais franchir la barrière de potentiel BC Recombinaison des électrons Recombinaison des trous V V a I A + V V a BV Zone neutre p Zone neutre n I A I 0 V exp F V U T direct I S 34 Flux d électrons compensant ceux qui disparaissent par recombinaison I A I A I S V [exp U direct T 1]
35 d. Jonction p-n polarisée en inverse Appliquons une tension V a <0 pas trop élevée E inverse >E 0 W W 0 BC Courant inverse I s V V a I S + V V a BV Zone neutre p Zone neutre n I S Courant dû aux minoritaires qui apparaissent par génération thermique 35
36 36
37 II. Approche d Hoffmann des bandes d énergie 1. Systèmes moléculaires étendus Énergie E gap bandes d énergie Atome isolé Molécule diatomique Molécule polyatomique Solide Densité d états N(E) bandes d énergie 37 La distribution en énergie n est pas uniforme N(E) = 0 zone interdite aux électrons (gap)
38 2. Approche d Hoffmann : la vue du chimiste Cf. R. Hoffmann, Solids and Surfaces. A chemist s view of Bonding in Extended Structures. VCH Publishers, Weinheim, 1988 La forme des bandes d énergie peut être intuitée par extension du schéma des OM : La largeur de bande dépend du degré d interaction entre atomes voisins de la distance interatomique du type et de la topologie des orbitales mises en jeu 1. Formation d OM par des CLOA (Hückel) 2. On les classe en énergie en considérant le nombre de plans nodaux 38
39 Exemple : N = 6 Energie 1. Chaîne linéaire 2. Molécule cyclique 6 chaînons 6 OM 39 Le nombre de nœuds augmente avec l énergie L état fondamental est totalement symétrique, puis paires dégénérées
40 Orbitales p des polyènes cycliques : Energie de Hückel (exemple pour N=5) 40 e j énergie du niveau j intégrale coulombienne intégrale de résonance
41 N chaînons N orbitales Orbitales cristallines = Bandes d énergie e e j = + 2cos2pj/N = + 2coska avec k=2pj/na k <p/a 41 E symétrique /k on représente un demi-axe : k Bande : e=f(k) 0<k<p/a (à 1D)
42 3. Influence de la nature et du recouvrement des orbitales Orbitales p en interaction p : antiliante liante La fonction d onde (OM) associée à ces valeurs de e est : Combinaison symétrique (liante ici) Combinaison antisymétrique (antiliante ici) 42
43 La bande sera croissante ou décroissante suivant la topologie des interactions Orbitales p en interaction s : Cette fois la combinaison symétrique est antiliante : 43
44 Remplissage des bandes : Densité d états DOS = n(e) : n(e)de = nombre d états entre E et E+dE Nb total d électrons = 44
45 Energie (ev) Energie (ev) Influence du recouvrement orbitalaire : a a=1.3å 5 a=1.3å a=1.7å a=3å a=1.7å a=3å p/a p/a 0 p/a 0 k k k La dispersion (largeur de bande) augmente avec le recouvrement DOS 0 5 distance interatomique s > p > d 45
46 4. Exemple du platinocyanure K 2 Pt(CN) 4 Chaîne linéaire de complexes plan carré Pourquoi K 2 Pt(CN) 4 est-il isolant alors que K 2 Pt(CN) 4 Br 0.3 présente un comportement métallique? 46
47 a. OM de Pt(CN) 4 2-6p 6s pz dx 2 -y 2 LUMOs Pt 2+ : d 8 5d dz 2 HOMO 47
48 b. Chaîne linéaire : les OM s élargissent en bandes clé : recouvrement s >> p >> d Polymère 48 Monomère c. Topologie des recouvrements : ça monte ou ça descend?
49 x k=0 k=p/a z s d p s Bandes calculées (pour PtH 4 2- ) : y z x 2 -y 2 xz, yz xy z 2 49 k=0 k=p/a
50 Estimé : Calculé : z s x 2 -y 2 d xz, yz xy z 2 s p d E f 50 Niveau de Fermi en haut de dz 2 bande pleine isolant Oxydation par le brome : 0.3 Br/Pt haut de la bande libéré conducteur
51 Extension à N atomes de la liaison quadruple métal-métal : [Re 2 Cl 8 ] 2- Re 3+ : 5d 4 d p Ordre de liaison = 4! p s 51 Cf aussi la règle des e-
52 Ge Si GaAs BC BV 52
53 Absorption vs Emission BC absorption BV émission Le photon émis a une énergie égale à E g h hc / l Emission lumineuse Diodes électroluminescentes GaN GaP GaAs Eg (ev) l (nm)
54 54
Molécules et Liaison chimique
Molécules et liaison chimique Molécules et Liaison chimique La liaison dans La liaison dans Le point de vue classique: l approche l de deux atomes d hydrogd hydrogènes R -0,9-1 0 0,5 1 1,5,5 3 3,5 4 R
Plus en détailApplication à l astrophysique ACTIVITE
Application à l astrophysique Seconde ACTIVITE I ) But : Le but de l activité est de donner quelques exemples d'utilisations pratiques de l analyse spectrale permettant de connaître un peu mieux les étoiles.
Plus en détailSemi-conducteurs. 1 Montage expérimental. Expérience n 29
Expérience n 29 Semi-conducteurs Description Le but de cette expérience est la mesure de l énergie d activation intrinsèque de différents échantillons semiconducteurs. 1 Montage expérimental Liste du matériel
Plus en détailCapacité Métal-Isolant-Semiconducteur (MIS)
apacité Métal-solant-Semiconducteur (MS) 1-onstitution Une structure Métal-solant-Semiconducteur (MS) est constituée d'un empilement de trois couches : un substrat semiconducteur sur lequel on a déposé
Plus en détail1 ère partie : tous CAP sauf hôtellerie et alimentation CHIMIE ETRE CAPABLE DE. PROGRAMME - Atomes : structure, étude de quelques exemples.
Référentiel CAP Sciences Physiques Page 1/9 SCIENCES PHYSIQUES CERTIFICATS D APTITUDES PROFESSIONNELLES Le référentiel de sciences donne pour les différentes parties du programme de formation la liste
Plus en détailChapitre 4 : Le transistor Bipolaire
LEEA 3 ème A, C. TELLIER, 28.08.04 1 Chapitre 4 : Le transistor Bipolaire 1. Structure et description du fonctionnement 1.1. Les transistors bipolaires 1.2 Le transistor NPN Structure intégrée d'un transistor
Plus en détailInteractions des rayonnements avec la matière
UE3-1 : Biophysique Chapitre 2 : Interactions des rayonnements avec la matière Professeur Jean-Philippe VUILLEZ Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.
Plus en détailMESURE DE LA TEMPERATURE
145 T2 MESURE DE LA TEMPERATURE I. INTRODUCTION Dans la majorité des phénomènes physiques, la température joue un rôle prépondérant. Pour la mesurer, les moyens les plus couramment utilisés sont : les
Plus en détailÉlaboration et caractérisation de cellules photovoltaïques de troisième génération à colorant (DSSC)
Faculté Polytechnique Élaboration et caractérisation de cellules photovoltaïques de troisième génération à colorant (DSSC) Prof. André DECROLY Dr Abdoul Fatah KANTA andre.decroly@umons.ac.be Service de
Plus en détailTHEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE
THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE 1. RAPPEL: L ATOME CONSTITUANT DE LA MATIERE Toute la matière de l univers, toute substance, vivante ou inerte, est constituée à partir de particules
Plus en détailRépublique Algérienne Démocratique et Populaire. Ministère de l Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique
République Algérienne Démocratique et Populaire Ministère de l Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique Université M Hamed Bougara- BOUMERDES Faculté des sciences de l Ingénieur Ecole Doctorale
Plus en détailStructures de semiconducteurs II-VI à alignement de bandes de type II pour le photovoltaïque
Structures de semiconducteurs II-VI à alignement de bandes de type II pour le photovoltaïque Lionel Gérard To cite this version: Lionel Gérard. Structures de semiconducteurs II-VI à alignement de bandes
Plus en détail- I - Fonctionnement d'un détecteur γ de scintillation
U t i l i s a t i o n d u n s c i n t i l l a t e u r N a I M e s u r e d e c o e ffi c i e n t s d a t t é n u a t i o n Objectifs : Le but de ce TP est d étudier les performances d un scintillateur pour
Plus en détailBTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1
BTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1 I. L ATOME NOTIONS EÉLEÉMENTAIRES DE CIMIE Les atomes sont des «petits grains de matière» qui constituent la matière. L atome est un système complexe que l on
Plus en détailChapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :
Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur
Plus en détailREPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE MINISTERE DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE
REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE MINISTERE DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE UNIVERSITE ABOU BEKR BELKAID-TLEMCEN FACULTE DES SCIENCES UNITE DE RECHERCHE MATERIAUX
Plus en détailCHAPITRE VI : HYBRIDATION GEOMETRIE DES MOLECULES
CAPITRE VI : YBRIDATION GEOMETRIE DES MOLECULES VI.1 : YBRIDATION DES ORBITALES ATOMIQUES. VI.1.1 : Introduction. La théorie d hybridation a été développée au cours des années 1930, notamment par le chimiste
Plus en détail1.2 Coordinence. Notion de liaison de coordinence : Cas de NH 3. et NH 4+ , 3 liaisons covalentes + 1 liaison de coordinence.
Règle de l octet : tendance qu on les atomes à s entourer de 8 électrons dans l édifice moléculaire. Ce n est pas une règle générale. Composés respectant la règle de l octet Composés ne respectant pas
Plus en détailCircuits intégrés micro-ondes
Chapitre 7 Circuits intégrés micro-ondes Ce chapitre sert d introduction aux circuits intégrés micro-ondes. On y présentera les éléments de base (résistance, capacitance, inductance), ainsi que les transistors
Plus en détailCHAPITRE 2 : Structure électronique des molécules
CHAPITRE 2 : Structure électronique des molécules I. La liaison covalente 1) Formation d une liaison covalente Les molécules sont des assemblages d atomes liés par des liaisons chimiques résultant d interactions
Plus en détailAtelier : L énergie nucléaire en Astrophysique
Atelier : L énergie nucléaire en Astrophysique Elisabeth Vangioni Institut d Astrophysique de Paris Fleurance, 8 Août 2005 Une calculatrice, une règle et du papier quadrillé sont nécessaires au bon fonctionnement
Plus en détailSPECTROSCOPIE D ABSORPTION DANS L UV- VISIBLE
18 CHAPITRE III SPECTROSCOPIE D ABSORPTION DANS L UV- VISIBLE La spectroscopie d absorption dans l UV et le visible est une méthode très commune dans les laboratoires. Elle est basée sur la propriété des
Plus en détailNotions de base sur l énergie solaire photovoltaïque
I- Présentation Notions de base sur l énergie solaire photovoltaïque L énergie solaire photovoltaïque est une forme d énergie renouvelable. Elle permet de produire de l électricité par transformation d
Plus en détailChapitre 11 Bilans thermiques
DERNIÈRE IMPRESSION LE 30 août 2013 à 15:40 Chapitre 11 Bilans thermiques Table des matières 1 L état macroscopique et microcospique de la matière 2 2 Énergie interne d un système 2 2.1 Définition.................................
Plus en détailChapitre 4 - Spectroscopie rotationnelle
Chapitre 4 - Spectroscopie rotationnelle 5.1 Classification Déterminer à quelle catégorie (sphérique, symétrique, asymétrique) appartiennent ces molécules : a) CH 4, b) CH 3 F, c) CH 3 D, d) SF 6, e) HCN,
Plus en détailThéorie des multiplets! appliquée à! la spectroscopie d ʼabsorption X!
Théorie des multiplets! appliquée à! la spectroscopie d ʼabsorption X! Marie-Anne Arrio, Amélie Juhin! Institut de Minéralogie et Physique des Milieux Condensés, Paris! 1! Rappel : défini-on des seuils
Plus en détailEXERCICE II. SYNTHÈSE D UN ANESTHÉSIQUE : LA BENZOCAÏNE (9 points)
Bac S 2015 Antilles Guyane http://labolycee.org EXERCICE II. SYNTHÈSE D UN ANESTHÉSIQUE : LA BENZOCAÏNE (9 points) La benzocaïne (4-aminobenzoate d éthyle) est utilisée en médecine comme anesthésique local
Plus en détailProfesseur Eva PEBAY-PEYROULA
3-1 : Physique Chapitre 8 : Le noyau et les réactions nucléaires Professeur Eva PEBAY-PEYROULA Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés. Finalité du chapitre
Plus en détailPartie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN
Partie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN Objectifs : Exploiter un spectre infrarouge pour déterminer des groupes caractéristiques Relier un spectre
Plus en détailRDP : Voir ou conduire
1S Thème : Observer RDP : Voir ou conduire DESCRIPTIF DE SUJET DESTINE AU PROFESSEUR Objectif Compétences exigibles du B.O. Initier les élèves de première S à la démarche de résolution de problème telle
Plus en détailCorrection ex feuille Etoiles-Spectres.
Correction ex feuille Etoiles-Spectres. Exercice n 1 1 )Signification UV et IR UV : Ultraviolet (λ < 400 nm) IR : Infrarouge (λ > 800 nm) 2 )Domaines des longueurs d onde UV : 10 nm < λ < 400 nm IR : 800
Plus en détailGénéralités. Chapitre 1
Chapitre 1 Généralités Les complexes des métaux de transition sont des molécules constituées d un ou de plusieurs centre(s) métallique(s) (Ti, Fe, Ni, etc.) lié(s) à un certain nombre de «ligands». Ceux-ci
Plus en détailMODELE DE PRESENTATION DU PROJET
MODELE DE PRESENTATION DU PROJET SITUATION ACTUELLE DU PROJET: Intitulé du PNR Code du Projet (Réservé à l administration) SCIENCES FONDAMENTALES Nouveau projet : Projet reformule: 1.1. Domiciliation du
Plus en détailPlan du chapitre «Milieux diélectriques»
Plan du chapitre «Milieux diélectriques» 1. Sources microscopiques de la polarisation en régime statique 2. Etude macroscopique de la polarisation en régime statique 3. Susceptibilité diélectrique 4. Polarisation
Plus en détailTD 9 Problème à deux corps
PH1ME2-C Université Paris 7 - Denis Diderot 2012-2013 TD 9 Problème à deux corps 1. Systèmes de deux particules : centre de masse et particule relative. Application à l étude des étoiles doubles Une étoile
Plus en détailLes transistors à effet de champ.
Chapitre 2 Les transistors à effet de champ. 2.1 Les différentes structures Il existe de nombreux types de transistors utilisant un effet de champ (FET : Field Effect Transistor). Ces composants sont caractérisés
Plus en détailThèse. pour obtenir le grade de Docteur de l Université de Limoges. Mahmoud CHAKAROUN
UNIVERSITE DE LIMOGES ECOLE DOCTORALE Science Technologie Santé FACULTE de Sciences et Techniques de Limoges XLIM Département MINACOM Thèse Thèse n 38-2008 pour obtenir le grade de Docteur de l Université
Plus en détailTP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE
TP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE OBJECTIFS : - Distinguer un spectre d émission d un spectre d absorption. - Reconnaître et interpréter un spectre d émission d origine thermique - Savoir qu un
Plus en détailIndicateur d'unité Voyant Marche/Arrêt
Notice MESURACOLOR Colorimètre à DEL Réf. 22020 Indicateur d'unité Voyant Marche/Arrêt Indicateur Etalonnage Bouton Marche/Arrêt Indicateur de sélection de la longueur d'onde Indicateur de mode chronomètre
Plus en détailNiveau 2 nde THEME : L UNIVERS. Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS
Document du professeur 1/7 Niveau 2 nde THEME : L UNIVERS Physique Chimie SPECTRES D ÉMISSION ET D ABSORPTION Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS Les étoiles : l analyse de la lumière provenant
Plus en détailChapitre 6 : les groupements d'étoiles et l'espace interstellaire
Chapitre 6 : les groupements d'étoiles et l'espace interstellaire - Notre Galaxie - Amas stellaires - Milieu interstellaire - Où sommes-nous? - Types de galaxies - Interactions entre galaxies Notre Galaxie
Plus en détailSUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION)
Terminale S CHIMIE TP n 2b (correction) 1 SUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION) Objectifs : Déterminer l évolution de la vitesse de réaction par une méthode physique. Relier l absorbance
Plus en détailSéquence 9. Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière
Séquence 9 Consignes de travail Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière Travaillez les cours d application de physique. Travaillez les exercices
Plus en détailTEMPÉRATURE DE SURFACE D'UNE ÉTOILE
TEMPÉRATURE DE SURFACE D'UNE ÉTOILE Compétences mises en jeu durant l'activité : Compétences générales : Etre autonome S'impliquer Elaborer et réaliser un protocole expérimental en toute sécurité Compétence(s)
Plus en détail------- SESSION 2013 ÉPREUVE À OPTION. (durée : 4 heures coefficient : 6 note éliminatoire 4 sur 20) CHIMIE
CNCURS SUR ÉPREUVES UVERT AUX CANDIDATS TITULAIRES D UN DIPLÔME U TITRE CNFÉRANT LE GRADE DE MASTER U D'UN DIPLÔME U TITRE HMLGUÉ U ENREGISTRÉ AU RÉPERTIRE NATINAL DES CERTIFICATINS PRFESSINNELLES AU NIVEAU
Plus en détailSOMMAIRE. B5.1 Première approche
APPROCHE THEORIQE LES COMPOSANTS ELECTRONIQES B5 LES IOES SOMMAIRE B5.1 Première approche B5.2 e la jonction PN à la diode B5.3 Caractéristique d'une diode B5.4 Mécanisme de conduction d'une diode B5.5
Plus en détailStructure quantique cohérente et incohérente de l eau liquide
Structure quantique cohérente et incohérente de l eau liquide Prof. Marc HENRY Chimie Moléculaire du Solide Institut Le Bel, 4, Rue Blaise Pascal 67070 Strasbourg Cedex, France Tél: 03.68.85.15.00 e-mail:
Plus en détailGENERALITES SUR LA MESURE DE TEMPERATURE
Distributeur exclusif de GENERALITES SUR LA MESURE DE TEMPERATURE INTRODUCTION...2 GENERALITES SUR LA MESURE DE TEMPERATURE...2 La température...2 Unités de mesure de température...3 Echelle de température...3
Plus en détailLABORATOIRES DE CHIMIE Techniques de dosage
LABORATOIRES DE CHIMIE Techniques de dosage Un dosage (ou titrage) a pour but de déterminer la concentration molaire d une espèce (molécule ou ion) en solution (généralement aqueuse). Un réactif de concentration
Plus en détailContenu pédagogique des unités d enseignement Semestre 1(1 ère année) Domaine : Sciences et techniques et Sciences de la matière
Contenu pédagogique des unités d enseignement Semestre 1(1 ère année) Domaine : Sciences et techniques et Sciences de la matière Algèbre 1 : (Volume horaire total : 63 heures) UE1 : Analyse et algèbre
Plus en détailRappels sur les couples oxydantsréducteurs
CHAPITRE 1 TRANSFORMATIONS LENTES ET RAPIDES 1 Rappels sur les couples oxydantsréducteurs 1. Oxydants et réducteurs Un réducteur est une espèce chimique capable de céder au moins un électron Demi-équation
Plus en détailTECHNIQUES: Principes de la chromatographie
TECHNIQUES: Principes de la chromatographie 1 Définition La chromatographie est une méthode physique de séparation basée sur les différentes affinités d un ou plusieurs composés à l égard de deux phases
Plus en détailEffets électroniques-acidité/basicité
Université du Maine Faculté des Sciences Retour Révisions de cours Effets électroniquesacidité/basicité Il est très important dans un cours de himie organique de connaitre ces notions qui vont intervenir
Plus en détailANALYSE SPECTRALE. monochromateur
ht ANALYSE SPECTRALE Une espèce chimique est susceptible d interagir avec un rayonnement électromagnétique. L étude de l intensité du rayonnement (absorbé ou réémis) en fonction des longueurs d ode s appelle
Plus en détailTSTI 2D CH X : Exemples de lois à densité 1
TSTI 2D CH X : Exemples de lois à densité I Loi uniforme sur ab ; ) Introduction Dans cette activité, on s intéresse à la modélisation du tirage au hasard d un nombre réel de l intervalle [0 ;], chacun
Plus en détailComprendre l Univers grâce aux messages de la lumière
Seconde / P4 Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière 1/ EXPLORATION DE L UNIVERS Dans notre environnement quotidien, les dimensions, les distances sont à l échelle humaine : quelques mètres,
Plus en détailSpectrophotométrie - Dilution 1 Dilution et facteur de dilution. 1.1 Mode opératoire :
Spectrophotométrie - Dilution 1 Dilution et facteur de dilution. 1.1 Mode opératoire : 1. Prélever ml de la solution mère à la pipette jaugée. Est-ce que je sais : Mettre une propipette sur une pipette
Plus en détailProduction d énergie électrique : ENERGIE SOLAIRE PHOTOVOLTAIQUE
ELECTROTECHNIQUE SOMMAIRE 1- L ENERGIE SOLAIRE... 2 ÉCLAIREMENT OU IRRADIANCE... 2 RAYONNEMENT, IRRADIATION OU ENERGIE INCIDENTE... 2 2- LA CELLULE PHOTOVOLTAIQUE... 5 2.1 HISTORIQUE... 5 2.2 LES DIFFERENTES
Plus en détailTravaux dirigés d introduction aux Probabilités
Travaux dirigés d introduction aux Probabilités - Dénombrement - - Probabilités Élémentaires - - Variables Aléatoires Discrètes - - Variables Aléatoires Continues - 1 - Dénombrement - Exercice 1 Combien
Plus en détailPanorama de l astronomie
Panorama de l astronomie 7. Les étoiles : évolution et constitution des éléments chimiques Karl-Ludwig Klein, Observatoire de Paris Gaël Cessateur & Gilles Theureau, Lab Phys. & Chimie de l Environnement
Plus en détailDistribution Uniforme Probabilité de Laplace Dénombrements Les Paris. Chapitre 2 Le calcul des probabilités
Chapitre 2 Le calcul des probabilités Equiprobabilité et Distribution Uniforme Deux événements A et B sont dits équiprobables si P(A) = P(B) Si il y a équiprobabilité sur Ω, cad si tous les événements
Plus en détailChap 1: Toujours plus vite... Introduction: Comment déterminer la vitesse d une voiture?
Thème 2 La sécurité Chap 1: Toujours plus vite... Introduction: Comment déterminer la vitesse d une voiture?! Il faut deux informations Le temps écoulé La distance parcourue Vitesse= distance temps > Activité
Plus en détailFigure 1 : Diagramme énergétique de la photo émission. E B = hν - E C
ANALYSE XPS (ESCA) I - Principe La spectroscopie XPS (X-Ray Photoelectron Spectroscopy) ou ESCA (Electron Spectroscopy for Chemical Analysis) est basée sur la photo émission. Lors de l'irradiation par
Plus en détailLes rayons X. Olivier Ernst
Les rayons X Olivier Ernst Lille La physique pour les nuls 1 Une onde est caractérisée par : Sa fréquence F en Hertz (Hz) : nombre de cycle par seconde Sa longueur λ : distance entre 2 maximum Sa vitesse
Plus en détailNUAGES INTERSTELLAIRES ET NEBULEUSES
NUAGES INTERSTELLAIRES ET NEBULEUSES P. Sogorb I. INTRODUCTION Les milliards d étoiles qui forment les galaxies, baignent dans un milieu interstellaire qui représente, dans le cas de notre Galaxie, 10
Plus en détailLES ESCALIERS. Du niveau du rez-de-chaussée à celui de l'étage ou à celui du sous-sol.
LES ESCALIERS I. DÉF I NIT I O N Un escalier est un ouvrage constitué d'une suite de marches et de paliers permettant de passer à pied d'un niveau à un autre. Ses caractéristiques dimensionnelles sont
Plus en détailMéthodes de Caractérisation des Matériaux. Cours, annales http://www.u-picardie.fr/~dellis/
Méthodes de Caractérisation des Matériaux Cours, annales http://www.u-picardie.fr/~dellis/ 1. Symboles standards et grandeurs électriques 3 2. Le courant électrique 4 3. La résistance électrique 4 4. Le
Plus en détailINTRODUCTION À LA SPECTROSCOPIE
INTRODUCTION À LA SPECTROSCOPIE Table des matières 1 Introduction : 2 2 Comment obtenir un spectre? : 2 2.1 Étaller la lumière :...................................... 2 2.2 Quelques montages possibles
Plus en détailLES ELEMENTS CHIMIQUES
LES ELEMENTS CHIMIQUES.LA CLASSIFICATION PERIODIQUE DE MENDELEÏEV En 869, le chimisme russe Dimitri Ivanovitch Mendeleïev rangea les 63 éléments chimiques connus à son époque dans un tableau. Il les disposa
Plus en détailPHYSIQUE-CHIMIE. Partie I - Propriétés de l atome
PHYSIQUE-CHIMIE Ce sujet traite de quelques propriétés de l aluminium et de leurs applications. Certaines données fondamentales sont regroupées à la fin du texte. Partie I - Propriétés de l atome I.A -
Plus en détailMécanique Quantique EL OUARDI EL MOKHTAR LABORATOIRE MÉCANIQUE & ÉNERGÉTIQUE SPÉCIALITÉ : PROCÈDES & ÉNERGÉTIQUE. E-MAIL : dataelouardi@yahoo.
Mécanique Quantique EL OUARDI EL MOKHTAR LABORATOIRE MÉCANIQUE & ÉNERGÉTIQUE SPÉCIALITÉ : PROCÈDES & ÉNERGÉTIQUE E-MAIL : dataelouardi@yahoo.fr Site Web : dataelouardi.jimdo.com La physique en deux mots
Plus en détailAGREGATION DE BIOCHIMIE GENIE BIOLOGIQUE
AGREGATION DE BIOCHIMIE GENIE BIOLOGIQUE CONCOURS EXTERNE Session 2005 TRAVAUX PRATIQUES DE BIOCHIMIE PHYSIOLOGIE ALCOOL ET FOIE L éthanol, psychotrope puissant, est absorbé passivement dans l intestin
Plus en détailLes calottes polaires Isostasie Champ de température
1 M2R STUE / Cours «Neige et Glace» Les calottes polaires Isostasie Champ de température F. Parrenin Laboratoire de Glaciologie et Géophysique de l'environnement Grenoble 2 L'isostasie sous-glaciaire Rigidité
Plus en détailLa gravure. *lagravureparvoiehumide *lagravuresèche
La gravure Après avoir réalisé l étape de masquage par lithographie, il est alors possible d effectuer l étape de gravure. L étape de gravure consiste à éliminer toutes les zones non protégées par la résine
Plus en détailProbabilités sur un univers fini
[http://mp.cpgedupuydelome.fr] édité le 7 août 204 Enoncés Probabilités sur un univers fini Evènements et langage ensembliste A quelle condition sur (a, b, c, d) ]0, [ 4 existe-t-il une probabilité P sur
Plus en détailMaster Photovoltaïque
1- Semestre 1 : Master Photovoltaïque Unité d Enseignement UE fondamentales UEF11(O/P) VHS 15 Semaines V.H hebdomadaire Mode d'évaluation Coeff Crédits C TD TP Autres Continu Examen Physique du Solide
Plus en détailInstitut Supérieur des Etudes Technologiques de Nabeul
Ministère de l enseignement supérieur, de la recherche scientifique et de la technologie Institut Supérieur des tudes Technologiques de Nabeul Département : Génie lectrique Support de cours : LCTRONIQU
Plus en détailM1 - MP057. Microscopie Électronique en Transmission Diffraction Imagerie
M1 - MP057 Microscopie Électronique en Transmission Diffraction Imagerie Nicolas Menguy Institut de Minéralogie et Physique des Milieux Condensés Plan Le microscope électronique en transmission : - colonne,
Plus en détailEléments de caractérisation des diamants naturels et synthétiques colorés
Actualités gemmologiques Eléments de caractérisation des diamants naturels et synthétiques colorés Dr. Erel Eric 1 Développés depuis les années 50 pour leurs applications dans les domaines des abrasifs,
Plus en détailComment réaliser physiquement un ordinateur quantique. Yves LEROYER
Comment réaliser physiquement un ordinateur quantique Yves LEROYER Enjeu: réaliser physiquement -un système quantique à deux états 0 > ou 1 > -une porte à un qubitconduisant à l état générique α 0 > +
Plus en détailFORMATION ASSURANCE QUALITE ET CONTROLES DES MEDICAMENTS QUALIFICATION DES EQUIPEMENTS EXEMPLE : SPECTROPHOTOMETRE UV/VISIBLE
FORMATION ASSURANCE QUALITE ET CONTROLES DES MEDICAMENTS ISO/IEC 17025 Chapitre 5 : EXIGENCES TECHNIQUES QUALIFICATION DES EQUIPEMENTS EXEMPLE : SPECTROPHOTOMETRE UV/VISIBLE Nicole GRABY PA/PH/OMCL (07)
Plus en détailInitiation à la Mécanique des Fluides. Mr. Zoubir HAMIDI
Initiation à la Mécanique des Fluides Mr. Zoubir HAMIDI Chapitre I : Introduction à la mécanique des fluides 1 Introduction La mécanique des fluides(mdf) a pour objet l étude du comportement des fluides
Plus en détailElectrification statique - Problèmes et solutions L application des sources ionisantes. Auteur: Dr Mark G Shilton, CChem, MRSC. (Copie du document
Electrification statique - Problèmes et solutions L application des sources ionisantes. Auteur: Dr Mark G Shilton, CChem, MRSC. (Copie du document présenté à la Conférence sur la sécurité et la fiabilité
Plus en détailTD1 Signaux, énergie et puissance, signaux aléatoires
TD1 Signaux, énergie et puissance, signaux aléatoires I ) Ecrire l'expression analytique des signaux représentés sur les figures suivantes à l'aide de signaux particuliers. Dans le cas du signal y(t) trouver
Plus en détailErratum de MÉCANIQUE, 6ème édition. Introduction Page xxi (milieu de page) G = 6, 672 59 10 11 m 3 kg 1 s 2
Introduction Page xxi (milieu de page) G = 6, 672 59 1 11 m 3 kg 1 s 2 Erratum de MÉCANIQUE, 6ème édition Page xxv (dernier tiers de page) le terme de Coriolis est supérieur à 1% du poids) Chapitre 1 Page
Plus en détailConception. de systèmes électroniques. analogiques
Christian JUTTEN Conception de systèmes électroniques analogiques Université Joseph Fourier - Polytech Grenoble Cours de deuxième année du département 3i Janvier 2007 Table des matières Modèle mathématique
Plus en détailPHYSIQUE-CHIMIE. Partie I - Spectrophotomètre à réseau
PHYSIQUE-CHIMIE L absorption des radiations lumineuses par la matière dans le domaine s étendant du proche ultraviolet au très proche infrarouge a beaucoup d applications en analyse chimique quantitative
Plus en détailBULLETIN L ACADÉMIE DES SCIENCES ET LETTRES MONTPELLIER
BULLETIN DE L ACADÉMIE DES SCIENCES ET LETTRES DE MONTPELLIER NOUVELLE SÉRIE TOME 39 ISSN 1146-7282 ANNÉE 2008 Académie des Sciences et Lettres de Montpellier 183 Séance du 26 mai 2008 Deux aspects des
Plus en détailCAPTEURS - CHAINES DE MESURES
CAPTEURS - CHAINES DE MESURES Pierre BONNET Pierre Bonnet Master GSI - Capteurs Chaînes de Mesures 1 Plan du Cours Propriétés générales des capteurs Notion de mesure Notion de capteur: principes, classes,
Plus en détailDIFFRACTion des ondes
DIFFRACTion des ondes I DIFFRACTION DES ONDES PAR LA CUVE À ONDES Lorsqu'une onde plane traverse un trou, elle se transforme en onde circulaire. On dit que l'onde plane est diffractée par le trou. Ce phénomène
Plus en détailChapitre II PHÉNOMÈNES RADIATIFS: PROPRIÉTÉS D EMISSION. f AB = mc 2 e 2. β 1 k(υ)dυ N
1 Chapitre II PHÉNOMÈNES RADIATIFS: PROPRIÉTÉS D EMISSION Compte tenu des règles de sélection une émission peut être observée si un gap d énergie important existe entre l état fondamental et un des états
Plus en détailIntroduction à l absorption X
Introduction à l absorption X Yves Joly Institut Néel, CNRS et UJF FAME+, Mai 2012 1 Définition 2 Section efficace Coefficient d absorption linéaire Faisceau monochromatique I 0 Matériau isotrope et homogène,
Plus en détaila. Fusion et énergie de liaison des noyaux b. La barrière Coulombienne c. Effet tunnel & pic de Gamov
V. Les réactions r thermonucléaires 1. Principes a. Fusion et énergie de liaison des noyaux b. La barrière Coulombienne c. Effet tunnel & pic de Gamov 2. Taux de réactions r thermonucléaires a. Les sections
Plus en détailEXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points)
BAC S 2011 LIBAN http://labolycee.org EXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points) Les parties A et B sont indépendantes. A : Étude du fonctionnement d un spectrophotomètre
Plus en détailC4: Réactions nucléaires, radioactivité et fission
1re B et C C4 Réactions nucléaires, radioactivité et fission 30 C4: Réactions nucléaires, radioactivité et fission 1. Définitions a) Nucléides (= noyaux atomiques) Les nucléides renferment les nucléons:
Plus en détailTable des matières. Table des matières Introduction général
Table des matières Table des matières Introduction général 1 1 Généralités 10 1.1 Motivations........................................... 10 1.1.1 Le dé énergétique du 21ème siècle [1]........................
Plus en détailSondes de conductivité pour applications industrielles hygiéniques
Sondes de conductivité pour applications industrielles hygiéniques Technologie à 2 ou à 4 électrodes Large plage de mesure 0,05 S/cm... 500 ms/cm process, matériaux, état de surface adaptés aux applications
Plus en détailCALCUL DES PROBABILITES
CALCUL DES PROBABILITES Exemple On lance une pièce de monnaie une fois. Ensemble des événements élémentaires: E = pile, face. La chance pour obtenir pile vaut 50 %, pour obtenir face vaut aussi 50 %. Les
Plus en détail