Maladie virus Ebola (MVE)

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1 Maladie virus Ebola (MVE) PROTOCOLE DE PRÉVENTION DES INFECTIONS Prévention des infections PROTOCOLE Objet : Mesures de prévention des infections et prise en charge pour les cas suspects et confirmés de maladie à virus Ebola Date : 19 août 2014 Révision : 9 septembre septembre 2014 Adresser à : Toutes les unités de soins concernées, l urgence, cliniques externes et les secteurs diagnostiques Fait par : Myriam Descarries, Conseillère en prévention des infections (PCI) Nadia Desmarais, Chef de service de la PCI Céline Laferrière, Microbiologiste-infectiologue En collaboration avec : Dr. Valérie Lamarre, pédiatre-infectiologue Pour l équipe des maladies infectieuses

2 Table des matières DÉFINITION D UNE MVE... 3 MODE DE TRANSMISSION... 3 PÉRIODE D INCUBATION... 3 ÉQUIPEMENT DE PROTECTION PERSONNELLE (EPP)... 3 REGISTRE DES ENTRÉES... 4 PRISE EN CHARGE À L URGENCE... 5 SOINS OBSTÉTRICAUX... 5 SOINS AMBULATOIRES... 6 LIEU D HOSPITALISATION... 6 PRISE EN CHARGE : HOSPITALISATION... 6 VISITEURS (PARENTS)... 7 TRANSPORT DU PATIENT... 7 DÉSINFECTION DE L ENVIRONNEMENT... 8 DÉSINFECTION DES INSTRUMENTS... 8 PRÉLÈVEMENT D ÉCHANTILLONS... 8 VAISSELLE... 9 BUANDERIE... 9 GESTION DES EXCRÉTAS... 9 GESTION DES DÉCHETS... 9 ANNEXE I ANNEXE II

3 DÉFINITION D UNE MVE Un questionnaire d aide à la décision au triage est effectué à l urgence pédiatrique, à l urgence gynéco-obstétrique et dans certaines cliniques ciblées afin d évaluer le risque d exposition à la maladie (voir document «Aide à la décision au triage»). Cas en investigation Fièvre de >38.6 degrés Celsius et des symptômes additionnels tels : maux de tête sévères, douleurs musculaires, vomissements, diarrhée, douleurs abdominales ou des hémorragies inexpliquées. ET Facteurs de risque épidémiologiques : avoir, au cours des 21 jours précédents le début des symptômes, séjourné dans une zone où la transmission du virus Ebola est active (Guinée, Liberia, Sierra Leone et Nigeria, République démocratique du Congo (province de l équateur seulement)). Cas confirmé Après investigation, un cas avec un diagnostic confirmé d infection au virus Ebola par le Laboratoire National de Microbiologie (LNM) de l Agence de santé publique du Canada (Winnipeg). *Un patient qui ne présente pas de symptômes n est pas contagieux. Pour l évaluation du risque d exposition qui sera faite par le médecin en maladies infectieuses, un outil d aide à la décision est disponible (voir Annexe 1). MODE DE TRANSMISSION o Contact direct (peau lésée ou muqueuses) avec sang, les liquides organiques, les sécrétions ou les excrétions (ex : selles, vomissements, urine, sueur, salive, sperme, lait maternel, larmes, etc.) d une personne infectée (vivante ou décédée). o Contact indirect avec les objets, surfaces, vêtements ou literie contaminée par le sang, les liquides organiques, les sécrétions ou les excrétions d une personne infectée (vivante ou décédée). o Possiblement par voie aérienne opportuniste, en cas d atteinte pulmonaire et lors de la réalisation de procédures générant des aérosols. PÉRIODE D INCUBATION De 2 à 21 jours avec une moyenne de 4 à 10 jours. ÉQUIPEMENT DE PROTECTION PERSONNELLE (EPP) Port de l équipement L équipement de protection personnelle doit être revêtu à l extérieur de la chambre. * Aucun appareil personnel de technologies mobiles (Iphone, Ipad, etc.) n est autorisé dans la chambre et ce, pour tous les travailleurs qui devront entrer dans la chambre. 3

4 Pour toutes les personnes qui entrent dans la pièce, utiliser : o Masque N-95; o Écran facial à usage unique; o Blouse imperméable à manches longues à usage unique; o Jambières imperméables; o Gants en nitrile, bien ajustés et devant recouvrir les poignets de la blouse. Considérer le port d une deuxième paire de gants selon le risque d exposition associé à l intervention (ex : ponction veineuse, insertion d un cathéter intraveineux par voie centrale); o Porter des chaussures fermées résistantes aux objets piquants ou tranchants. Pour les situations où le patient présente des pertes abondantes de sang ou de liquides organiques (ex : vomissements, diarrhées, hémorragies), ajouter : o Bonnet; o Double paire de gants (2 e paire à poignets longs qui recouvre une 1 ère paire à poignets courts); OU o Combinaison de protection biologique (au besoin, des combinaisons sont disponibles dans la réserve du 7 e 6). * Dans ces cas : il sera recommandé de ne pas porter ses vêtements personnels et d utiliser les uniformes fournis par l établissement. Retrait de l équipement Retirer une partie de l équipement avant la sortie de la chambre (jambières, gants et blouse), dans l ordre indiqué sur l affiche. Pour la visière et le masque N-95, ils doivent être retirés après la sortie de la chambre (dans l anti-chambre). Tout l équipement est à usage unique et doit être jeté. REGISTRE DES ENTRÉES Maintenir un registre des personnes qui entrent dans la chambre. Pour ce faire, afficher à côté de la porte le document «Registre des entrées et sorties» (Annexe II). ATTENTION : ** Une personne doit être désignée sur place pour observer toutes les personnes qui entrent et qui sortent de la chambre afin de s assurer que l équipement de protection personnelle est porté et retiré de façon sécuritaire. Limiter au minimum le nombre de personnes entrant dans la salle Aucun étudiant, stagiaire ou résident. Éviter d avoir de multiples intervenants. 4

5 PRISE EN CHARGE À L URGENCE Le questionnaire d aide à la décision au triage pour les Maladies respiratoires sévères infectieuses (MRSI) et le MVE doit être appliqué tel que recommandé. 1. Faire porter un masque de procédure au patient et aux membres de la famille et leur demander de pratiquer l hygiène des mains. 2. Dirigez le patient et les personnes qui l accompagnent vers une salle à pression négative. 3. Porter l équipement de protection personnelle recommandé à partir de ce moment pour toutes les personnes qui entrent dans la salle. 4. Mettre l affiche d isolement «MVE» sur la porte de la salle. 5. Faire évaluer le patient rapidement par le médecin. 6. Limiter au minimum le nombre de personnes entrant dans la salle Aucun étudiant, stagiaire ou résident. Éviter d avoir de multiples intervenants. 7. Garder un registre des membres du personnel qui entrent et sortent de la chambre (ex : personnel infirmier, médical, salubrité, etc.). 8. Aviser le médecin de garde en maladies infectieuses pour une demande de consultation. 9. Minimiser toutes procédures créant des aérosols autres que les procédures essentielles. 10. Aviser la prévention des infections (de jour la semaine). Pour le soir, la nuit et la fin de semaine, aviser la coordonnatrice d activité. 11. Si le patient a besoin d examen radiologique, procéder au chevet (dans la mesure du possible), afin de limiter ses déplacements. 12. Le médecin traitant doit déclarer les cas de MVE en investigation au médecin de garde de la santé publique de Montréal ( ). SOINS OBSTÉTRICAUX Le questionnaire d aide à la décision au triage pour les Maladies respiratoires sévères infectieuses (MRSI) et le MVE doit être appliqué tel que recommandé (Annexe II) 1. Faire porter un masque de procédure à la patiente et aux personnes qui l accompagnent et leur demander de pratiquer l hygiène des mains. 2. Toute suspicion de cas, requérant une investigation ou une hospitalisation, devra être rapidement transférée à la salle #3 de l urgence pédiatrique. Pour le transport vers l urgence, voir la section «Transport du patient». Toutes personnes qui accompagnent le patient devront revêtir l équipement de protection personnelle recommandé. 3. La patiente sera transférée à l hôpital St-Luc du CHUM par la suite. 4. Si risque imminent d accouchement : admettre la patiente dans la salle # 1 de l unité des naissances. La salle de bain adjacente sera attitrée à cette patiente. Au moment de l accouchement/césarienne, la procédure devra se faire au bloc opératoire (3 e bloc 9). 5. Porter l équipement de protection personnelle recommandé à partir de ce moment pour toutes les personnes qui entrent dans la salle. 5

6 6. Aviser l assistante et le coordonnateur de garde, du bloc opératoire dès l arrivé de la patiente afin d identifier la salle qui sera dédiée. 7. Aviser le médecin de garde en maladies infectieuses. 8. Le système de ventilation devra être ajusté avec une ventilation 100% évacuation / air frais (le bloc opératoire avisera les services techniques au moment opportun). Par la suite, si le cas est confirmé, la prévention des infections communiquera avec les services techniques pour que le changement des filtres d évacuation soit fait de façon sécuritaire. SOINS AMBULATOIRES * Un patient avec une suspicion de MVE en clinique ambulatoire devra être transféré dans la salle 3 de l urgence pédiatrique pour investigation. 1. Faire porter un masque de procédure au patient et aux membres de la famille et leur demander de pratiquer l hygiène des mains. 2. Toutes personnes qui accompagnent le patient devront revêtir l équipement de protection personnelle. LIEU D HOSPITALISATION o Un patient avec une suspicion de MVE ou un cas confirmé (cas pédiatrique ou cas de néonatologie) requérant une hospitalisation devra être admis dans la chambre o Soins intensifs : si le patient nécessite des soins intensifs, l équipe des soins intensifs pédiatriques prendront soins du patient au 7 e 6. o Néonatologie : si le patient nécessite des soins néonataux, l équipe de la néonatologie prendra soins du patient au 7 e 6. PRISE EN CHARGE : HOSPITALISATION 1. Placez le patient suspect ou confirmé en isolement «MVE»dans une chambre à pression négative avec anti-chambre. 2. Porter l équipement de protection personnelle recommandé. 3. Minimiser le nombre de personnes entrant dans la salle Éviter les intervenants multiples (étudiants, résidents, etc.). 4. Garder un registre des membres du personnel qui entrent et sortent de la chambre (ex : personnel infirmier, médical, salubrité, etc.). 5. Limitez la quantité de matériel qui entre dans la chambre (matériel dédié). Aucun équipement ou matériel de soins ne doit sortir de la chambre sans avoir subit une désinfection adéquate. 6. Si le patient a besoin d examens radiologiques, procéder au chevet (dans la mesure du possible), afin de limiter ses déplacements. 7. Durée de l isolement : jusqu à l exclusion de la maladie. Si résultat négatif : adapter l isolement en fonction des résultats et des symptômes. Si résultat positif : Garder l isolement «MVE» jusqu au congé. 6

7 VISITEURS (PARENTS) o Seul les parents ou un substitut est autorisé à visiter l enfant. o Si le cas de MVE est confirmé, un seul parent pourra être au chevet de l enfant et il n aura pas l autorisation de circuler dans l établissement. o Le parent (ou substitut) devra porter un masque régulier en tout temps. Si le patient présente des liquides biologiques abondants comme, des vomissements ou de la diarrhée, faire porter la blouse. Lui faire porter les gants pour le changement de couches ou si liquides biologiques abondants. o Si le parent doit sortir de la chambre, lui faire porter le masque de procédure. o Hygiène des mains avant de sortir de la chambre. o Si un parent développe des symptômes d allure MVE, il ne sera pas autorisé à rester au chevet de son enfant. La Direction de Santé Publique devra être avisée et le parent sera pris en charge à l hôpital Notre-Dame du CHUM. TRANSPORT DU PATIENT * Limiter les déplacements du patient à l extérieur de la chambre o Aviser la sécurité avant tout transport afin d être accompagné jusqu à destination. o Utilisez les ascenseurs #5-6 pour effectuer le transport des patients de l urgence vers le 7 e 6. Si le patient hospitalisé nécessite d aller en radiologie, utilisez les ascenceurs #3-4 pour effectuer le transport du 7 e 6 vers l imagerie. S assurer de bien coordonner le trajet avant le transport. o Il est important d aviser le secteur receveur de l arrivée d un patient avec MVE et de l inscrire sur la requête. o S assurer de faire suivre l affiche «MVE» avec le patient lorsqu il quitte sa chambre. o Faire porter un masque chirurgical ou de procédure au patient pour circuler s il est en âge de le tolérer. o Le patient doit procéder à l hygiène des mains avec une solution alcoolisée, avant de quitter la chambre. o Le patient doit être couvert d un drap propre. o Tous les équipements (ex : pompes volumétriques), qui accompagnent le patient doivent être désinfectés avant de les sortir de la pièce. o Le patient doit demeurer dans la chambre jusqu à l arrivée de l agent de sécurité. o Pour toutes les personnes qui effectuent le transport et pour l agent de sécurité : Port d un nouvel équipement (propre) de protection personnelle. o Demander aux autres personnes présentes dans l ascenseur de sortir pour le transport du patient. o Emprunter un trajet qui permet d éviter les aires fréquentées par plusieurs personnes. L agent de sécurité doit établir un périmètre d au moins 2 mètres autour du patient. o Contacter la salubrité pour faire désinfecter l ascenseur après le transport (selon le protocole). o Faire désinfecter la chaise roulante ou la civière après utilisation, par l équipe de la salubrité. 7

8 DÉSINFECTION DE L ENVIRONNEMENT o Au personnel soignant : laisser l affiche d isolement sur la porte de la chambre. Le préposé à la salubrité la retirera lorsque la désinfection sera terminée. o Le préposé à la salubrité devra porter tout l équipement de protection personnelle recommandé. Le port d une double paire de gants est recommandé pour effectuer l entretien de la chambre. o Le nettoyage et la désinfection des surfaces et des planchers doit se faire sur une base quotidienne et lorsque souillés. o Désinfectez toutes les surfaces avec un désinfectant approuvé pour usage hospitalier comme l ammonium quaternaire (H23, L23) ou le Peroxyde d hydrogène ou solution Chlorée (hypochlorite de sodium). o Si la pièce se trouve dans un secteur où il n y a pas de préposé à la salubrité dédié, contactez le chef de secteur de garde via le o Ne pas vaporiser les produits désinfectants. o Utiliser une solution d hypochlorite de sodium à une concentration de 5000 ppm (5 capsules par litre d eau) pour la désinfection des surfaces ou objets contaminés par du sang ou des liquides biologiques. o Utiliser une solution d hypochlorite de sodium à une concentration de 5000 ppm (5 capsules par litre d eau) pour la désinfection terminale. o Les linges, chiffons et tampons de vadrouille doivent être jetables et jetés dans les déchets biomédicaux. DÉSINFECTION DES INSTRUMENTS o Lorsque des instruments, qui ne sont pas à «usage unique», doivent être utilisés (ex : lame de laryngoscope, instruments de bloc opératoire) et retraités par le service de la stérilisation centrale, certaines mesures devront être prises. o À l urgence ou au 7 e 6 : Les instruments devront être déposés directement dans un bac de plastique fermé avec une solution chlorée de Zochlor (5000 ppm = 5 capsules / 1 litre d eau) dans la pièce où se trouve le patient. Laisser tremper 10 minutes. Vider la solution dans la toilette de la pièce. Rincer les instruments avec l eau du robinet. o Désinfecter le bac avant de le sortir de la pièce. Identifier le bac «MVE». o Descendre les instruments à la stérilisation dans un autre bac de plastique fermé et remettre en mains propre au préposé à la stérilisation. *Aviser le service de la stérilisation centrale avant de descendre les instruments. Tout le matériel ou l équipement qui sort de la chambre doit être contrôlé afin d être désinfecté ou disposé dans les contenants appropriés. PRÉLÈVEMENT D ÉCHANTILLONS o Limiter les prélèvements aux demandes essentielles. o S assurer qu une personne qualifiée procède aux prélèvements. o Prélèvements par macro-méthode seulement. Ne pas utiliser les tubes micro-méthode non plus. 8

9 1. Utiliser les requêtes Labo MVE vertes pour tout type d analyse (biochimie, microbiologie, hématologie, pathologie). 2. Inscrire sur la requête verte de virologie pour recherche de MVE, la date de début des symptômes et les facteurs de risque spécifique du patient (ex. voyage dans quel pays). 3. Aviser le laboratoire au 5636 avant d envoyer tout type d échantillons pour analyse. 4. Envoyer les échantillons au laboratoire par un commis avec les requêtes vertes. NE PAS UTILISER LE PNEUMATIQUE. Voir la procédure de transport disponible sur le LBX Web VAISSELLE Utiliser de la vaisselle et des ustensiles jetables. Aviser la cuisine afin de faire servir le repas dans un couvert jetable. BUANDERIE Cas suspect : le matériel habituellement nettoyé à la buanderie (exemple : lingerie, rideaux) peut être conservé dans des sacs imperméables fermés. Si le diagnostic est infirmé, ce matériel pourra être nettoyé selon les procédures habituelles. Cas confirmé : Toute la lingerie sera jetée après utilisation. Aviser la buanderie afin de recevoir la lingerie qui a été dédiée pour ces cas. Uniformes : Dans les cas où des uniformes seraient fournis (présence de liquides biologiques abondants) au personnel, ils pourront être lavés selon les procédures habituelles de l établissement. GESTION DES EXCRÉTAS o Toilette réservée à l usage du patient. o Si le patient ne peut utiliser la toilette, utiliser une chaise d aisance à son usage exclusif ainsi que des sacs hygiéniques pour contenir les selles et urines. o Disposer des sacs hygiéniques et de leur contenu selon les modalités prévues dans la section «gestion des déchets». o S il y a vidange d excrétas dans la toilette, minimiser les risques d éclaboussures et de contamination des surfaces. o Nettoyer la chaise d aisance et désinfecter avec une solution d hypochlorite de sodium à une concentration de 5000 ppm idéalement après chaque utilisation, minimalement quotidiennement. o Utiliser les contenants à usage unique pour les systèmes à succion des sécrétions respiratoires et naso-gastriques. GESTION DES DÉCHETS Il est nécessaire d avoir deux préposés à la salubrité pour la gestion des déchets. o Considérer tous les déchets comme des déchets biomédicaux. o Prévoir un contenant de déchets biomédicaux (bac gris avec couvercle jaune) dans la chambre du patient, près de la porte, pour recevoir : l équipement de protection personnelle usagé, le matériel médical à usage unique, la vaisselle, la literie, etc. 9

10 o Une désinfection de l extérieur du contenant de déchets étanche doit être faite avant la sortie de la chambre. o Le préposé à la salubrité qui est à l extérieur de la chambre doit préparer une grande boite de carton pour les déchets biomédicaux avec un sac jaune à l intérieur. Le préposé qui est dans la chambre déposera le contenant directement dans la boite de carton. La boite de carton devra être scellée avec du ruban adhésif. o Évacuer les déchets biomédicaux une seule fois par jour et s assurer de bien coordonner la sortie des déchets et le transport. Leur transport interne doit être fait immédiatement vers leur lieu d entreposage (au niveau C). o Cas suspect : o Si le diagnostic est infirmé, gérer les items selon les procédures habituelles de l établissement. o Cas confirmés : o Traiter ces déchets selon la procédure prévue pour la gestion des déchets biomédicaux tel que le prévoit la section 2 du règlement sur les déchets biomédicaux de la Loi sur la qualité de l environnement (L.R.Q. c Q-2, r.12). o Effectuer le transport des déchets hors de l établissement tel que le prévoit sur le règlement sur le transport des marchandises dangereuses (RTMD) (DORS/ ). 10

11 ANNEXE I Outil à l attention du médecin en maladies infectieuses qui fera l évaluation du patient Aide à la décision pour évaluer le risque de suspicion de la maladie à virus Ébola CRITÈRES ÉPIDÉMIOLOGIQUES Situation 1 : Patient ayant une histoire de séjour dans une zone à risque5 dans les 21 jours précédant le début de la fièvre ET chez qui on ne peut exclure une exposition sans protection appropriée définie de la manière suivante : Exposition à un patient infecté ou fortement suspect Contact direct avec une personne (vivante ou décédée) infectée ou fortement suspectée d être infectée par le virus (ex. : avoir donné des soins, avoir partagé la même pièce ou vécu sous le même toit, avoir eu des relations sexuelles non protégées, avoir eu des contacts avec le cadavre lors des rites funéraires Contact indirect avec les objets, surfaces, vêtements ou literie contaminés d une personne (vivante ou décédée) infectée ou fortement suspectée d être infectée par le virus; Exposition à des soins médicaux ou à des spécimens cliniques Admission, soins de santé ou visites dans un hôpital ou dispensaire ayant reçu des patients infectés par le virus; Manipulation en laboratoire de souches Ebola ou de spécimens cliniques (ex. : sang, urine, selles, tissus, cultures) pouvant contenir le virus Ebola; Exposition à un animal infecté ou fortement suspect d être infecté par le virus Ebola OU Travail en laboratoire qui détient des chauves souris, des primates non humains provenant d une zone à risque5 d Ebola; Contact avec le sang ou d autres liquides biologiques (ex. : urines, selles) d un animal infecté ou fortement suspecte d être infecté par le virus Ebola; Contact direct avec des chauves souris, des primates non humains dans une zone à risque5 ou provenant de cette zone; Exposition dans une grotte infestée de chauve souris dans une région endémique pour Ebola; Manipulation (dépeçage, séchage, fumage) ou consommation de viande (crue ou peu cuite) issue de la chasse (surtout des primates non humains, des chauves souris) dans une zone à risque5; Situation 2 : ET Patient n ayant pas d histoire de séjour dans une zone à risque Chez qui on documente : 11

12 OU Contact étroit avec un patient confirmé de maladie à virus Ebola dans les 21 jours avant le début de la maladie; Relations sexuelles avec un patient confirmé d une maladie à virus Ebola dans les 13 semaines suivant le début de la maladie. Pour les patients suspects de maladie à virus Ebola, il est recommandé : d aviser immédiatement le médecin microbiologiste infectiologue de garde; d aviser immédiatement l équipe locale de prévention et contrôle des infections; d isoler le patient dans une chambre à pression négative ou si non disponible une chambre individuelle avec porte fermée en tout temps avec toilette à l usage exclusif du patient; de maintenir l application des précautions additionnelles contre la transmission par contact et par voie aérienne (port d une blouse à manches longues, de gants, d un APR N 95) avec une protection oculaire par le personnel qui entre en contact avec le patient ou son environnement tout au long du processus d investigation; de procéder aux tests de laboratoire comme recommandé dans le document Maladie à virus Ebola (MVE) : guide pratique pour les demandes d analyse de laboratoire pour des patients chez qui une MVE est suspectée (LSPQ, 2014); de signaler immédiatement le cas à la direction régionale de santé publique 12

13 ANNEXE II Registre des entrées et des sorties DATE NOM TITRE D EMPLOI HEURE D ENTRÉE HEURE DE SORTIE SVP conserver; à remettre à votre conseillère en prévention des infections

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